Kwinti roepen hulp overheid in

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‘We willen weten wat in ons gebied gebeurt’ Tekst en beeld Euritha Tjan A Way PARAMARIBO — Remon Clemens, de

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8 milliards d’humains sur une planète aux ressources pas élastiques

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Nous serons officiellement 8 milliards d’habitants sur Terre le 15 novembre, est-ce trop? Pas forcément, répondent les experts, qui alertent plutôt sur la surconsommation des ressources de la planète par la partie la plus riche de l’humanité.

“Huit milliards, c’est un jalon capital pour l’humanité”, note la patronne du Fonds des Nations unies pour la population Natalia Kanem, se réjouissant de l’augmentation de l’espérance de vie et de la baisse de la mortalité infantile et maternelle.

“Cependant, je me rends compte que ce n’est pas un moment nécessairement célébré par tous. Certains s’inquiètent d’un monde surpeuplé, avec bien trop d’habitants et des ressources insuffisantes pour vivre”, ajoute-t-elle, appelant à ne pas avoir “peur” d’un nombre.

Alors, sommes-nous trop nombreux sur cette Terre? Ce n’est pas la bonne question, selon de nombreux experts. 

“Trop pour qui? Trop pour quoi? Si vous me demandez si je suis de trop, je ne pense pas”, répond ainsi à l’AFP Joel Cohen, de l’université Rockefeller à New York.

“Je considère la question du nombre de personnes que la Terre peut supporter comme une question à deux facettes: les contraintes ou limites naturelles, et les choix faits par les humains”.

“Des goinfres”

Des choix qui font que nous consommons bien plus de ressources biologiques (forêts, poissons, terres…) que ce que la Terre peut régénérer chaque année et que cette surconsommation, notamment d’énergies fossiles, entraîne toujours plus d’émissions de CO2 responsables du réchauffement.

Côté ressources, il faudrait ainsi 1,75 Terre pour subvenir aux besoins de la population de façon durable, selon les ONG Global Footprint Network et WWF.

Côté climat, le dernier rapport des experts climat de l’ONU (Giec) notait que la croissance de la population est bien un des moteurs majeurs de la hausse des émissions de gaz à effet de serre, mais moins que la croissance économique.

“Souvent, nous sommes stupides. Nous avons manqué de vision. Nous sommes des goinfres. C’est là que résident le problème et les choix”, insiste Joel Cohen, appelant malgré tout à ne pas considérer l’humanité comme une “plaie”.

“Notre impact sur la planète est déterminé bien plus par nos comportements que par notre nombre”, renchérit Jennifer Sciubba, chercheuse en résidence au centre de réflexion Wilson Center.

“C’est paresseux et préjudiciable de continuer à mettre en avant la surpopulation”, poursuit-elle, soulignant le risque que les pays riches, au lieu de changer leur propre comportement, rejettent le problème vers les pays en développement qui tirent la croissance démographique.

Alors que si tout le monde vivait comme un habitant de l’Inde, l’humanité n’aurait besoin que de 0,8 planète chaque année, contre plus de 5 planètes pour un habitant des Etats-Unis, selon le Global Footprint Network et WWF.

Trop nombreux ou non, ces 8 milliards d’humains sont déjà là, et la population va continuer à grossir, avec 9,7 milliards projetés en 2050 par l’ONU, qui note qu’en raison du nombre important de jeunes, une très large part de cette croissance aura lieu même si les pays à la fécondité la plus élevée tombaient dès aujourd’hui à deux enfants par femme.

Droits des femmes

Une question de fécondité directement liée aux droits des femmes, qui provoque des réactions immédiates de défense même de ceux qui pencheraient vers un “oui” à la question “sommes-nous trop nombreux sur cette Terre”.

L’ONG Population Matters plaide ainsi pour une baisse de la population mondiale, mais “uniquement par des moyens positifs, volontaires et respectant les droits”, explique à l’AFP son directeur Robin Maynard, s’opposant à toute “politique de contrôle” des naissances imposée par l’Etat.

Le Projet Drawdown fait, lui, de l’éducation et du planning familial l’une de ses quelque 100 solutions pour freiner le réchauffement: “Au niveau mondial, une population plus réduite avec des niveaux de consommation durables permettrait de réduire la demande d’énergie, de transports, de matériaux, de nourriture et de ressources naturelles”.

Parce que “chaque personne née sur cette Terre ajoute un stress supplémentaire sur la planète”, estime de son côté Vanessa Perez, analyste au World Resources Institute.

“On était déjà trop nombreux il y a des années”, mais “c’est une question très épineuse”, reconnaît-elle auprès de l’AFP, refusant que “les élites s’emparent de ce narratif pour demander de plafonner la croissance démographique dans les pays du Sud”.

Un narratif qu’elle préfère centrer autour de l’”équité” et de la “distribution” des ressources, notamment l’accès à la nourriture.

Tout comme Joel Cohen. Même s’il y a mathématiquement assez de nourriture produite pour 8 milliards d’habitants, “800 millions de personnes, une personne sur 10 sur la planète, sont chroniquement mal-nourris”, insiste-t-il.

“Le concept du +trop nombreux+ est une distraction des vrais problèmes liés au bien-être de l’espèce humaine et des espèces avec lesquelles nous partageons la planète”.

abd/dax/jnd

Graphique montrant l’évolution de la population mondiale et les différentes projections prévues, selon l’Onu
• Julia Han JANICKI

Carte montrant la densité de population dans le monde
• Julia Han JANICKI

Un bébé en train d’être nourri le 13 septembre 2022 dans l’hôpital de Gabrovo, en Bulgarie
• Nikolay DOYCHINOV

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Fouilles, pots-de-vin et paranoïa: la vie sous l’occupation russe en Ukraine

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Un couple a enterré ses téléphones pour éviter qu’ils ne soient saisis par les Russes, d’autres ont donné leur voiture ou payé des pots-de-vin pour qu’on les laisse fuir et nombreux sont ceux qui tout…

Un couple a enterré ses téléphones pour éviter qu’ils ne soient saisis par les Russes, d’autres ont donné leur voiture ou payé des pots-de-vin pour qu’on les laisse fuir et nombreux sont ceux qui tout perdu dans le sud de l’Ukraine occupé.

Dans les régions de Kherson et de Zaporijjia, en partie occupées par les forces russes depuis le tout début de la guerre, les habitants qui ont réussi à s’échapper vers les territoires sous contrôle ukrainien racontent une atmosphère de paranoïa quasi-totale et de soumission aux caprices des soldats et des responsables civils installés par Moscou.

La Russie a imposé la loi martiale dans quatre régions d’Ukraine dont elle a revendiqué l’annexion en septembre. Aucune n’est cependant entièrement sous contrôle russe et les combats y font toujours rage.

L’impossibilité pour les médias indépendants d’accéder à ces territoires empêche la vérification des informations qui en sortent. 

Mais ce qu’en racontent les locaux passés côté ukrainien tranche avec ce qui est dépeint par les médias pro-Kremlin à destination du public russe.

“C’était incroyablement effrayant. La ville entière est remplie d’étrangers armés”, témoigne Anton Ovtcharov, 44 ans, ancien ingénieur de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d’Europe sous contrôle russe.

Payer en vodka

A Katchkarivka, un village sur la rive occidentale du Dniepr, Lioudmila et Oleksandre Chevtchouk, racontent que les troupes russes faisaient irruption chez les habitants, à la recherche, notamment de leurs téléphones portables.

Selon eux, les Russes craignaient que les locaux ne communiquent leur position aux forces ukrainiennes.

“Ils allaient de maison en maison avec leurs armes. Ils jetaient tous les téléphones dans un sceau et s’en allaient”, explique Lioudmila, 56 ans.

“Nous enterrions nos téléphones. Tout le monde le faisait. Ceux qui ne le faisaient pas à temps les perdaient”, dit-elle.

Irina Mykhaïlena, mère de deux enfants, affirme que des soldats l’ont stoppée avec sa fille au milieu d’une rue dans la ville de Berdiansk.

“Ils ont fouillé dans son sac, à la recherche de son téléphone. Le même jour, la fille de 12 ans de mon amie marchait seule dans la rue et a également été stoppée. Ils ont aussi fouillé son sac”, assure cette agente immobilière de 43 ans.

“On devait effacer tous nos messages. Dieu nous garde si nous disions quelque chose contre la Russie. Personne ne se sentait en sécurité”, poursuit-elle.

Ceux qui sont parvenus à fuir assurent que les soldats russes étaient prêts à les conduire jusqu’aux positions ukrainiennes, moyennant paiement.

“Avant, on pouvait leur donner de la vodka, mais maintenant, il faut vraiment payer”, affirme Olga, 57 ans, qui n’a pas voulu donner son nom de famille.

“Les Russes vous emmenaient et revenaient ensuite prendre vos biens”, dit cette habitante de Doudtchany, depuis partiellement reconquise par les Ukrainiens.

“Pression psychologique”

Oleksandre Chevtchouk explique que ses amis ont remis les clés de leur voiture aux Russes pour qu’ils les laissent passer. “On a ensuite vu les soldats circuler dans cette voiture”, affirme-t-il.

Selon le couple, les soldats ont aussi exercé une “pression psychologique” sur les habitants pour qu’il évacuent vers la Crimée, annexée par la Russie en 2014.

Nina Bezgouba dit avoir fui son village de Nijni Serogozy il y a deux semaines, lorsqu’y ont afflué les Tchétchènes, des soldats à la sinistre réputation, qui combattent aux côtés des forces de Moscou.

“Les Tchétchènes s’emparent de nos maisons. Je dirai qu’actuellement, 60% de la population (du village) est tchétchène”, assure-t-elle.

Selon Irina Mykhaïlena, les autorités d’occupation ont confisqué les entreprises rentables telles que les stations balnéaires et les hôtels à Berdiansk, sur la mer d’Azov. “Ils viennent avec le commandant, pointent du doigt en disant qu’ils veulent ceci ou cela et c’est fait”, dit-elle.

Mais tous ne se rendent pas sans combattre.

Oleksandre Gorbonossov raconte qu’avec ses amis, ils versaient du sucre dans les réservoirs de carburant de l’armée russe pour rendre leurs engins, même brièvement, inopérants.

“Ensuite, nous avons compris que cela ne servait à rien. Ils allaient simplement voir les agriculteurs et menaçaient de brûler leurs équipements s’ils ne leur donnaient pas de carburant”, explique ce natif de la ville d’Energodar.

“J’ai fui quand les Russes ont compris où nous vivions. Ils ont tellement d’informateurs”, déplore-t-il

zak/bur/dar/cr

Carte localisant la ville de Kherson, que l’administration d’occupation russe évacue devant l’avancée des troupes ukrainiennes
• Sabrina BLANCHARD

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Fouilles, pots-de-vin et paranoïa: la vie sous l’occupation russe en Ukraine

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Un couple a enterré ses téléphones pour éviter qu’ils ne soient saisis par les Russes, d’autres ont donné leur voiture ou payé des pots-de-vin pour qu’on les laisse fuir et nombreux sont ceux qui tout…

Un couple a enterré ses téléphones pour éviter qu’ils ne soient saisis par les Russes, d’autres ont donné leur voiture ou payé des pots-de-vin pour qu’on les laisse fuir et nombreux sont ceux qui tout perdu dans le sud de l’Ukraine occupé.

Dans les régions de Kherson et de Zaporijjia, en partie occupées par les forces russes depuis le tout début de la guerre, les habitants qui ont réussi à s’échapper vers les territoires sous contrôle ukrainien racontent une atmosphère de paranoïa quasi-totale et de soumission aux caprices des soldats et des responsables civils installés par Moscou.

La Russie a imposé la loi martiale dans quatre régions d’Ukraine dont elle a revendiqué l’annexion en septembre. Aucune n’est cependant entièrement sous contrôle russe et les combats y font toujours rage.

L’impossibilité pour les médias indépendants d’accéder à ces territoires empêche la vérification des informations qui en sortent. 

Mais ce qu’en racontent les locaux passés côté ukrainien tranche avec ce qui est dépeint par les médias pro-Kremlin à destination du public russe.

“C’était incroyablement effrayant. La ville entière est remplie d’étrangers armés”, témoigne Anton Ovtcharov, 44 ans, ancien ingénieur de la centrale nucléaire de Zaporijjia, la plus grande d’Europe sous contrôle russe.

Payer en vodka

A Katchkarivka, un village sur la rive occidentale du Dniepr, Lioudmila et Oleksandre Chevtchouk, racontent que les troupes russes faisaient irruption chez les habitants, à la recherche, notamment de leurs téléphones portables.

Selon eux, les Russes craignaient que les locaux ne communiquent leur position aux forces ukrainiennes.

“Ils allaient de maison en maison avec leurs armes. Ils jetaient tous les téléphones dans un sceau et s’en allaient”, explique Lioudmila, 56 ans.

“Nous enterrions nos téléphones. Tout le monde le faisait. Ceux qui ne le faisaient pas à temps les perdaient”, dit-elle.

Irina Mykhaïlena, mère de deux enfants, affirme que des soldats l’ont stoppée avec sa fille au milieu d’une rue dans la ville de Berdiansk.

“Ils ont fouillé dans son sac, à la recherche de son téléphone. Le même jour, la fille de 12 ans de mon amie marchait seule dans la rue et a également été stoppée. Ils ont aussi fouillé son sac”, assure cette agente immobilière de 43 ans.

“On devait effacer tous nos messages. Dieu nous garde si nous disions quelque chose contre la Russie. Personne ne se sentait en sécurité”, poursuit-elle.

Ceux qui sont parvenus à fuir assurent que les soldats russes étaient prêts à les conduire jusqu’aux positions ukrainiennes, moyennant paiement.

“Avant, on pouvait leur donner de la vodka, mais maintenant, il faut vraiment payer”, affirme Olga, 57 ans, qui n’a pas voulu donner son nom de famille.

“Les Russes vous emmenaient et revenaient ensuite prendre vos biens”, dit cette habitante de Doudtchany, depuis partiellement reconquise par les Ukrainiens.

“Pression psychologique”

Oleksandre Chevtchouk explique que ses amis ont remis les clés de leur voiture aux Russes pour qu’ils les laissent passer. “On a ensuite vu les soldats circuler dans cette voiture”, affirme-t-il.

Selon le couple, les soldats ont aussi exercé une “pression psychologique” sur les habitants pour qu’il évacuent vers la Crimée, annexée par la Russie en 2014.

Nina Bezgouba dit avoir fui son village de Nijni Serogozy il y a deux semaines, lorsqu’y ont afflué les Tchétchènes, des soldats à la sinistre réputation, qui combattent aux côtés des forces de Moscou.

“Les Tchétchènes s’emparent de nos maisons. Je dirai qu’actuellement, 60% de la population (du village) est tchétchène”, assure-t-elle.

Selon Irina Mykhaïlena, les autorités d’occupation ont confisqué les entreprises rentables telles que les stations balnéaires et les hôtels à Berdiansk, sur la mer d’Azov. “Ils viennent avec le commandant, pointent du doigt en disant qu’ils veulent ceci ou cela et c’est fait”, dit-elle.

Mais tous ne se rendent pas sans combattre.

Oleksandre Gorbonossov raconte qu’avec ses amis, ils versaient du sucre dans les réservoirs de carburant de l’armée russe pour rendre leurs engins, même brièvement, inopérants.

“Ensuite, nous avons compris que cela ne servait à rien. Ils allaient simplement voir les agriculteurs et menaçaient de brûler leurs équipements s’ils ne leur donnaient pas de carburant”, explique ce natif de la ville d’Energodar.

“J’ai fui quand les Russes ont compris où nous vivions. Ils ont tellement d’informateurs”, déplore-t-il

zak/bur/dar/cr

Carte localisant la ville de Kherson, que l’administration d’occupation russe évacue devant l’avancée des troupes ukrainiennes
• Sabrina BLANCHARD

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Expect power outages in sections of seven parishes on November 7 and 8 Loop Jamaica

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44 minutes ago

(Photo: iStock)

NEWYou can now listen to Loop News articles!

Jamaica Public Service (JPS) has announced several maintenance-related power outages for Monday, November 7 and Tuesday, November 8, in sections of at least seven parishes.

The light and power company gave notice in a series of tweets on Twitter.

Here’s a breakdown of the areas to be impacted on Monday, November 7:

St Thomas

12 miles, Bull Bay to 14 Miles, Albion Heights and Mezgar Gardens, from 8:30am – 6pm

Clarendon

Section of Salt River Road to Longville Park Housing Scheme (entire scheme), Spring Field, Clifton, Rowington, Gimmi-Mi-Bit, Milk River, Gravel Hill, Salt River, and Kemps Hill, from 9am – 6pm

Hanover

Bessie Baker, Welcome, from 9:30am – 4pm

St James

Cornwall Gardens, from 9am – 4pm

Here’s a breakdown of the areas to be impacted on Tuesday, November 8:

Westmoreland

Sandals – Font Hill, from 8:30am – 5pm

St Ann

Chester, from 9am – 4pm

St Andrew

Merrivale Ave, Merrivale Close, Merrivale Apartments from 9am – 5pm (sections of Rochester and Lounsbury Avenue will experience an outage for approximately 30 minutes to isolate the work area)Hilldene Avenue, Norman Avenue, Norman Gardens, Langston Road and environs, from 10am – 11:30amWatervale Avenue, Chevy Chase, section of Border Avenue, Coolwater Avenue, Montcalm Drive, from 9:30am – 4:30pmTop Road, Mount Ogle, from 9:30am – 4:30pm

Clarendon

McNie to Cowley District, from 10am – 4pm

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5 tips to help parents care for their child with autism Loop Jamaica

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Autism Spectrum Disorder (ASD) is a chronic developmental disorder that affects a person’s ability to interact and communicate with others.

Every autistic child is unique and has their own specific needs. Some require little or no support while others may need help every day.To overcome their challenges and lead fulfilling lives, children with autism need the right support and care.

Here are some parenting suggestions that you might take into account if you are taking care of an autistic child.

Educate yourself about the condition

You must be sufficiently knowledgeable about ASD. In addition to consulting a specialist, you can learn more about the condition and the available treatments from governmental and nonprofit organisations.

You can also read reputable articles and the most recent research findings to arm yourself with the knowledge you need to choose what is best for your child.

Know your child

Keep tabs on your child’s behaviour and learn the reasons behind their irritability. Take into account what stresses or soothes your child. Knowing your child’s behaviour patterns will help you solve problems or avoid them altogether.

Create a routine for your child

Children with ASD benefit from having a highly structured schedule because they find it simple to adapt in a predictable environment. Establish a routine that includes regular times for getting dressed, eating meals, brushing teeth, attending school, and sleeping. Do these things every day at the same time, and try to minimise interruptions. Just in case your schedule needs to change, get your child ready in advance.

Learn how to communicate with your child

Communication can be difficult for many autistic people. You must find novel ways to communicate with autistic children because some of them may not even use words. Visual communication is effective for many autistic children.

Play with your child

Establish playtime with your child so that you can spend time together.

Consider approaches that will pique their interest. This will allow you to build connections and have fun. The importance of unhurried time with your child cannot be overstated because it can enhance social and cognitive abilities.

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‘Climate Chaos’ – UN Secretary-General Says Planet Sending Distress Signal – St. Lucia Times News

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United Nations Secretary-General António Guterres has declared that as the climate change summit, COP27, gets underway in Egypt, the planet is sending ‘a distress signal. ‘

Guterres made the remarks in a message on the launch of the World Meteorological Organization (WMO) Provisional State of the Global Climate.

Released on Sunday, the report shows that the last eight years have been the warmest on record, fuelled by ever-rising greenhouse gas concentrations.

“The latest State of the Global Climate report is a chronicle of climate chaos,” the UN Secretary-General declared.

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“As the World Meteorological Organization shows so clearly, change is happening with catastrophic speed – devastating lives and livelihoods on every continent,” Guterres asserted.

He noted that every heatwave had become more intense and life-threatening, especially for vulnerable populations because the last eight years have been the warmest on record.

The UN Chief observed that sea levels are rising at twice the speed of the 1990s – posing an existential threat to low-lying island states and threatening billions of people in coastal regions.

He also noted that glacier melt records are melting away, jeopardising water security for entire continents.

“People and communities everywhere must be protected from the immediate and ever-growing risks of the climate emergency. That is why we are pushing so hard for universal early warning systems within five years,” Guterres disclosed.

“We must answer the planet’s distress signal with action — ambitious, credible climate action. COP27 must be the place – and now must be the time,” the UN Secretary-General emphasised.

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Comercio no mester lubida cu BBO ta ‘aftrekbaar’ di e ‘winstbelasting’

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Directora di Departamento di Impuesto:

ORANJESTAD (AAN):  BBO ta un sistema acumulativo, cu tambe ta trece inflacion cu ne, pero den opinion di directora di Departamento di Impuesto, Luanne Gomes-Pietersz, mester ta na altura cu BBO ta ‘aftrekbaar’ (deducibel).

            El a splica cu comercio no mester lubida cu BBO ta ‘aftrekbaar’ di bo ‘winstbelasting’. “Bo ta pasa e rekening pa e consumidor. Bo ta hacie 7.52, pero den mesun rosea bo por trek’e af. Pa e comerciante, pero no pa e consumidor”, a splica.

            El a agrega cu e ta un ‘commerciele afweging’ cu comercio ta haci pa cobra 7.52. E no ta basa ariba ley, cu e ley ta bisa cu tin cu cobra e consumidor 7.52 porciento.

            E mesun discusion aki tabata tin cu e 6 porciento. Si tabata 6,36 of 6.38 porciento. Comercio ta liber pa determina su prijs. Pero locual comercio no mester lubida ta cu esaki ta ‘aftrekbaar’. Di un banda e prijsnan ta wordo subi pa e consumidornan. Di un otro banda tin un deduccion pa comercio, a bisa.

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Varios team deportivo recordando bida di Jossy Tromp kende a fayece recien

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ORANJESTAD (AAN): Tabata dos siman pasa cu e noticia tristo a drenta cu Ignacio José Tromp a fayece, cu 79 aña di edad.  Pa hopi hende e ta simplemente conoci como ‘Jossy’ of tambe ‘Jossy Polis’.

   E tabata conoci como un agente policial hecho y derecho, cu tabata semper cla pa mustra hobennan tur loke tin di haber cu respet.  Pesey mes hobennan cu tabata comete actonan baldadi, mesora ta para straight ora nan mira cu Jossy Polis ta yegando den patruya.  E ta alavez papia cu nan, y empuha nan pa escoge un rumbo mas sano, incluyendo deporte.

   Naci den bario di Companashi, for di edad hoben caba Jossy tabata envolvi activamente den hopi tipo di deporte.  Pero claramente esnan cu mas a conquista su curazon tabata Futbol y tambe Volleyball.

   Esey ta loke Aruba Volleyball Association a trece dilanti tambe, esta cu nan a keda cu bon recuerdonan ta keda atras di Jossy Tromp, kende a yega di fungi como ex-President y Referee di e Asociacion di Volley.

   Te cu e dia di awe, den seno di Aruba Volleyball Association sigur e nomber di “Jossy” na hopi ocasion ta wordo menciona cu un anecdota den e mundo di volleyball riba e isla.  Ta grato recuerdo cu el a dedica parti di su bida na su deporte di volleyball.  Jossy Tromp a forma parti di directiva y despues como Presidente di Aruba Volleyball Association.

   Como Presidente sr. Jossy Tromp a maneha y guia e organizacion di A.V.A. y el a duna su aporte na e desaroyo di volleyball en general.  Fuera di esey, Jossy Tromp tabata conoci como Arbitro di Volleyball. E tabata fungi como Referee tanto pa weganan ‘Indoor Volleyball’ como ‘Beach Volleyball’. Sr. Jossy Tromp tabata dirigi/fluit su weganan corecto y e tabata mantene e reglanan local y internacional cu a wordo dicta pa competencianan di volleyball.

   Jossy Tromp semper a tuma su trabao como Arbitro hopi na serio y tanto e atletanan como e coachnan ta consciente di esaki. Den su carera como Arbitro di Volleyball sr. Jossy Tromp a pasa su conocimento di referee na e hobennan kendenan el a siña pa ta un referee di volleyball, con pa fluit un wega cu su reglanan, postura y señalnan.

   Pa e parti di beach volleyball, sr. Jossy Tromp tabata co-fundador y ela sa di guia e hobennan di e tempo aya con pa hunga beach volleyball y siña nan e reglanan di beach volleyball. Ultimo añanan cu e tabata activo ainda sr. Jossy Tromp semper ta acudi na weganan di volleyball tanto indoor como beach volleyball. “Weganan di Volleyball tabata su pasion”.

   Su otro amor tabata pa Futbol, y aki e tabata activamente envolvi tambe cu e organizacion di SV RCA, y ultimo añanan bo ta mire regularmente na RCA Arena na Solito ta mira wega, y combersa cu amigonan di bario.  Ora tin wega grandi na Stadion, e tey tambe anto bisti cu su paña tricolor pa demostra su sosten.

   Palabranan di condolencia na henter famia y amigonan.  Siman pasa Diamars, ya caba famianan a despedi di dje na funeraria.

 







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MEP ta prefera medida riba pueblo na luga di medida riba gobierno

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ORANJESTAD (AAN): Segun Parlamentario Miguel Mansur di Accion21, e partido bieunan lo purba tur cos pa keda den poder,

asina nan por fix nan mes (lesa directeurschap pa parlamentario cu kier retira), parti trabao pa amigo, bisiña, famia, pegado di bandera, yiu di secretaria etc. Mientras nan ta sigui sink e pais cu mas debe y tapa corupcion, nan integrante y sostenedonan ta purba gaña nan mes cu nan ta actua den beneficio di Aruba.

            CAft ta un organo onafhankelijk encarga cu nos supervision financiero, recientemente nan a constata cu gobierno no a cumpli suficiente den BAHA SU GASTONAN. Nan a demostra cu gobierno ta usando entrada extra cu a drenta (riba lomba di pueblo) den forma di mas invoerrechten, bbo, accijns etc. debi na prijsnan mas halto pa disimula. Nan a recomenda pa Rijksministerraad implementa un medida riba gobierno, no riba pueblo.

            Desde 2015 Aruba tin un LAft (Landsverordening Aruba tijdelijk financieel toezicht) cu ta establece cierto norma pa Aruba no bati bancarota. Ora un pais bati bancarota ta nifica cu ambtenaar no por cobra salario, pensionado no por cobra pensioen, cuido medico ta sufri un collapse, enseñasa ta cay den otro paso no tin placa pa e.o. paga docente, produci y suministra awa y coriente ta bira dificil sin placa pa cumpra combustibel etc. Politiconan por bula riba, bula abao, pero ta nos mesun mal maneho desde 2001 a habri porta pa intervencion di Hulanda.

            Cierto parlamentario y partido kier pa boso kere cu gobierno y pueblo ta mescos paso segun nan, ta pueblo mester sirbi gobierno, mundo riba su cabes. E decision tabata sea pone un medida riba gobierno pa baha su gasto of gobierno lo pone mas medida riba pueblo pa hisa su entrada. Rijksministerraad a opta pa laga gobierno hisa su entrada door di impone mas medida riba pueblo y Accion 21 a critica esaki. Nos partido semper lo scoge medida riba gobierno prome cu medida riba pueblo!

            Awor e ‘partido di Status Aparte’ kier pa su votadonan pensa cu tabata un atake riba nos autonomia. E unico atake riba nos autonomia ta di esnan cu ta sigui gasta placa cu nos no tin den un manera ineficiente y inefectivo cu ta resulta den medida y mas medida riba nos pueblo. Un maneho sostenibel di finansas publico ta e miho garantia pa preserva nos Status Aparte y e nacion Arubano. Esnan den Parlamento cu no ta compronde esey mester bay duna pueblo nan placa bek paso nan no ta sirbi.

            Den nan desesperacion pa keda relevante nan ta bolbe purba lanta calumnia riba e tres ex-candidatonan cu ya no ta forma parti di nos partido despues di eleccion 2021. Bestuur di Accion 21 tabata den proceso di expulsa uno, suspende un otro y e di tres tabata riba non-actief boluntario pendiente e resultado di decision di directiva. Ambos persona cu procedemento contra nan tin historia problematico den otro organisacion y incluso otro partidonan cu nan a forma parti di dje. Manera nos a relata den nos comunicado di prensa e tempo ey, Accion 21 semper lo scoge interes general riba interes personal, un concepto aparentemente desconoci pa e partido mas grandi di coalicion.

            Gabinete Wever-Croes II no por biba cu CAft a desenmascara nan mal maneho y recomenda un aanwijzing pa evita medida riba pueblo. Den un forma deshonesto, cu a bira nan marca politico, e gobierno di gañado kier disfrasa nan fayonan como un atake riba nos autonomia. Esnan cu a drenta politica pa mehora nan economia personal y esun di nan famia y amistadnan, ta e berdadero menasa pa Status Aparte y e nacion Arubano.

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