Cyrielle Chatelain, une écologiste encore peu connue, “sérieuse” et au service du “collectif”

Black Immigrant Daily News

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Inconnue du grand public, Cyrielle Chatelain, qui a défendu la motion de censure de la Nupes à l’Assemblée contre le projet de budget 2023, est considérée comme une écologiste “sérieuse”, “consensuelle” et qui joue “collectif”, loin des “buzz” à…

Inconnue du grand public, Cyrielle Chatelain, qui a défendu la motion de censure de la Nupes à l’Assemblée contre le projet de budget 2023, est considérée comme une écologiste “sérieuse”, “consensuelle” et qui joue “collectif”, loin des “buzz” à la Sandrine Rousseau, selon plusieurs de ses pairs.

La députée de l’Isère, 35 ans, qui a battu au second tour des législatives le sortant Jean-Charles Colas-Roy (Renaissance), a été mise en lumière dès le mois de juin en devenant la co-présidente du groupe EELV à l’Assemblée avec Julien Bayou.

“Sur cette coprésidence, je suis sans doute presque aussi connue que Julien Bayou, mais pas encore”, ironisait-elle alors.

Son baptême du feu a eu lieu en septembre: son binôme, confronté à des accusations de violences psychologiques sur son ex-compagne, a dû quitter présidences du groupe et du parti, la laissant seule à la tête des 23 députés écologistes.

Face au duel fratricide entre Julien Bayou et sa collègue Sandrine Rousseau – à l’origine de la publicité des accusations -, Cyrielle Chatelain a réussi à maintenir l’union entre les députés.

“Elle a fait un vrai travail de rassemblement”, s’enthousiasme la députée et porte-parole du groupe Sabrina Sebaihi, quand le député EELV Charles Fournier salue pour sa part une gestion de “l’affaire Bayou avec justesse”.

Pour M. Fournier, Cyrielle Chatelain “peut devenir une personnalité si elle continue à incarner le collectif, car c’est aussi ce qui fait sa force”. 

Encore faudrait-il que cette mère de deux filles qui vit dans la banlieue grenobloise parvienne à acquérir une notoriété auprès du grand public, aujourd’hui quasi nulle, et déjouer les légendaires batailles d’égo propres aux cadres d’EELV.

La cheffe de file des députés écologistes a déjà prévenu: elle entend parler seulement “des enjeux écolos” et plus de l’affaire Bayou-Rousseau.

L’ancienne assistante parlementaire du député écologiste du Doubs Éric Alauzet n’entend pas non plus se prononcer sur le congrès de décembre qui doit désigner une successeur à Julien Bayou: “Je ne signerai aucune des motions, mon rôle est que le parti et le groupe s’articulent bien”, explique celle qui avait soutenu Eric Piolle à la dernière primaire écologiste.

“Apaisement et dialogue”

Engagée à 18 ans au sein du mouvement écologiste, l’élue iséroise, qui a travaillé dans une fédération d’associations d’insertion par le logement puis à la métropole de Grenoble, préfère “le fond à la forme”, note Sabrina Sebaihi, qui salue “la qualité de son travail” et sa “rigueur” sur les dossiers.

Et “elle sait travailler au consensus, il n’y a pas de brutalité dans sa manière de faire de la politique”, juge-t-elle, en observant qu’”elle n’est pas dans le buzz”.

Un élu socialiste confirme: c’est “une personnalité nouvelle qui arrive à trouver sa place sans écraser les autres”. Elle est “un peu l’anti-Sandrine Rousseau. Une personnalité pas forcément très connue, mais qui incarne une forme de sérieux et de dialogue”, poursuit la même.

Le choix de cette députée pour être la première oratrice de la motion de censure de la Nupes apparait comme une évidence pour certains: “C’est une personne utile au fonctionnement collectif”, estime le député PS Arthur Delaporte, qui salue son souci d’”apaisement et le dialogue”.

Cette titulaire d’un master en entrepreneuriat en économie sociale et solidaire, qui défend “des propositions radicales” face à l’urgence climatique, juge le gouvernement “obtus et fermé”: “Vous mentez”, a-t-elle attaqué d’emblée face à la Première ministre, lors de son discours pour défendre la motion de censure, en dénonçant “l’inaction climatique du gouvernement” et sa “stratégie de fin de règne”.

La députée, qui défend farouchement l’alliance de gauche Nupes – son suppléant aux législatives est un élu LFI -, ne cache pas non plus ses désaccords, comme par exemple quand LFI souhaitait voter une motion de censure déposée par les troupes lepénistes: “Nous, nous ne voterons jamais de motions de censure venues du RN”, affirme-t-elle.

caz-adc/pab/npk

Cyrielle Chatelain quitte l’hôtel Matignon à Paris le 21 septembre 2022
• Thomas SAMSON

Cyrielle Chatelain tient un point presse à l’hôtel Matignon à Paris le 21 septembre 2022
• Thomas SAMSON

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Motion de censure Nupes: malaise chez certains après l’apport des voix RN

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“Flibusterie”, “opportunisme” et simple poursuite d’une stratégie de “dédiabolisation”: le vote lundi par les députés RN de la motion de censure présentée par l’alliance de…

“Flibusterie”, “opportunisme” et simple poursuite d’une stratégie de “dédiabolisation”: le vote lundi par les députés RN de la motion de censure présentée par l’alliance de gauche a pu gêner certains.

Les élus d’extrême droite ont pris par surprise la Nupes en joignant leurs voix aux leurs pour tenter de faire tomber le gouvernement – une décision justifiée par leur patronne Marine Le Pen par “l’arrogance” de l’exécutif. 

La cheffe de file des députés écologistes Cyrielle Chatelain, qui a défendu devant l’Assemblée nationale la motion de la Nupes contre le gouvernement, s’est dite pas dupe de ce “coup” devant la presse. “Ça fait sans doute partie de leur stratégie de dédiabolisation”, qui “est alimentée malheureusement par ceux qui nous renvoient sans cesse dos à dos”, a-t-elle déclaré.

La Première ministre Élisabeth Borne comme la majorité ont épinglé une “alliance contre-nature” des oppositions. Et les députés de gauche ont dû justifier ce vote conjoint.

Selon le communiste Sébastien Jumel, il s’agit de la part du RN d’”une posture politicienne”. “Chez moi, on dit chacun son pain, chacun son hareng. Dans le débat, le FN (sic) s’est opposé au rétablissement de l’ISF, dans le débat pouvoir d’achat, le FN a refusé l’augmentation du Smic. Sur un certain nombre de sujets, il n’est pas la peine de passer du temps pour montrer nos divergences”, a relevé l’élu de Seine-Maritime.

“Que le RN vote notre motion ne me dérange pas. Une motion, c’est pas pour la beauté des nuages”, mais bien pour renverser le gouvernement, a affirmé le président de la commission des Finances, Eric Coquerel (LFI). Et sans la réunion des voix des oppositions, ce renversement n’est pas possible.

“Je suis heureuse que le RN soit obligé de reconnaître le leadership de la Nupes dans ce moment institutionnel où le Parlement se dresse contre l’abus de pouvoir du 49.3. LR devrait faire pareil”, a taclé l’insoumise Raquel Guarrido sur Twitter. Des députés LFI avaient un temps envisagé de voter la motion RN.

“La droite sauve le gouvernement de justesse. Il manquait 50 voix pour éjecter le gouvernement. Nous sommes prêts pour la relève”, s’est félicité Jean-Luc Mélenchon.

La patronne du groupe RN, Marine Le Pen, a aussi visé les LR: “le gouvernement peut remercier Les Républicains, qui n’ont pas souhaité voter (les motions). Ils n’ont même pas jugé bon d’en déposer une. Désormais, il n’y a plus aucun doute: ils sont les alliés d’Emmanuel Macron”.

Des élus de la majorité ont propagé le mot dièse #RNUPES. Et certains ont moqué des motions qui “s’entrelacent et s’embrassent”. “Ils sont tout près de vouloir former un gouvernement de fusion nationale”, a raillé Robin Reda (Renaissance). “Le populisme n’a qu’un parti, celui de la haine et de la révolte”, a lancé Eric Poulliat du même groupe politique sur le réseau social.

L’écologiste Benjamin Lucas n’a pas manqué de rétorquer que “la macronie oublie bien vite et avec une malhonnêteté intellectuelle d’une rare ampleur le barrage républicain qui l’a conduite et reconduite au pouvoir”.

Trois écologistes n’ont pas pris part au scrutin sur la motion, Sébastien Peytavie et Jean-Claude Raux, qui ont tous les deux expliqué qu’ils souhaitaient la voter mais qu’un problème était survenu dans leur délégation de vote, ainsi que Jérémie Iordanoff, qui “refuse de mêler sa voix” à celles de l’extrême droite.

A l’inverse, un seul député LFI, Jean-Philippe Nilor, a voté la motion de censure présentée par le RN.

parl-reb/dlm

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Cyrielle Chatelain, une écologiste encore peu connue, “sérieuse” et au service du “collectif”

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Inconnue du grand public, Cyrielle Chatelain, qui a défendu la motion de censure de la Nupes à l’Assemblée contre le projet de budget 2023, est considérée comme une écologiste “sérieuse”, “consensuelle” et qui joue “collectif”, loin des “buzz” à…

Inconnue du grand public, Cyrielle Chatelain, qui a défendu la motion de censure de la Nupes à l’Assemblée contre le projet de budget 2023, est considérée comme une écologiste “sérieuse”, “consensuelle” et qui joue “collectif”, loin des “buzz” à la Sandrine Rousseau, selon plusieurs de ses pairs.

La députée de l’Isère, 35 ans, qui a battu au second tour des législatives le sortant Jean-Charles Colas-Roy (Renaissance), a été mise en lumière dès le mois de juin en devenant la co-présidente du groupe EELV à l’Assemblée avec Julien Bayou.

“Sur cette coprésidence, je suis sans doute presque aussi connue que Julien Bayou, mais pas encore”, ironisait-elle alors.

Son baptême du feu a eu lieu en septembre: son binôme, confronté à des accusations de violences psychologiques sur son ex-compagne, a dû quitter présidences du groupe et du parti, la laissant seule à la tête des 23 députés écologistes.

Face au duel fratricide entre Julien Bayou et sa collègue Sandrine Rousseau – à l’origine de la publicité des accusations -, Cyrielle Chatelain a réussi à maintenir l’union entre les députés.

“Elle a fait un vrai travail de rassemblement”, s’enthousiasme la députée et porte-parole du groupe Sabrina Sebaihi, quand le député EELV Charles Fournier salue pour sa part une gestion de “l’affaire Bayou avec justesse”.

Pour M. Fournier, Cyrielle Chatelain “peut devenir une personnalité si elle continue à incarner le collectif, car c’est aussi ce qui fait sa force”. 

Encore faudrait-il que cette mère de deux filles qui vit dans la banlieue grenobloise parvienne à acquérir une notoriété auprès du grand public, aujourd’hui quasi nulle, et déjouer les légendaires batailles d’égo propres aux cadres d’EELV.

La cheffe de file des députés écologistes a déjà prévenu: elle entend parler seulement “des enjeux écolos” et plus de l’affaire Bayou-Rousseau.

L’ancienne assistante parlementaire du député écologiste du Doubs Éric Alauzet n’entend pas non plus se prononcer sur le congrès de décembre qui doit désigner une successeur à Julien Bayou: “Je ne signerai aucune des motions, mon rôle est que le parti et le groupe s’articulent bien”, explique celle qui avait soutenu Eric Piolle à la dernière primaire écologiste.

“Apaisement et dialogue”

Engagée à 18 ans au sein du mouvement écologiste, l’élue iséroise, qui a travaillé dans une fédération d’associations d’insertion par le logement puis à la métropole de Grenoble, préfère “le fond à la forme”, note Sabrina Sebaihi, qui salue “la qualité de son travail” et sa “rigueur” sur les dossiers.

Et “elle sait travailler au consensus, il n’y a pas de brutalité dans sa manière de faire de la politique”, juge-t-elle, en observant qu’”elle n’est pas dans le buzz”.

Un élu socialiste confirme: c’est “une personnalité nouvelle qui arrive à trouver sa place sans écraser les autres”. Elle est “un peu l’anti-Sandrine Rousseau. Une personnalité pas forcément très connue, mais qui incarne une forme de sérieux et de dialogue”, poursuit la même.

Le choix de cette députée pour être la première oratrice de la motion de censure de la Nupes apparait comme une évidence pour certains: “C’est une personne utile au fonctionnement collectif”, estime le député PS Arthur Delaporte, qui salue son souci d’”apaisement et le dialogue”.

Cette titulaire d’un master en entrepreneuriat en économie sociale et solidaire, qui défend “des propositions radicales” face à l’urgence climatique, juge le gouvernement “obtus et fermé”: “Vous mentez”, a-t-elle attaqué d’emblée face à la Première ministre, lors de son discours pour défendre la motion de censure, en dénonçant “l’inaction climatique du gouvernement” et sa “stratégie de fin de règne”.

La députée, qui défend farouchement l’alliance de gauche Nupes – son suppléant aux législatives est un élu LFI -, ne cache pas non plus ses désaccords, comme par exemple quand LFI souhaitait voter une motion de censure déposée par les troupes lepénistes: “Nous, nous ne voterons jamais de motions de censure venues du RN”, affirme-t-elle.

caz-adc/pab/npk

Cyrielle Chatelain quitte l’hôtel Matignon à Paris le 21 septembre 2022
• Thomas SAMSON

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Motion de censure Nupes: malaise chez certains après l’apport des voix RN

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“Flibusterie”, “opportunisme” et simple poursuite d’une stratégie de “dédiabolisation”: le vote lundi par les députés RN de la motion de censure présentée par l’alliance de…

“Flibusterie”, “opportunisme” et simple poursuite d’une stratégie de “dédiabolisation”: le vote lundi par les députés RN de la motion de censure présentée par l’alliance de gauche a pu gêner certains.

Les élus d’extrême droite ont pris par surprise la Nupes en joignant leurs voix aux leurs pour tenter de faire tomber le gouvernement – une décision justifiée par leur patronne Marine Le Pen par “l’arrogance” de l’exécutif. 

La cheffe de file des députés écologistes Cyrielle Chatelain, qui a défendu devant l’Assemblée nationale la motion de la Nupes contre le gouvernement, s’est dite pas dupe de ce “coup” devant la presse. “Ça fait sans doute partie de leur stratégie de dédiabolisation”, qui “est alimentée malheureusement par ceux qui nous renvoient sans cesse dos à dos”, a-t-elle déclaré.

La Première ministre Élisabeth Borne comme la majorité ont épinglé une “alliance contre-nature” des oppositions. Et les députés de gauche ont dû justifier ce vote conjoint.

Selon le communiste Sébastien Jumel, il s’agit de la part du RN d’”une posture politicienne”. “Chez moi, on dit chacun son pain, chacun son hareng. Dans le débat, le FN (sic) s’est opposé au rétablissement de l’ISF, dans le débat pouvoir d’achat, le FN a refusé l’augmentation du Smic. Sur un certain nombre de sujets, il n’est pas la peine de passer du temps pour montrer nos divergences”, a relevé l’élu de Seine-Maritime.

“Que le RN vote notre motion ne me dérange pas. Une motion, c’est pas pour la beauté des nuages”, mais bien pour renverser le gouvernement, a affirmé le président de la commission des Finances, Eric Coquerel (LFI). Et sans la réunion des voix des oppositions, ce renversement n’est pas possible.

“Je suis heureuse que le RN soit obligé de reconnaître le leadership de la Nupes dans ce moment institutionnel où le Parlement se dresse contre l’abus de pouvoir du 49.3. LR devrait faire pareil”, a taclé l’insoumise Raquel Guarrido sur Twitter. Des députés LFI avaient un temps envisagé de voter la motion RN.

“La droite sauve le gouvernement de justesse. Il manquait 50 voix pour éjecter le gouvernement. Nous sommes prêts pour la relève”, s’est félicité Jean-Luc Mélenchon.

La patronne du groupe RN, Marine Le Pen, a aussi visé les LR: “le gouvernement peut remercier Les Républicains, qui n’ont pas souhaité voter (les motions). Ils n’ont même pas jugé bon d’en déposer une. Désormais, il n’y a plus aucun doute: ils sont les alliés d’Emmanuel Macron”.

Des élus de la majorité ont propagé le mot dièse #RNUPES. Et certains ont moqué des motions qui “s’entrelacent et s’embrassent”. “Ils sont tout près de vouloir former un gouvernement de fusion nationale”, a raillé Robin Reda (Renaissance). “Le populisme n’a qu’un parti, celui de la haine et de la révolte”, a lancé Eric Poulliat du même groupe politique sur le réseau social.

L’écologiste Benjamin Lucas n’a pas manqué de rétorquer que “la macronie oublie bien vite et avec une malhonnêteté intellectuelle d’une rare ampleur le barrage républicain qui l’a conduite et reconduite au pouvoir”.

Trois écologistes n’ont pas pris part au scrutin sur la motion, Sébastien Peytavie et Jean-Claude Raux, qui ont tous les deux expliqué qu’ils souhaitaient la voter mais qu’un problème était survenu dans leur délégation de vote, ainsi que Jérémie Iordanoff, qui “refuse de mêler sa voix” à celles de l’extrême droite.

A l’inverse, un seul député LFI, Jean-Philippe Nilor, a voté la motion de censure présentée par le RN.

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Tourism minister says tackling crime is everybody’s responsibility Loop Jamaica

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Tourism Minister Edmund Bartlett has declared that tackling issues relative to crime and violence in Jamaica is not only responsibility of the Government, but rather, the responsibility of every citizen.

Bartlett made the point while lamenting that the scourge of lawlessness sweeping across the country has been making it difficult to successfully market the country.

“I really hate to say it, but I have to say it, because this confidence that we are seeing in business is being deeply undermined by the antisocial behaviour of our people,” said Bartlett while addressing the ground-breaking ceremony for The Vista Montego Bay complex in St James on Friday.

“It’s not an easy call for a tourism minister to market with these issues. It is not an easy call for an investment minister to bring investment with these issues,” the tourism minister admitted.

According to Bartlett, issues relative to anti-social behaviour, including crime, “are not foreign issues.

“… These are local issues generated by our people, and it is our responsibility, not one man’s responsibility, not an agency’s responsibility, not even a Government’s responsibility.

“It is the nation’s responsibility, it is our responsibility, brothers and sisters all, to stem this tide of lawlessness and insecurity, and crime and instability that is facing us,” Bartlett indicated.

While reiterating his call for every Jamaican to play his or her part in fighting crime, He said multi-million dollar investments will mean “nothing if we don’t deal with this issue”.

The new complex, which is valued at US$100 million, will not only feature resort-style residential rooms, but will also see the construction of commercial spaces on Montego Bay’s Hip Strip.

NewsAmericasNow.com

Rishi Sunak, UK’s next PM, faces major economic problems Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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Former Treasury chief Rishi Sunak is set to become Britain’s first prime minister of colour after being chosen Monday to lead a governing Conservative Party desperate for a safe pair of hands to guide the country through economic and political turbulence.

The challenges facing the UK’s third prime minister this year are enormous: He must try to shore up an economy sliding toward recession and reeling after his predecessor’s brief, a disastrous experiment in libertarian economics, while also attempting to unite a demoralized and divided party that trails far behind the opposition in opinion polls.

In his first public statement, Sunak said “the United Kingdom is a great country, but there is no doubt we face a profound economic challenge.”

“We now need stability and unity, and I will make it my utmost priority to bring our party and our country together,” said Sunak, who at 42 is Britain’s youngest prime minister in 200 years.

Sunak will be the first British prime minister with South Asian roots and its first Hindu leader — a milestone for a country with an extensive colonial past, and one that is still contested.

Elected party leader on the major Hindu festival of Diwali, Sunak takes over from Liz Truss, who quit last week after 45 tumultuous days in office. His only remaining rival, Penny Mordaunt, conceded and withdrew after failing to reach the nomination threshold of 100 Conservative lawmakers needed to stay in the race.

Sunak will now be asked by King Charles III to form a government and becomes the prime minister in a handover of power from Truss on Tuesday.

Victory is vindication for Sunak, who lost out to Truss in the Conservative election to replace former Prime Minister Boris Johnson over the summer when party members chose her tax-cutting boosterism over his warnings that inflation must be tamed.

Truss conceded last week that she could not deliver on her plans — but only after her attempts triggered market chaos and worsened inflation at a time when millions of Britons were already struggling with soaring borrowing costs and rising energy and food prices.

The party is now desperate for someone to right the ship after months of chaos — both during Truss’ short term and at the end of Johnson’s.

As finance minister, Sunak steered the economy through the coronavirus pandemic, winning praise for his financial support for laid-off workers and shuttered businesses.

He now faces the huge challenge of calming markets and trying to tame inflation at a time of weakened government finances, a worsening economic outlook and a wave of strikes. Treasury chief Jeremy Hunt, appointed by Truss 10 days ago, is due to make an emergency budget statement Oct. 31 — if Sunak keeps him in the job.

Britain also faces broader economic problems stemming from the pandemic, the war in Ukraine and the country’s exit from the European Union in 2020. Sunak was a firm supporter of Brexit.

Sunak was cheered wildly by Conservative lawmakers during a packed private meeting in Parliament minutes after he won the contest on Monday.

Former Cabinet minister Chris Grayling said Sunak had urged the party “to unite and fix the problems the country faces” and had got “a rapturous reception.”

Therese Coffey, who was Truss’ deputy prime minister, said the whole party should support Sunak now.

“We need to get behind him,” she said.

But Sunak still faces resentment from supporters of Johnson for quitting the government in July, a move that helped topple the then-leader. His background as an investment banker at Goldman Sachs and his wife’s vast wealth — she is the daughter of an Indian billionaire — also fuel a sense he is out of touch with the struggles of ordinary people.

He takes the reins after Truss’ proposal for aggressive tax cuts that would be paid for through government borrowing pummeled the value of the pound, drove up the cost of government borrowing and home mortgages, and forced emergency Bank of England intervention. Truss executed a series of U-turns and replaced her Treasury chief but faced rebellion from lawmakers in her party that obliterated her authority.

In the lightning-quick contest to replace her, Sunak’s position strengthened after Johnson dramatically quit the race on Sunday night, ending a short-lived, high-profile attempt to return to the prime minister’s job he was ousted from little more than three months ago amid ethics scandals.

The prospect of a return by Johnson had thrown the already divided Conservative Party into further turmoil. He led the party to a thumping election victory in 2019, but his premiership was clouded by scandals over money and ethics that eventually became too much for the party to bear.

He threw in the towel late Sunday despite insisting he was “well placed to deliver a Conservative victory” in the next national election.

The Conservative Party turmoil is fueling demands for a national election. Under Britain’s parliamentary system, there does not need to be one until the end of 2024, though the government has the power to call one sooner.

Currently, that looks unlikely. Opinion polls say an election would spell disaster for the Conservatives, with the left-of-centre Labour Party winning a large majority.

Tim Bale, professor of politics at Queen Mary University of London, said the Conservative Party is “not out of the woods yet” even after choosing Sunak.

“And certainly I think voters, while possibly they may give Rishi Sunak a little bit of a bounce, a little bit of credit for not being Liz Truss, are certainly out of love with the Conservative Party as a whole,” he said. “So I don’t expect this to make an enormous amount of difference to the opinion polls.”

By Jill Lawless Associated Press

Associated Press writer Danica Kirka contributed to this story.

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5 buildings, 1 vehicle damaged; 10 homeless after Berbice fires

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: INews Guyana
The fire at Corriverton

Firefighters in Berbice have been in full action following reports of five fires in the region.

Fires in both East and West Berbice have resulted in five buildings being damaged, two of which were completely destroyed.

Additionally, a car was also destroyed in one of the fires.

Divisional Fire Officer Clive McDonald says ten people are now homeless as a result of those fires.

One of the fires, he said started from a car which then spread onto a house at Number 50 Village, Corentyne, Region Six (East Berbice/Corentyne) on Monday morning.

That fire damaged two buildings.

At about 10:30h on Monday, the car which was parked under a building, suddenly burst into flames. It is still not clear what caused that fire. Nevertheless, the flames spread to the building which was owned by a US citizen and occupied by the owner of the car Enrique Hintzen and two others.

The fire quickly spread to a second building. However, the quick action by residents resulted in them being able to control the blaze.

The Corriverton Fire Service responded quickly and was able to put out the fire.

Meanwhile, at about 8:00h firefighters on the West Coast of Berbice, Region Five (Mahaica/Berbice) responded to a call of a fire at Number 8 Village.

Marcel Bobb, who lived there with three other family members, reported that his gas stove burst into flames.

According to McDonald, forensic fire investigators have revealed that the hose to the gas stove was leaking as a result of a rupture. He said the naked flames from the gas stove ignited the gases, causing the inferno.

Personnel from Onverwagt Fire Station responded but by the time they arrived on the scene the fire was already extinguished by occupants of the building.

McDonald is high in his praise for the community effort which he referred to as being swift and prompt.

Meanwhile, on Saturday, seven persons were left homeless when a fire at Corriverton, Region Six spread to two additional buildings at Goor Persaud Avenue.

Reports are that the fire started at the house owned by 23-year-old Stacy Johnson, a government part-time employee attached to Number 76 Health Centre.

Johnson and six other family members occupied the building.

Reports are that at about 13:00h a child was playing with a lighter and paper and during the playful experiment, the fire caught and other combustible material.

The fire quickly spread to the next building which was occupied by Beharazade Amin and two other family members.

Both buildings were completely destroyed.

When the fire service arrived on the scene, one of the buildings was ready gutted and another fully engulfed in flames.

With no water source available, the firefighters were forced to shuttle water in their supply tank which has a capacity of 400 gallons.

Additionally, the fire spread to a third building which is occupied by a couple. However, firefighters were able to prevent extensive damage to that building.

Reports are that after the fire was initially seen in the first building, people did not know what number to call to get a quick response fire department.

In the wake of this, McDonald said citizens can call the fire department on the following emergency numbers.

NewsAmericasNow.com

SLFS: Responses To Traumatic & Violent Incidents Seem Constant – St. Lucia Times News

Black Immigrant Daily News

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The Saint Lucia Fire Service (SLFS) has reported 86 responses for the weekend of October 21-24, observing that calls relating to violent and traumatic incidents seem constant.

“While total number of responses may be lower than other weekends, the number of responses to traumatic and violent incidents appears to be constant,” SLFS Communications Officer Stacy Joseph disclosed.

Joseph explained that “with very little time for mental recovery,” the fire department responded to eight motor vehicle incidents and two physical assaults.

There were also four shootings.

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They included one at Faux A Chaud, Castries, on Saturday in which sixteen-year-old Miguela Joseph succumbed.

The SLFS Communications Officer said the emergency crew responded to that incident at about 12:50 pm and found the teenager and police officers at the scene.

“A rapid assessment of the victim revealed that she sustained a penetrating wound to her head and was void of all vital signs,” the SLFS spokeswoman stated.

She explained that due to obvious signs of death, the responders left the scene in the care of the police.

Headline photo: Stock image – SLFS at scene of Rodney Bay accident

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NewsAmericasNow.com

MP Neil Rowe on rape charge out on $10,000 bail Loop Barbados

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Barbados News

St Michael North West Member of Parliament Neil Rowe has pleaded not guilty to rape.

The accused appeared in the Oistins Magistrate’s Court before 9:30 am, today, October 24, 2022.

He was granted bail in the sum of $10,000 with one surety.

There was no objection to bail, however, Magistrate Deidre McKenna gave one bail condition, that the accused stay away from the female complainant. She added, “You are not to message her via social media or otherwise.”

Rowe is represented by Attorney-at-law Roger Forde KC and Attorney Safiya Moore.

Wrapping up his remarks on first appearance for Rowe, who was supported in the courtroom by family, friends and the newly-elected CEO of the BLP Senator Patricia Parris, Attorney Forde lamented, “About 15 years ago I came in this court and represented this chap for rape and he got bail and whatever” and the complainant went away and two or three months later, he said, “she came back to my office” and said she felt scorned because he had another lover. So he told the court, “I’m just saying [this to show] how is easy to get charged with rape and come and tell me sorry.”

The case is adjourned until January 30, 2023.

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MP Neil Rowe on rape charge out on $10,000 bail Loop Barbados

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St Michael North West Member of Parliament Neil Rowe has pleaded not guilty to rape.

The accused appeared in the Oistins Magistrate’s Court before 9:30 am, today, October 24, 2022.

He was granted bail in the sum of $10,000 with one surety.

There was no objection to bail, however, Magistrate Deidre McKenna gave one bail condition, that the accused stay away from the female complainant. She added, “You are not to message her via social media or otherwise.”

Rowe is represented by Attorney-at-law Roger Forde KC and Attorney Safiya Moore.

Wrapping up his remarks on first appearance for Rowe, who was supported in the courtroom by family, friends and the newly-elected CEO of the BLP Senator Patricia Parris, Attorney Forde lamented, “About 15 years ago I came in this court and represented this chap for rape and he got bail and whatever” and the complainant went away and two or three months later, he said, “she came back to my office” and said she felt scorned because he had another lover. So he told the court, “I’m just saying [this to show] how is easy to get charged with rape and come and tell me sorry.”

The case is adjourned until January 30, 2023.

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