Rijke landen doen geldpot klimaatfinanciering op slot
Black Immigrant Daily News
door Wilfred Leeuwin Er moet harder gewerkt worden om klimaatdoelen te halen PARAMARIBO — Onder druk van aangepaste voorwaarden van
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Rishi Sunak, ex-ministre des Finances britannique, est le premier à avoir dépassé vendredi soir le seuil des 100 parrainages requis afin de concourir pour prendre la tête du parti conservateur après la…
Rishi Sunak, ex-ministre des Finances britannique, est le premier à avoir dépassé vendredi soir le seuil des 100 parrainages requis afin de concourir pour prendre la tête du parti conservateur après la démission de la Première ministre Liz Truss.
“Fier d’être le centième député tory à soutenir #Ready4Rishi”, a tweeté le député Tobias Ellwood, un de ses soutiens.
Au lendemain de la démission de la Première ministre, après seulement 44 jours au pouvoir, trois noms ont émergé pour cette campagne éclair au sein du parti de droite: l’actuelle ministre des Relations avec le Parlement Penny Mordaunt, Rishi Sunak, qui avait perdu début septembre face à Liz Truss, et l’ex-Premier ministre Boris Johnson.
Selon le site Guido Fawkes, qui suit de très près les soubresauts de la course, Rishi Sunak avait vendredi soir 103 parrainages, devant Boris Johnson (68) et Penny Mordaunt (25). Ni M. Sunak ni M. Johnson n’ont pour l’heure confirmé leur candidature.
Ensuite, les députés devront soit se mettre d’accord sur deux noms que les 170.000 adhérents du parti devront départager par un vote en ligne d’ici au 28 octobre, soit sur le nom d’une seule personne qui entrerait alors immédiatement à Downing Street.
Si d’ici à lundi en début d’après-midi M. Johnson et Mme Mordaunt ne réussissaient pas à atteindre le seuil des 100 parrainages requis (sur 357 députés), Rishi Sunak deviendrait automatiquement chef du parti et Premier ministre.
Penny Mordaunt a été la première vendredi à officialiser sa candidature pour succéder à Liz Truss, lançant la course à Downing Street pour laquelle se renforce l’hypothèse, il y a peu inimaginable, d’un retour de Boris Johnson.
“Je suis candidate pour être la cheffe du parti conservateur et votre Première ministre, pour unir notre pays, réaliser nos engagements et remporter les prochaines élections législatives”, a écrit sur Twitter Penny Mordaunt, 49 ans, mettant en avant “l’intérêt national”.
Ancienne ministre de la Défense charismatique, elle avait créé la surprise l’été dernier en arrivant en troisième position dans la campagne qui avait suivi la démission deBoris Johnson.
Dans cette semaine politique rocambolesque, ce dernier semble se positionner: trois mois après sa démission due à une succession de scandales, sa candidature prend corps –et suscite une opposition féroce chez certains– à mesure que les députés dévoilent qui ils soutiendront.
Boris Johnson est en vacances dans les Caraïbes, mais selon un allié au Parlement, James Duddridge, “il va prendre l’avion pour revenir”. “Il a dit: +Nous allons le faire, je suis prêt+”, selon ce député qui a échangé avec lui sur WhatsApp.
Populaire et respecté auprès de la base du parti, le ministre de la Défense Ben Wallace a indiqué qu’il penchait pour son ancien patron. “Il reste encore plusieurs jours, nous verrons ce qui se passe”, a-t-il tempéré.
Selon un sondage YouGov, 52% des Britanniques seraient mécontents de voir “Boris” revenir.
Seuls 27% souhaitent ce retour, mais une majorité parmi les électeurs conservateurs de 2019, signe de sa popularité persistante dans l’électorat de la majorité malgré les scandales qui ont entraîné sa chute.
Les proches de Boris Johnson mettent en avant la légitimité qu’il tire de son triomphe électoral fin 2019.
Ses opposants rappellent la succession de mensonges et d’affaires embarrassantes des trois ans de son mandat, qui ont laissé des traces profondes. Certains députés conservateurs avertissent même qu’ils démissionneront si Johnson revient.
Vu par le camp Johnson comme un traître qui a précipité sa chute, Rishi Sunak était le candidat préféré des députés conservateurs l’été dernier, avant d’être finalement écarté au profit deLiz Trusspar les adhérents.
“Je suis pour Rishi”, s’est exclamée face à l’AFP Elaine Stones, une agriculture de 58 ans vivant dans la circonscription de Rishi Sunak, Richmondshire dans le nord de l’Angleterre. “Il aurait dû l’avoir au premier coup. Il est honnête et fiable”.
Le futur chef du gouvernement sera le cinquième depuis le référendum du Brexit en 2016 et le troisième en deux mois.
Il ou elle prendra la tête d’un parti miné par les divisions face à une opposition travailliste au plus haut dans les sondages, mais surtout d’un pays plongé dans une grave crise du coût de la vie.
L’inflation dépasse les 10%, au plus haut depuis 40 ans, dans un contexte social tendu au Royaume-Uni où les grèves se sont multipliées ces derniers mois, notamment dans les transports.
Confortée par des sondages qui lui donnent une avance inédite depuis un quart de siècle, l’opposition n’a de cesse de réclamer la tenue immédiate d’élections anticipées, sans attendre deux ans comme prévu. Mais la majorité, après 12 ans de pouvoir, s’y refuse et cherche un successeur en interne.
Arrivée le 6 septembre à son poste, Liz Truss reste à la tête du gouvernement en attendant la nomination de son successeur. Troisième femme à avoir dirigé le gouvernement britannique, elle a battu des records d’impopularité et décroche le titre peu enviable de Première ministre la plus éphémère que le Royaume-Uni ait jamais connu.
spe-ctx/bd/dth
Longévité des Premiers ministres britanniques ayant exercé au XXème siècle
• Cléa PÉCULIER
La ministre conservatrice Penny Mordaunt à la sortie du 10 Downing Street après une réunion du gouvernement, le 11 octobre 2022 à Londres
• ISABEL INFANTES
Royaume-Uni: réactions à Londres après la démission de Liz Truss
• Joséphine GRUWE-COURT
La Une du quotidien britannique The Sun sur un possible retour de Boris Johnson dans la course à Downing Street, le 21 octobre 2022 à Londres
• Daniel LEAL
Graphique montrant l’inflation au Royaume-Uni depuis 1989. Les prix ont marqué une hausse de 10,1% en septembre
• Sabrina BLANCHARD
L’ancien ministre britannique des Finances Rishi Sunak, possible prétendant au poste de Premier ministre, le 31 août 2022 à Londres
• Susannah Ireland
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Le gouvernement d’extrême droite formé par la Première ministre Giorgia Meloni, première femme nommée à ce poste en Italie, doit prêter serment samedi matin devant…
Le gouvernement d’extrême droite formé par la Première ministre Giorgia Meloni, première femme nommée à ce poste en Italie, doit prêter serment samedi matin devant le président de la République.
La cérémonie doit se tenir à partir de 08H00 GMT sous les ors du palais du Quirinal devant le chef de l’Etat, Sergio Mattarella.
La passation de pouvoir entre Mario Draghi et Giorgia Meloni se tiendra dimanche à 08H30 GMT au palais Chigi, siège du gouvernement, et sera suivie du premier conseil des ministres.
Mme Meloni, qui avec son parti post-fasciste Fratelli d’Italia a remporté une victoire historique aux législatives italiennes du 25 septembre, a été officiellement nommée cheffe du gouvernement vendredi.
La Romaine de 45 ans a réussi à “dédiaboliser” son parti pour accéder au pouvoir exactement un siècle après le dictateur fasciste Benito Mussolini, dont elle fut une admiratrice.
Elle dispose avec ses partenaires de coalition, le dirigeant populiste de la Ligue antimigrants Matteo Salvini et le chef déclinant de Forza Italia Silvio Berlusconi, de la majorité absolue tant à la Chambre des députés qu’au Sénat.
La liste des ministres – 24 au total, dont six femmes – reflète son désir de rassurer les partenaires de Rome, inquiets face à l’arrivée au pouvoir en Italie, pays fondateur de l’Europe, du chef de gouvernement le plus à droite et le plus eurosceptique depuis 1946.
La nomination aux Affaires étrangères, avec le titre de vice-Premier ministre, de l’ex-président du Parlement européen Antonio Tajani, membre de Forza Italia, a ainsi été aussitôt saluée sur Twitter par le président du Parti populaire européen, l’Allemand Manfred Weber, comme “une garantie d’une Italie pro-européenne et atlantiste”.
Autre gage à Bruxelles, c’est Giancarlo Giorgetti, un représentant de l’aile modérée de la Ligue, déjà ministre dans le gouvernement sortant de Mario Draghi, qui hérite du portefeuille crucial de l’Economie.
Quant à Matteo Salvini, il est également nommé vice-Premier ministre, mais doit se contenter du portefeuille des Infrastructures et Transports alors qu’il convoitait celui plus prestigieux de l’Intérieur, qui échoit à un technocrate.
Au moment où la troisième économie de la zone euro affronte, comme ses voisins, une situation économique difficile due à la crise énergétique et à l’inflation, la tâche de Mme Meloni s’annonce ardue, d’autant qu’elle devra veiller à l’unité de sa coalition qui montre déjà des fissures.
MM. Salvini et Berlusconi renâclent à accepter l’autorité de Giorgia Meloni, dont le parti a remporté 26% des voix aux élections, contre seulement 8% pour Forza Italia et 9% pour la Ligue.
Les médias se sont fait l’écho des multiples passes d’armes entre les trois dirigeants sur la répartition des postes au Parlement et au sein du gouvernement.
Elle-même atlantiste et favorable au soutien à l’Ukraine face à la Russie, Mme Meloni a dû affronter cette semaine les propos polémiques de M. Berlusconi, qui a affirmé avoir “renoué” avec Vladimir Poutine et imputé à Kiev la responsabilité de la guerre.
Des déclarations du plus mauvais effet qui ont obligé Mme Meloni à rectifier le tir mercredi en affirmant que l’Italie fait “pleinement partie et la tête haute” de l’Europe et de l’Otan.
Oratrice de talent, cette chrétienne conservatrice hostile aux droits LGBT+ ayant pour devise “Dieu, patrie, famille” a cependant promis de ne pas toucher à la loi autorisant l’avortement.
Son gouvernement devra avant tout se concentrer sur les nombreux défis, essentiellement économiques, qui l’attendent.
L’inflation dans la péninsule a augmenté en septembre de 8,9% sur un an et l’Italie risque d’entrer en récession technique l’an prochain, au côté de l’Allemagne.
Les marges de manœuvre de Rome sont en outre limitées par une dette colossale représentant 150% du produit intérieur brut (PIB), le ratio le plus élevé de la zone euro après la Grèce.
Eurosceptique notoire, Mme Meloni a renoncé à militer pour une sortie de l’euro, mais elle a promis de défendre davantage les intérêts de son pays à Bruxelles. Et ce alors que la croissance dépend de près de 200 milliards d’euros de subventions et de prêts accordés par l’Union européenne dans le cadre de son fonds de relance post-pandémie.
glr-cmk/emp/cn
Giorgia Meloni, leader de Fratelli d’Italia, nommée Première ministre, à Rome le 21 octobre 2022
• Francesco AMMENDOLA
Le président italien Sergio Mattarella et Giorgia Meloni, leader de Fratelli d’Italia, nommée Première ministre, à Rome le 21 octobre 2022
• Paolo GIANDOTTI
Montage photos de Giorgia Meloni, du parti Fratelli d’Italia, et de ses partenaires de coalition Matteo Salvini (g), chef de la Ligue, et Silvio Berlusconi, chef de Forza Italia
• Miguel MEDINA
Antonio Tajani, nouveau ministre italien des Affaires étrangères, à Strasbourg (France), le 3 juillet 2019
• FREDERICK FLORIN
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“J’ai failli me noyer.” C’est immergé dans une piscine de Washington qu’Aiden Reed, 10 ans, confie l’air de rien qu’il a failli perdre la vie dans un bassin similaire…
“J’ai failli me noyer.” C’est immergé dans une piscine de Washington qu’Aiden Reed, 10 ans, confie l’air de rien qu’il a failli perdre la vie dans un bassin similaire avant d’être sauvé par un maître-nageur.
Cet enfant afro-américain, bonnet de bain enfoncé sur la tête, est parvenu à surmonter ce traumatisme pour participer aux cours de natation dispensés gratuitement par Swim Up, une association de la capitale américaine, aux élèves d’une école d’un quartier défavorisé.
Sur neuf apprentis-nageurs cet après-midi d’octobre, huit sont afro-américains, un groupe particulièrement à risque: aux Etats-Unis, le taux de noyade des enfants noirs âgés de 5 à 14 ans est environ 3 fois plus élevé que celui des enfants blancs, selon les autorités sanitaires.
En cause, en premier lieu, le fait que 64% des enfants noirs ne savent peu ou pas nager, contre 40% des blancs, indique la fédération américaine de natation.
En août 2010, une tragédie vient brutalement illustrer l’urgence de la situation: lors d’un barbecue entre amis près de la Red River, à Shreveport en Louisiane, DeKendrix Warner, un adolescent noir qui était entré dans le cours d’eau, perd pied.
Il ne sait pas nager. Pas plus que ses six amis et cousins qui se rafraîchissaient avec lui dans le courant et tentent immédiatement de lui porter secours. Pas plus, non plus, que les adultes qui assistent, impuissants, à la scène depuis la rive.
DeKendrix survit, sauvé par un passant, mais les six autres adolescents, âgés de 13 à 18 ans, meurent tous noyés.
Aux Etats-Unis, il n’existe pas d’obligation fédérale d’enseigner la natation à l’école, mais si autant d’enfants noirs n’apprennent pas à nager, c’est avant tout pour des raisons historiques liées à l’esclavage et aux inégalités raciales, selon des militants et historiens.
“Les esclaves pouvaient échapper à la servitude en sachant nager”, note Ebony Rosemond, la directrice de Black Kids Swim, une organisation promouvant la natation auprès des jeunes afro-américains.
“C’était donc dans l’intérêt de ceux qui possédaient des humains de s’assurer que ces derniers n’aient pas cette compétence, ou qu’ils aient trop peur de sauter dans l’eau.”
Après l’abolition de l’esclavage, en 1865, les mouvements suprémacistes blancs terrorisent les Afro-Américains, “les lynchent, les brutalisent et pendent leurs corps près des plans d’eau”, poursuit Ebony Rosemond.
Avec le mouvement des droits civiques vient la déségrégation. Les villes se voient ordonner par la justice d’ouvrir leurs piscines aux personnes noires. Mais beaucoup, surtout dans le Sud, choisiront de les fermer à la place, explique l’historien Jeff Wiltse, de l’université du Montana, auteur d’une “Histoire sociale des piscines en Amérique”.
Ces discriminations raciales “ont fortement restreint l’accès des Noirs américains” aux bassins et “la natation n’a donc jamais intégré leur culture récréative et sportive, et n’a pas été transmise de génération en génération”, résume-t-il dans un article de 2014.
Aujourd’hui, de nombreuses initiatives tentent de corriger le tir, à l’instar de Swim Up.
Mary Bergstrom, sa co-fondatrice, distribue cet après-midi bonnets et shorts de bain aux enfants. “Glissez-vous dans l’eau”, leur recommande-t-elle. L’un s’y jette et sursaute: “C’est froid!”
Pour dompter les flots, les enfants apprennent d’abord à flotter sur le dos, puis battent des pieds pour avancer, bras tendus, guidés par l’avocate de 36 ans, ancienne nageuse de haut niveau.
Aiden, qui revient pourtant de loin, est très à l’aise. Un de ses copains, distrait, oublie de respirer et Mary lui tapote gentiment la tête pour qu’il prenne une goulée d’air.
“On aura bientôt appris à nager ou à surmonter leur peur de l’eau à une centaine d’enfants”, se félicite-t-elle. “Notre objectif à terme est de montrer que c’est possible, qu’on peut faire entrer (la natation) dans les écoles et sans frais pour les familles.”
Non loin de là se trouve l’université Howard, la seule université historiquement noire des Etats-Unis dotée d’une équipe de natation de compétition, dont les nageurs donnent parfois des cours aux jeunes de Swim Up.
Le 1er octobre, c’est sous un tonnerre d’applaudissements qu’ils pénètrent dans leur antre du Burr Gymnasium pour y affronter l’équipe rivale de Georgetown. Quelque 1.200 personnes assistent à cet événement conçu par leur entraîneur, Nick Askew, pour améliorer la visibilité des athlètes noirs dans ce sport.
“Qu’on puisse créer une expérience inédite pour les fans, y ajouter des performances et des plongeons incroyables afin d’être compétitifs, est l’une des choses (…) qui encourageront les gens à toucher l’eau, à apprendre à nager”, explique Nick Askew à l’AFP.
Georgetown finira par s’imposer de peu, mais la mission est accomplie: les Bisons d’Howard ont tenu leur rang et tordu le cou aux préjugés.
“On voulait faire parler de nous, être une sorte de symbole pour les autres nageurs noirs et leur dire: vous pouvez le faire, même si le monde entier vous regarde peut-être de haut et essaie peut-être de vous rabaisser, vous pouvez être un nageur noir”, explique Niles Rankin, l’un des participants, 21 ans.
vgr/seb/mlb
La cofondatrice de Swim Up DC, Mary Bergstrom, donne une leçon de natation le 12 octobre 2022
• Agnes BUN
L’entraîneur de l’équipe de natation de l’université Howard, Nicholas Askew, à Washington, le 1er octobre 2022
• Agnes BUN
Compétition entre les équipes de natation des universités Howard et Georgetown, à Washington le 1er octobre 2022
• Agnes BUN
Une athlète de l’université Howard s’apprête à plonger, le 1er octobre 2022 à Washington
• Agnes BUN
Un enfant afro-américain participe à une leçon de natation de l’association Swim Up, à Washington, le 12 octobre 2022
• Agnes BUN
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Jamaicans have been fingered as the main perpetrators in a turf war which has erupted on the streets of Lauderhill in Florida, USA, resulting in the deaths of two men and the hospitalisation of a man who is believed to be a close associate of dancehall artiste Squash.
According to 7 News in Miami, two persons were shot and killed in a shootout.
The police reported that a barrage of bullets were fired in the Blueberry Hill Condos off Northwest 56th Avenue near Oakland Park Boulevard, just after 9pm on Wednesday.
A nearby doorbell camera picked up almost 40 seconds of continuous gunfire.
According to the police, when the shootout ended, the two men were surrounded by dozens of spent shells and guns nearby.
Witnesses also told investigators that a third man took off from the scene. The third man is reportedly a known individual, and he was admitted to HCA Florida Woodmont Hospital in Tamarac, in critical condition.
The police have not confirmed if they believe the person was involved in the shooting.
Police have not released the identity of the two men who died, but social media has named the deceased men as ‘Muscles’ or ‘Muscleman’ and ‘Fordlawd’.
Detectives have not yet released the relationship between the two men who were found dead at the scene.
The Lauderhill police are investigating the shooting.
Person with information on the shooting have been asked to call Broward County Crime Stoppers at 954-493-TIPS, with anonymity and rewards of up to US$5,000 in the mix.
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Update: Police identify body found at Factory Road Loop Barbados
One man dead, another injured after drive-by shooting in St Michael
Successive victories move Paradise Masters up the OBL-FIT standings
Chief Education Officer encourages teachers to invest in themselves
Update: Man found dead with chop wounds identified
Update: Police identify body found at Factory Road
Silver screen educators: 10 teachers from movies and their quotes
Sales jobs available in Trinidad, Guyana, Barbados & St Lucia
Fitch says ‘stable outlook’ for Barbados’ economy
30 days to go: The 2022 FIFA World Cup -Team Senegal
Dear Uncle Marz Charity aiming to help 400 persons this Christmas
7 hrs ago – Updated
NEWYou can now listen to Loop News articles!
[Update: 6:02 pm]
The deceased has been identified as Matthew Robert, 33 years, of Silver Hill, Christ Church.
[Original post: Friday, October 21 at 4:36 pm]
Body found at Factory Road, police investigating
Police are on the scene at Factory Road, Charnocks, Christ Church, where the body of an adult male was discovered.
Lawmen at the District B Police Station received the report about the body around 10:52 am today, Friday, October 21.
Investigations are ongoing.
The $1 coin was the first glow-in-the-dark circulation coin to be issued in the Caribbean
Between $80,000 and $100,000 is needed to help less fortunate families this Christmas
[Update: 6:02 pm]
The deceased has been identified as Matthew Robert, 33 years, of Silver Hill, Christ Church.
[Original post: Friday, October 21 at 4:36 pm]
Body
“You don’t have to be afraid. Just come home.”
Meet Grenada’s newest Centenarian
Katrina Alleyne, founder of Katrina Endometriosis Fund Association continues to spread awareness on women’s health issues
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Update: 7pm, October 21
Police have released the identity of the latest unidentified body found in Christ Church.
The deceased has been identified as Devitus Roosevelt Sylvester Junior Chase. The 28-year-old resided at Cane Vale New Road, Christ Church.
[Original story: 4:49 pm, October 21]
The lifeless body of a man was discovered today in Welches, Christ Church, near Oistins, with several lacerations.
According to police public relations, acting inspector Rodney Inniss, the man was found with “what appears to be chops about his body”.
The Police Operations Control Room received the report today, October 21, around 3:20 pm and officers from the Southern Division at Oistins responded.
Lawmen are currently on the scene. Investigations are ongoing.
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Le gouvernement d’extrême droite formé par la Première ministre Giorgia Meloni, première femme nommée à ce poste en Italie, doit prêter serment samedi matin devant…
Le gouvernement d’extrême droite formé par la Première ministre Giorgia Meloni, première femme nommée à ce poste en Italie, doit prêter serment samedi matin devant le président de la République.
La cérémonie doit se tenir à partir de 08H00 GMT sous les ors du palais du Quirinal devant le chef de l’Etat, Sergio Mattarella.
La passation de pouvoir entre Mario Draghi et Giorgia Meloni se tiendra dimanche à 08H30 GMT au palais Chigi, siège du gouvernement, et sera suivie du premier conseil des ministres.
Mme Meloni, qui avec son parti post-fasciste Fratelli d’Italia a remporté une victoire historique aux législatives italiennes du 25 septembre, a été officiellement nommée cheffe du gouvernement vendredi.
La Romaine de 45 ans a réussi à “dédiaboliser” son parti pour accéder au pouvoir exactement un siècle après le dictateur fasciste Benito Mussolini, dont elle fut une admiratrice.
Elle dispose avec ses partenaires de coalition, le dirigeant populiste de la Ligue antimigrants Matteo Salvini et le chef déclinant de Forza Italia Silvio Berlusconi, de la majorité absolue tant à la Chambre des députés qu’au Sénat.
La liste des ministres – 24 au total, dont six femmes – reflète son désir de rassurer les partenaires de Rome, inquiets face à l’arrivée au pouvoir en Italie, pays fondateur de l’Europe, du chef de gouvernement le plus à droite et le plus eurosceptique depuis 1946.
La nomination aux Affaires étrangères, avec le titre de vice-Premier ministre, de l’ex-président du Parlement européen Antonio Tajani, membre de Forza Italia, a ainsi été aussitôt saluée sur Twitter par le président du Parti populaire européen, l’Allemand Manfred Weber, comme “une garantie d’une Italie pro-européenne et atlantiste”.
Autre gage à Bruxelles, c’est Giancarlo Giorgetti, un représentant de l’aile modérée de la Ligue, déjà ministre dans le gouvernement sortant de Mario Draghi, qui hérite du portefeuille crucial de l’Economie.
Quant à Matteo Salvini, il est également nommé vice-Premier ministre, mais doit se contenter du portefeuille des Infrastructures et Transports alors qu’il convoitait celui plus prestigieux de l’Intérieur, qui échoit à un technocrate.
Au moment où la troisième économie de la zone euro affronte, comme ses voisins, une situation économique difficile due à la crise énergétique et à l’inflation, la tâche de Mme Meloni s’annonce ardue, d’autant qu’elle devra veiller à l’unité de sa coalition qui montre déjà des fissures.
MM. Salvini et Berlusconi renâclent à accepter l’autorité de Giorgia Meloni, dont le parti a remporté 26% des voix aux élections, contre seulement 8% pour Forza Italia et 9% pour la Ligue.
Les médias se sont fait l’écho des multiples passes d’armes entre les trois dirigeants sur la répartition des postes au Parlement et au sein du gouvernement.
Elle-même atlantiste et favorable au soutien à l’Ukraine face à la Russie, Mme Meloni a dû affronter cette semaine les propos polémiques de M. Berlusconi, qui a affirmé avoir “renoué” avec Vladimir Poutine et imputé à Kiev la responsabilité de la guerre.
Des déclarations du plus mauvais effet qui ont obligé Mme Meloni à rectifier le tir mercredi en affirmant que l’Italie fait “pleinement partie et la tête haute” de l’Europe et de l’Otan.
Oratrice de talent, cette chrétienne conservatrice hostile aux droits LGBT+ ayant pour devise “Dieu, patrie, famille” a cependant promis de ne pas toucher à la loi autorisant l’avortement.
Son gouvernement devra avant tout se concentrer sur les nombreux défis, essentiellement économiques, qui l’attendent.
L’inflation dans la péninsule a augmenté en septembre de 8,9% sur un an et l’Italie risque d’entrer en récession technique l’an prochain, au côté de l’Allemagne.
Les marges de manœuvre de Rome sont en outre limitées par une dette colossale représentant 150% du produit intérieur brut (PIB), le ratio le plus élevé de la zone euro après la Grèce.
Eurosceptique notoire, Mme Meloni a renoncé à militer pour une sortie de l’euro, mais elle a promis de défendre davantage les intérêts de son pays à Bruxelles. Et ce alors que la croissance dépend de près de 200 milliards d’euros de subventions et de prêts accordés par l’Union européenne dans le cadre de son fonds de relance post-pandémie.
glr-cmk/emp/cn
Giorgia Meloni, leader de Fratelli d’Italia, nommée Première ministre, à Rome le 21 octobre 2022
• Francesco AMMENDOLA
Le président italien Sergio Mattarella et Giorgia Meloni, leader de Fratelli d’Italia, nommée Première ministre, à Rome le 21 octobre 2022
• Paolo GIANDOTTI
Montage photos de Giorgia Meloni, du parti Fratelli d’Italia, et de ses partenaires de coalition Matteo Salvini (g), chef de la Ligue, et Silvio Berlusconi, chef de Forza Italia
• Miguel MEDINA
Antonio Tajani, nouveau ministre italien des Affaires étrangères, à Strasbourg (France), le 3 juillet 2019
• FREDERICK FLORIN
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“J’ai failli me noyer.” C’est immergé dans une piscine de Washington qu’Aiden Reed, 10 ans, confie l’air de rien qu’il a failli perdre la vie dans un bassin similaire…
“J’ai failli me noyer.” C’est immergé dans une piscine de Washington qu’Aiden Reed, 10 ans, confie l’air de rien qu’il a failli perdre la vie dans un bassin similaire avant d’être sauvé par un maître-nageur.
Cet enfant afro-américain, bonnet de bain enfoncé sur la tête, est parvenu à surmonter ce traumatisme pour participer aux cours de natation dispensés gratuitement par Swim Up, une association de la capitale américaine, aux élèves d’une école d’un quartier défavorisé.
Sur neuf apprentis-nageurs cet après-midi d’octobre, huit sont afro-américains, un groupe particulièrement à risque: aux Etats-Unis, le taux de noyade des enfants noirs âgés de 5 à 14 ans est environ 3 fois plus élevé que celui des enfants blancs, selon les autorités sanitaires.
En cause, en premier lieu, le fait que 64% des enfants noirs ne savent peu ou pas nager, contre 40% des blancs, indique la fédération américaine de natation.
En août 2010, une tragédie vient brutalement illustrer l’urgence de la situation: lors d’un barbecue entre amis près de la Red River, à Shreveport en Louisiane, DeKendrix Warner, un adolescent noir qui était entré dans le cours d’eau, perd pied.
Il ne sait pas nager. Pas plus que ses six amis et cousins qui se rafraîchissaient avec lui dans le courant et tentent immédiatement de lui porter secours. Pas plus, non plus, que les adultes qui assistent, impuissants, à la scène depuis la rive.
DeKendrix survit, sauvé par un passant, mais les six autres adolescents, âgés de 13 à 18 ans, meurent tous noyés.
Aux Etats-Unis, il n’existe pas d’obligation fédérale d’enseigner la natation à l’école, mais si autant d’enfants noirs n’apprennent pas à nager, c’est avant tout pour des raisons historiques liées à l’esclavage et aux inégalités raciales, selon des militants et historiens.
“Les esclaves pouvaient échapper à la servitude en sachant nager”, note Ebony Rosemond, la directrice de Black Kids Swim, une organisation promouvant la natation auprès des jeunes afro-américains.
“C’était donc dans l’intérêt de ceux qui possédaient des humains de s’assurer que ces derniers n’aient pas cette compétence, ou qu’ils aient trop peur de sauter dans l’eau.”
Après l’abolition de l’esclavage, en 1865, les mouvements suprémacistes blancs terrorisent les Afro-Américains, “les lynchent, les brutalisent et pendent leurs corps près des plans d’eau”, poursuit Ebony Rosemond.
Avec le mouvement des droits civiques vient la déségrégation. Les villes se voient ordonner par la justice d’ouvrir leurs piscines aux personnes noires. Mais beaucoup, surtout dans le Sud, choisiront de les fermer à la place, explique l’historien Jeff Wiltse, de l’université du Montana, auteur d’une “Histoire sociale des piscines en Amérique”.
Ces discriminations raciales “ont fortement restreint l’accès des Noirs américains” aux bassins et “la natation n’a donc jamais intégré leur culture récréative et sportive, et n’a pas été transmise de génération en génération”, résume-t-il dans un article de 2014.
Aujourd’hui, de nombreuses initiatives tentent de corriger le tir, à l’instar de Swim Up.
Mary Bergstrom, sa co-fondatrice, distribue cet après-midi bonnets et shorts de bain aux enfants. “Glissez-vous dans l’eau”, leur recommande-t-elle. L’un s’y jette et sursaute: “C’est froid!”
Pour dompter les flots, les enfants apprennent d’abord à flotter sur le dos, puis battent des pieds pour avancer, bras tendus, guidés par l’avocate de 36 ans, ancienne nageuse de haut niveau.
Aiden, qui revient pourtant de loin, est très à l’aise. Un de ses copains, distrait, oublie de respirer et Mary lui tapote gentiment la tête pour qu’il prenne une goulée d’air.
“On aura bientôt appris à nager ou à surmonter leur peur de l’eau à une centaine d’enfants”, se félicite-t-elle. “Notre objectif à terme est de montrer que c’est possible, qu’on peut faire entrer (la natation) dans les écoles et sans frais pour les familles.”
Non loin de là se trouve l’université Howard, la seule université historiquement noire des Etats-Unis dotée d’une équipe de natation de compétition, dont les nageurs donnent parfois des cours aux jeunes de Swim Up.
Le 1er octobre, c’est sous un tonnerre d’applaudissements qu’ils pénètrent dans leur antre du Burr Gymnasium pour y affronter l’équipe rivale de Georgetown. Quelque 1.200 personnes assistent à cet événement conçu par leur entraîneur, Nick Askew, pour améliorer la visibilité des athlètes noirs dans ce sport.
“Qu’on puisse créer une expérience inédite pour les fans, y ajouter des performances et des plongeons incroyables afin d’être compétitifs, est l’une des choses (…) qui encourageront les gens à toucher l’eau, à apprendre à nager”, explique Nick Askew à l’AFP.
Georgetown finira par s’imposer de peu, mais la mission est accomplie: les Bisons d’Howard ont tenu leur rang et tordu le cou aux préjugés.
“On voulait faire parler de nous, être une sorte de symbole pour les autres nageurs noirs et leur dire: vous pouvez le faire, même si le monde entier vous regarde peut-être de haut et essaie peut-être de vous rabaisser, vous pouvez être un nageur noir”, explique Niles Rankin, l’un des participants, 21 ans.
vgr/seb/mlb
La cofondatrice de Swim Up DC, Mary Bergstrom, donne une leçon de natation le 12 octobre 2022
• Agnes BUN
L’entraîneur de l’équipe de natation de l’université Howard, Nicholas Askew, à Washington, le 1er octobre 2022
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Compétition entre les équipes de natation des universités Howard et Georgetown, à Washington le 1er octobre 2022
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Une athlète de l’université Howard s’apprête à plonger, le 1er octobre 2022 à Washington
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Un enfant afro-américain participe à une leçon de natation de l’association Swim Up, à Washington, le 12 octobre 2022
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Black Immigrant Daily News
Cons?quence de la p?nurie de carburant ou de la guerre des gangs qui bloquent le port Lafito, les h?pitaux publics, priv?s et mixtes s’enfoncent dans une crise multiforme dont l’issue est incertaine. Au plus grand centre hospitalier du pays, commun?ment appel? h?pital g?n?ral, la p?nurie d’oxyg?ne se profile ? l’horizon, patients et professionnels de sant?, craignant le pire, croisent les doigts.
“Cela fait deux semaines depuis que le fournisseur des bonbonnes d’oxyg?ne ? l’h?pital de l’Universit? d’Etat d’Ha?ti annonce la couleur. Du mat?riel n?cessaire ? la production des bonbonnes d’oxyg?ne est bloqu? au port Lafito, bient?t il sera dans l’impossibilit? de fournir de l’oxyg?ne ? l’h?pital”, confirme le Dr Jessie Colimon Adrien, dans une entrevue accord?e au quotidien Le Nouvelliste.
Elle pr?cise que pour l’instant, l’H?pital g?n?ral dispose d’une quantit? d’oxyg?ne pour les patients. ” La situation dans une semaine ou deux sera beaucoup plus difficile selon le fournisseur de l’HUEH.”
Une source contact?e ? l’h?pital universitaire La Paix admet que la situation n’est pas trop diff?rente. “Nous avons les m?mes inqui?tudes, quand les bonbonnes d’oxyg?ne ne sont pas disponibles, ce sont les h?pitaux publics qui en paient le prix fort”, soutient cette source ? l’HUP.
Pour les h?pitaux de la fondation Saint-Luc et de Saint-Damien, la p?nurie d’oxyg?ne risque de devenir une cons?quence de la p?nurie de carburant. “Nous avons nos propres concentrateurs d’oxyg?ne dans nos h?pitaux, quand nous sommes de grande consommation, comme c’?tait le cas avec la Covid-19, nous faisons la r?quisition de bonbonnes d’oxyg?ne, mais en temps normal, l’oxyg?ne n’est pas un probl?me”, explique le directeur m?dical de l’h?pital Saint-Damien, le Dr Marc Edson Augustin, avant d’ajouter qu’avec la p?nurie de carburant qui persiste dans les h?pitaux de l’organisation Nos Petits fr?res et soeurs, ils risquent de ne plus pouvoir faire fonctionner les concentrateurs d’oxyg?ne.
“Aujourd’hui, les heures de fonctionnement de nos concentrateurs d’oxyg?ne sont r?duites ? cause de la p?nurie de carburant”, dit-il.
Pour les h?pitaux priv?s de la cha?ne de soins DASH, la situation est plus calme. “Toutes nos structures utilisent l’?nergie solaire, c’est pourquoi la p?nurie de carburant ne nous affecte pas directement. Nos concentrateurs d’oxyg?ne fonctionnent normalement, m?me notre salle d’op?ration est sous la d?pendance de l’?nergie solaire”, informe le Dr Ronald Laroche.
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