“Pourquoi on est là?”: à Charm el-Cheikh, la société civile au ban de la COP27

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Dès l’aéroport, le jeune militant ougandais Nyombi Morris a déchanté. Parler aux dirigeants, manifester, porter la voix de l’Afrique à la COP27… Tous ses projets se sont fracassés sur des mesures de sécurité…

Dès l’aéroport, le jeune militant ougandais Nyombi Morris a déchanté. Parler aux dirigeants, manifester, porter la voix de l’Afrique à la COP27… Tous ses projets se sont fracassés sur des mesures de sécurité qui alarment les défenseurs des droits humains.

Nyombi Morris n’avait que dix ans lorsque la maison et la ferme familiales, dans le district de Butaleja dans l’est de l’Ouganda, ont été emportées par des inondations dévastatrices, aggravées selon lui par l’extraction illégale de sable sur les berges d’un fleuve.

“Je suis ici pour représenter ma mère, qui a perdu une ferme, une maison, en 2008”, confie le militant africain, âgé de 24 ans. “Il y a eu une inondation soudaine et plus de 400 personnes ont dû fuir pour Kampala”, la capitale, se souvient-il.

Quand il a appris que la conférence de l’ONU pour le climat se déroulerait cette année à Charm el-Cheikh, en Egypte, Nyombi Morris, fondateur de l’ONG Earth Volunteers, a décidé de s’y rendre pour faire entendre sa voix et celle des siens. “Je suis ici pour demander compensation pour ma communauté”.

Mais dès le premier jour, les obstacles ont surgi. “J’étais tellement heureux quand ils ont annoncé que la COP aurait lieu en Afrique, j’ai pensé que j’aurais peut-être le droit d’entrer dans la salle où se déroulent les négociations”.

Pour Nyombi Morris, tout a commencé par un interrogatoire après l’atterrissage à l’aéroport de Charm el-Cheikh, immense station balnéaire du Sinaï égyptien, sur la mer Rouge. “Avec l’interrogatoire qu’on a eu à l’aéroport, ce ne sera pas facile de faire ce qu’on avait prévu”, raconte-t-il.

Pour manifester, il faut demander une accréditation 36 heures à l’avance en révélant les noms des organisateurs, leurs badges d’accès et le détail de la marche. Et si l’on obtient ce précieux sésame, manifester n’est autorisé, selon les organisateurs de la COP27, que “de 10 heures à 17 heures”, dans une zone spécifique construite à l’écart.

“La COP des pollueurs”

“On a commencé à s’inquiéter quand ils nous ont demandé où on allait, où on allait dormir, nos passeports, nos noms”, poursuit-il, car tous les militants pour le climat ont en tête une histoire: celle de leur camarade indien Ajit Rajagopal.

Une semaine avant la COP27, il a tenté un geste symbolique, en voulant parcourir en huit jours les 500 kilomètres qui séparent Le Caire de Charm el-Cheikh.

Mais à peine parti, il a été arrêté et envoyé en détention. L’avocat égyptien venu à son secours a, lui aussi, fini derrière les barreaux.

Ils sont finalement ressortis après une levée de boucliers internationale.

“Après ce qui est arrivé à ce militant indien, comment peut-on être sûr qu’ils nous laisseront tranquilles”, s’interroge M. Morris.

Pour Volker Türk, le Haut commissaire aux droits humains de l’ONU, “tout le monde doit pouvoir participer pleinement à la COP27”. Et “cela inclut la société civile”, a-t-il affirmé lundi sur Twitter.

Mais pour Adam Coogle, de l’ONG Human Rights Watch (HRW), “le pouvoir égyptien n’a aucune intention d’alléger ses mesures de sécurité abusives pour laisser place à la liberté d’expression et de rassemblement”.

Déjà, selon les ONG, au moins 151 “arrestations arbitraires” ont eu lieu pour des appels à manifester ailleurs qu’à Charm el-Cheikh, le 11 novembre, contre la répression et l’augmentation brutale du coût de la vie.

“Même si cette COP se déroule en Afrique, on ne nous a donné aucune chance de nous exprimer. Donc pourquoi on est là?”, s’interroge M. Morris. 

“Ce n’est pas la COP africaine, c’est la COP des pollueurs car ce sont les pollueurs qui dominent, regardez, Coca-Cola qui est là!”, lance-t-il alors que la multinationale, l’un des sponsors officiels de la COP27, est, selon Greenpeace, “le premier responsable de la pollution au plastique du monde”.

Militants “dehors”

Les militants, eux, “sont dehors”, “incapables de participer aux négociations” et surtout, dit-il, de “réclamer les 100 milliards (par an) promis en 2009 et jamais donnés” par les pays développés aux pays du Sud pour réduire leurs émissions.

L’année dernière, pour la COP26 à Glasgow, en Ecosse, des dizaines de milliers de manifestants venus du monde entier avaient bravé des pluies diluviennes pour réclamer la “justice climatique”.

Dimanche, faisant fi des restrictions, une poignée de militants d’une secte vegan ont manifesté en brandissant des bannières “Be vegan, make peace” (soyez vegan, faites la paix, en anglais) à l’entrée du Palais des Congrès où les participants à la COP27 affluaient.

“Nous essayons de promouvoir le véganisme pour aider à sauver la planète des gaz à effet de serre”, explique à l’AFP Tom Modgmah, membre du “Culte du maître suprême Cheng Hai”. “L’élevage est responsable d’une bonne part du désastre actuel”, ajoute-t-il.

Nyombi Morris, lui, est resté devant la porte.

“Nos badges ‘observateurs’ ne nous permettent pas d’entrer. Donc je suis ici, mais je regarde ce qui se passe via les retransmissions en ligne”, soupire-t-il.

bam/sbh/sg

Des militants en faveur du véganisme manifestent à l’entrée du centre de convention international de Charm el-Cheikh (Egypte) durant la COP27, le 6 novembre 2022
• JOSEPH EID

Le militant pour le climat ougandais Nyombi Morris, lors d’une interview à Charm el-Cheikh, le 6 novembre 2022
• Mohammed ABED

Des participants de la COP27 marchent au sein du centre international de convention de Charm el-Cheikh (Egypte) le 6 novembre 2022
• MOHAMMED ABED

Le militant ougandais Nyombi Morris, le 6 novembre 2022 à Charm el-Cheikh en Egypte
• Mohammed ABED

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Aux “Beaux mets”, un restaurant bistronomique en prison réconcilie “le dedans et le dehors”

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Tartare de daurade, cocktails colorés et banquettes de velours pourraient faire penser à un restaurant ordinaire. Aux “Beaux mets” pourtant, à Marseille, le client déguste des plats préparés par des détenus, sous l’oeil d’un surveillant…

Tartare de daurade, cocktails colorés et banquettes de velours pourraient faire penser à un restaurant ordinaire. Aux “Beaux mets” pourtant, à Marseille, le client déguste des plats préparés par des détenus, sous l’oeil d’un surveillant de prison, dans les murs des mythiques Baumettes.

Séparé du monde extérieur par deux portes infranchissables, un étage au-dessus des cellules, dans le seul bâtiment survivant des Baumettes historiques, le restaurant dévoile une décoration intimiste, tons ocre et bois. 

La petite salle d’une quarantaine de couverts, que l’AFP a pu visiter en avant-première, ouvrira ses portes au public le 15 novembre, mais les détenus y servent déjà des repas “tests”. 

L’un d’eux, préposé aux cocktails ce jour-là, affiche un grand sourire: “Quand je suis au restaurant, j’oublie la détention, je suis dehors dans ma tête, et le soir je me couche fatigué mais heureux, avec l’envie d’être déjà au lendemain”.

Comme douze autres détenus de la structure d’accompagnement vers la sortie (SAS), réservée aux personnes définitivement condamnées et en fin de peine, il a intégré les Beaux mets dans le cadre d’un chantier d’insertion professionnelle porté par l’administration pénitentiaire et l’association “Festin”.

“La sortie est très attendue mais plus difficile que ce qu’on imagine”, explique Christine Charbonnier, secrétaire générale de la direction interrégionale des services pénitentiaires: “L’idée de la SAS c’est que le détenu se prépare à la vie dehors”.

C’est en visitant la prison de Bollate, à Milan, et son restaurant tenu par des détenus, que l’administration pénitentiaire a imaginé les Beaux mets, comparable aussi au restaurant “The Clink” de la prison londonienne de Brixton.

“La fierté de faire quelque chose d’excellent”

“La cuisine nécessite de l’organisation, de la rigueur, des choses importantes pour remobiliser des personnes éloignées de l’emploi”, assure Armand Hurault, directeur de l’association Festin.

Malgré leur inexpérience –la plupart n’avaient jamais cuisiné–, les détenus préparent des plats “bistronomiques”, une offre garantie par ceux qui les encadrent: un maître d’hôtel et une cheffe passée notamment par le triple étoilé “Petit Nice” à Marseille, Sandrine Sollier.

A la carte (35 euros pour entrée/plat/dessert), monochrome végétal, crumble d’agneau, pomme renversante: “La fierté de faire quelque chose d’excellent, c’est un moteur extrêmement important”, selon Armand Hurault.

Dans la cuisine flambant neuve, pas un mot plus haut que l’autre, chacun est à sa tâche: cuisson des sauces, plonge, dressage. “La discipline peut s’acquérir sans force, ils sont assez brimés comme ça au quotidien”, explique Sandrine Sollier, selon qui les détenus sont “deux fois plus volontaires” que des commis bien plus expérimentés.

Seule contrainte spécifique à la détention, reconnaît-elle: les deux armoires à couteaux, fermées à clés. “Chaque matin et chaque soir, je les recompte”.

“Certains détenus peuvent s’en sortir”

Sur l’inox immaculé du plan de travail, Jeffrey Sandiford, 31 ans, coupe minutieusement en tranches une patate douce cuite. Il est l’un des seuls à revenir à son métier d’origine, appris à l’armée: “Je ne voulais pas perdre l’habitude du travail”.

Il apprécie que Sandrine Sollier “ne (le) voit pas comme un détenu mais comme un membre de l’équipe”: ce restaurant, “ça va prouver que certains détenus peuvent s’en sortir”.

Le projet vise aussi à changer le regard sur la détention, “souvent assez caricatural, prison 4 étoiles pour les uns et honte de la République pour les autres”, déplore Mme Charbonnier, qui souhaite réconcilier “le dedans et le dehors”.

Les Beaux mets seront ouverts du lundi au vendredi, le midi seulement. Inscription obligatoire 72 heures avant sur le site internet du restaurant, le temps pour l’administration pénitentiaire de vérifier l’identité et le casier judiciaire de chaque client. 

A son arrivée, chacun devra passer par un portique de sécurité et laisser dans un casier son téléphone portable, ses clés, ses espèces, le temps d’un repas sans alcool, dégusté sous l’oeil discret d’un surveillant de prison…

“Des conditions contraignantes, oui, mais pour une expérience unique”, reconnaît Armand Hurault.

Côté personnel, le bilan est déjà très positif: Kamel*, 21 ans, passe d’une table à l’autre avec aisance. “J’en ai fait des jobs dans ma vie, mais j’ai jamais vraiment apprécié, là y’a, comment dire, un plaisir”, décrit timidement le jeune homme.

Très à l’aise dans son rôle de serveur, il l’assure pourtant: “c’est pas cet uniforme qui me fait oublier qu’à 17h00 je vais rentrer en cellule”. Mais les Beaux mets lui donnent de l’espoir pour l’avenir: “Sortir pour refaire des conneries, non, pour envisager d’être serveur, oui…”

jp/ol/cbn

* prénom d’emprunt

Le potager du restaurant “Les beaux mets”, dans la prison des Baumettes à Marseille le 2 novembre 2022
• Christophe SIMON

Le restaurant “Les beaux mets”, dans la prison des Baumettes à Marseille le 2 novembre 2022
• Christophe SIMON

Un prisonnier fait le service dans le restaurant “Les beaux mets”, dans la prison des Baumettes à Marseille le 2 novembre 2022
• Christophe SIMON

Aux “Beaux mets” à Marseille, un restaurant bistronomique en prison
• Fabien NOVIAL

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‘Mi done wid gun song,’ vows Demarco Loop Jamaica

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Acknowledging that some elements of music promote murders and the use of guns, dancehall singjay Demarco has vowed to stop using his songs to promote such violent acts.

In fact, the artiste is imploring his colleague entertainers in the music industry to also stop promoting violence in music.

“I wish every dancehall artist, including myself, will stop singing killing and gun songs. Amen,” posted Demarco on his official Instagram page on Sunday.

However, the ‘Love My Life’ singjay is contending that “music alone is not the cause of crime”, and urged the leaders of the country to “look into yourselves”.

The views of the dancehall veteran come on the heels of last month’s ban by the Broadcasting Commission of Jamaica (BCJ) on the playing of songs glorifying scamming, Molly and guns.

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There have long been contentious debates on whether music, particularly dancehall, is a major contributing factor to crime and violence locally.

Jamaica has recorded 1,294 murders since the start of the year, a continuation of the level of bloodshed over decades, despite law enforcers utilising various tactics in their attempts to tackle the issue.

Recognising his lyrics may have had some impact on the situation, Demarco, whose real name is Collin Demar Edwards, implored his colleagues in the industry: “Let’s stop promoting killing each other and promote making money together.”

His views have generated mixed perspectives from some local entertainers and his followers on Instagram.

Reggae singer Gramps Morgan was among those supporting Demarco’s call.

“Been screaming this for years now. Thank you bredda for speaking,” Gramps Morgan wrote, to which Demarco responded: “@grampsmorgan mi boss, thank you for always singing positive music.”

Dancehall recording artiste I-Octane, posted a simple “Realtalk”, in response to his colleague’s stance.

In a reply to the deejay, Demarco said: “@realioctane long time this a bother mi, mi bredda, an[d] mi finally get the courage fi speak out about it.

“We as artists can sing ’bout nuff more topics than killing our own and getting paid for it,” he added.

Grammy Award-winning dancehall artiste, Sean Paul, also gave his support to his colleague’s call, commenting: “Same way so G. We are what we pre.”

Demarco replied: “@duttypaul Mi done wid gun song, mi boss.”

But iMage, a music producer-turned-artiste, told Demarco, frankly: “Mi nah stop sing badman tune.”

Responding to that remark, Demarco said he hoped that he would change such thoughts one day.

“It won’t hit home until you’re affected by the same gunman chunes you’re singing and I pray that doesn’t happen. Bless mi g,” he commented.

One of the entertainer’s followers, @kingjones_876, pointed to Demarco’s past songs featuring gun lyrics.

He said: “Marco, you make the tuffest gun song dem, a just self-expression. Dem nah tell M Night Shyamalan fi stop make obeah movie.”

While agreeing that he has utilised gun lyrics in his music, the ‘Puppytail’ singer admitted that such songs may have corrupted the minds of ghetto youths.

“@kingjones_876 mi mek the tuffest gun songs. I agree, but where dem guh?” Demarco asked.

In responding to his own question, he said: “Inna the young ghetto yutes brain fi corrupt dem mind when mi should a sing songs fi stimulate dem brain fi make money and tek care of them family.”

To his call for leaders of Jamaica to look into themselves, as “music alone is not the cause of crime”, the entertainer gained the support of outspoken Reggae crooner, Tanya Stephens, who said those sentiments were simply, “Facts”.

Another entertainer, Cheetahh, also agreed with Demarco.

“Music alone could never be the cause of anything, but music contribute to everything. Healing, inspiration, motivation, dedication, glorification; everything…

“Music brings light and darkness! We artist accepts when someone tells us a song that he did motivated them to change or think good or it uplifts them from a dark place. But fail to accept that a song can also influence bad? Make that make sense!” wrote Cheetahh.

Demarco showed his support for the perspectives by posting several emojis.

Demarco has been in the entertainment industry since 2003 and is known for songs such as ‘Fallen Soldiers’, ‘Lazy Body’, and ‘Bad Gal Anthem’.

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Oasis Water raises $30,000 for breast cancer patients

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Breast cancer awareness ribbon. Stock photo source: Webmd

Oasis Water, owned by SM Jaleel and Company Ltd, raised $30,000 for Vitas House Hospice cancer patients through a Breast Cancer Awareness Month campaign in October.

Vitas House Hospice, a subsidiary of the TT Cancer Society, aims to provide cancer patients with the best quality of life during the final stages of their illness. The special care and support is funded only by donations and sponsorships.

Through the breast cancer awareness campaign, funds were raised by people buying pink-labelled Oasis water products.

A media release said the Oasis Waterinitiative was one that people look forward to, as they contribute in their own way to a worthy cause.

The brand also extended its reach to shoppers at supermarkets by giving them tokens in recognition of Breast Cancer Awareness Month.

The Mobile Unit of the Cancer Society also visited SM Jaleel, where willing staff were screened.

Vitas House Hospice and Oasis Water thanked the public for their support and said even though Breast Cancer Awareness Month has ended, people can still continue to support the institution and its patients.

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‘Chucky’ sentencing put off to next Wednesday

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Justice Lisa Ramsumair-Hinds.

KESTON “Chucky” Allen can expect to be sentenced next week Wednesday for a series of offences, including felony murder and rape, which took place in 2008.

Allen, who was initially on over a dozen indictments for murdering and raping a 19-year-old girl, assaulting her cousin and robbing and falsely imprisoning a Curepe taxi driver, pleaded guilty to ten counts of felony murder, false imprisonment, robbery with aggravation, grievous sexual assault, larceny of a car and rape in July.

On Monday, his sentencing hearing was adjourned after Justice Lisa Ramsumair-Hinds said she did not have before her any recommendations by the prosecution or defence on the mandatory registration as a sex offender for the rape offence. She gave his attorney, public defender Michelle Gonzalez, time to meet with her client to get instructions, particularly on the question of whether he will be seeking an exemption from reporting as a sex offender, which the law provides.

The judge has also asked for submissions on appropriate reporting periods if she makes such an order.

Allen entered plea discussions with the Office of the Director of Public Prosecutions and on June 22, it was agreed he would plead guilty to the ten counts and will be discharged of the others.

It is the State’s case that Allen and three others accosted a taxi driver who was ordered to pick up the cousins, who were then taken to an abandoned house in the Mt Lambert area, where the 19-year-old victim was raped and her 22-year-old cousin sexually assaulted.

Allen and his accomplices forced one of the girls to perform oral sex on the taxi driver, who later escaped.

Allen and his accomplices shot the women and when police found the car, the teenager was dead. Her cousin, who had gunshot wounds, survived.

Allen was later arrested and identified by the older woman and the taxi driver.

The State is represented by prosecutor Danielle Thompson.

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Georgetown Police Youth Club defeated Vonzuu Redemption Sharpes Police Youth Club 3-2

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Georgetown Police Youth Club defeated Vonzuu Redemption Sharpes Police Youth Club 3-2 to win the Royal St Vincent and the Grenadines Police Force Youth Club Football Championship at the Stubbs Playing Field yesterday.

Mithon John netted twice for the Georgetown Police Youth Club in the 17th and 38th minutes, with their third goal by Samaya Connell in the 27th minute.

The goals for Vonzuu Redemption Sharpes Police Youth Club were converted by Jeson Morgan in the 15th minute and Nathaniel John in the 24th minute.

Earlier, St Vincent Co=operative Bank Layou Police Youth Club beat Chateaubelair Police Youth Club 7-5 to clinch third place.

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Trump et Biden chauffent leurs troupes à la veille d’élections cruciales

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Deux hommes, Joe Biden et Donald Trump, qui jouent chacun leur avenir politique, et une Amérique qui s’apprête à éprouver à nouveau la solidité de sa démocratie: la course pour les cruciales élections législatives de…

Deux hommes, Joe Biden et Donald Trump, qui jouent chacun leur avenir politique, et une Amérique qui s’apprête à éprouver à nouveau la solidité de sa démocratie: la course pour les cruciales élections législatives de mi-mandat était lundi dans sa dernière ligne droite.

L’actuel et l’ancien présidents devaient s’affronter par meetings interposés, en conclusion d’une campagne qui a exposé crûment les divisions de la première puissance mondiale.

Dans un climat tendu, avec des  candidats républicains qui menacent de ne pas reconnaître une éventuelle défaite, la Russie a soufflé sur les braises.

“Nous nous sommes ingérés, nous le faisons et nous allons continuer de le faire. Avec précaution, précision, de façon chirurgicale, d’une manière qui nous est propre”, a déclaré lundi un homme d’affaires russe proche du Kremlin, Evguéni Prigojine.

Elon Musk, qui vient de prendre contrôle de Twitter, s’est invité avec fracas dans ces dernières heures de campagne. Le milliardaire a appelé à voter républicain sur son compte aux 114 millions d’abonnés: “Le partage du pouvoir limite les pires excès, donc je recommande de voter pour un Congrès républicain, étant donné que la présidence est démocrate”.

“Quatre ans de plus!”

Ce n’est toutefois pas sur Twitter, dont il est toujours exclu, que Donald Trump fait monter le suspense sur une candidature à l’élection présidentielle de 2024. 

Le milliardaire sera lundi en meeting dans l’Ohio, un Etat industriel du Midwest emblématique des inquiétudes de cette Amérique qu’il a su séduire: la classe moyenne modeste, majoritairement blanche, vivant à la campagne ou dans des zones périurbaines, tentée par un repli généralisé face à la mondialisation.

Dimanche, sous les cris “Quatre ans de plus! Quatre ans de plus!” de ses partisans, il les a invités avec insistance à “rester branchés” pour ce rendez-vous de lundi.

Les Américains sont appelés aux urnes mardi pour renouveler l’ensemble de la Chambre des représentants et un tiers du Sénat. Toute une série de postes d’élus locaux majeurs sont également en jeu.

“Vague rouge?”

Les républicains se montrent de plus en plus confiants dans leurs chances de renverser entièrement le Congrès. C’est-à-dire non seulement de prendre la Chambre des représentants, ce qui est le scénario classique aux “midterms”, mais aussi d’arracher à Joe Biden son mince contrôle du Sénat.

Le parti rêve désormais ouvertement d’une “vague rouge” – la couleur des conservateurs.

Kevin McCarthy, possible futur patron républicain de la Chambre des représentants, a déjà envisagé lundi sur CNN de vastes enquêtes sur le bilan de Joe Biden, allant du retrait d’Afghanistan à la gestion de la pandémie de Covid-19. Voire des procédures de destitution.

“Un choix”

Les “midterms” se convertissent de fait en référendum sur l’occupant de la Maison Blanche, qui échappe très rarement au vote sanction.

Joe Biden devrait à nouveau répéter lundi, pour son dernier meeting dans l’Etat du Maryland, aux portes de Washington, que cette élection n’est pas un référendum sur son action mais “un choix”, en particulier sur le droit à l’avortement et la démocratie.

Face à l’efficacité d’une campagne républicaine centrée sur l’inflation galopante, les démocrates ont tenté d’insister davantage ces derniers jours sur les réformes lancées par Joe Biden pour faire baisser le prix des médicaments, alléger la dette étudiante, relancer l’emploi industriel… Mais les Américains n’en sentiront pas les effets avant des années, alors qu’ils souffrent tous les jours de la flambée des prix.

Donald Trump, lui, s’est jeté à corps perdu dans la campagne, donnant à ces “midterms” l’allure d’une deuxième manche du match de 2020. Voire d’un tour de chauffe avant 2024?

Joe Biden dit jusqu’ici avoir l’intention de se représenter, mais la perspective n’enchante pas tous les démocrates, en raison de son âge — bientôt 80 ans — et de son impopularité.

Etats décisifs

Le scrutin, et en particulier le contrôle du Sénat, se joue dans une poignée d’Etats clés: la Pennsylvanie, la Géorgie, l’Arizona, le Nevada, le Wisconsin et la Caroline du Nord.

Au total, près de 17 milliards de dollars auront été dépensés pour ces élections de mi-mandat, selon le site Opensecrets, un record.

En hausse aussi, le vote anticipé: lundi, plus de 40 millions d’Américains avaient déjà voté à l’avance, surpassant le niveau des législatives de 2018, selon le US Elections Project. Impossible toutefois de dire à qui cette tendance profite, même si historiquement, le vote anticipé penche vers les démocrates.

cjc-aue/led

Le président américain Joe Biden, lors d’un meeting de campagne à Philadelphie, le 5 novembre 2022
• Ed JONES

Composition sortante de la Chambre des représentants et du Sénat des Etats-Unis, et projections en vue des élections de mi-mandat du 8 novembre
• Gal ROMA

L’ancien président Donald Trump à Latrobe, en Pennsylvanie, le 5 novembre 2022
• ANGELA WEISS

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Grève de la Poste : une centaine de facteurs mobilisés devant la direction ce matin

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W.N.

Un préavis de grève a été déposé pour la journée du 7 novembre.  • JEAN-MARC ETIFIER

Ce matin (lundi 7 novembre), une centaine de facteurs se sont mobilisés devant la direction de la Poste à Fort-de-France, en soutien à trois de leurs collègues convoqués par la direction. 

Ce matin (lundi 7 novembre), une centaine de facteurs se sont rassemblés devant la direction départementale de la Poste à Fort-de-France. Un préavis de grève avait été déposé pour la journée afin de soutenir trois collègues qui avaient été convoqués pour un entretien préalable à la mise en place d’une sanction disciplinaire.

Le 13 octobre dernier, ces derniers avaient interpellé la responsable du site de Dillon sur les mesures à prendre pour remédier aux nombreuses tournées à découvert. Celle-ci se serait par la suite plainte d’une agression. “Mais ce n’est pas ce qu’il s’est réellement passé”, explique Dominique Joseph Monrose, secrétaire général de la CGTM-PTT, qui ajoute : “Il y a eu des mots forts en créole mais quand on s’adresse en créole, on n’agresse personne. Les collègues voulaient de l’écoute, trouver des solutions mais la responsable n’a pas voulu écouter et est partie”. 

“Le mépris a assez duré”

Pour le syndicat, “le mépris a assez duré”. Il espère qu’aucune sanction ne sera prise à l’encontre des postiers concernés. “Nous appelons à l’apaisement… Nous voulons éviter de nous retrouver dans des situations encore plus compliquées que celles qui existent aujourd’hui”, indique Dominique Joseph Monrose. Si ce dernier affirme qu’il n’y a “pas eu de blocage” ce matin, la mobilisation d’une centaine d’agents suggère que la distribution du courrier a pu être impactée. A l’heure où nous écrivons ces lignes, nous n’avons pu joindre la direction de la Poste. 

Plus d’informations à retrouver dans notre édition de demain (mardi 8 novembre).

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Christmas Barrel Initiative Will Run From 2nd November, 2022 To 6th January, 2023

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The General Public Is Hereby Advised That The Christmas Barrel Initiative Will Run From 2nd November, 2022 To 6th January, 2023.

Under This Initiative Each Household Will Be Allowed To Import The Following In A Standard Size Shipping Barrel Or An E-Container For Personal Use

Clothing “Not More Than 7 Pcs Of The Same Type”
Foodstuff
Toiletries

The 10% Revenue Recovery Charge (Rrc) And A Processing/Handling Fee Of Ten Dollars ($10.00) Will Be Charged.

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Editor

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Minister and Japanese Ambassador tour Urlings Fisheries Complex

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On Monday 31st October, Minister Samantha Marshall accompanied by Matsubara Yutaka, the Japanese Ambassador to Antigua and Barbuda, had a tour of the Urlings Fisheries Complex.

Opened in 2004, the Fisheries Complex was a gift from the government and citizens of Japan, and it was designed to accommodate up to fourteen small vessels.

However, almost two decades later, the amount and sizes of the vessels has increased leaving the smaller boats no other alternative but to moor up to as many as three abreast due to lack of space and this makes landing their catches more difficult.

“We have approached the Japanese already and put forward our plans for expansion”, said Minister Marshall.

Additionally, the Minister assured that during the OECS Fisheries Ministers meeting recently held here, she raised the matter on both Urlings Fisheries Complex and Keeling Point Facility to the Vice Minister, Mr. Akimoto.

Although the cost of the expansion has not yet been determined, we have the assurance that our Japanese Allies will be assisting Antigua and Barbuda with the pending expansions of the two facilities.

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