Mondial féminin de rugby: la France si proche de l’exploit

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Le XV de France féminin, en quête d’une première finale en Coupe du monde, est passé tout près de l’exploit samedi à l’Eden Park d’Auckland, s’inclinant sur le fil face à la Nouvelle-Zélande (25-24), après une pénalité…

Le XV de France féminin, en quête d’une première finale en Coupe du monde, est passé tout près de l’exploit samedi à l’Eden Park d’Auckland, s’inclinant sur le fil face à la Nouvelle-Zélande (25-24), après une pénalité ratée par Caroline Drouin à la dernière minute.

Les “Black Ferns”, championnes du monde en titre, retrouveront en finale samedi prochain l’Angleterre, victorieuse du Canada (26-19), que les Bleues affronteront pour la médaille de bronze.

Les Françaises, pour la huitième fois en demi-finale d’un Mondial, ont encore échoué aux portes de la finale, contre une équipe qu’elles venaient pourtant de battre quatre fois de suite. “Il va falloir qu’on digère, et bien sûr qu’on va tout donner pour cette troisième place”, a estimé la deuxième-ligne Safi N’Diaye, après avoir honoré sa 90e sélection.

Pour ce premier match entre les deux nations en terre néo-zélandaise, dans un Eden Park clairsemé, le suspense a duré jusqu’au bout, avec cette pénalité obtenue par les Bleues à la dernière minute mais que Drouin, impeccable par ailleurs, n’a pas réussi à passer.

“Le coup de pied raté par +Caro+ à la fin est anecdotique pour moi, on a perdu le match avant”, a relevé après la rencontre l’entraîneur des Bleues, Thomas Darracq. “A aucun moment, la défaite n’est imputable à Caroline, on doit +scorer+ plus tôt, garder la balle… On n’a pas fait le +taf+ avant, c’est tout”, a acquiescé la centre Gabrielle Vernier.

Solidaires et sans complexes: en réponse au haka des Néo-Zélandaises, les Bleues, qui avaient répété toute la semaine qu’elles avaient “désacralisé” leurs adversaires et “dédramatisé” ce moment, avaient choisi de se regrouper en cercle sur la pelouse de l’Eden Park, pour chanter à plein poumon la Marseillaise.

Muraille bleue

Dans un ciel rosi par le coucher de soleil, elles ont donné le ton d’entrée, occupant le terrain et choisissant de jouer une pénaltouche plutôt que tenter la pénalité.

Excellent choix: la troisième ligne Romane Ménager, de retour après quinze jours de pause à la suite de sa commotion subie face à l’Angleterre en match de poule, a de l’énergie à revendre. Dans la semaine, sa capitaine Gaëlle Hermet avait prévenu: “s’il y a une joueuse qu’il ne faudra pas trop croiser sur le terrain samedi, ce sera elle!”.

Sur cette pénaltouche, la joueuse de Montpellier, excellente également en défense, n’aura plus qu’à aplatir en force et Drouin à transformer (10-0, 23e).

Après la réduction du score par l’arrière Renee Holmes (10-3, 29e), les “Black Ferns” ont bien tenté de percer la muraille bleue, mais les Tricolores, avec la meilleure défense des équipes du dernier carré, n’ont pas paniqué, Madoussou Fall (22 plaquages au total) et Charlotte Escudero (21) en tête.

Après une mêlée, sur sortie rapide du ballon, elles sont allées marquer leur premier essai par la centre Stacey Fluhler en conclusion: égalité (10-10, 37e).

Energie et tension

Les Françaises auraient alors pu commencer à douter. Il n’en a rien été: elles ont répliqué immédiatement avec un essai de Vernier, afin de rentrer aux vestiaires en tête (17-10).

Après la pause, les Néo-Zélandaises, sur un petit coup de pied rasant de Holmes, ont repris les choses en main et signé leur deuxième essai par la centre Ruby Tui (17-15, 44e), qui “a mis un coup sur la tête” des Françaises selon Vernier.

Dans une rencontre toujours aussi intense, les deux camps ont rivalisé de débauche d’énergie jusqu’à ce que, sur un ballon porté conclu par la centre Teresa Fitzpatrick, la Nouvelle-Zélande prenne pour la première fois l’avantage (22-17, 56e, puis 25-17, 63e).

Grâce à Romane Ménager, encore elle, la France a recollé au score (25-24, 65e). N’Diaye, décisive sur l’essai précédent, a alors écopé d’un carton jaune, sans que les Néo-Zélandaises ne réussissent à en profiter.

C’est même elles qui sont pénalisées en fin de match: la victoire est alors dans les pieds de Drouin mais, à trente mètres face aux poteaux, son tir est trop court, faisant gronder de soulagement l’Eden Park.

Un stade à nouveau cruel pour le rugby français, onze ans après la défaite (8-7) des Bleus face aux “All Blacks” en finale du Mondial-2011.

lrb/chc

Le désarroi des Françaises à la fin de la demi-finale de Coupe du monde de rugby perdue face à la Nouvelle-Zélande le 5 novembre 2022 à l’Eden Park à Auckland
• Marty MELVILLE

La capitaine néo-zélandaise Ruahei Demant prise par la capitaine française Gaelle Hermet en demi-finale de la Coupe du monde de rugby le 5 novembre 2022 à Auckland
• Marty MELVILLE

La joie de Gabrielle Vernier (g) et Agathe Sochat après un essai de la France contre la Nouvelle-Zélande en demi-finale de la Coupe du monde de rugby le 5 novembre 2022 à Auckland
• Marty MELVILLE

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Mondial féminin de rugby: la France si proche de l’exploit

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Le XV de France féminin, en quête d’une première finale en Coupe du monde, est passé tout près de l’exploit samedi à l’Eden Park d’Auckland, s’inclinant sur le fil face à la Nouvelle-Zélande (25-24), après une pénalité…

Le XV de France féminin, en quête d’une première finale en Coupe du monde, est passé tout près de l’exploit samedi à l’Eden Park d’Auckland, s’inclinant sur le fil face à la Nouvelle-Zélande (25-24), après une pénalité ratée par Caroline Drouin à la dernière minute.

Les “Black Ferns”, championnes du monde en titre, retrouveront en finale samedi prochain l’Angleterre, victorieuse du Canada (26-19), que les Bleues affronteront pour la médaille de bronze.

Les Françaises, pour la huitième fois en demi-finale d’un Mondial, ont encore échoué aux portes de la finale, contre une équipe qu’elles venaient pourtant de battre quatre fois de suite. “Il va falloir qu’on digère, et bien sûr qu’on va tout donner pour cette troisième place”, a estimé la deuxième-ligne Safi N’Diaye, après avoir honoré sa 90e sélection.

Pour ce premier match entre les deux nations en terre néo-zélandaise, dans un Eden Park clairsemé, le suspense a duré jusqu’au bout, avec cette pénalité obtenue par les Bleues à la dernière minute mais que Drouin, impeccable par ailleurs, n’a pas réussi à passer.

“Le coup de pied raté par +Caro+ à la fin est anecdotique pour moi, on a perdu le match avant”, a relevé après la rencontre l’entraîneur des Bleues, Thomas Darracq. “A aucun moment, la défaite n’est imputable à Caroline, on doit +scorer+ plus tôt, garder la balle… On n’a pas fait le +taf+ avant, c’est tout”, a acquiescé la centre Gabrielle Vernier.

Solidaires et sans complexes: en réponse au haka des Néo-Zélandaises, les Bleues, qui avaient répété toute la semaine qu’elles avaient “désacralisé” leurs adversaires et “dédramatisé” ce moment, avaient choisi de se regrouper en cercle sur la pelouse de l’Eden Park, pour chanter à plein poumon la Marseillaise.

Muraille bleue

Dans un ciel rosi par le coucher de soleil, elles ont donné le ton d’entrée, occupant le terrain et choisissant de jouer une pénaltouche plutôt que tenter la pénalité.

Excellent choix: la troisième ligne Romane Ménager, de retour après quinze jours de pause à la suite de sa commotion subie face à l’Angleterre en match de poule, a de l’énergie à revendre. Dans la semaine, sa capitaine Gaëlle Hermet avait prévenu: “s’il y a une joueuse qu’il ne faudra pas trop croiser sur le terrain samedi, ce sera elle!”.

Sur cette pénaltouche, la joueuse de Montpellier, excellente également en défense, n’aura plus qu’à aplatir en force et Drouin à transformer (10-0, 23e).

Après la réduction du score par l’arrière Renee Holmes (10-3, 29e), les “Black Ferns” ont bien tenté de percer la muraille bleue, mais les Tricolores, avec la meilleure défense des équipes du dernier carré, n’ont pas paniqué, Madoussou Fall (22 plaquages au total) et Charlotte Escudero (21) en tête.

Après une mêlée, sur sortie rapide du ballon, elles sont allées marquer leur premier essai par la centre Stacey Fluhler en conclusion: égalité (10-10, 37e).

Energie et tension

Les Françaises auraient alors pu commencer à douter. Il n’en a rien été: elles ont répliqué immédiatement avec un essai de Vernier, afin de rentrer aux vestiaires en tête (17-10).

Après la pause, les Néo-Zélandaises, sur un petit coup de pied rasant de Holmes, ont repris les choses en main et signé leur deuxième essai par la centre Ruby Tui (17-15, 44e), qui “a mis un coup sur la tête” des Françaises selon Vernier.

Dans une rencontre toujours aussi intense, les deux camps ont rivalisé de débauche d’énergie jusqu’à ce que, sur un ballon porté conclu par la centre Teresa Fitzpatrick, la Nouvelle-Zélande prenne pour la première fois l’avantage (22-17, 56e, puis 25-17, 63e).

Grâce à Romane Ménager, encore elle, la France a recollé au score (25-24, 65e). N’Diaye, décisive sur l’essai précédent, a alors écopé d’un carton jaune, sans que les Néo-Zélandaises ne réussissent à en profiter.

C’est même elles qui sont pénalisées en fin de match: la victoire est alors dans les pieds de Drouin mais, à trente mètres face aux poteaux, son tir est trop court, faisant gronder de soulagement l’Eden Park.

Un stade à nouveau cruel pour le rugby français, onze ans après la défaite (8-7) des Bleus face aux “All Blacks” en finale du Mondial-2011.

lrb/chc

Le désarroi des Françaises à la fin de la demi-finale de Coupe du monde de rugby perdue face à la Nouvelle-Zélande le 5 novembre 2022 à l’Eden Park à Auckland
• Marty MELVILLE

La capitaine néo-zélandaise Ruahei Demant prise par la capitaine française Gaelle Hermet en demi-finale de la Coupe du monde de rugby le 5 novembre 2022 à Auckland
• Marty MELVILLE

La joie de Gabrielle Vernier (g) et Agathe Sochat après un essai de la France contre la Nouvelle-Zélande en demi-finale de la Coupe du monde de rugby le 5 novembre 2022 à Auckland
• Marty MELVILLE

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OECS Commission Hosts High Level UK Delegation Ahead Of COP27 – St. Lucia Times News

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With the upcoming COP27 on the horizon, much of the discussions focused on areas such as Climate Change and Resilience and access to climate finance.

In relation to climate financing, there was general consensus of the need for financing mechanisms that work across the board for the countries most impacted by climate change.

The issues of vulnerability and adaptation of small island developing states were also discussed, which the OECS contingent providing insight into the Commission’s focus on community based adaptation.

With the OECS Members States, as well as the United Kingdom in advanced preparations for attendance at COP27, the meeting came at an opportune time for both parties to have preliminary discussions on some of the issues of focus at the much anticipated Summit.

The OECS Director General also used the opportunity to further strengthen the Organisation’s relationship with the United Kingdom, as he offered a snapshot into the strategic priorities of the OECS, highlighting many areas of mutual interest. According to Dr. Jules,

We at the OECS Commission deeply appreciated the high level visit from the British Delegation because it provided us with the opportunity to discuss issues of mutual concern, importantly to explore areas for improving relations. It also allowed us to share with them our strategic priorities that have been approved by the OECS Authority for the next six years. These priorities are critically important and we need to ensure that the work done with our development partners converges and fits within those priorities.’

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Director General for Latin America, Africa and the Caribbean at the Foreign, Commonwealth and Development Office (FCDO) Corin Robertson expressed gratitude at the opportunity to meet with the OECS Team, and pledged continued dialogue and partnership with the Organisation. She noted,

‘Meeting the OECS Commission was an important part of my visit to St Lucia. We had a great conversation about priorities, challenges and opportunities for SIDS post-pandemic. We’ll keep working together to tackle the climate crisis. Thank you to Dr Jules and the team.’

SOURCE: Organisation of Eastern Caribbean States

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Three-pointer Emile la Rose beslist De Arend-Koi Carper in dramatische eindfase

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Tekst en beeld Ricky Wirjosentono PARAMARIBO — “In zo een situatie moet je creatief zijn. En het is me gelukt

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Dans le nord de l’Ukraine, la crainte d’une nouvelle attaque depuis le Bélarus

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A couvert à l’orée d’un bois trempé par une pluie continue, le garde-frontière ukrainien scrute l’horizon plein nord avec son monoculaire. La frontière avec le Bélarus et la Russie…

A couvert à l’orée d’un bois trempé par une pluie continue, le garde-frontière ukrainien scrute l’horizon plein nord avec son monoculaire. La frontière avec le Bélarus et la Russie est à moins de 5 km.

Ce matin-là, le ciel est bouché, le plafond très bas. Les drones russes ne viendront pas survoler les tranchées de ce dernier poste avancé des garde-frontière, dans le nord-est de l’Ukraine.

Coiffé d’un passe-montagne ne laissant voir que ses yeux, l’homme au monoculaire arbore fièrement son lanceur de missile anti-char anglo-suédois NLAW.

“Notre objectif premier est d’empêcher une (nouvelle) invasion. Mais si cela se reproduit dans cette région, alors nous serons prêts à arrêter l’ennemi à la frontière, pour l’empêcher de s’enfoncer dans notre pays” comme le 24 février, assure à l’AFP le garde-frontière de 33 ans, qui ne souhaite pas donner son nom.

Le passage frontalier de Senkivka est tout proche. Il forme un Y: au nord-ouest le Bélarus, au nord-est la Russie, au sud l’Ukraine.

C’est à partir de là qu’au premier jour de l’invasion par les forces de Moscou, la 90e division blindée russe s’est engouffrée comme dans du beurre dans cette partie du territoire ukrainien.

Les Russes sont allés jusqu’aux portes de Tcherniguiv, la capitale de la région éponyme, qu’ils n’ont jamais pu prendre, repoussés par une farouche résistance ukrainienne, alors que la ville était régulièrement bombardée.

Début avril, l’envahisseur s’est retiré en remontant vers le Nord, par là où il était arrivé, avant de recentrer son offensive sur l’est et le sud de l’Ukraine.

“Menace croissante”

Depuis, les Ukrainiens surveillent comme le lait sur le feu la zone de Senkivka et les près de 900 km de frontière avec son voisin bélarusse, dont le territoire a servi de base arrière aux soldats russes.

Le 20 octobre, l’armée ukrainienne s’est alarmée de la “menace croissante” d’une nouvelle offensive russe depuis ce voisin du nord, allié de Moscou.

Le Bélarus venait alors d’annoncer le déploiement sur son territoire d’une nouvelle force conjointe avec la Russie, comptant jusqu’à 9.000 soldats russes et environ 170 chars.

“Si tu veux la paix prépare la guerre”, avait dit le président bélarusse Alexandre Loukachenko, accusant l’Ukraine de préparer des “attaques” contre son pays. L’armée de Minsk n’a jusqu’à présent pas pris part aux combats en Ukraine.

Sur le campement des garde-frontières ukrainiens, édifié après le retrait russe début avril, “Lynx”, de son nom de code, estime à “50/50” le risque d’une nouvelle offensive russe.

“La probabilité d’une attaque sera toujours élevée ici, près de la frontière, avec un tel voisin”, estime le trentenaire, mitrailleuse en bandoulière, debout dans une solide et profonde tranchée couverte.

“Il y a des tirs d’artillerie (russe) constants ici (…) À un moment donné, c’était plus calme, mais avec le début de l’automne, l’ennemi est devenu plus actif”, relate le garde-frontière.

Mais désormais “il y a plus de positions (des forces ukrainiennes), et plus de fortifications, tout est plus sérieux maintenant (…) Nous envisageons toutes les options pour éviter (la répétition du) scénario” du 24 février, assure-t-il.

A 30 km au sud du village de Senkivka, Gorodnia (21.000 habitants avant la guerre), a été parmi les premières localités ukrainiennes à voir les Russes arriver, dès le matin de l’invasion.

“Nations fraternelles”

Son maire, Andrïi Bogdan espère que “la situation ne se répétera pas”, même si “cette menace existe”, dit-il à l’AFP, en évoquant les troupes russes présentes au Bélarus.

Mais selon lui, “la situation est complètement différente” par rapport à février, quand le territoire de sa commune était “presque sans protection”.

“Nous comptons sur nos gardes-frontières, nos forces armées et toutes les forces de défense. Aujourd’hui, ils sont ici, prêts à combattre”, se rassure le maire.

L’homme est fier et ému de montrer aux journalistes de l’AFP un petit film tourné quand les forces russes sont arrivées dans la ville. On y voit notamment des habitants, drapeaux ukrainiens à la main, faire face à des véhicules blindés pour les empêcher d’avancer. Les Russes resteront finalement en dehors de la ville durant leur occupation de la zone. 

Dans son magasin d’alimentation situé à un carrefour principal de Gorodnia, Svitlana dit ne pas croire “que le Bélarus puisse nous attaquer”. 

“Nous vivons à la frontière, nous sommes des nations fraternelles. J’ai un frère au Bélarus, et une sœur à Moscou (…) Nous nous parlons constamment. Au début, même ma sœur ne croyait pas que cela soit arrivé. Mais ils comprennent et nous soutiennent”, explique la cinquantenaire.

“Je veux que tout se termine, le plus tôt possible”, lâche-t-elle.

epe/alf/nzg

Des garde-frontière ukrainiens dans leur position fortifiée près de la frontière ukrainienne avec la Russie et la Biélorussie, le 3 novembre 2022
• Sergei SUPINSKY

Une position fortifiée près de la frontière ukrainienne avec la Russie et la Biélorussie, le 3 novembre 2022
• Sergei SUPINSKY

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Mondial de rugby: la France battue d’un fil en demi-finale par la Nouvelle-Zélande

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Le XV de France féminin est passé tout près de l’exploit, mais les Bleues se sont inclinées sur le fil face à la Nouvelle-Zélande, victorieuse 25-24 en demi-finale de la Coupe du monde samedi à Auckland, après une pénalité…

Le XV de France féminin est passé tout près de l’exploit, mais les Bleues se sont inclinées sur le fil face à la Nouvelle-Zélande, victorieuse 25-24 en demi-finale de la Coupe du monde samedi à Auckland, après une pénalité ratée par Caroline Drouin à la dernière minute.

Les “Black Ferns”, championnes du monde en titre, retrouveront en finale samedi prochain l’Angleterre, victorieuse du Canada (26-19), que les Bleues affronteront pour la médaille de bronze.

Les Françaises, qualifiées pour la huitième fois en demi-finale d’un Mondial, ont encore échoué aux portes de la finale, contre une équipe qu’elles venaient de battre quatre fois de suite.

Pour ce premier match entre les deux nations en terre néo-zélandaise, dans un Eden Park clairsemé, le suspense a duré jusqu’à la fin, avec cette pénalité obtenue par les Bleues à la dernière minute mais que Caroline Drouin, impeccable par ailleurs, n’a pas réussi à passer.

“C’était un match à enjeu, on est déçues, il va falloir digérer (…) On a eu un énorme cœur tout au long de la compétition, on l’a encore montré aujourd’hui. (…) La semaine prochaine, on ira chercher cette troisième place”, a assuré après la rencontre la capitaine Gaëlle Hermet, au micro de TF1.

lrb/chc

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Mondial de rugby: la France battue d’un fil en demi-finale par la Nouvelle-Zélande

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Le XV de France féminin est passé tout près de l’exploit, mais les Bleues se sont inclinées sur le fil face à la Nouvelle-Zélande, victorieuse 25-24 en demi-finale de la Coupe du monde samedi à Auckland, après une pénalité…

Le XV de France féminin est passé tout près de l’exploit, mais les Bleues se sont inclinées sur le fil face à la Nouvelle-Zélande, victorieuse 25-24 en demi-finale de la Coupe du monde samedi à Auckland, après une pénalité ratée par Caroline Drouin à la dernière minute.

Les “Black Ferns”, championnes du monde en titre, retrouveront en finale samedi prochain l’Angleterre, victorieuse du Canada (26-19), que les Bleues affronteront pour la médaille de bronze.

Les Françaises, qualifiées pour la huitième fois en demi-finale d’un Mondial, ont encore échoué aux portes de la finale, contre une équipe qu’elles venaient de battre quatre fois de suite.

Pour ce premier match entre les deux nations en terre néo-zélandaise, dans un Eden Park clairsemé, le suspense a duré jusqu’à la fin, avec cette pénalité obtenue par les Bleues à la dernière minute mais que Caroline Drouin, impeccable par ailleurs, n’a pas réussi à passer.

“C’était un match à enjeu, on est déçues, il va falloir digérer (…) On a eu un énorme cœur tout au long de la compétition, on l’a encore montré aujourd’hui. (…) La semaine prochaine, on ira chercher cette troisième place”, a assuré après la rencontre la capitaine Gaëlle Hermet, au micro de TF1.

lrb/chc

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Hinds: 1,123 CCTV cameras operational

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National Security Minister Fitzgerald Hinds. – ANGELO MARCELLE

NATIONAL Security Minister Fitzgerald Hinds said a total of 1,123 closed circuit television (CCTV) cameras are working in TT. He made this disclosure in response to a question in the House of Representatives from Naparima MP Rodney Charles.

Hinds said, as of October 10, there were 1,796 CCTV cameras in use. Of this number 1,123 are fully functional while 673 are non-functional.

He added that within the latter figure, there are 365 which function in limited capacities.

Hinds said the cameras experience challenges ranging from adverse weather conditions to people shooting at them with firearms.

He told MPs the ministry is in the process of expanding the CCTV network “in order to improve efficiencies and crime management.”

Hinds was optimistic that this process could be completed within one year’s time.

Responding to another question later in the sitting from Caroni East MP Dr Rishad Seecharan, Hinds said the police are stepping up efforts to deal with crime in Kelly Village which has been identified by them as a crime hot spot.

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Ansa McAL: Way clear for Colfire purchase

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Colfire’s head office on the corner of Duke and Abercromby Street, Port of Spain – File photo/Sureash Cholai

Ansa McAl Ltd gave notice that all regulatory approvals for the acquisition of Colonial Fire and General Insurance Company Ltd (Colfire) were obtained giving way to the completion of the transaction between CL Financial and Ansa McAl.

In a notice issued pursuant to section 64(1)(b) of the securities act, Ansa shared details of the acquisition.

The notice said that on November 25, Tatil, a wholly owned subsidiary of Ansa Merchant Bank whose ultimate parent is Ansa McAl Ltd entered into a lock-up agreement with CL Financial Ltd. The agreement would ensure that CL Financial deposits 94.24 per cent of the total shares.

In a letter dated October 28, Central Bank granted approval to Ansa Merchant Bank to become a controlling shareholder of Colfire.

In March 2021, Colfire announced the divestment of the majority of its shares held by parent company CL Financial. The property and casualty insurance company was bid on by Tatil in December last year.

On Colfire’s website it boasts of having 85,000 customers and claims to be one of the top non-life insurance businesses on the market.

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Imbert: No increases in firearms licence fees since 1993

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Finance Minister Colm imbert –

FINANCE Minister Colm Imbert said there have been no changes to fees for firearms users’ licences (FUL), certificates and permits for the last 30 years, during the tenure of successive PNM, NAR and UNC governments.

But that is going to change.

Imbert gave this commitment as he opened debate on the Finance Bill 2022 in the House of Representatives on Friday.

The fee for an FUL will be increased from $150 to $300.

Imbert said additional increases to different firearms fees will be dealt with in a second finance bill which the House will debate next month (see list below).

Firearms user’s employee certificates for revenue or other public officer will remain free.

One of the increases will be in the renewal licence fee for assault weapons.

Imbert said, “We need to tighten up the Firearms Act to properly define what exactly is an assault weapon.

After doing his own research, Imbert said in the US an assault weapon is defined as “a semi-automatic weapon that can discharge a significant number of rounds (of ammunition) in a short period of time.”

Once a proper legal definition is obtained for an assault weapon, the user’s fee for assault weapons will be significantly incrreased, Imbert said.

In his budget presentation on September 26, he said, “The licence fees for ownership of assault weapons in private hands will be increased to $5,000 per year, while the annual licence fee for ownership of an assault weapon for use a firing range with be increased to $1,000.”

Imbert reiterated that Government will be increasing other fees and penalties through this bill and the second finance bill next month, including penalties for stealing scrap iron.

Imbert recalled being told by officials at National Petroleum Marketing Company Ltd that the fence and gates at a fuel depot it had in Caroni had been stolen. He also recalled other notable thefts of $200,000 sluice gates and a church bell.

Describing this as out of hand, Imbert said fines for all scrap-metal thefts will be increased from $15,000-$100,000.

Later, Minister of National Security Fitzgerald Hinds listed revenues from firearm permits and fees as: $2.64 million in 2018-2019; $3.23 million in 2019-2020; and $4.61 million in 2020-2021. Saying these earnings totalled over $10 million in a three-year period, he looked forward the bill doubling these revenues.

He remarked however that some firearm licences had been used to certify one person variously owning 15, 16 or 23 firearms purportedly for their personal protection.

Hinds said the country now has 17,600 existing firearms licences, all subject to new fees.

“For the last five years, 2017-2021 there were 7,157 firearms (applications) in the ‘ether’.

“Close to 2,250 of them would have been issued over the last three years.

He made the point that every firearm – legal or illegal – was “a lethal, barrelled weapon” that was very durable. He was pleased to note no fee was charged for disposal permits for firearm owners.

Hinds said some 7,000 illegal firearms seized by the police were being destroyed to prevent them recirculating back into the hands of violent criminals, he said on Friday.(With reporting by Sean Douglas)

Fee increases:

Member of a rifle association: FUL will move from $20 to $40.

Shotgun FUL: from $120- $240.

Firearms users’ employee certificate (handguns): from $80-$160.

Firearms users’ employee certificate (shotgun): from $50-$100.

Firearms dealer’s licence: from $500-$1,000.

Licences for gunsmiths: from $100-$200.

Firearms import permits: from $5-$10.

To take a registered firearm abroad: from $5-$10 per firearm.

Renewing an FUL: from $250-$500.

Pepper spray import permits: from $50-$100. The fees for pepper-spray permits increase by the same amount.

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