‘Met excuses moet direct worden gedacht aan herstelbetalingen’
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“Mooi om te horen, maar de kogel is nog niet door de kerk. De eerste stap is gezet in dit
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“Mooi om te horen, maar de kogel is nog niet door de kerk. De eerste stap is gezet in dit
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Tekst en beeld Jason Pinas PARAMARIBO — “Het was een beetje grappig om te zien dat ik al die tijd
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Alexandre Minidoque a été condamné hier par la Cour d’appel à 5 ans de prison dont un an de sursis contre 4 et un an de sursis avec mesures probatoires en première instance. Le mercredi 20 janvier 2021, à Félix Eboué, la gendarmerie des transports aériens qui grenouille au sein de l’aéroport et plus particulièrement sur le tarmac avait saisi 40, 8 kilos dans les bagages de deux personnes, un Français d’origine antillaise (selon la gendarmerie) de 24 ans à l’époque, Alexandre Minidoque, accompagné d’une ressortissante dominicaine de 25 ans au moment des faits. Cette découverte -la plus importante d’un…
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Pour d?buter cet entretien, le coach de l’?quipe nationale, ? moins de 24 heures de ce grand rendez-vous, en parlant de la 2e ?dition de l’AmeriCup de basket-ball 3×3, fait les pr?cisions suivantes sur cet ?v?nement <>, dit-il tout en faisant les ?loges de la Fondation Barbancourt, de Tap Tap Send et de Chef Cr?ole qui ont support? l’?quipe nationale.
Questionn? sur son premier adversaire, Ashley Prudent Salomon s’est montr? confiant, en disant : << Nous avons pu visionner ? maintes reprises les vid?os de la s?lection ?quatorienne de basket-ball qui participait r?cemment ? un tournoi. Pour contrer son <> qui est tr?s dominant, nous avons d?j? ?tabli un plan, l’?quateur compte ?galement deux excellents <> pouvant nous causer pas mal de difficult?s, mais nous saurons quoi faire pour ?viter les d?g?ts. En fait, nous avons pr?par? notre match pour forcer la victoire >>, a martel? le s?lectionneur national avant de revenir sur la pr?paration de son ?quipe.
<>, a expliqu? le s?lectionneur national qui a clairement d?clar? que tout est sous contr?le.
<>, a ajout? Ashley Prudent Salomon en guise de conclusion.
Pour rappel, Ha?ti d?bute la deuxi?me ?dition de l’AmeriCup de basket-ball 3×3, dans la matin?e de ce vendredi 4 novembre en affrontant l’?quateur ? 9h45 avant de jouer contre respectivement Aruba et Guyana, samedi 5 novembre. Pour acc?der au deuxi?me tour de la comp?tition, Ha?ti doit finir en premi?re position de son groupe.
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By NAN Sports Editor
News Americas, NEW YORK, NY, Fri. Nov. 4, 2022: English cricket club Sussex has tapped West Indies fast bowler Jayden Seales for the first three months of the 2023 season.
The Trinidad-born 21-year-old made his Test debut against South Africa in June 2021 and has gone on to play nine Tests, taking 36 wickets. He became the youngest bowler ever to take five wickets in a Test for the West Indies after returning figures of 5-55 against Pakistan in August 2021.
He will be able to play in both the County Championship and T20 Blast.
“As a young fast-bowler, I want to expose myself to as many different conditions and challenges as possible,” Seales told the Sussex website. “I can’t wait to test myself in England and hopefully contribute to a winning start for Sussex in both Championship and T20 cricket.”
Sussex performance director Keith Greenfield added: “Securing a quality overseas fast/seam bowler was hugely important us for the start of next summer, particularly in Championship cricket, so to secure Jayden ahead of others is fantastic for us.” “Those who have played against him and seen him at close quarters have been impressed by his skills and appetite for bowling. He has certainly started impressively in Test cricket, and it is also great that he wants to play County cricket and knows how important it can be for him going forward,” he added.
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Vainqueur des législatives, Benjamin Netanyahu a lancé les tractations avec ses alliés ultra-orthodoxes et d’extrême droite en vue de former un gouvernement qui pourrait être le plus à droite de l’histoire…
Vainqueur des législatives, Benjamin Netanyahu a lancé les tractations avec ses alliés ultra-orthodoxes et d’extrême droite en vue de former un gouvernement qui pourrait être le plus à droite de l’histoire d’Israël, suscitant des inquiétudes internationales et locales.
“Où vont-ils?” titre vendredi le Yediot Aharonot, journal le plus vendu en Israël, avec les portraits de Benjamin Netanyahu, inculpé pour corruption, et de la star montante de l’extrême droite, Itamar Ben Gvir.
Avec 64 sièges, le bloc de droite mené par M. Netanyahu, déchu du pouvoir en juin 2021 après 12 ans de règne continu, est arrivé en tête des législatives de mardi.
Son parti, le Likoud, a obtenu 32 sièges, ses alliés ultra-orthodoxes 18 et l’alliance “Sionisme religieux” 14, un record pour l’extrême droite.
“Cela va être un gouvernement sans précédent”, prédit dans le Yediot Aharonot la chroniqueuse politique Sima Kadmon. “La plupart des portefeuilles importants seront entre les mains de fanatiques (…) Tout le monde sait que si seulement une fraction de ce qui a été promis est mise en oeuvre, cela va être un pays différent.”
En face, le camp “anti-Netanyahu” mené par le Premier ministre sortant Yaïr Lapid (centriste) a obtenu 51 sièges.
L’annonce, jeudi soir, des résultats des législatives, les 5e en trois ans et demi, est survenue dans un contexte de regain de violences israélo-palestiniennes.
L’armée israélienne a frappé dans la nuit “des sites militaires” dans la bande de Gaza après des roquettes tirées de cette enclave palestinienne vers Israël. Et jeudi quatre Palestiniens, dont un assaillant, un combattant et un adolescent, ont été tués par les forces israéliennes en Cisjordanie occupée et à Jérusalem-Est.
L’enclave de Gaza est sous blocus israélien depuis plus de 15 ans et la Cisjordanie et Jérusalem-Est sont occupés par Israël depuis 1967.
Le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, a exprimé jeudi sa “profonde inquiétude” face à ces violences et appelé à une désescalade.
Conformément à la loi électorale israélienne, les résultats définitifs des législatives seront transmis le 9 novembre au président Isaac Herzog, qui devra ensuite mandater officiellement le candidat ayant reçu le plus de recommandations de la part des partis pour former un gouvernement, vraisemblablement M. Netanyahu.
Ce dernier aura alors 42 jours pour former son équipe.
Selon les médias locaux, il a d’ores et déjà mandaté Yariv Levin, un de ses proches, pour entamer des pourparlers qui pourraient s’annoncer compliqués, avec la formation “Sionisme religieux” notamment.
Le chef de ce parti, Bezalel Smotrich, a indiqué vouloir le ministère de la Défense, et son n.2 Itamar Ben Gvir, celui de la Sécurité publique, deux postes clés à l’avant-scène du conflit israélo-palestinien.
Chez les ultra-orthodoxes, le chef du parti séfarade Shass, Arieh Dery, revigoré par ses onze sièges, lorgne sur les Finances ou l’Intérieur. M. Dery a été reconnu coupable de fraude fiscale en 2021 et avait auparavant été emprisonné pour corruption.
Mais M. Netanyahu est conscient que propulser ces personnalités à des postes clés pourrait “endommager” ses relations à l’étranger, estime Shlomo Fischer, du Jewish People Policy Institute à Jérusalem.
“Il ne veut pas que MM. Ben Gvir et Dery mènent la danse”, dit l’analyste à l’AFP. “Il est très prudent, il ne veut pas perdre sa légitimité internationale (…) Il pourrait essayer d’élargir sa coalition pour minimiser leur influence”.
Alors que M. Ben Gvir multiplie les appels à faire usage de la force contre les Palestiniens et à “montrer qui est le maître” en Israël, les Etats-Unis ont dit, avant l’annonce de la victoire de M. Netanyahu, espérer que “tous les responsables israéliens continueront de partager les valeurs d’une société démocratique et porteuse de tolérance pour toute la société civile, en particulier les groupes minoritaires”.
Du temps où il était Premier ministre avant 2021, M. Netanyahu s’était aliéné les alliés historiques d’Israël au sein du parti démocrate du président américain Joe Biden et avait travaillé en étroite collaboration avec l’ex-président républicain Donald Trump.
Le Royaume-Uni a lui aussi invité jeudi, avant l’annonce des résultats définitifs, “tous les partis israéliens à s’abstenir de tout langage incendiaire et à faire preuve de tolérance et de respect envers les groupes minoritaires”.
cgo/alv/tp
Des supporters du parti de l’extrême droite Otzma Yehudit (“Pouvoir juif”) attendant les résultats des législatives dans un hôtel de Jérusalem, le 1er novembre 2022
• Jalaa MAREY
Funérailles d’un Palestinien tué par les forces israéliennes à Jénine en Cisjordanie occupée, le 3 novembre 2022
• JAAFAR ASHTIYEH
Des Palestiniens armés à Jénine en Cisjordanie occupée, le 3 novembre 2022
• JAAFAR ASHTIYEH
Des supporters du parti de la droite radicale Otzma Yehudit (“Pouvoir juif”) célébrant à Jérusalem, le 1er novembre 2022
• jalaa marey
Israël: victoire de Netanyahu, majoritaire à la Knesset avec ses alliés
• Sharon ARONOWICZ
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“Un, deux…” et à trois, un groupe de soldats polonais soulèvent, à l’aide de longues piques, un rouleau de barbelés pour les fixer sur les poteaux posés le long de la frontière avec l’enclave russe de Kaliningrad, créant…
“Un, deux…” et à trois, un groupe de soldats polonais soulèvent, à l’aide de longues piques, un rouleau de barbelés pour les fixer sur les poteaux posés le long de la frontière avec l’enclave russe de Kaliningrad, créant une barrière censée protéger la Pologne et l’UE.
La construction de cette barrière de 210 kilomètres a démarré mercredi sur les chapeaux de roues après l’annonce surprise du ministre polonais de la Défense Mariusz Blaszczak.
Depuis, environ 500 mètres de barrière, composée de trois clôtures parallèles de barbelés en fil de rasoir, haute de 2,5 mètres et large de trois mètres, ont été construits près du village de Zerdziny où des camions militaires transportant le matériel se succèdent sur un chemin boueux le long de la frontière.
Perché sur un camion, un soldat enfonce, à l’aide d’un grand marteau, des poteaux en métal dans la terre mouillée par des averses passagères. Le bruit du marteau retentit à des centaines de mètres. Côté russe, une dense forêt de bouleaux ne laisse rien percevoir.
Selon Mariusz Blaszczak, cette construction intervient après “des informations inquiétantes” sur le lancement des vols reliant le Moyen-Orient et l’Afrique du nord avec Kaliningrad, information qui n’a pas pu être confirmée par l’AFP.
L’opposition accuse elle le ministre de mener un jeu politique et de propagande destiné à faire augmenter la côte des conservateurs au pouvoir en perte de vitesse avant les élections législatives de l’année prochaine.
M. Blaszczak a balayé ces propos accusant ses opposants d’adopter “une position pro-russe”.
La Pologne s’est déjà dotée d’une barrière physique et électronique, haute de 5,5 mètres et longue de 186 kilomètres le long de sa frontière avec le Bélarus, allié de la Russie. Son coût est estimé à 350 millions d’euros.
Depuis l’été 2021, des milliers de migrants et de réfugiés, principalement originaires du Moyen-Orient, ont forcé ou tenté de traverser la frontière avec le Bélarus.
Varsovie et l’Occident ont accusé le régime de Minsk d’orchestrer cet afflux avec son allié russe dans le cadre d’une attaque “hybride” destinée à déstabiliser la région et toute UE, accusation rejetée par le régime d’Alexandre Loukachenko.
La nouvelle barrière le long de l’enclave russe de Kaliningrad “est un élément supplémentaire qui nous aidera à protéger notre frontière, qui constitue également la frontière extérieure de l’UE, contre l’immigration illégale”, déclare à l’AFP Miroslawa Aleksandrowicz, porte-parole des gardes-frontières de la région de Mazurie.
“Dès l’année prochaine, la barrière doit être munie de caméras et de systèmes de détection de mouvement”, ajoute-t-elle.
Pour le moment, la situation à la frontière est “stable”.
Cette année, seuls 13 personnes ont tenté de rentrer en Pologne depuis Kaliningrad, dont quatre citoyens du Tadjikistan en septembre, selon elle.
, le champ de longe la frontière.
“On veut nous faire peur mais je pense que c’est exagéré”, estime auprès de l’AFP Marzena Raczewicz, assise dans la cuisine de sa maison située à Lenkupie, à quelques kilomètres de Zerdziny et à 500 mètres de la frontière.
“La barrière sera toujours un élément supplémentaire de protection, elle ralentira l’imigration, même s’il ne se passe rien sur cette frontière pour l’instant. Nous vivons ici en toute tranquillité”, déclare-t-elle à l’AFP
Sa voisine, Joanna Kozlowska, d’une trentaine d’année, confirme : “Ici tout était calme et tranquille et je pense que cela restera comme ça”, d’autant plus que les gardes-frontières patrouillent les environs plusieurs fois par jour.
“Pour l’instant, seuls les sangliers passent en Pologne depuis Kaliningrad”, ajoute-t-elle en riant.
A Zytkiejmy, un autre village de la région, Tadeusz Rydzewski, 72 ans, soutient la construction de la barrière”.
“Si Poutine nous menace alors je trouve qu’il est nécessaire de la construire”, dit-il à l’AFP.
bo/dt/ib
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
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“Un, deux…” et à trois, un groupe de soldats polonais soulèvent, à l’aide de longues piques, un rouleau de barbelés pour les fixer sur les poteaux posés le long de la frontière avec l’enclave russe de Kaliningrad, créant…
“Un, deux…” et à trois, un groupe de soldats polonais soulèvent, à l’aide de longues piques, un rouleau de barbelés pour les fixer sur les poteaux posés le long de la frontière avec l’enclave russe de Kaliningrad, créant une barrière censée protéger la Pologne et l’UE.
La construction de cette barrière de 210 kilomètres a démarré mercredi sur les chapeaux de roues après l’annonce surprise du ministre polonais de la Défense Mariusz Blaszczak.
Depuis, environ 500 mètres de barrière, composée de trois clôtures parallèles de barbelés en fil de rasoir, haute de 2,5 mètres et large de trois mètres, ont été construits près du village de Zerdziny où des camions militaires transportant le matériel se succèdent sur un chemin boueux le long de la frontière.
Perché sur un camion, un soldat enfonce, à l’aide d’un grand marteau, des poteaux en métal dans la terre mouillée par des averses passagères. Le bruit du marteau retentit à des centaines de mètres. Côté russe, une dense forêt de bouleaux ne laisse rien percevoir.
Selon Mariusz Blaszczak, cette construction intervient après “des informations inquiétantes” sur le lancement des vols reliant le Moyen-Orient et l’Afrique du nord avec Kaliningrad, information qui n’a pas pu être confirmée par l’AFP.
L’opposition accuse elle le ministre de mener un jeu politique et de propagande destiné à faire augmenter la côte des conservateurs au pouvoir en perte de vitesse avant les élections législatives de l’année prochaine.
M. Blaszczak a balayé ces propos accusant ses opposants d’adopter “une position pro-russe”.
La Pologne s’est déjà dotée d’une barrière physique et électronique, haute de 5,5 mètres et longue de 186 kilomètres le long de sa frontière avec le Bélarus, allié de la Russie. Son coût est estimé à 350 millions d’euros.
Depuis l’été 2021, des milliers de migrants et de réfugiés, principalement originaires du Moyen-Orient, ont forcé ou tenté de traverser la frontière avec le Bélarus.
Varsovie et l’Occident ont accusé le régime de Minsk d’orchestrer cet afflux avec son allié russe dans le cadre d’une attaque “hybride” destinée à déstabiliser la région et toute UE, accusation rejetée par le régime d’Alexandre Loukachenko.
La nouvelle barrière le long de l’enclave russe de Kaliningrad “est un élément supplémentaire qui nous aidera à protéger notre frontière, qui constitue également la frontière extérieure de l’UE, contre l’immigration illégale”, déclare à l’AFP Miroslawa Aleksandrowicz, porte-parole des gardes-frontières de la région de Mazurie.
“Dès l’année prochaine, la barrière doit être munie de caméras et de systèmes de détection de mouvement”, ajoute-t-elle.
Pour le moment, la situation à la frontière est “stable”.
Cette année, seuls 13 personnes ont tenté de rentrer en Pologne depuis Kaliningrad, dont quatre citoyens du Tadjikistan en septembre, selon elle.
, le champ de longe la frontière.
“On veut nous faire peur mais je pense que c’est exagéré”, estime auprès de l’AFP Marzena Raczewicz, assise dans la cuisine de sa maison située à Lenkupie, à quelques kilomètres de Zerdziny et à 500 mètres de la frontière.
“La barrière sera toujours un élément supplémentaire de protection, elle ralentira l’imigration, même s’il ne se passe rien sur cette frontière pour l’instant. Nous vivons ici en toute tranquillité”, déclare-t-elle à l’AFP
Sa voisine, Joanna Kozlowska, d’une trentaine d’année, confirme : “Ici tout était calme et tranquille et je pense que cela restera comme ça”, d’autant plus que les gardes-frontières patrouillent les environs plusieurs fois par jour.
“Pour l’instant, seuls les sangliers passent en Pologne depuis Kaliningrad”, ajoute-t-elle en riant.
A Zytkiejmy, un autre village de la région, Tadeusz Rydzewski, 72 ans, soutient la construction de la barrière”.
“Si Poutine nous menace alors je trouve qu’il est nécessaire de la construire”, dit-il à l’AFP.
bo/dt/ib
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
Des soldats polonais posent une clôture à la frontière polono-russe dans la région de l’oblast de Kaliningrad, à Zerdziny, dans le nord-est de la Pologne, le 3 novembre 2022
• Wojtek RADWANSKI
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Yvor J. LAPINARD
La préservation et l’exploitation durable du patrimoine culturel et sa mise en tourisme au service d’activités de loisirs et de découverte suscitent de plus en plus d’intérêt. Disposer d’un outil efficace permettant de renforcer la mise en tourisme des sites patrimoniaux devient un enjeu pour le conseil départemental. Beauport-Pays de la Canne sera le premier site à en bénéficier. Décryptage.
Le dossier du tourisme et de l’attractivité du
territoire se trouvait, la semaine dernière, à l’ordre du jour de
la 6e plénière du conseil départemental. Le
président Guy Losbar a fait adopter le principe de la constitution
d’un Établissement public industriel et commercial (Epic)
spécialement dédié à la valorisation touristique du riche
patrimoine culturel et naturel du pays. Cet outil aura vocation
dans un premier temps à assurer la mise en tourisme du site de
Beauport-Pays de la Canne. L’ambition est de faire de Beauport un
site ouvert sur le nord Grande-Terre, avec une véritable identité
culturelle, un lieu de transmission, de savoir-faire et de savoirs.
Sinon, un lieu de rayonnement pour le nord Grande-Terre et
d’attractivité pour la Guadeloupe. Voilà une décision qui devrait
être applaudie des deux mains.
Un site remarquable
En Guadeloupe, le concept de sauvegarde du
patrimoine par le biais du tourisme a trouvé une expression
originale par la mise en valeur et l’exploitation de sites ayant un
potentiel historique et économique. Si notre archipel dispose de
multiples ressources naturelles et des vestiges historiques,
architecturaux et ar
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As a prelude to the hearings in the Cayman Islands by the Judicial Committee of the Privy Council (JCPC) set to take place November 15-18, 2022, a formal opening ceremony will take place in Grand Court 1, at the Halls of Justice Main Court Building, on Tuesday, November 15
The ceremony will be preceded by the inspection of a Royal Cayman Islands Police Service (RCIPS) Guard of Honour by the President of the JCPC, The Right Hon. the Lord Reed of Allermuir, at 9:00 Cayman time (13:00 GMT).
This ceremony will take place in front of the Halls of Justice Main Court Building and will be followed by a brief reception in the second-floor foyer, prior to the formal opening in adjoining Grand Court 1. Grand Court 2 will be available as additional accommodation for those wishing to witness the opening, albeit virtually, in that courtroom.
Officials who will be joining the Chief Justice, the Hon. Margaret Ramsay-Hale, and the recently retired Chief Justice, Sir Anthony Smellie, in welcoming the five JCPC Justices at the opening ceremonies will be HE the Governor Mr. Martyn Roper; the Premier, the Hon. Wayne Panton; the Deputy Premier, the Hon. Christopher Saunders; and Attorney General the Hon. Samuel Bulgin, KC, head of the Cayman Bar, and President of the Cayman Islands Legal Practitioners Association (CILPA), Mr. Erik Bodden. The official party will be complemented by other members of Cayman’s Judiciary and the legal community who will be arriving for the opening ceremonies.
Accompanying Lord Reed at the opening ceremonies will be the Deputy President of the JCPC and the Supreme Court, The Right Hon. the Lord Hodge, and the three other visiting Justices of the JCPC and the Supreme Court: The Right Hon. the Lord Lloyd-Jones; The Right Hon. the Lord Briggs of Westbourne; and The Right Hon. the Lord Kitchin.
Following these preliminaries, the first day of hearings will begin at approximately 11:15 Cayman time (15:15 GMT) in the specially appointed Court (Courtroom 9), located on the second floor of the Halls of Justice Building C (the former Bank of Nova Scotia Building).
Cases to be heard by the JCPC, in order of hearings, are Family Mart China Holding Co. Ltd. (Respondent) v Ting Chuan (Cayman Islands) Holding Corporation (Appellant) (Cayman Islands); HEB Enterprises Ltd. and another (Respondents) v Bernice Richards (as Personal Representative of the Estate of Anthony Richards, Deceased) (Appellant); and Justin Ramoon (Appellant) v Governor of the Cayman Islands and another (Respondent) (Cayman Islands).
In addition to conducting hearings, the Justices will be engaged in several information-sharing initiatives designed to add value to the visit for the Cayman Islands. These include a “Court Users” meeting, to be attended by a cross-section of legal practitioners; and a meeting with senior high-school-aged students from UCCI, University College of the Cayman Islands (Dual enrolment programme), Cayman Prep. High, and St. Ignatius High, who will be participating in the JCPC’s “Ask a Justice” programme.
The Justices will also visit the Truman Bodden Law School for a tour and another “Ask a Justice” session with law students.
The Ask a Justice sessions provide a unique insight into the work of the Justices and are excellent for students with a keen interest in the law.
There will also be social activities that will enable a cross-section of Cayman citizens to interact with the Justices. This will include a reception at Government House, at which a range of judicial, legal, government, and community interests will attend.
The five Justices and accompanying JCPC support staff will attend the wreath-laying ceremony on Memorial Sunday at the Cenotaph in the Courtyard of the Elmslie Memorial Church. Lord Reed will lay a wreath on behalf of the JCPC in memory of those who died in the two World Wars.
The visiting Justices and support staff will also have an opportunity to visit points of interest, affording insights into Cayman’s culture and history.
At the conclusion of the visit, CILPA will host the justices at a gala, expected to be attended by a range of public and private professionals in the legal, judicial, and government spheres.
(Source: CI GOVT Judicial Administration)
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