Ky-Mani Marley Arrested In Florida For Driving On Suspended License

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Reggae singer Ky-Mani Marley was arrested by the Pembroke Pines Police Department during a traffic stop on Thursday in Florida for driving on a suspended license.

The Jamaican actor/musician, who is said to have tried to post bail on Thursday night, is facing a two-month jail sentence and could be fined up to US$500, given that he is a first-time offender. In Florida, a second offense could see that fine increased to $1000, and jail time could end up being a year behind bars.

Broward Sheriff Office Public Information Office senior officer, Carey Codd, confirmed Friday morning the reports of the arrest and mentioned that jail records showed that Marley is out of custody.

The Grammy nominee rose to prominence with his raw, unadulterated, gruff sound, which captures the listener and reverberates the essence of his life story. The 46-year-old has produced notable songs such as “Dear Dad,” “I Pray,” “Ghetto Soldier,” as well as “Fist Full of Dollars.”

Marley has also built a career as an actor, starring alongside fellow Reggae artiste Spragga Benz in the iconic Jamaican film Shottas in 2002.

Ky-Mani Marley is Bob Marley’s second eldest son, and unlike his brothers, who are primarily reggae musicians, he went into acting and film production at an early age. Despite being more famous for his many movie roles, Ky-Mani is still as prolific as his brothers on the microphone.

Ky-Mani Marley is currently out on bail.

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A J-4 des élections de mi-mandat, Biden contre-attaque

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A quatre jours des élections de mi-mandat, Joe Biden a assuré que les démocrates vont déjouer les sondages, qui leur promettent pourtant une déroute, et a mis en garde contre la possibilité d’avoir “deux années horribles” s’il…

A quatre jours des élections de mi-mandat, Joe Biden a assuré que les démocrates vont déjouer les sondages, qui leur promettent pourtant une déroute, et a mis en garde contre la possibilité d’avoir “deux années horribles” s’il perd sa majorité au Congrès et au Sénat.

En visite à Chicago, le président a martelé un message optimiste. “Je ne crois absolument pas que nous soyons en difficulté”, a-t-il déclaré. “Je pense que nous allons gagner. Vraiment.”

Il a toutefois dressé un sombre tableau en cas des victoires des républicains. “Si nous perdons le Congrès et le Sénat, cela va être deux années horribles”, a-t-il averti. 

“La bonne nouvelle, c’est que j’aurai le pouvoir de veto”, qui permet au président de bloquer de futures lois républicaines, a-t-il ajouté. “La démocratie est vraiment en jeu.”

Plus tôt dans la journée, il avait vanté depuis la Californie les investissements massifs réalisés depuis deux ans notamment dans les semi-conducteurs et le climat. Il a aussi promis de s’attaquer à l’inflation, au plus haut depuis 40 ans, qui suscite le mécontentement de nombreux électeurs.

L’Amérique conserve des “points forts”, a-t-il insisté. Le marché du travail reste au beau fixe, avec un taux de chômage de 3,7% et 261.000 emplois créés en octobre. 

“En tant que président, je n’accepterai pas l’argument selon lequel le problème vient du fait que trop d’Américains trouvent des bons emplois”, s’est-il défendu.

Les démocrates sont sur la défensive avant le scrutin de mardi, le 8 novembre. Les sondages prédisent une large victoire des conservateurs à la Chambre des représentants, qui doit être entièrement renouvelée, et penchent depuis peu pour une courte majorité républicaine au Sénat, où un tiers des sièges sont en jeu.

Trump rêve de 2024

Fort de ce scénario, Donald Trump signale de plus en plus clairement son intention de vouloir reconquérir la Maison Blanche. 

“Je vais très très très probablement me représenter. Soyez prêts”, a lancé l’ex-président républicain jeudi soir, en meeting dans l’Iowa. “Nous allons reprendre le Congrès, nous allons reprendre le Sénat”, a-t-il ajouté. “Et en 2024, nous allons reprendre notre magnifique Maison Blanche.”

Le milliardaire, qui n’a jamais reconnu sa défaite en 2020 et flirte depuis des mois avec l’idée de briguer un nouveau mandat, continue d’exercer son emprise sur le parti républicain.

Il a adoubé un grand nombre de ses candidats pour ces “midterms”, multiplie les meetings pour les soutenir et s’attribuera probablement leur succès s’ils privent Joe Biden de sa majorité démocrate au Congrès.

Un succès des conservateurs mardi lui permettrait d’annoncer une candidature présidentielle, coupant ainsi l’herbe sous le pied de potentiels rivaux comme le gouverneur de Floride Ron DeSantis.

“On peut miser sur une annonce rapide”, a reconnu jeudi Kellyanne Conway, son ancienne conseillère à la Maison Blanche et proche alliée.

Citant des sources anonymes, le site d’informations Axios misait vendredi sur la date du 14 novembre pour une telle annonce, qui pourrait aussi peser sur les différents dossiers judiciaires concernant Donald Trump.

Le magnat de l’immobilier fait l’objet d’enquêtes sur son rôle dans l’assaut du Capitole, la gestion d’archives de la Maison Blanche et est poursuivi par la justice de l’Etat de New York pour ses affaires financières.

Bastions démocrates menacés

Dans cet Etat, aux mains des démocrates depuis plus de 20 ans, le vent pourrait tourner le 8 novembre.

Pour aider la gouverneure Kathy Hochul, en difficulté, le parti a dépêché à ses côtés l’ancienne secrétaire d’Etat Hillary Clinton et la vice-présidente Kamala Harris. 

D’autres bastions démocrates, comme l’Oregon ou le Colorado, semblent également fragilisés par le mécontentement lié à l’inflation galopante, que les républicains imputent à Joe Biden.

Pour contrer ce message, le président insiste sur ses efforts pour protéger les classes populaires et l’emploi.

Les démocrates font aussi campagne sur le droit à l’avortement et la sauvegarde de la démocratie, menacée selon eux par l’aile trumpiste du parti républicain, qu’ils accusent d’entretenir un climat propice à la violence politique.

Un discours amplifié ces derniers jours par la violente agression subie à San Francisco par le mari de Nancy Pelosi, la cheffe des démocrates au Congrès. Une semaine après l’attaque, Mme Pelosi a fait savoir vendredi que son conjoint, qui a été opéré d’une fracture du crâne, est sorti de l’hôpital.

L’enquête a révélé qu’elle était la véritable cible de l’agresseur, David DePape, un homme qui semble s’être abreuvé de théories complotistes propagées en ligne par l’extrême droite. Avant de plaider non coupable, il a expliqué aux policiers vouloir “briser les rotules” de la parlementaire si elle n’avouait pas les “mensonges” du camp démocrate.

Alors que les travailleurs électoraux américains sont régulièrement visés par des menaces, “le message est clair, il y a des raisons de s’inquiéter. Mais nous ne pouvons pas avoir peur”, a estimé Mme Pelosi, en larmes.

Les démocrates jouent beaucoup dans ce scrutin: s’ils perdent le contrôle du Congrès, la fin de la présidence de Joe Biden sera paralysée. En cas de lourde défaite, M. Biden, qui approche les 80 ans, aura du mal à se représenter.

chp-rfo/nzg

Infographie expliquant les élections de mi-mandat aux Etats-Unis
• Sylvie HUSSON

Joe Biden le 4 novembre à Carlsbad, en Californie
• SAUL LOEB

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A J-4 des élections de mi-mandat, Biden contre-attaque

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A quatre jours des élections de mi-mandat, Joe Biden a assuré que les démocrates vont déjouer les sondages, qui leur promettent pourtant une déroute, et a mis en garde contre la possibilité d’avoir “deux années horribles” s’il…

A quatre jours des élections de mi-mandat, Joe Biden a assuré que les démocrates vont déjouer les sondages, qui leur promettent pourtant une déroute, et a mis en garde contre la possibilité d’avoir “deux années horribles” s’il perd sa majorité au Congrès et au Sénat.

En visite à Chicago, le président a martelé un message optimiste. “Je ne crois absolument pas que nous soyons en difficulté”, a-t-il déclaré. “Je pense que nous allons gagner. Vraiment.”

Il a toutefois dressé un sombre tableau en cas des victoires des républicains. “Si nous perdons le Congrès et le Sénat, cela va être deux années horribles”, a-t-il averti. 

“La bonne nouvelle, c’est que j’aurai le pouvoir de veto”, qui permet au président de bloquer de futures lois républicaines, a-t-il ajouté. “La démocratie est vraiment en jeu.”

Plus tôt dans la journée, il avait vanté depuis la Californie les investissements massifs réalisés depuis deux ans notamment dans les semi-conducteurs et le climat. Il a aussi promis de s’attaquer à l’inflation, au plus haut depuis 40 ans, qui suscite le mécontentement de nombreux électeurs.

L’Amérique conserve des “points forts”, a-t-il insisté. Le marché du travail reste au beau fixe, avec un taux de chômage de 3,7% et 261.000 emplois créés en octobre. 

“En tant que président, je n’accepterai pas l’argument selon lequel le problème vient du fait que trop d’Américains trouvent des bons emplois”, s’est-il défendu.

Les démocrates sont sur la défensive avant le scrutin de mardi, le 8 novembre. Les sondages prédisent une large victoire des conservateurs à la Chambre des représentants, qui doit être entièrement renouvelée, et penchent depuis peu pour une courte majorité républicaine au Sénat, où un tiers des sièges sont en jeu.

Trump rêve de 2024

Fort de ce scénario, Donald Trump signale de plus en plus clairement son intention de vouloir reconquérir la Maison Blanche. 

“Je vais très très très probablement me représenter. Soyez prêts”, a lancé l’ex-président républicain jeudi soir, en meeting dans l’Iowa. “Nous allons reprendre le Congrès, nous allons reprendre le Sénat”, a-t-il ajouté. “Et en 2024, nous allons reprendre notre magnifique Maison Blanche.”

Le milliardaire, qui n’a jamais reconnu sa défaite en 2020 et flirte depuis des mois avec l’idée de briguer un nouveau mandat, continue d’exercer son emprise sur le parti républicain.

Il a adoubé un grand nombre de ses candidats pour ces “midterms”, multiplie les meetings pour les soutenir et s’attribuera probablement leur succès s’ils privent Joe Biden de sa majorité démocrate au Congrès.

Un succès des conservateurs mardi lui permettrait d’annoncer une candidature présidentielle, coupant ainsi l’herbe sous le pied de potentiels rivaux comme le gouverneur de Floride Ron DeSantis.

“On peut miser sur une annonce rapide”, a reconnu jeudi Kellyanne Conway, son ancienne conseillère à la Maison Blanche et proche alliée.

Citant des sources anonymes, le site d’informations Axios misait vendredi sur la date du 14 novembre pour une telle annonce, qui pourrait aussi peser sur les différents dossiers judiciaires concernant Donald Trump.

Le magnat de l’immobilier fait l’objet d’enquêtes sur son rôle dans l’assaut du Capitole, la gestion d’archives de la Maison Blanche et est poursuivi par la justice de l’Etat de New York pour ses affaires financières.

Bastions démocrates menacés

Dans cet Etat, aux mains des démocrates depuis plus de 20 ans, le vent pourrait tourner le 8 novembre.

Pour aider la gouverneure Kathy Hochul, en difficulté, le parti a dépêché à ses côtés l’ancienne secrétaire d’Etat Hillary Clinton et la vice-présidente Kamala Harris. 

D’autres bastions démocrates, comme l’Oregon ou le Colorado, semblent également fragilisés par le mécontentement lié à l’inflation galopante, que les républicains imputent à Joe Biden.

Pour contrer ce message, le président insiste sur ses efforts pour protéger les classes populaires et l’emploi.

Les démocrates font aussi campagne sur le droit à l’avortement et la sauvegarde de la démocratie, menacée selon eux par l’aile trumpiste du parti républicain, qu’ils accusent d’entretenir un climat propice à la violence politique.

Un discours amplifié ces derniers jours par la violente agression subie à San Francisco par le mari de Nancy Pelosi, la cheffe des démocrates au Congrès. Une semaine après l’attaque, Mme Pelosi a fait savoir vendredi que son conjoint, qui a été opéré d’une fracture du crâne, est sorti de l’hôpital.

L’enquête a révélé qu’elle était la véritable cible de l’agresseur, David DePape, un homme qui semble s’être abreuvé de théories complotistes propagées en ligne par l’extrême droite. Avant de plaider non coupable, il a expliqué aux policiers vouloir “briser les rotules” de la parlementaire si elle n’avouait pas les “mensonges” du camp démocrate.

Alors que les travailleurs électoraux américains sont régulièrement visés par des menaces, “le message est clair, il y a des raisons de s’inquiéter. Mais nous ne pouvons pas avoir peur”, a estimé Mme Pelosi, en larmes.

Les démocrates jouent beaucoup dans ce scrutin: s’ils perdent le contrôle du Congrès, la fin de la présidence de Joe Biden sera paralysée. En cas de lourde défaite, M. Biden, qui approche les 80 ans, aura du mal à se représenter.

chp-rfo/nzg

Infographie expliquant les élections de mi-mandat aux Etats-Unis
• Sylvie HUSSON

Joe Biden le 4 novembre à Carlsbad, en Californie
• SAUL LOEB

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, alerte l’agronome Volny Paultre

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<>, a expliqu? l’agronome Volny Paultre. Il appelle l’Etat ? prendre des mesures pour que l’exploitation des mangues puisse se poursuivre vers les Etats-Unis. <>, a-t-il expliqu? durant sa participation ? l’?mission ”Panel Magik” ce vendredi 3 novembre.

Le pr?sident de la Fondation ha?tienne pour l’agriculture et la relance ?conomique (FHARE) rapporte que la fili?re des mangues, de la production jusqu’? la consommation, profite ? plusieurs groupes du pays. <>, a expliqu? l’agronome. Il est revenu sur les efforts qui ont ?t? consentis pour favoriser la r?g?n?ration des manguiers francisques. <>, dit M. Paultre.

Le d?veloppement de la fili?re des mangues en Ha?ti au fil des ans

<>, a racont? l’agronome Paultre. La mangue et l’avocat, deux produits de soudures du pays. <>

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, promet Eric Stromayer

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C’est dans un court message audio-visuel pr?enregistr? en cr?ole que le repr?sentant des Etats-Unis en Ha?ti a renouvel? le soutien de son pays ? Ha?ti qui fait face ? un grave probl?me de s?curit? coupl? ? la propagation du chol?ra. <>

Pour Eric Stromayer, c’est un petit groupe des ?lites ha?tiennes en Ha?ti et ? l’?tranger qui tient le pays en otage. Ces gens, dit-il, exploitent la souffrance de la population pour s’enrichir et faire leur capitale politique. <>

Le charg? d’affaires des Etats-Unis en Ha?ti annonce que des noms vont ?tre ajout?s sur la liste des personnes ? sanctionner. Et des investigations sont en cours pour identifier d’autres acteurs qui sont impliqu?s ? cr?er le chaos en Ha?ti. <>, promet-il.

Le 21 octobre dernier, rappelle le diplomate, les Nations-Unies ont adopt? une r?solution, propos?e par les Etats-Unis et leur partenaire le Mexique, qui imposera des sanctions internationales contre ces personnes. <>, fait-il remarquer. Poursuivant : <>. Cela sous-entend, explique t-il, que si des citoyens am?ricains sont impliqu?s dans le blocage du carburant et de l’aide humanitaire, il leur sera interdit de voyager ? travers le monde. <>, assure-t-il.

Eric Stromayer a par ailleurs rappel? que les Etats-Unis proposent une r?solution aux Nations-Unies pour autoriser une mission multinationale en Ha?ti pour aider dans les questions de s?curit? et assister dans la lutte contre le chol?ra et les probl?mes humanitaires.

En collaboration avec la communaut? internationale, le diplomate fait remarquer que son pays va travailler avec la Police nationale d’Ha?ti pour am?liorer le climat s?curitaire ? travers le pays et permettre la distribution de l’aide humanitaire qui est indispensable. <>, conclut-il.

Moins de 24 heures apr?s le message d’Eric Stromayer, les Etats-Unis et le Canada ont annonc? des sanctions contre le s?nateur Joseph Lambert et sa femme ainsi que contre l’ancien s?nateur Youri Latortue.

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Ha?ti : 19 journalistes tu?s ou bless?s de janvier ? date, s’alarme le RNDDH

Black Immigrant Daily News

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Le RNDDH d?nonce des attaques en s?rie contre les journalistes. De janvier ? date, l’organisme de d?fense des droits humains dit d?nombrer 19 journalistes victimes. Le RNDDH dit noter que depuis quelque temps et dans un contexte particulier d’ins?curit? g?n?ralis?e, les journalistes sont de plus en plus cibl?s en Ha?ti.

La derni?re en date est l’assassinat du journaliste Romelson Vilcin. Le RNDDH dit apprendre avec stup?faction que le 30 octobre 2022, lors d’?chauffour?es enregistr?es sur la cour du commissariat de Delmas 33, un journaliste a ?t? froidement ex?cut? par des agents de la Police Nationale d’Ha?ti (PNH) et de nombreuses autres personnes ont ?t? bless?es par balle. Ce grave incident est survenu au moment o? plusieurs journalistes s’?taient rendus au commissariat de Delmas 33, en vue de protester contre l’arrestation, par des agents de l’Unit? D?partementale pour le Maintien de l’Ordre (UDMO), du journaliste Robeste Dimanche qui couvrait un mouvement de protestation qu’organisaient des r?sidents de Delmas 47.

? Laboule 12, le 6 janvier 2022, John Wesley Amady (Ecoute F.M) et Wilguens Louissaint (Safe News Ha?ti) ont ?t? tu?s et leurs restes calcin?s. Le 23 f?vrier 2022, Maxiben Lazarre, journaliste pour le m?dia en ligne Rois des Infos a ?t? touch? par balle puis a succomb? ? ses blessures alors qu’il assurait la couverture d’une manifestation des ouvriers-?res. Le m?me jour, trois autres journalistes ont ?t? bless?s : il s’agit de Sony Laurore (Laurore TV), de Yves Mo?se (RCH 2000) et de Alvar?z Estim? (Lakay TV).

Le 7 septembre 2022, trois journalistes-reporters de Radio-T?l? Z?nith ont ?t? atteints de projectiles en caoutchouc alors qu’ils couvraient des manifestations de rues. Le 7 septembre 2022, au Cap-Haitien, Luly Menard journaliste culturel, correspondant de Radio Vision 2000 se trouvait devant chez lui et regardait une manifestation lorsqu’une balle l’a ?rafl? ? la t?te.

Le 11 septembre 2022, deux journalistes de m?dias en ligne ont ?t? assassin?s ? Kafou Lanm? et D?y? Mi par Kat?l ainsi connu, un chef de gang plac? dans la zone par Iscard Andrice. Les victimes revenaient de Nan Brooklyn, un quartier de Cit? Soleil o? ils s’?taient rendus en vue d’interviewer des victimes et prendre en photo certaines zones d?vast?es par le conflit arm? ?clat? depuis juillet 2022.

Le 25 octobre 2022, ? Delmas 40 B, des individus lourdement arm?s ont cribl? de balle le v?hicule de Roberson Alphonse, journaliste ? Le Nouvelliste et ? Magik 9, le blessant par balle ;

Le 25 octobre 2022, le corps mutil? et sans vie de Gary Tess, journaliste de Radio Lebon F.M.,a ?t? retrouv? dans la commune des Cayes, quelques jours apr?s sa disparition.

Le RNDDH estime que ces attaques en s?rie contre les journalistes sont d’autant plus inqui?tantes que ces derniers sont la cible tant des bandits arm?s que des agents de la PNH dont le comportement, depuis quelque temps, est tr?s alarmant.

Le RNDDH dit constater par ailleurs que l’institution polici?re n’a partag? aucune information relative ? la disparition suivie de l’ex?cution sommaire des militants Ez?chiel Paul, Enock M?rizier, James Mond?sir, Andy Morisseau et Dieupuissant Orestil. Ce n’est d’ailleurs que le 30 octobre 2022, tard apr?s l’assassinat du journaliste Romelson Vilcin que la PNH a annonc? ouvrir une enqu?te sur les ?v?nements du jour exclusivement.

En ce sens, le RNDDH dit juger regrettable que le service de communication de la PNH ne fonctionne que pour faire de la propagande pour l’institution. “Il reste d?sesp?r?ment muet lors des bavures polici?res, lors des interventions punitives de la PNH ou lorsque des agents de la PNH sont impliqu?s dans des actes de r?pression et de violation des droits humains ? l’encontre de la population”.

Le RNDDH profite pour condamner avec la derni?re rigueur la disparition forc?e suivi de l’ex?cution sommaire de Ez?chiel Paul, Enock M?rizier, James Mond?sir, Andy Morisseau et Dieupuissant Orestil ainsi que l’ex?cution dans l’enceinte-m?me du commissariat de Delmas 33, de Romelson Vilcin et la blessure par balle de plusieurs autres personnes qui se trouvaient sur les lieux.

Le RNDDH estime que ces faits doivent ?tre s?v?rement punis. Cons?quemment, il enjoint la Direction Centrale de la Police Judiciaire (DCPJ) et l’Inspection G?n?rale de la PNH ? diligenter une enqu?te ; il encourage la communication de leurs conclusions ? la juridiction r?pressive, pour que tous les agents fautifs sans exception, soient jug?s et condamn?s selon le voeu de la loi.

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Plusieurs groupes arm?s s?ment la terreur ? Petite-Rivi?re de l’Artibonite

Black Immigrant Daily News

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Le lundi 31 octobre 2022, le centre-ville de Petite-Rivi?re de l’Artibonite a ?t?, une fois de plus, assi?g? par le gang nomm? Baz Gran Grif, aid? des groupes de Palmis et de Kokorat San Ras. Un journaliste se?or de la zone, requ?rant l’anonymat, d?nombre, au moins, <>. D’apr?s notre source, <> ces derniers jours.

Menac?es ou expos?es, les populations civiles de diff?rentes sections communales ont tout abandonn? face ? cette situation dramatique qui dure depuis quatre ans environ. <>, soupire l’?conomiste Jacques Th?odat, t?moin impuissant du cambriolage de son propre magasin en plein jour.

<>, avance le secr?taire g?n?ral de l’organisation Voix jeunesse de Petite-Rivi?re de l’Artibonite, Andr? Guerdy. Interview? par le journal, il explique que <>, avant d’ajouter que <>, l’ancien num?ro trois des troupes de Savien. <>, persiste et signe le leader de la VJ-PRA.

Le secteur agricole enregistre les plus grandes pertes financi?res du chaos chronique, puisque Petite-Rivi?re de l’Artibonite est l’une des communes les plus cultivables et les plus cultiv?es du pays, suivant les donn?es statistiques du minist?re de l’Agriculture, des Ressources naturelles et du D?veloppement rural. Elle est r?put?e pour sa production abondante de riz, de ma?s, de petit-mil, de patate, de manioc, de chou, d’igname jaune, de chad?que, de caf?, de cacao et des haricots noirs et rouges.

La coordonatrice g?n?rale de la F?d?ration des entrepreneurs agricoles de l’Artibonite, Bertude Horace, estime que <>. Respect?e pour son engagement dans la lutte paysanne, elle interpelle le chef du gouvernement, le PM Ariel Henry ? <>

Les notables de la commune sont tr?s critiques envers les autorit?s d?partementales. <>, d?clare l’un des leaders religieux du centre-ville qui croit que <>.

Pour l’instant, <>, indique le Commissaire de Police de Saint-Marc Mathias Jean David, qui rassure que <>.

Les portes des institutions ?tatiques et sociales restent ferm?es ? Petite-Rivi?re, ? l’exception de la mairie et du dispensaire Charles Colimon qui fonctionnent au ralenti. Le premier citoyen de la commune, le maire Dort Lereste d?plore <>. Il regrette, entre autres, que <> Dans un communiqu? de presse de ce d?but de novembre, la commission municipale qu’il dirige lance <> En ce sens, <> Il souhaite finalement <>

Afin de se prot?ger contre les attaques criminelles des bandes arm?es, ceux qui r?sident et r?sistent encore dans la ville, font le choix de condamner la rentr?e principale. Ils ?rigent une barri?re m?tallique ? Pont-Bouc. Personne n’y acc?de si ce n’est que par des issues secondaires. A tout moment, les assauts risquent de continuer.

Cit? du Fort de la Cr?te-?-Pierrot et du Palais aux 365 portes, deux monuments historiques c?l?bres du patrimoine national, Petite-Rivi?re de l’Artibonite s’enfonce pitoyablement dans l’ab?me, ? l’image du pays, sous l’emprise des forces obscurantistes qui hantent toute une nation. Les groupes arm?s s’intensifient et s’y multiplient. Concr?tement, si rien n’est fait, l’avenir sera pire.

Le lundi 31 octobre 2022, le centre-ville de Petite-Rivi?re de l’Artibonite a ?t?, une fois de plus, assi?g? par le gang nomm? Baz Gran Grif, aid? des groupes de Palmis et de Kokorat San Ras. Un journaliste se?or de la zone, requ?rant l’anonymat, d?nombre, au moins, <>. D’apr?s notre source, <> ces derniers jours.

Menac?es ou expos?es, les populations civiles de diff?rentes sections communales ont tout abandonn? face ? cette situation dramatique qui dure d?j? quatre ans environ. <>, soupire l’?conomiste Jacques Th?odat, t?moin impuissant du cambriolage de son propre magasin en plein jour.

<>, avance le secr?taire g?n?ral de l’organisation Voix jeunesse de Petite-Rivi?re de l’Artibonite, Andr? Guerdy. Interview? par le journal, il explique que <>, avant d’ajouter que <>, l’ancien num?ro trois des troupes de Savien. <>, persiste et signe le leader de la VJ-PRA.

Le secteur agricole enregistre les plus grandes pertes financi?res du chaos chronique, puisque Petite-Rivi?re de l’Artibonite est l’une des communes les plus cultivables et les plus cultiv?es du pays, suivant les donn?es statistiques du minist?re de l’Agriculture, des Ressources naturelles et du D?veloppement rural. Elle est r?put?e pour sa production abondante de riz, de ma?s, de petit-mil, de patate, de manioc, de chou, d’igname jaune, de chad?que, de caf?, de cacao et des haricots noirs et rouges.

La coordonatrice g?n?rale de la F?d?ration des entrepreneurs agricoles de l’Artibonite, Bertude Horace, estime que <>. Respect?e pour son engagement dans la lutte paysanne, elle interpelle le chef du gouvernement, le PM Ariel Henry ? <>

Les notables de la commune sont tr?s critiques envers les autorit?s d?partementales. <>, d?clare l’un des leaders religieux du centre-ville qui croit que <>.

Pour l’instant, <>, indique le Commissaire de Police de Saint-Marc Mathias Jean David, qui rassure que <>.

Les portes des institutions ?tatiques et sociales restent ferm?es ? Petite-Rivi?re, ? l’exception de la mairie et du dispensaire Charles Colimon qui fonctionnent au ralenti. Le premier citoyen de la commune, le maire Dort Lereste d?plore <>. Il regrette, entre autres, que <> Dans un communiqu? de presse de ce d?but de novembre, la commission municipale qu’il dirige lance <> En ce sens, <> Il souhaite finalement <>

Afin de se prot?ger contre les attaques criminelles des bandes arm?es, ceux qui r?sident et r?sistent encore dans la ville, font le choix de condamner la rentr?e principale. Ils ?rigent une barri?re m?tallique ? Pont-Bouc. Personne n’y acc?de si ce n’est que par des issues secondaires. A tout moment, les assauts risquent de continuer.

Cit? du Fort de la Cr?te-?-Pierrot et du Palais aux 365 portes, deux monuments historiques c?l?bres du patrimoine national, Petite-Rivi?re de l’Artibonite s’enfonce pitoyablement dans l’ab?me, ? l’image du pays, sous l’emprise des forces obscurantistes qui hantent toute une nation. Les groupes arm?s s’intensifient et s’y multiplient. Concr?tement, si rien n’est fait, l’avenir sera pire.

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Working not allowed when visiting the US on a tourist visa Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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Check out this weekly feature for practical tips and information on living in, working, studying, and visiting the USA.

Many people visit the US on visitor’s (tourist) visas, which are officially called the B1/B2 visa.

Every visitor gets one of a range of timeframes for the visa – a single entry, a one-year multiple entry, a five-year multiple entry, or a 10-year multiple entry. But, many don’t realise that the visa has specific legal requirements that holders must follow.

The most important requirement of the visitor’s visa is that visitors are prohibited from working in the USA.

The visa is to allow individuals to visit friends and family and experience the US as a tourist and then to return home at the end of the visit. So, usually, the visit would range from a few days to a longer time frame.

When visitors land in the USA, their passports are stamped with a time frame, the maximum time is six months. For the past few years, the border officers are not stamping the passport, but they are entering that six-month time frame into their database.

So, even if nothing is in the passport, it is in their electronic database.

Unfortunately, many persons breach the requirements of the visitor’s visa in several ways. The most common breach is by working.

Working is not allowed in any form on a visitor’s visa, so it doesn’t matter if the work is housesitting in exchange for free accommodations and so no actual money is being exchanged, or if the work is in a place where a pay cheque is given.

So, people find all sorts of employment and begin to work, usually what is called “working under the table”, as they are not legally allowed to work and are, therefore, paid, usually in cash.

If they had a social security number from a long time ago (eg for school) they might use that to help to get a job. If US immigration officers do an audit visit of the workplace and persons do not have legal authorisation to work, they will be in breach and deported. The employers also face hefty fines.

Even if persons appear to get away with working illegally, they could be flagged and extensively questioned when leaving the country and especially when coming back, because immigration has various red flags that they look for in various scenarios.

Red flags include large sums of unexplained cash, having stayed much longer than the original time told to border immigration officers, regularly coming to the USA in a short period of time and claiming to be on vacation, and online communication showing a clear intention of plans for working or actually previously working.

Persons may be questioned extensively and rigorously and sometimes admit that they were working. In those cases, they are often put back on the next plane home and their visitors’ visas are immediately revoked.

Another breach is that persons stay longer than the maximum time of six months allowed because they hold a visa that says, for example, “one-year multiple entry, five-year multiple entry or 10-year multiple entry”. People incorrectly think it allows remaining over six months because the visa page has this notation. That is incorrect, but many people don’t seem to know.

They end up being “visa overstays” or as Caribbean people say “they run off”.

They then run the risk of being deported from the USA if found, as well as being barred from re-entry for a long period if they do leave and try to return to the USA. These persons are also viewed negatively by the US immigration authorities if they try to apply for other US immigration benefits later on, so it makes sense to be very careful.

Visit and have fun, enjoying friends, family and the scenes, sights and sounds of the USA on your visitor’s visa and return home when your visit is over.

*This article does not constitute legal advice and is intended for informational purposes only.

Nadine C Atkinson-Flowers is admitted to practice in the USA and Jamaica. Her US practice is in the area of immigration, while her Jamaican practice areas include immigration and general legal consultancy. She has been an attorney for over 15 years in Jamaica and has written articles for several legal publications. She is passionate about access to justice issues and volunteers with several legal, business, children and community service organisations in Jamaica and the US. She can be contacted at info@atkinsonflowerslaw.com

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Minister Ramdin: ‘Deelname Suriname aan klimaatconferentie  van cruciaal belang’

Black Immigrant Daily News

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PARAMARIBO — President Chandrikapersad Santokhi zal Surinames visie op klimaatverandering delen op de COP27 klimaattop op 7 en 8 november

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Biden, Obama et Trump: choc des poids lourds en Pennsylvanie à trois jours d’élections

Black Immigrant Daily News

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A trois jours des élections américaines de mi-mandat, démocrates et républicains mettent les bouchées doubles pour mobiliser les électeurs, allant jusqu’à convoquer samedi dans un même Etat clé deux anciens…

A trois jours des élections américaines de mi-mandat, démocrates et républicains mettent les bouchées doubles pour mobiliser les électeurs, allant jusqu’à convoquer samedi dans un même Etat clé deux anciens présidents en plus de Joe Biden.

Donald Trump, Barack Obama, et l’actuel maître de la Maison Blanche s’affronteront par meetings interposés en Pennsylvanie, avant un scrutin décisif qui posera les fondations de la présidentielle de 2024.

Tous les projecteurs sont braqués sur cet Etat, ancien bastion de l’acier, où le chirurgien multimillionnaire Mehmet Oz, adoubé par Donald Trump, affronte le colosse chauve et ancien maire John Fetterman pour le siège le plus disputé du Sénat.

Car de ce siège dépend très possiblement l’équilibre des pouvoirs de cette chambre haute, au pouvoir immense.

Lors des élections de mi-mandat, prévues mardi 8 novembre, les Américains sont également appelés à renouveler l’ensemble des sièges de la Chambre américaine des représentants. Toute une série de postes d’élus locaux, qui décident des politiques de leur Etat en matière d’avortement, de régulation environnementale, sont également en jeu.

– Marée de casquettes rouges – 

Joe Biden, qui a jusqu’ici plutôt évité les estrades de campagnes au profit de levées de fonds pour son parti, descend dans l’arène samedi lors d’un grand rassemblement à Philadelphie, berceau de la démocratie américaine.

En fin d’après-midi, le dirigeant bientôt octogénaire retrouvera sur scène l’ancien président Barack Obama et ses incontestables talents oratoires pour un grand meeting de campagne.

Quelques heures plus tard, et à 400 kilomètres de là, un autre ex-président américain, Donald Trump, se mêlera à la marée de casquettes rouges qu’il affectionne pour un événement dans le petit bourg de Latrobe, proche de Pittsburgh.

Après une campagne acharnée centrée sur l’inflation, les républicains se montrent de plus en plus confiants dans leurs chances de priver le président démocrate de ses majorités le 8 novembre.

Si leurs pronostics se confirment, le milliardaire républicain semble déterminé à profiter de cet élan pour officialiser au plus vite sa candidature à l’élection présidentielle, possiblement dès la troisième semaine de novembre.

Joe Biden dit jusqu’ici avoir l’intention de se représenter, mais la perspective n’enchante pas forcément tous les démocrates, en raison de son âge – bientôt 80 ans – et de son impopularité.

Avortement et inflation

Le président démocrate tente tant bien que mal de convaincre les Américains que cette élection est plutôt “un choix”: sur l’avenir de l’avortement ou du mariage homosexuel – autant de sujets sur lesquels il a promis de légiférer, moyennant de solides majorités au Congrès.

Le droit à l’avortement, dynamité par la Cour suprême des Etats-Unis en juin, a certes été un thème central de la course en Pennsylvanie. L’organisation de planning familial Planned Parenthood est d’ailleurs plusieurs fois venue prêter main forte au démocrate John Fetterman durant la campagne.

Mais la hausse des prix – 8,2% en moyenne sur un an aux Etats-Unis – reste de loin la principale préoccupation des Américains et les efforts de Joe Biden pour se poser en “président de la classe moyenne” peinent pour le moment à porter leurs fruits.

“Les démocrates sont inquiets”, raillait encore vendredi le candidat républicain de Pennsylvanie, Mehmet Oz, qui a mené une campagne focalisée sur la gestion de l’inflation et d’une criminalité supposément “hors de contrôle”. 

“La gauche radicale sait que la dynamique est en faveur” des républicains, affirmait-il dans un message à ses partisans.

cjc/ube/mlb

Cartes représentant la distance entre chaque comté des Etats-Unis et la clinique pratiquant l’avortement la plus proche
• Julia Han JANICKI

L’ancien président américain Donald Trump lors d’un meeting à Sioux City, le 3 novembre 2022
• Stephen Maturen

Barack Obama, à Phoenix, le 2 novembre 2022
• Patrick T. FALLON

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