Temporary water schedule for Charlotteville

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Mechanical problems at the Charlotteville Well has led to some customers in Charlotteville experiencing low water pressure or, in some cases, no water supply.

This was said in an advisory from the Water and Sewerage Authority (WASA).

The advisory, issued on Wednesday, said as a result, a temporary schedule has been implemented to ensure all affected customers receive a supply of water.

Charlotteville housing scheme will receive water on Mondays, Thursdays and Sundays from 10 am to 10 pm, Belle Aire would receive on Tuesday’s and Wednesday’s 10 am to 6pm, while Top River will receive on Friday’s and Sunday’s from 10 am to 6 pm.

Additionally, it said a limited truck-borne service is available upon request.

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Violence bas?e sur le genre : l’AJH sensibilise des journalistes

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L’Association des journalistes ha?tiens (AJH), en partenariat avec le minist?re ? la condition f?minine et aux droits des femmes, le Fonds des Nations unies pour la population , a lanc?, le mardi 22 novembre 2022, ? Kinam h?tel, deux journ?es d’atelier de sensibilisation sur les violences faites aux femmes et aux filles ? l’intention d’une trentaine de journalistes de divers m?dias. L’AJH en a profit? pour faire le lancement du <>.

En pr?lude aux seize jours d’activisme contre la Violence bas?e sur le genre (VBG), l’Association des journalistes ha?tiens, a lanc?, ce mardi, en pr?sence de Sofia Lor?us, ministre ? la condition f?minine et aux droits des femmes, des repr?sentants du Fonds des Nations unies pour la population, deux journ?es d’atelier de sensibilisation sur les violences faites aux femmes et aux filles ? l’intention d’une trentaine de journalistes de divers m?dias. Cette activit? vise ? attirer l’attention des travailleurs de la presse sur les cons?quences des VBG en soulignant la n?cessit? de mettre le sujet dans l’actualit?.

L’Association des journalistes ha?tiens a profit? de cet atelier pour pr?senter le <>. <>, a indiqu? Jacques Desrosiers, secr?taire g?n?ral de l’AJH, dans la pr?face du document

<>, a-t-il pr?cis?.

De son c?t?, la ministre de la condition f?minine et aux droits des femmes croit qu’il est p?nible de constater que les m?dias n’agitent pas, du moins pas assez, les d?bats autour de cette probl?matique combien cruciale. Ce guide, selon la ministre, <>.

<>, a ?crit Sofia Lor?us dans l’introduction du guide.

Au terme de ces deux journ?es, l’AJH, avec le support de ses partenaires, financera la r?alisation de dix reportages sur la probl?matique de la violence bas?e sur le genre en Ha?ti.

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Lent retour ? la normalit?

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Depuis le d?but du mois de septembre 2022, le pays est frapp? par une s?rie de chocs. Le choc s?curitaire, le plus important, n’est pas encore r?sorb?. Si le terminal de Varreux a ?t? lib?r? de l’emprise des gangs, les routes ne sont pas s?res dans tous les d?partements du pays et les kidnappings continuent.

Signe supr?me du difficile retour ? la normale, mis ? part la r?gion m?tropolitaine de Port-au-Prince, acheter de l’essence rel?ve encore du parcours du combattant dans plusieurs coins du pays et le march? noir impose encore ses prix.

L’?cole aussi est encore en crise. Apr?s avoir rat? la rentr?e de septembre puis celle d’octobre, le minist?re de l’Education nationale et de la Formation professionnelle tarde ? b?tir un troisi?me calendrier scolaire. Pour l’instant moins de 20% des ?l?ves ont repris le chemin de l’?cole. La formation est en grande souffrance et tout un secteur ?conomique est mis sur pause. L’?cole esp?re une normalisation d’ici janvier 2023.

La vie ?conomique aussi est au ralenti. Entre manifestations, destructions, fermetures, incapacit?s de produire, hausse g?n?ralis?e du prix des intrants et de l’?nergie, patrons et ouvriers, entrepreneurs et commer?ants sont aux abois. Les faillites se multiplient et les banques font le d?compte des mauvais payeurs incapables de joindre les deux bouts dans un pays o? il n’existe aucun syst?me de protection sociale ou financi?re.

La vie politique aussi tra?ne les pieds. Personne ne peut encore indiquer une voie ? suivre. Il n’y a pas de propositions fermes sur la table ni de leaders ? montrer la route. Pour le moment, les sanctions am?ricaines et canadiennes animent les d?bats mais n’acc?l?rent pas encore le processus de consolidation du consensus ha?tien.

Combattre le chol?ra ne se fait pas au bon rythme. Le gouvernement semble tout attendre de la communaut? internationale. Il n’est m?me pas capable de mettre en place une campagne de communication solide. Il laisse passer l’occasion de la Coupe du monde pour parler ? la population.

M?me ?chec avec la situation en R?publique dominicaine. Les responsables ha?tiens sont aux abonn?s absents. Ils subissent la situation comme tous les Ha?tiens et apprennent aux nouvelles les rebondissements. Ha?ti ne cherche pas ? peser sur les prochaines ?lections en R?publique Dominicaine alors que le sujet ha?tien et nos compatriotes sont variables d’ajustement chez nos voisins.

Le retour ? la normale qui passe par un gouvernement qui gouverne et une population qui esp?re en des lendemains meilleurs n’est pas encore sur les rails en Ha?ti en cette fin de novembre 2022.

La normalit? dans un pays normal se fait attendre d?sesp?r?ment.

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Les ?tats-Unis d?gainent de lourdes sanctions contre le sucre de la R?publique dominicaine

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L’administration Biden a annonc? mercredi des sanctions contre une entreprise dominicaine, la Central Romana Corporation, en bloquant ses exportations de sucre sur le territoire am?ricain. Cette soci?t? dominicaine, accus?e de soumettre ses travailleurs ? de mauvaises conditions de travail, produit du sucre qui est vendu aux ?tats-Unis sous la marque Domino, et repr?sente 62,84 % du quota de sucre ?tabli pour la R?publique dominicaine pour le march? pr?f?rentiel am?ricain.

“? compter du 23 novembre 2022, le personnel des douanes et de la protection des fronti?res (CBP) des ?tats-Unis dans tous les points d’entr?e am?ricains retiendra le sucre brut et les produits ? base de sucre produits en R?publique dominicaine par Central Romana Corporation Limited (Central Romana)”, informe un communiqu? de l’agence am?ricaine, CBP, auquel le journal a eu acc?s.

Les douanes et la protection des fronti?res des ?tats-Unis ont ?mis ce qu’on appelle une ordonnance de retenue contre l’entreprise dominicaine “sur la base d’informations qui indiquent raisonnablement l’utilisation de travail forc? dans ses op?rations”, et disent avoir identifi? cinq des 11 indicateurs de travail forc? de l’Organisation internationale du travail au cours de son enqu?te, ? savoir abus de vuln?rabilit?, isolement, retenue de salaire, conditions de travail et de vie abusives et heures suppl?mentaires excessives.

<>, a d?clar? le commissaire par int?rim de la CBP, Troy Miller. “L’agence continuera d’?tablir une norme mondiale ?lev?e en enqu?tant de mani?re agressive sur les all?gations de travail forc? dans les cha?nes d’approvisionnement am?ricaines et en emp?chant les marchandises contamin?es d’entrer aux ?tats-Unis.”

“Les fabricants comme Central Romana, qui ne respectent pas nos lois, subiront des cons?quences alors que nous ?liminons ces pratiques inhumaines des cha?nes d’approvisionnement am?ricaines”, a d?clar?, de son c?t?, AnnMarie R. Highsmith, sous-commissaire ex?cutive du Bureau du commerce de l’agence, dans ledit communiqu?.

Central Romana a rispot? en d?clarant qu’elle ?tait “tr?s d??ue” par la d?cision et qu’elle investissait consid?rablement depuis des ann?es pour am?liorer les conditions de vie de ses employ?s. “Nous sommes en d?saccord avec v?h?mence avec la d?cision car nous ne pensons pas qu’elle refl?te les faits concernant notre entreprise et le traitement de nos employ?s”, a d?clar? l’entreprise sanctionn? mercredi dans un communiqu?.

Central Romana, qui est le plus grand propri?taire foncier et employeur de la R?publique dominicaine, exporte chaque ann?e plus de 200 millions de livres de sucre aux ?tats-Unis. C’est le plus grand producteur de sucre de la R?publique dominicaine. Une industrie qui exporte pour plus de 100 millions de dollars de produits aux ?tats-Unis chaque ann?e.

Selon les donn?es de Pro Dominicana, l’homologue du Centre de Facilitation des Investissements (CFI) ha?tien, les exportations de sucre sous forme solide repr?sentent 1,2 % des exportations de la R?publique dominicaine vers les ?tats-Unis entre janvier et octobre de cette ann?e, soit 125,82 millions de dollars. De plus, le pays voisin y a export? pour 22,87 millions de dollars de m?lasse de canne.

Les ?tats-Unis constituent donc le plus important march? pour le sucre dominicain, et cette d?cision pourrait avoir un effet paralysant sur Central Romana, qui produit ? elle seule environ 59 % du sucre de la R?publique dominicaine, selon le d?partement am?ricain de l’Agriculture.

Cela pourrait ?galement entra?ner des perturbations importantes des importations am?ricaines de sucre ? court terme, bien que les ?conomistes aient d?clar? que l’impact sur les prix du sucre, qui sont fortement influenc?s par la r?glementation, reste ? d?terminer, avance le New York Times.

L’industrie sucri?re dominicaine fait l’objet d’un examen minutieux depuis des d?cennies pour ses mauvaises pratiques de travail. Les m?dias et les groupes de d?fense des droits de l’homme ont d?clar? que Central Romana exerce un pouvoir ?norme sur ses travailleurs, dont beaucoup sont des migrants ha?tiens et dont certains n’ont pas la citoyennet?.

De nombreux travailleurs vivent dans des logements d?labr?s sans eau courante ni ?lectricit?, selon des groupes de la soci?t? civile. L’entreprise a ?galement ?t? accus?e d’avoir expuls? de force des familles de leurs maisons en R?publique dominicaine et d’avoir employ? des gardes masqu?s et arm?s qui intimident les travailleurs.

Central Romana a publiquement d?fendu ses pratiques et a d?clar? qu’elle offrait parmi les meilleures conditions de travail du secteur.

Une d?l?gation du Congr?s qui s’est rendue en R?publique dominicaine et a rencontr? des travailleurs cet ?t? a d?clar? que le pays avait fait des progr?s dans la lutte contre certains des pires abus, notamment le travail des enfants et la traite des ?tres humains.

Mais la d?l?gation, rapporte le New York Times, a quand m?me trouv? des preuves que le travail forc? persistait dans les exploitations de canne ? sucre de la compagnie. Les coupeurs de canne ? sucre ?taient confront?s ? “des conditions de travail et de vie difficiles” et “une culture de la peur semble impr?gner l’industrie”, ont d?clar? le repr?sentant Earl Blumenauer, un d?mocrate de l’Oregon, et le repr?sentant Dan Kildee, un d?mocrate du Michigan, dans un communiqu?.

Central Romana appartient en partie ? la famille Fanjul, tr?s influente dans la politique am?ricaine depuis des d?cennies en tant que principaux donateurs des r?publicains et des d?mocrates.

La famille Fanjul, des exil?s cubains qui ont d?marr? des fermes de canne ? sucre en Floride et acquis la soci?t? dominicaine dans les ann?es 1980, exercent depuis des d?cennies une puissante influence sur l’?chiquier politique am?ricain. Elle est connue pour ses relations avec la famille Bush, les Clinton et le s?nateur r?publicain de Floride, Marco Rubio, entre autres.

Les Fanjul sont copropri?taires d’American Sugar Refining, la plus grande raffinerie de sucre au monde, qui transforme le sucre de la R?publique dominicaine dans ses installations am?ricaines et le vend ? des entreprises telles que Hershey.

Dans son rapport de septembre 2022 intitul? <>, l’Organisation internationale du travail estime que pr?s de 28 millions de travailleurs souffrent dans des conditions de travail forc? dans le monde. Les entreprises ?trang?res exploitent le travail forc? pour vendre des biens en dessous de leur valeur marchande.

“Cela nuit ?galement aux entreprises respectueuses des lois, menace les emplois am?ricains et expose les consommateurs ? soutenir involontairement des pratiques commerciales contraires ? l’?thique. Le fl?au de la traite des ?tres humains expose les populations vuln?rables ? des conditions de travail inhumaines comme la violence physique et sexuelle, l’isolement, la restriction des d?placements, la retenue des salaires, les heures suppl?mentaires excessives, etc.”, indique le communiqu? de la CBP.

Cette sanction prononc?e ? l’encontre de Central Romana est la derni?re mesure prise par les ?tats-Unis pour lutter contre le travail forc? et d’autres violations des droits de l’homme dans le monde. En septembre 2022, le d?partement am?ricain du Travail a identifi? la canne ? sucre de la R?publique dominicaine dans sa liste des biens produits par le travail des enfants ou le travail forc?, et le d?partement d’?tat am?ricain a plac? la R?publique dominicaine sur sa liste de niveau 2 dans son rapport de juillet 2022 sur la traite des personnes.

Sources combin?es

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Chol?ra : la coop?ration Suisse fait don de trois tonnes de mat?riel ? la DINEPA

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La coop?ration Suisse-Ha?ti a fait don d’un stock de mat?riel de potabilisation d’eau ? Ha?ti en vue de lutter contre le chol?ra dont la r?surgence est devenue pr?occupante. Le directeur g?n?ral de la Direction nationale de l’eau potable et de l’assainissement (DINEPA) a re?u, mardi 22 novembre, ? l’a?roport international Toussaint Louverture, ce stock de mat?riels pour la production de produits chlor?s.

Environ 3 tonnes de mat?riel compos? de 17 ?lectrolyseurs, de r?servoirs d’eau et autres permettront ? la DINEPA de rendre accessible l’eau potable dans les zones o? les infrastructures hydrauliques de l’institution font d?faut.

Le chef de mission de l’ambassade de Suisse en Ha?ti, Fabrizio Poretti, pense que ce mat?riel va aider la DINEPA ? ?tablir son plan d’action. Il se r?jouit que l’ambassade de Suisse ait r?agi tout de suite pour aider Ha?ti en ces temps difficiles avec la r?apparition du chol?ra.

“On a essay? d’avoir le plus vite possible du mat?riel pour r?pondre ? cette ?pid?mie. On a suivi les ordres de la cellule de crise mise en place par la DINEPA dans une situation tr?s difficile. On a particip? ? une r?union de coordination car, comme vous le savez, la Suisse pr?side la r?union des partenaires. C’?tait important de travailler avec les Nations Unies et les autres partenaires pour montrer que la Suisse r?pond vite aux besoins de la population ha?tienne”, a d?clar? M. Poretti. Il a tenu ? rappeler que la Suisse n’intervient pas seulement dans l’aide humanitaire mais participe ?galement au programme de renforcement de la gouvernance locale de l’eau potable et de l’assainissement dans le Sud et dans les Nippes.

La DINEPA apte ? produire du chlore

La DINEPA qui importait par an entre 300 et 500 tonnes de chlore est en mesure de produire du chlore pour rendre l’eau potable. Toutes les 2 heures 30, une unit? peut produire 2 600 gallons de chlore. Une quinzaine d’unit?s sont disponibles. Les bladers (r?servoirs d’eau) sont capables de stocker entre 3 mille et 5 mille gallons d’eau. L’eau sera distribu?e dans des zones d?termin?es, a fait le num?ro un de la DINEPA, qui reconna?t que le plus gros probl?me de la DINEPA se trouvait dans la disponibilit? des intrants (produits chlor?s).

Le directeur g?n?ral de la DINEPA, Guito ?douard, a remerci? le peuple suisse ? travers la coop?ration suisse de l’ambassade de Suisse en Ha?ti pour ce “don pr?cieux surtout en p?riode de r?surgence du chol?ra en Ha?ti que nous croyons avoir ?limin? apr?s 3 ans sans chol?ra en Ha?ti”.

Ces 3 tonnes de mat?riel, selon Guito Edouard, peuvent desservir environ 15 mille personnes en eau potable. Elles vont produire le chlore sur place afin de purifier l’eau pour la distribution le plus vite possible, se r?jouit ?douard, soulignant que toutes ces maladies sont li?es ? l’utilisation mauvaise de l’eau.

“La Dinepa fait des efforts avec l’accompagnement des partenaires dont la coop?ration suisse en Ha?ti. Toutefois la p?nurie de carburant, crise de peyi l?k affecte l’institution. Les clauses contractuelles avec les firmes exigent plus d’argent quand il y a retard sur les projets”, se plaint M. ?douard. Il regrette de ne pas respecter la promesse de rendre disponible l’eau ? Anse-?-Veau ? cause du peyi l?k. Selon Guito ?douard ce probl?me affecte le projet initi? avec la coop?ration suisse ? hauteur de 600 mille dollars am?ricains pour la r?habilitation du r?seau d’eau de Chardonni?re.

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Tuesday hearing for UNC local government election injunction

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Political activist Ravi Balgobin-Maharaj. –

NEXT TUESDAY, the High Court will hear arguments on the emergency application filed for injunctive relief as part of the legal challenge to the possible delaying of local government elections by a year.

On Wednesday, Justice Jacqueline Wilson set November 29 for oral submissions on the injunction application of activist Ravi Balgobin-Maharaj who is asking the court to restrain all councillors and aldermen, who were elected after the December 2, 2019 local government election, from acting beyond December 3, 2022.

In the alternative, Balgobin-Maharaj wants the offices of all councillors and aldermen declared vacant from December 4.

His application was filed on Monday, two days after the judge set January for the trial of his challenge of the Government’s decision to proclaim parts of the recently-passed Local Government Reform Act.

The act allows for the possible delaying of local government elections by a year. Wilson had set January 9 and 10 as trial dates.

Balgobin-Maharaj wanted a decision on his challenge before December 3, when the term of councillors and aldermen would have expired if the law was not changed.

In the injunction application, Balgobin-Maharaj contends, “Should the councillors and aldermen be permitted to conduct their functions in circumstances where they might be occupying their offices unlawfully and without legitimate authority, it would be an affront to the rule of law and contrary to the democratic principles contained in the Constitution.

“It is decidedly not in the public interest for such a state of affairs to be permitted. The court, as the guardian of the Constitution and the last bastion and protector of the rule of law, ought not to allow such a risk to occur especially in circumstances where granting the injunction will not cause any prejudice or injustice. The court has an inherent and overriding duty to uphold and vindicate the rule of law.”

Balgobin-Maharaj, a voter in the Maracas/Santa Margarita electoral district, said he was aggrieved by the decision taken by Cabinet and announced recently by Local Government and Rural Development Minister Faris Al-Rawi.

The amendments to the Municipal Corporations Act were passed on June 14 with a simple majority in Parliament, and the two sections proclaimed on November 7, which extend the life of the terms of all councillors and aldermen by an extra year, are being challenged in the lawsuit.

His lawsuit contends the decision of the Cabinet was unauthorised, contrary to law and an abuse of power to “retrospectively apply an amendment to the law to increase the terms of councillors which ultimately delays the local government election.”

The activist wants declarations to put a stop to the alleged government plan to postpone the local election, and said any attempt to delay it by retrospectively applying the amendments to the Municipal Corporations Act would be a fraud committed on the electorate, in bad faith, and would amount to improper use of the legislation.

He is asking to court to quash the declaration that local government elections are now due between December 4, 2023, to March 4, 2024, and the decision to extend the term of office of all councillors and aldermen.

On Wednesday, the judge said she will give her ruling on the injunction application at the close of oral submissions next Tuesday. Balgobin-Maharaj is represented by Anand Ramlogan, SC, Jayanti Lutchmedial, Renuka Rambhajan, Robert Abdool-Mitchell, Natasha Bisram, and Vishaal Siewsaran. The Cabinet and Al-Rawi are represented by Douglas Mendes, SC, Rishi Dass and Anala Mohan.

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Tobago talk show host launches ‘Every Child is your Child Foundation’

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Talk show host Deryck Brathwaite is flanked by friends foundation on Wednesday at the Shaw Park Cultural Complex – Kinnesha George-Harry

The death of nine-month-old Salileen Ramsaroop on September 21 has moved Talk show host Deryck Brathwaite to launch an NGO called the Every Child is your Child Foundation.

In speaking at the launch at the Shaw Park Cultural Complex on Wednesday, Brathwaite referred to reports of a Princes Town woman who injected a crying baby girl with a poisonous substance to stop her from crying two months ago.

The nine-month-old child became unresponsive and was taken to the Princes Town District Health Facility, where she was examined and transferred to the San Fernando General Hospital (SFGH), where she reportedly died. The woman has since been charged.

On Wednesday, Brathwaite said, “I’m saying somebody fell down along the way as not to respond to her cry. She would have been crying in the wilderness and there was no place for her to go.

“Of course, you would hear them saying that there is the Child Protection Authority and other authorities that are there to support people in need of that nature. They would not come to a building or come to a seminar or anything of that nature, they have immediate needs.”

He said there has to be a way to meet people with immediate needs.

“There has to be a grassroot foundation that could accommodate those individuals that are affected by social faults. There are those individuals who are out there that need whatever help, and hence this foundation.”

Brathwaite said the aim of the foundation is to reach every child regardless of their social status, social standing and community background, to empower and to inspire the hopeless and downtrodden in the society.

He said that the vision is to reach vulnerable children who may require support in any adverse circumstance to treat with their needs.

“What that speaks to – we just have to be our brother’s keeper. We are not here for fame or to look popular, or to sound like we’re doing this for the Facebook likes. This is about real issues to affect people’s lives differently in a positive way.”

He said his foundation was offering an opportunity to look out for one another.

“Loosely we often refer to a tradition that we all grow up with in this Tobago space. Particularly that it takes a village to raise a child. We use it loosely. And half of us don’t even know what it meant for the village to raise a child.

“That is no longer part of our culture, our practice, given that you maybe cannot reach a child and correct them and guide them accordingly. You’ll get in trouble for that.”

He said, currently, within the society, “there is lack of brotherly love, neighbourly love and support for each other.”

The foundation, he said is in the process of being registered.

Spiritual friend of Brathwaite, Marva Berkeley said she sees the foundation as an answer to the ills within the society.

“Just coming out of a pandemic, so many children would have fallen through the cracks in the education system, we realise that crime is on the increase especially among younger persons and sometimes the root of this is just that they need help.

“They need – whether its spiritual help, whether its just a plate of food or a toy or just to be hugged, just to be recgnised and it is really an honour for me to be part of this.”

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Manzanilla Mayaro, SS Erin roads temporarily closed

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A screenshot, taken from drone footage by C Beharry, shows a portion of the Manzanilla Mayaro Road which collapsed because of continuous flooding on Wednesday. –

Chairman of the Mayaro/Rio Claro Regional Corporation Raymond Cozier has slammed the Ministry of Works and Transport for its “wait and see” approach to fixing roads, after the main thoroughfare from Mayaro to Sangre Grande was cut off by a collapsing road.

Children missed school on Wednesday, and workers stayed away from their jobs as part of the Manzanilla Mayaro Road collapsed, owing to flooding and erosion.

People who could not afford the longer and costly alternative routes via Rio Claro and Biche, which is also hazardous because of landslips and falling trees, remained at home, hoping for an early resolution to the situation.

Later on in the day, the Ministry of Works and Transport ordered the closure of the road between the 61km to 70km marks, saying it had become a hazard to the public.

In a statement, the ministry said the heavy flooding was caused by water from the Nariva Swamp draining onto the roadway at four locations and outfalls into the sea.

“However, due to high water levels in the swamp, there is significant flooding across the surface of the roadway and there has been an erosion of a section of the embankment and road structure.

“Due to the hazardous nature of the roadway, the Manzanilla Mayaro road is closed at this time, pending our structural assessment.”

Saying it regrets the inconvenience, the ministry advised drivers to seek alternative routes where possible.

The Public Transport Service Corporation (PTSC) has also temporarily suspended all services to Guayaguayare operating out of its Sangre Grande depot.

Commuters using this service have been advised to make alternative arrangements until further notice. PTSC said services will resume once it is safe to do so.

In a telephone interview on Wednesday, Cozier said for quiet a number of days the constant rainfall has left the water at a high level in the area known as The Coconuts, spilling onto the roadway.

“The force of the water has started to erode the road. This morning we saw the erosion and it is going to get worse if that water continues to rush along that area.”

He said while that portion of the road falls within the jurisdiction of the Sangre Grande Regional Corporation (SGRC), “it has impacted on us.

“Many of our children pass that way to get to school. Their parents are already hard-pressed to send them to school, and that new route they would have to take through Rio Claro and pass through Biche is very costly.

“Taxis passing through the water also increased their fares. Parents cannot afford that cost so a lot of kids have been home for the past days.

“A lot of people from Mayaro work at the Grande hospital. People from Port of Spain come to Guya to work, so it is impacting very negatively on our region.”

What is worse, Cozier said, is that the ministry is not offering any solution.

“It is a wait-and-see game right now. Like they are waiting for the water to run off to see what can be done.”

The ministry also ordered the temporary closure of the SS Erin Road. It said this became necessary after a portion of that road also collapsed near the 24.4km mark, corner of Skinner Trace, on Wednesday.

The ministry said slope stabilisation work is to be done, but at this time the relocation of utility services is underway and work will commence once the weather condition is favourable.

It has advised commuters to use alternative routes via John Field Road onto the Fyzabad Branch Road. SEE PAGE 8

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Zipline company is real

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A copy of a document which Tobago PNM leader Ancil Dennis says proves zipline company is legitimately registered in the BVI. PHOTO TAKEN FROM ANCIL DENNIS’ FACEBOOK PAGE –

PNM Tobago Council political leader Ancil Dennis has revealed that Original Canopy Tours Enterprises Ltd, which earned a THA contract in 2015 to build a 1.5km zipline in Tobago’s Main Ridge that never materialised, does exist.

At a news conference last Friday, Chief Secretary Farley Augustine claimed the company was not legitimate.

He made the claim after the THA received two freezing orders against the Original Canopy Tours Enterprises Ltd – one in Trinidad and Tobago and another in the British Virgin islands (BVI) where the company is based.

One order was granted against Richard Graham and Darren Hreniuk, of Original Canopy Tours by Justice Kevin Ramcharan on November 5. The other was granted last Thursday by Justice Gerhard Wallbank in the Eastern Caribbean Supreme Court’s commercial division for the High Court of the BVI.

The Progressive Democratic Patriots (PDP) had criticised the PNM and former Tobago Council leader Davidson-Celestine for its handling of the failed project in the run up to the January 2021 THA election.

The party had claimed that the project, which was a major talking point of the campaign, never came to fruition despite several millions being spent. Davidson-Celestine was secretary of tourism when the project was announced in 2015.

She has repeatedly denied any wrongdoing, saying that the project had barely got off the ground when she left office to take up duties as ambassador to Costa Rica in April 2017.

But weeks before the December 6, 2021, THA election, the former Dennis-led THA administration sued the company for alleged breach of contract.

At the news conference, Augustine had said, “After commencing civil proceedings against Original Canopy Tours Ltd for the receiver of millions of dollars spent on the project, it was discovered that the company was not in fact a legitimate company.”

He claimed the THA’s attorneys, John Jeremie, SC, did the necessary search in the BVI where the company was said to be registered, based on its registration documents presented to the THA “But I just found that the company just does not exist there at all.”

Augustine said the matter is now in the hands of the police.

But at a news conference, carried live on his Facebook page on Wednesday, Dennis denied Augustine’s claim that Original Canopy Tours Enterprises Ltd was not a legitimate company.

Dennis read from a document headlined, Territory of the British Virgin Islands: BVI Business Company’s Act 2004, Certificate of Good Standing.

He revealed the name of the company is OCT Enterprises Ltd and its BVI company number 430213.

“The company is not only in existence but by virtue of the information within this document, this company is also in good standing,” he said.

Dennis said he has already transmitted this information to the relevant players.

“I am also going to share it with you the members of the public, you Tobagonians so you can see for yourself how your chief secretary has once again opted to mislead the people of Tobago, just like he did back in 2020, leading up to the January 2021 Tobago House of Assembly election.”

He added, “I am going to post this now to my Facebook page so that you the people can see this document for yourself and it will be transmitted to the relevant players in this matter.”

Dennis said he pursued the matter “relentlessly and diligently” during his tenure as chief secretary from May 2020 to Dec 2021.

“When we got to the point of finding information that told us what transpired with the zipline we took the matter to court because it was the responsible thing to do.”

He added, “But the records will show and it is right there in the Division of Tourism and in the Office of the Chief Secretary that we procured the legal advice in May 2021 and the instruction was given immediately to take the matter to court.

“And with all the required processes and preparations that had to be done by the attorney this matter was not filed until November 2021, one month before the THA election.”

Dennis again noted that Original Canopy Tours is a bonafide company.

“It is my expectation that this matter will continue to be pursued in the court of law so that the people will firstly be furnished with the truth and all the relevant information concerning this zipline and all that transpired with that project.”

Dennis said he is also hoping “if the possibility exists that we will be able to recoup every bit of expenditure that was utilised in this project. That is my hope and expectation concerning this matter.”

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Chine: nouveau record de cas Covid, sur fond de grogne de la population

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Le nombre quotidien de cas Covid a atteint un nouveau record en Chine, ont annoncé jeudi les autorités qui multiplient les confinements stricts, les tests de masse et les restrictions de voyage, au risque…

Le nombre quotidien de cas Covid a atteint un nouveau record en Chine, ont annoncé jeudi les autorités qui multiplient les confinements stricts, les tests de masse et les restrictions de voyage, au risque d’épuiser la population, dont la colère gronde.

La Chine a répertorié 31.454 cas mercredi, dont 27.517 sont asymptomatiques, a déclaré le bureau national de la Santé.

Ces nouveaux chiffres sont supérieurs aux 29.390 infections enregistrées à la mi-avril, lorsque Shanghai – la troisième ville la plus peuplée du monde – était sous confinement et que ses habitants avaient du mal à acheter de la nourriture et à accéder aux soins médicaux.

Ces chiffres apparaissent relativement faibles au regard de la vaste population chinoise, qui compte plus de 1,4 milliard d’habitants, et des records observés dans les pays occidentaux au plus fort de la pandémie.

Mais dans le cadre de la stricte politique de “zéro Covid” que Pékin applique inlassablement, la moindre hausse des cas conduit à fermer des villes entières et à placer les contacts des patients infectés en stricte quarantaine.

Cette stratégie implacable provoque la lassitude et le ressentiment de pans entiers de la population alors que la pandémie, détectée fin 2019 en Chine, approche de sa troisième année.

La Chine est la seule grande économie au monde à encore imposer de telles restrictions, suscitant des protestations sporadiques.

Des centaines d’employés de la plus grande usine d’iPhone du monde ont manifesté leur colère contre leurs conditions de vie sur leur immense site industriel de Zhengzhou, dans le centre du pays, soumis à un strict confinement depuis octobre.

Plusieurs grandes villes, dont Pékin, Shanghai, Canton et Chongqing, ont également renforcé les restrictions sur les cas positifs.

Le centre manufacturier de Canton, dans le sud du pays, où près d’un tiers des cas de Covid ont été découverts, a construit des milliers de chambres d’hôpital temporaires pour accueillir les patients.

“Lent, coûteux et cahoteux”

A Pékin, qui connaît ces derniers jours une flambée épidémique, des dizaines d’immeubles résidentiels ont été confinés et les entreprises généralisent le télétravail.

La capitale exige un résultat négatif au test PCR de 48 heures pour pouvoir entrer dans les lieux publics tels que les centres commerciaux, les hôtels et les bâtiments gouvernementaux, a indiqué le gouvernement de la ville. 

Ecoles, restaurants et commerces à nouveau fermés, peur d’être placé en quarantaine: une grande partie des habitants de Pékin sont désormais épuisés mentalement par ces restrictions, souvent vagues et changeantes, dont la durée n’est jamais annoncée à l’avance. 

La capitale a annoncé mercredi près de 1.500 nouveaux cas positifs (l’immense majorité asymptomatiques) pour 22 millions d’habitants, un niveau qui reste très faible selon les critères internationaux.

La réaction des autorités chinoises paraît disproportionnée comparée à celle de nombreux autres pays du monde, qui ont appris à vivre avec le virus.

Mais la Chine n’a pas encore approuvé l’utilisation publique de vaccins à ARNm plus efficaces, et seuls 85% des adultes de plus de 60 ans avaient reçu deux doses de vaccins nationaux à la mi-août, selon les autorités sanitaires chinoises.

Et Shijiazhuang, une commune voisine de Pékin qui était considérée comme une ville pilote pour tester les stratégies de réouverture, est revenue sur la plupart de ses mesures d’assouplissement cette semaine. 

“Le chemin vers la réouverture pourrait être lent, coûteux et cahoteux”, a déclaré Ting Lu, économiste en chef pour la Chine chez Nomura, dans une note. “Les fermetures complètes de type Shanghai pourraient être évitées, mais elles pourraient être remplacées par des fermetures partielles plus fréquentes dans un nombre croissant de villes en raison de la montée en flèche du nombre de cas de Covid.”

prw/oho/chv/ybl

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