Joshua y Jourdé Klaber a gana Oro y Kianna Krosendijk a gana plata na Miami

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Diario

Alegria den Taekwondo

ORANJESTAD (AAN): Bon noticia for di Miami!   E atleta Joshua Klaber a bringa den e categoria di adulto -58 kilo. Joshua Klaber a gana su prome pelea 2-0 contra di Gregory Jean-Baptiste di Merca.

   Den final Joshua Klaber a topa cu Rocky Negrete di Merca y Joshua Klaber a gana e pelea 2-0.

   Jourdé Klaber a gana su prome pelea door di un bye den e categoria di adulto -63 kilo. Jourdé Klaber a bringa den e categoria adulto -68 kilo contra di Jadon Avroya y a perde 2-0.

   Kianna Krosendijk a bringa den e categoria di cadet -55 kilo. Kianna Krosendijk a gana su prome pelea contra di Samantha Rothan di Merca. Den final Kianna Krosendijk a perde contra di Riley Otto.

   Riley Otto y su coach Roland Thomas for di Atlanta a confirma cu nan ta bay bin Aruba pa e campamento y campeonato. Esaki ta haci cu Kianna Krosendijk ta bay prepara pa e revancha aki na Aruba.

   Monica Pimentel ta contento cu e resultado di e team di Aruba cu a bringa den e Truescore Championship Series & International Open y ta mira un progreso den e atletanan.






























NewsAmericasNow.com

Post Aruba a emiti un serie nobo di stampia cu paisahenan di Aruba

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Diario

ORANJESTAD (AAN): Desde 1 di november 2022, Post Aruba N.V. a emiti un serie nobo di stampia.

E serie aki yama ”Paisahenan di Aruba” y a keda diseña pa Sr. Elvis Tromp.

   Pa chikito cu Aruba ta, e ta rico na diferente sorto di paisahe. Mayoria paisahe ta den forma di desierto, como cu e clima ta seco durante henter aña. Na e parti zuid e paisahe ta basta plat cu algun kilometro di playanan blanco y e lama ta relativamente calmo. Den e parti nort tin algun sero y ta ey e lama ta bruto. E lama bruto di e costa di nort a percura pa formacion di diferente brug natural.

   Loke ta yama e atencion masha den e paisahe di Aruba ta e acumulacion di baranca grandisimo, cu ta origina di actividadnan volcanico. E formacionnan di piedra grandi na Ayo y Casibari ta hopi conoci.

   Hooiberg por mire den e parti mas plat di Aruba. For di e punta di e sero bo tin un bunita bista riba henter e isla. 

   E faro di California (na Hudishibana) ta para den forma imponente memey di un paisahe bunita cu ta forma un frontera cu e duinnan na un banda y na e otro banda e lama turkesa blauw.

   Debi na e biento noordoost e palonan di watapana y fofoti ta crece den direccion zuidwest. E palonan aki cu ta crece den direccion di e biento, ta masha famoso y hopi biaha nan ta sirbi como material di promocion pa Aruba.  E matanan di aloe y cadushi ta percura pa un totalidad unico y espectacular.

E serie di stampia aki y e Envelop Prome Dia di Emision ta obtenibel na tur postkantoor tanto na Oranjestad como na San Nicolas y riba e web-pagina postaruba.com/stampshop

Percura pa bo tin e serie di stampia aki den bo coleccion, como cu e cantidad ta limita.


NewsAmericasNow.com

Ukraine: les cargos céréaliers cloués aux ports après les exigences de Moscou

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Les cargos chargés de céréales ukrainiennes, au centre d’un enjeu mondial de sécurité alimentaire, étaient cloués aux ports mercredi après que Moscou eut exigé des garanties de protection de la flotte russe dans le couloir de navigation…

Les cargos chargés de céréales ukrainiennes, au centre d’un enjeu mondial de sécurité alimentaire, étaient cloués aux ports mercredi après que Moscou eut exigé des garanties de protection de la flotte russe dans le couloir de navigation dédié aux exportations, en pleine guerre contre l’Ukraine.

“Le couloir céréalier a besoin d’une protection fiable et à long terme”, a réagi le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi soir dans son allocution quotidienne diffusée sur les réseaux sociaux.

“La Russie doit clairement comprendre qu’elle recevra une réponse mondiale sévère à toute mesure qui perturbe nos exportations alimentaires”, a-t-il lancé. “C’est littéralement une question vitale pour des dizaines de millions de personnes”.

La demande de “garanties” formulée par le président russe Vladimir Poutine lors d’entretiens mardi avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, fait écho à des attaques de drones marins, non revendiquées à ce stade par l’Ukraine, qui ont frappé samedi des bâtiments de la flotte militaire russe dans la baie de Sebastopol, en touchant au moins un.

La Russie a lancé en retour lundi une vague de frappes massives de missiles de croisière sur Kiev et les infrastructures civiles du pays, et annoncé dès samedi se retirer de l’accord qui permettait l’exportation des millions de tonnes de céréales ukrainiennes via le Bosphore.

M. Erdogan, usant de ses liens préservés tant avec Moscou qu’avec Kiev pour se placer en garant avec l’ONU de l’accord de juillet sur l’exportation des céréales ukrainiennes s’était dit “confiant” sur les chances de parvenir à une solution.

Mais le Kremlin a refroidi ces espoirs en annonçant de son côté que l’accord ne pourrait reprendre effet que si Kiev présentait des “garanties réelles (…) que le corridor humanitaire ne sera pas utilisé à des fins militaires”.

En conséquence, le Centre de coordination conjointe basé en Turquie et chargé de l’application de l’accord a annoncé mardi soir la suspension de tous les mouvements de cargos mercredi.

A l’unisson des alliés occidentaux et des Nations unies, le président français Emmanuel Macron a dénoncé mardi “une décision unilatérale de la Russie qui nuit de nouveau à la sécurité alimentaire mondiale”.

La Russie avait mis en garde lundi contre le “danger” qu’encoureraient les cargos poursuivant sans son accord la navigation dans le couloir menant des ports ukrainiens au Bosphore, et vers la Méditerranée.

Le coordinateur de l’ONU, Amir Abdullah, avait souligné qu’aucun cargo civil ne devait “devenir une cible militaire, ni être retenu en otage”. “L’alimentation doit passer”, avait ajouté le responsable soudanais.

Contre-offensive ukrainienne

Sur le terrain militaire, alors que c’est au sud, dans la région de Kherson, que les forces russes attendent depuis des semaines le lancement d’une attaque ukrainienne massive, un début de contre-offensive ukrainienne se dessinait sur le front est, plus au nord, ont déclaré mardi à l’AFP des soldats engagés sur ce secteur.

“La tendance est bonne, effectivement de notre côté, la ligne de front a avancé vite et bien”, a confirmé, depuis une position du village de Zarichne, un officier des forces spéciales de l’armée ukrainienne, au nom de code “Iva”, en opération sur ce front.

A Kiev, après des frappes destructrices lundi, l’approvisionnement en eau et en électricité a été rétabli mardi, alors que près de 80% des habitants de la capitale s’étaient retrouvés sans eau et 350.000 foyers sans courant.

La Russie multiplie depuis début octobre les frappes de drones et de missiles contre les systèmes d’eau et d’électricité des villes ukrainiennes.

Selon l’armée ukrainienne, la Russie a lancé lundi 55 missiles de croisière, 22 missiles anti-aériens S-300 et des drones de combat pour une vague de frappes à travers le pays.

Alors que Moscou et Téhéran continuent de nier des livraisons de drones de combat iraniens à l’armée russe, les Etats-Unis se sont dits mardi “préoccupés” par la potentielle livraison cette fois de missiles sol-sol iraniens.

Les autorités d’occupation russe de la région de Kherson, au sud, ont de leur côté annoncé de nouvelles évacuations, par milliers, d’habitants de cette zone vers l’est, après avoir transféré près de 70.000 personnes la semaine dernière.

“J’ai décidé d’étendre la zone d’évacuation de 15 kilomètres à partir du Dniepr”, a déclaré le gouverneur installé par Moscou à Kherson, Vladimir Saldo, dans une allocution publiée sur Telegram.

L’Ukraine dénonce ces évacuations comme une “déportation” des habitants.

Ailleurs sur le front, la présidence ukrainienne a rapporté des attaques russes de drones dans les régions de Poltava et Dnipropetrovsk, dans le centre du pays, et de missiles sur plusieurs autres localités.

Cinq civils ont été tués et neuf blessés en 24 heures en Ukraine, selon le chef adjoint de la présidence Kyrylo Tymochenko.

A Bakhmout, l’un des points chauds du front dans l’est de l’Ukraine, les journalistes de l’AFP ont constaté des tirs d’artillerie alors que les combats pour cette ville sans grande valeur stratégique font rage depuis plus de quatre mois.

Accueillie sous les applaudissements au Web Summit de Lisbonne mardi soir, la Première dame d’Ukraine,Olena Zelenska, a accusé la Russie d’avoir “mis la technologie au service de la terreur”.

“Je crois que la technologie devrait être utilisée pour créer, pour sauver et aider les gens, et non pour détruire”, a-t-elle lancé lors de la grand-messe annuelle de la tech en Europe.

bur-lpt/fjb/pz

Photographie d’un immeuble endommagé par une frappe, le 1er novembre 2022, à Mykolaïv dans le sud de l’Ukraine
• BULENT KILIC

Une femme âgée marche près de son vélo, dans le village partiellement détruit de Siversk, dans l’est de l’Ukraine, le 1er novembre 2022
• Dimitar DILKOFF

Un cargo chargé de céréales dans la zone d’ancrage à l’entrée du Bosphore à Istanbul le 31 octobre 2022
• Ozan KOSE

La Première dame d’Ukraine,Olena Zelenska, prononce un discours au au Web Summit de Lisbonne le 1er novembre 2022
• PATRICIA DE MELO MOREIRA

NewsAmericasNow.com

Ukraine: les cargos céréaliers cloués aux ports après les exigences de Moscou

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Les cargos chargés de céréales ukrainiennes, au centre d’un enjeu mondial de sécurité alimentaire, étaient cloués aux ports mercredi après que Moscou eut exigé des garanties de protection de la flotte russe dans le couloir de navigation…

Les cargos chargés de céréales ukrainiennes, au centre d’un enjeu mondial de sécurité alimentaire, étaient cloués aux ports mercredi après que Moscou eut exigé des garanties de protection de la flotte russe dans le couloir de navigation dédié aux exportations, en pleine guerre contre l’Ukraine.

“Le couloir céréalier a besoin d’une protection fiable et à long terme”, a réagi le président ukrainien Volodymyr Zelensky mardi soir dans son allocution quotidienne diffusée sur les réseaux sociaux.

“La Russie doit clairement comprendre qu’elle recevra une réponse mondiale sévère à toute mesure qui perturbe nos exportations alimentaires”, a-t-il lancé. “C’est littéralement une question vitale pour des dizaines de millions de personnes”.

La demande de “garanties” formulée par le président russe Vladimir Poutine lors d’entretiens mardi avec son homologue turc Recep Tayyip Erdogan, fait écho à des attaques de drones marins, non revendiquées à ce stade par l’Ukraine, qui ont frappé samedi des bâtiments de la flotte militaire russe dans la baie de Sebastopol, en touchant au moins un.

La Russie a lancé en retour lundi une vague de frappes massives de missiles de croisière sur Kiev et les infrastructures civiles du pays, et annoncé dès samedi se retirer de l’accord qui permettait l’exportation des millions de tonnes de céréales ukrainiennes via le Bosphore.

M. Erdogan, usant de ses liens préservés tant avec Moscou qu’avec Kiev pour se placer en garant avec l’ONU de l’accord de juillet sur l’exportation des céréales ukrainiennes s’était dit “confiant” sur les chances de parvenir à une solution.

Mais le Kremlin a refroidi ces espoirs en annonçant de son côté que l’accord ne pourrait reprendre effet que si Kiev présentait des “garanties réelles (…) que le corridor humanitaire ne sera pas utilisé à des fins militaires”.

En conséquence, le Centre de coordination conjointe basé en Turquie et chargé de l’application de l’accord a annoncé mardi soir la suspension de tous les mouvements de cargos mercredi.

A l’unisson des alliés occidentaux et des Nations unies, le président français Emmanuel Macron a dénoncé mardi “une décision unilatérale de la Russie qui nuit de nouveau à la sécurité alimentaire mondiale”.

La Russie avait mis en garde lundi contre le “danger” qu’encoureraient les cargos poursuivant sans son accord la navigation dans le couloir menant des ports ukrainiens au Bosphore, et vers la Méditerranée.

Le coordinateur de l’ONU, Amir Abdullah, avait souligné qu’aucun cargo civil ne devait “devenir une cible militaire, ni être retenu en otage”. “L’alimentation doit passer”, avait ajouté le responsable soudanais.

Contre-offensive ukrainienne

Sur le terrain militaire, alors que c’est au sud, dans la région de Kherson, que les forces russes attendent depuis des semaines le lancement d’une attaque ukrainienne massive, un début de contre-offensive ukrainienne se dessinait sur le front est, plus au nord, ont déclaré mardi à l’AFP des soldats engagés sur ce secteur.

“La tendance est bonne, effectivement de notre côté, la ligne de front a avancé vite et bien”, a confirmé, depuis une position du village de Zarichne, un officier des forces spéciales de l’armée ukrainienne, au nom de code “Iva”, en opération sur ce front.

A Kiev, après des frappes destructrices lundi, l’approvisionnement en eau et en électricité a été rétabli mardi, alors que près de 80% des habitants de la capitale s’étaient retrouvés sans eau et 350.000 foyers sans courant.

La Russie multiplie depuis début octobre les frappes de drones et de missiles contre les systèmes d’eau et d’électricité des villes ukrainiennes.

Selon l’armée ukrainienne, la Russie a lancé lundi 55 missiles de croisière, 22 missiles anti-aériens S-300 et des drones de combat pour une vague de frappes à travers le pays.

Alors que Moscou et Téhéran continuent de nier des livraisons de drones de combat iraniens à l’armée russe, les Etats-Unis se sont dits mardi “préoccupés” par la potentielle livraison cette fois de missiles sol-sol iraniens.

Les autorités d’occupation russe de la région de Kherson, au sud, ont de leur côté annoncé de nouvelles évacuations, par milliers, d’habitants de cette zone vers l’est, après avoir transféré près de 70.000 personnes la semaine dernière.

“J’ai décidé d’étendre la zone d’évacuation de 15 kilomètres à partir du Dniepr”, a déclaré le gouverneur installé par Moscou à Kherson, Vladimir Saldo, dans une allocution publiée sur Telegram.

L’Ukraine dénonce ces évacuations comme une “déportation” des habitants.

Ailleurs sur le front, la présidence ukrainienne a rapporté des attaques russes de drones dans les régions de Poltava et Dnipropetrovsk, dans le centre du pays, et de missiles sur plusieurs autres localités.

Cinq civils ont été tués et neuf blessés en 24 heures en Ukraine, selon le chef adjoint de la présidence Kyrylo Tymochenko.

A Bakhmout, l’un des points chauds du front dans l’est de l’Ukraine, les journalistes de l’AFP ont constaté des tirs d’artillerie alors que les combats pour cette ville sans grande valeur stratégique font rage depuis plus de quatre mois.

Accueillie sous les applaudissements au Web Summit de Lisbonne mardi soir, la Première dame d’Ukraine,Olena Zelenska, a accusé la Russie d’avoir “mis la technologie au service de la terreur”.

“Je crois que la technologie devrait être utilisée pour créer, pour sauver et aider les gens, et non pour détruire”, a-t-elle lancé lors de la grand-messe annuelle de la tech en Europe.

bur-lpt/fjb/pz

Photographie d’un immeuble endommagé par une frappe, le 1er novembre 2022, à Mykolaïv dans le sud de l’Ukraine
• BULENT KILIC

Une femme âgée marche près de son vélo, dans le village partiellement détruit de Siversk, dans l’est de l’Ukraine, le 1er novembre 2022
• Dimitar DILKOFF

Un cargo chargé de céréales dans la zone d’ancrage à l’entrée du Bosphore à Istanbul le 31 octobre 2022
• Ozan KOSE

La Première dame d’Ukraine,Olena Zelenska, prononce un discours au au Web Summit de Lisbonne le 1er novembre 2022
• PATRICIA DE MELO MOREIRA

NewsAmericasNow.com

Un projet de loi pour accélérer sur le nucléaire en conseil des ministres

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres son projet de loi visant à accélérer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, au moment où commence le débat public sur…

Le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres son projet de loi visant à accélérer la construction de nouveaux réacteurs nucléaires, au moment où commence le débat public sur la place de l’atome en France.

Alors que le besoin d’électricité va croître pour permettre au pays de s’extraire des énergies fossiles, le président Emmanuel Macron soutient la construction de six réacteurs EPR de nouvelle génération, avec une option pour huit autres, avec en parallèle l’essor des énergies renouvelables, solaire et éolien marin d’abord.

Un projet de loi pour accélérer sur les renouvelables, dont le déploiement accuse un retard criant, est ainsi examiné à partir de mercredi par le Sénat.

Ce même jour, un texte sur le nucléaire arrive au conseil des ministres, pour être examiné début 2023, d’abord à l’Assemblée nationale.

“Si nous voulons à la fois avoir une indépendance énergétique mais également tenir nos objectifs climatiques, il faut remplacer les énergies fossiles par des énergies bas carbone. Le nucléaire est aujourd’hui l’énergie le plus bas carbone de toutes les solutions dont nous disposons”, a justifié vendredi la ministre Agnès Pannier-Runacher, à la centrale de Chinon (Indre-et-Loire).

“Gagner du temps”

Installés sur les sites de centrales existantes, les futurs EPR seraient implantés, pour les deux premiers à Penly (Seine-Maritime), puis deux à Gravelines (Nord). La localisation de la troisième paire n’est pas tranchée, la vallée du Rhône (Bugey ou Tricastin) étant envisagée.

Le projet de loi présenté mercredi vise à “gagner du temps”, en simplifiant les procédures administratives: par exemple, les sites seraient dispensés d’autorisation d’urbanisme car le contrôle de conformité serait assuré par les services de l’Etat. Et les travaux sur les bâtiments non destinés à recevoir des substances radioactives pourront être réalisés avant clôture de l’enquête publique.

Emmanuel Macron pourrait ainsi en poser la première pierre avant la fin de son mandat en 2027, même si la mise en service du premier EPR ne pourra se faire avant 2035, voire “à l’horizon 2037” selon l’estimation d’un audit gouvernemental.

La France, qui dépend du nucléaire pour environ 70% de son électricité, avait décidé en 2015 de diversifier ses sources d’approvisionnement en fermant 14 de ses 58 réacteurs (deux ont déjà fermé), avant un revirement annoncé par le président fin 2021.

Consulté obligatoirement pour avis, le Conseil national de la transition écologique (CNTE), qui regroupe syndicats, patronat, ou encore des ONG, a “regretté les délais insuffisants” qui lui ont été laissés pour se prononcer sur ce projet de loi. Le CNTE note en outre que ce texte de loi “ne saurait préjuger des conclusions du débat public”.

Débats publics

“Ce texte porte sur les procédures administratives, il ne porte pas sur combien d’EPR dans notre mix énergétique en 2050”, a dit Mme Pannier-Runacher mercredi sur France Inter, se défendant de tout fait accompli, et relevant que ce sujet des EPR fait l’objet d’un débat public “qui va associer tous les Français qui le souhaitent”.

Mais “je construis les chances de succès pour les énergies renouvelables et pour le nucléaire en faisant en sorte qu’on puisse simplifier les procédures. En France, les procédures ne sont pas toujours très simples. Donc j’anticipe”, a-t-elle dit.

In fine il reviendra aux parlementaires de voter à compter du second semestre 2023 la stratégie énergétique de la France.

D’ici là, les Français pourront s’exprimer jusqu’au 27 février sur la construction des six EPR, au cours d’un débat public, obligation légale pour EDF.

Une autre concertation plus large sur l’énergie est en outre organisée par le gouvernement jusqu’au 31 décembre, notamment en ligne (concertation-energie.gouv.fr). A ce jour, 7.000 contributions ont été reçues, a indiqué la ministre, pour qui “c’est la première fois qu’on fait une consultation aussi large et qu’on pose les questions de manière aussi claire: combien on consomme en 2050, quel mix énergétique on veut et comment on le finance”.

Ces deux processus pourront s’appuyer sur les scénarios à 2050 du gestionnaire du réseau RTE et de l’Ademe. Tous ces scénarios incluent une poussée des énergies renouvelables, avec une part variable de nucléaire (ou pas de nucléaire du tout, ce qui toutefois obligerait à des mesures très volontaristes de sobriété).

cho/ak/vk

NewsAmericasNow.com

ILO Says Global Jobs Market Set To Deteriorate – St. Lucia Times News

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: St. Lucia Times News

– Advertisement –

The outlook for global labour markets has worsened in recent months and if current trends continue, vacancies will grow more scarce while global jobs growth will deteriorate significantly during the rest of the year, according to a new report by the International Labour Organization (ILO).

Estimates from ILO for the third quarter of 2022, indicate that the level of hours worked was 1.5 per cent below pre-pandemic levels, amounting to a deficit of 40 million full-time jobs.

Inflation up, wages down

The 10th edition of the Monitor on the World of Work confirms that rising inflation is causing real wages to fall in many countries.

– Advertisement –

This comes on top of significant declines in income during the COVID-19 crisis, which affected low-income groups most in many countries.

The report finds that labour market inequalities are likely to increase, contributing to a continued divergence between developed and developing economies.

According to the Monitor, a set of multiple and overlapping crises, compounded by the Ukraine war and subsequent negative spill-over effects, have materialized over 2022 which have impacted the world of work deeply.

Food and energy in flux

The effects are being felt through food and energy inflation, declining real wages, growing inequality, shrinking policy options and higher debt in developing countries.

A slowdown in economic growth and aggregate demand will also reduce demand for workers as uncertainty and worsening expectations affect hiring.

The Monitor finds that worsening labour market conditions are affecting both employment creation and the quality of jobs, pointing out that there is already data that suggests a sharp labour market slowdown.

At the beginning of 2022, the number of global hours worked was recovering strongly, notably in higher-skilled occupations and among women.

However, this trend was driven by an increase in informal jobs, jeopardizing 15 years of progress trend towards formalization.

Solidarity, to end war

ILO says that a strong commitment is needed to initiatives such as the UN Global Accelerator on Jobs and Social Protection; its objective is to create 400 million jobs and extend support to the four billion people who have nothing to fall back on should they fall sick or get hurt at work.

A rapid end to the conflict in Ukraine, as demanded in the resolutions of the ILO Governing Body, would further contribute to improving the global employment situation, the UN agency noted.

“Tackling this deeply worrying global employment situation, and preventing a significant global labour market downturn, will require comprehensive, integrated and balanced policies both nationally and globally,” said ILO Director-General, Gilbert Houngbo.

“We need the implementation of a broad set of policy tools, including interventions in the prices of public goods; the rechannelling of windfall profits; strengthening income security through social protection; increasing income support; and targeted measures to assist the most vulnerable people and enterprises.”

SOURCE: UN News

– Advertisement –

NewsAmericasNow.com

‘De situatie is niet uitzichtloos maar wij hebben extra krachten nodig’

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: De Ware Tijd Online

door Arjen Stikvoort PARAMARIBO — “Hoewel de exploitatie moeizaam verloopt, kunnen we het nog redden.” Maar het is, volgens voorzitter

NewsAmericasNow.com

Octobre 2022 a été le mois d’octobre le plus chaud mesuré en France

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Le réchauffement climatique devient toujours plus palpable: après des records cet été, octobre 2022 a été le mois d’octobre le plus chaud en France depuis 1900, avec une température moyenne de 17,2°C…

Le réchauffement climatique devient toujours plus palpable: après des records cet été, octobre 2022 a été le mois d’octobre le plus chaud en France depuis 1900, avec une température moyenne de 17,2°C, de 3,5°C supérieure à la normale.

Octobre a été cette année bien plus chaud qu’octobre 2001 qui détenait le précédent record avec 16,3°C de température moyenne et 2,6°C de plus que la normale, a précisé l’établissement public. Octobre 2020 et 2021 avaient été en revanche légèrement plus frais.

Il s’agit du neuvième mois consécutif avec une “anomalie positive”, c’est-à-dire des températures supérieures à la moyenne, a relevé Météo-France mardi.

Les températures ont été particulièrement élevées pour la saison sur une vaste bande orientée du sud-ouest au nord-est du Pays basque à l’Alsace, englobant l’intérieur de l’Aquitaine, Midi-Pyrénées, le Limousin, l’Auvergne, le Lyonnais et une bonne partie de la Bourgogne, selon une carte diffusée par l’établissement.

En cause, selon Météo-France: un “épisode de chaleur tardive inédit” qui s’est installé sur le pays et a duré particulièrement longtemps, avec des “nuits tropicales” (températures ne descendant pas sous les 20 degrés) dans le sud du pays, qui ont fait la joie des amateurs de dîners en terrasse… et des moustiques. 

“Normalement à partir de la mi-octobre les températures commencent à chuter et là, c’est l’inverse”, avait récemment expliqué à l’AFP Christine Berne, climatologue chez Météo-France.

Bordeaux a enregistré, le 16 octobre dernier, les 30°C les plus tardifs de l’histoire de la ville. 

De fait, rappelle Météo-France, des pics de douceur, voire de chaleur exceptionnelle, peuvent se produire jusqu’à la mi novembre, comme ce fut le cas en 2014, 2015 et 2017.

Réchauffement “visible”

“Cette année, on est clairement dans un emballement. A l’exception d’une petite période en septembre, on assiste à des mois particulièrement chauds non stop depuis avril. On a l’impression que l’atmosphère a de plus en plus de mal à se refroidir”, a relevé Mme Berne.

La cause ? Un phénomène conjoncturel, une poussée d’air chaud en provenance d’Afrique, couplée aux effets du changement climatique. Celui-ci devient “visible”, selon Météo-France.

“Sans le réchauffement climatique” causé par les gaz à effet de serre émis par l’homme, “on n’aurait pas des températures aussi chaudes, le dérèglement du climat contribuant à des phénomènes extrêmes plus fréquents et plus intenses, devenant plus précoces et plus tardifs”, a-t-elle estimé.

Quant aux précipitations, elles ont été moins fréquentes qu’à l’ordinaire sur la majeure partie du territoire en octobre, avec 58 mm de cumul moyen sur le mois, soit un déficit de 37% par rapport à la normale.

Ce chiffre est inégal suivant les régions, puisque les cumuls de précipitations sont plutôt excédentaires de 10 à 40% du Centre-Val-de-Loire à la Champagne et du nord de la Lorraine à la Savoie, alors que le déficit dépasse les 70% de l’Aquitaine à l’Occitanie, à la région PACA et la Corse, selon Météo-France.

Conséquence, selon l’établissement public: les sols retrouvent “un état normal” pour cette période de l’année sur les régions Bourgogne-Franche-Comté, Bretagne, Centre-Val-de-Loire, Grand-Est et Ile-de-France, et ils sont “légèrement plus secs que la normale” sur Auvergne-Rhône-Alpes et Normandie. 

En revanche, “depuis début octobre, on note un assèchement des sols sur la Nouvelle-Aquitaine et l’Occitanie correspondant à un état observé habituellement en plein été”. 

En Occitanie, il s’agit de la situation la plus sèche rencontrée à cette période de l’année depuis 1958, pointe Météo-France. 

Dans un bulletin publié jeudi, l’établissement indique comme “scénario le plus probable”, pour le trimestre allant de novembre à janvier, “la prédominance de conditions anticycloniques, avec un temps calme et sec, sur le continent européen”, avec 50% de chances d’avoir des températures conformes aux normales de saison et 30% de chances qu’elles soient plus chaudes. 

dep-liu/jbo/vk

La Loire à un très bas niveau en raison du manque d’eau, à Saumur (Maine-et-Loire), le 6 août 2022
• GUILLAUME SOUVANT

Carte mondiale des anomalies de température enregistrées en septembre 2022
• Simon MALFATTO

NewsAmericasNow.com

Législatives en Israël: Netanyahu se rapproche du pouvoir

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Au lendemain des législatives ayant placé son parti en tête, l’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu semble se rapprocher de la victoire grâce à l’extrême droite, même si les…

Au lendemain des législatives ayant placé son parti en tête, l’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu semble se rapprocher de la victoire grâce à l’extrême droite, même si les résultats définitifs pourraient causer des surprises.

“Netanyahucherche une victoire décisive,Lapidespère l’égalité, Ben Gvir fête la victoire”, titre mercredi le Yediot Aharonot, journal le plus vendu de la presse israélienne.

Crédité de 30 à 32 sièges, le Likoud (droite) de M. Netanyahu arrive devant la formation centriste Yesh Atid (“Il y a un futur”) du Premier ministre sortant Yaïr Lapid qui récolterait entre 22 et 23 sièges sur les 120 du Parlement, selon les projections actualisées mercredi matin par trois grandes chaînes israéliennes.

Les alliés d’extrême droite de M. Netanyahu, Bezalel Smotrich etItamar Ben Gvir, sont eux arrivés en troisième position avec 13 à 15 sièges, soit le double des sièges dont ils disposaient jusqu’à l’heure.

Suit le parti de centre-droit de l’ex-chef de l’arméeBenny Gantz, crédité de 11 à 12 sièges, et membre de la coalition sortante.

Avec ses alliés, le Likoud de M. Netanyahu compterait 62 sièges, soit un de plus que la majorité. Mais ces scores pourraient changer à l’annonce des résultats officiels, notamment en fonction des sièges remportés par les petits partis.

A 09H30 (07H30 GMT), environ 80% des bulletins avaient été dépouillés et deux listes, un parti arabe et la formation de gauche Meretz, flirtaient avec le seuil d’éligibilité, d’après la commission électorale.

“J’ai de l’expérience, j’ai fait quelques élections, nous devons attendre les résultats définitifs mais notre chemin, celui du Likoud, a prouvé qu’il était le bon, nous sommes près d’une grande victoire”, a lancé dans la nuit M. Netanyahu à ses partisans réunis à Jérusalem.

“Révolution de droite”

Jugé pour corruption et plus pérenne des chefs de gouvernement de l’histoire d’Israël, M. Netanyahu, 73 ans, avait perdu le pouvoir en juin 2021 au profit d’une coalition hétéroclite mise sur pied par Yaïr Lapid.

“Tant que le dernier bulletin de vote n’est pas compté, rien n’est joué. Nous attendrons patiemment, même si nous n’avons pas de patience, les résultats définitifs”, a affirmé ce dernier à ses partisans réunis dans la métropole de Tel-Aviv. 

Mais déjà, un ancien du Likoud, l’actuel ministre de la Justice Gideon Saar, a prévenu du risque de voir Israël se diriger vers une “coalition d’extrémistes” menée par M. Netanyahu et ses alliés. 

“Les gens veulent marcher en sécurité dans les rues, que nos soldats et policiers ne soient pas pieds et poings liés”, a déclaré M. Ben Gvir, réitérant ainsi son appel à user de la force, notamment contre les Palestiniens à Jérusalem-Est et en Cisjordanie occupée.

“Israël est sur le point d’entamer une révolution de droite, religieuse et autoritaire, dont le but est de détruire l’infrastructure démocratique sur laquelle le pays a été construit”, s’est alarmé mercredi le grand quotidien de gauche Haaretz. “Il pourrait s’agir d’un jour sombre dans l’histoire d’Israël”.

Atteindre le seuil des 3,25%

Pour ces cinquièmes législatives en l’espace de trois ans et demi, la classe politique craignait une “fatigue” des 6,8 millions d’électeurs inscrits. C’est le contraire qui s’est produit, avec un taux de participation de 71,3%, le plus élevé depuis 2015, selon la commission électorale.

Dans le système proportionnel israélien, une liste électorale doit obtenir au moins 3,25% des voix pour entrer au Parlement avec ainsi un minimum de quatre sièges, une situation particulièrement critique pour les partis de l’importante minorité arabe israélienne, descendante des Palestiniens restés sur leurs terres à la création d’Israël en 1948.

En 2020, les partis arabes, hostiles au bloc de droite de M. Netanyahu, avaient récolté un record de 15 sièges après une campagne sous une seule bannière. 

Mais cette fois, ils se sont présentés en ordre dispersé sous trois listes, Raam (islamiste modéré), Hadash-Taal (laïc) et Balad (nationaliste), et si certains n’atteignent pas le seuil d’éligibilité, cela augmenterait les chances de M. Netanyahu de revenir aux affaires.

“Les résultats montrent que Netanyahu a le plus de chance de former un gouvernement avec des fascistes à ses côtés”, s’est inquiétée Aïda Touma-Suleiman, députée de Hadash-Taal. “Et cela nous préoccupe grandement (…) car cela témoigne de la direction que prend ce pays et ce qui attend les Palestiniens vivant dans ce pays.”

En Cisjordanie occupée, théâtre d’un regain de violence, le Premier ministre palestinien Mohammed Shtayyeh a dénoncé une “montée de l’extrémisme et du racisme dans la société israélienne” dont le peuple palestinien “souffre depuis des années”.

dms-cgo/feb

Benjamin Netanyahu et son épouse Sara saluent leurs partisans au siège du Likoud, à Jérusalem le 2 novembre 2022
• Menahem KAHANA

Le Premier ministre israélien sortant Yaïr Lapid, le 2 novembre 2022 devant ses supporters à Tel-Aviv
• GIL COHEN-MAGEN

Des partisans du parti israélien d’extrême droite Otzma Yehudit dans leur local de campagne à Jérusalem, le 1er novembre 2022
• Jalaa MAREY

NewsAmericasNow.com

Yaïr Lapid, l’ex-star de la télé devenu Premier ministre centriste

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Le Premier ministre israélien Yaïr Lapid, dont le parti a été crédité de la deuxième place aux législatives de mardi, est un ancien journaliste vedette qui s’est imposé aux plus hauts échelons politiques avec…

Le Premier ministre israélien Yaïr Lapid, dont le parti a été crédité de la deuxième place aux législatives de mardi, est un ancien journaliste vedette qui s’est imposé aux plus hauts échelons politiques avec une approche libérale et un discours laïque.

“Nous n’avons pas l’intention de nous arrêter. Chaque citoyen israélien – religieux ou laïc, de gauche ou de droite, juif ou arabe, hétéro ou LGBT – doit savoir ce soir que nous continuerons à nous battre pour qu’Israël soit un Etat juif et démocratique, libéral et progressiste”, a déclaré M. Lapid après l’annonce des projections créditant son parti Yesh Atid (“Il y a un futur”) de la deuxième place aux législatives derrière le Likoud de l’ex-Premier ministre Benjamin Netanyahu.

A peine nommé Premier ministre d’Israël, en juillet dernier, Yaïr Lapid s’est envolé pour Paris. Direction l’Elysée pour une accolade bien sentie à son “ami” Emmanuel Macron, symbole comme lui d’une génération de dirigeants libéraux et centristes en lutte contre les “extrêmes”.

Après plus d’une décennie de règne de Benjamin Netanyahu qui avait infléchi la politique étrangère israélienne sur celle des républicains américains, Lapid, lui, tente de rétablir les ponts avec les démocrates et les Européens.

A Paris, il tente de convaincre M. Macron de ne pas soutenir un renouvellement de l’accord international sur le nucléaire iranien et négocie en coulisses l’accord — conclu le 27 octobre — délimitant la frontière maritime entre Israël et le Liban et favorisant l’exploitation de gisements gaziers en Méditerranée orientale. 

– “Il faut se lever” – 

Né le 5 novembre 1963 à Tel-Aviv, Yaïr Lapid est le fils du défunt journaliste et ministre Tommy Lapid, un rescapé de la Shoah, et de l’auteure reconnue Shulamit Lapid. Il est le père de trois enfants, dont deux avec sa seconde et actuelle épouse, Lihi.

Il signe ses premiers textes durant son service militaire pour le journal de l’armée, décrochant ensuite une chronique au Yediot Aharonot, titre le plus vendu du pays qui va le faire connaître du grand public.

Parallèlement, il poursuit ses activités de touche-à-tout: boxeur amateur, romancier, scénariste et même acteur.

Mais c’est à la télévision, alors qu’il devient au début des années 2000 le présentateur du talk-show le plus suivi du pays, qu’il s’impose.

Evan Fallenberg, professeur de littérature anglaise à l’université Bar-Ilan, se souvient l’avoir interrogé à cette époque sur les spéculations sur son éventuelle entrée en politique.

“A l’époque il animait un talk-show intelligent, il écrivait des livres” mais il m’a dit: “+il y a un moment où il faut se lever, sortir de sa zone de confort et faire la différence+”, indique M. Fallenberg.

Un futur?

En 2012, sur fond d’un mouvement de contestation sur le problème de l’accès au logement et de la vie chère, Yaïr Lapid quitte les plateaux pour lancer son parti Yesh Atid (“Il y a un futur”).

Ses détracteurs ne le prennent pas au sérieux, pourtant le succès est immédiat. Un an après sa création, sa formation s’impose comme la seconde force politique d’Israël après le Likoud (droite).

L’ex-star de la télé devient ministre des Finances dans un gouvernement de coalition de M. Netanyahu mais lorsque, des années plus tard, ce dernier est soupçonné de corruption, le divorce est prononcé.

Sous la bannière de la coalition “Bleu-Blanc”, M. Lapid rallie, avec l’ex-chef de l’armée Benny Gantz, des voix centristes pour tenter de déloger du pouvoir M. Netanyahu. En vain.

Pour les législatives de 2021, la coalition avec Benny Gantz éclate. Yaïr Lapid mène à nouveau sa propre formation et se retrouve encore en seconde place.

Après une décennie en politique, il met à profit son expérience pour forcer la création d’une coalition unique dans l’histoire d’Israël car regroupant des formations de droite, du centre, de gauche et, première, un parti arabe.

Ce gouvernement dirigé par Naftali Bennett implose un an après. Yaïr Lapid lui succède le 1er juillet. 

Au pouvoir, Yaïr Lapid a maintenu une cadence soutenue dans les opérations militaires en Cisjordanie occupée, donné le feu vert à une offensive musclée contre le Jihad islamique à Gaza, tout en déclarant à l’ONU être favorable à la “solution à deux Etats” israélien et palestinien.

gl/dms/feb

NewsAmericasNow.com