Brigitte Giraud, écrire pour “conjurer le sort”

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C’est en hommage à son mari tué dans un accident il y a plus de vingt ans que la romancière Brigitte Giraud a écrit “Vivre vite”, sans imaginer un instant…

C’est en hommage à son mari tué dans un accident il y a plus de vingt ans que la romancière Brigitte Giraud a écrit “Vivre vite”, sans imaginer un instant qu’il lui vaudrait le prix Goncourt.

“Finalement, je crois que c’est un livre d’amour”, a-t-elle déclaré jeudi au restaurant Drouant, à Paris, où elle a reçu le plus prestigieux des prix littéraires francophones. 

Cette Lyonnaise native d’Algérie, âgée de 60 ans, avait derrière elle une certaine expérience en littérature, mais peu de notoriété auprès du grand public. Et elle s’en accommodait très bien.

La liste est longue des professions qu’elle a exercées, après des études de langues (anglais, allemand, arabe) qui devaient faire d’elle une traductrice.

Elle l’aura été brièvement, pour l’industrie, mais c’est vers la culture qu’elle s’est tournée.

“J’ai été un peu libraire. J’ai travaillé comme journaliste, pigiste à Lyon Libération. Qu’est-ce que j’ai fait d’autre? Conseillère littéraire pour des festivals… J’ai été éditrice aussi à un moment. Et j’ai écrit une dizaine de livres: romans, essais, nouvelles”, détaille-t-elle lors d’un entretien à l’AFP.

Jean-Marc Roberts, son premier éditeur chez Fayard en 1997, l’avait chargée de créer une collection chez Stock. Elle l’avait baptisée La Forêt, en hommage à une chanson de The Cure, “A Forest”.

Sinon, ajoute-t-elle, “j’ai pas mal voyagé en Angleterre, pour la musique, dans les années 80. J’ai vécu en Allemagne… Tout ce que j’ai pu pour m’éloigner”.

Comme elle l’écrit dans “Vivre vite” (paru fin août chez Flammarion), un “drame”, une “catastrophe”, le 22 juin 1999 à Lyon, coupe sa vie en deux. 

Ce jour-là son mari, Claude, démarre trop vite à un feu, avec une moto trop puissante qui n’est pas la sienne, tombe, et ne s’en relèvera pas. 

“À bonne distance”

En 2001, elle avait raconté les semaines suivant cette mort dans “À présent”. Elle l’appelle “le livre de la sidération, de la déflagration, du fracas juste après”.

Car elle avait 36 ans, un fils très jeune, une maison qu’ils venaient d’acheter, dans laquelle elle a emménagé sans lui. Pour y commencer son deuil.

“J’ai vécu, j’ai publié des livres. J’ai repris pied, malgré tout, même si, dans ces cas-là, on devient quelqu’un d’autre”, explique-t-elle aujourd’hui.

Elle a obtenu le Goncourt de la nouvelle 2007 pour le recueil “L’amour est très surestimé”. En 2019, elle a été finaliste du prix Médicis pour “Jour de courage”.

Dans l’enchaînement des fictions, cet accident attendait son heure.

“Je savais depuis longtemps qu’il faudrait que j’écrive le livre. Le livre qui soit à la hauteur de Claude, de notre histoire d’amour, celui qui embrasse tout ça et qui recherche la vérité, toutes les vérités”, dit-elle. Mais “je n’aurais pas pu l’écrire avant une période de 20 ans, parce qu’il fallait que je sois à bonne distance”.

Quand il a été temps de vendre la maison de Caluire-et-Cuire à côté de Lyon, l’écriture est venue. Et avec elle, l’envie d’élucider certaines circonstances restées floues pendant de longues années.

Le récit, sobre, a été tout de suite bien accueilli par la critique, et a attiré l’attention de plusieurs jurys des prix d’automne. Comme dans l’accident, fruit d’une chaîne d’événements improbables, “il y a eu, là aussi, un effet domino”. 

En recevant son prix jeudi, elle a évoqué deux mots qui résonnent fort pour elle. “Il y a un mot qui s’appelle mektoub, qui veut dire +c’était écrit+. Il y a un autre mot qui est hasard, car il s’agit d’un homme qui tombe”, d’un accident.

“Je pense à la littérature et à ce que les mots permettent”, a-t-elle confié jeudi. “Peut-être que les mots aident à conjurer le sort.”

hh/may-elc/mpm

La romancière Brigitte Giraud, auteur de “Vivre vite”, prix Goncourt 2022 au restaurant Drouant à Paris le 3 novembre 2022
• Bertrand GUAY

La romancière Brigitte Giraud, auteur de “Vivre vite”, prix Goncourt 2022 au restaurant Drouant à Paris le 3 novembre 2022
• Emmanuel DUNAND

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C1: le PSG et les fantômes du tirage au sort

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Les ombres du Real Madrid, de Manchester City et du Bayern Munich planent sur le Paris SG, qui pourrait recroiser l’un de ces cadors lors du tirage au sort des 8es de finale de Ligue des champions…

Les ombres du Real Madrid, de Manchester City et du Bayern Munich planent sur le Paris SG, qui pourrait recroiser l’un de ces cadors lors du tirage au sort des 8es de finale de Ligue des champions lundi, après avoir laissé échapper la première place.

A jamais les premiers à être devancés au sixième critère pour départager les équipes à égalité de points, le PSG se sent un peu maudit. Et redoute désormais d’hériter d’une des trois dernières équipes à lui avoir barré le chemin de la gloire en C1.

“Il faut faire avec, soupire Marquinhos. Ca fait beaucoup de temps que je suis ici, il y a toujours un petit truc…”

En poussant un peu plus loin, on relèvera aussi qu’en Youth League, les jeunes Parisiens menaient 4-1 à la 90e minute mercredi, avant de se faire rejoindre 4-4. Mais eux terminent tout de même 1er de leur groupe.

Lundi à Nyon, siège de l’UEFA, s’ils échappent à un des trois épouvantails au tirage, les grands du PSG peuvent croiser le FC Porto ou Tottenham, contre qui ils n’ont pas les mêmes mauvais souvenirs, ou bien Naples ou Chelsea.

“Deuxième, cela présente des désavantages”, admet Marquinhos, “mais les autres équipes aussi vont se dire qu’il va falloir jouer Paris.”

Et puis “la phase à élimination directe est (la) plus importante”, rappelle-t-il, “c’est l’équipe la plus forte en fin de saison qui gagne. On a vu des équipes finissant deuxièmes qui ont fini par remporter la Ligue des champions”.

Le dernier en date est Liverpool, en 2019, qui avait terminé dans son groupe de l’époque derrière… le PSG.

Manque d’intensité

Pour se consoler, le capitaine parisien a aussi estimé que la première place ne s’était pas jouée mercredi soir mais “plutôt dans les deux matches contre Benfica” (1-1/1-1). “Il fallait en gagner un, on n’a pas réussi, il fallait surtout remporter celui à la maison”, a-t-il expliqué.

Si le scénario est cruel, le PSG peut s’en vouloir de ne pas avoir joué tous ses matches de C1 pied au plancher pendant 90 minutes, à part le précédent contre Haïfa (7-2), un manque d’intensité que Christophe Galtier souligne souvent.

Autre faiblesse, relative: le PSG est encore invaincu cette saison mais l’équipe concède trop de buts -au moins un à chaque match de C1 (sept en six matches).

“Nous avons aussi concédé trop de buts sur coups de pied arrêtés, si on en avait pris un de moins, on serait en huitième avec la première place”, note Christophe Galtier, qui compte toutefois attendre “sereinement” le tirage au sort: “de toute façon, si on veut aller loin, il faudra battre de grandes équipes”.

Inquiétude pour Kimpembe

Le passage à une défense à quatre, avec deux centraux, depuis cinq matches a rassuré les cadres, Sergio Ramos et Marquinhos, qui se sont tous deux prononcés en faveur de ce système.

Mais l’inquiétude autour de Presnel Kimpembe, touché au tendon d’Achille droit, à trois semaines du Mondial, s’ajoute aux problèmes d’une défense forcément déséquilibrée pour laisser s’exprimer le formidable potentiel offensif de la “MNM”, Lionel Messi, Neymar et Kylian Mbappé.

“Presko” n’a finalement pas passé les examens médicaux prévus jeudi matin, a précisé le club, qui donnera des nouvelles du joueur samedi, lors du bulletin médical précédent le prochain match, à Lorient (dimanche 13h00).

“Je suis plus habitué à une défense à deux, cela ne fait pas beaucoup de temps qu’on joue avec une défense à trois, il me fallait m’adapter”, explique encore “Marqui”. “Mais on a aussi fait des bons matches où la défense à trois nous a favorisés, c’est intelligent d’avoir plusieurs cartes dans les manches”.

Autre petit détail -mais Galtier a rappelé combien le diable était dans les détails en C1-, en fin de match, le PSG a manqué d’information sur le résultat de l’autre rencontre.

Sa situation a ressemblé à celle de l’Olympique de Marseille, la veille, qui semblait ne pas bien savoir qu’un nul contre Tottenham lui assurait au moins la troisième place et donc la Ligue Europa, avant d’encaisser en contre un but qui l’éliminait de tout.

“On n’avait pas compris, raconte Marquinhos. Je ne savais pas que (Benfica) menait 5-1 puis 6-1, nous on gérait le match.” Paris doit soigner aussi ces détails-là.

eba/gk/fal

Ligue des champions 2022-2023: les qualifiés pour les 8èmes de finale
• Jean-Michel CORNU

Le défenseur italien de la Juventus Leonardo Bonucci (C) égalise contre le Paris SG, en Ligue des champions, le 2 novembre 2022 à Turin
• Filippo MONTEFORTE

La vedette argentine du Paris SG Lionel Messi lors du match de Ligue des champions contre la Juventus, le 2 novembre 2022 à Turin
• FRANCK FIFE

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Le gouvernement défend bec et ongles son projet de loi sur l’immigration

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Le gouvernement a défendu jeudi son idée de créer un titre de séjour “métier en tension”, une des mesures phares du projet de loi controversé sur l’immigration, qui doit mettre fin à l’”hypocrisie” des travailleurs…

Le gouvernement a défendu jeudi son idée de créer un titre de séjour “métier en tension”, une des mesures phares du projet de loi controversé sur l’immigration, qui doit mettre fin à l’”hypocrisie” des travailleurs sans-papiers sans pour autant générer d’”appel d’air” migratoire.

– “Métiers en tension”: fin de l’”hypocrisie”

La proposition de créer ce nouveau titre de séjour, censé répondre à la pénurie de main d’oeuvre dans certains métiers, fera l’objet de concertations “dès le mois de novembre”, a expliqué jeudi le ministre du Travail Olivier Dussopt, sur Franceinfo.

Il s’agira notamment de réviser “pour début 2023” la liste des métiers en tension, créée en 2008 et actualisée une seule fois, en 2021.

“Réviser la liste de manière plus régulière” sera une condition de réussite de la mesure, observe pour l’AFP Jean-Christophe Dumont, chef de la division migrations de l’OCDE, surtout dans le cadre d’un titre annuel. Car pour le reste, “il existe déjà des permis de travail en lien avec cette liste”.

Ce “que nous proposons, c’est de mettre fin à une forme d’hypocrisie” et permettre aux travailleurs immigrés “d’obtenir un titre de séjour dans ce cadre”, a repris le ministre du Travail. 

La mesure répond aussi à une logique comptable, a défendu le ministre des Comptes publics et du budget Gabriel Attal, sur Europe1: “Nos finances publiques perdent entre 5 et 6 milliards d’euros en raison du travail dissimulé” qui concerne, “en grande partie”, des “étrangers qui ne sont pas déclarés par les entreprises”. 

– Pas de régularisation massive

“Il n’y a pas de plan caché de naturalisation ou de régularisation massive”, a déminé sur BFMTV le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. 

Car à droite et à l’extrême droite, la levée de boucliers a été immédiate, la patronne des députés RN Marine Le Pen jugeant par exemple que ce projet portait le risque d’une “aggravation des filières d’immigration clandestine”. 

Eric Ciotti, candidat à la présidence LR, y a vu “un message extraordinairement dangereux car il lance un appel d’air à l’immigration”. 

Il s’agit plutôt d’un “bol d’air”, a estimé Gabriel Attal, car “une partie de notre économie tourne aujourd’hui grâce à l’immigration”.

Dans tous les cas, “ça concerne entre quelques milliers et quelques dizaines de milliers de personnes”, a aussi tempéré Olivier Dussopt. 

“C’est vraiment ce qu’il faut faire, (faire) attention à ce qu’il n’y ait pas d’appel d’air”, a également réagi sur CNews le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.  

– Expulsions: mesures “répressives”

Gérald Darmanin a dans le même temps défendu le volet répressif des mesures, qui constitue l’essentiel du projet de loi, prévoyant notamment une refonte du système d’asile au service de l’efficacité des expulsions, après la polémique sur le meurtre d’une jeune fille dont l’auteure présumée est visée par une OQTF (obligation de quitter le territoire français).

“Bien sûr qu’il y en a encore (des étrangers délinquants) sur le territoire, je me bats d’ailleurs pour qu’on lève les protections législatives qui empêchent que je puisse les expulser”, a-t-il déclaré en évoquant le cas des personnes arrivées en France avant 13 ans. 

L’inscription systématique des personnes menacées d’expulsion au fichier des personnes recherchées (FPR), proposée par Gérald Darmanin, “permettra de détecter lors de tout contrôle (…) la présence d’une OQTF à exécuter”, a confié à l’AFP son entourage, expliquant que le FPR compte 240.000 OQTF cumulées mais n’est “pas à jour”.

“Ce volet répressif donne des gages xénophobes à la droite et à l’extrême droite”, a jugé Jean-Albert Guidou, spécialiste immigration à la CGT.

“Des mesures essentiellement répressives, qui réduiront les droits des étrangers, très loin de l’équilibre annoncé”, a aussi dénoncé la directrice générale de l’association France terre d’asile, Delphine Rouilleault. 

– Examen de français: une “révolution”

Gérald Darmanin a par ailleurs vanté une “révolution énorme” pour l’intégration: un examen linguistique pour tous les titulaires d’un titre de séjour, a-t-il dit, constatant que “25%” d’entre eux “ne parlent pas français”.

“S’ils réussissent, ils restent en France (…), s’ils ne réussissent pas, on leur retire leur titre et ils s’en vont”, a-t-il résumé, estimant que 200.000 personnes déjà en France vont devoir passer cet examen. 

“On nage en plein paradoxe”, a encore déploré Delphine Rouilleault, regrettant que le gouvernement n’ait pas prévu “la seule réforme appropriée” en matière d’intégration: l’apprentissage du français “dès l’arrivée sur le territoire”.

bur-sha/cel/alc

Le ministre des Comptes publics et du budget Gabriel Attal quitte le palais de l’Elysée le 2 novembre 2022 à Paris
• Thomas SAMSON

Marine Le Pen le 31 octobre 2022 à l’Assemblée nationale à Paris
• Geoffroy VAN DER HASSELT

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin le 25 octobre 2022 à l’Assemblée nationale à Paris
• Emmanuel DUNAND

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Le gouvernement défend bec et ongles son projet de loi sur l’immigration

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Le gouvernement a défendu jeudi son idée de créer un titre de séjour “métier en tension”, une des mesures phares du projet de loi controversé sur l’immigration, qui doit mettre fin à l’”hypocrisie” des travailleurs…

Le gouvernement a défendu jeudi son idée de créer un titre de séjour “métier en tension”, une des mesures phares du projet de loi controversé sur l’immigration, qui doit mettre fin à l’”hypocrisie” des travailleurs sans-papiers sans pour autant générer d’”appel d’air” migratoire.

– “Métiers en tension”: fin de l’”hypocrisie”

La proposition de créer ce nouveau titre de séjour, censé répondre à la pénurie de main d’oeuvre dans certains métiers, fera l’objet de concertations “dès le mois de novembre”, a expliqué jeudi le ministre du Travail Olivier Dussopt, sur Franceinfo.

Il s’agira notamment de réviser “pour début 2023” la liste des métiers en tension, créée en 2008 et actualisée une seule fois, en 2021.

“Réviser la liste de manière plus régulière” sera une condition de réussite de la mesure, observe pour l’AFP Jean-Christophe Dumont, chef de la division migrations de l’OCDE, surtout dans le cadre d’un titre annuel. Car pour le reste, “il existe déjà des permis de travail en lien avec cette liste”.

Ce “que nous proposons, c’est de mettre fin à une forme d’hypocrisie” et permettre aux travailleurs immigrés “d’obtenir un titre de séjour dans ce cadre”, a repris le ministre du Travail. 

La mesure répond aussi à une logique comptable, a défendu le ministre des Comptes publics et du budget Gabriel Attal, sur Europe1: “Nos finances publiques perdent entre 5 et 6 milliards d’euros en raison du travail dissimulé” qui concerne, “en grande partie”, des “étrangers qui ne sont pas déclarés par les entreprises”. 

– Pas de régularisation massive

“Il n’y a pas de plan caché de naturalisation ou de régularisation massive”, a déminé sur BFMTV le porte-parole du gouvernement Olivier Véran. 

Car à droite et à l’extrême droite, la levée de boucliers a été immédiate, la patronne des députés RN Marine Le Pen jugeant par exemple que ce projet portait le risque d’une “aggravation des filières d’immigration clandestine”. 

Eric Ciotti, candidat à la présidence LR, y a vu “un message extraordinairement dangereux car il lance un appel d’air à l’immigration”. 

Il s’agit plutôt d’un “bol d’air”, a estimé Gabriel Attal, car “une partie de notre économie tourne aujourd’hui grâce à l’immigration”.

Dans tous les cas, “ça concerne entre quelques milliers et quelques dizaines de milliers de personnes”, a aussi tempéré Olivier Dussopt. 

“C’est vraiment ce qu’il faut faire, (faire) attention à ce qu’il n’y ait pas d’appel d’air”, a également réagi sur CNews le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin.  

– Expulsions: mesures “répressives”

Gérald Darmanin a dans le même temps défendu le volet répressif des mesures, qui constitue l’essentiel du projet de loi, prévoyant notamment une refonte du système d’asile au service de l’efficacité des expulsions, après la polémique sur le meurtre d’une jeune fille dont l’auteure présumée est visée par une OQTF (obligation de quitter le territoire français).

“Bien sûr qu’il y en a encore (des étrangers délinquants) sur le territoire, je me bats d’ailleurs pour qu’on lève les protections législatives qui empêchent que je puisse les expulser”, a-t-il déclaré en évoquant le cas des personnes arrivées en France avant 13 ans. 

L’inscription systématique des personnes menacées d’expulsion au fichier des personnes recherchées (FPR), proposée par Gérald Darmanin, “permettra de détecter lors de tout contrôle (…) la présence d’une OQTF à exécuter”, a confié à l’AFP son entourage, expliquant que le FPR compte 240.000 OQTF cumulées mais n’est “pas à jour”.

“Ce volet répressif donne des gages xénophobes à la droite et à l’extrême droite”, a jugé Jean-Albert Guidou, spécialiste immigration à la CGT.

“Des mesures essentiellement répressives, qui réduiront les droits des étrangers, très loin de l’équilibre annoncé”, a aussi dénoncé la directrice générale de l’association France terre d’asile, Delphine Rouilleault. 

– Examen de français: une “révolution”

Gérald Darmanin a par ailleurs vanté une “révolution énorme” pour l’intégration: un examen linguistique pour tous les titulaires d’un titre de séjour, a-t-il dit, constatant que “25%” d’entre eux “ne parlent pas français”.

“S’ils réussissent, ils restent en France (…), s’ils ne réussissent pas, on leur retire leur titre et ils s’en vont”, a-t-il résumé, estimant que 200.000 personnes déjà en France vont devoir passer cet examen. 

“On nage en plein paradoxe”, a encore déploré Delphine Rouilleault, regrettant que le gouvernement n’ait pas prévu “la seule réforme appropriée” en matière d’intégration: l’apprentissage du français “dès l’arrivée sur le territoire”.

bur-sha/cel/alc

Le ministre des Comptes publics et du budget Gabriel Attal quitte le palais de l’Elysée le 2 novembre 2022 à Paris
• Thomas SAMSON

Marine Le Pen le 31 octobre 2022 à l’Assemblée nationale à Paris
• Geoffroy VAN DER HASSELT

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin le 25 octobre 2022 à l’Assemblée nationale à Paris
• Emmanuel DUNAND

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50 years of friendship

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Fifty years ago, stormy skies supposedly gave way to the sun on the first-ever Friendship Day between this territory and the United States Virgin Islands.

History repeated itself on Oct. 22 when leaders and other community members came together for the celebration’s golden jubilee.

Both the VI and the USVI territorial songs rang out at Cyril B. Romney Tortola Pier Park as the representatives united for the first formal observance of Friendship Day since 2019 on St. Thomas.

Both the VI and the USVI territorial songs rang out at Cyril B. Romney Tortola Pier Park as the representatives united for the first formal observance of Friendship Day since 2019 on St. Thomas. (Photo: DANA KAMPA)

Students from Elmore Stoutt High School provided entertainment on steel pans while community members decked in territorial wear led a mini-parade through the park, followed by moko jumbies performing daring tricks high in the air.

The day also featured the musical talents of Gen Y Factor winners Durnel Sanderson, Dwight Hutchinson, Toriah Pryce and Yohance Smith and spiritual songs by the Turnbull Singers and Onyeke Huggins.

In recognition of the ongoing relationship among the islands, USVI Governor Albert Bryan Jr. — who became governor in January 2019 — paid a visit to the VI and voiced his support for the territory as it goes through a transformative period.

He also recalled the ways the islands banded together in the aftermath of the 2017 hurricanes and offered light-hearted banter about leadership of the neighbouring territories.

Mr. Bryan also spoke about the territories’ respective anthems, which focus on both the natural beauty of the islands and the fortitude needed to further progress in the region.

“When they say they would have the wisdom to guide the people, they understand the tremendous burden that we have as Virgin Islanders in these small countries with little resources,” he said of the people who built the communities. “In their wisdom, they did not take the easy path; they took the rough path. They chose the path of not letting people come and dictate exactly what they are going to do. We were going to build it ourselves, and they will come. That is wisdom.”

Premier Dr. Natalio “Sowande” Wheatley thanked the USVI for its support and expressed hope for future collaboration on tourism and environmental issues.

The day’s festivities concluded with a skit written by playwright Janice Stoutt poking fun at travels between the two territories.

Then community members were free to enjoy traditional VI foods like peas soup and to view weaving demonstrations.

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Bank of England makes biggest interest rate hike in 30 years Loop Jamaica

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The Bank of England made its biggest interest rate increase in three decades Thursday, joining the US Federal Reserve and other central banks worldwide in rapid hikes as it tries to beat back stubbornly high inflation fueled by Russia’s invasion of Ukraine and the disastrous economic policies of former Prime Minister Liz Truss.

The central bank boosted its key rate by three-quarters of a percentage point, to three per cent, after consumer price inflation returned to a 40-year high in September. The aggressive move comes even as the bank predicted a two-year economic contraction through June 2024, which would be the longest recession since at least 1955, according to the Office for National Statistics.

“If we don’t take action to bring inflation down, it gets worse,” Bank of England Gov. Andrew Bailey told reporters. “There’s no easy outcome in this sense.”

Even so, the central bank should not increase its key rate too far, he said, but with uncertainties ahead, policymakers will “respond forcefully” if needed.

The interest rate decision is the first since Truss’ government announced 45 billion pounds ($52 billion) of unfunded tax cuts that sparked turmoil on financial markets, pushed up mortgage costs and forced Truss from office after just six weeks. Her successor, Rishi Sunak, has warned of spending cuts and tax increases as he seeks to undo the damage and show that Britain is committed to paying its bills.

“High energy, food and other bills are hitting people hard. Households have less to spend on other things. This has meant that the size of the UK economy has started to fall,” the bank said in its November monetary policy report.

The rate increase is the Bank of England’s eighth in a row and the biggest since 1992. It comes after the US Federal Reserve on Wednesday announced a fourth consecutive three-quarter point jump as central banks worldwide combat inflation that is eroding living standards and slowing economic growth. Central banks have struggled to contain inflation after initially believing that price increases were being fueled by international factors beyond their control. Their response intensified in recent months as it became clear that inflation was becoming embedded in the economy, feeding through into higher borrowing costs and demands for higher wages.

The war in Ukraine boosted food and energy prices worldwide as shipments of natural gas, grain and cooking oil were disrupted. That added to inflation that began to accelerate last year when the global economy began to recover from the COVID-19 pandemic.

Europe has been particularly hard hit by a jump in natural gas prices as Russia responded to Western sanctions and support for Ukraine by curtailing shipments of the fuel used to heat homes, generate electricity and power industry and European nations competed for alternative supplies on global markets.

The UK also has struggled as wholesale gas prices increased fivefold in the 12 months through August. While prices have dropped more than 50 per cent since the August peak, they are likely to rise again during the winter heating season, worsening inflation.

The British government sought to shield consumers with a cap on energy prices. But after the turmoil caused by Truss’ economic policies, Treasury chief Jeremy Hunt limited the price cap to six months instead of two years, ending on March 31.

Meanwhile, food prices have jumped 14.6 per cent in the year through September, led by the soaring cost of staples such as meat, bread, milk and eggs, the Office for National Statistics said. That pushed consumer price inflation back to 10.1 per cent, the highest since early 1982 and equal to the level last reached in July.

Increases in the cost of tea bags, milk and sugar mean that even the “humble” cup of tea, which people across the country turn to when they need a break from the pressures of daily life, is getting more expensive, the British Retail Consortium said Wednesday.

“While some supply chain costs are beginning to fall, this is more than offset by the cost of energy, meaning a difficult time ahead for retailers and households alike,” said Helen Dickinson, the consortium’s chief executive.

Truss’ failed economic plan made things worse, driving the pound to a record low against the dollar, threatening the stability of some pension funds and triggering predictions that the Bank of England would boost interest rates higher than expected. That increased mortgage costs as lenders repriced their products.

The economic turmoil is putting homeownership further out of reach for many young people, according to research released this week by Hamptons, a UK real estate agency.

Mortgage rates average around 6.5 per cent, compared with two per cent a year ago.

That means the average first-time homebuyer would have to make a down payment equal to 41 per cent of the purchase price to keep their monthly repayments at the same level as a similar buyer who made a 10 per cent down payment last year, Hamptons said.

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Guyana, UK discuss future investment opportunities

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Senior Finance Minister Dr Ashni Singh in discussion with the visiting UKEF officials and British High Commissioner Jane Miller on Wednesday

As Guyana continues on its unprecedented development trajectory, discussions were held with officials from the United Kingdom on future investment opportunities by UK Export Finance (UKEF) here.

The meeting was held on Wednesday between Senior Minister with responsibility for Finance, Dr. Ashni Singh, and British High Commissioner to Guyana, Jane Miller, along with two officials from UKEF – Regional Head for Eastern Europe, Central Asia, and the Americas, Rose Trigg, and Business Manager, Civil, Infrastructure & Energy, Simon Bunckenburg.

Other officials from the Finance Ministry also joined the meeting.

“The meeting also allowed for further discussions surrounding the possibility of future investment opportunities by UKEF in Guyana, as the country continues on its rapid development trajectory in both the public and private sectors,” the ministry said in a statement posted on its Facebook page.

However, the missive noted that the essence of Wednesday’s engagement was a follow-up to the partnership established between the government and UKEF for the construction of the EUR$149 million new state-of-the-art Pediatric and Maternal hospital at Ogle, East Coast Demerara.

The hospital is being built with financial support from UK Export Finance, the UK’s export credit agency and is the first UKEF-supported project ever done in Guyana. The facility will be constructed by VAMED, an Austria-based company that is a global provider of hospitals and other facilities in the healthcare sector.

In July, President Dr Irfaan Ali along with other officials turned the sod for the two-year construction of the medical facility.

The low-rise Pediatric and Maternal Hospital will have 256 beds and will be a referral centre for women and children. It will specialize in maternal, neonatal, and pediatric care with a huge imaging suite for services such as CT scans and MRIs, a modern laboratory, and surgical suites.

During his address at the sod-turning, President Ali noted that this hospital is a demonstration of the relations established between the two nations, adding that Guyana intends to further strengthen and capitalise on this tie with the European country.

In fact, just last month, the Guyanese Head of State pointed out that Guyana will now seek more financing from the UK for transformative infrastructural projects here after the British Government announced visa-free travel for Guyanese.

“The idea of this visa waiver for visitors is not only about strengthening the relationship and building out the expansion of the economic opportunities between Guyana and the UK… These days, it is getting very complex to finance the market, especially with the volatility that exists. And we are pursuing very, very strong terms in favour of Guyana, fixed-rate financing and less than three percent, and that is how we have been pushing for financing. It is difficult to achieve in this market but we are still pursuing this,” he stated.

President Ali emphasised the economic potential of Guyana and spoke extensively about opportunities in the infrastructure, tourism, and other sectors with significant development potential. He added that visa-wavier will open up immense opportunities, not only for infrastructure and economic activities as a result of trade, but also for Guyana as a hub to serve the region.

Meanwhile, High Commissioner Miller noted that the visa lift is a real sign of the confidence that the UK has in Guyana. In fact, she had revealed that in mid-November, a British trade mission will be coming to Guyana to explore the investment opportunities being offered here.

This will follow the visit of a previous UK trading mission earlier this year, scoping investment opportunities here. That trade mission had comprised nine British companies ranging from education, manufacturing, and infrastructure.

Back in June, it was reported that Guyana is the UK’s United Kingdom’s largest trade partner in the Caribbean region, attracting interest in the establishment of a British Chamber of Commerce locally.

Last year, trade in goods and services between the UK and Guyana was £560 million. This represented 21.6 per cent of trade facilitated between the Caribbean Region thus making Guyana the largest trade partner in the Region.

President Ali revealed last month that Guyana’s trade with the UK has increased by over 17 per cent in the last four quarters with more and more local goods continuing to be exported.

“The UK’s import from and export to Guyana, for the previous four quarters, increased by 17.2 per cent. That is the UK imports increased by 7.2 per cent and the exports, 2.7 per cent. Now this can increase greatly, with just one transaction,” the Head of State had noted.

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Cabinet pauses Barbados National Day; public talks planned Loop Barbados

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Plans to rename Independence Day as Barbados National Day have been halted since an “overwhelming majority” of Barbadians from all walks of life not being in favour of the change or the timing.

Stating that this is “a government that listens”, Minister of Home Affairs Wilfred Abrahams said that this initiative will now be paused to allow for greater and wider input.

In a voice recording issued to the media last night, Abrahams said:

“This Barbados Labour Party (BLP) government is one that is committed to promoting a sense of patriotism and national pride during the month of November. At some point, we must come up with a suitable way to collectively craft a meaningful and celebratory way to honour these two most significant achievements in our nation’s history – the attainment of independence in 1966 and our first prime minister the Rt Excellent Errol Walton Barrow, national hero; and the transition to a parliamentary republic last year in 2021 and our first Barbadian Head of State Her Excellency the Most Honourable Dame Sandra Mason, president of Barbados.

“But it is also clear, that now is not the time.”

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He said that on listening to the swift response of Bajans at home and abroad, “I now come to you again to state that as the Chairman of the Cabinet’s sub-committee on national events in November, I will take this matter to Cabinet once again with a recommendation that this particular initiative be paused, pending inclusive public discourse and consultation with the widest possible cross-section of the Barbadian public and with the social partnership.

“I will recommend that the status quo be preserved and that we celebrate November 30, 2022, as Independence Day.”

The initial decision was determined, last Thursday, at a Cabinet meeting.

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C1: le PSG et les fantômes du tirage au sort

Black Immigrant Daily News

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Les ombres du Real Madrid, de Manchester City et du Bayern Munich planent sur le Paris SG, qui pourrait recroiser l’un de ces cadors lors du tirage au sort des 8es de finale de Ligue des champions…

Les ombres du Real Madrid, de Manchester City et du Bayern Munich planent sur le Paris SG, qui pourrait recroiser l’un de ces cadors lors du tirage au sort des 8es de finale de Ligue des champions lundi, après avoir laissé échapper la première place.

A jamais les premiers à être devancés au sixième critère pour départager les équipes à égalité de points, le PSG se sent un peu maudit. Et redoute désormais d’hériter d’une des trois dernières équipes à lui avoir barré le chemin de la gloire en C1.

“Il faut faire avec, soupire Marquinhos. Ca fait beaucoup de temps que je suis ici, il y a toujours un petit truc…”

En poussant un peu plus loin, on relèvera aussi qu’en Youth League, les jeunes Parisiens menaient 4-1 à la 90e minute mercredi, avant de se faire rejoindre 4-4. Mais eux terminent tout de même 1er de leur groupe.

Lundi à Nyon, siège de l’UEFA, s’ils échappent à un des trois épouvantails au tirage, les grands du PSG peuvent croiser le FC Porto ou Tottenham, contre qui ils n’ont pas les mêmes mauvais souvenirs, ou bien Naples ou Chelsea.

“Deuxième, cela présente des désavantages”, admet Marquinhos, “mais les autres équipes aussi vont se dire qu’il va falloir jouer Paris.”

Et puis “la phase à élimination directe est (la) plus importante”, rappelle-t-il, “c’est l’équipe la plus forte en fin de saison qui gagne. On a vu des équipes finissant deuxièmes qui ont fini par remporter la Ligue des champions”.

Le dernier en date est Liverpool, en 2019, qui avait terminé dans son groupe de l’époque derrière… le PSG.

Manque d’intensité

Pour se consoler, le capitaine parisien a aussi estimé que la première place ne s’était pas jouée mercredi soir mais “plutôt dans les deux matches contre Benfica” (1-1/1-1). “Il fallait en gagner un, on n’a pas réussi, il fallait surtout remporter celui à la maison”, a-t-il expliqué.

Si le scénario est cruel, le PSG peut s’en vouloir de ne pas avoir joué tous ses matches de C1 pied au plancher pendant 90 minutes, à part le précédent contre Haïfa (7-2), un manque d’intensité que Christophe Galtier souligne souvent.

Autre faiblesse, relative: le PSG est encore invaincu cette saison mais l’équipe concède trop de buts -au moins un à chaque match de C1 (sept en six matches).

“Nous avons aussi concédé trop de buts sur coups de pied arrêtés, si on en avait pris un de moins, on serait en huitième avec la première place”, note Christophe Galtier, qui compte toutefois attendre “sereinement” le tirage au sort: “de toute façon, si on veut aller loin, il faudra battre de grandes équipes”.

Inquiétude pour Kimpembe

Le passage à une défense à quatre, avec deux centraux, depuis cinq matches a rassuré les cadres, Sergio Ramos et Marquinhos, qui se sont tous deux prononcés en faveur de ce système.

Mais l’inquiétude autour de Presnel Kimpembe, touché au tendon d’Achille droit, à trois semaines du Mondial, s’ajoute aux problèmes d’une défense forcément déséquilibrée pour laisser s’exprimer le formidable potentiel offensif de la “MNM”, Lionel Messi, Neymar et Kylian Mbappé.

“Presko” n’a finalement pas passé les examens médicaux prévus jeudi matin, a précisé le club, qui donnera des nouvelles du joueur samedi, lors du bulletin médical précédent le prochain match, à Lorient (dimanche 13h00).

“Je suis plus habitué à une défense à deux, cela ne fait pas beaucoup de temps qu’on joue avec une défense à trois, il me fallait m’adapter”, explique encore “Marqui”. “Mais on a aussi fait des bons matches où la défense à trois nous a favorisés, c’est intelligent d’avoir plusieurs cartes dans les manches”.

Autre petit détail -mais Galtier a rappelé combien le diable était dans les détails en C1-, en fin de match, le PSG a manqué d’information sur le résultat de l’autre rencontre.

Sa situation a ressemblé à celle de l’Olympique de Marseille, la veille, qui semblait ne pas bien savoir qu’un nul contre Tottenham lui assurait au moins la troisième place et donc la Ligue Europa, avant d’encaisser en contre un but qui l’éliminait de tout.

“On n’avait pas compris, raconte Marquinhos. Je ne savais pas que (Benfica) menait 5-1 puis 6-1, nous on gérait le match.” Paris doit soigner aussi ces détails-là.

eba/gk/fal

Ligue des champions 2022-2023: les qualifiés pour les 8èmes de finale
• Jean-Michel CORNU

Le défenseur italien de la Juventus Leonardo Bonucci (C) égalise contre le Paris SG, en Ligue des champions, le 2 novembre 2022 à Turin
• Filippo MONTEFORTE

La vedette argentine du Paris SG Lionel Messi lors du match de Ligue des champions contre la Juventus, le 2 novembre 2022 à Turin
• FRANCK FIFE

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Cabinet Briefs (Sept. 30, 2022)

Black Immigrant Daily News

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Governor John Rankin chaired a special Cabinet meeting on Sept. 30 at the Financial Services Commission’s Resource Centre. All members were present except Health and Social Development Minister Marlon Penn, who was overseas on official travel. They took the following actions, according to a summary published in the Gazette on Oct. 13.

1. Approved:

a. the appointment of the following members to the Physical Planning Appeals Tribunal in accordance with Schedule 4, Section (3) of the Planning Authority Act, 2004: Chairman Marvin Flax Jr. for a period of two years from Sept. 1, 2022; Marva Titley-Smith for a period of one year and four months from Sept. 1, 2022; Kamika Forbes for a period of two years from Sept. 1, 2022; John Lewis for a period of two years from Sept. 1, 2022; Sylvia Moses for a period of one year and four months from Sept. 1, 2022; and

b. that the chairman will be remunerated $500 per month and members $300 per month; and that ex-officio members will not be remunerated.

2. Noted that the Public Finance Management Act of 2012 in Section 36(C) mandates that the Medium Term Fiscal Plan for the territory be updated semi-annually, and that the 2022 Mid-Year MTFP Update fulfils the requirement as stated in Section 36(C)(3); and

a. approved the government’s 2022 Mid-Year Medium Term Fiscal Plan MTFP Update;

b. decided that the 2022 MTFP Update be tabled at the next convenient sitting of the House of Assembly; and

c. decided that the approved 2022 Mid-Year MTFP Update be submitted to the minister of the overseas territories.

3. Decided that Lisa PennLettsome be appointed on contract to serve as the chair of the Constitutional Review Commission with effect from Oct. 1, 2022 until July 7, 2023; and decided that:

a. a maximum extension of six months from July 8, 2023 may be granted to Ms. PennLettsome, pending the conclusion of the constitutional review process;

b. the Premier’s Office instruct the Attorney General’s Chambers to vet the draft contract before execution.

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