Mondial féminin de rugby: les Bleues assurent…

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Le XV de France féminin a bien entamé sa Coupe du monde, en dominant samedi l’Afrique du Sud (40-5) à l’Eden Park d’Auckland lors du match d’ouverture, sans trop forcer mais en se rassurant, à une semaine d’une rencontre capitale contre l’Angleterre.

Les Bleues, versées dans la poule C, ont signé six essais, dont un doublé de leur demie de mêlée Laure Sansus, désignée “joueuse du match”, s’octroyant un point de bonus qui sera précieux dans la course au classement en vue des quarts de finale.

Gaëlle Mignot, l’entraîneur-adjoint des Françaises en charge de la mêlée et des attitudes au contact, avait prévenu vendredi: “on veut entrer dans la compétition de la meilleure des manières possibles”.

“Ce qui compte, c’est de mettre en place notre jeu, de marquer les esprits, l’adversaire, avait-elle ajouté. Et d’envoyer un signal fort à tout le monde en disant +on est bien présentes et on veut aller le plus loin possible+”.

Sur le fond, mission accomplie donc pour les coéquipières de Céline Ferer, mais sur la forme, il leur faudra hausser leur niveau de jeu face aux “Red Roses” anglaises, grandes favorites de la compétition. Les Bleues gagneraient notamment à ajuster et régler quelques détails, et à se lâcher plus afin de profiter du moindre espace.

Dans un Eden Park à guichets fermés et sous un beau soleil, les Françaises ont marqué rapidement trois essais en quinze minutes avant de marquer le pas.

Le premier, un essai de filou dès la 2e minute de la rencontre, est signé Laure Sansus, le deuxième est l’oeuvre de la centre Gabrielle Vernier (11e), à la suite d’un petit coup de pied de l’ouvreuse Caroline Drouin, et enfin, le troisième est survenu sur une interception d’Emilie Boulard (17e).

Mais, alors que les Tricolores bénéficiaient d’une supériorité numérique après un carton jaune adressé à la troisième ligne des “Women Boks” Sizophila Solontsi à la 29e, elles n’ont pas réussi à concrétiser, enchaînant les erreurs et les approximations.

Ce temps faible côté français a perduré au retour des vestiaires, les Bleues concédant un essai, signé de l’ailière sud-africaine Nomawethu Mabenge (50e).

Malgré un long moment passé dans le camp des Boks, les Bleues, par Laure Sansus à nouveau, ont dû attendre la 67e minute pour marquer leur quatrième essai, synonyme de bonus offensif, avant que Caroline Drouin, puis la septiste Joanna Grisez, n’aggravent le score.

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Mondial féminin de rugby: les Bleues assurent…

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Le XV de France féminin a bien entamé sa Coupe du monde, en dominant samedi l’Afrique du Sud (40-5) à l’Eden Park d’Auckland lors du match d’ouverture, sans trop forcer mais en se rassurant, à une semaine d’une rencontre capitale contre l’Angleterre.

Les Bleues, versées dans la poule C, ont signé six essais, dont un doublé de leur demie de mêlée Laure Sansus, désignée “joueuse du match”, s’octroyant un point de bonus qui sera précieux dans la course au classement en vue des quarts de finale.

Gaëlle Mignot, l’entraîneur-adjoint des Françaises en charge de la mêlée et des attitudes au contact, avait prévenu vendredi: “On veut entrer dans la compétition de la meilleure des manières possibles”.

Sur le fond, mission accomplie donc pour les coéquipières de Céline Ferer, mais sur la forme il leur faudra hausser leur niveau de jeu face aux “Red Roses” anglaises, grandes favorites de la compétition: elles ont plus qu’impressionné en passant pas moins de 14 essais aux Fidjiennes (84-19).

Les Bleues ont pu s’appuyer sur leurs infatigables plaqueuses Madoussou Fall et Marjorie Mayans. Elles gagneraient à ajuster et régler quelques détails, notamment en conquête, dans les rucks, et à se lâcher plus afin de profiter du moindre espace.

“c’est une bonne prestation parce qu’on a gagné, mais je pense que le contenu n’est pas encore satisfaisant”, a ainsi réagi après le match Laure Sansus.

Dans un Eden Park à guichets fermés et sous un beau soleil, les Françaises ont marqué rapidement trois essais avant de marquer le pas.

Le premier, un essai de filou dès la deuxième minute de la rencontre, est signé Laure Sansus. Le deuxième est l’oeuvre de la centre Gabrielle Vernier (11e), omniprésente, à la suite d’un petit coup de pied de l’ouvreuse Caroline Drouin, impeccable. Enfin, le troisième est survenu sur une interception d’Emilie Boulard (17e).

Pour le premier capitanat de sa carrière, Céline Ferer a retenu “la grosse entame” des Françaises mais a déploré “des petites fautes de main”, le fait parfois d’être “un peu en dedans”. “La pression” sans doute, a-t-elle avancé.

Ainsi, alors que les Tricolores bénéficiaient d’une supériorité numérique après un carton jaune adressé à la troisième ligne des “Women Boks”, Sizophila Solontsi, à la 29e, elles n’ont pas réussi à concrétiser, enchaînant les erreurs et les approximations.

Ce temps faible côté français a perduré au retour des vestiaires, les Bleues concédant un essai signé de l’ailière sud-africaine Nomawethu Mabenge (50e).

Malgré un long moment passé dans le camp des Boks, les Bleues, par Laure Sansus à nouveau, ont dû attendre la 67e minute pour marquer leur quatrième essai, synonyme de bonus offensif, avant que Caroline Drouin, puis la septiste Joanna Grisez, pour sa première sélection, n’aggravent le score.

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2 days after Lopinot woman swept away – THERESA’S FOUND

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Undertakers arrive to remove the body of Theresa Lynch from the Arouca River. PHOTO BY ANGELO MARCELLE –

TWO DAYS of intense searches for Lopinot woman Theresa Lynch – who was swept away by floodwaters in the Surrey River – ended in sorrow and tears as he body was found on the eastern side of the Arouca River on Friday afternoon.

Lynch’s relative were inconsolable as they viewed her body and confirmed the identity to police. The 41-year-old woman of La Pastora Village, was attempting to cross the river in Surrey Village on Wednesday, with her brother William Ramlogan, to tend to crops on the other side of the river, when strong currents swept her away. Her brother tried in vain to rescue her.

Relatives, neighbours, members of the Fire Service’s Search and Rescue Unit, police and members of the Hunters Search and Rescue Team, embarked on searches of the Surrey River, the Arouca River and the Caroni River.

On Thursday, the search was suspended after police prevented the search parties from going to areas of the Caroni River near Oropune Gardens, because that area was cordoned off as police searched for gunmen who had earlier gunned down a man at Oropune Gardens.

At around midday on Friday, came news that a woman’s body was found lying among pieces of bamboo.Relatives later positively identified the body as being Lynch. Scores of residents gathered along the street to look on as police processes the scene.

Lynch’s body was found down a small track leading to the river where tall grasses were flattened by the high water levels caused by the heavy thunder showers between Wednesday and Thursday. A resident, whose house is not too far from the river bank where the body was found, told Newsday she remembered Lynch who sold vegetables to her.

SORROW: A relative of Theresa Lynch is helped by a man out of the area where Lynch’s body was found on Friday on the banks of the Arouca River. PHOTO BY ANGELO MARCELLE –

“I remember that lady. She was nice, this is really sad. She used to come around here in her produce van and sell plenty good things. I feel it was she who saved her brother when she realised they were getting into difficulties,” said the woman who asked not to be named.

A police report stated that Lynch, 41, of was found around 12.37 pm on the eastern bank of the Arouca River, about 500 feet south of La Florissante D’Abadie basketball courts. Lynch’s body was removed to the Forensic Sciences Centre in St James for an autopsy.

Head of the Hunters Search and Rescue Team, Captain Vallence Rambharat said, “We feel distraught at this point in time as it has been confirmed that Theresa’s body was found.

“We feel strongly that not enough attention has been made to weather advisories and bulletins by the Met Office and other agencies.

“We also feel strongly that farmers who have to tend to their gardens everyday should be conscious of the weather especially where you have rivers and water courses that could turn into a raging torrent in a short space of time. Additionally, when it comes to saving lives we have to always be aware of our safety at all times and not take chances.” Lopinot/Bon Air West MP Marvin Gonzales told Newsday, “It is with great grief and sadness that I mourn the death of Theresa Lynch, a dear constituent from the beautiful village of La Pastora.

“I offer my prayers and support to her family and pray that they are comforted during this difficult moment of sadness and loss. The family is a praying family and I know they have the resilience and strength to make it through this.”

Members of Lynch’s family who were at the scene, were too distraught to speak.

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Murdered UWI clerk laid to rest

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PRAYERS: Mourners deep in prayer at the funeral for murdered UWI clerk Marissa Edwards on Friday at the family’s John Elie Road Extension, Freeport home. PHOTO BY MARVIN HAMILTON –

Several mourners paid glowing tributes to slain administrative clerk Marissa Diane Edwards at her funeral on Friday.

They did not directly mention the now-dead suspect responsible for their pain and grief.

Scores of mourners gathered at the family’s home at John Elie Road Extension in Freeport.

Edwards’s sister Elizabeth Edwards and another relative, Tishelle Tobias,gave the eulogy.

Elizabeth referred to her sister as a beautiful and gracious young woman, saying she had a gentleness that was so hard to find in today’s world.

“She saw the best in everything and everyone. Not a second goes by that we do not think of her.

“We are forever grateful for the treasured memories that we have that would never be forgotten and the blessings to our lives that she was. It breaks our heart that she was taken away so unexpectedly.”

COMFORTED: Dodridge Edwards is consoled during the funeral for his daughter Marissa Edwards on Friday. PHOTO BY MARVIN HAMILTON –

Edwards, 39, the mother of one, worked as an administrative clerk at the Department of Paraclinical Sciences at UWI’s Faculty of Medicine in St Augustine.

She was last seen alive on September 18, when she left home with her boyfriend Simeon Roopchand, 51.

A week later, on September 26, members of the NGO Hunters Search and Rescue Team found her decomposing body in a drain in Waterloo. An autopsy found Edwards died of blunt force trauma and strangulation with a copper wire, which was around her neck.

Her boyfriend’s body was found in a forested area in Tabaquite on September 23. He is believed to have died by suicide.

Elizabeth told mourners her sister was educated, had many certificates in several fields, and was ambitious.

“She loved agriculture. She had a bachelor’s degree in computer science. She began her second bachelor’s degree in law to become a lawyer, and was very gifted with her hands. She was talented in floral arrangements, art, sewing, cake-making and decorating.

“From a young age, she was active in God’s kingdom. She unapologetically stood up for what she believed was right, regardless of whose toes she stepped on or whose ego was bruised.”

Mourners paying their finals respects Marissa Edwards’s coffin during the funeral on Friday. PHOTO BY MARVIN HAMILTON –

Bishop Ramkesh Ramdial of the Christian Village Faith Centre at Calcutta No 1 in Freeport officiated at the funeral.

He said whenever problems or things are overwhelming people’s lives and it seems they are losing hope, they become troubled. Ramdial added that some people do not know what to do or who to turn to when this happens.

“Some people turn to the bottle, some turn to a friend, some turn to a piece of rope, some turn to all different types of things,” Ramdial said. “The world is in a place of sadness and chaos. We are not only hurting, but the whole world is crying.”

He urged people to turn to “Dr Jesus,” saying the world has no hope without Jesus Christ.

Several relatives and mourners spoke and offered condolences.

Edwards’s sister Joanna Edwards thanked everyone who has supported the family, saying family is everything.

Evangelist June Lightbourne also spoke on behalf of the family. She praised the NGO Search and Rescue Team, led by Vallence Rambharat, for searching for Edwards free of charge. The team members who attended the funeral got a standing ovation from mourners.

Lightbourne said the team worked day and night, although they did not know Edwards or the family personally. She commended them for taking time from their families to look for other people’s families.

Professor of microbiology Patrick Akpaka of UWI’s Faculty of Medical Sciences paid tribute and shared fond memories of working with Edwards.

Akpaka described her as a dedicated worker, adding that the department and the university are deeply saddened and hurt.

“We do not accept how she left us,” he said.

Edwards’s closed coffin was taken to the St Mary’s public cemetery in Freeport for burial.

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Ha?ti jongle avec les catastrophes

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Apr?s avoir accumul? quatre ann?es cons?cutives de croissance n?gative, Ha?ti se retrouve ? l’aube d’une nouvelle ann?e fiscale qui ne s’annonce pas rose. Au troisi?me jour de l’ouverture de l’exercice fiscal 2022-2023, Ha?ti ne montre aucun signe probant d’un possible redressement de la situation socio?conomique chaotique du pays sinon qu’une serie de catastrophes en cascade annonc?e dans un pays ou 60% de la population vivent au seuil de la pauvret?.

Pour ce lundi 3 octobre 2022 qui devrait correspondre ? l’ouverture officielle de l’ann?e scolaire, la vie en Ha?ti est en mode pause compl?te. M?me l’Administration publique fait profil tr?s bas dans une conjoncture rythm?e depuis quelques semaines par la violence des gangs arm?s les revendications populaires v?h?mentes et l’intransigeance des autorit?s ?tatiques tr?s propices ? une crise humanitaire multiforme qui commence ? prendre forme dans le pays.

Quand on pense ? la menace de l’ins?curit? alimentaire qui touche environ la moiti? de la population (5.6 millions d’Ha?tiens, selon les chiffres vulgaris?s par les Nations-Unies et a l’inaction du gouvernement vis-?-vis de ce ph?nom?ne, on se demande si la col?re de la population n’est pas justifi?e. Plus encore, l’inflation grandissante (30,5% en juillet dernier), qui est en grande partie responsable de l’ins?curit? alimentaire en cassant le pouvoir d’achat des familles, loin d’?tre apprivois?e s’est vu alimenter par le gouvernement qui a d?cid? le 11 septembre dernier d’ajuster fortement a la hausse les prix du carburants. Ainsi des ajustements de 128%, de 90% et de 89% ? la hausse ont ?t? respectivement op?r?s sur la gazoline, sur le diesel et sur le k?ros?ne.

M?me quand elle n’est pas encore en application, cette mesure du gouvernement a mis le pays en ?bullition depuis le 12 septembre. Trois semaines plus tard, le pays est totalement ? l’arr?t. Le gros commerce est quasiment au repos avec les routes bloqu?es et la menaces des manifestants pyromanes. Les stations d’essence ne fonctionnent plus ; la terminale de Varreux qui stocke 70% du gaz disponible au pays est bloqu?e. Le carburant est devenu plus rare que l’or dans les pompes. On comprend alors qu’il soit vendu ? prix d’or sur le march? informel.

En m?me temps, des entreprises ayant pignon sur rue dans l’aire m?tropolitaine de Port-au-Prince annoncent tour ? tour la cessation de leur service ? cause de la raret? de carburant. L’industrie textile subit actuellement non seulement le contre-coup de la rarete du carburant mais aussi des exc?s de col?re des manifestants qui ont saccag? des entreprises du secteur dont le CODEVI. Les banques commerciales et certains supermarch?s ont r?duit de moiti? leur horaire de fonctionnement ; des stations de radio se sont effac?es tout simplement[g1] du cadran, des h?pitaux annoncent leur incapacit? ? desservir la population comme l’accoutum?e ? cause du gaz plus que jamais rare sur le march? formel.

Que pouvait-on esp?rer d’une telle mesure que la hausse de l’inflation et de l’ins?curit? alimentaire, deux ?p?es de Damocl?s qui menacent la survie des couches d?favoris?es. Personne ne saurait minimiser le poids de la subvention du gaz dans le d?ficit budg?taire, cependant l’ent?tement des autorit?s ? vouloir syst?matiquement actionner le bouton du carburant au lieu de chercher ailleurs les moyens d renflouer le tr?sor public est symptomatique de la paresse de l’Etat qui juge qu’il est plus ais? de punir le peuple plut?t que de faire payer ceux qui ont des dettes envers l’Etat.

L’un des plus grand fl?aux qui menacent la survie de la nation est l’ins?curit? produite par les gangs arm?s. D?capitalisation, ch?mage, migration externe, sous-investissement, criminalit?, famine, d?croissance, etc, ce sont les effets nocifs de l’ins?curit? que l’Etat ne s’est jamais engag? ? combattre. Le grand Sud qui regroupe les d?partements du Sud, de la Grand ‘Anse, du Sud-Est et des Nippes sans oublier la r?gion des Palmes, est la grande victime des gangs arm?s depuis le blocage de la Route nationale #2 par ces derniers en juin 2021.

Quand la faim s’invite aux catastrophes

17 mois plus tard, le grand Sud a du mal ? commercer ou ? s’approvisionner en produits alimentaires, en produits p?troliers et d’autres produits de premi?re n?cessit?. La raret? des produits p?troliers est plus durement ressentie dans le grand Sud que dans les autres r?gions du pays. Le gallon de gazoline est vendu actuellement ? environ 5 000 gourdes dans la ville des Cayes. Cela explique aussi le fait que m?me dans les publications mensuelles de l’Institut ha?tien de statistique et d’informatique (IHSI), le rench?rissement de la vie est toujours plus prononc? dans le Sud qu’ailleurs.

Compte tenu de la d?t?rioration affirm?e des conditions de la vie de la population en Ha?ti, la faim s’est invit?e au menu de nos catastrophes. En moins d’un an, environ un million d’Ha?tiens se sont ajout?s a la liste des personnes concern?es par l’ins?curit? alimentaire. De 4.6 millions de gens d?nombr?s en d?but d’ann?e, le chiffre est pass? ? 5.6 millions selon les donn?es des responsables des Nations Unies. Les centres p?nitentiaires du pays sont les premiers th??tres des sc?nes de mort par la faim.

En effet dans un rapport relatif aux conditions d’incarc?rations dans les prisons ha?tiennes des publi? vers la fin du mois de juin, le Conseil de S?curit? des Nations-Unies a fait de 54 prisonniers morts de malnutritions dans les centres carc?raux ha?tiens de janvier ? avril 2022. Un autre rapport de l’Office de protection du Citoyen (OPC) a montr? que 23 aout au 27 septembre 2022 plus d’une douzaine de prisonniers 12 autres prisonniers sont morts de faim ou de mauvaise conditions d’incarc?ration dans les prisons civiles des Cayes, de St-Marc, de Fort- Libert?, de J?r?mie, de Petit-Goave et de Jacmel.

Point n’est besoin de dresser une liste des cons?quences nocives de l’annonce de la mont?e du gaz comme la raret? de l’eau, la disponibilit? des services de s?curit? et de sant?. Les barricades enflamm?es ne laissent pas trop de place aux urgences. Dans une telle conjoncture, les personnes malades, les femmes enceintes, les personnes ?g?es se retrouvent en danger.

A la rue Chochotte, dans le quartier de Babiole, des locataires d’un immeuble sont r?veill?s le lundi 26 septembre par l’odeur pestilentielle qui ?chappait d’un appartement voisin. Apres moult conciliabules et h?sitations, ils ont d?cid? de frapper ? la porte ou ?manait l’odeur. Comme personne ne r?pondait, on a appel? la Police qui est venue d?foncer la porte. Au grand d?sarroi des voisins, le septuag?naire assez sympathique qui a habitait seul l’appartement avait succombe plus de trois jours auparavant des suites d’un malaise. La situation anarchique du pays n’a pas permis aux voisins pr?occup?s de trop se soucier de son absence.

One ne peut ne pas souligner le retour fracassant du chol?ra dans ha?tienne. Environ huit morts de cette deuxi?me vague sont d?j? comptabilis?s dans les registres du minist?re de la Sante publique. Nous fallait-il un fl?au de plus ? Sommes-nous assez arm?s pour faire face ? cette catastrophe sanitaire qui s’annonce. D’aucuns disent que la pr?sence du chol?ra dans l’actualit? est une caution que nous sommes en train de payer ? la nature pour nous avoir ?pargn? de Fiona.

Cyprien L: Gary

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D?c?s du journaliste Hancy Mars

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Publi? le 2022-10-07 lenouvelliste.com

Le journaliste Hancy Mars, ancien de la salle de r?daction du Nouvelliste, est d?c?d? ce vendredi 7 octobre, rapportent des proches du d?funt au journal.

Hancy Mars, qui travaillait ? la T?l?vision nationale d’Ha?ti, souffrait depuis plusieurs mois d’un cancer du rein. Il est d?c?d? aux Etats-Unis o? il luttait contre la maladie.

Hancy Mars ?tait coordonnateur g?n?ral de l’Association ha?tienne des journalistes ?conomiques et du d?veloppement durable (AHJEDD).

Auteur

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Marie Nelta F?thi?re ?lue pr?sidente de la Cour des Comptes

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Marie Nelta F?thi?re a ?t? ?lue pr?sidente et Pierre Volmar D?mesyeux vice-pr?sident de la Cour sup?rieure des comptes et du contentieux administratif (CSCCA), vendredi 7 octobre 2022, a appris Le Nouvelliste. << Mme F?thi?re avait d?j? ?t? ?lue pr?sidente de la Cour pour l’exercice 2015-2016. Elle est ?lue ce matin ? 6 voix pour et 3 abstentions. Aucun autre conseiller ne s’?tait port? candidat en face d’elle.

Le conseil de la CSCCA est compos? de 10 conseillers. Depuis le d?c?s de M?hu Milius Gar?on, le conseil est r?duit ? 9. Le mandat de ces 9 conseillers arrivera ? terme en avril 2024. Ils avaient ?t? investis d’un mandat de dix en 2014 >>, a confi? notre source.

<>, a indiqu? notre source.

La pr?sidente de la CSCCA, interrog?e par Le Nouvelliste, a indiqu? revenir ? la pr?sidence de la CSCCA dans une <

> et est <>, avec la collaboration de de ses coll?gues conseillers et employ?s de la Cour <>.

<>, a indiqu? Marie Neltha F?thi?re.

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En attendant la force sp?cialis?e arm?e

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Quinze mois exactement apr?s l’assassinat du pr?sident Jovenel Mo?se, le 7 juillet 2021, le dernier premier ministre d?sign? par lui a re?u autorisation du Conseil des ministres pour solliciter le d?ploiement en Ha?ti d’une force sp?cialis?e arm?e pour aider ? r?soudre la crise humanitaire auquel le pays fait face.

Cette d?cision prise sous forme de r?solution ? l’unanimit? du Conseil des ministres et publi?e dans le journal officiel Le Moniteur est une premi?re dans l’histoire nationale.

Comme il y a un si?cle, les Ha?tiens, les opposants et les responsables politiques ont trouver la recette pour amener l’?tranger ? venir d?partager les camps en conflit. Hier, le choix ?tait entre les cacos et l’occupation, aujourd’hui elle est entre la terreur des gangs et l’intervention de la force sp?cialis?e arm?e.

Le 7 juillet 2021, quand des mercenaires colombiens se sont introduits dans le domicile du chef de l’Etat pour le tuer, selon les documents de police disponibles, le pays faisait d?j? face ? de graves probl?mes de s?curit? et le pays ?tait d?j? embourb? dans une crise politique.

Quinze mois plus tard, la crise politique ha?tienne est intacte et comme les probl?mes de s?curit?, elle s’est envenim?e.

Le pr?sident Jovenel Mo?se avait pens? avoir recours ? une force sp?cialis?e arm?e pour l’aider contre les gangs.

Son dernier premier ministre, Claude Joseph, avait sollicit? la venue de forces arm?es ?trang?res pour aider ? r?soudre les probl?mes de s?curit? apr?s l’assassinat du pr?sident Mo?se.

Voil? que le premier ministre Ariel Henry, qui avait d?savou? Claude Joseph sur ce dossier, doit, toute honte bue, d?marcher le d?ploiement d’une force sp?cialis?e arm?e dans le pays.

En quinze mois, la situation s?curitaire s’est d?t?rior?e gravement. La crise politique est ? son paroxysme et la crise humanitaire ?volue vers le pire tout comme la situation ?conomique.

Ces quinze derniers mois, ni les oppositions ni les membres du gouvernement ne se sont ?vertu?s ? chercher des solutions au premier probl?me des Ha?tiens : l’ins?curit?. Le chaos actuel est le fils de l’ins?curit? et les oublis de nos chefs et aspirants chefs nous conduisent ? la force sp?cialis?e arm?e.

Quinze mois depuis que le pr?sident a ?t? assassin?, quinze mois depuis que le pays tourne en rond.

La question aujourd’hui, alors que le gouvernement ha?tien doit qu?mander sans plan ni projet la venue d’une force sp?cialis?e arm?e, n’est pas de savoir si nous aurions pu ?viter au pays cette nouvelle aventure mais comment faire pour ?viter une nouvelle fois que cela se termine au d?savantage du pays.

Pour ne pas remonter ? 1915, on peut rappeler qu’en 1994 il existait une formation politique et un leadership autour de Jean Bertrand Aristide lors de l’intervention am?ricaine.

En 2004, les institutions ?taient encore debout et l’opposition solide quand d?barquaient les Am?ricains, les Canadiens et les Fran?ais.

En 2010, quand le pr?sident Barack Obama d?cida de d?p?cher en Ha?ti un contingent militaire apr?s le s?isme du 12 janvier, le gouvernement de Ren? Pr?val avait toute la l?galit? et la l?gitimit? pour traiter avec l’aide militaire.

Il en fut de m?me apr?s le cyclone Matthew, sous la pr?sidence de Jocelerme Privert et m?me apr?s le s?isme du 14 ao?t 2021 avec l’administration d’Ariel Henry. Il y avait des probl?mes, mais la repr?sentation nationale signifiait quelque chose.

Ce 7 octobre 2022, alors que la nation ignore qui viendra lui porter secours, le gouvernement ha?tien ne contr?le pas tout le territoire, la capitale se r?duit en peau de chagrin, la l?gitimit? et la l?galit? des dirigeants sont des plus fragiles. Les oppositions sont ? la d?rive entre aventurisme et immobilisme.

Sans boussole depuis des mois, le gouvernement Henry va tenter d’avaler un gros os et de vendre ? la population, ? la classe politique et aux gangs qu’il est encore la meilleure option pour corriger les catastrophes induites par sa gestion. Vendre cette marchandise sera une gageure.

L’avenir s’annonce difficile. Il y a tellement ? faire. Tellement de forces sur le terrain. Grandes sont les tentations de faire du pire le plus petit d?nominateur commun pour r?soudre toutes les crises.

Quinze mois exactement depuis l’assassinat du president Jovenel Mo?se, les crises qu’il a laiss? en chantier sont encore prosp?res.

Ce 7 octobre 2022, la reconnaissance de l’?chec de la gestion des derniers mois est act?e et la d?cision est prise de confier le sort du pays ? une force arm?e ?trang?re. Rien ne dit que c’est la solution ? tous nos probl?mes. Encore moins la bonne solution.

Pour toutes sortes de raisons, il n’y a jamais eu de projets internes post-intervention ou post-occupation pour que de ces fl?trissures, dont nous sommes en grande partie les g?niteurs, naissent des arbres d’avenir.

Encore une fois, en 2022, <>.

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Weekend cleanup: THA wants full normality by Monday

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A Community Emergency Response Team (CERT) vehicle parked to block vehicles from attempting to drive through a flooded part of the road to Turtle Beach on Wednesday. – David Reid

VARIOUS arms of the Division of Infrastructure, Quarries and Urban Development (DIQUD) are working in collaboration with the Tobago Emergency Management Agency (TEMA) to get Tobago back to normalcy by Monday.

At a media conference on Friday, Chief Secretary Farley Augustine said DIQUD staff and machinery have been deployed and will be working over the weekend. Secretary of Infrastructure Trevor James is in charge of the major works while assistant secretary Joel Sampson is handling the minor clean-up operations.

Augustine said almost 70 people from ten families have had to be relocated owing to damage from tropical wave Invest #91L. These families are from Delaford, Cradley, Rockly Vale, Les Coteaux, Golden Lane, Belle Garden, Bacolet, Castara and Mt Pleasant.

Augustine said what was concerning was the inability of public infrastructure to withstand the effects of the tropical wave.

“We are seeing public infrastructure that really and truly cannot stand up. All we had was heavy rainfall over a two-day period. We did have some high winds about two nights ago, but by majority all we had was heavy rainfall.

“If we are seeing these challenges, I am very concerned about the state of our public and private infrastructure. The last thing I would ever want happen to Tobago is a repeat of hurricane Flora.

Flora, packing winds of 193 km/h (120mph), struck Tobago as a category 3 hurricane on September 30, 1963. According to data from www.hurricanescience.org, Flora’s fury led to 6,250 of the 7,500 houses on the island being damaged or destroyed. It also claimed 24 lives.

“As an island, we have to take a look at how we build, our infrastructure, our maintenance regimens, how we prepare ourselves for these kind of eventualities.”

Augustine also urged Tobagonians to be mindful about how and where they build their homes. He said he is cognisant that many people do not have land titles and are unable to get loans from the bank, so they construct based on limited resources, but he said if certain standards are not met then disaster would inevitably follow.

Augustine said the primary objective of the disaster response was to deal with the landslides on the major roads, to allow traffic to flow. He said the agencies will now move into the various communities to help those affected on a smaller scale.

He said there have been 326 reports to TEMA since the tropical wave hit on Wednesday – 50 per cent landslides, 16 per cent flooding.

Mason Hall/Moriah electoral representative Ian Pollard was on the ground in his electoral district on Friday assessing the damage and the clean-up operations.

“The roads are clear in this electoral district,” he said. “We’re glad for the sunshine. DIQUD did wonderful work removing slush and debris.”

James also gave an update on the work of his division.

“The Northside road is passable…Essentially, Highlands is clear. The guys there are waiting on some sunlight to remove the slush. Culloden Bay, an equipment broke down and is awaiting some parts….We are working through the weekend….We have a crew on Plymouth Bay… All in all, we are on the ball.”

Augustine said 90 per cent of schools have been hit by the bad weather, with the sewer systems of some also affected.

He praised the work of TEMA, which he rated as “the best disaster management agency in the Caribbean.”

He said the THA was able to make timely decisions because TEMA was better prepared and better informed.

He said even though predictions are not precise, “we choose to err on the side of caution.”

TEMA director Allan Stewart said the response of the agency to natural disasters comes at a cost.

“We have been in contact with ODPM, who is also looking at our needs list. I did point out earlier, within the last 28 days, this is the second type of activation that we have had to be undertaking – it taxes on the resources that we have.

“So in order to keep in a state of readiness for the next possible event, we have to restock.”

Stewart said this is important as the hurricane season is not over.

While unable to put a figure on the damage caused by the tropical wave, Augustine said the resources allocated to alleviate the damage will affect Tobago’s development plan.

“No Secretary of Finance ever wants to take a second look at the programme of work for a fiscal year because of a natural disaster, but this becomes a priority.”

Augustine said a THA sub-committee to assist in the social response has been formed. “We don’t want any tardiness when it comes to responding to the families in need,” he said.

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