Prome encuesta di sangura pa e islanan ABC den casi 75 aña

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ORANJESTAD (AAN): Na 2018, Naturalis Biodiversity Center a realisa e prome encuesta di sangura pa e Islanan Hulandes di Bou di Biento (Sint Maarten, Sint Eustatius y Saba) den casi 70 aña.

Na november nan tin planea di ripiti e encuesta aki, e biaha aki pa e islanan di Aruba, Bonaire y Curaçao.

   E ekipo lo consisti di cinco investigado  y dos studiante di diferente instituto y universidad, y lo worde ehecuta den colaboracion estrecho cu unidad local di control di vector di cada isla.

   Ademas di ta un molester domestico, e sanguranan por plama un serie di patogeno cerca hende y bestia  cu ta responsabel pa causa malesa manera dengue, chikungunya, malaria, Zika, keintura di Rift Valley and West Nile. Den e ultimo decada, Caribe a mira un serie di brote di malesa transmiti pa sangura, incluyendo e brote di chikungunya di 2014, e brote di Zika di 2016 y varios brote di dengue, e ultimo documenta na aña 2020.

   Encuesta di sangura: Un estudio nobo, dirigi pa Naturalis Biodiversity Center di Leiden, Hulanda, lo evalua e biodiversidad actual di sangura na e islanan di Aruba, Bonaire y Curaçao. E meta lo ta pa bishita  cada isla durante 7 pa 10 dia, poniendo 10 pa 16 trampa pa inventarisa sangura adulto.

   Ademas nan lo tuma muestra di  larva di lama di varios posibel criadero di sangura. E encuestanan aki lo tuma luga entre dia 13 di november y dia 6 di december, cuminsando na Aruba. E meta di e expedicion ta pa adkiri conocemento tocante e diversidad di sangura y establece herment di identificacion pa yuda e investigacion di salud publico na e islanan.

   Implicacion pa salud humano: Hopi biaha, durante un brote, e unico manera pa frena un malesa di plama ta door di controla e poblacion specifico di sangura cu ta responsabel pa e plamamento. Por lo tanto, un maneho eficaz ta rekeri  informacion actualisa tanto tocante e poblacion di sangura como tocante su distribucion na e islanan.

   A medida cu e condicionnan, debi na cambio climatico cu continua di cambia condicion ambiental, hunto cu un aumento den e poblacion humano di e islanan, nos por spera di mira cambio den otro poblacionnan ecologico (manera sangura) den futuro.

   E expedicion aki ta parti di e Mobocon Program, cu ta enfoca riba desaroyo  di capacidad pa control di malesa transmiti pa sangura na Bonaire, Sint Eustatius y Saba. E programa aki a cuminsa caba na aña 2017 y ta financia pa Ministerio Hulandes di Salud, Bienestar y Deporte.

galleryProme encuesta di sangura ABC/gallery

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Mondial-2022: “Nous sommes devant une page blanche”, affirme Deschamps à l’AFP

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Aux commandes des Bleus depuis plus de dix ans, Didier Deschamps, 54 ans, part d’une “page blanche” au Mondial-2022 malgré le sacre de 2018. “Ce qui a été fait, je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole”…

Aux commandes des Bleus depuis plus de dix ans, Didier Deschamps, 54 ans, part d’une “page blanche” au Mondial-2022 malgré le sacre de 2018. “Ce qui a été fait, je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole”, affirme le sélectionneur dans un entretien à l’AFP.

Q: Une fois au sommet mondial, où trouve-t-on la motivation pour aller chercher encore plus ? 

R: “Quand on y est, c’est tellement beau, tellement bon. Être compétiteur, c’est ne pas se satisfaire de ce qui a été fait, mais faire ce qu’il faut pour continuer à gagner. C’est très difficile de gagner, surtout une Coupe du monde, et c’est encore plus difficile de gagner à nouveau. Le succès a tendance à effacer beaucoup de choses. Tout n’est pas forcément rose quand on gagne: il faut savoir comment on y est parvenu, les ingrédients de base qu’on y a mis. Il y a la qualité, le talent, mais seuls, ils ne suffisent pas. Sans le mental, l’état d’esprit et la détermination, c’est impossible de s’imposer à ce niveau.”

Q: Est-ce que les échecs post-2018… 

R: “(Il coupe) Echec, fiasco… Ce sont des mots. Il y a des nuances aussi. Il y a eu une élimination prématurée (en 8e à l’Euro-2021). Pouvoir rebondir, c’est important. Le football de haut niveau est impitoyable. Heureusement d’ailleurs, c’est ce qui fait sa richesse. L’ADN de cette équipe, c’était la solidité. En l’espace de dix minutes, on l’a perdue, pour différentes raisons. Dès que tu fais moins, tu donnes la possibilité à l’adversaire d’en profiter.”

Q: L’étiquette de champion du monde pèse-t-elle sur les joueurs, même ceux arrivés après 2018 ?

R: “Je ne sais pas, mais elle est là. La difficulté, c’est qu’on ne peut pas aller plus haut. On ne peut que faire aussi bien. Avec une attente plus importante. Le statut n’offre pas de garantie ni de sécurité. Nous sommes devant une page blanche, avec une nouvelle histoire à écrire, forcément différente.”

Q: Pour la première fois, vous abordez une Coupe du monde en fin de contrat. Est-ce que cela change quelque chose ? 

R: “Rien. Je n’ai jamais commencé une compétition en pensant à ce qui se passerait après. Ma première vie (de joueur) m’offre cette sérénité-là. Je vais tout faire pour que ça se passe bien. De toute façon, même quand tu as un contrat qui court après la compétition, si ça ne se passe pas bien…”

“Je me méfie du copier-coller”

Q: En quoi les précédentes Coupes du monde vous servent-elles à l’approche de celle-là ?

R: “La répétition, l’accumulation, c’est ce qu’on appelle l’expérience. Ce mot m’énervait un petit peu quand j’étais jeune. Je n’aurais pas la prétention de dire aujourd’hui que je sais ce que je dois faire. Mais au moins, je sais parfois ce que je ne dois pas faire, et ce n’est déjà pas mal. Je me méfie néanmoins du copier-coller. Une même situation mais avec deux joueurs différents, deux endroits différents ou deux moments différents n’entraîne pas forcément la même réponse.”

Q: Avez-vous un exemple ?

R: “Pour la préparation de la finale de l’Euro-2016, on avait choisi une option un peu +émotionnelle+ par rapport à la famille et l’entourage (une vidéo des familles des joueurs avait été diffusée avant la finale, NDLR). Cela a été quelque chose de fort pour nous, mais a certainement un petit peu conditionné psychologiquement les joueurs. En 2018, j’ai fait en sorte de faire différemment.”

Q: Cette Coupe du monde marque-t-elle la fin d’une génération, comme après l’Euro-2000 ?

R: “Pourquoi ? Parce que Lama, Blanc et moi avions décidé d’arrêter ? Certains ne sont pas là sans l’avoir décidé. Je décide pour eux. Cela a été le cas après 2016, après 2018. La concurrence m’amène à décider.”

Q: Et aujourd’hui, avez-vous déjà tranché sur votre avenir ?

R: “J’ai décidé de tout faire pour amener l’équipe de France le plus haut possible à la Coupe du monde. Le reste ne rentre pas dans mon esprit. Tout est possible.”

Q: Vous empêchez-vous d’y penser ?

R: “Cela ne sert à rien puisque je n’ai pas les réponses.”

“Je ne m’attribue rien”

Q: Etes-vous soucieux de laisser une trace ?

R: “Non mais c’est facile de le dire maintenant ! Ce qui a été fait a été fait, mais je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole. Je ne suis pas là non plus pour faire rire, mais pour obtenir les meilleurs résultats. Je ne m’attribue rien. Ce n’est pas une recherche personnelle de ma propre réussite. La réussite, tu la vis à travers la victoire des joueurs.”

Q: Certains viennent-ils toutefois en sachant qu’ils seront remplaçants ? 

R: “Ils le savent plus ou moins d’eux-mêmes. Mais ça peut aller très vite. Si je prends l’exemple de 2018, certains ont commencé le premier match et n’ont pas joué le deuxième. L’équipe qui a joué le deuxième match est celle qui est allée au bout. Cela peut aussi évoluer plus tard, comme en 1998 à partir des quarts de finale.”

Q: Comment maintenir la flamme de ceux qui ont déjà gagné ?

R: “Ils connaissent la difficulté de gagner. Ils sont compétiteurs, pas blasés. Quand tu as le bonheur de gagner, tu n’as qu’une envie: continuer à gagner. Il peut y avoir des moments de relâchement mais il y a beaucoup d’exigence. L’état d’esprit, c’est la base.”

Q: Malgré votre longévité, on vous entend peu sur les sujets extra-sportifs. Pourquoi ?

R: “Parce que lorsque vous m’interrogez, ce n’est pas le citoyen français qui répond mais le sélectionneur de l’équipe de France, avec des obligations inhérentes à ma fonction. Je peux donc avoir des avis et me faire un devoir de les garder pour moi, parce que ce que je dis n’engage pas que moi. Vous pouvez penser que c’est de la langue de bois alors que mon intention, c’est d’être respectueux avec l’institution avec laquelle je suis engagé.”

Q: Comme sur le Qatar par exemple ?

R: “Je le répète, chacun a et aura la liberté de s’exprimer. Y compris les joueurs, qui diront ce qu’ils ont à dire si on les interroge. Nous avons juste fait en sorte qu’ils soient informés sur la situation sur place. Pour avoir un avis, c’est essentiel. Je crois même qu’il serait faux de penser qu’ils sont déconnectés des problèmes de société. En ce qui me concerne, j’ai déjà apporté des réponses que l’on a bien voulu entendre. Ou pas. Sur le Qatar, il me semble avoir été clair: participer ne signifie pas cautionner. Nous sommes les hôtes d’un pays organisateur. Comme cela a été le cas, il ne faut pas l’oublier, il y a quatre ans en Russie et huit au Brésil. Cette décision (d’attribuer le Mondial au Qatar, ndlr) n’a pas été prise il y a quelques semaines ou quelques mois. C’était il y a plus de dix ans. Ça ne nous empêche pas de rester vigilant et attentif à notre niveau. Je dépends d’une fédération, qui a fait les démarches nécessaires, à son niveau, pour que tout se passe du mieux possible sur place. Croyez-moi, nous ne sommes pas dans notre bulle, insensibles aux problèmes des autres.”

Entretien réalisé avant l’annonce mercredi de la liste des Bleus sélectionnées pour le Mondial-2022 par Christophe BELLEUDI et Antoine MAIGNAN.

ama-jta-cb/chc

Le sélectionneur Didier Deschamps lors d’une conférence de presse à Paris le 9 novembre 2022
• FRANCK FIFE

Le sélectionneur de l’équipe de France de football Didier Deschamps, lors d’une conférence de presse à Paris le 9 novembre 2022
• FRANCK FIFE

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Addis Abeba dit contrôler 70% du Tigré, que l’aide afflue, démenti rebelle

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L’aide humanitaire “afflue” au Tigré que l’armée fédérale contrôle à 70%, a affirmé vendredi le gouvernement d’Addis Abeba, affirmations immédiatement démenties par les rebelles de cette région du nord de l’Ethiopie, quelques jours après un accord de paix…

L’aide humanitaire “afflue” au Tigré que l’armée fédérale contrôle à 70%, a affirmé vendredi le gouvernement d’Addis Abeba, affirmations immédiatement démenties par les rebelles de cette région du nord de l’Ethiopie, quelques jours après un accord de paix censé mettre fin à deux ans de guerre.

Ces assertions contradictoires interviennent en pleins pourparlers depuis lundi entre chefs militaires des deux camps à Nairobi, sur la mise en oeuvre de l’accord de paix signé le 2 novembre à Pretoria, notamment le désarmement des forces rebelles, le rétablissement de l’autorité fédérale au Tigré et l’acheminement de l’aide.

“70% du Tigré est sous le contrôle de l’ENDF”, la Force de défense nationale éthiopienne, assure sur Twitter Redwan Hussein, conseiller à la sécurité nationale du Premier ministre Abiy Ahmed, ajoutant que “l’aide afflue comme jamais auparavant” au Tigré, “même dans les zones non contrôlées par l’ENDF”.

Ces affirmations “ne s’appuient sur aucune réalité”, a répondu à l’AFP Getachew Reda, porte-parole des autorités rebelles du Tigré.

Un travailleur humanitaire basé au Tigré a également démenti à l’AFP toute arrivée d’aide dans cette région de six millions d’habitants quasi-coupée du monde et en proie à une très grave crise humanitaire.

M. Redwan n’a pas précisé si le contrôle “de 70% du Tigré” par l’ENDF résultait de conquêtes militaires antérieures à l’accord de paix ou de retraits ou transferts d’autorité de la part des forces rebelles depuis l’accord.

“aucune aide autorisée”

La reprise des combats fin août avait interrompu le gros de l’acheminement au Tigré de nourriture et de médicaments, déjà insuffisant auparavant, et la région est depuis plus d’un an privée de services tels que télécommunications, électricité ou banques.

Selon M. Redwan, “35 camions de nourriture et trois camions de médicaments sont arrivés à Shire”, grande ville du nord du Tigré, sous contrôle depuis mi-octobre des forces fédérales et de son alliée l’armée érythréenne, et “les vols sont autorisés”.

“Ce que tweete M. Redwan est complètement faux, absolument aucune aide n’est autorisée à entrer à Shire”, a assuré à l’AFP, sous le couvert de l’anonymat, une source humanitaire basée dans la ville, ajoutant qu’”aucun service n’a été rétabli et aucun vol n’est autorisé”.

Malgré l’accord de paix, l’accès à une partie du nord de l’Ethiopie, dont le Tigré, reste interdit aux journalistes et il est donc impossible de vérifier ces assertions et de connaître les positions précises des belligérants avant ou depuis l’accord de paix.

Le tweet de M. Redwan pourrait répondre à celui publié par le Bureau Afrique du département d’Etat américain, le citant nommément et appelant au respect des engagements pris à Pretoria.

impatience américaine

“Redwan Hussein avait dit (lundi) à Nairobi que l’aide humanitaire affluerait sans entraves d’ici la fin de la semaine comme convenu à Pretoria”, rappelle le bureau Afrique dans son tweet. “Les Ethiopiens vulnérables au Tigré, en Afar et en Amhara (régions voisines aussi touchées par le conflit, nldr) ont besoin d’aide maintenant”.

“Nous attendons des mesures urgentes afin que soit respecté et mis en oeuvre l’accord” de paix, ajoute la diplomatie américaine, avec le mot-dièse “#NairobiTalksMustDeliver” (“les pourparlers de Nairobi doivent fournir des résultats”).

Mercredi, le patron de l’OMS Tedros Adhanom, lui-même Tigréen et ancien haut responsable du parti dont sont issues les autorités rebelles, avait déjà dénoncé l’absence d’arrivée d’aide au Tigré depuis l’accord.

“Après l’accord de cessez-le-feu, je m’attendais à ce que la nourriture et les médicaments arrivent immédiatement. Ce n’est pas le cas”, déclaré à la presse le Dr Tedros, demandant leur “livraison immédiate” et “la réouverture des services de base”  ainsi que l’accès de la presse au Tigré.

Le conflit au Tigré a commencé en novembre 2020 quand M. Abiy y a envoyé l’armée fédérale arrêter les dirigeants de la région qui contestaient son autorité depuis des mois et qu’il accusait d’avoir attaqué des bases militaires fédérales sur place.

Le bilan de cette guerre marquée par d’innombrables exactions et qui s’est déroulée largement à huis clos, est inconnu. Mais l’International Crisis Group (ICG) et Amnesty international (AI) le décrivent comme “un des plus meurtriers au monde”.

txw-ayv/mj

Redwan Hussein Rameto (g), représentant du gouvernement éthiopien et Getachew Reda (d), représentant des rebelles tigréens, se serrent la main après la signature d’un accord de cessation des hostilités, le 2 novembre 2022 à Pretoria, en Afrique du Sud
• PHILL MAGAKOE

Des victimes du conflit au Tigré, à l’hôpital de Gondar le 20 novembre 2020
• EDUARDO SOTERAS

Un convoi du Programme alimentaire mondial (PAM) en route vers le Tigré, à Erebti le 9 juin 2022
• EDUARDO SOTERAS

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Aux Invalides, des militaires blessés peuvent remarcher à l’aide d’un exosquelette

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Permettre aux militaires blessés, cloués dans un fauteuil, de se remettre debout et marcher: c’est désormais possible à l’Institut national des Invalides à Paris, qui vient de se doter d’un…

Permettre aux militaires blessés, cloués dans un fauteuil, de se remettre debout et marcher: c’est désormais possible à l’Institut national des Invalides à Paris, qui vient de se doter d’un exosquelette, un outil novateur de rééducation.

Dans cet établissement de pointe spécialisé dans la prise en charge des blessés de guerre et du grand handicap, le docteur Laurence Mailhan, médecin de rééducation, a enfilé ce robot marcheur pour une démonstration.

Après installation d’un harnais autour de son buste, elle passe de la position assise à la position debout et débute une marche guidée par le robot. 

Ses membres inférieurs sont assistés de deux structures mécaniques qui doublent celle de son squelette. 

Conçu pour maintenir l’équilibre du patient en position debout, l’exosquelette “Atalante” permet aussi de réaliser des exercices de renforcement des membres inférieurs, du tronc et des membres supérieurs.

“Pour les patients qui pourront remarcher, c’est un gain de temps dans la rééducation”, explique le Dr Mailhan. 

Mais, pour ceux qui ne le pourront jamais, les bénéfices sont également nombreux: “il a été démontré que la position verticale permet de lutter contre l’ostéoporose ou les risques de fractures. Elle peut aussi améliorer le transit ou les troubles urinaires, les capacités respiratoires et l’endurance”, énumère-t-elle.

Depuis son lancement il y a trois ans, une vingtaine d’hôpitaux en France ont investi dans l’achat d’un tel robot, conçu par la start-up française Wandercraft.

Si quelques concurrents en fabriquent d’autres dans le monde, “notre modèle est le seul qui s’équilibre tout seul et n’oblige pas à utiliser des béquilles pour se stabiliser”, assure le co-fondateur de la société, Jean-Louis Constanza. 

Coût de l’exosquelette: 220.000 euros. L’association Solidarité défense, qui accompagne le personnel militaire et civil des armées, l’a offert à l’Institut national des Invalides avant l’été.

“Après une phase de formation des personnels de santé à la rentrée, il est désormais opérationnel”, se félicite son président, l’ancien ministre Jean-Marie Bockel.

“A hauteur des regards”

Chaque année, entre 250 et 300 militaires français sont blessés en opérations. Grâce à cette acquisition, leur parcours de soin “va être amélioré”, projette l’association.

Le dispositif nécessite d’être sécurisé en étant accroché à des rails au plafond ou à un système de “lève-malade”.

“A minima, deux personnes encadrent le patient”, explique Laurence Mailhan. Mais tous les blessés ne pourront pas en bénéficier: “il y a des limites de taille, de poids, d’amplitude articulaire”. “On vérifie aussi qu’il n’y a pas eu de perte osseuse pour limiter le risque de fractures”, explique-t-elle.

Ainsi, César (pseudonyme), ancien militaire de 35 ans, resté tétraplégique après une mission au Sahel il y a dix ans, souffre désormais d’ostéoporose, ce qui restreint pour lui la possibilité d’utiliser l’exosquelette. 

“Si seulement il avait existé au moment de ma rééducation…”, regrette-t-il. 

Pensionnaire aux Invalides depuis neuf ans, il a toutefois pu le tester une fois: “ce qui m’a marqué, c’est de me retrouver à la hauteur des gens, des regards, et non plus en position d’infériorité physique”, confie-t-il.

Virginie Dubost, 37 ans, en fauteuil depuis un accident de surf il y a cinq ans, insiste aussi sur l’aspect “psychologique”: “rien que le fait d’être debout, face-à-face avec quelqu’un, c’est juste génial!”

Pour cette “civile”, qui suit des séances de kiné à l’hôpital de jour des Invalides, la marche avec l’exosquelette complète bien sa rééducation. “La première fois que je l’ai essayé, ça m’a un peu épuisée mais au fil du temps, j’ai senti que ça renforçait mes muscles et mon cardio”, témoigne-t-elle. Chaque séance hebdomadaire est devenue “ma bulle de plaisir”, complète-t-elle.

ito/jdy/cel/sp

Une médecin teste un exosquelette lors d’une présentation à l’hôpital des Invalides, le 9 novembre 2022 à Paris
• STEPHANE DE SAKUTIN

Un exosquelette présenté à l’hôpital de Invalides, le 9 novembre 2022 à Paris
• STEPHANE DE SAKUTIN

Des infirmières préparent un exosquelette pour une présentation à l’hôpital des Invalides, le 9 novembre 2022 à Paris
• STEPHANE DE SAKUTIN

Des infirmières installent un exosquelette sur une médecin pour une démonstration à l’hôpital des Invalides, le 9 novembre 2022 à Paris
• STEPHANE DE SAKUTIN

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Mondial-2022: “Nous sommes devant une page blanche”, affirme Deschamps à l’AFP

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Aux commandes des Bleus depuis plus de dix ans, Didier Deschamps, 54 ans, part d’une “page blanche” au Mondial-2022 malgré le sacre de 2018. “Ce qui a été fait, je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole”…

Aux commandes des Bleus depuis plus de dix ans, Didier Deschamps, 54 ans, part d’une “page blanche” au Mondial-2022 malgré le sacre de 2018. “Ce qui a été fait, je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole”, affirme le sélectionneur dans un entretien à l’AFP.

Q: Une fois au sommet mondial, où trouve-t-on la motivation pour aller chercher encore plus ? 

R: “Quand on y est, c’est tellement beau, tellement bon. Être compétiteur, c’est ne pas se satisfaire de ce qui a été fait, mais faire ce qu’il faut pour continuer à gagner. C’est très difficile de gagner, surtout une Coupe du monde, et c’est encore plus difficile de gagner à nouveau. Le succès a tendance à effacer beaucoup de choses. Tout n’est pas forcément rose quand on gagne: il faut savoir comment on y est parvenu, les ingrédients de base qu’on y a mis. Il y a la qualité, le talent, mais seuls, ils ne suffisent pas. Sans le mental, l’état d’esprit et la détermination, c’est impossible de s’imposer à ce niveau.”

Q: Est-ce que les échecs post-2018… 

R: “(Il coupe) Echec, fiasco… Ce sont des mots. Il y a des nuances aussi. Il y a eu une élimination prématurée (en 8e à l’Euro-2021). Pouvoir rebondir, c’est important. Le football de haut niveau est impitoyable. Heureusement d’ailleurs, c’est ce qui fait sa richesse. L’ADN de cette équipe, c’était la solidité. En l’espace de dix minutes, on l’a perdue, pour différentes raisons. Dès que tu fais moins, tu donnes la possibilité à l’adversaire d’en profiter.”

Q: L’étiquette de champion du monde pèse-t-elle sur les joueurs, même ceux arrivés après 2018 ?

R: “Je ne sais pas, mais elle est là. La difficulté, c’est qu’on ne peut pas aller plus haut. On ne peut que faire aussi bien. Avec une attente plus importante. Le statut n’offre pas de garantie ni de sécurité. Nous sommes devant une page blanche, avec une nouvelle histoire à écrire, forcément différente.”

Q: Pour la première fois, vous abordez une Coupe du monde en fin de contrat. Est-ce que cela change quelque chose ? 

R: “Rien. Je n’ai jamais commencé une compétition en pensant à ce qui se passerait après. Ma première vie (de joueur) m’offre cette sérénité-là. Je vais tout faire pour que ça se passe bien. De toute façon, même quand tu as un contrat qui court après la compétition, si ça ne se passe pas bien…”

“Je me méfie du copier-coller”

Q: En quoi les précédentes Coupes du monde vous servent-elles à l’approche de celle-là ?

R: “La répétition, l’accumulation, c’est ce qu’on appelle l’expérience. Ce mot m’énervait un petit peu quand j’étais jeune. Je n’aurais pas la prétention de dire aujourd’hui que je sais ce que je dois faire. Mais au moins, je sais parfois ce que je ne dois pas faire, et ce n’est déjà pas mal. Je me méfie néanmoins du copier-coller. Une même situation mais avec deux joueurs différents, deux endroits différents ou deux moments différents n’entraîne pas forcément la même réponse.”

Q: Avez-vous un exemple ?

R: “Pour la préparation de la finale de l’Euro-2016, on avait choisi une option un peu +émotionnelle+ par rapport à la famille et l’entourage (une vidéo des familles des joueurs avait été diffusée avant la finale, NDLR). Cela a été quelque chose de fort pour nous, mais a certainement un petit peu conditionné psychologiquement les joueurs. En 2018, j’ai fait en sorte de faire différemment.”

Q: Cette Coupe du monde marque-t-elle la fin d’une génération, comme après l’Euro-2000 ?

R: “Pourquoi ? Parce que Lama, Blanc et moi avions décidé d’arrêter ? Certains ne sont pas là sans l’avoir décidé. Je décide pour eux. Cela a été le cas après 2016, après 2018. La concurrence m’amène à décider.”

Q: Et aujourd’hui, avez-vous déjà tranché sur votre avenir ?

R: “J’ai décidé de tout faire pour amener l’équipe de France le plus haut possible à la Coupe du monde. Le reste ne rentre pas dans mon esprit. Tout est possible.”

Q: Vous empêchez-vous d’y penser ?

R: “Cela ne sert à rien puisque je n’ai pas les réponses.”

“Je ne m’attribue rien”

Q: Etes-vous soucieux de laisser une trace ?

R: “Non mais c’est facile de le dire maintenant ! Ce qui a été fait a été fait, mais je ne l’ai pas fait pour moi, pour ma gloriole. Je ne suis pas là non plus pour faire rire, mais pour obtenir les meilleurs résultats. Je ne m’attribue rien. Ce n’est pas une recherche personnelle de ma propre réussite. La réussite, tu la vis à travers la victoire des joueurs.”

Q: Certains viennent-ils toutefois en sachant qu’ils seront remplaçants ? 

R: “Ils le savent plus ou moins d’eux-mêmes. Mais ça peut aller très vite. Si je prends l’exemple de 2018, certains ont commencé le premier match et n’ont pas joué le deuxième. L’équipe qui a joué le deuxième match est celle qui est allée au bout. Cela peut aussi évoluer plus tard, comme en 1998 à partir des quarts de finale.”

Q: Comment maintenir la flamme de ceux qui ont déjà gagné ?

R: “Ils connaissent la difficulté de gagner. Ils sont compétiteurs, pas blasés. Quand tu as le bonheur de gagner, tu n’as qu’une envie: continuer à gagner. Il peut y avoir des moments de relâchement mais il y a beaucoup d’exigence. L’état d’esprit, c’est la base.”

Q: Malgré votre longévité, on vous entend peu sur les sujets extra-sportifs. Pourquoi ?

R: “Parce que lorsque vous m’interrogez, ce n’est pas le citoyen français qui répond mais le sélectionneur de l’équipe de France, avec des obligations inhérentes à ma fonction. Je peux donc avoir des avis et me faire un devoir de les garder pour moi, parce que ce que je dis n’engage pas que moi. Vous pouvez penser que c’est de la langue de bois alors que mon intention, c’est d’être respectueux avec l’institution avec laquelle je suis engagé.”

Q: Comme sur le Qatar par exemple ?

R: “Je le répète, chacun a et aura la liberté de s’exprimer. Y compris les joueurs, qui diront ce qu’ils ont à dire si on les interroge. Nous avons juste fait en sorte qu’ils soient informés sur la situation sur place. Pour avoir un avis, c’est essentiel. Je crois même qu’il serait faux de penser qu’ils sont déconnectés des problèmes de société. En ce qui me concerne, j’ai déjà apporté des réponses que l’on a bien voulu entendre. Ou pas. Sur le Qatar, il me semble avoir été clair: participer ne signifie pas cautionner. Nous sommes les hôtes d’un pays organisateur. Comme cela a été le cas, il ne faut pas l’oublier, il y a quatre ans en Russie et huit au Brésil. Cette décision (d’attribuer le Mondial au Qatar, ndlr) n’a pas été prise il y a quelques semaines ou quelques mois. C’était il y a plus de dix ans. Ça ne nous empêche pas de rester vigilant et attentif à notre niveau. Je dépends d’une fédération, qui a fait les démarches nécessaires, à son niveau, pour que tout se passe du mieux possible sur place. Croyez-moi, nous ne sommes pas dans notre bulle, insensibles aux problèmes des autres.”

Entretien réalisé avant l’annonce mercredi de la liste des Bleus sélectionnées pour le Mondial-2022 par Christophe BELLEUDI et Antoine MAIGNAN.

ama-jta-cb/chc

Le sélectionneur Didier Deschamps lors d’une conférence de presse à Paris le 9 novembre 2022
• FRANCK FIFE

Le sélectionneur de l’équipe de France de football Didier Deschamps, lors d’une conférence de presse à Paris le 9 novembre 2022
• FRANCK FIFE

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FAO Seeking Solutions To Sargassum Algae In The Caribbean – St. Lucia Times News

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Sargassum has been washing up in growing numbers on the shores of the Caribbean Sea for more than a decade.

Easily identified by its brown colour and a powerful stench, this algae in such increased volumes is seriously damaging tourism in island communities, catches in fishing industries and economies in general.

Coastlines stretching from Trinidad and Tobago to Anguilla, as well as beaches in Belize and southern Mexico, have been affected by the influx. Even worse, no one knows when the sargassum will arrive in any given year or what amount might wash ashore.

Sargassum floats in a large mass on the ocean’s surface. It can provide food and refuge for fish, birds, crabs, shrimp and other marine organisms.

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In limited amounts, washed-ashore sargassum also plays a role in maintaining Atlantic and Caribbean coastal ecosystems, providing vital nutrients such as carbon, nitrogen, and phosphorus to coastal ecosystems and decreasing coastal erosion.

However, since 2011, up to three times the normal amount of sargassum has been washing ashore in the Caribbean, with this algae sometimes up to a metre deep.

Massive seaweed blooms damage fishing gear, boat engines and other fishing assets and have clogged fishing harbours and mooring sites across the eastern Caribbean. That impacts fisheries directly, decreasing the landings of important species because fishers simply cannot access their normal catches.

“Sargassum plagues our ocean and our shoreline every year,” says Roger Kennedy, a fisher from Delaford Bay on the island of Tobago. Roger, like many fishers in his community, has fished all his life and is now finding that the huge and unpredictable increase in sargassum is affecting his life and livelihood.

“Whenever it washes ashore in large quantities the other fishers and I are prevented from accessing our boats. When we are at sea, my fishing lines get entangled with it and that badly affects my catch for that day.”

Now through the Climate Change Adaptation in the Eastern Caribbean Fisheries Sector Project (CC4FISH), FAO is working with fisherfolk, policymakers and scientists from the University of the West Indies’ Centre for Resource Management and Environmental Studies to increase the resilience of coastal communities and reduce their vulnerability to the deleterious effects of sargassum.

“Sargassum has been around forever. Christopher Columbus saw it in the Sargasso Sea, which was named after sargassum, when he crossed the Atlantic,” says Iris Monnereau, FAO fisheries expert based in Barbados. “It used to be confined to that area, but since 2011 it has been coming from a new area between Africa and Brazil and affecting the Caribbean region.”

The incidence and size of algal blooms in the Caribbean and West Africa has been growing due to rising water temperatures, fertilizer release into the ocean and increased Sahara dust clouds, which stimulate algal growth.

The sargassum influxes are causing increasing damage to the environment, biodiversity and coastal ecosystems. For example, decaying sargassum can smother coral reefs and restrict vital oxygen to fish in coastal areas. Marine mammals and turtles often drown when they become entangled in the algae.

It can additionally be damaging for human health. “Apart from its critical impact on fishers’ livelihoods, sargassum can cause headaches, nausea and breathing difficulties because it releases toxic gases when it decays along the shore,” says Monnereau.

Barbados, Belize, and Trinidad and Tobago are among the worst affected countries. Fishers have been forced to change their fishing techniques and their target species in years when there is an abundance of sargassum.

Antonio Horsford, a 44-year-old fisher from the coastal community of Buccoo in Tobago, has been fishing for more than 20 years. “Sargassum is a pest. I catch flying fish for a living, and it drives them away. I have had to change two engines because the sargassum seeds flooded the engine. It’s costly for a fisherman.”

According to FAO’s research, the numbers of flying fish are down by 50 percent in Barbados alone, while mahi mahi has fallen by 37 percent.  Fewer fish means fewer jobs throughout the value chain.

“That obviously impacts the fishers, but it also impacts everyone down the line because if there’s less fish, the prices go up and there is less work,” says Monnereau. “So it impacts the consumer, but also the market vendors because they have less fish to sell.”

Through CC4Fish, FAO is supporting communities across several Caribbean islands with adaptive management.

That means helping them to improve the forecasting, monitoring and detection of sargassum, as well as building capacity and providing equipment and advice to assist with beach cleanups when an influx occurs.

Suzan Lakhan-Baptiste, Managing Director of the non-profit Nature Seekers organization, says support and equipment provided by FAO enabled her group to remove layers of sargassum and prepare a clean nesting space for sea turtles, which are a popular draw for tourists in Trinidad in Tobago.

But she says the algae remains a huge problem.

Improving sargassum management is essential. FAO not only supports best practices for sargassum cleanup and removal but is also working with governments and communities to develop policies, standards and incentives to protect public and environmental health.

Through the development of a sargassum uses guide, FAO is additionally promoting ways to repurpose sargassum, turning it into commercially viable products to provide additional employment and income.

In fact, sargassum is already being used by small and medium businesses to produce bricks, shoe soles, soaps, plant stimulants and paper. Larger enterprises are looking at converting sargassum into renewable energy, bioplastics and compost.

Significant strides have already been made in helping fishers to better detect and adapt to sargassum in the Caribbean. Now initiatives to turn the algal blooms into an asset may create new employment opportunities and sustainable value chains in the future.

SOURCE: Food and Agriculture Organization 

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Caribbean Immigrant Entrepreneur Moves Into The Top 5 Of The FabOver40 Competition

Black Immigrant Daily News

News Americas, NEW YORK, NY, Fri. Nov. 11, 2022: Caribbean immigrant Felicia J. Persaud, has again advanced in this year’s FabOver40 competition, which focuses on women over 40, making it now to the Top 5.

The Guyana-born founder of ICN, which owns the brands, CaribPR Wire, News Americas, Hard Beat Communications and Invest Caribbean, is now in the run for the quarter finals, which will be announced on November 17, 2022.

Persaud says she is amazed and thrilled to have come some far in the competition and incredibly grateful to all those who have voted for her so far. She added that she looked forward to their support to staying in and winning the contest for all of the Caribbean and Guyana.

The winner of this year’s FabOver40 competition will receive a 2-page feature in NewBeauty Magazine, an unforgettable spa-cation in Scottsdale, Arizona, and $40,000.

Asked how she stays FabOver40, Persaud said she “works out, eats clean and is on a path of mindfulness and positivity. Her advice to her younger self? “Focus more on loving you and less on looking for love in all the wrong places.”

Vote to keep Felicia in the contest now at https://votefab40.com/2022/felicia-persaud and make her this year’s winner.

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U.S. Company Wins Bid To Build Guyana Plant

Black Immigrant Daily News

By NAN Business Editor

News Americas, GEORGETOWN, Guyana, Fri. Nov. 11, 2022: An American-owned energy company has been selected to forge ahead with negotiations to build an almost US$1 billion natural gas-fired electricity plant and natural gas liquids plant in the oil rich CARICOM South American nation of Guyana.

President Irfaan Ali on Thursday made the disclosure that Houston-based LINDSAYCA, in a joint venture with CH4 Guyana, has been selected to forge ahead with negotiations to build the natural gas-fired electricity plant and natural gas liquids plant at Wales, West Bank Demerara.

He said in a video statement on Facebook that Cabinet on Thursday also decided to rank PowerChina as number two for negotiations should talks fall through with CH4/LINDSAYCA. 

LINDSAYCA, on its website, says it was founded in 1995 through private equity and family ownership and has rapidly expanded initially in Venezuela, providing services to both state- and privately-owned clients in the upstream and downstream energy sector. It’s key principal is listed as Hector Jose Fuentes according to Dunn and Bradstreet with 1,000 employees.

CH4 Guyana is actually part of the Puerto Rico based CH4 Group, an engineering, procurement and construction, project management, operation and maintenance company, with extensive experience in the areas of the electricity, oil, gas, petrochemical, mining and infrastructure sectors. The company has also set up an arm in Suriname, the other newly oil rich CARICOM nation in South America and Guyana’s neighbor.

CH4 Guyana-LINDSAYCA has said it could build the two plants for US$899 million while PowerChina has put a price tag of US$704 million.

The Guyana government hopes to ink a deal with CH4/ LINDSAYCA before the end of this month, with the aim of completing construction of the electricity plant by December 2024. 

Supervising the construction of the Guyana government-owned plants would be Engineers India Ltd.  Bids would later be invited for a world class company to operate the facility. 

Regardless of which company is picked, the plants would be constructed under an Engineering Procurement Construction contract, the President said.

The US government has provided a US$2 billion line of credit for American companies to do business in Guyana.

The Guyana government projects that Guyanese households and businesses would pay 5 US cents per kilowatt hour for electricity instead of the current estimate of 13 US cents. Currently, the Guyana government is subsidizing electricity tariffs due to the steep increase in fuels being used for electricity generation, due to the Russia-Ukraine conflict.

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NBA: C’est reparti pour Portland, qui se rapproche de Utah

Black Immigrant Daily News

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Stoppés samedi dernier à Phoenix, les Portland Trail Blazers viennent de signer leur troisième succès d’affilée cette semaine, à chaque fois sur le parquet de l’adversaire, en allant battre la…

Stoppés samedi dernier à Phoenix, les Portland Trail Blazers viennent de signer leur troisième succès d’affilée cette semaine, à chaque fois sur le parquet de l’adversaire, en allant battre la Nouvelle-Orléans 106 à 95, jeudi en NBA.

Cette nouvelle victoire, la neuvième en douze matches depuis l’ouverture de la saison, rapproche l’équipe de l’Oregon de la première place de la conférence Ouest, détenue par le Utah Jazz, défaits également trois fois depuis le début de cet exercice.

Toujours privés de Damian Lillard, qui a déjà manqué quatre matches cette saison, les Trail Blazers ont cloué le bec aux Pelicans, grâce notamment aux 27 points de Jerami Grant, qui a en outre pris huit rebonds.

“Je savais que je devais monter d’un cran et faire encore plus que ce que fais habituellement”, a déclaré Grant, qui a aussi délivré quatre passes décisives et réussi quatre interceptions.

Dans une équipe de la Nouvelle-Orléans maladroite (41,8% de réussite seulement aux tirs), Zion Williamson s’est démené comme il l’a pu en inscrivant 29 points.

A Washington, les Wizards, malgré un petit retard à l’allumage — premier quart-temps perdu –, ont maîtrisé les Dallas Mavericks 113 à 105, et consolident leur sixième place au classement de la conférence Est.

Kyle Kuzma s’est particulièrement distingué dans cette partie, en inscrivant 36 points à 53,8% de réussite aux tirs, agrémentés de onze rebonds et six passes décisives.

Miami en prolongation

Dans les rangs des Mavericks, Spencer Dinwiddle a fait un peu moins bien avec 33 points, tandis que la star de l’équipe, Luka Doncic, peu en verve avec huit paniers réussis sur 21 tentatives pour un piètre 38,1 % de réussite, n’a pû faire mieux que 22 points.

Dallas, qui avait mieux attaqué ce match en remportant le premier quart-temps, menait encore 80-78 à la fin du troisième quart-temps. Une bourrasque s’est alors abattue sur l’équipe texane, à laquelle Kuzma et sa bande ont infligé un cinglant 21-6, fatal aux Mavericks.

Le Miami Heat, qui restait sur deux revers, s’est un peu réchauffé en battant les Charlotte Hornets, qui n’ont cependant cédé qu’en prolongation 117 à 112.

Miami a débuté le quatrième quart-temps avec une avance de douze points (85-73). Mais Charlotte a comblé tout son retard dans le quatrième, avant de rendre les armes en prolongation.

C’est la septième défaite consécutive des Hornets, derniers de la conférence Est.

Jimmy Butler pour le Heat a frôlé le “triple double” (trois lignes statistiques à dix unités et plus), avec 35 points, dix rebonds et huit passes décisives.

bb/bgs/chc

Luka Doncic N.77 des Dallas Mavericks lors du match contre les Washington Wizards dans la Capital One Arena de Washington D.C. le 10 novembre 2022
• Rob Carr

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Assises : les accusés prennent la parole

Black Immigrant Daily News

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Benoît de La Salle
b.delasalle@agmedias.fr

Cédric Chaillot est formel, il était armé, mais il n’est pas responsable de la mort de Daniel Duville. • CROQUIS D’AUDIENCE STÉPHANIE DESTIN/FRANCE-ANTILLES

Hier, les accusés ont livré leur version à la barre de la cour d’assises de Martinique. Ils ne reconnaissent pas les faits qui leur sont reprochés. 

Cette journée était particulière pour Cédric
Chaillot. Hier, jeudi 10 novembre il a passé son 38e anniversaire
devant la cour d’assises de Martinique. Dans l’après-midi les
accusés ont été entendus. Cédric Chaillot affirme à la barre avoir
entendu des coups de feu avant qu’il n’arrive. Il suppose que la
victime était déjà blessée, mais debout quand il s’est interposé.
Il dit avoir également pensé que le tireur était toujours présent
et que c’est l’une des raisons pour laquelle il a sorti son arme.
Cédric Chaillot est formel, il était armé, mais il n’est pas
responsable de la mort de Daniel Duville.

Pourtant le président lui rappelle qu’il n’a pas
eu ce discours.

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