En désaccord avec Washington et l’Otan, Zelensky maintient que le missile était “russe”

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Kiev a réaffirmé mercredi que le missile ayant tué deux personnes la veille dans un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine était “russe”, contredisant l’Otan et Washington qui accréditent plutôt…

Kiev a réaffirmé mercredi que le missile ayant tué deux personnes la veille dans un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine était “russe”, contredisant l’Otan et Washington qui accréditent plutôt la thèse d’un missile de défense ukrainien.

“Je n’ai aucun doute que ce missile n’était pas à nous”, a déclaré mercredi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la télévision tout en soulignant que Kiev voulait faire partie d’un groupe d’enquête international sur cet incident.

“Je crois que c’était un missile russe, conformément au rapport des militaires” ukrainiens, a-t-il ajouté alors que les responsables de l’Otan ont estimé qu’il s’agissait probablement d’un missile du système ukrainien de défense anti-aérienne.

Il a ensuite réclamé l’accès des experts ukrainiens à “toutes les données” des Occidentaux et au site de l’explosion du missile tombé en Pologne. “Nous voulons établir tous les détails, chaque fait”.

Budapest avait fustigé auparavant M. Zelensky, estimant qu’il donnait “un mauvais exemple” en affirmant que le missile était russe. “Dans une telle situation, les dirigeants mondiaux s’expriment de manière responsable”, a déclaré Gergely Gulyas, chef de cabinet du Premier ministre hongrois Viktor Orban.

La chute du missile sur le village polonais de Przewodow a fait craindre que l’Otan ne soit entraînée dans le conflit –provoquant une escalade majeure– en Ukraine, car la Pologne est protégée par un engagement de défense collective de l’Alliance atlantique.

La Russie a nié avoir tiré ce missile, Varsovie elle-même jugeant “hautement probable” qu’il s’agisse d’un projectile anti-aérien ukrainien, évoquant “un accident malheureux”.

Le missile a tué deux hommes à Przewodow en frappant un bâtiment agricole, laissant la Pologne sous le choc et son armée en état d’alerte renforcée.

La Maison Blanche n’a “rien vu qui contredise” l’hypothèse, avancée par Varsovie, selon laquelle ce missile provenait “selon toute probabilité” de la défense antiaérienne ukrainienne, a estimé mercredi une porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Adrienne Watson.

“Cela étant dit, quelles que soient les conclusions définitives, il est clair que la Russie est, au bout du compte, responsable de cet incident tragique” à cause de ses frappes contre les infrastructures civiles ukrainiennes, a-t-elle estimé dans un communiqué, en ajoutant: “L’Ukraine avait, et a, le droit de se défendre”.

“L’incident a été probablement causé par un missile du système ukrainien de défense anti-aérienne tiré pour défendre le territoire ukrainien contre les missiles de croisière russes”, a déclaré le chef de l’Otan Jens Stoltenberg, après une réunion de crise à Bruxelles.

– Pas d’attaque “intentionnelle” – 

“Rien n’indique qu’il s’agissait d’une attaque intentionnelle contre la Pologne”, a également affirmé le président polonais Andrzej Duda.

Depuis Bali où le G20 était réuni en sommet, le président américain Joe Biden avait auparavant lui aussi jugé “improbable” que le missile ait été tiré par la Russie.

Moscou a salué la “retenue” de Washington.

La Pologne avait réuni mardi en urgence son Conseil de sécurité nationale et convoqué l’ambassadeur de Russie pour “des explications détaillées immédiates”.

Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué mercredi soir avoir signifié à l’ambassadeur polonais à Moscou Krzysztof Krajewski, “le caractère inacceptable du renforcement en Pologne d’une hystérie anti-russe” après l’incident.

“Alors qu’il faisait nuit et qu’il n’y avait à ce moment-là aucune information fiable sur ce qui venait de se passer, Varsovie a jugé nécessaire de convoquer l’ambassadeur russe et de transformer cela en un show politique”, a dénoncé la diplomatie russe, tout en appelant la Pologne à ne pas prendre part à “de sales provocations”.

Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a appelé “toutes les parties concernées” à “rester calmes et à faire preuve de retenue afin d’éviter une escalade”.

– “Crime de guerre” – 

La Russie a envahi l’Ukraine le 24 février et en contrôle encore des portions de territoire, malgré une série de défaites sur le champ de bataille ces derniers mois.

La Pologne, qui a une frontière de 530 km avec l’Ukraine, est un leader régional en terme d’assistance militaire et humanitaire à son voisin oriental. Elle accueille sur son territoire quelque 10.000 militaires américains.

Le missile est tombé alors que la Russie menait mardi des frappes massives sur les infrastructures civiles ukrainiennes, qui ont laissé des millions de foyers sans électricité. Les missiles russes ont frappé des villes dans tout le pays, dont Lviv (ouest), près de la frontière polonaise.

Le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, a jugé mercredi que ces frappes de missiles russes constituaient un “crime de guerre”.

Le plus haut gradé des Etats-Unis a estimé que la Russie avait échoué sur tous les fronts dans sa guerre contre l’Ukraine, et y menait par conséquent une “campagne de terreur”.

Ces frappes, qui ont fait au moins un mort à Kiev, ont entraîné des coupures de courant généralisées en Ukraine et jusqu’en Moldavie voisine.

Moscou a nié mercredi avoir visé la capitale, affirmant que “toutes les destructions dans les quartiers d’habitation de la capitale ukrainienne (…) sont le résultat direct de la chute et de l’autodestruction des missiles anti-aériens lancés par les forces ukrainiennes”.

Chambre de torture

La semaine à venir sera “difficile” pour les habitants de la région de Kiev, a prévenu le gouverneur régional Oleksiï Kouleba, car “les destructions sont importantes” et “on s’attend à ce que (…) les températures descendent jusqu’à -10°C”.

Ces attaques russes ont eu lieu quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après plus de huit mois d’occupation.

Le service de sécurité de l’Ukraine a annoncé mercredi soir la découverte d’une “autre chambre de torture des occupants russes” à Kherson.

“Les Russes y ont gardé des patriotes locaux qui refusaient de coopérer avec l’ennemi dans des conditions inhumaines. Les habitants de Kherson ont été interrogés et brutalement torturés”, a ajouté cette source.

Le ministre ukrainien des Affaires intérieures Denys Monastyrskyi a indiqué mercredi soir que 436 procédures avaient été ouvertes après la découverte dans cette région d’éléments pouvant être qualifiés de crimes de guerre, notamment onze sites d’emprisonnement dont “quatre” ayant des traces de salles de torture.

Jusqu’à présent, “63 corps” ont été retrouvés “mais les recherches ne font que commencer et beaucoup plus de sites de torture et de mises en terre seront découverts”, a-t-il relevé, selon le site du gouvernement ukrainien.

bur-aro/elm/ybl

Le président américain Joe Biden réagit au missile tombé en Pologne, à Nusa Dua (Indonésie), le 16 novembre 2022
• SAUL LOEB

Des experts fouillent le site sur lequel est tombé un missile dans le village polonais de Przewodow, à six kilomètres de la frontière avec l’Ukraine, le 16 novembre 2022
• HANDOUT

Carte des pays membres de l’Otan et des prétendants à l’intégration à l’organisation, dont la Finlande et la Suède dont le processus de ratification de l’adhésion a été formellement lancé le 5 juillet
• STAFF

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’exprime en visioconférence sur un écran du sommet du G20 à Nusa Dua, sur l’île indonésienne de Bali, le 16 novembre 2022
• WILLY KURNIAWAN

Pologne: des habitants près de la frontière ukrainienne abasourdis après l’explosion d’un missile
• Damien SIMONART

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Assurance chômage: le Parlement va ouvrir la voie à une nouvelle réforme

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Le Parlement doit adopter définitivement jeudi le projet de loi ouvrant la voie à une modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, une perspective qui hérisse la…

Le Parlement doit adopter définitivement jeudi le projet de loi ouvrant la voie à une modulation de l’assurance chômage selon la conjoncture, une perspective qui hérisse la gauche, l’extrême droite et les syndicats.

Les sénateurs doivent entériner en fin de matinée, par un ultime vote, un compromis trouvé avec les députés sur ce texte, qui n’a pas nécessité pour le gouvernement de recourir à l’arme constitutionnelle du 49.3 grâce à un accord trouvé avec la droite.

Le projet de loi du ministre du Travail Olivier Dussopt prévoit dans un premier temps de prolonger les règles actuelles de l’assurance chômage, issues d’une réforme contestée du premier quinquennat Macron. Un décret a été pris en ce sens par anticipation fin octobre.

Il enclenche aussi la possibilité, par décret, de moduler certaines règles de l’assurance chômage afin qu’elle soit “plus stricte quand trop d’emplois sont non pourvus, plus généreuse quand le chômage est élevé”, selon la promesse de campagne d’Emmanuel Macron.

Une concertation est en cours avec les partenaires sociaux, et le gouvernement fera connaître “les arbitrages retenus” le 21 novembre, pour une application de la modulation début 2023.

“Nous travaillons sur une modulation de la durée maximum d’indemnisation”, actuellement de 24 à 36 mois selon l’âge, a indiqué mardi M. Dussopt aux députés.

Ainsi “nous ne prévoyons pas de modifier les conditions d’affiliation au système d’assurance chômage”. Il faut six mois de travail sur une période de référence de 24 mois pour être éligible.

L’exécutif martèle qu’il y a urgence face aux difficultés de recrutement des entreprises, et fait de cette réforme une première pierre de sa stratégie pour atteindre le plein emploi en 2027, soit un taux de chômage d’environ 5% contre 7,4% actuellement.

“Nous n’avons pas plié”

Députés et sénateurs sont parvenus à un compromis sur ce texte de loi en commission mixte la semaine dernière, mais au prix d’un durcissement imposé par les sénateurs LR, auquel le ministre était initialement opposé.

Il a été ajouté que le refus à deux reprises en un an d’un CDI après un CDD ou un contrat d’intérim sur le même poste, le même lieu et avec la même rémunération, entraînera la perte de l’indemnisation chômage. Ce sera à l’employeur (ou aux deux employeurs) d’en informer Pôle emploi, ce qui pose une “difficulté technique”  pour que ce ne soit pas une “usine à gaz”, selon M. Dussopt.

“Le gouvernement n’en voulait pas, mais nous n’avons pas plié”, a affirmé à l’AFP la rapporteure du texte au Sénat Frédérique Puissat (LR).

Son homologue à l’Assemblée Marc Ferracci (Renaissance) trouve la mesure “peu opérationnelle et fragile juridiquement”, et y voit “une démarche un peu idéologique, même s’il y a un vrai sujet sur le refus de CDI”.

Une autre disposition, ajoutée par des amendements de la majorité présidentielle et des députés LR, fait encore débat: “l’abandon de poste” sera désormais assimilé à une démission, pour limiter l’accès à l’assurance chômage.

Les élus de droite “ont été force de proposition, tant à l’Assemblée qu’au Sénat”, se félicite le député LR Stéphane Viry, qui estime cependant que le projet de loi “n’épuise pas” les réformes à mener.

A l’unisson des syndicats, la gauche critique, elle, “une réforme de droite” dont l’objectif serait de “baisser les indemnités des chômeurs”.

Avant le vote définitif mardi à l’Assemblée, acquis par 210 voix contre 140, les Insoumis ont défendu en vain une dernière motion de rejet de ce texte portant, selon eux, “une vision jetable des salariés”. Les socialistes ont annoncé une saisine du Conseil constitutionnel.

Les députés RN ont également voté contre le projet de loi, par lequel “punition et culpabilisation sont à l’ordre du jour”, d’après eux.

Le projet de loi acte en outre l’ouverture d’une concertation sur la gouvernance de l’assurance chômage. Un autre volet programme une “simplification drastique” de la validation des acquis de l’expérience (VAE), selon la ministre déléguée Carole Grandjean. 

reb/adc/cs/sp/jnd

Le député Renaissance Marc Ferracci s’exprime à l’Assemblée nationale à Paris le 20 octobre 2022
• Alain JOCARD

Le ministre du Travail Olivier Dussopt arrive à l’Hôtel Matignon à Paris, le 13 octobre 2022
• Bertrand GUAY

Le député Stéphane Viry s’exprime lors d’une séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, à Paris le 23 mars 2021
• Thomas SAMSON

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La Corée du Nord tire un nouveau missile et promet une riposte “féroce”

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La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile balistique, quelques heures après avoir promis une riposte “féroce” au renforcement de l’alliance militaire…

La Corée du Nord a lancé jeudi un nouveau missile balistique, quelques heures après avoir promis une riposte “féroce” au renforcement de l’alliance militaire entre Washington, Séoul et Tokyo.

“La Corée du Nord a lancé un missile balistique non identifié dans la mer de l’Est”, également appelée mer du Japon, a indiqué l’état-major sud-coréen.

Plus tôt cette semaine, au cours d’une rencontre en marge du sommet du G20 à Bali, le président américain Joe Biden avait tenté de convaincre son homologue chinois Xi Jinping d’intercéder auprès de la Corée du Nord pour qu’elle renonce à effectuer un essai nucléaire, comme Washington et Séoul lui en prêtent l’intention.

M. Biden, son homologue sud-coréen Yoon Suk-yeol et le Premier ministre japonais Fumio Kishida avaient par ailleurs, dimanche, promis une réponse “forte et ferme” si Pyongyang réalise cet essai, qui serait le premier depuis 2017 et le septième de son histoire.

Jeudi, le ministre nord-coréen des Affaires étrangères, Choe Son Hui, a condamné ces rencontres entre dirigeants, affirmant qu’elles font “entrer la situation dans la péninsule coréenne dans une phase imprévisible”.

“Actes insensés”

“Le renforcement de +l’offre américaine de dissuasion étendue+ et l’augmentation quotidienne des activités militaires des forces alliées autour de la péninsule coréenne sont des actes insensés”, a déclaré M. Choe dans un communiqué publié par l’agence de presse officielle KCNA.

Plus Washington s’efforce de renforcer son alliance de sécurité avec Tokyo et Séoul, et “plus la riposte militaire de la RPDC sera féroce”, a déclaré M. Choe, en employant le signe de la République populaire et démocratique de Corée, le nom officiel de la Corée du Nord.

Selon les experts, le lancement du missile de jeudi semble avoir été programmé pour coïncider avec la déclaration du ministre.

La Corée du Nord “a tiré le missile après avoir publié la déclaration quelques heures plus tôt. Elle essaye de justifier le lancement et d’envoyer un message aux Etats-Unis et au Japon”, a estimé Cheong Seong, un chercheur à l’Institut Sejong en Corée du Sud.

La Corée du Nord a procédé début novembre à une rafale sans précédent de lancements de projectiles, dont celui d’un missile balistique qui est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud. Le président Yoon a dénoncé une “invasion territoriale de facto”.

La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l’année 2017, quand le dirigeant Kim Jong Un et le président américain de l’époque Donald Trump échangeaient des menaces de guerre nucléaire.

En septembre et octobre, Pyongyang avait déjà effectué une copieuse série de tirs, dont celui d’un missile balistique qui avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.

Les dernières séries de lancements se sont accompagnées de barrages d’artillerie près de la ligne de démarcation intercoréenne et de sorties aériennes de grande envergure dans le ciel nord-coréen.

Pyongyang a justifié ses actions de novembre par l’attitude “agressive et provocatrice” de Séoul et Washington, qui menaient au même moment les plus grandes manoeuvres aériennes jamais réalisées jusque-là entre eux.

Les analystes estiment que la Corée du Nord, qui en vertu de résolutions de l’ONU n’a pas le droit de lancer des missiles balistiques, s’est enhardie face à la probabilité d’échapper à toute nouvelle sanction des Nations unies en raison des divisions au Conseil de sécurité.

La Chine, principal allié diplomatique et économique de Pyongyang, s’y est en effet jointe à la Russie en mai dernier pour opposer son veto à une tentative des Etats-Unis de renforcer les sanctions contre la Corée du Nord.

Toute sanction supplémentaire aurait par ailleurs des effets limités, estiment les analystes, la Corée du Nord s’étant déjà pratiquement coupée du monde depuis début 2020 pour tenter de se préserver du Covid-19.

kjk/ceb/roc/juf/ybl

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FID seizes over $2 billion worth of real estate — Chang Loop Jamaica

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The Financial Investigations Division (FID) is in possession of “well over” $2 billion worth of real estate it believes was derived from illicit activities.

National Security Minister Dr Horace Chang made the disclosure on Tuesday during a Jamaica House press briefing that was called to announce the declaration of states of emergency (SOEs) across several parishes and police divisions. He was responding to questions posed by a reporter.

His disclosure comes nine months after he told the Parliament that the FID, which is located in the Ministry of Finance, the Major Organised Crime and Anti-Corruption Agency, and the Counter-Terrorism and Organised Crime and Investigation Branch were tasked with probing whether dirty money, including from the lottery scam, was being used to fund construction projects across the country.

Deputy Prime Minister and Minister of National Security Dr Horace Chang addressing a press conference at the Office of the Prime Minister in Kingston on November 15. (Photo: JIS)

On Tuesday, he pointed to “two significant cases” reported in the media recently, which he said reflected the work of the security forces in going after the perpetrators.

One of the cases referenced by the minister involves former policeman-turned-drug boss Andrew Hamilton, who had over $500 million in assets deemed to be illegally obtained, forfeited by the State.

The Court of Appeal last Friday refused an application by Hamilton’s attorneys to challenge a forfeiture order made by the Supreme Court on July 8 that handed possession of his assets to the Government.

Based on the order, Hamilton, his family members, including his elderly mother, and his associates were stripped of 14 multimillion-dollar homes, four motor vehicles, four bulldozers; a $19-million fishing vessel and a bank account containing $19 million.

Chang noted that such cases, by their very nature, take time to prosecute and asked for understanding from the public.

“Bear in mind you’re hitting criminals with significant resources, they hire the best King’s Counsel to defend them and to challenge the legislation and law.

“So what is happening now is not only execution of the implementation of the legislation but also setting the kind of precedence that our courts demand and, therefore, they go through significant, lengthy trials,” said Chang.

“(Things) are progressing, we have a significant amount of property,” the minister added.

He said the cash that has been seized is also significant.

Chang, who is also the deputy prime minister, said that in the medium term, the aim was “the disruption, apprehension and removal from society of the criminal organisers (as) they are the ones who cause damage more than the young men who they hire to pull the trigger”.

The security minister said that while the police will bring the triggermen to book, “we have to find the resources and time to remove from society, the organisers — the ones who sell the drugs, buy the guns and distribute them.”

“The work continues and will intensify as we go along,” said Chang.

In February, Chang cited that some of the “the multi-storey apartments” and other developments in Kingston had raised a lot of questions. He pointed out that the construction sector was booming despite the downturn in economic activity triggered by the pandemic.

“You travel to some sections of Jamaica, and the level of construction even at this time, in fact certainly during the year when we had economic decline, construction went up significantly,” Chang noted.

He also cited that the sale of cement was up 20 per cent during that time.

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17-y-o girl gone missing in ‘Arnett’ after being scolded by parent Loop Jamaica

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An Ananda Alert has been activated for 17-year-old Shania Smith of Spring Path in Arnett Gardens, St Andrew, who has been missing since Sunday, November 13.

She is of dark complexion, medium build and about 165 centimetres (five feet five inches) tall.

Reports from the Trench Town police are that Shania was last seen at home at about 9pm on Sunday.

She was discovered missing after being scolded by her parent. At the time, she was dressed in a blue and-white romper and black slippers.

All attempts to locate her since then have been unsuccessful.

Anyone knowing the whereabouts of Shania Smith is asked to contact the Trench Town police at 876-948-8243, the police 119 emergency number, the nearest police station.

No photograph of Shania Smith was made available at the time of this publication.

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SLASPA Unveils New & Improved Iyanola Lounge – St. Lucia Times News

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The Saint Lucia Air and Sea Ports unveiled its remodeled and rebranded Iyanola Lounge at the Hewanorra International Airport on Friday, 11th November 2022.

The Port Council, Senior Management, staff and business partners attended the official launch and was captivated by its redefined artistic direction and eye-catching logo as the Lounge will once again open its doors to welcome the travelling public.

Established in 2004 to satisfy the requests by the airlines and the business community to provide such a service to their premium passengers and executives, the service has also been made available for use by all passengers using the airport.

The Lounge has been remodeled to accommodate 102 passengers and is equipped with well-appointed seating designed to provide maximum comfort.

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It now boasts a variety of high-quality specialized services with a strong emphasis on comfort, quality service and the availability of modern information technology to meet the demands of the traveling public.

The new focus of Iyanola Lounge is to provide excellent customer service to its clients and to capture the prestigious award for private lounges.

During the coming weeks, we also hope to commence our “Private Room Bookings” for an additional small fee.  Our range of services ranks among the best in the region and rivals that provided by the top lounges in the metropolitan countries.

The range of services and amenities offered includes:

A fully stocked complementary bar, including hot beverages
A Saint Lucian inspired menu
Private washrooms
Welcome and departure receptions

Speaking on the new and improved facility, Senior Manager, Business Development and Corporate Communications, Gasper George, lauded the commitment of its employees in embracing the strategic vision and complemented those who previously charted the course over the years.

He further noted that “the renovations embodies the true essence of all that is Saint Lucia and is poised for excellence. SLASPA is extremely proud of this accomplishment and will continue to forge linkages with strategic partners within the private and public sectors to showcase the very best of Saint Lucia.”

SOURCE: Saint Lucia Air and Sea Ports Authority

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Dancehall Artist JayBlem Arrested In Connection To New York Homicide

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Rising dancehall artist JayBlem along with five other men, were tracked down and arrested in Florida in connection with a New York homicide.

According to NBC Channel 7 News on Wednesday, JayBlem, along with five other Jamaicans, were arrested by Bay County Sheriff’s deputies and US Marshals Task Force while searching for the man who shot and killed an innocent bystander in a New York shooting in October.

The U.S. Marshal Service reportedly tracked down wanted man Anelka Green from New York to Florida. Green was wanted for a shooting outside of a New York restaurant that left one person dead. According to police reports, Green was involved in a verbal argument at a restaurant in Brooklyn in October and had left and returned later, where he fired shots into the establishment and caused an innocent bystander to be injured. The victim later died from the injuries.

It’s unclear Green’s relationship to JayBlem, but law enforcement says that Green fled New York and was later traced to a condominium in Panama City Beach. Police later executed a search warrant of the condo and arrested six persons, including JayBlem.

Police reportedly found several hundred grams of marijuana, MDMA pills, and more than $23,000 in cash.

The six men arrested are JayBlem, whose real name is Jaheim Cox, 19, Shamar Wedderburn, 22, Renato Campbell, 22, Shamarie Livingston, 22, and Kevar Taylor, 19, have been charged with possession of marijuana with intent to distribute, possession of MDMA, and possession of paraphernalia.

All of the men are said to be from Jamaica, Channel 7 news reported.

It’s unclear if the men will be charged in relation to the shooting in New York as police say that they fled the state to Florida with him. In the meantime, management for JayBlem has not commented on his arrest. The artist, who is the son of veteran dancehall artist Danny English, broke out on the scene last year with his song “Account.”

The artist has steadily released music in 2022, and his latest song, “Twerk Fi Mi Dolly,” released in June 2022, has been one of the top trending songs on YouTube with 1.4 million views.

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Vertrouwenscrisis politiebond en Amoksi krijgt aandacht

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PARAMARIBO — Het versterken van het vertrouwen tussen minister Kenneth Amoksi van Justitie en Politie (Juspol) en de Surinaamse Politiebond

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Les républicains gagnent la majorité à la Chambre américaine des représentants

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Les républicains ont repris le contrôle de la Chambre des représentants, selon des médias américains mercredi, ce qui leur donne un pouvoir de blocage sur la politique de Joe Biden jusqu’en…

Les républicains ont repris le contrôle de la Chambre des représentants, selon des médias américains mercredi, ce qui leur donne un pouvoir de blocage sur la politique de Joe Biden jusqu’en 2024 et entraîne une division du Congrès.

Après avoir échoué à s’emparer du Sénat, le parti conservateur ne disposera toutefois que d’une très courte majorité à la chambre basse, bien loin de la “vague géante” promise par Donald Trump, qui a pourtant annoncé mardi soir une nouvelle candidature à la Maison Blanche. Les lieutenants de l’ancien président ont en effet recueilli des résultats très mitigés aux élections de mi-mandat.

“Les Américains sont prêts pour une nouvelle direction, et les républicains de la Chambre sont prêts à agir”, a salué le chef des républicains à la Chambre, Kevin McCarthy, désormais favori dans la course à la tête de cette assemblée, l’actuelle “speaker” Nancy Pelosi ayant perdue sa majorité démocrate.

Le président démocrate Joe Biden a tout de suite félicité M. McCarthy, soulignant dans un communiqué qu’il compte “travailler avec quiconque – républicains ou démocrates – prêt à oeuvrer avec moi pour agir”.

NBC, CNN, Fox News et CBS ont projeté mercredi que les républicains disposeraient d’au moins 218 sièges à la Chambre, c’est-à-dire la majorité des 435.

Si les projections des médias américains se confirment sur l’ensemble des sièges, la performance de Joe Biden constituerait néanmoins le meilleur score d’un président en plus de 20 ans aux élections de mi-mandat, ce scrutin étant traditionnellement difficile pour le pouvoir en place.

Détricoter

Cette très mince majorité républicaine à la chambre basse risque d’ailleurs de compliquer sa gouvernance. Avec une Chambre républicaine et un Sénat démocrate, le parti de Joe Biden ne pourra de son côté plus faire passer de grands projets dans ce Congrès désormais divisé. Mais l’autre camp non plus.

Les républicains avaient menacé de détricoter certaines mesures adoptées sous Joe Biden s’ils reprenaient le contrôle des deux chambres. Ils voulaient notamment revenir sur les fonds alloués aux services des impôts pour engager de nouveaux agents, ou sur certaines réformes dans le monde de l’éducation. 

Les républicains pourraient en outre se montrer plus sourcilleux quant à l’aide apportée par Washington à l’Ukraine.

Ils avaient aussi prévu de s’attaquer au droit à l’avortement ou de légiférer sur les armes à feu, ce qui aurait poussé Joe Biden à faire usage de son droit de veto.

– Mur rouge – 

Le président de 79 ans ne sera finalement pas contraint de camper sur cette posture défensive. Et devra au contraire user de ses talents de négociateur, hérités de sa longue carrière de sénateur, pour éviter une paralysie de l’administration fédérale (le fameux “shutdown”). 

Mais la main tendue du président risque de se heurter à un mur rouge, la couleur des conservateurs.

Même avec une mince majorité à la Chambre, les républicains disposeront d’un pouvoir conséquent en matière de supervision, qu’ils ont promis d’utiliser pour une kyrielle d’investigations sur la gestion par Joe Biden de la pandémie ou du retrait d’Afghanistan.

Ils pourraient aussi s’en prendre à son fils Hunter, accusé d’avoir utilisé son nom pour faire des affaires en Ukraine et en Chine.

Le parti conservateur compte bien exploiter toute potentielle faille démocrate, en gardant en ligne de mire la présidentielle de 2024. Avec sa déclaration de candidature mardi, Donald Trump a lancé une lutte sans merci pour l’investiture du parti républicain pour l’élection à la Maison Blanche.

cjc-ube/pn

Kevin McCarthy à Washington, le 15 novembre 2022.
• Mandel NGAN

Le président Joe Biden le 9 novembre 2022 à Washington
• Mandel NGAN

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Lara named in 3-man panel to review Windies’ T20 World Cup performance Loop Jamaica

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West Indies batting legend Brian Lara and South African Mickey Arthur are part of a three-man independent panel assembled by Cricket West Indies (CWI) to undertake “a comprehensive review” of the Caribbean side’ first-round exit from the men’s T20 World Cup in Australia.

West Indies, champions in 2012 and 2016, were knocked out of the tournament before the Super 12s stages after defeats to Ireland and Scotland in their first-round group.

CWI, in a statement, said the early exit had “caused great disappointment and frustration among all West Indies cricket stakeholders” and saw the resignation of head coach Phil Simmons.

The three-man panel will be chaired by Justice Patrick Thompson Jr, a high court judge at the Eastern Caribbean Supreme Court.

The three-man panel has been asked to conduct “a thorough and independent review of the West Indies men’s T20 team’s preparation and performance.”

The CWI statement further added that “they will speak to as many stakeholders as practicably possible over the next six weeks, including selectors, squad members, management staff, board officials, ex-players, territorial boards and franchises and the Caribbean Premier League.

“They will collate their findings and submit their recommendations as part of a final report to CWI’s board of directors by December 15.”

Ricky Skerritt, CWI’s president, said: “It is vital that players, coaches, administrators, and all of us who love West Indies cricket, recognise that creating a sustainable learning culture, throughout the organisation, is a prerequisite for player growth and team improvement.

“Emotion-based and knee-jerk type decisions have failed CWI repeatedly in the past. I am confident that this independent World Cup review process will produce findings and learnings that should be of great benefit to our cricket system going forward.”

Lara and Arthur are currently employed by Sunrisers Hyderabad and Derbyshire respectively.

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