La répression doit cesser en Iran, exhorte l’ONU

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La répression sanglante des manifestations qui secouent l’Iran “doit cesser”, a exhorté jeudi le chef des droits de l’homme de l’ONU devant le Conseil des droits de l’homme, qui doit décider s’il veut lancer une enquête…

La répression sanglante des manifestations qui secouent l’Iran “doit cesser”, a exhorté jeudi le chef des droits de l’homme de l’ONU devant le Conseil des droits de l’homme, qui doit décider s’il veut lancer une enquête internationale sur les exactions dont est accusé Téhéran.

Les 47 Etats membres de la plus haute instance onusienne en matière de droits humains se réunissent d’urgence pour débattre de la “détérioration de la situation des droits de l’homme” en Iran, à la demande de plus de 50 pays membres de l’ONU et à l’initiative de l’Allemagne et de l’Islande.

“L’usage inutile et disproportionné de la force doit cesser. Les méthodes anciennes et la mentalité de forteresse assiégée de ceux qui détiennent le pouvoir ne fonctionnent tout simplement pas. En fait, elles ne font qu’aggraver la situation”, a déclaré Volker Türk, à l’ouverture de la réunion.

“Les manifestants iraniens n’ont pas de siège au Conseil des droits de l’homme à Genève, ils n’ont pas de voix aux Nations unies”, avait déclaré pour sa part la ministre allemande des Affaires étrangères, Annalena Baerbock avant la réunion. 

Ainsi, le Conseil “peut élever la voix pour les droits indivisibles du peuple iranien”, a ajouté Mme Baerbock, qui assistera en personne à la session.

Depuis deux mois, la répression a fait au moins 416 morts, dont 51 enfants, selon l’ONG Iran Human Rights (IHR), basée en Norvège. 

Cette vague de contestation – née de revendications pour les femmes après la mort de Mahsa Amini arrêtée pour avoir mal porté le voile islamique et qui se sont transformées en contestation du pouvoir – est sans précédent par son ampleur et sa nature depuis la Révolution islamique de 1979.

Selon M. Türk, ce qont 14.000  manifestants pacifiques qui ont aussi été arrêtés, “un nombre pharamineux”. 

La justice iranienne a déjà prononcé six condamnations à mort en lien avec les manifestations.

 Faire la lumière

Le Conseil devra décider jeudi s’il nomme une équipe d’enquêteurs de haut niveau pour faire la lumière sur toutes les violations des droits humains liées à la répression des manifestations. 

Selon le projet de résolution présenté par l’Allemagne et l’Islande, cette mission d’enquête internationale indépendante devra inclure “la dimension des violences liées au genre”.

Il s’agit de collecter les preuves des violations et de les conserver de manière à pouvoir servir à d’éventuelles futures poursuites.

De nombreux diplomates, militants des droits et autres spécialistes de l’Iran ont exprimé leur ferme soutien à l’initiative.

“Nous devons faire tout notre possible pour exposer la vérité sur ce qui se passe en Iran et soutenir les appels du peuple iranien à la justice et à la responsabilité”, a déclaré l’ambassadrice américaine Michèle Taylor.

Provocation

Téhéran pour sa part se démène pour tenter de trouver assez d’alliés pour faire échouer la résolution.

“Avec une longue histoire de colonialisme et de violation des droits de l’homme d’autres nations, les Etats-Unis et l’Europe ne sont pas en mesure de prétendre être des défenseurs des droits de l’homme”, a récemment tweeté le ministère iranien des Affaires étrangères.

Et le ministre, Hossein Amir-Abdollahian, a tweeté à l’attention de son homologue allemande que la réponse de son pays aux “positions provocatrices, interventionnistes et non diplomatiques” de l’Allemagne serait “proportionnée et ferme”.

Il n’est pas certain encore que la résolution soit adoptée.

Les diplomates occidentaux à Genève ont exprimé un optimisme prudent, mais le porte-parole du ministère allemand des Affaires étrangères, Christofer Burger, a reconnu que “l’obtention d’une majorité n’est pas certaine”.

Une résistance croissante – sous la houlette de la Russie, de la Chine ou encore de l’Iran – se bâtit dans l’enceinte du Conseil contre les efforts souvent initiés par les démocraties occidentales de faire condamner des Etats individuels pour les violations des droits humains.

Ces pays ont subi une cuisante défaite le mois dernier, quand ils ont tenté de mettre à l’agenda du Conseil un débat sur la répression menée par Pékin dans la région du Xinjiang. 

“Cela devrait passer”

Mais l’Iran pourrait avoir plus de mal à bloquer la résolution de jeudi.

Le Conseil a déjà exprimé ses inquiétudes sur le bilan de l’Iran en matière de droits humains en nommant en 2011 un rapporteur spécial pour surveiller les actions de Téhéran. Son mandat a été renouvelé chaque année.

“Cela devrait passer”, estime Omid Memarian, analyste chez Democracy for the Arab World Now (DAWN). Si c’est le cas, a-t-il déclaré à l’AFP, cela donnera “un énorme coup de pouce au moral” des manifestants et enverra un avertissement à ceux qui sont responsables de la répression que “le reste du monde ne sera pas sûr pour eux”.

nl/vog/apo/blb

Une manifestante porte un portrait de Mahsa Amini, lors d’une manifestation de soutien au mouvement de contestation en Iran, le 23 septembre 2022 à Bruxelles
• Kenzo TRIBOUILLARD

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Need to relax or ease sore muscles? Try one of these popular massages Loop Jamaica

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If you are craving some time alone and self-care, a massage is a great option.

From helping you to unplug and relax to soothing sore muscles and releasing toxins, a massage could be very beneficial to your body and overall sense of well-being.

If you have never had a massage and aren’t sure what is involved, here is a breakdown of four of the more popular ones and their benefits.

Deep tissue massage

Deep Tissue Massage

This is not for the faint hearted or tender skinned. A deep tissue massage, as the name implies, is a massage that goes deep. The masseuse works the muscles and tissues in your body, kneading them strongly to alleviate any pain and soreness you may have. This type of massage is said to be good for sports injuries, high blood pressure, and sciatica and back pain.

Swedish Massage

Perhaps the most popular type of massage, the Swedish massage is milder than the Deep Tissue, targets the upper layers of muscles, and is done primarily to help you relax and ease tension in your muscles. Masseuses use a variety of massage techniques with this massage including kneading and rolling of the flesh as well as smooth, gliding strokes.

Lymphatic Drainage Massage

If you are experiencing issues that impedes the drainage of your lymphatic fluid, this massage is for you. A gentle massage, the Lymphatic Drainage Massage aims to reduce swelling caused by a buildup of lymphatic fluid in your body, a condition known as lymphedema. Always consult your doctor before booking an appointment for this type of massage.

Aromatherapy massage combines the use of essential oils and candles

Aromatherapy Massage

This massage combines the use of essential oils and candles or incense to elicit positive feelings. Some spas offer clients a choice of oils to use on their skin depending on what they want to evoke, whether it is calm, stress relief, detoxification or pain relief among other things. Popular oils used in this type of massage include lavender, tea tree, orange, peppermint, eucalyptus and chamomile.

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UN Chief Urges Greater Global Efforts At Halving Traffic Deaths & Injuries By 2030 – St. Lucia Times News

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UN Secretary-General António Guterres has called for greater global efforts to achieve the goal of reducing traffic deaths and injuries by half by 2030.

Every year, 1.3 million people die in road accidents and 50 million more are injured, he said, making this the leading cause of death for children and young people.

The UN chief’s remarks came in his message to mark the World Day of Remembrance for Road Traffic Victims, observed annually on 20 November.

“One of the best ways to remember and honour the victims is by doing our part to make roads safer around the world”, he said.

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Development in danger

The Secretary-General also pointed out how road traffic crashes are linked to development.

Nine out of 10 victims are in middle- and low-income countries.

“Saving more lives requires ensuring more funding for safe and sustainable mobility, whole-of-society action plans and a strong prevention approach,” said Mr. Guterres.

“The United Nations Road Safety Conventions and Fund help countries strengthen national systems and infrastructure. I urge Member States and donors to support these efforts and prevent further tragedies.”

Saving young lives

Meanwhile, a UN-backed global campaign aims to prevent more boys and girls from dying in traffic accidents.

One person dies on the road every 24 seconds across the world, while 500 children die on roads globally every 24 hours, according to the UN Road Safety Fund (UNRSF), announcing the second edition of the #moments2live4 campaign.

It was launched on Sunday, which also marked World Children’s Day in addition to the World Day of Remembrance for Road Traffic Victims.

Poorer nations affected

UNRSF is a global partnership striving to help halve road deaths and injuries in low- and middle-income countries, where a staggering 93 per cent of fatal crashes occur each year.

The Fund has worked towards the adoption of region-wide safer vehicle regulations in West Africa, as well as initiatives on the safety of pedestrians and cyclists, among other activities.

The #moments2live4 campaign seeks to raise awareness about the global road safety crisis, which is hitting children over five the hardest, and to support the Fund’s $40 million replenishment target.

Awareness and empowerment

Nneka Henry, the UNRSF Head, emphasized that awareness is the first step towards addressing the global road safety challenge.

“Billions of everyday road users, thousands of corporations and over 100 governments currently sit on the side lines of inaction, largely unaware of the far-reaching dangers for our most vulnerable road users – our children. This campaign is intended to empower everyone with knowledge about how to help keep children safe on the roads,” she said.

The #moments2live4 global campaign will feature supporters, ranging from race car drivers, entertainers, world-class athletes, and leaders from UN agencies.

It will run for 10 weeks and conclude on the International Day of Education, on 24 January.

SOURCE: UN News

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Twin sisters suffering with overflowing drain by their dream home Loop Barbados

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A twin sacrificed almost every single thing they owned along with their wants and their favourites for eight years to build their dream home, but the plot on which they live is bringing them much agony, pain and tears.

Living in St Philip North, the Butcher twin took to Instagram Live tonight to appeal to government for help and assistance with a drainage issue that is plaguing their home.

Juanne said, “Sacrifice is needed,” but for all they sacrificed, the twins are up in arms and at wit’s end with their “unfair” situation. “We are calling on government to come and see. We want the prime minister to intervene. Yes she does not work with roads but she has the voice and authority. We need the help… It can’t be right…. I’m not shutting up and I’m not giving up… I need anybody in authority to come and help us. We can’t afford to be buying over things that we buy already. We cannot give up. We need the help. We are not giving up…

“We don’t want the help, we need it.”

They said that the problematic drain flows into a well, but when the catchment is full, that is when all hell breaks lose for the sisters. They told the over 300 viewers on the Live that the water overflows the sidewalk and flows onto their premises and it has flooded their basement. “It is nothing from our property that is affecting us.” They said one official who visited their home said “even a second well cannot accommodate the water, the water needs to be channeled away”.

The sisters, who started building their home at 24 years old, were moved to tears on Instagram as they talked about thousands of dollars in appliances – washing machine, dryer, fridge and deep freezer, that were destroyed when the water rose above the height of their stored items in their basement in 2019. They talked about lost buckets of paints, trowel plaster, steel and other raw materials.

The sisters showed their original application from Town and Country Planning to build on their property in St Philip as well as their copy. They said that they followed all the protocols to build their home for them and their children.

“We ain’t get up and build the house. We got permission. We follow the guidelines. We not mad people. On the second page of this document they have guidelines. So why we do everything that is right and still being punished now?”

Ju and Joy said that they went to the Drainage Division in 2020 and that investigations were conducted. They said that the second person who visited the home in Padmore Village he did not report to his superiors. Speaking in unison, they said, “He did not!” After getting no response, they went into the office and his superior questioned the absence of a record of the property visit in their presence. The drain and well were cleaned within a week of that visit and a skip was placed on their property. But that was a temporary fix for their ongoing problem.

The pair, who are unemployed, showed letters they received confirming that their letters to the Transport and Works Ministry and the Prime Minister’s Office were received. “That was all that was sent. It was just a response acknowledging. Nobody came.”

They said that they went to their representative in St Philip North desperately about their distress when they were living in their home without a well “to no avail” as well. “We needed help with the well, we didn’t have food, we didn’t have money, we needed the well so that we could stop bathing on the step at 4:30 am. So why after we struggle and get the well, we have to be in this position? All it calls for is some compassion.”

“The sad part” about this, according to the sisters is they only just fully moved into the home in March 2022, with furniture to be comfortable.

Feeling exasperated, hurt and frustrated, the two who are unemployed at this time, said, “Everything that we just accomplish is being taken from us. It is a lot. It is just a lot. This was not easy for us. We had to do a lot of sacrificing…

“But we are a testimony that we will survive, as for me and my household we will praise God. He keeps. He restores… He provides.”

Juanne said, “God is able to do everything that you ask for.” and her sister Joyanne added, “exceedingly and abundantly”.

But despited being “Grateful to God,” they stressed that they have sacrificed to the point of selling their jewellery, their dresses, clothes, shoes, and everything to invest in their home. In addition to seeking help from government, they said, “We came to this place to tell a testimony.” They said that they were afraid to come out and share their fears and their suffering because people may see it as “showing off,” but “we are asking the government to assist us with the drain issue.”

The two insisted they are not giving up and not giving in on this issue this time. They said they are not letting this die. “What happened in 2019 is not happening again. I am not going to lay down and play dead. I will keep on trying… It is only fair. How much more sacrifice do we have to make? We suffered and sacrificed… all we need is the right things to be done for us… We just want government step in and compensate for all the things we have lost. Some of these things we are still paying for.”

Ju, who lives downstairs in the two-storey home and has seen mold appearing in her home because of the water, said, “I feel like we are being pushed back when we got this far… This can be rectified…We need them [government] to hear our cry… We need an ease.”

Joy cried at the end of the IG Live saying, “People would ask why yuh crying?… Yuh crying because every time you make a step to begin to live and enjoy, you getting push down…

“We need help. Our house is on columns we cannot afford for it to come down. We had to buy back everything in 2019. They came, they saw and they left us. This time it is is different. It is harder…We want to live. We want to be at peace. We want a solution.”

Juanne said, “I tired crying… This ain’t easy.”

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Malaisie: Anwar Ibrahim, de la prison au pouvoir

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Eternel chef de l’opposition, emprisonné à plusieurs reprises avant de renaître de ses cendres, Anwar Ibrahim accède enfin au poste de Premier ministre de Malaisie…

Eternel chef de l’opposition, emprisonné à plusieurs reprises avant de renaître de ses cendres, Anwar Ibrahim accède enfin au poste de Premier ministre de Malaisie dont il rêve depuis des années.

Le roi de Malaisie, le sultan Abdullah Ahmad Shah, l’a nommé jeudi à la tête du gouvernement après que sa formation multi-ethnique et réformiste, Pakatan harapan (Alliance de l’espoir) a obtenu le plus de sièges au Parlement aux législatives de samedi.

A 75 ans, Anwar Ibrahim atteint le sommet d’un parcours politique particulièrement mouvementé, s’étendant sur quatre décennies et comprenant plusieurs séjours en prison, une carrière au cours de laquelle il a souvent changé de camp.

Fils d’un député et d’une dirigeante politique de l’Etat de Penang (nord), M. Anwar se fait connaître dans les années 1970 en tant que leader étudiant musulman. Sa participation à des manifestations dénonçant une famine en milieu rural lui vaut une première peine de prison sous un régime autoritaire.

En 1982, il surprend ses sympathisants en se joignant à l’Organisation nationale des Malais unis (Umno), la formation qui a traditionnellement dominé la vie politique en Malaisie depuis l’indépendance en 1957. Il y est vite remarqué par le Premier ministre Mahathir Mohamad, au pouvoir de 1981 à 2003.

Politicien-né et orateur plein d’esprit, M. Anwar gravit rapidement les échelons et entre au gouvernement. Il devient ministre des Finances en 1991, en se présentant comme un réformateur et en faisant l’éloge de l’Occident.

Deux ans plus tard, il devient vice-Premier ministre. Mais des divergences avec M. Mahathir sur la gestion de la crise financière asiatique de 1997-1998 se terminent mal.

Limogé par le Premier ministre d’alors, M. Anwar est ensuite condamné à six ans de prison pour corruption, puis à neuf ans de prison supplémentaires pour sodomie, un crime dans ce pays musulman. Selon certains observateurs, c’est surtout son impatience à remplacer M. Mahathir qui lui aurait valu les foudres de son ancien protecteur.

L’incarcération de M. Anwar, qui crie à la persécution politique, déclenche des manifestations de ses partisans. Ces protestations tournent rapidement au mouvement pour des réformes démocratiques.

Oeil au beurre noir

Des photos de lui avec un oeil au beurre noir, infligé en prison par le chef de la police de l’époque, sont publiées dans les journaux du monde entier, faisant de lui le symbole d’un combat qui a adopté le cri de guerre “Reformasi!” (“Réformes!”)

La rivalité entre MM. Mahathir et Anwar a dominé et façonné la politique malaisienne au cours des quatre dernières décennies, “apportant alternativement désespoir et espoir, progrès et régression à la politique du pays”, estime Oh Ei Sun du Pacific Research Center of Malaysia.

En 2004, la Cour suprême annule la condamnation pour sodomie de l’homme politique, qui est libéré.

Après une brève pause au cours de laquelle il enseigne à l’université, il revient dans l’arène politique pour diriger une coalition d’opposition lors des élections générales de 2013. Son alliance remporte 50,87% des voix, mais il échoue à rassembler suffisamment de députés pour obtenir la majorité parlementaire.

La controverse continue à suivre ce père de six enfants. De nouveau condamné pour sodomie en 2015, cette fois à cinq ans de prison, il clame son innocence et bénéficie d’une grâce royale totale, trois ans après le début de sa peine. Il revient au parlement quelques mois plus tard, en remportant une élection partielle.

M. Anwar s’allie de nouveau à M. Mahathir lors des élections de 2018, lorsque son ennemi d’antan sort de sa retraite pour défier le Premier ministre sortant Najib Razak, embourbé dans le scandale financier 1MDB.

Leur alliance remporte une victoire historique contre l’Umno et M. Najib, qui purge depuis une peine de 12 ans de prison pour corruption.

M. Mahathir redevient Premier ministre, cette fois en promettant de céder son poste à M. Anwar plus tard. Mais il ne tient jamais parole, l’alliance entre les deux hommes s’effondre au bout de 22 mois et l’Unmo revient au pouvoir.

Samedi, sa formation est arrivée en tête lors des élections législatives anticipées avec 82 sièges, loin de la majorité absolue dans ce Parlement qui compte 222 députés, mais suffisamment pour devenir le dixième Premier ministre de Malaisie.

jsm-mba/skc/leg/roc/chv/pz

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Vote “historique” attendu sur les requins au 19e sommet des espèces menacées

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Un sommet sur le commerce international des espèces menacées va décider jeudi s’il ratifie une initiative “historique” pour protéger les requins, qui donnerait un sérieux coup de frein…

Un sommet sur le commerce international des espèces menacées va décider jeudi s’il ratifie une initiative “historique” pour protéger les requins, qui donnerait un sérieux coup de frein au lucratif négoce de leurs ailerons.

Cette question a été l’une des plus discutées à la 19e Conférence des parties (COP19) de la CITES, la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées, qui rassemble 183 pays et l’Union européenne.

Le sommet, débuté le 14 novembre et qui s’achève vendredi, pourrait faire entrer des dizaines d’espèces de requins requiem (Carcharhinidae) et de requins-marteaux (Sphynidae) dans l’Annexe II de la Convention limitant strictement le commerce de certaines espèces. Une initiative soutenue par l’Union européenne et une quinzaine de pays, dont le Panama hôte du sommet.

Il s’agit d’espèces qui ne sont pas encore menacées d’extinction mais pourraient le devenir si leur commerce n’était pas étroitement contrôlé. L’Annexe I, elle, interdit complètement le commerce de certaines espèces.

Si la réunion plénière de jeudi donne son feu vert, “il s’agira d’une décision historique car pour la première fois la CITES prendrait position sur un très grand nombre d’espèces de requins qui représentent approximativement 90% du marché”, a déclaré à l’AFP la déléguée panaméenne Shirley Binder.

Le marché des ailerons de requin dépasse les 500 millions de dollars par an (483 millions d’euros). Ils peuvent se vendre 1.000 dollars le kilo en Asie de l’Est pour confectionner des soupes très réputées.

Débat intense

Avant le vote prévu, un intense débat s’était déroulé trois heures durant, le 17 novembre, au sein d’un comité de la conférence, le Japon et le Pérou proposant d’exclure certaines espèces des mesures de protection –une mesure rejetée à bulletins secrets avant l’approbation des propositions pour renforcer les protection des requins requiem et requins-marteaux.

“Nous espérons que tout soit adopté en plénière”, observe Mme Binder.

La plénière doit également voter sur la ratification d’une proposition sur la protection de la raie guitare.

Pendant les discussions du comité, plusieurs délégations dont celle du Panama avaient disposé sur leurs tables des requins en peluche, devenus ensuite une sorte de symbole du sommet.

Des délégués et responsables d’organisations de protection de la nature, observatrices au sommet, se sont montrés confiant dans l’adoption en plénière des résolutions.

“Nous espérons que rien d’extraordinaire n’arrive et que l’intégralité de ces familles de requins soit incluses dans l’Annexe II”, a déclaré à l’AFP le délégué chilien Ricardo Saez.

Si les trois propositions sur les requins requiem, requins-marteaux et raies-guitares sont votées, “nous passerions d’un contrôle sur 25% environ du commerce d’ailerons de requins à plus de 90%”, avait expliqué à l’AFP au début du sommet Ilaria Di Silvestre, responsable des campagnes européennes pour le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW). 

Extinction

“Nous sommes au milieu d’une très grande crise d’extinction des requins”, le “deuxième groupe de vertébrés le plus menacé de la planète”, avait alors souligné de son côté Luke Warwick, de la Wildlife Conservation Society.

Au total, les participants au sommet ont étudié 52 propositions pour modifier les niveaux de protection de certaines espèces.

La CITES, en vigueur depuis 1975, fixe les règles du commerce international pour plus de 36.000 espèces sauvages, allant de la délivrance de permis (plus d’un million de transactions autorisées par an) jusqu’à l’interdiction totale.

Organisé tous les deux ou trois ans, le sommet s’est déroulé cette année dans l’ombre et sous l’influence de deux autres conférences de l’ONU, elles-aussi cruciales pour l’avenir des êtres vivants sur la planète: la COP27 sur le climat qui s’est achevée dimanche en Egypte et la COP15 sur la sauvegarde de la biodiversité en décembre à Montréal.

En 2019 à Genève, la CITES avait renforcé la protection des girafes, quasi prohibé l’achat d’éléphants par les zoos, maintenu l’interdiction à l’Afrique australe de vendre ses stocks d’ivoire, et inscrit 18 requins à son Annexe II, celles des espèces dont le commerce est strictement limité.

fj/cjc/aha/lch/pz

Proportions des espèces de requins et de raies bénéficiant déjà d’une protection contre leur commerce, et des espèces dont les degrés de protection doivent être révisés pendant la COP19 de la CITES
• Julia Han JANICKI

Des ailerons de requin en vente à Hong Kong, le 17 novembre 2022
• ISAAC LAWRENCE

Pendant un vote sur la protection des requins à la COP19, à Panama le 17 novembre 2022
• Luis ACOSTA

Des ailerons de requins dans un port de pêche de Banda Aceh en Indonésie, le 16 juin 2022
• CHAIDEER MAHYUDDIN

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François-Xavier Guillerm distingué par le prix Fetkann Maryse-Condé

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Littérature

Julien Sartre
notre correspondant à Paris

Le prix Fetkann a récompensé, ce mercredi 23 novembre, des auteurs dans quatre catégories : Mémoire, Recherche, Poésie et Jeunesse. • A.J./FRANCE-ANTILLES

Le jury du prix littéraire Fetkann Maryse-Condé, réuni hier au Café de Flore à Paris, a accordé un prix spécial à François-Xavier Guillerm, auteur de « La Veste Jaune, la i pann i sek », paru récemment aux éditions Idem. Ce roman raconte les déboires et les luttes de militants nationalistes antillais, des années 1960 à nos jours.

«Ce petit livre est une espèce de grenade. J’ai
choisi de la dégoupiller pour qu’un maximum de monde le lise
 ! » C’est avec ces mots et un ton admiratifs que le
membre du jury du prix littéraire « Fetkann-Maryse
Condé », Stéphane Pocrain, a commencé par saluer le roman de
François-Xavier Guillerm. La Veste Jaune, la i pann i sek. Le prix
littéraire « Fetkann Maryse-Condé » (décerné chaque année
depuis le Café de Flore, fameuse adresse littéraire du boulevard
Saint-Germain, à Paris) a été séduit et fasciné par ce roman et ses
partis pris : il lui a accordé le Pri

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Schœlcher et le Ventôse, dix ans de parrainage

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partenariat

Face aux membres d’équipage du Ventôse, le maire Luc Clémenté a dressé le bilan de ces dix ans de partenariat et a évoqué les perspectives et actions pouvant être menées, notamment avec les établissements scolaires. • HDB

Depuis le 21 juillet 2012, Schœlcher est la ville marraine de la Frégate de Surveillance F733 « Ventôse ». Afin de marquer ces 10 années de relation, une plaque est désormais placée à l’entrée de la ville. Elle a été dévoilée vendredi dernier en présence des élus et des marins du navire.

Le Ventôse, c’est 95 marins, 30 métiers
différents. C’est dans le but de mieux faire connaitre cet
environnement professionnel et partager des expériences que la
convention de parrainage existe entre le navire et la ville de
Schœlcher. Ce partenariat fort permet d’ancrer l’unité de la marine
nationale dans le territoire martiniquais et contribue directement
à renforcer le lien armées-Nation. Durant ces dernières années, de
nombreuses actions ont pu être menées notamment en faveur des plus
jeunes avec trois objectifs : transmettre une vocation militaire,
pour qu’ils aient envie de servir leur pays à leur tour, faire
naitre l’appel du large et enfin partager une expérience
professionnelle.

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Dix jours pour lutter contre les violences faites aux femmes

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Jean-Michel Hauteville jm.hauteville@agmedias.fr

La fresque murale dévoilée à Fort-de-France, avenue Maurice-Bishop. • PHOTO JEAN-MARC ETIFIER

Le lancement, ce lundi, de la 23e édition de la campagne pour l’élimination des violences faites aux femmes en Martinique, a été marqué par l’inauguration d’une grande fresque murale à Fort- de-France. Placée sous le thème de la répétition transgénérationnelle de la violence, cette campagne durera jusqu’à la fin du mois et culminera par une journée de temps forts ce vendredi 25 novembre.

Mettre fin à la violence dont sont victimes les
femmes dans notre société, rien de moins. C’est, en tout cas,
l’objectif affiché pour cette 23e édition de la campagne pour
l’élimination des violences faites aux femmes en Martinique, ou
CEViFeM, qui a été lancée ce lundi lors d’une cérémonie officielle
à la préfecture. « Élimination, c’est un terme qui a été
choisi, je pense, à dessein », a souligné, pendant son
allocution, Joséphine Pech, substitut placé auprès du procureur
général de la cour d’appel de Fort-de-France, qui remplaçait
Clarisse Taron, la procureure de la République.

Ce terme « traduit l’ambition tant des
services administratifs que des services judiciaires de mettre tous
les outils en œuvre pour mettre un terme à ce fléau social des
violences au sein du couple », a ajouté la jeune juriste,
devant un auditoire d’une cinquantaine de personnes issues des
administrations et du milieu associatif, auxquelles s’ajoutaient
quelques élus. L’élimination des violences, « c’est un bel
horizon qu’on se fixe, mais pour autant, plus modestement, dans un
premier temps, il s’agira de réduire, ensemble, les atteintes aux
femmes, tant dans leur intégrité physique que dans leur intégrité
psychique », a nuancé la magistrate du parquet, rappelant que
« la Martinique est particulièrement touchée par ces
problématiques ».

Campagne numérique

Les chiffres sont inquiétants. L’enquête intitulée
Virage (violences et rapports de genre

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Toupiti, un magazine caribéen pour les jeunes enfants

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Wendy Noel
w.noel@agmedias.fr

Toupiti est dédié aux enfants de 3 à 6 ans.  • PHOTO DR

Yékrik vient de lancer Toupiti, un magazine mensuel thématique pour les enfants de 3 à 6 ans. Un produit 100% local qui entend faire la part belle à la culture et à la biodiversité des Antilles. 

Après Débouya, voilà Toupiti  !
Après le succès de sa box thématique mettant à l’honneur la culture
antillaise, Yékrik lance un magazine pour les tout-petits.
« Nos clients nous ont fait comprendre qu’ils aimeraient un
produit pour les maternelles », avance le fondateur Grégory
Ouana. Chaque mois, de novembre à juin, les 3-6 ans pourront ainsi
découvrir une histoire illustrée, accompagnée de quelques jeux et
de découvertes. Celle-ci sera écrite autour d’un proverbe
antillais. Pour le premier numéro,

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