Parlementariërs op één lijn tegen ‘bet-hokjes’

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Tekst en beeld Ivan Cairo PARAMARIBO — “Laat de schade de baten niet overtreffen.” Zo waarschuwde VHP-assembleelid Cedric van Samson

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« C’était juste une blague ! » Guyaweb, site d’information et d’investigation en Guyane

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Rayan Jonas Akeem a de l’humour : « c’était juste une blague » a-t-il répété à l’audience de comparution immédiate mardi. Ce ressortissant guyanien, né le 5 janvier 1997 à Georgetown a cette explication pour sa tentative de vol avec violence sans incapacité. Il a tenté, le 21 octobre 2022, de prendre le téléphone portable de monsieur Ateya Shhadi, sous la menace d’un couteau. Il avait été condamné le 11 octobre 2019 pour des fais similaires à 10 mois d’emprisonnement. Extrait de prison pour l’audience, il y est reparti pour 10 mois. « Les faits sont très simples, il s’agit d’un vol sous…

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Nouveau Premier ministre britannique, Rishi Sunak veut réparer les “erreurs” de Liz Truss

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Troisième Premier ministre britannique en deux mois, Rishi Sunak a reconduit mardi les principales figures du gouvernement conservateur, optant pour la stabilité et promettant de réparer les…

Troisième Premier ministre britannique en deux mois, Rishi Sunak a reconduit mardi les principales figures du gouvernement conservateur, optant pour la stabilité et promettant de réparer les “erreurs” commises par l’éphémère Liz Truss.

L’ex-banquier et ministre des Finances de 42 ans est entré à Downing Street à peine cinq jours après l’annonce de la démission de Liz Truss, au pouvoir pendant seulement 49 jours, énième coup de théâtre dans un pays en proie à de vives turbulences économiques et politiques.

“J’unirai notre pays non avec des mots, mais des actes”, a assuré M. Sunak sur le perron de sa résidence officielle, après s’être vu demander par le roi Charles III de former un nouveau gouvernement. Il a promis de “réparer” les “erreurs” commises sous Liz Truss. “Je placerai stabilité économique et confiance au cœur de l’agenda de ce gouvernement”.

Le nouveau Premier ministre, le premier originaire d’une ex-colonie britannique et le plus jeune depuis le 19e siècle, prend les rênes d’un pays confronté à une grave crise économique et sociale. L’inflation dépasse les 10%. Le risque d’une récession plane. Les grèves se multiplient face à la chute du pouvoir d’achat.

Contrainte à partir après la tempête provoquée par son plan massif de baisses d’impôts, Liz Truss a précédé Rishi Sunak mardi au palais de Buckingham pour présenter au roi sa démission, après un mandat d’une brièveté record.

Elle a souhaité “tous les succès” possibles à son successeur, “pour le bien de notre pays”, et réaffirmé son plaidoyer pour l’audace au pouvoir.

Ministres reconduits

Rishi Sunak a commencé aussitôt à former un gouvernement avec un double défi: donner des gages aux marchés, à fleur de peau depuis les annonces budgétaires de septembre, et rassembler une majorité très divisée après douze ans de pouvoir.

Sur le plan économique, il a opté pour la stabilité en confirmant Jeremy Hunt, 55 ans, au ministère des Finances. Depuis sa nomination en catastrophe mi-octobre, ce dernier a ramené un semblant de calme sur les marchés en annulant presque toutes les baisses d’impôts annoncées trois semaines plus tôt et averti de mesures difficiles à venir, faisant craindre un retour de l’austérité. Il doit présenter de nouvelles mesures budgétaires le 31 octobre.

En temps de guerre en Ukraine, Rishi Sunak a également confirmé James Cleverly aux Affaires étrangères et Ben Wallace à la Défense.

Gage pour l’aile droite : l’ultraconservatrice Suella Braverman est renommée à l’Intérieur, moins d’une semaine après sa démission de ce poste qui avait contribué à la chute de Liz Truss.

Si cette dernière avait formé un cabinet très loyal, Rishi Sunak semble montrer une volonté d’ouverture aux différents courants de la majorité. Il a néanmoins rappelé au gouvernement son allié Dominic Raab qui retrouve les postes de ministre de la Justice et de vice-Premier ministre.

Sur la BBC, le député Huw Merriman a expliqué que Rishi Sunak voulait apporter “une impression de calme et de stabilité” en dirigeant le gouvernement “comme un chef d’entreprise”: “Nous ne voulons plus de turbulences”.

Le gouvernement “reflète un parti unifié et un cabinet avec de l’expérience, assurant en des temps incertains une continuité au sein du gouvernement”, a souligné une source à Downing Street.

Appels à l’étranger

Pour son premier appel à un dirigeant étranger, Rishi Sunak s’est entretenu mardi soir avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky et lui a assuré du “soutien inébranlable” du Royaume-Uni alors que le départ de Boris Johnson avait suscité des inquiétudes à Kiev.

M. Zelensky a de son côté affirmé qu’il espérait un “renforcement” des relations de son pays avec Londres.

M. Sunak s’est également entretenu au téléphone avec le président américain Joe Biden.

Sur la scène locale, le nouveau Premier ministre s’est dit “conscient” du travail à effectuer pour “rétablir la confiance”, allusion aux scandales sous Boris Johnson auquel il a exprimé sa “gratitude”.

A la tête d’un parti extrêmement divisé, Rishi Sunak exclut des élections anticipées, réclamées par l’opposition. Selon un sondage Ipsos publié lundi, 62% des électeurs souhaitent un tel scrutin avant la fin 2022.

Brexiter de la première heure, qui passe pour un pragmatique, bourreau de travail, Rishi Sunak est pressé de détailler ses projets, après s’être imposé sans programme ni vote des adhérents. Il était le seul candidat à avoir obtenu les soutiens nécessaires des députés de son parti.

Face à l’ampleur de la tâche, il a assuré dans son premier discours ne pas être “intimidé”. Il fera face mercredi à l’opposition travailliste au Parlement pour la traditionnelle séance de questions au Premier ministre, souvent très animée.

spe-gmo-vg/mm 

Les Premiers ministres britanniques depuis Thatcher
• John SAEKI

Le roi Charles III salue Rishi Sunak, invité à former un gouvernement, à Buckingham Palace à Londres le 25 octobre 2022
• Aaron Chown

Longévité des Premiers ministres au Royaume-Uni depuis le début du XXe siècle
• Valentin RAKOVSKY

Le nouveau Premier ministre britannique Rihi Sunak devant le 10 Downing Street, à Londres le 25 octobre 2022
• Daniel LEAL

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Royaume-Uni: le nouveau Premier ministre affronte l’opposition au Parlement

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Le tout nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak va s’adresser pour la première fois au Parlement mercredi, face à une opposition travailliste au plus haut dans les sondages qui réclame des élections anticipées dans un…

Le tout nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak va s’adresser pour la première fois au Parlement mercredi, face à une opposition travailliste au plus haut dans les sondages qui réclame des élections anticipées dans un pays en pleine crise économique et politique.

Pour la première fois, un chef de gouvernement non-blanc, hindou et originaire d’une ancienne colonie anglaise, le plus jeune de l’histoire récente, fera face à la mi-journée aux députés de la chambre des Communes, lors de la traditionnelle séance de questions au Premier ministre, souvent très animée.

Le chef du Labour Keir Starmer l’a félicité mardi sur Twitter, mais sans ménagement: les Britanniques “ont besoin d’un nouveau départ et de s’exprimer sur l’avenir” du pays, a-t-il écrit.

L’opposition travailliste, largement en tête dans les sondages, réclame quasiment tous les jours ces élections générales anticipées, sans attendre 2024, dénonçant la politique des conservateurs qui “ont mis en pièces l’économie”.

Rishi Sunak, seul candidat officiel après la démission de Liz Truss la semaine dernière, a pris ses fonctions après avoir été choisi lundi en quelques heures par le parti conservateur, sans avoir prononcé un mot en public et sans que les membres du parti ne soient consultés.

Cet été, ces derniers avaient préféré Liz Truss au richissime ex-ministre des Finances, qui en pleine crise du coût de la vie, avec une inflation à 10%, appelait à la prudence budgétaire et dénonçait les “contes de fée” de sa rivale.

Devenu mardi le troisième Premier ministre britannique en moins de 50 jours et le sixième depuis le Brexit en 2016, Rishi Sunak a toutefois exclu des élections anticipées que les conservateurs, depuis 12 ans au pouvoir, seraient assurés de perdre.

Selon un sondage Ipsos publié lundi, 62% des électeurs souhaitent un tel scrutin avant la fin 2022.

Nouveau gouvernement

Après avoir rencontré le roi Charles III qui l’a chargé de former un gouvernement, Rishi Sunak a annoncé mardi des “décisions difficiles” face à la crise économique et a promis de “réparer” les “erreurs” de Liz Truss, qui avait démissionné après 44 jours au pouvoir.

“Sunak et sa femme s’assoient sur une fortune de 730.000.000 de livres. C’est deux fois la fortune estimée du roi Charles III. Ayez ça en tête quand il parle de prendre des +décisions difficiles+”, a taclé la députée travailliste Nadia Whittome.

Partisan d’une réduction des dépenses pour freiner l’inflation, plutôt que d’un recours à la dette pour soutenir les ménages – politique privilégiée par Liz Truss, Rishi Sunak a reconduit à son poste le ministre des Finances Jeremy Hunt qui depuis sa nomination en catastrophe mi-octobre a ramené un semblant de calme sur les marchés.

Il doit présenter de nouvelles mesures budgétaires le 31 octobre.

Retour de Raab

Rishi Sunak cherche à rassembler des députés conservateurs très divisés après 12 ans au pouvoir. Il a réussi à glaner les soutiens d’anciens fidèles de Boris Johnson pour être élu alors que certains l’avaient pourtant accusé de trahison en juillet quand sa démission du ministère des Finances, suivie d’une soixantaine d’autres, avait abouti au départ de “BoJo”.

Dominic Raab – proche allié de M. Sunak – a quant à lui retrouvé son rôle de vice-Premier ministre et ministre de la Justice qu’il avait dû abandonner après la démission de Boris Johnson.

Suella Braverman, nommée en septembre ministre de l’Intérieur par Liz Truss et qui avait claqué la porte la semaine dernière, retrouve elle aussi son poste. Influente dans l’aile droite du parti, elle a une position très dure sur l’immigration.

En pleine guerre en Ukraine, les ministres de la Défense Ben Wallace et des Affaires étrangères James Cleverly ont également conservé leur portefeuille.

Pour son premier appel à un dirigeant étranger, Rishi Sunak s’est d’ailleurs entretenu avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi soir et lui a assuré du “soutien inébranlable” du Royaume-Uni face à l’invasion russe. Il a aussi échangé par téléphone avec le président américain Joe Biden.

vg/bd/ybl

Le chef du Parti travailliste britannique, Keir Starmer, à Brgihton, dans le sud de l’Angleterre, le 20 octobre 2022
• CARLOS JASSO

Jeremy Hunt, maintenu à son poste de ministre des Finances par Rishi Sunak, à Londres, le 25 octobre 2022
• Daniel LEAL

Dominic Raab, nommé vice-Premier ministre et ministre de la Justice par Rishi Sunak, à Londres, le 25 octobre 2022
• Daniel LEAL

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Macron et Scholz vont tenter de faire repartir le moteur franco-allemand

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Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz vont tenter mercredi de relancer le tandem franco-allemand, plombé par une série de différends, de l’énergie à la défense…

Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz vont tenter mercredi de relancer le tandem franco-allemand, plombé par une série de différends, de l’énergie à la défense, sur fond de guerre en Ukraine.

Le temps d’un déjeuner à l’Elysée, les deux dirigeants ambitionnent de “renforcer les coopérations franco-allemandes” et de répondre aux défis communs de “façon unie et solidaire”, a résumé mardi la présidence française.

Une ambition qui masque mal les divergences parfois béantes entre les deux premières puissances européennes et qui ont conduit au report de plusieurs semaines d’un conseil des ministres franco-allemand, le premier d’Olaf Scholz, programmé le même jour près de Paris.

L’arrivée du chancelier à 12H00 et le déjeuner, à 12H35, ne donneront d’ailleurs lieu à aucune déclaration, ni avant, ni après, selon le programme diffusé mardi soir par l’Elysée.

Sur la stratégie à adopter face à la flambée des prix énergétiques, le nucléaire, l’armement européen, rien ne semble plus aller entre Paris et Berlin. De quoi inquiéter en Europe, où le moteur franco-allemand reste une force d’entraînement majeure.

“Le couple franco-allemand diverge, il est donc paralysé”, s’alarme l’ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères français Dominique de Villepin.

“Nous ne pouvons pas nous permettre dans ce moment de l’histoire de ne pas avoir une Europe unie et forte. Ca commence par un dialogue franco-allemand fructueux”, a-t-il averti vendredi sur la radio France Inter.

Les différends – notamment sur plusieurs projets industriels communs, de l’avion de combat au char du futur – se sont exacerbés depuis le début de l’offensive russe en Ukraine.

“Un mariage de nécessité”

L’Allemagne, parmi les plus touchés en raison de sa dépendance au gaz russe, a entrepris “un changement de modèle dont il ne faut pas sous-estimer le caractère déstabilisateur”, analyse Emmanuel Macron.

Le chancelier Scholz a annoncé un plan d’aide de 200 milliards aux particuliers et entreprises face à l’envolée des prix, notamment du gaz après les coupures de livraisons imposées par la Russie. 

Ce plan, déroulé sans concertation avec ses partenaires européens, a provoqué une vive incompréhension et des craintes de distorsion de concurrence en Europe.

Après des décennies de sous-investissement, l’Allemagne a aussi opéré un virage à 180 degrés en matière de défense afin de faire de son armée “la force la mieux équipée d’Europe”. 

Là aussi sans forcément oeuvrer au renforcement de l’autonomie stratégique européenne prôné par Paris et encore moins à celui de la coopération militaro-industrielle franco-allemande.

Berlin promeut ainsi un projet de bouclier anti-missile européen, avec notamment une composante israélienne, concurrent de celui de Paris et Rome.

Pour nombre d’observateurs, cette panne est inhérente à toute relation où s’entremêlent ambitions européennes et intérêts nationaux, mais pas forcément rédhibitoire.

“La réalité, c’est que c’est un mariage de nécessité, souligne une source diplomatique française. “Ce n’est pas une crise fondamentale, c’est un bas de la relation”, ajoute-t-elle.

“Coordonner les efforts”

“Macron Merkel, ils échangeaient des SMS tous les jours, et là, je ne crois pas qu’ils se parlent tous les jours”, relève-t-elle encore.

Sur l’Europe, les deux dirigeants ont “pas mal de convergences”, même si le chancelier a peu parlé de la France dans son discours de Prague sur l’Union européenne fin août, souligne-t-on à Paris.

Olaf Scholz s’est alors engagé à soutenir un élargissement de l’Union européenne vers l’Est et une UE à “30 ou 36 membres”, une approche beaucoup plus volontariste que celle de la France.

Mais il a aussi plaidé, comme Paris, pour le passage à la majorité qualifiée sur un certain nombre de décisions européennes, de la politique étrangère à la fiscalité.

A Berlin, on préfère relativiser. “La France est notre allié le plus proche. Ces derniers jours, il y a eu beaucoup de spéculations, mais je pense que beaucoup de choses ont été inventées de toutes pièces”, considère un porte-parole du gouvernement allemand.

A Bruxelles aussi, on veut y croire aussi. “J’ai confiance dans la détermination à la fois du président français et du chancelier allemand” à “travailler ensemble”, assure le président du Conseil européen Charles Michel.

vl/jmt/dlm

Le président français Emmanuel Macron (d) et le chancelier allemand Olaf Scholz lors du lancement de la Communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022
• Ludovic MARIN

Carte de l’Allemagne montrant les lignes de gazoducs existantes ou en projet, ainsi que les points d’échanges avec les pays frontaliers
• Patricio ARANA

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky (c) en réunion avec son homologue français Emmanuel Macron (d) et le chancelier allemand Olaf Scholz, à Kiev, le 16 juin 2022
• Ludovic MARIN

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St George’s whip Jonathan Grant 4-1; Haile Selassie clip Excelsior 1-0 Loop Jamaica

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St George’s College took a massive step towards the quarter-final of the ISSA/Digicel Manning Cup with a thumping 4-1 win over Jonathan Grant High as the first leg of the second round started Tuesday.

Mona High and Haile Selassie also grabbed first-leg advantages with 2-0 and 1-0 wins over Tivoli Gardens and Excelsior High, respectively, entering the return legs on Friday.

In the fourth match of the day, Campion College and Charlie Smith battled to a 1-1 draw entering the second leg.

Of the four games Tuesday, St George’s College are in the best position to advance to the quarter-finals as it would take a herculean effort from Jonathan Grant to overturn that three-goal deficit, especially playing away at Winchester Park.

Mona High are also in a good position with a two-goal cushion over Tivoli High and should be safely through after the return leg on Friday.

However, Haile Selassie High created the biggest upset of the round, stunning former champions Excelsior High 1-0 on the grounds of Calabar High. The return will be played at Excelsior.

On Wednesday, defending champions Kingston College will travel to Spanish Town Prison Oval to play Jose Marti High at 3pm after STATHS take on St Jago at 1pm in a doubleheader.

Norman Manley High will tackle Jamaica College at Calabar while Wolmer’s Boys will play St Catherine High at the Stadium East field.

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Barbersessie met Owruman was nostalgische belevenis

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‘Het was een heerlijk gevoel voor mij’ Tekst en beeld Shanavon Arsomedjo PARAMARIBO — De allereerste barbersessie is een feit.

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Royaume-Uni: le nouveau Premier ministre affronte l’opposition au Parlement

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Le tout nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak va s’adresser pour la première fois au Parlement mercredi, face à une opposition travailliste au plus haut dans les sondages qui réclame des élections anticipées dans un…

Le tout nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak va s’adresser pour la première fois au Parlement mercredi, face à une opposition travailliste au plus haut dans les sondages qui réclame des élections anticipées dans un pays en pleine crise économique et politique.

Pour la première fois, un chef de gouvernement non-blanc, hindou et originaire d’une ancienne colonie anglaise, le plus jeune de l’histoire récente, fera face à la mi-journée aux députés de la chambre des Communes, lors de la traditionnelle séance de questions au Premier ministre, souvent très animée.

Le chef du Labour Keir Starmer l’a félicité mardi sur Twitter, mais sans ménagement: les Britanniques “ont besoin d’un nouveau départ et de s’exprimer sur l’avenir” du pays, a-t-il écrit.

L’opposition travailliste, largement en tête dans les sondages, réclame quasiment tous les jours ces élections générales anticipées, sans attendre 2024, dénonçant la politique des conservateurs qui “ont mis en pièces l’économie”.

Rishi Sunak, seul candidat officiel après la démission de Liz Truss la semaine dernière, a pris ses fonctions après avoir été choisi lundi en quelques heures par le parti conservateur, sans avoir prononcé un mot en public et sans que les membres du parti ne soient consultés.

Cet été, ces derniers avaient préféré Liz Truss au richissime ex-ministre des Finances, qui en pleine crise du coût de la vie, avec une inflation à 10%, appelait à la prudence budgétaire et dénonçait les “contes de fée” de sa rivale.

Devenu mardi le troisième Premier ministre britannique en moins de 50 jours et le sixième depuis le Brexit en 2016, Rishi Sunak a toutefois exclu des élections anticipées que les conservateurs, depuis 12 ans au pouvoir, seraient assurés de perdre.

Selon un sondage Ipsos publié lundi, 62% des électeurs souhaitent un tel scrutin avant la fin 2022.

Nouveau gouvernement

Après avoir rencontré le roi Charles III qui l’a chargé de former un gouvernement, Rishi Sunak a annoncé mardi des “décisions difficiles” face à la crise économique et a promis de “réparer” les “erreurs” de Liz Truss, qui avait démissionné après 44 jours au pouvoir.

“Sunak et sa femme s’assoient sur une fortune de 730.000.000 de livres. C’est deux fois la fortune estimée du roi Charles III. Ayez ça en tête quand il parle de prendre des +décisions difficiles+”, a taclé la députée travailliste Nadia Whittome.

Partisan d’une réduction des dépenses pour freiner l’inflation, plutôt que d’un recours à la dette pour soutenir les ménages – politique privilégiée par Liz Truss, Rishi Sunak a reconduit à son poste le ministre des Finances Jeremy Hunt qui depuis sa nomination en catastrophe mi-octobre a ramené un semblant de calme sur les marchés.

Il doit présenter de nouvelles mesures budgétaires le 31 octobre.

Retour de Raab

Rishi Sunak cherche à rassembler des députés conservateurs très divisés après 12 ans au pouvoir. Il a réussi à glaner les soutiens d’anciens fidèles de Boris Johnson pour être élu alors que certains l’avaient pourtant accusé de trahison en juillet quand sa démission du ministère des Finances, suivie d’une soixantaine d’autres, avait abouti au départ de “BoJo”.

Dominic Raab – proche allié de M. Sunak – a quant à lui retrouvé son rôle de vice-Premier ministre et ministre de la Justice qu’il avait dû abandonner après la démission de Boris Johnson.

Suella Braverman, nommée en septembre ministre de l’Intérieur par Liz Truss et qui avait claqué la porte la semaine dernière, retrouve elle aussi son poste. Influente dans l’aile droite du parti, elle a une position très dure sur l’immigration.

En pleine guerre en Ukraine, les ministres de la Défense Ben Wallace et des Affaires étrangères James Cleverly ont également conservé leur portefeuille.

Pour son premier appel à un dirigeant étranger, Rishi Sunak s’est d’ailleurs entretenu avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi soir et lui a assuré du “soutien inébranlable” du Royaume-Uni face à l’invasion russe. Il a aussi échangé par téléphone avec le président américain Joe Biden.

vg/bd/ybl

Le chef du Parti travailliste britannique, Keir Starmer, à Brgihton, dans le sud de l’Angleterre, le 20 octobre 2022
• CARLOS JASSO

Jeremy Hunt, maintenu à son poste de ministre des Finances par Rishi Sunak, à Londres, le 25 octobre 2022
• Daniel LEAL

Dominic Raab, nommé vice-Premier ministre et ministre de la Justice par Rishi Sunak, à Londres, le 25 octobre 2022
• Daniel LEAL

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Macron et Scholz vont tenter de faire repartir le moteur franco-allemand

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Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz vont tenter mercredi de relancer le tandem franco-allemand, plombé par une série de différends, de l’énergie à la défense…

Le président français Emmanuel Macron et le chancelier allemand Olaf Scholz vont tenter mercredi de relancer le tandem franco-allemand, plombé par une série de différends, de l’énergie à la défense, sur fond de guerre en Ukraine.

Le temps d’un déjeuner à l’Elysée, les deux dirigeants ambitionnent de “renforcer les coopérations franco-allemandes” et de répondre aux défis communs de “façon unie et solidaire”, a résumé mardi la présidence française.

Une ambition qui masque mal les divergences parfois béantes entre les deux premières puissances européennes et qui ont conduit au report de plusieurs semaines d’un conseil des ministres franco-allemand, le premier d’Olaf Scholz, programmé le même jour près de Paris.

L’arrivée du chancelier à 12H00 et le déjeuner, à 12H35, ne donneront d’ailleurs lieu à aucune déclaration, ni avant, ni après, selon le programme diffusé mardi soir par l’Elysée.

Sur la stratégie à adopter face à la flambée des prix énergétiques, le nucléaire, l’armement européen, rien ne semble plus aller entre Paris et Berlin. De quoi inquiéter en Europe, où le moteur franco-allemand reste une force d’entraînement majeure.

“Le couple franco-allemand diverge, il est donc paralysé”, s’alarme l’ancien Premier ministre et ministre des Affaires étrangères français Dominique de Villepin.

“Nous ne pouvons pas nous permettre dans ce moment de l’histoire de ne pas avoir une Europe unie et forte. Ca commence par un dialogue franco-allemand fructueux”, a-t-il averti vendredi sur la radio France Inter.

Les différends – notamment sur plusieurs projets industriels communs, de l’avion de combat au char du futur – se sont exacerbés depuis le début de l’offensive russe en Ukraine.

“Un mariage de nécessité”

L’Allemagne, parmi les plus touchés en raison de sa dépendance au gaz russe, a entrepris “un changement de modèle dont il ne faut pas sous-estimer le caractère déstabilisateur”, analyse Emmanuel Macron.

Le chancelier Scholz a annoncé un plan d’aide de 200 milliards aux particuliers et entreprises face à l’envolée des prix, notamment du gaz après les coupures de livraisons imposées par la Russie. 

Ce plan, déroulé sans concertation avec ses partenaires européens, a provoqué une vive incompréhension et des craintes de distorsion de concurrence en Europe.

Après des décennies de sous-investissement, l’Allemagne a aussi opéré un virage à 180 degrés en matière de défense afin de faire de son armée “la force la mieux équipée d’Europe”. 

Là aussi sans forcément oeuvrer au renforcement de l’autonomie stratégique européenne prôné par Paris et encore moins à celui de la coopération militaro-industrielle franco-allemande.

Berlin promeut ainsi un projet de bouclier anti-missile européen, avec notamment une composante israélienne, concurrent de celui de Paris et Rome.

Pour nombre d’observateurs, cette panne est inhérente à toute relation où s’entremêlent ambitions européennes et intérêts nationaux, mais pas forcément rédhibitoire.

“La réalité, c’est que c’est un mariage de nécessité, souligne une source diplomatique française. “Ce n’est pas une crise fondamentale, c’est un bas de la relation”, ajoute-t-elle.

“Coordonner les efforts”

“Macron Merkel, ils échangeaient des SMS tous les jours, et là, je ne crois pas qu’ils se parlent tous les jours”, relève-t-elle encore.

Sur l’Europe, les deux dirigeants ont “pas mal de convergences”, même si le chancelier a peu parlé de la France dans son discours de Prague sur l’Union européenne fin août, souligne-t-on à Paris.

Olaf Scholz s’est alors engagé à soutenir un élargissement de l’Union européenne vers l’Est et une UE à “30 ou 36 membres”, une approche beaucoup plus volontariste que celle de la France.

Mais il a aussi plaidé, comme Paris, pour le passage à la majorité qualifiée sur un certain nombre de décisions européennes, de la politique étrangère à la fiscalité.

A Berlin, on préfère relativiser. “La France est notre allié le plus proche. Ces derniers jours, il y a eu beaucoup de spéculations, mais je pense que beaucoup de choses ont été inventées de toutes pièces”, considère un porte-parole du gouvernement allemand.

A Bruxelles aussi, on veut y croire aussi. “J’ai confiance dans la détermination à la fois du président français et du chancelier allemand” à “travailler ensemble”, assure le président du Conseil européen Charles Michel.

vl/jmt/dlm

Le président français Emmanuel Macron (d) et le chancelier allemand Olaf Scholz lors du lancement de la Communauté politique européenne à Prague, le 6 octobre 2022
• Ludovic MARIN

Carte de l’Allemagne montrant les lignes de gazoducs existantes ou en projet, ainsi que les points d’échanges avec les pays frontaliers
• Patricio ARANA

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky (c) en réunion avec son homologue français Emmanuel Macron (d) et le chancelier allemand Olaf Scholz, à Kiev, le 16 juin 2022
• Ludovic MARIN

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Assurance chômage: le Sénat adopte le projet de loi ouvrant la voie à une possible modulation

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Le Sénat à majorité de droite a adopté mardi soir en première lecture le projet de loi ouvrant la voie à une possible modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, après l’avoir durci avec une mesure pénalisant les refus répétés…

Le Sénat à majorité de droite a adopté mardi soir en première lecture le projet de loi ouvrant la voie à une possible modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, après l’avoir durci avec une mesure pénalisant les refus répétés de propositions de CDI à l’issue d’un CDD.

Prévu sur trois jours, l’examen de ce texte porté par le ministre du Travail Olivier Dussopt a été bouclé en une seule journée.

Députés et sénateurs vont maintenant tenter de s’accorder sur une version commune en commission mixte paritaire. 

Ce texte prévoit dans un premier temps de prolonger les règles actuelles de l’assurance chômage, issues d’une réforme contestée du premier quinquennat Macron et qui arrivent à échéance au 1er novembre. Il enclenche aussi la possibilité, par décret, de moduler l’assurance chômage en fonction du marché de l’emploi, promesse de campagne d’Emmanuel Macron.

Le système actuel “reste construit pour répondre à un concept de chômage de masse, sans être suffisamment incitatif au retour à l’emploi”, a déclaré le ministre, soulignant que “60% des entreprises éprouvent des difficultés à recruter”.

Ce mécanisme de modulation  fait actuellement l’objet d’une concertation entre le gouvernement et les partenaires sociaux qui “devrait durer 6 à 8 semaines pour aboutir d’ici à la fin de l’année”, a précisé M. Dussopt.

Les rapporteurs Frédérique Puissat (LR) et Olivier Henno (centriste) ont inscrit le principe de la modulation en toutes lettres dans la loi, avec le soutien du ministre.

Le ministre s’est en revanche montré défavorable à une autre mesure introduite en commission, qui prévoit qu’un demandeur d’emploi ayant refusé trois propositions de CDI à l’issue d’un CDD ne puisse pas avoir droit à l’assurance chômage. 

Des sénateurs LR, dont leur chef de file Bruno Retailleau, ont échoué à durcir cette disposition dans l’hémicycle. Un amendement prévoyant la privation d’indemnisation au premier refus a été rejeté d’extrême justesse.

Laurent Duplomb (LR) a défendu l’objectif de revenir aux “vraies valeurs du travail”, Mme Puissat estimant qu’”on ne peut pas faire des choix de vie qui sont payés par des systèmes assurantiels”.

“Nous n’avons qu’à supprimer l’allocation chômage”, s’est emportée à gauche Monique Lubin (PS), dénonçant “une course à l’échalote”.

Le Sénat a ensuite adopté un autre amendement LR visant à exclure de l’allocation chômage les intérimaires qui n’acceptent pas un CDI proposé sur le poste qu’ils occupent en intérim.

Quant à la disposition assimilant “l’abandon de poste” à une démission, introduite à l’Assemblée par des amendements de la majorité présidentielle et des LR, les sénateurs ont précisé la procédure applicable afin de la “sécuriser”.

Paritarisme

La gauche est vent debout contre un texte qui “stigmatise les demandeurs d’emploi et les fait passer pour des profiteurs”, selon Mme Lubin.

Les groupes PS et Ecologiste ont apporté leurs voix à une motion de procédure du groupe CRCE à majorité communiste visant à son rejet d’emblée, qui a néanmoins été repoussée. “Les salariés ont beaucoup perdu ce soir”, a estimé Cathy Apourceau-Poly (CRCE). 

“Afin de redonner la main aux partenaires sociaux”, les sénateurs ont réécrit l’article premier du texte qui prévoit la prolongation des règles actuelles de l’assurance chômage. La date butoir du 31 décembre 2023 a été ramenée au 31 août. Cette période “devra être utilisée pour engager des concertations destinées à faire évoluer la gouvernance de l’assurance chômage”, a indiqué Mme Puissat. 

“Sans réforme globale et profonde, le paritarisme aura vécu”, a mis en garde le centriste Jean-Marie Vanlerenberghe.

Opposé à la réécriture des sénateurs, le ministre a rappelé de son côté s’être engagé sur l’ouverture de négociations sur la gouvernance.

Autre point rectifié par la droite sénatoriale: les paramètres du bonus-malus, dispositif qui a vocation à limiter les contrats courts. Ont été notamment exclues du dispositif les fins de missions d’intérim.

Un autre volet du projet de loi prévoit de faciliter la validation des acquis de l’expérience (VAE). Les sénateurs l’ont ouvert encore davantage et ont donné leur feu vert à une expérimentation proposée par le gouvernement de “VAE inversée”, alliant emploi et formation.

vm/dlm

Le ministre du Travail Olivier Dussopt prend la parole lors d’une séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale à Paris le 18 octobre 2022
• Christophe ARCHAMBAULT

NewsAmericasNow.com