COLUMN: Hel-man
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Ganga / Sharda Ganga Ik wilde wel schrijven dat ik van mijn stoel viel toen tijdens het NPS-congres de NPS-voorzitter
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Coup de tonnerre à Saint-Malo. Le départ de la 12e édition de la Route du Rhum, prévu initialement dimanche, a été reporté en raison des conditions météo difficiles menaçant les marins et leurs voiliers, une première dans…
Coup de tonnerre à Saint-Malo. Le départ de la 12e édition de la Route du Rhum, prévu initialement dimanche, a été reporté en raison des conditions météo difficiles menaçant les marins et leurs voiliers, une première dans l’histoire de la célèbre course transatlantique en solitaire.
“Il était possible de donner le départ dimanche, mais la flotte se serait rapidement retrouvée dans un état de mer très fort avec des rafales de vent atteignant les 100 km/h et 6 à 7 mètres de creux. On sait qu’il y aurait eu de la casse et potentiellement plus grave”, a expliqué à l’AFP Francis Le Goff, directeur de la course.
L’annonce a été faite dans la matinée à l’issue d’un briefing météo donné aux 138 marins engagés sur la course, qui a lieu tous les quatre ans depuis 1978 et dont le départ n’avait jamais été reporté.
“C’est la bonne décision. Quand on est marin et qu’on sait que les conditions à venir sont dures, il faut savoir être raisonnable et rester au port”, a-t-il estimé. Le départ de la flotte est désormais prévu “mardi ou mercredi” au large de la cité corsaire.
Sur les pontons, l’inquiétude avait commencé à monter en milieu de semaine chez les marins engagés, amateurs et professionnels. Les bourrasques attendues et la mer chaotique laissaient présager le pire pour les catégories de bateaux les plus fragiles.
Lors d’un point presse vendredi, les organisateurs avaient suggéré à ces bateaux de s’abriter dans les ports environnants, en attendant une accalmie. Mais étant donné le nombre record de partants pour cette 12e édition, il était impossible de garantir une place à tout le monde dans l’urgence.
“Les bateaux les plus rapides auraient, peut-être, pu éviter le coup de vent en se dirigeant vers l’Irlande, mais pas tous. Et il n’y aurait pas forcément eu la possibilité pour 138 bateaux de trouver refuge”, a expliqué à l’AFP François Gabart (SVR-Lazartigue).
Samedi, c’est le soulagement qui domine chez la plupart des marins interrogés, y compris les favoris, pourtant plus à même d’affronter le mauvais temps à la barre de bateaux ultra-modernes, comme les trimarans géants Ultim.
“Les conditions météo sont exceptionnelles, donc c’est une sage décision”, a réagi Armel Le Cléac’h (Banque Populaire). “C’est bien. On savait qu’on allait à la guerre, mais c’est nos Jeux Olympiques à nous, donc on y serait allé quand même (…) et ça pouvait être dangereux”, a dit Charles Caudrelier (Maxi Edmond De Rothschild).
Selon le météorologue Jean-Yves Bernot, grand spécialiste de la course au large, “les petits bateaux ne faisaient pas trop le poids” face aux conditions annoncées. Aucun choix de trajectoire en direction de la Guadeloupe ne permettait “d’éviter le coup de vent”.
“Il n’y avait pas moyen de s’échapper. La seule solution était de s’arrêter en Bretagne et de se planquer”, a-t-il estimé, ajoutant que “mardi ou mercredi ce sera moins dangereux”.
Conséquence de ce report, Emmanuel Macron, qui devait assister au départ sur l’eau dimanche va se rendre plus tôt à la 27e conférence de l’ONU sur le climat (COP27) en Egypte.
Le village de l’événement, qui a accueilli plusieurs centaines de milliers de visiteurs depuis son ouverture le 25 octobre, devrait vraisemblablement fermer ses portes dimanche en fin de journée.
La direction de la course n’a pas encore communiqué sur la date et l’heure exactes d’un nouveau départ, mais promet que “la bagarre sera belle” lorsque le coup de canon retentira enfin.
fd/chc
Les voiliers de la Route du Rhum à quai après le report du départ de la course à cause des mauvaises conditions météo le 5 novembre 2022 à Saint-Malo
• LOIC VENANCE
Le marin Armand Le Cléac’h s’adresse à la presse après l’annonce du report du départ de la Route du Rhum le 5 novembre 2022 à Saint-Malo
• LOIC VENANCE
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Coup de tonnerre à Saint-Malo. Le départ de la 12e édition de la Route du Rhum, prévu initialement dimanche, a été reporté en raison des conditions météo difficiles menaçant les marins et leurs voiliers, une première dans…
Coup de tonnerre à Saint-Malo. Le départ de la 12e édition de la Route du Rhum, prévu initialement dimanche, a été reporté en raison des conditions météo difficiles menaçant les marins et leurs voiliers, une première dans l’histoire de la célèbre course transatlantique en solitaire.
“Il était possible de donner le départ dimanche, mais la flotte se serait rapidement retrouvée dans un état de mer très fort avec des rafales de vent atteignant les 100 km/h et 6 à 7 mètres de creux. On sait qu’il y aurait eu de la casse et potentiellement plus grave”, a expliqué à l’AFP Francis Le Goff, directeur de la course.
L’annonce a été faite dans la matinée à l’issue d’un briefing météo donné aux 138 marins engagés sur la course, qui a lieu tous les quatre ans depuis 1978 et dont le départ n’avait jamais été reporté.
“C’est la bonne décision. Quand on est marin et qu’on sait que les conditions à venir sont dures, il faut savoir être raisonnable et rester au port”, a-t-il estimé. Le départ de la flotte est désormais prévu “mardi ou mercredi” au large de la cité corsaire.
Sur les pontons, l’inquiétude avait commencé à monter en milieu de semaine chez les marins engagés, amateurs et professionnels. Les bourrasques attendues et la mer chaotique laissaient présager le pire pour les catégories de bateaux les plus fragiles.
Lors d’un point presse vendredi, les organisateurs avaient suggéré à ces bateaux de s’abriter dans les ports environnants, en attendant une accalmie. Mais étant donné le nombre record de partants pour cette 12e édition, il était impossible de garantir une place à tout le monde dans l’urgence.
“Les bateaux les plus rapides auraient, peut-être, pu éviter le coup de vent en se dirigeant vers l’Irlande, mais pas tous. Et il n’y aurait pas forcément eu la possibilité pour 138 bateaux de trouver refuge”, a expliqué à l’AFP François Gabart (SVR-Lazartigue).
Samedi, c’est le soulagement qui domine chez la plupart des marins interrogés, y compris les favoris, pourtant plus à même d’affronter le mauvais temps à la barre de bateaux ultra-modernes, comme les trimarans géants Ultim.
“Les conditions météo sont exceptionnelles, donc c’est une sage décision”, a réagi Armel Le Cléac’h (Banque Populaire). “C’est bien. On savait qu’on allait à la guerre, mais c’est nos Jeux Olympiques à nous, donc on y serait allé quand même (…) et ça pouvait être dangereux”, a dit Charles Caudrelier (Maxi Edmond De Rothschild).
Selon le météorologue Jean-Yves Bernot, grand spécialiste de la course au large, “les petits bateaux ne faisaient pas trop le poids” face aux conditions annoncées. Aucun choix de trajectoire en direction de la Guadeloupe ne permettait “d’éviter le coup de vent”.
“Il n’y avait pas moyen de s’échapper. La seule solution était de s’arrêter en Bretagne et de se planquer”, a-t-il estimé, ajoutant que “mardi ou mercredi ce sera moins dangereux”.
Conséquence de ce report, Emmanuel Macron, qui devait assister au départ sur l’eau dimanche va se rendre plus tôt à la 27e conférence de l’ONU sur le climat (COP27) en Egypte.
Le village de l’événement, qui a accueilli plusieurs centaines de milliers de visiteurs depuis son ouverture le 25 octobre, devrait vraisemblablement fermer ses portes dimanche en fin de journée.
La direction de la course n’a pas encore communiqué sur la date et l’heure exactes d’un nouveau départ, mais promet que “la bagarre sera belle” lorsque le coup de canon retentira enfin.
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Les voiliers de la Route du Rhum à quai après le report du départ de la course à cause des mauvaises conditions météo le 5 novembre 2022 à Saint-Malo
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Le marin Armand Le Cléac’h s’adresse à la presse après l’annonce du report du départ de la Route du Rhum le 5 novembre 2022 à Saint-Malo
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England reach T20 World Cup semifinals, Australia eliminated
Nike splits with Nets guard Kyrie Irving amid antisemitism fallout
Violent flare-up triggers curfew in Kingston East
JPS: Planned power outages for November 5 and 6
Cop under probe accused of pulling gun after ‘several drinks at hotel’
Extended opening hours at several health facilities in SERHA region
Working not allowed when visiting the US on a tourist visa
Senate approves Order – gun amnesty begins Saturday, November 5
Justices of the peace receive Government email accounts
Performance-based promotion for correctional officers – Mayne
1 hrs ago
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A 48-hour curfew has been imposed in sections of the Kingston Eastern Division. The curfew began at 8:00 p.m., on Friday, November 04, and will continue until 8:00 pm, on Sunday, November 06.
The boundaries of the curfew are as follows:
SOUTH: Along St. Patrick Road from Oliver Road to Wareika Road. EAST: Along Wareika Road from St. Patrick Road running along an imaginary line forty meters north of the Pleasant Heights dirt track.
WEST: Along Oliver Road from St. Patrick Road extending along an imaginary line forty meters north of the Pleasant Heights dirt track.
NORTH: Along an imaginary line running forty meters north, parallel to the Pleasant Heights dirt track.
Persons are reminded that during the hours of the curfew, all persons within the boundaries of the curfew are required to remain within their premises unless otherwise authorized in writing by the ground commander.
When Sean-Paul Morgan and Kadian Thomas established a bar and grill three years ago in Portmore, St Catherine, the selling point they pitched to patrons was: “you don’t have to cross the toll for a go
Three people are dead and 13 others injured following a two-vehicle crash on Melrose Hill bypass in Manchester on Friday.
Reports are that at about 11:30am, a taxi driver was operating a white moto
As the destination continues its strong tourism recovery, Jamaica has welcomed over two million stopover arrivals for 2022 as of October in line with previous projections.
“It is truly gratifying t
The Ministry of Health & Wellness says it has received a report of the discovery of a deceased foetus in the sewer at the Kingston Public Hospital.
The ministry made the disclosure late T
The police have listed 29-year-old Nesta Morrison, otherwise called ‘Bigga Crime’ or ‘Grimy Boss’, as one of the most wanted men who has been wreaking havoc in the 11 Miles Area of Bull Bay, St Thomas
Twelve-year-old Whitley-Rae Davis was not surprised when she found out that she had earned a spot at Campion College in St Andrew, following the release of the Primary Exit Profile (PEP) results in Ju
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Deux militantes écologistes se sont collé la main samedi sur les cadres de tableaux de Francisco Goya au musée du Prado à Madrid pour attirer l’attention sur le réchauffement climatique, une action jugée “injustifiable”…
Deux militantes écologistes se sont collé la main samedi sur les cadres de tableaux de Francisco Goya au musée du Prado à Madrid pour attirer l’attention sur le réchauffement climatique, une action jugée “injustifiable” par le ministre espagnol de la Culture
Les peintures visées, “La Maja nue” et “La Maja vêtue”, qui figurent parmi les oeuvres les plus célèbres du peintre espagnol (1746-1828), n’ont pas été endommagées, selon le musée, qui a précisé dans un communiqué avoir fermé la salle où se trouvaient les deux tableaux.
Contactée par l’AFP, la police espagnole a indiqué avoir interpellé et placé en garde à vue les deux militantes.
Ces activistes, membres du collectif “Futuro Vegetal”, affilié au collectif Extinction rebellion, ont en revanche tagué “+1,5°C” sur le mur du musée entre les deux tableaux, en référence à l’objectif de réchauffement que s’est fixé la communauté internationale.
Dans des vidéos mises en ligne par Extinction rebellion, on voit les deux jeunes femmes, vêtues de t-shirts noirs, sortir de la colle de leurs vêtements puis se coller la paume des mains sur le cadre des tableaux, avant de s’adresser aux visiteurs.
Certains d’entre eux les prennent alors à partie, en leur criant “dehors!”, avant que des agents de la sécurité du célèbre musée madrilène n’interviennent, en demandant aux personnes présentes d’arrêter de filmer la scène.
Dans un communiqué, Extinction rebellion a revendiqué une action de “protestation” face à “la hausse de la température mondiale, qui va provoquer un climat instable avec de graves conséquences sur toute la planète”.
Les politiques actuelles “nous conduisent à une augmentation de 2,5ºC, ce qui signifie une augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements météorologiques extrêmes”, a dénoncé ce collectif écologiste adepte de la désobéissance civile.
L’action des deux militantes a été dénoncé par le gouvernement espagnol. Cet “acte de vandalisme” produit “un rejet généralisé”: “il n’y a aucune cause qui justifie de s’attaquer au patrimoine de tous”, a estimé sur Twitter le ministre de la Culture Miquel Iceta.
Dans son communiqué, le musée du Prado a lui aussi condamné l’action des deux jeunes femmes.
Plusieurs autres actions de ce type ont été menées ces dernières semaines par des militants du climat, qui ont pris pour cible des bâtiments emblématiques mais aussi des célèbres oeuvres d’art dans plusieurs villes d’Europe.
Au début du mois, deux militantes de “Last Generation” avaient ainsi répandu de la purée de pommes de terre sur la vitre protégeant la toile de Claude Monet “Les Meules”, au musée Barberini de Potsdam, en Allemagne.
Des militants se sont également collés sur la vitre protégeant la “Fille à la perle” de Johannes Vermeer dans un musée aux Pays-Bas. D’autres ont jeté de la soupe sur celle qui protégeait les “Tournesols” de Vincent van Gogh à la National Gallery de Londres.
Ces actions surviennent alors que 120 chefs d’Etat et de gouvernement sont attendus à partir de dimanche dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, en Egypte, où doit se tenir durant deux semaines la COP27 sur le climat.
vab/sr
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Deux militantes écologistes se sont collé la main samedi sur les cadres de tableaux de Francisco Goya au musée du Prado à Madrid pour attirer l’attention sur le réchauffement climatique, une action jugée “injustifiable”…
Deux militantes écologistes se sont collé la main samedi sur les cadres de tableaux de Francisco Goya au musée du Prado à Madrid pour attirer l’attention sur le réchauffement climatique, une action jugée “injustifiable” par le ministre espagnol de la Culture
Les peintures visées, “La Maja nue” et “La Maja vêtue”, qui figurent parmi les oeuvres les plus célèbres du peintre espagnol (1746-1828), n’ont pas été endommagées, selon le musée, qui a précisé dans un communiqué avoir fermé la salle où se trouvaient les deux tableaux.
Contactée par l’AFP, la police espagnole a indiqué avoir interpellé et placé en garde à vue les deux militantes.
Ces activistes, membres du collectif “Futuro Vegetal”, affilié au collectif Extinction rebellion, ont en revanche tagué “+1,5°C” sur le mur du musée entre les deux tableaux, en référence à l’objectif de réchauffement que s’est fixé la communauté internationale.
Dans des vidéos mises en ligne par Extinction rebellion, on voit les deux jeunes femmes, vêtues de t-shirts noirs, sortir de la colle de leurs vêtements puis se coller la paume des mains sur le cadre des tableaux, avant de s’adresser aux visiteurs.
Certains d’entre eux les prennent alors à partie, en leur criant “dehors!”, avant que des agents de la sécurité du célèbre musée madrilène n’interviennent, en demandant aux personnes présentes d’arrêter de filmer la scène.
Dans un communiqué, Extinction rebellion a revendiqué une action de “protestation” face à “la hausse de la température mondiale, qui va provoquer un climat instable avec de graves conséquences sur toute la planète”.
Les politiques actuelles “nous conduisent à une augmentation de 2,5ºC, ce qui signifie une augmentation de la fréquence et de l’intensité des événements météorologiques extrêmes”, a dénoncé ce collectif écologiste adepte de la désobéissance civile.
L’action des deux militantes a été dénoncé par le gouvernement espagnol. Cet “acte de vandalisme” produit “un rejet généralisé”: “il n’y a aucune cause qui justifie de s’attaquer au patrimoine de tous”, a estimé sur Twitter le ministre de la Culture Miquel Iceta.
Dans son communiqué, le musée du Prado a lui aussi condamné l’action des deux jeunes femmes.
Plusieurs autres actions de ce type ont été menées ces dernières semaines par des militants du climat, qui ont pris pour cible des bâtiments emblématiques mais aussi des célèbres oeuvres d’art dans plusieurs villes d’Europe.
Au début du mois, deux militantes de “Last Generation” avaient ainsi répandu de la purée de pommes de terre sur la vitre protégeant la toile de Claude Monet “Les Meules”, au musée Barberini de Potsdam, en Allemagne.
Des militants se sont également collés sur la vitre protégeant la “Fille à la perle” de Johannes Vermeer dans un musée aux Pays-Bas. D’autres ont jeté de la soupe sur celle qui protégeait les “Tournesols” de Vincent van Gogh à la National Gallery de Londres.
Ces actions surviennent alors que 120 chefs d’Etat et de gouvernement sont attendus à partir de dimanche dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh, en Egypte, où doit se tenir durant deux semaines la COP27 sur le climat.
vab/sr
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PHILIPSBURG — Independent MP Grisha Heyliger-Marten has lit the fire under a discussion about the refinancing of debts that include Dutch liquidity loans and possibly also the loan from the European Investment Bank for the airport reconstruction.
According to our information, a Dutch consortium spearheaded by a Dutch fiscal law expert name Jacob A. Miedema is interested in refinancing these loans, providing that the Dutch government will guarantee the deal.
There are of course some issues with the story. The name of the consortium and the people associated with it remain a mystery for the time being and the status of Miedema is also unclear.
The main question remains: why would St. Maarten enter into a commercial deal if the financial conditions offered by the Netherlands are unbeatable?
Let’s take a look at some figures first. At the end of 2021, liquidity loans totaled 292 million guilders and the airport loan for the airport was 91 million. Total: 383 million guilders or around $213,966,000.
Refinancing these loans through the Netherlands would cost St. Maarten between zero and 1 percent interest, but The Hague would also impose conditions related to good governance. Information provided to StMaartenNews.com suggests that the consortium would charge between 3 and 4 percent with no payments on the principal during the first ten years.
So what does this all add up to? The Dutch option would cost the government $2,140,000 in annual interest (based on 1 percent); the consortium would charge between $6,419,000 (3 percent) and $8,559,000 (4 percent).
Unfortunately, paying interest does not make loans go away. The government will also have to pay off the principal. If St. Maarten manages to pay off annual $10 million on the principal it would take more than 21 years (so, until 2060) to repay the loans.
If the consortium charged 4 percent, the difference in annual interest would be $6,419,000 and in that case the government could repay $16.4 million on the principal every year: it would take a bit more than 13 years (so until 2045, because the first ten years no such payments are required) to get rid of these loans. It is good to note that politicians in general do not aim to get rid of loans: they refinance them, thereby putting the problems at the door of a next generation.
All these scenarios assume that the country will not be hit by other major disasters that require more liquidity loans to stay afloat.
Minister of Finance Ardwell Irion cannot be comfortable with the alternative refinancing option, if only because it remains unclear who Jacob Miedema is, or what he represents, and because the name of the consortium and its associated partners remains a mystery as well.
While the minister seems to be in the dark, MP Heyliger-Marten seems to have more information. Her spokesman Xavier Blackman (who became Commissioner for Finance in the Executive Council of the Island Territory of St. Maarten on June 9, 2009) said that the attempt to refinance the loans through the Dutch consortium must be placed in the context of decolonization.
MP Heyliger-Marten maintains that the Netherlands “has been exposed by the Pro Soualiga Foundation” and that it admits in a roundabout way that it is violating international law “by organizing a slavery round table conference.”
MP Heyliger-Marten expects that during the celebration of the abolishment of slavery 150 years ago in July of next year the Netherlands is going to apologize.
She furthermore notes, through her spokesman, that the Netherlands is no longer prepared “to throw money into a bottomless pit.”
The MP is also counting on reparations, to be paid by the Netherlands once the decolonization process is completed. She estimates those reparations to amount to around $50 billion for St. Maarten alone. “Dutch technocrats are aware of this, but they are not going to talk about it openly,” the spokesman said.
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A migraine can make you feel as if all of your senses are on high alert. Light and noise can be excruciating. When you move, you may experience the sensation that your brain is sloshing around inside your skull. When suffering from a migraine, some people find it impossible to communicate, let alone think. They may even become disoriented as a result.
Chronic migraine headaches are characterized as migraines that occur more than 15 days per month. Some people have migraine headaches that last all day, every day of the month.
Here are some coping tips for people who suffer from chronic migraine.
Avoid food triggers
The foods that cause headaches differ from person to person. Some dietary triggers are immediately apparent. If you develop a headache after drinking a glass of wine, it is likely that wine is one of your food triggers. Chocolate, MSG (monosodium glutamate), preservative-laden foods, and sugar substitutes are also prominent food triggers. Many headache sufferers may be gluten sensitive and should experiment with a gluten-free diet. Finally, headache sufferers frequently have a sugar sensitivity.
Avoid caffeine
Did you know that caffeine may be the cause of your migraines? Most people frequently fail to recognize caffeine as the issue because caffeine typically makes them feel better. The truth is that caffeine withdrawal is causing headaches. They consume caffeine and feel better, but they need more caffeine two hours later.
Get aerobic exercise
Regular aerobic exercise is one of the known techniques to help decrease stress, and it has been shown to aid persons with migraines. It is advised to do it at least three times per week for at least 30 or 40 minutes. There is a definite link between increased physical activity and fewer headaches. Some people claim they don’t have time to exercise; nevertheless, you must also consider the time missed when suffering from a migraine. If you want to improve, you must exercise.
Stick to a regular sleep schedule
A regular routine that allows you to obtain the sleep you need to operate normally (around 8 hours) is vital for reducing the frequency of migraine attacks you have and alleviating their symptoms. Create a schedule that works with your natural rhythms. Maintain a consistent, relaxing sleep routine, eliminate screen time before bed, and, probably most importantly, wake up at the same time every day.
Try meditation techniques
Meditation, relaxation and breathing exercises and even mental health therapy appear to aid migraine sufferers. Meditation can be approached in a variety of ways. All cause you to pause and take notice. That is, you stop the flow of thoughts in your head and focus on one thing, usually your breathing. Meditation, or “mindfulness practice,” as some call it, can help your response to pain, including migraine, if done on a regular basis.
Headaches can be caused by stress, magnesium insufficiency, caffeine consumption, sleep habits, and nutritional variables. Keep a diary as your first step toward discovering your headache triggers. Keeping a headache journal will help you identify what causes your headaches and will assist your doctor in developing a treatment plan tailored to your individual condition.
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Sous l’initiative de la direction d?partementale du minist?re de l’?ducation nationale et de la Formation professionnelle (MENFP) une rencontre a ?t? organis?e, le vendredi 4 novembre, avec les responsables des institutions scolaires priv?es et publiques du d?partement de la Grand’Anse. L’objectif ?tait de trouver un consensus avec les diff?rents acteurs pour la reprise des activit?s scolaires troubl?es par la crise du carburant depuis plusieurs mois.
Les responsables et directeurs d’?coles dans plusieurs communes, telles que Beaumont, Anse d’Hainault, Dame-Marie et Les Irois, ont donn? la garantie au directeur d?partemental, Marcel Jeanty, qu’ils feront le n?cessaire pour faciliter cette reprise pr?vue le lundi 7 novembre.
“Nous avons pu rencontrer les acteurs cl?s afin de voir comment trouver une meilleure strat?gie pour permettre aux ?l?ves de reprendre le chemin de l’?cole graduellement comme indiqu? le Ministre Nesmy Manigat”, a soulign? le directeur d?partemental, Marcel Jeanty, au journal.
Entre-temps, d’autres jouent la carte de la prudence et pr?f?rent attendre le 14 novembre pour rouvrir leurs portes.
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Elu samedi à la tête du Rassemblement national, Jordan Bardella, 27 ans, s’affiche comme le premier supporter de Marine Le Pen, une filiation qui consacre autant qu’elle paralyse…
Elu samedi à la tête du Rassemblement national, Jordan Bardella, 27 ans, s’affiche comme le premier supporter de Marine Le Pen, une filiation qui consacre autant qu’elle paralyse, pour l’heure, des ambitions réputées immenses.
Avec 85% des suffrages recueillis parmi quelque 26.000 votants, celui qui se présente comme issu d’un milieu populaire en ayant passé sa jeunesse en Seine-Saint-Denis savoure son sacre, énième marche d’un escalier monté quatre à quatre depuis qu’il a pris sa carte au Front national il y a une douzaine d’années.
Costume impeccable et sourire éclatant, le jeune colleur d’affiches est vite repéré par l’appareil frontiste autant soucieux de dédiabolisation que de professionnalisation au tournant des années 2010.
La discipline du jeune homme, des facilités d’apprentissage ainsi que son entregent le propulsent sous le chaperonnage de Florian Philippot, à l’époque N.2 du parti, auprès de qui il consent au virage social et souverainiste en vogue au FN.
Bien davantage que ses convictions, c’est la plasticité de ce vingtenaire qui va assurer son succès.
Jordan Bardella se montre ainsi tout aussi à l’aise lorsqu’il fraie avec le très droitier Frédéric Châtillon, ex-patron de l’officine depuis dissoute du GUD et ami de longue date de Marine Le Pen.
Frédéric Châtillon disgracié, Jordan Bardella sent le vent tourner et devient assistant parlementaire du discret mais incontournable Jean-François Jalkh, avant de trouver un nouveau mentor, Philippe Olivier, beau-frère et principal conseiller de Marine Le Pen. En entamant une relation avec Nolwenn Olivier, fille de Philippe Olivier et Marie-Caroline Le Pen, Jordan Bardella entre ainsi dans le clan.
L’histoire s’accélère pour le bon élève en 2019 lorsqu’il prend la tête de la liste RN aux Européennes, à seulement 24 ans. Les grincements de dents face à cette ascension éclair s’estompent au soir du scrutin lorsque la liste arrive en tête.
Devenu populaire auprès de la base militante, Jordan Bardella se révèle surtout sur les plateaux de télévision où son aisance et son habileté mettent parfois en difficulté des contradicteurs chevronnés.
Il s’attire toutefois des inimitiés lorsqu’il est désigné président par intérim du parti en 2021 par Marine Le Pen, au grand dam de Louis Aliot.
Au-delà des ambitions, sa ligne politique interroge: que pense vraiment celui que ses détracteurs traitent de “Frankestein” ou “cyborg”, “créature” modelée de toutes pièces du clan Le Pen?
“Ni droite, ni gauche”, comme le clame la patronne du RN? Ses amitiés sont pourtant nombreuses dans la mouvance “identitaire”, cette frange droitière essentialiste et ethniciste. Jordan Bardella a d’ailleurs fourni les armes à ses contempteurs lorsqu’il a repris à son compte la théorie complotiste du “grand remplacement”, une ligne rouge à laquelle Marine Le Pen s’était toujours refusée.
Le mois dernier, Louis Aliot avait fustigé “les excès pratiqués par le Front national d’un autre temps”, sans citer nommément son concurrent. Samedi, Steeve Briois, lui, ne s’est pas embarrassé de précautions en fustigeant un “rabougrissement” du parti, selon lui “en train de céder au grand +compromis nationaliste+” ou “l’union des droites radicales” avec le vingtenaire à sa tête.
Aussi acerbe soit-elle, la critique porte pour l’instant peu au RN, où Jordan Bardella cultive une image de loyauté envers Marine Le Pen, dont il jure épouser la ligne politique.
Il s’est par ailleurs attiré le soutien quasi-unanime des 89 députés à l’Assemblée, qui ont multiplié les comités d’accueil dans leurs circonscriptions lors de la campagne interne.
Mais son élection à la tête du parti dissimule mal un invariant: c’est Marine Le Pen qui conserve plus que jamais le pouvoir sur l’extrême droite française, déjà désignée candidate à la présidentielle de 2027.
Quelle place pour le dauphin désormais condamné au coup d’éclat ou à demeurer encore de longues années dans l’ombre de Le Pen ? Quitte à prendre le risque de réaliser la vieille prophétie de Jean-Marie Le Pen, maintes fois vérifiée dans le parti: “le destin de dauphin est parfois de s’échouer”.
pab/jmt/rhl
Jordan Bardella en campagne sur un marché le 5 novembre 2015 à Aulnay-sous-Bois
• JOEL SAGET
Jordan Bardella, élu le 5 novembre 2022 à la tête du Rassemblement national, à Paris le 5 septembre 2022
• JULIEN DE ROSA
Le président par intérim du Rassemblement National (RN) Jordan Bardella et la présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale Marine Le Pen, le 29 juin 2022 à Paris
• JULIEN DE ROSA
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