Black Immigrant Daily News
door Samuel Wens BROKOPONDO — Een gezondheidswerker die spoedgevallen moet behandelen in een polikliniek van de Medische Zending (MZ) in het
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Quelques barges de chantier voguent encore sur ses eaux paisibles mais les terrasses de cafés, immeubles d’architectes contemporains et flâneurs ont remplacé les manufactures et ouvriers qui peuplaient ses quais poussiéreux: dans le nord-est parisien, le canal de l’Ourcq se réinvente.
Voulu par Napoléon pour améliorer l’approvisionnement en eau potable de la capitale, puis devenu un axe majeur de la transformation industrielle et du transport de bois et charbon pour le marché parisien, le canal de 108 kilomètres inauguré en 1822 atteint cette année son bicentenaire.
Sinistré par la désindustrialisation de l’Île-de-France, cet espace autrefois inhospitalier s’intègre à la ville depuis une vingtaine d’années pour devenir, pour la première fois de son histoire, un authentique lieu de vie pour les habitants. Une mue particulièrement visible du côté du XIXe arrondissement de Paris et de la commune voisine de Pantin, en Seine-Saint-Denis.
Assis à l’ombre des Magasins Généraux de Pantin, des entrepôts de stockage de denrées coloniales reconvertis en siège d’une agence de publicité, Dolores et Miguel Julia savourent avec oisiveté le passage de péniches chargées de sable ou de gravats. Casquette sur la tête, ils suivent du regard les familles avec poussette qui prennent l’air, observent les cyclistes et joggeurs faisant de l’exercice.
Bien que Pantinois depuis les années 1960, ce couple de retraités n’a découvert les plaisirs du canal de l’Ourcq qu’à la faveur de l’apparition du quartier flambant neuf qui a récemment remplacé de vieilles structures industrielles. Ils arpentent désormais deux fois par jour, en habitués, la nouvelle promenade aménagée au port de Pantin.
“C’est notre promenade des Anglais!”, s’amuse Dolores, ex-rayonniste en pharmacie de 82 ans. “Avant on ne pouvait pas venir ici. C’était de la terre, il n’y avait pas de pavés”.
Avec sa fraîcheur et ses arbres dans cette zone urbanisée à l’extrême, ses péniches culturelles, ses nouveaux immeubles à l’architecture soignée dont les bobos parisiens s’arrachent les appartements, le canal de l’Ourcq est devenu la vitrine de Pantin, ville qui reste par ailleurs profondément populaire.
– Ancien no man’s land –
L’emblématique minoterie des Grands Moulins, aux faux airs médiévaux, s’est transformée en bureaux, abritant des services de la banque BNP Paribas. Une fabrique de meubles du début du XXe siècle a été réaménagée en logements, un théâtre a pris ses quartiers dans un hangar en briques de la rive nord.
“Quand j’ai été élu en 2001, la ville tournait le dos au canal. C’était plutôt vécu comme une fracture. Nous avons retourné la ville vers le canal”, témoigne auprès de l’AFP Bertrand Kern, le maire (PS) de Pantin. “Vous seriez venu un samedi il y a vingt ans sur les quais du canal, il n’y avait pas grand monde. Aujourd’hui ça se bouscule tellement que je suis obligé de faire des aménagements entre vélos et piétons.”
Les allures parfois hétéroclites des abords du canal montrent toutefois que sa transition reste encore à conclure. Ici une blanchisserie industrielle répand sur les quais une puissante odeur de linge propre, là opère une centrale à béton. Sous la passerelle du tramway T3, un camp de migrants est apparu ces derniers jours.
Plus en aval, une fois le canal passé sous les voies du boulevard périphérique, le même processus de transformation urbaine s’observe dans le XIXe arrondissement de Paris.
Les pique-niqueurs des pelouses de la Villette savent-ils qu’ils se tiennent à l’emplacement de l’ancienne “cité du sang”? Jusqu’à sa reconversion en parc dans les années 1980, le lieu a accueilli pendant un siècle les immenses marchés aux bestiaux et abattoirs qui fournissaient Paris en viande fraîche.
Au pont levant de la rue de Crimée, des petits bateaux de tourisme attendent de pouvoir passer. Des jeunes fument des joints en écoutant du rap, des couples dansent du tango sur une piste installée pour l’opération “Paris Plages”.
La renaissance du canal de l’Ourcq, le maire socialiste du XIXe, François Dagnaud, la date pour son arrondissement au mitan des années 1990 et au “pari” de la chaîne de cinémas MK2 d’ouvrir une salle dans un ancien hangar conçu par Gustave Eiffel, au milieu de ce qui était alors un “no man’s land”.
“On était en pleine période où le crack était déjà présent, relate-t-il à l’AFP. Dans un quartier en perdition, marginalisé, pas du tout fréquenté par les habitants, ça a été l’amorce d’une mutation urbaine, culturelle et sociale.”
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PARAMARIBO — Vrijdag is in het perscentrum van het Kabinet van de President, de presidentiële werkgroep Onderzoek Sabaku Village geïnstalleerd.
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Cuba a reçu des offres d’assistance de nombreux pays après son appel à l’aide pour faire face au gigantesque incendie d’un dépôt pétrolier frappé par la foudre qui a engendré des explosions dans lesquelles au moins une personne a été tuée, 121 blessées et 17 encore portées disparues.
Quelque 1.900 personnes ont été évacuées de la zone sinistrée, située dans la banlieue de Mantanzas, ville de 140.00 habitants à 100 kilomètres à l’est de La Havane, d’où était visible l’énorme panache de fumée noire obscurcissant le ciel.
“Un corps a été retrouvé sur le site de l’accident”, a déclaré Luis Armando Wong, directeur de la Santé de Matanzas, lors d’une conférence de presse.
Cinq blessés sont dans un état critique, trois dans un état très grave et 28 sérieusement atteints, selon un dernier bilan communiqué sur le compte Twitter de la présidence.
Parmi les blessés figure le ministre de l’Energie, Livan Arronte.
Les 17 personnes disparues sont des pompiers “qui se trouvaient dans la zone la plus proche de l’incendie” lorsqu’une explosion a eu lieu.
L’incendie s’est déclaré vendredi soir quand la foudre a frappé l’un des réservoirs du dépôt pétrolier. Au petit matin, le feu s’est ensuite propagé à un deuxième réservoir.
Face à la difficile maîtrise de l’incendie qui “pourrait prendre du temps”, selon le président cubain Miguel Diaz-Canel, Cuba “a demandé l’aide et les conseils de pays amis ayant une expérience dans le secteur pétrolier”.
Les réponses ne se sont pas fait attendre et le président cubain a exprimé sur Twitter sa “profonde gratitude aux gouvernements du Mexique, du Venezuela, de la Russie, du Nicaragua, de l’Argentine et du Chili, qui ont rapidement offert une aide matérielle par solidarité face à cette situation complexe”.
“Nous sommes également reconnaissants de l’offre d’assistance technique des Etats-Unis”, a-t-il ajouté. Le vice-ministre des Affaires étrangères Carlos Fernandez de Cossio a déclaré que la proposition américaine “est déjà entre les mains de spécialistes pour une coordination adéquate”.
L’ambassade des Etats-Unis à La Havane avait plus tôt affirmé être “en contact” avec les responsables cubains, précisant que, malgré le régime de sanctions en cours contre le parti unique au pouvoir, “la loi américaine autorise les entités et les organisations américaines à fournir des secours et une réponse aux catastrophes à Cuba”.
– “Le ciel était jaune” –
Des hélicoptères étaient à pied d’œuvre pour combattre l’incendie samedi, avec des lances à eau approchées à l’aide de grues.
Ginelva Hernandez, 33 ans, a déclaré qu’elle, son mari et ses trois enfants dormaient lorsqu’ils ont été réveillés par une violente explosion. “On s’est jetés hors du lit. Quand nous sommes sortis dans la rue, le ciel était jaune”, a-t-elle raconté à l’AFP. A ce moment-là, “la peur des gens était incontrôlable”.
Laura Martinez, une habitante proche de la zone sinistrée, a dit à l’AFP avoir “senti la déflagration, comme une onde de choc”.
En entendant une première explosion, Yuney Hernandez, 32 ans, et ses enfants ont fui leur maison située à deux kilomètres du dépôt. Ils sont revenus quelques heures plus tard, puis ils ont entendu d’autres explosions aux premières heures du matin et des bruits “comme si des morceaux du réservoir tombaient”.
Selon Asbel Leal, directeur du commerce et de l’approvisionnement à l’Union cubaine du pétrole (Cupet), le premier réservoir “contenait environ 26.000 mètres cubes de brut domestique, soit environ 50% de sa capacité maximale” au moment de la catastrophe. Le deuxième réservoir contenait 52.000 mètres cubes de mazout.
Cuba n’a jamais été confronté à un incendie de “l’ampleur de celui d’aujourd’hui”, a-t-il dit.
Selon le quotidien officiel Granma, “il y a eu une défaillance du système de paratonnerre qui n’a pas pu résister à la puissance de la décharge électrique”.
Le dépôt alimente la centrale électrique Antonio Guiteras, la plus grande de Cuba, mais le pompage vers la centrale ne s’est pas arrêté, a précisé Granma
Cet incendie survient alors que l’île fait face à l’obsolescence des huit centrales thermoélectriques pour répondre à la demande accrue d’électricité due à la chaleur estivale.
Les autorités doivent procéder à des coupures tournantes pouvant aller jusqu’à 12 heures par jour dans certaines régions du pays, déclenchant la colère d’habitants excédés qui ont organisé une vingtaine de manifestations.
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Cuba a reçu des offres d’assistance de nombreux pays après son appel à l’aide pour faire face au gigantesque incendie d’un dépôt pétrolier frappé par la foudre qui a engendré des explosions dans lesquelles au moins une personne a été tuée, 121 blessées et 17 encore portées disparues.
Quelque 1.900 personnes ont été évacuées de la zone sinistrée, située dans la banlieue de Mantanzas, ville de 140.00 habitants à 100 kilomètres à l’est de La Havane, d’où était visible l’énorme panache de fumée noire obscurcissant le ciel.
“Un corps a été retrouvé sur le site de l’accident”, a déclaré Luis Armando Wong, directeur de la Santé de Matanzas, lors d’une conférence de presse.
Cinq blessés sont dans un état critique, trois dans un état très grave et 28 sérieusement atteints, selon un dernier bilan communiqué sur le compte Twitter de la présidence.
Parmi les blessés figure le ministre de l’Energie, Livan Arronte.
Les 17 personnes disparues sont des pompiers “qui se trouvaient dans la zone la plus proche de l’incendie” lorsqu’une explosion a eu lieu.
L’incendie s’est déclaré vendredi soir quand la foudre a frappé l’un des réservoirs du dépôt pétrolier. Au petit matin, le feu s’est ensuite propagé à un deuxième réservoir.
Face à la difficile maîtrise de l’incendie qui “pourrait prendre du temps”, selon le président cubain Miguel Diaz-Canel, Cuba “a demandé l’aide et les conseils de pays amis ayant une expérience dans le secteur pétrolier”.
Les réponses ne se sont pas fait attendre et le président cubain a exprimé sur Twitter sa “profonde gratitude aux gouvernements du Mexique, du Venezuela, de la Russie, du Nicaragua, de l’Argentine et du Chili, qui ont rapidement offert une aide matérielle par solidarité face à cette situation complexe”.
“Nous sommes également reconnaissants de l’offre d’assistance technique des Etats-Unis”, a-t-il ajouté. Le vice-ministre des Affaires étrangères Carlos Fernandez de Cossio a déclaré que la proposition américaine “est déjà entre les mains de spécialistes pour une coordination adéquate”.
L’ambassade des Etats-Unis à La Havane avait plus tôt affirmé être “en contact” avec les responsables cubains, précisant que, malgré le régime de sanctions en cours contre le parti unique au pouvoir, “la loi américaine autorise les entités et les organisations américaines à fournir des secours et une réponse aux catastrophes à Cuba”.
– “Le ciel était jaune” –
Des hélicoptères étaient à pied d’œuvre pour combattre l’incendie samedi, avec des lances à eau approchées à l’aide de grues.
Ginelva Hernandez, 33 ans, a déclaré qu’elle, son mari et ses trois enfants dormaient lorsqu’ils ont été réveillés par une violente explosion. “On s’est jetés hors du lit. Quand nous sommes sortis dans la rue, le ciel était jaune”, a-t-elle raconté à l’AFP. A ce moment-là, “la peur des gens était incontrôlable”.
Laura Martinez, une habitante proche de la zone sinistrée, a dit à l’AFP avoir “senti la déflagration, comme une onde de choc”.
En entendant une première explosion, Yuney Hernandez, 32 ans, et ses enfants ont fui leur maison située à deux kilomètres du dépôt. Ils sont revenus quelques heures plus tard, puis ils ont entendu d’autres explosions aux premières heures du matin et des bruits “comme si des morceaux du réservoir tombaient”.
Selon Asbel Leal, directeur du commerce et de l’approvisionnement à l’Union cubaine du pétrole (Cupet), le premier réservoir “contenait environ 26.000 mètres cubes de brut domestique, soit environ 50% de sa capacité maximale” au moment de la catastrophe. Le deuxième réservoir contenait 52.000 mètres cubes de mazout.
Cuba n’a jamais été confronté à un incendie de “l’ampleur de celui d’aujourd’hui”, a-t-il dit.
Selon le quotidien officiel Granma, “il y a eu une défaillance du système de paratonnerre qui n’a pas pu résister à la puissance de la décharge électrique”.
Le dépôt alimente la centrale électrique Antonio Guiteras, la plus grande de Cuba, mais le pompage vers la centrale ne s’est pas arrêté, a précisé Granma
Cet incendie survient alors que l’île fait face à l’obsolescence des huit centrales thermoélectriques pour répondre à la demande accrue d’électricité due à la chaleur estivale.
Les autorités doivent procéder à des coupures tournantes pouvant aller jusqu’à 12 heures par jour dans certaines régions du pays, déclenchant la colère d’habitants excédés qui ont organisé une vingtaine de manifestations.
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PC Kristian Genty. Photo courtesy TTPS
A police officer has been charged with the murder of PC Clarence Gilkes and another charged with shooting at an unarmed man with intent to cause harm.
Director of Public Prosecutions Roger Gaspard, SC, gave investigators the green light on Friday night to charge PC Khristian Genty with murder and shooting with intent to harm Jehlano Romney and to charge WPC Crystal Williams-Bowman with shooting at Romney with intent to cause harm.
WPC Crystal Williams-Bowman. Photo courtesy TTPS
A third officer, Cpl Kerwin Dominique, who provided crucial evidence to investigator, was released without charge.
Genty and Williams-Bowman, who were last assigned to the Western Division Task Force, were charged at the St Joseph Police Station early Saturday morning. Williams-Bowman was released on $500,000 bail pending her court appearance on Monday. Genty is expected to appear before a Port of Spain magistrate virtually on Monday.
His lawyers Israel Khan, SC, Ulric Skerritt and Arissa Maharaj intend to make an application for him to be released on bail pending the outcome of the matter.
Gilkes, 44, of La Resource Road, D’Abadie, and a member of the Western Division Task Force, was among 12 officers who responded to a report of men armed with rifles at Richplain Road, Diego Martin on April 22.
PC Clarence Gilkes
Gilkes was with three other officers, including Genty and Williams-Bowman, when they confronted Romney on a flight of steps. Romney claimed he was unarmed and that Gilkes and two other officers opened fire without warning but he managed to dodge the bullets.
Gilkes was shot from behind to the neck and collapsed while Romney ran off. The injured officer was taken for treatment but subsequently died. Romney later gave a statement to the Police Complaints Authority and the Professional Standards Bureau.
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Jamaican PM Andrew Holness –
Jamaica’s prime minister Andrew Holness has confirmed his attendance at TT’s 60th independence anniversary celebrations, Foreign Affairs and Caricom Minister Dr Amery Browne announced on Friday.
Browne spoke of Holness’ visit during a reception at Jamaican High Commissioner Arthur Williams’ residence in Port of Spain for Jamaica’s independence jubilee which was commemorated on Saturday.
The itinerary is being finalised and will be shared soon, Browne told Sunday Newsday in a WhatsApp message on Saturday. He added that Holness will arrive on August 28 and will depart on September 1. TT’s Independence Day is August 31. Holness’ visit was first disclosed by Housing Minister Camille Robinson-Regis last Thursday when she announced Government will spend $7.5 million for the celebrations.
On Saturday, Holness led his country in its independence jubilee.
“We celebrate under the theme, Jamaica 60, Reigniting a Nation for Greatness. While we cannot allow the current global crises of a pandemic, war, and inflation to dampen our mood, the government is mindful of the hardships our people are experiencing; therefore, our celebrations must give hope, be meaningful, and uplifting,” he said in an address, reported by the Caribbean News Agency.
“At 60, there must be reflection, introspection, contemplation, and prospection. As leaders, have we been good stewards of our nation? As citizens, have we been law-abiding, productive, and creative? And as a nation, have we been doing our part to advance the welfare of the whole human race? What will our story be in another 60 years?
Foreign and Caricom Affairs Minister Dr Amery Browne, right, joins Jamaican High Commissioner Arthur Williams in a toast to Jamaica’s 60th independence anniversary at the commissioner’s residence, Ellerslie Park, Port of Spain on Friday. – SUREASH CHOLAI
“We reflect on the unfurling of the black, green, and gold on August 6th, 1962, a glorious time filled with high hopes and great expectations, the culmination of over 450 years of struggle from enslavement to Emancipation to nationhood. As we began to chart our course on the journey as an independent nation, we would meet with many successes and nationally fulfilling moments. Still, we would also encounter real challenges on our journey.
Holness noted that in retrospect, “it is true that, as Jamaicans, we have not always made the connection between our economic and political choices. For decades we have made political decisions inconsistent with good economic thinking, which have had disastrous social consequences.”
He said his administration is developing a series of legislation to address the social order issues.
These include – new Road Traffic Regulations that will be passed and will come into effect this year; the start of a new bail act and an enhanced security measures act.
Concerning the island’s status, he said that his administration has already commenced work towards becoming a republic.
In his message – leader of the main opposition People’s National Party (PNP), Mark Golding, again called on the administration to recommit to full political independence by “removing the last vestiges of past colonial rule.”
In his message, “Golding said the time to come together to achieve the constitutional reform required to have a Jamaican as our Head of State.”
He said the Opposition continues to be willing and ready to work with the Government to finalise the required legislation, pass it in Parliament and put it to a vote by the people in a referendum, as soon as possible.
“This step is logically connected to another, which is ensuring greater access to justice for our people by embracing the Caribbean Court of Justice as our final court of appeal. There is nothing to stop this proceeding now, even as we go through the steps of becoming a republic.”
He also said it is a time to celebrate the achievements of Jamaica in a plethora of human endeavours – “in academia, music, the arts, education, commerce, cuisine, science and, of course, our sporting glory.”
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Residents of Ibis Gardens, Caroni gather on the Caroni river bank to show how much of it has fallen in on Friday. – Darren Bahaw
Vishanna Phagoo
The drop in water levels of the Caroni River, at Ibis Gardens, has revealed the extend of erosion and residents fear if left untouched the next heavy shower will spell disaster for the entire community.
A significant portion of the southern embankment has collapsed into the riverbed after torrential rains over the last few days and with more rain forecast over the weekend residents fear the worst.
Andre Ramsahai, who lives a few houses away from the potential disaster at Jacobin Drive, said: “The real issue for me comes is if there is heavy rainfalls because then that’s it, I would be done.”
Right now, the bank only has around 18 inches of reinforcement left and Ramsahai said if heavy rainfall continues, the entire bank will be gone.
Personnel from the Housing Development Corporation visited on Saturday to survey the damage and one official said emergency works are necessary to protect the community of over 150 families, some of whom live in one-storey houses.
Ramsahai said the situation could have been avoided if the authorities had addressed their reports made two months ago when the first signs of weakness of the embankment occurred.
“A couple months ago we started seeing the river bank collapsing into the water so we indicated it to the relevant authorities. We spoke to the Ministry of Works and Transport and the reason for not showing up is always the same, there’s no funding.”
He said on Friday, representatives from the ministry visited the area and one official told him that there is nothing that can be done until the ministry acquires more funds for the repairs.
“I told the representative that was not an option because it have no way I could recover from the damage that I am going to experience.”
The collapsed embankment of the Caroni River at Ibis Gardens, Caroni which has sparked fear and concern among the residents on Saturday after the water levels dropped. – Darren Bahaw
Ramsahai, who is the owner of A&N Auto Centre, said if the conditions do not improve he isn’t sure what will happen to his equipment as they cannot be easily moved to higher grounds. He said if the river bank bursts and the water rushes to his home, there would be no way to protect his hydraulic ramps, compressors or generators and his business could be destroyed.
Another resident took it upon himself to make everyone in the area aware of the imminent danger by going door-to-door and showing them videos and pictures of the depleted river bank. He said it was alarming that 20-feet of river bank became 18 inches overnight and the residents must be aware of it.
Jerome Moses said, “If nothing is done to restore the bank, they (the residents) wouldn’t just be flooded out, they would have to go up on the roof.”
He said there would be no protection between the residents and that volume of water. Moses said everyone in the area has been calling the ministry and other relevant agencies, but no one could never relay their concerns.
“Every time you call, they give us another number to someone who is in charge of whichever department and so on but no help. Nobody seems to do anything, it’s like the people in charge of drainage, rivers and waterways in the country are not in charge any more. I don’t know what it is.”
Moses expressed his frustration and urged the residents to understand that if the conditions remain the same, lives will be in danger and treading the water will not be an option.
Chaguanas West MP Dinesh Rambally reassured residents that he is in talks with Works and Transport Minister Rohan Sinanan, Minister of Local Government and Rural Development Faris Al-Rawi and the councillors and chairman of the Tunapuna/Piarco Regional Corporation.
“I am in real-time communication with all of them concerning what has taken place so what I expect and hoping is that the permanent fixtures can get going as early as Monday morning with some remedial steps along the old Caroni River. This is so we don’t have that breach as it was the key source of the large flow and volume of water coming into the village.”
He said he also expects to see the flood slabs along the river wall fixed as that also contributed to the overflowing in the breached areas. Rambally said the work should be completed by Wednesday as it only requires placing 12 to 15 loads of backfill along the river. In addition to building back the river bank, he said the corporation will be working on expanding the outflow drain which is along New Street, Caroni.
On Saturday morning, he and councillor Richard Rampersad were distributing cleaning supplies and drinking water before any major clean-ups can take place.
“The corporation gave me the assurance that it will be deploying a minimum of two cesspool trucks. What will happen is the trucks will go to the homes that were greatly affected try to extract the permitted amount of water,” he said.
Rambally urged residents to understand that it is not “business as usual” when it comes to flooding in Caroni and said people need to be proactive in flood prevention.
“We also need to take certain steps in ensuring that certain homes are fully aware of what is expected of them so that they can implement the necessary evacuation measures.”
Sunday Newsday tried contacting Sinanan and the private contractor Vigai Persad, who had been asked by the ministry to assess the site on Friday, for comments but all attempts were unsuccessful.
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Jereem Richards won his second gold medal in the 200m at the Commonwealth Games on Saturday. –
Jereem Richards broke his personal best and a meet record on his way to defending his men’s 200m title at the 2022 Birmingham Commonwealth Games in England, on Saturday.
Richards, who previously had a personal best of 19.83 seconds, won the event in 19.80.
He erased the previous Commonwealth Games record of 19.97, held by Frankie Fredericks of Namibia since 1994.
Zharnel Hughes of England claimed silver in 20.12 and Joseph Amoah of Ghana grabbed bronze in 20.49.
The gold medal run by Richards was TT’s fourth medal at the Commonwealth Games and one week after cyclist Nicholas Paul earned gold in the men’s keirin event.
Paul also won a silver medal and a bronze at the games.
Richards, in an interview immediately after winning the race with SportsMax, remembered his former TT team-mate Deon Lendore.
Lendore, a former top 400m athlete, died in a car accident in Texas in January. Richards and Lendore were part of the TT men’s 4x400m quartet which won gold at the 2019 World Relays.
“Boy, I know Deon is smiling right now,” Richards said.
Since Lendore’s death, Richards has dedicated some of his races to him.
Richards is hoping at the medal ceremony on Sunday, at 5 am local time, the pan version of the national anthem will be played.
“I have one request. If anybody from this meet could hear it I would love to hear the national anthem in the steelpan rendition…that will make my day. That is my favourite anthem, the steelpan one,” he said.
Former president of the TT Olympic Committee Brian Lewis said the pan version of the anthem is supposed to be played at all medal ceremonies for TT athletes. He said the International Olympic Committee has accepted the pan version of the anthem which was done by the National Steel Symphony Orchestra.
“I am advised that it was an error of the Commonwealth Games Federation and Birmingham 2022 that the pan version was not played for Nicholas Paul’s gold medal ceremony,” Lewis said.
Lewis said the TT team in Birmingham, led by chef de mission Diane Henderson, will put measures in place to ensure the pan version is played.
Richards thanked his support team following the race.
“Everybody helped me out this year. I had a big team, a big support team, my family and friends.”
After the race, Richards’s sister Brittney Richards-Nelson wrote on social media, “Forged from the love of liberty. Feeling so proud.”
Richards got out the blocks quickly and heading into the final 100m it was clear it was a two-man race between Richards and Hughes.
Richards had a strong finish as usual and with 40m left the race was over as he opened a huge lead to win comfortably.
Richards was proud of the start he got.
“In terms of the start I have been working on it for awhile now and now I have the confidence and I have the ability to do it.”
Richards controversially won the 200m gold at the 2018 Commonwealth Games in Gold Coast, Australia.
TT’s Jereem Richards celebrates winning gold alongside bronze medalist Paul Amoah of Ghana, left, and silver medalist Zharnel Hughes of England, right, after the 200m race at the Commonwealth Games in Birmingham, England on Saturday. – AP PHOTOS
In the final stages of the race, Hughes impeded Richards with his arm.
Hughes, who thought he won gold, was disqualified and Richards was given the gold after initially ending in second place.
There was no chance of a repeat of the 2018 controversy as Richards and Hughes did not run next to each other in Saturday’s final.
Asked if he came to Birmingham with a mission, Richards said, “I have been on a mission. I was very conservative throughout the rounds and I just wanted to make a statement. Coach told me to drop the hammer in the final and that is what I wanted to do just drop the hammer.”
Just over two weeks ago, Richards finished sixth in the 2022 World Athletics Championships 200m final in 20.08.
He said the Commonwealth gold makes amends for the disappointment at the World Championships.
“It definitely does make up for it a lot. To leave here with a personal best (and) so close to a national record once again. I will take it down some time. God’s timing is the best timing, but I am just happy. The two major meets for the season are done. Mentally a big weight has come off my chest.”
Speaking more about the 200m national record of 19.77 held by Ato Boldon since 1997, Richards said, “It could be gone this season (because) I still have a few more meets to go, but the main focus is to keep running fast and staying healthy. I want to get the record, but it is not the main focus it will come when it is time to come.”
The Prime Minister congratulated Richards on his achievement.
“Champion gold for Jereem. Congratulations to Jereem Richards for defending the men’s 200-metre title at the 2022 Commonwealth Games in Birmingham, England,” Dr Rowley said.
In a media release, Minister of Sport and Community Development Shamfa Cudjoe, said, “Jereem clocked a blistering personal best ultimately winning gold and defending his 200m title in Birmingham. This is a great moment for sport and the athletic world is celebrating right now. It is with great pride that our entire Ministry, the Government as well as the local sporting fraternity, join in celebrating Mr Richard’s latest victory.”
The sport minister also acknowledged the significant contributions made by the TT athletes.
“Team TTO continues to fly the colours of our country proudly around the world and we salute them for their exemplary efforts, grit and determination. You never cease to be an inspiration to the next generation of athletes and young people.”
TT Olympian Alvin Daniel, who shares a close relationship with Richards, was elated for the 200m champion.
Daniel said, “I know he was going to win.”
Both Richards and Daniel are Pt Fortin residents.
“I have seen Jereem workout. I went to look at him in Mahaica Oval. He asked me to come down and check him out…he could take workload.”
Daniel said Richards will be on “top in the world very soon.”
Daniel believes Richards can get an Olympic medal one day. “Definitely (he has the potential). I think he is one of our best chances in the next Olympics.”
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Over $72 million worth of marijuana which left Trinidad and Tobago for Barbados was seized by Bajan authorities on July 29. – Photo courtesy TTPS
A year-long joint operation between the local police and Barbados police led to the seizure of over $72 million worth of marijuana and the arrest of a Colombian national.
A release from the police said since June 2020 local intelligence officers began surveillance of a suspected drug trafficker based in Central Trinidad with regional and international connections.
Investigations showed the suspect and another man left Trinidad and Tobago (TT) on a flight to Barbados in late June 2020 and Bajan authorities were alerted.
On July 29, a shipment of marijuana arrived in Barbados from TT and stored in a stash house. Bajan authorities raided the stash house where they seized 481 kilogrammes of marijuana with an estimated street value of $72, 063, 420.
The Colombian national was held during the raid.
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