Avec une d?l?gation r?duite, Ha?ti entend se montrer ? la hauteur des enjeux de la COP 27

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Class? dans la cat?gorie “Petit ?tat insulaire en d?veloppement (PIED)”, Ha?ti salue l’inscription ? l’ordre du jour des n?gociations des pertes et dommages et s’aligne sur la position de tous les autres petits ?tats vuln?rables pour r?clamer des pays riches le respect de leurs engagements financiers au nom de la justice climatique.

<>, informe la directrice de la Direction des changements climatiques (DCC) du minist?re de l’Environnement (MDE), Gerty Pierre, qui est ? la t?te de la d?l?gation ha?tienne depuis le d?but de la COP 27.

Participant ? une des ?missions sp?ciales d’Ha?ti Climat sur la COP27, Gerty Pierre a apport? un d?menti formel sur les ondes de Magik 9 aux all?gations des gens sur les r?seaux sociaux affirmant que la d?l?gation ha?tienne est compos?e de soixante (60) membres. <>, a r?torqu? Mme Pierre rappelant que le pays conna?t actuellement une p?riode difficile.

<>, a poursuivi Gerty Pierre annon?ant avoir re?u avec joie la nouvelle pour les pertes et dommages.

<>, a rappel? la responsable de la Direction des changements climatiques soulignant que la position d?fendue par Ha?ti lors des n?gociations consiste ? tout faire pour que les PEID trouvent les moyens n?cessaires pour lutter contre les changements climatiques.

<>, a expliqu? Gerty Pierre.

Ce point a fait partie int?grante du discours prononc? par le Directeur de communication du MDE, Yves Bernard Remarais, au segment de haut niveau, en remplacement du ministre James Cadet, emp?ch?.

<>, a donc expliqu? Yves Bernard Remarais par devant la salle pl?ni?re N?fertiti dans la soir?e de mardi dernier, heure ?gyptienne.

Lundi, la d?l?gation ha?tienne a organis? son traditionnel ?v?nement parall?le pour pr?senter la position du pays en tant que pays vuln?rable et son Plan national d’Adaptation (PNA) ainsi que son document de Contribution d?termin?e au niveau national (CDN) soumis aux instances concern?es depuis le mois de f?vrier de cette ann?e.

Concernant la participation du pays dans les COP, Gerty Pierre estime qu’elle est loin d’?tre vaine. <>, a-t-elle indiqu?.

Selon un rapport analysant la liste pr?liminaire des participants ? la COP 27 publi?e par l’ONU, les ?mirats arabes unis et le Br?sil se distinguent comme les pays avec le plus grand nombre de participants potentiels, soit 1 073 et 574 personnes respectivement. Toujours selon la liste provisoire, le sommet organis? ? Charm El-Cheikh serait le deuxi?me plus important de l’histoire avec 33 000 d?l?gu?s, derri?re la COP 26 ? Glasgow avec 38 457 participants.

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, selon la FEPH

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Dans un contexte o? des milliers d’enfants ha?tiens sont priv?s du droit ? l’?ducation, Ha?ti s’appr?te ? c?l?brer la Journ?e internationale des droits de l’enfant le 20 novembre. La F?d?ration des ?coles protestantes d’Ha?ti (FEPH) dit retenir que plus de 30 ans apr?s, les droits des enfants ha?tiens n’ont jamais ?t? autant menac?s.

“L’inapplication du droit ? l’?ducation, en particulier, est r?v?latrice des conditions d?plorables, ponctu?es de violences, dans lesquelles les enfants ?voluent dans le pays”, s’insurge la FEPH dans une note de presse publi?e mardi 15 novembre.

“L’?tat doit agir urgemment pour ?viter qu’un groupe d’enfants aillent ? l’?cole tandis qu’une autre cat?gorie reste ? la maison par peur d’?tre agress?e, bless?e, tu?e et kidnapp?e dans les rues ou par manque de moyens financiers tout simplement”, a appel? l’institution chr?tienne.

La F?d?ration des ?coles protestantes d’Ha?ti dit regretter que l’?tat ha?tien n’arrive pas ? adresser convenablement le fl?au de l’ins?curit?, et ses corollaires, constituant ainsi l’entrave majeure ? la r?alisation du droit des enfants ? l’?ducation, surtout dans la r?gion m?tropolitaine de Port-au-Prince.

Pour la FEPH, l’?ducation de qualit? est la meilleure opportunit? que l’on puisse offrir ? un enfant pour se pr?server de cette violence aveugle et gratuite contre une population sans d?fense dont les conditions de vie se d?gradent de jour en jour.

La FEPH se dit, par ailleurs, solidaire de tous les acteurs ?ducatifs (?l?ves, parents, enseignants, directeurs d’?cole, organismes d’encadrement scolaire, agences de coop?ration, etc.) qui se battent corps et ?me pour le retour urgent des enfants en classe au regard du droit ? l’?ducation.

Tout en encourageant le minist?re de l’?ducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFP) ? renforcer l’initiative des ?coles de rouvrir leurs portes, la FEPH se r?jouit de la r?ouverture de plusieurs dizaines d’?coles protestantes ? travers le pays et s’attend favorablement ? d’autres efforts de ce genre de la part d’autres ?coles de son r?seau.

La FEPH en profite pour appeler la soci?t? en g?n?ral ? une grande mobilisation afin de prot?ger les enfants quelles que soient les circonstances.

“? l’approche du 20 novembre 2022 qui marquera aussi le lancement de la coupe du monde de football, il serait int?ressant de jouer le match contre l’ins?curit?, la chert? de la vie et les violations des droits des mineurs et de le gagner ensemble pour nos enfants”, a invit? le F?d?ration des ?coles protestantes d’Ha?ti.

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La Corée du Nord tire un nouveau missile et promet une riposte “féroce”

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La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile balistique, quelques heures après avoir promis une riposte “féroce” au renforcement de l’alliance militaire…

La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile balistique, quelques heures après avoir promis une riposte “féroce” au renforcement de l’alliance militaire entre Washington, Séoul et Tokyo.

“La Corée du Nord a lancé un missile balistique non identifié dans la mer de l’Est”, également appelée mer du Japon, a indiqué l’état-major sud-coréen.

Plus tôt cette semaine, au cours d’une rencontre en marge du sommet du G20 à Bali, le président américain Joe Biden avait tenté de convaincre son homologue chinois Xi Jinping d’intercéder auprès de la Corée du Nord pour qu’elle renonce à effectuer un essai nucléaire, comme Washington et Séoul lui en prêtent l’intention.

M. Biden, son homologue sud-coréen Yoon Suk-yeol et le Premier ministre japonais Fumio Kishida avaient par ailleurs, dimanche, promis une réponse “forte et ferme” si Pyongyang réalise cet essai, qui serait le premier depuis 2017 et le septième de son histoire.

Jeudi, le ministre nord-coréen des Affaires étrangères, Choe Son Hui, a condamné ces rencontres entre dirigeants, affirmant qu’elles font “entrer la situation dans la péninsule coréenne dans une phase imprévisible”.

“Actes insensés”

“Le renforcement de +l’offre américaine de dissuasion étendue+ et l’augmentation quotidienne des activités militaires des forces alliées autour de la péninsule coréenne sont des actes insensés”, a déclaré M. Choe dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle KCNA.

Plus Washington s’efforce de renforcer son alliance de sécurité avec Tokyo et Séoul, et “plus la riposte militaire de la RPDC sera féroce”, a déclaré M. Choe, en employant le signe de la République populaire et démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord.

Selon les experts, le lancement du missile de jeudi semble avoir été programmé pour coïncider avec la déclaration du ministre.

La Corée du Nord “a tiré le missile après avoir publié la déclaration quelques heures plus tôt. Elle essaye de justifier le lancement et d’envoyer un message aux Etats-Unis et au Japon”, a estimé Cheong Seong, un chercheur à l’Institut Sejong en Corée du Sud.

La Corée du Nord a procédé début novembre à une rafale sans précédent de lancements de projectiles, dont celui d’un missile balistique qui est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud. Le président Yoon a dénoncé une “invasion territoriale de facto”.

La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l’année 2017, quand le dirigeant Kim Jong Un et le président américain de l’époque Donald Trump échangeaient des menaces de guerre nucléaire.

En septembre et octobre, Pyongyang avait déjà effectué une copieuse série de tirs, dont celui d’un missile balistique qui avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.

Les dernières séries de lancements se sont accompagnées de barrages d’artillerie près de la ligne de démarcation intercoréenne et de sorties aériennes de grande envergure dans le ciel nord-coréen.

Pyongyang a justifié ses actions de novembre par l’attitude “agressive et provocatrice” de Séoul et Washington, qui menaient au même moment les plus grandes manoeuvres aériennes jamais réalisées jusque-là entre eux.

Les analystes estiment que la Corée du Nord, qui en vertu de résolutions de l’ONU n’a pas le droit de lancer des missiles balistiques, s’est enhardie face à la probabilité d’échapper à toute nouvelle sanction des Nations unies en raison des divisions au Conseil de sécurité.

La Chine, principal allié diplomatique et économique de Pyongyang, s’y est en effet jointe à la Russie en mai dernier pour opposer son veto à une tentative des Etats-Unis de renforcer les sanctions contre la Corée du Nord.

Toute sanction supplémentaire aurait par ailleurs des effets limités, estiment les analystes, la Corée du Nord s’étant déjà pratiquement coupée du monde depuis début 2020 pour tenter de se préserver du Covid-19.

kjk/ceb/roc/juf/ybl

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Le candidat Trump fera-t-il cavalier seul?

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Pour la “grande annonce” de sa nouvelle candidature présidentielle, Donald Trump avait soigné le décor: une rangée d’immenses drapeaux américains, une vaste salle à colonnes, des militants chauffés à blanc sur des chaises dorées. C’est pourtant tout…

Pour la “grande annonce” de sa nouvelle candidature présidentielle, Donald Trump avait soigné le décor: une rangée d’immenses drapeaux américains, une vaste salle à colonnes, des militants chauffés à blanc sur des chaises dorées. C’est pourtant tout autre chose qui a été remarqué: les absents.

Pas de cadre du parti républicain, d’élu influent ni de sénateur… Après les piètres performances des candidats du milliardaire aux élections de mi-mandat, quasiment aucune personnalité de la droite américaine n’a fait le déplacement jusqu’au luxueux club de Mar-a-Lago mardi soir.

“Trump leur a coûté trois élections (en 2018, 2020 et 2022) et ils préféreraient ne pas le laisser en gâcher une quatrième, en 2024”, estime Larry Sabato, professeur de sciences politiques à l’université de Virginie.

Pence et Pompeo dégainent

Trois anciens membres de l’administration Trump –son vice-président Mike Pence, son secrétaire d’Etat Mike Pompeo et l’un de ses ministres de la Défense Mark Esper– ont clairement indiqué mercredi qu’il était temps de tourner la page.

“Je pense que le temps est venu dans ce pays pour un nouveau leadership qui nous rassemblera autour de nos plus puissants idéaux”, a commenté M. Pence lors d’une réunion publique organisée par la chaîne CNN.

Tout en refusant d’écarter tout soutien à l’ancien président s’il devait remporter l’investiture républicaine, M. Pence a relevé que le processus des primaires allait sans doute offrir des alternatives: “Je pense honnêtement que nous allons avoir de meilleures options”.

M. Pompeo, candidat potentiel comme Mike Pence pour 2024, a tweeté: “Nous avons besoin de davantage de sérieux, de moins de bruit, et de dirigeants qui regardent vers l’avenir et pas dans le rétroviseur en se faisant passer pour des victimes”.

Et Mark Esper n’a pas mâché ses mots sur CNN: “Je pense qu’il est inapte pour un mandat”, a-t-il dit. “Ses actes ne sont que pour lui, pas pour le pays” et “je ne pense pas que ce soit une personne honnête”.

Mardi, la foule regorgeait de personnages hauts en couleur, qui gravitent autour de Donald Trump depuis sa défaite à la présidentielle de 2020. Le patron d’une entreprise d’oreillers qui nie fermement la réalité de l’élection de Joe Biden, un allié sulfureux de Donald Trump connu pour son tatouage de Richard Nixon dans le dos…

Signe que l’étoile du milliardaire, qui avait ces derniers mois regagné son emprise sur le parti républicain, a pâli, “le manque d’enthousiasme pour la troisième campagne présidentielle de Trump se fait sentir même au sein de sa famille proche”, remarque le politologue auprès de l’AFP.

Ni son fils Don Jr., ni sa fille adorée Ivanka –une de ses plus proches conseillères à la Maison Blanche durant son mandat– n’ont participé à cette annonce en grande pompe.

Quelques minutes après l’officialisation de la candidature de son père, Ivanka Trump s’est même fendue d’un communiqué. “J’aime beaucoup mon père”, a-t-elle déclaré. “Mais cette fois-ci (…) je ne prévois pas de m’impliquer en politique”.

“Moins d’agitation”

L’entrée dans la course à la Maison Blanche de Donald Trump, qui ne suscitait plus aucun doute, a été couverte a minima par certains médias conservateurs.

Fox News, l’une des chaînes les plus regardées des Etats-Unis et qui consacrait jusqu’à peu des heures d’antenne à Donald Trump, a choisi de le couper en plein discours.

Le New York Post, quotidien qui a une place prépondérante chez les conservateurs américains, a lui quasiment snobé l’annonce de Donald Trump.

“A 720 jours de la prochaine élection, un retraité de Floride a annoncé par surprise sa candidature à l’élection présidentielle”, a écrit, de façon ironique, le quotidien à sa 26ème page.

Les deux médias, propriétés du groupe de médias conservateurs de la famille Murdoch, ont choisi de braquer leurs projecteurs vers un autre résident de Floride, le gouverneur Ron DeSantis. Le quadragénaire, nouvelle star de la droite dure et susceptible de défier Donald Trump pour l’investiture républicaine, était lui aussi logiquement absent mardi soir.

Autre signe a priori inquiétant pour l’ancien président, plusieurs méga-donateurs du parti républicain ont fait connaître leur intention de ne plus financer quelqu’un qu’ils considèrent comme moins susceptible d’apporter une victoire à la droite.

Candidat-rebelle

Mais n’enterrez pas Donald Trump trop vite, avertissent ses alliés.

La plupart des sondages donnent encore l’ancien président, très à l’aise avec les foules, gagnant d’une primaire républicaine et une marée de casquettes rouges continue d’affluer à ses meetings.

“Le noyau dur de la base qui a soutenu Trump pendant six ans lui restera en grande partie fidèle”, prédit Larry Sabato.

Arrivé au pouvoir en novembre 2016 dans un scénario politique inédit qu’aucun ou presque n’avait prédit, Donald Trump pourrait d’ailleurs être tenté de jouer de cette position de candidat-rebelle, si les défections dans ses rangs venaient à se poursuivre.

Le milliardaire new-yorkais n’a d’ailleurs pas manqué mardi de rejouer sa partition bien connue d’un leader proche des Américains –majoritairement blancs, plutôt âgés– pas comme ces “élites” de Washington, qu’il se plaît à moquer.

“Ce sera notre campagne à tous”, a-t-il promis à ses partisans mardi soir. “La seule force assez forte pour vaincre la corruption massive à laquelle nous sommes confrontés, c’est vous, le peuple américain”, a-t-il assuré.

cjc/vgr/seb/elm/ybl

Donald Trump parmi la foule dans son club de Mar-a-Lago, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY

Un des invités à Mar-a-Lago pour l’annonce de la candidature de Donald Trump à la présidentielle, le 15 novembre 2015
• ALON SKUY

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Mondial: affaiblis, les Bleus prennent pied à Doha

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Voilà les Bleus à pied d’œuvre au Qatar: malgré un nouveau forfait sur blessure, celui de Christopher Nkunku, la France a atterri mercredi à Doha à six jours de ses débuts au Mondial-2022, suivie quelques…

Voilà les Bleus à pied d’œuvre au Qatar: malgré un nouveau forfait sur blessure, celui de Christopher Nkunku, la France a atterri mercredi à Doha à six jours de ses débuts au Mondial-2022, suivie quelques heures après de l’Argentine de Lionel Messi.

Arrivé dans la nuit de mercredi à jeudi au Qatar, Messi ne rêve que d’une chose, décrocher enfin le trophée suprême à sa cinquième tentative… Mais son jeune coéquipier du Paris Saint-Germain Kylian Mbappé ne compte pas lâcher le titre mondial si facilement.

Après deux jours de rassemblement au centre d’entraînement de Clairefontaine (Yvelines), essentiellement dédiés à la récupération, “Kyky” et les Bleus sont rentrés dans le vif du sujet mercredi. 

Arrivés au Qatar vers 19h30 locales, soit environ 17h30 à Paris, ils ont pris leurs quartiers une heure plus tard à l’hôtel Al Messila, à l’ouest du centre-ville, acclamés par plus de 200 supporters et de passants, principalement des habitants de l’émirat, Français, Indiens ou encore Libanais.

La délégation française compte un absent de dernière minute: Nkunku. L’actuel meilleur buteur d’Allemagne a été victime d’une entorse au genou gauche mardi soir, et a dû déclarer forfait.

Après Paul Pogba, N’Golo Kanté, Presnel Kimpembe et Mike Maignan, qui ont aussi jeté l’éponge, c’est une hécatombe pour les champions du monde.

Le sélectionneur Didier Deschamps a décidé d’appeler en renfort l’attaquant de Francfort Randal Kolo Muani, qui rejoindra les Bleus jeudi matin à Doha. La Fifa permet d’opérer des changements dans la liste officielle des joueurs convoqués en cas de blessure sérieuse jusqu’à la veille de l’entrée en lice.

Benzema et Varane préservés

Malgré ces contretemps, les Bleus ont été réconfortés par les supporters, en arrivant à leur camp de base d’Al Messila, un havre de paix cinq étoiles apprécié par le staff pour ses espaces verts et sa tranquillité.

Devant l’hôtel, plusieurs dizaines de fans se sont regroupés en début de soirée pour les accueillir, équipés de drapeaux, maillots, trompettes et tambours.

“Pour moi, la Coupe du monde a toujours été un rêve, et là j’ai l’opportunité de voir mon pays jouer ici au Qatar, dans mon pays d’expatriation”, s’enthousiasme auprès de l’AFP Nina-Lou Fanget, lycéenne de 18 ans vivant à Doha, qui trépigne d’impatience. “Pour nous, la Coupe du monde a déjà commencé depuis trois ans !”

Les Bleus restent néanmoins attentifs au rétablissement du leader défensif Raphaël Varane et du Ballon d’Or Karim Benzema, tous deux touchés à une cuisse et absents des séances collectives jusque-là.

L’autre préoccupation de l’équipe de France, avant le tournoi, est extrasportive: les Français ont été sommés de prendre position à propos des polémiques entourant le pays organisateur, ciblé par des ONG concernant sa gestion des droits humains, notamment sur les chantiers de la Coupe du monde.

Les critiques seront-elles éteintes par l’engagement pris mardi par les Bleus d’apporter un soutien financier à des ONG œuvrant “pour la protection des droits humains”, en rappelant au passage leur “attachement” au “refus de toute forme de discrimination” ?

Leur capitaine Hugo Lloris a assumé auprès de l’AFP le fait de “garder le focus sur le jeu et éviter de perdre de l’énergie avec ces éléments, qui ne sont malheureusement pas du ressort” des joueurs.

“La Pulga” à Doha

D’autres sélections ont pris moins de pincettes. Le camp d’entraînement des Américains a été pavoisé d’un drapeau arc-en-ciel, celui des luttes pour les droits des personnes LGBTQ+, alors que l’homosexualité est criminalisée dans l’émirat, premier pays arabe organisateur du Mondial.

Les stars du football, elles, se prêtent au jeu des pronostics depuis quelques jours.

En Argentine, Messi a tempéré l’enthousiasme débridé de ses compatriotes: “Nous ne serons pas champions d’entrée comme le pensent les Argentins. Le Brésil, la France et l’Angleterre sont un peu au-dessus du reste.”

“La Pulga” (“La Puce”) et l’Albiceleste sont arrivées jeudi à 02H30 (mercredi 23h30 GMT) à Doha: elles ont d’abord remporté un match amical contre les Emirats arabes unis (5-0), à Abou Dhabi, avec un but du génie argentin.

Derrière les favoris, aucun complexe pour une brochette d’outsiders dont les Pays-Bas, triples finalistes malheureux (1974, 1978, 2010) et éternels candidats au titre mondial, qui se sont entraînés pour la première fois mercredi à Doha.

“Si je parle de pouvoir être champion du monde à la fin du tournoi, c’est parce que nous avons les joueurs qui peuvent mettre en œuvre les plans de l’entraîneur”, a estimé leur sélectionneur Louis van Gaal, qui avait emmené les Oranjes en demi-finale au Mondial-2014.

ama/jed/rbo/lh/ybl/jnd

Le gardien et capitaine de l’équipe de France, Hugo Lloris, en conférence de presse à Clairefontaine-en-Yvelines, le 15 novembre 2022
• BERTRAND GUAY

Mondial: l’avion des Bleus s’envole pour Doha
• Justin DAVIS

Lionel Messi, attaquant star et capitaine de l’équipe d’Argentine, après son arrivée à l’aéroport de Doha, le 17 novembre 2022
• Odd ANDERSEN

L’attaquant de l’équipe de France Kylian Mbappé à son arrivée à l’aéroport de Doha, le 16 novembre 2022
• Odd ANDERSEN

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Le candidat Trump fera-t-il cavalier seul?

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Pour la “grande annonce” de sa nouvelle candidature présidentielle, Donald Trump avait soigné le décor: une rangée d’immenses drapeaux américains, une vaste salle à colonnes, des militants chauffés à blanc sur des chaises dorées. C’est pourtant tout…

Pour la “grande annonce” de sa nouvelle candidature présidentielle, Donald Trump avait soigné le décor: une rangée d’immenses drapeaux américains, une vaste salle à colonnes, des militants chauffés à blanc sur des chaises dorées. C’est pourtant tout autre chose qui a été remarqué: les absents.

Pas de cadre du parti républicain, d’élu influent ni de sénateur… Après les piètres performances des candidats du milliardaire aux élections de mi-mandat, quasiment aucune personnalité de la droite américaine n’a fait le déplacement jusqu’au luxueux club de Mar-a-Lago mardi soir.

“Trump leur a coûté trois élections (en 2018, 2020 et 2022) et ils préféreraient ne pas le laisser en gâcher une quatrième, en 2024”, estime Larry Sabato, professeur de sciences politiques à l’université de Virginie.

Pence et Pompeo dégainent

Trois anciens membres de l’administration Trump –son vice-président Mike Pence, son secrétaire d’Etat Mike Pompeo et l’un de ses ministres de la Défense Mark Esper– ont clairement indiqué mercredi qu’il était temps de tourner la page.

“Je pense que le temps est venu dans ce pays pour un nouveau leadership qui nous rassemblera autour de nos plus puissants idéaux”, a commenté M. Pence lors d’une réunion publique organisée par la chaîne CNN.

Tout en refusant d’écarter tout soutien à l’ancien président s’il devait remporter l’investiture républicaine, M. Pence a relevé que le processus des primaires allait sans doute offrir des alternatives: “Je pense honnêtement que nous allons avoir de meilleures options”.

M. Pompeo, candidat potentiel comme Mike Pence pour 2024, a tweeté: “Nous avons besoin de davantage de sérieux, de moins de bruit, et de dirigeants qui regardent vers l’avenir et pas dans le rétroviseur en se faisant passer pour des victimes”.

Et Mark Esper n’a pas mâché ses mots sur CNN: “Je pense qu’il est inapte pour un mandat”, a-t-il dit. “Ses actes ne sont que pour lui, pas pour le pays” et “je ne pense pas que ce soit une personne honnête”.

Mardi, la foule regorgeait de personnages hauts en couleur, qui gravitent autour de Donald Trump depuis sa défaite à la présidentielle de 2020. Le patron d’une entreprise d’oreillers qui nie fermement la réalité de l’élection de Joe Biden, un allié sulfureux de Donald Trump connu pour son tatouage de Richard Nixon dans le dos…

Signe que l’étoile du milliardaire, qui avait ces derniers mois regagné son emprise sur le parti républicain, a pâli, “le manque d’enthousiasme pour la troisième campagne présidentielle de Trump se fait sentir même au sein de sa famille proche”, remarque le politologue auprès de l’AFP.

Ni son fils Don Jr., ni sa fille adorée Ivanka –une de ses plus proches conseillères à la Maison Blanche durant son mandat– n’ont participé à cette annonce en grande pompe.

Quelques minutes après l’officialisation de la candidature de son père, Ivanka Trump s’est même fendue d’un communiqué. “J’aime beaucoup mon père”, a-t-elle déclaré. “Mais cette fois-ci (…) je ne prévois pas de m’impliquer en politique”.

“Moins d’agitation”

L’entrée dans la course à la Maison Blanche de Donald Trump, qui ne suscitait plus aucun doute, a été couverte a minima par certains médias conservateurs.

Fox News, l’une des chaînes les plus regardées des Etats-Unis et qui consacrait jusqu’à peu des heures d’antenne à Donald Trump, a choisi de le couper en plein discours.

Le New York Post, quotidien qui a une place prépondérante chez les conservateurs américains, a lui quasiment snobé l’annonce de Donald Trump.

“A 720 jours de la prochaine élection, un retraité de Floride a annoncé par surprise sa candidature à l’élection présidentielle”, a écrit, de façon ironique, le quotidien à sa 26ème page.

Les deux médias, propriétés du groupe de médias conservateurs de la famille Murdoch, ont choisi de braquer leurs projecteurs vers un autre résident de Floride, le gouverneur Ron DeSantis. Le quadragénaire, nouvelle star de la droite dure et susceptible de défier Donald Trump pour l’investiture républicaine, était lui aussi logiquement absent mardi soir.

Autre signe a priori inquiétant pour l’ancien président, plusieurs méga-donateurs du parti républicain ont fait connaître leur intention de ne plus financer quelqu’un qu’ils considèrent comme moins susceptible d’apporter une victoire à la droite.

Candidat-rebelle

Mais n’enterrez pas Donald Trump trop vite, avertissent ses alliés.

La plupart des sondages donnent encore l’ancien président, très à l’aise avec les foules, gagnant d’une primaire républicaine et une marée de casquettes rouges continue d’affluer à ses meetings.

“Le noyau dur de la base qui a soutenu Trump pendant six ans lui restera en grande partie fidèle”, prédit Larry Sabato.

Arrivé au pouvoir en novembre 2016 dans un scénario politique inédit qu’aucun ou presque n’avait prédit, Donald Trump pourrait d’ailleurs être tenté de jouer de cette position de candidat-rebelle, si les défections dans ses rangs venaient à se poursuivre.

Le milliardaire new-yorkais n’a d’ailleurs pas manqué mardi de rejouer sa partition bien connue d’un leader proche des Américains –majoritairement blancs, plutôt âgés– pas comme ces “élites” de Washington, qu’il se plaît à moquer.

“Ce sera notre campagne à tous”, a-t-il promis à ses partisans mardi soir. “La seule force assez forte pour vaincre la corruption massive à laquelle nous sommes confrontés, c’est vous, le peuple américain”, a-t-il assuré.

cjc/vgr/seb/elm/ybl

Donald Trump parmi la foule dans son club de Mar-a-Lago, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY

Un des invités à Mar-a-Lago pour l’annonce de la candidature de Donald Trump à la présidentielle, le 15 novembre 2015
• ALON SKUY

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Culture takes centre stage at New Wave Block Party Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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The ‘Block Party’ is back.

Coming off of a two-year hiatus, New Wave has been slowly but surely rebuilding momentum with a series of one-off pop-up events throughout this year, but Sunday marked the return of the brand’s flagship event, ‘Block Party’, in collaboration with Di Lot.

Executed as a mini festival of art, food, music, and good energy, the event celebrated these cultural pillars of Jamaica, all in one space.

“It was such a joy to finally be able to bring Block Party back! After two long years of restrictions and pent-up energy and creativity, it really was such a moment of gratitude to finally be able to bring this experience back and to curate a space for our creative and cultural communities that can really bring us all together,” shared Lindsey Lodenquai, director of New Wave Jamaica.

The return of the event saw Di Lot transformed into a 360-degree experience for the festival. DJs Brush 1 the Road Marshal, Bloodline Franco, Heatwave Fatalic, Laing D, Fyahmatic, and Circa Fatman kept the crowd moving all night, with a surprise appearance from popular dancehall dancer Energy and the Get There Squad that got the crowd moving in unison to the latest dances.

The night also featured vendors Bumble Beauty, Rachael Lane and Braata Box with their Jamaican-made products on display for patrons to browse and purchase.

The experience was topped off by a stellar exhibition from local visual artist Joshua Solas (also known as Solas Ink).

The featured works were an “exploration of language, specifically Jamaican language, diving into the roles that both words and imagery play in depicting and tapping into emotion,” Solas explained.He also had prints for sale, and live screen-printing being done of his very own limited edition T-shirt designs.

“Di Lot was really an ideal venue for the return of Block Party. The concept of Block Party is really rooted in combining several different experiences cohesively into one space, all celebrating some special aspect of our vibrant culture,” Lodenquai continued. “We’re really just always so grateful and blown away by the support that our ever-growing New Wave community has for everything we do, and that’s a big part of what pushes us to continue to think bigger.”

According to Craig Phang Sang, owner of Di Lot, his team felt that collaborating on the event was a perfect synergy.

“The energy, the vibe, the people — New Wave brings the ideal audience and experience to our space and it’s a joy to be part of an event where people can come and really enjoy themselves while celebrating our culture and what makes us unique, the Di Lot ower said.

Next up on the New Wave schedule is the fifth staging of Celebrity Closet, the brand’s annual charity thrift shop to be held at the Mini Jamaica Showroom on Lady Musgrave Road. Another mainstay of this event is the charity aspect, where part proceeds from the event are donated to a charity focused on the upliftment of Jamaica’s cultural and creative industries. This year’s proceeds will go towards the Alpha Institute.

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Sexual abuse of a 10-year-old boy and teenage girl are being investigated following reports by a principal and a father

Black Immigrant Daily News

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REAL NEWS: Two disturbing cases of sexual abuse are being investigated: one of which involves a minor male.

A source tells REAL News that the principal of a primary school took the 10-year-old boy to the Special Victims Unit (SVU) and reported that the child said he had been buggered by a known person.

The alleged offence occurred earlier this year but was not discovered until now.

Officers have questioned the child, who was scheduled to have a medical examination conducted by a doctor today, November 16.

Any sexual act with a child under the age of 12 years carries a maximum sentence of life in prison.

In a separate incident, an act of unlawful sexual intercourse is being investigated, after a father took his 16-year-old daughter to the Special Victims Unit and reported that she had had relations with a known adult male on numerous occasions.

These offences reportedly occurred between October 31, 2020 and November 2021, when she was 14 and 15 years old, respectively.

The girl was interviewed by the Police and was scheduled to undergo a medical examination at a local clinic.

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Ex-governor Gersie en Bousaid evalueren OMO’s CBvS

Black Immigrant Daily News

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PARAMARIBO — Glenn Gersie, voormalig governor van de Centrale Bank van Suriname (CBvS), moet zich buigen over de zogenoemde open

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Assurance chômage: le Parlement va ouvrir la voie à une nouvelle réforme

Black Immigrant Daily News

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Le Parlement doit adopter définitivement jeudi le projet de loi ouvrant la voie à une modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, une perspective qui hérisse la…

Le Parlement doit adopter définitivement jeudi le projet de loi ouvrant la voie à une modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, une perspective qui hérisse la gauche, l’extrême droite et les syndicats.

Les sénateurs doivent entériner en fin de matinée, par un ultime vote, un compromis trouvé avec les députés sur ce texte, qui n’a pas nécessité pour le gouvernement de recourir à l’arme constitutionnelle du 49.3 grâce à un accord trouvé avec la droite.

Le projet de loi du ministre du Travail Olivier Dussopt prévoit dans un premier temps de prolonger les règles actuelles de l’assurance chômage, issues d’une réforme contestée du premier quinquennat Macron. Un décret a été pris en ce sens par anticipation fin octobre.

Il enclenche aussi la possibilité, par décret, de moduler certaines règles de l’assurance chômage afin qu’elle soit “plus stricte quand trop d’emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé”, selon la promesse de campagne d’Emmanuel Macron.

Une concertation est en cours avec les partenaires sociaux, et le gouvernement fera connaître “les arbitrages retenus” le 21 novembre, pour une application de la modulation début 2023.

“Nous travaillons sur une modulation de la durée maximum d’indemnisation”, actuellement de 24 à 36 mois selon l’âge, a indiqué mardi M. Dussopt aux députés.

Ainsi “nous ne prévoyons pas de modifier les conditions d’affiliation au système d’assurance chômage”. Il faut six mois de travail sur une période de référence de 24 mois pour être éligible.

L’exécutif martèle qu’il y a urgence face aux difficultés de recrutement des entreprises, et fait de cette réforme une première pierre de sa stratégie pour atteindre le plein emploi en 2027, soit un taux de chômage d’environ 5% contre 7,4% actuellement.

“Nous n’avons pas plié”

Députés et sénateurs sont parvenus à un compromis sur ce texte de loi en commission mixte la semaine dernière, mais au prix d’un durcissement imposé par les sénateurs LR, auquel le ministre était initialement opposé.

Il a été ajouté que le refus à deux reprises en un an d’un CDI après un CDD ou un contrat d’intérim sur le même poste, le même lieu et avec la même rémunération, entraînera la perte de l’indemnisation chômage. Ce sera à l’employeur (ou aux deux employeurs) d’en informer Pôle emploi, ce qui pose une “difficulté technique”  pour que ce ne soit pas une “usine à gaz”, selon M. Dussopt.

“Le gouvernement n’en voulait pas, mais nous n’avons pas plié”, a affirmé à l’AFP la rapporteure du texte au Sénat Frédérique Puissat (LR).

Son homologue à l’Assemblée Marc Ferracci (Renaissance) trouve la mesure “peu opérationnelle et fragile juridiquement”, et y voit “une démarche un peu idéologique, même s’il y a un vrai sujet sur le refus de CDI”.

Une autre disposition, ajoutée par des amendements de la majorité présidentielle et des députés LR, fait encore débat: “l’abandon de poste” sera désormais assimilé à une démission, pour limiter l’accès à l’assurance chômage.

Les élus de droite “ont été force de proposition, tant à l’Assemblée qu’au Sénat”, se félicite le député LR Stéphane Viry, qui estime cependant que le projet de loi “n’épuise pas” les réformes à mener.

A l’unisson des syndicats, la gauche critique, elle, “une réforme de droite” dont l’objectif serait de “baisser les indemnités des chômeurs”.

Avant le vote définitif mardi à l’Assemblée, acquis par 210 voix contre 140, les Insoumis ont défendu en vain une dernière motion de rejet de ce texte portant, selon eux, “une vision jetable des salariés”. Les socialistes ont annoncé une saisine du Conseil constitutionnel.

Les députés RN ont également voté contre le projet de loi, par lequel “punition et culpabilisation sont à l’ordre du jour”, d’après eux.

Le projet de loi acte en outre l’ouverture d’une concertation sur la gouvernance de l’assurance chômage. Un autre volet programme une “simplification drastique” de la validation des acquis de l’expérience (VAE), selon la ministre déléguée Carole Grandjean. 

reb/adc/cs/sp/jnd

Le député Renaissance Marc Ferracci s’exprime à l’Assemblée nationale à Paris le 20 octobre 2022
• Alain JOCARD

Le ministre du Travail Olivier Dussopt arrive à l’Hôtel Matignon à Paris, le 13 octobre 2022
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Le député Stéphane Viry s’exprime lors d’une séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, à Paris le 23 mars 2021
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