Beaune veut un contrôle technique “le moins pénalisant possible” pour les deux-roues

Black Immigrant Daily News

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Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision du Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, selon le ministre délégué aux Transports Clément Beaune • STEPHANE DE SAKUTIN

Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision prise lundi par le Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, a indiqué…

Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision prise lundi par le Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, a indiqué mardi le ministre délégué aux Transports Clément Beaune.

“Il faudra très probablement mettre en place un contrôle technique”, a reconnu M. Beaune sur France 2.

“Une fois qu’on a dit +potentiellement un contrôle technique+, il y a des modalités, tout ça peut être discuté”, a-t-il ajouté, annonçant “une concertation dès la fin de semaine” avec les associations de routards et de sécurité routière.

La règlementation européenne laisse “une marge de manoeuvre importante” aux gouvernements, a estimé le ministre, évoquant “quelque chose qui soit le moins pénalisant possible”. 

“Ses modalités, son calendrier, restent à définir”, a-t-il noté. 

“Je crois qu’il faut qu’on soit raisonnable et proportionné”, a-t-il insisté. 

Le Conseil d’Etat a réinstauré lundi le contrôle technique pour les deux-roues, dont l’application était prévue début 2023 avant son annulation par le gouvernement, indiquant toutefois que cette mesure pourrait être “échelonnée dans le temps”.

liu/jbo/sp

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Beaune veut un contrôle technique “le moins pénalisant possible” pour les deux-roues

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Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision du Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, selon le ministre délégué aux Transports Clément Beaune • STEPHANE DE SAKUTIN

Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision prise lundi par le Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, a indiqué…

Le gouvernement va “très probablement” instaurer un contrôle technique pour les deux-roues, conformément à la décision prise lundi par le Conseil d’Etat, mais il devra être “le moins pénalisant possible” pour les motards, a indiqué mardi le ministre délégué aux Transports Clément Beaune.

“Il faudra très probablement mettre en place un contrôle technique”, a reconnu M. Beaune sur France 2.

“Une fois qu’on a dit +potentiellement un contrôle technique+, il y a des modalités, tout ça peut être discuté”, a-t-il ajouté, annonçant “une concertation dès la fin de semaine” avec les associations de routards et de sécurité routière.

La règlementation européenne laisse “une marge de manoeuvre importante” aux gouvernements, a estimé le ministre, évoquant “quelque chose qui soit le moins pénalisant possible”. 

“Ses modalités, son calendrier, restent à définir”, a-t-il noté. 

“Je crois qu’il faut qu’on soit raisonnable et proportionné”, a-t-il insisté. 

Le Conseil d’Etat a réinstauré lundi le contrôle technique pour les deux-roues, dont l’application était prévue début 2023 avant son annulation par le gouvernement, indiquant toutefois que cette mesure pourrait être “échelonnée dans le temps”.

liu/jbo/sp

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Update: Two of three missing teens located Loop Cayman Islands

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As an update on the teens reported missing, police confirmed that Mackailia Cunningham and Austina Williams have returned home and both appear to be in good health.

Jahsmine Ebanks, remains missing at this time and she is encouraged to return home or to the nearest police station immediately.

The RCIPS thanks the public for their assistance and continue to request their assistance in locating Jahsmine at this time.

Previous story:

Police search for three missing teens

Police are seeking the public’s assistance in locating three missing teens who left their Bodden Town home for school, and have not returned home since.

Jahsmine Ebanks, age 14, departed her home for John Gray high school on Thursday morning, 27 October and have not returned home since. She was last seen wearing her John Gray High School uniform, and is described as 5ft 4 inches tall, dark complexion, and medium built.

Both Mackailia Cunningham, age 12 and Austina Williams, age 13, left their Bodden Town home yesterday Friday 28 October for the Clifton Hunter High School, in their school uniforms, and did not return home on the school bus as expected. Mackailia is described as having dark skin, medium build and dread locked hair. Austina is described as dark skin, medium build with long braided hair.

Officers are encouraging Jahsmine, Mackailia and Austina to return home or attend the nearest police station immediately. Anyone with information on her whereabouts is encouraged to call the Bodden Town Police Station at 947-2220 or the M.A.S.H Unit at 649-6000.

Anonymous tips can be provided directly to the RCIPS via the RCIPS Confidential Tip Line at 949-7777, or via the RCIPS website.

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Work Continues On The Millennium Highway To Cul De Sac Roundabout Project – St. Lucia Times News

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C.O. Williams Construction Ltd wishes to inform the general and motoring public of the continuation of road works on the Millennium Highway to Cul de Sac Roundabout Project.

The work activities will be carried out between the hours of 7:00 am and 7:00 pm and will focus on the following areas for the period Monday October 31st, 2022 to Sunday November 6th, 2022.

Millennium Highway:

Drain Excavation and Construction (Near Ciceron Landfill Area – LHS & RHS)
Sidewalk Construction (Tunnel #1 to SOL Gas Station)
Road Reconstruction (Ciceron Landfill to Cul de Sac Intersection)
Surveying Activities (OKEU Roundabout to Cul De Sac Intersection)

Cul de Sac Intersection:

Earthworks opposite the Bexon Junction (Western Side Cul de Sac Intersection)
Culvert reconstruction and earthworks (Eastern side of Morne Road)
Retaining wall construction (Both sides of East Coast Road)

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Work activities are subject to change depending on weather conditions and other unforeseen circumstances.

Temporary accommodations have been made for the safe movement of pedestrians and vehicular traffic within the work zones – traffic lights may be in operation.

All road users and pedestrians are asked to observe the cautionary traffic signage along the road and exercise due care and consideration when traversing the Cul de Sac Intersection and the various sections along the Millennium Highway during the execution of the works.

C.O. Williams Construction Ltd regrets any inconveniences likely to be experienced as a result of the ongoing works and encourages motorists to utilize alternative routes in order to avoid delays. DELAYS ARE LIKELY.

SOURCE: C.O. Williams Group of Companies. Headline photo (Stock image).

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La précarité des jeunes migrants de Lyon en quête d’un sésame de minorité

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“Je ne m’attendais pas à être à la rue, ici. Je veux juste vivre normalement”, soupire Michel, un jeune Camerounais. Comme des dizaines de migrants isolés de Lyon, il espère être reconnu…

“Je ne m’attendais pas à être à la rue, ici. Je veux juste vivre normalement”, soupire Michel, un jeune Camerounais. Comme des dizaines de migrants isolés de Lyon, il espère être reconnu comme mineur pour être pris en charge.

Si la ville de Lyon fait figure d’exception en offrant un toit à des dizaines de jeunes en errance, associations et élus réclament la “présomption de minorité” qui ouvrirait des droits à ces migrants plongés dans un flou juridique dans l’attente de l’établissement de leur statut de mineur. 

“Avant de venir ici il y a une semaine, je dormais dehors”, raconte à l’AFP Michel, silhouette longiligne, le visage marqué par l’acné. Ce fils d’instituteur, natif de Yaoundé, dit avoir “16 ans et demi” et être arrivé il y a “quatre-cinq mois” à Lyon.

“Je viens de lire des messages de mon père sur mon téléphone. Il me dit de rester fort”, raconte le jeune homme, qui profite depuis peu d’un lit de camp comme 65 autres garçons – tous originaires d’Afrique subsaharienne – dans un gymnase municipal du 8e arrondissement.

Par petits groupes, les jeunes vont et viennent dans le bâtiment, transformé en un vaste dortoir délimité par de larges paravents. 

La distribution des repas, la lessive, l’inscription en cours de français et les rendez-vous avec des avocats rythment désormais leur quotidien, avec l’aide de plusieurs collectifs citoyens et associations dont LAHSo, spécialisée dans l’inclusion sociale.

“On est tranquille. On nous donne à manger, on peut prendre notre douche”, raconte Lamine, bientôt 17 ans selon lui, qui est arrivé en mai dernier de sa Guinée natale. Comme Michel, il est peu disert sur son parcours migratoire.

“Gymnase tampon”

Avant l’ouverture du gymnase fin septembre par la municipalité écologiste, le jeune homme vivait avec des dizaines de compagnons d’infortune dans des squats et sous des tentes dans un parc proche du centre-ville, avec le soutien de riverains et associations. 

Au terme d’une évaluation sociale de cinq jours menée avec l’aide de l’association Forum Réfugiés, Lamine n’a pas été reconnu mineur non accompagné (MNA). Il n’a donc pas droit à un hébergement ou à une prise en charge du ressort de la métropole de Lyon, qui détient une partie des compétences du département du Rhône. 

Lamine n’est pas non plus considéré comme majeur en vertu de son recours auprès du juge des enfants, qui sera examiné au mieux “dans quatre mois”, selon les associations. Il se trouve donc dans un brouillard juridique total.

“En fait, nous avons tout ce que l’État et la Métropole se renvoient”, constate Sandrine Runel, adjointe PS au maire de Lyon déléguée aux solidarités et à l’inclusion sociale.

“Nous n’avons normalement aucune compétence pour la mise à l’abri de ces jeunes mais nous ne pouvons pas les laisser dormir dehors”, souligne l’élue qui a lancé l’hiver dernier le plan “Zéro enfant à la rue” à Lyon. 

“Aujourd’hui, ce gymnase fait tampon, le temps de pouvoir orienter ces jeunes vers des structures spécialisées”, salue Damien Delahaye, directeur général de LAHSo. 

De son côté, la métropole a tout de même mis en place en 2020 la “Station”, un lieu d’accueil de 92 places destiné aux jeunes migrants en recours. Mais le lieu est entièrement occupé. 

Outre les occupants du gymnase, Mme Runel indique que la mairie a aussi rendu possible l’hébergement de 37 autres jeunes en phase de recours, mais elle réclame une obligation de soutien de l’État. 

“Il faut faire en sorte qu’il y ait une loi imposant à l’État de prendre en charge ces jeunes pendant la période de leur recours”, souligne l’adjointe, qui a signé une pétition en ce sens avec une quarantaine de parlementaires Nupes. 

À l’heure actuelle, il n’existe pas d’évaluation du nombre de jeunes dans cette situation en France. Dans le Rhône, la moitié d’entre eux n’obtiennent pas le statut de mineur, même si 80% de ceux qui introduisent des recours en justice l’obtiennent, précise-t-on toutefois à la Métropole.

Dans son projet de budget présenté fin septembre, le gouvernement prévoit de financer 186.000 places d’hébergement d’urgence fin 2023, contre 193.000 fin 2022. La semaine dernière, dix maires de grandes villes de France se sont alarmés de cette baisse dans une lettre à la Première ministre Elisabeth Borne.  

dfa/ag   

Des lits de camp installés dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement pour jeunes migrants, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

Un jeune migrant regarde son téléphone portable dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

Un jeune migrant assiste à un cours dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

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La précarité des jeunes migrants de Lyon en quête d’un sésame de minorité

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“Je ne m’attendais pas à être à la rue, ici. Je veux juste vivre normalement”, soupire Michel, un jeune Camerounais. Comme des dizaines de migrants isolés de Lyon, il espère être reconnu…

“Je ne m’attendais pas à être à la rue, ici. Je veux juste vivre normalement”, soupire Michel, un jeune Camerounais. Comme des dizaines de migrants isolés de Lyon, il espère être reconnu comme mineur pour être pris en charge.

Si la ville de Lyon fait figure d’exception en offrant un toit à des dizaines de jeunes en errance, associations et élus réclament la “présomption de minorité” qui ouvrirait des droits à ces migrants plongés dans un flou juridique dans l’attente de l’établissement de leur statut de mineur. 

“Avant de venir ici il y a une semaine, je dormais dehors”, raconte à l’AFP Michel, silhouette longiligne, le visage marqué par l’acné. Ce fils d’instituteur, natif de Yaoundé, dit avoir “16 ans et demi” et être arrivé il y a “quatre-cinq mois” à Lyon.

“Je viens de lire des messages de mon père sur mon téléphone. Il me dit de rester fort”, raconte le jeune homme, qui profite depuis peu d’un lit de camp comme 65 autres garçons – tous originaires d’Afrique subsaharienne – dans un gymnase municipal du 8e arrondissement.

Par petits groupes, les jeunes vont et viennent dans le bâtiment, transformé en un vaste dortoir délimité par de larges paravents. 

La distribution des repas, la lessive, l’inscription en cours de français et les rendez-vous avec des avocats rythment désormais leur quotidien, avec l’aide de plusieurs collectifs citoyens et associations dont LAHSo, spécialisée dans l’inclusion sociale.

“On est tranquille. On nous donne à manger, on peut prendre notre douche”, raconte Lamine, bientôt 17 ans selon lui, qui est arrivé en mai dernier de sa Guinée natale. Comme Michel, il est peu disert sur son parcours migratoire.

“Gymnase tampon”

Avant l’ouverture du gymnase fin septembre par la municipalité écologiste, le jeune homme vivait avec des dizaines de compagnons d’infortune dans des squats et sous des tentes dans un parc proche du centre-ville, avec le soutien de riverains et associations. 

Au terme d’une évaluation sociale de cinq jours menée avec l’aide de l’association Forum Réfugiés, Lamine n’a pas été reconnu mineur non accompagné (MNA). Il n’a donc pas droit à un hébergement ou à une prise en charge du ressort de la métropole de Lyon, qui détient une partie des compétences du département du Rhône. 

Lamine n’est pas non plus considéré comme majeur en vertu de son recours auprès du juge des enfants, qui sera examiné au mieux “dans quatre mois”, selon les associations. Il se trouve donc dans un brouillard juridique total.

“En fait, nous avons tout ce que l’État et la Métropole se renvoient”, constate Sandrine Runel, adjointe PS au maire de Lyon déléguée aux solidarités et à l’inclusion sociale.

“Nous n’avons normalement aucune compétence pour la mise à l’abri de ces jeunes mais nous ne pouvons pas les laisser dormir dehors”, souligne l’élue qui a lancé l’hiver dernier le plan “Zéro enfant à la rue” à Lyon. 

“Aujourd’hui, ce gymnase fait tampon, le temps de pouvoir orienter ces jeunes vers des structures spécialisées”, salue Damien Delahaye, directeur général de LAHSo. 

De son côté, la métropole a tout de même mis en place en 2020 la “Station”, un lieu d’accueil de 92 places destiné aux jeunes migrants en recours. Mais le lieu est entièrement occupé. 

Outre les occupants du gymnase, Mme Runel indique que la mairie a aussi rendu possible l’hébergement de 37 autres jeunes en phase de recours, mais elle réclame une obligation de soutien de l’État. 

“Il faut faire en sorte qu’il y ait une loi imposant à l’État de prendre en charge ces jeunes pendant la période de leur recours”, souligne l’adjointe, qui a signé une pétition en ce sens avec une quarantaine de parlementaires Nupes. 

À l’heure actuelle, il n’existe pas d’évaluation du nombre de jeunes dans cette situation en France. Dans le Rhône, la moitié d’entre eux n’obtiennent pas le statut de mineur, même si 80% de ceux qui introduisent des recours en justice l’obtiennent, précise-t-on toutefois à la Métropole.

Dans son projet de budget présenté fin septembre, le gouvernement prévoit de financer 186.000 places d’hébergement d’urgence fin 2023, contre 193.000 fin 2022. La semaine dernière, dix maires de grandes villes de France se sont alarmés de cette baisse dans une lettre à la Première ministre Elisabeth Borne.  

dfa/ag   

Des lits de camp installés dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement pour jeunes migrants, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

Un jeune migrant regarde son téléphone portable dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

Un jeune migrant assiste à un cours dans un gymnase transformé en lieu d’hébergement, le 27 octobre 2022 à Lyon
• OLIVIER CHASSIGNOLE

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Saint Lucia Hosts UHC Conference – St. Lucia Times News

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by Germina Hippolyte

The Korean World Bank Partnership Facility and the Government of Saint Lucia brought together 70 high level delegates from seven countries to attend the Universal Health Care Flagship Caribbean Knowledge Exchange Conference. The conference took place from Oct. 25 to 27.

The conference discussed critical topics with an aim to build a more resilient and sustainable health infrastructure, thus improving the quality of health care.

Hon Moses Jn Baptiste, Saint Lucia’s Minister for Health, underscored the importance of knowledge transfer.

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“This event is important as our exchanges will benefit from the experiences and shared knowledge about challenges, reforms on the way and innovations.

This event supports a regional Caribbean dialogue to spark regional collaboration and knowledge transfer. Our successes and challenges in the areas of non-communicable diseases, hospital services and health management information systems will be shared.

These topics have been prioritized to support investment decisions and policy reforms in the broader Caribbean countries that are embarking on health system reforms.”

The Korean World Bank Partnership Facility has, over the last few months, financed technical assistance to support reform initiatives.

Minister Jn Baptiste said: “Universal health care is an ambitious goal. It provides avenue for unity, global health financing against poverty and reducing social inequity. It is the hallmark of government’s commitment to improving the well-being of all citizens.”.

While in Saint Lucia, the delegates visited the Owen King EU Hospital and Saint Lucia’s performance-based financing facility.

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Brésil: Bolsonaro toujours silencieux après sa défaite face à Lula

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Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro restait muré dans son silence plus de 24 heures après sa défaite face à Luiz Inacio Lula da Silva, qui a reçu de nombreux appels de…

Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro restait muré dans son silence plus de 24 heures après sa défaite face à Luiz Inacio Lula da Silva, qui a reçu de nombreux appels de dirigeants étrangers le félicitant pour son élection.

Alors que le camp de M. Lula craignait que le chef de l’Etat sortant refuse de reconnaître sa défaite, avec des conséquences potentiellement délétères pour la première économie d’Amérique latine, des partisans de M. Bolsonaro bloquaient des axes routiers partout à travers le pays.

A Brasilia, la sécurité a été renforcée “de façon préventive” près de la Place des Trois Pouvoirs, qui rassemble le Palais présidentiel, la Cour suprême et le Parlement, en prévision de la possible arrivée de manifestants pro-Bolsonaro.

Après avoir perdu dimanche d’extrême justesse face à M. Lula (50,9%-49,1%), le chef de l’Etat en exercice – jusqu’à la passation de pouvoir le 1er janvier – s’était isolé dans sa résidence officielle d’Alvorada à Brasilia.

Il s’est rendu lundi matin au Palais du Planalto, le siège de la présidence, puis est revenu dans l’après-midi dans sa résidence, sans faire la moindre déclaration, a constaté un photographe de l’AFP.

Ce lourd silence, dont Lula avait dit être “inquiet” dès dimanche soir, rappelait à beaucoup de Brésiliens que Jair Bolsonaro avait maintes fois menacé de ne pas reconnaître le verdict des urnes s’il perdait.

Anticipant déjà des difficultés, Lula avait souhaité dimanche que “le gouvernement (sortant) soit civilisé” et comprenne qu’”il est nécessaire de faire une bonne passation de pouvoir”.

Ce climat d’incertitude se reflétait dans la volatilité de la Bourse de Sao Paulo, la première place financière d’Amérique latine, qui, après avoir ouvert dans le rouge, a clôturé sur une hausse de 1,36%, après de nombreuses variations en cours de séance. Le real brésilien a gagné plus de 2% par rapport au dollar.

Bolsonaro “a été enlevé de son trône par la force, et on va le remettre au pouvoir avec la force qui est la nôtre, nous, le groupe des camionneurs”, a dit à l’AFP Ezequias, un chauffeur routier de 40 ans qui n’a souhaité donner que son prénom.

Il prenait part lundi au blocage de l’autoroute entre Rio de Janeiro et Sao Paulo, la capitale économique, à Barra Mansa (sud-est), sans qu’il soit possible de savoir si le mouvement était spontané ou coordonné.

La période de transition a démarré de manière tendue lorsque des camionneurs et des manifestants pro-Bolsonaro ont bloqué des autoroutes dans au moins 11 Etats du pays lundi, brûlant des pneus et stationnant des véhicules au milieu de la route pour interrompre le trafic. 

Vêtus du jaune et du vert du drapeau brésilien — que le président sortant a fait sien — les manifestants brandissaient des pancartes pro-Bolsonaro et chantaient l’hymne national, avant d’être progressivement dispersés par les autorités dans certaines régions.

Lundi soir, le juge de la Cour suprême Alexander de Moraes a ordonné à la police de disperser immédiatement les barrages. Il agissait en réponse à la demande d’une fédération de transport qui se plaignait que cela nuisait à leurs affaires.

Le chef de la police routière fédérale, Cristiano Vasconcellos, a déclaré à la radio CBN que des barrages avaient été dressés “dans tout le Brésil”. Il a ajouté que les forces de l’ordre en avaient dégagé certains, mais a prévenu que la tâche était difficile: “nous en libérons un, et un autre se forme”, a-t-il dit.

“Relations solides”

“Si le risque de manifestations à court terme est élevé, celui d’une sérieuse crise institutionnelle est très faible”, estimaient toutefois les consultants d’Eurasia Group.

La victoire de M. Lula a été saluée dans le monde entier par une avalanche de messages de dirigeants étrangers, de Washington, Londres, Paris, Pékin, Moscou, New Delhi, Buenos Aires à la Commission européenne. Beaucoup ont exprimé leur impatience de renouer des relations solides et productives avec Brasilia, après quatre années d’isolement diplomatique sous Jair Bolsonaro.

De nombreux dirigeants ont saisi l’occasion de rappeler à Lula à quel point le dossier de la protection de l’Amazonie, où la déforestation a battu des records depuis 2019, était prioritaire pour l’avenir de la planète.   

Principal bailleur de fonds pour la protection de la plus grande forêt tropicale au monde, la Norvège a annoncé le déblocage de ses financements suspendus depuis 2019.

“Le Brésil est prêt à reprendre son leadership dans la lutte contre la crise climatique (…) Le Brésil et la planète ont besoin d’une Amazonie en vie”, avait lancé M. Lula dans son discours de victoire.

Son gouvernement devra redonner des moyens aux organismes de surveillance de la déforestation en Amazonie, très affaiblis par les coupes dans les crédits, les démembrements et l’impunité totale de toutes sortes de trafiquants.

pt-lg/lab/fjb/lpa/roc 

Le président sortant Jair Bolsonaro (au centre) dans le palais de l’Alvorada à Brasilia, le 31 octobre 2022, le lendemain de sa défaite contre Lula.
• EVARISTO SA

Brésil: célébrations après la victoire de Lula
• Carlos FABAL

Des partisans du président brésilien sortant Jair Bolsonaro bloquent un axe routier à Palhoca, dans la région de Florianopolis, le 31 octobre 2022
• Anderson Coelho

Des partisans de Luiz Inacio Lula da Silva fêtent sa victoire au 2e tour de la présidentielle, le 30 octobre 2022 à Sao Paulo
• CARL DE SOUZA

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Brésil: Bolsonaro toujours silencieux après sa défaite face à Lula

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Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro restait muré dans son silence plus de 24 heures après sa défaite face à Luiz Inacio Lula da Silva, qui a reçu de nombreux appels de…

Le président d’extrême droite Jair Bolsonaro restait muré dans son silence plus de 24 heures après sa défaite face à Luiz Inacio Lula da Silva, qui a reçu de nombreux appels de dirigeants étrangers le félicitant pour son élection.

Alors que le camp de M. Lula craignait que le chef de l’Etat sortant refuse de reconnaître sa défaite, avec des conséquences potentiellement délétères pour la première économie d’Amérique latine, des partisans de M. Bolsonaro bloquaient des axes routiers partout à travers le pays.

A Brasilia, la sécurité a été renforcée “de façon préventive” près de la Place des Trois Pouvoirs, qui rassemble le Palais présidentiel, la Cour suprême et le Parlement, en prévision de la possible arrivée de manifestants pro-Bolsonaro.

Après avoir perdu dimanche d’extrême justesse face à M. Lula (50,9%-49,1%), le chef de l’Etat en exercice – jusqu’à la passation de pouvoir le 1er janvier – s’était isolé dans sa résidence officielle d’Alvorada à Brasilia.

Il s’est rendu lundi matin au Palais du Planalto, le siège de la présidence, puis est revenu dans l’après-midi dans sa résidence, sans faire la moindre déclaration, a constaté un photographe de l’AFP.

Ce lourd silence, dont Lula avait dit être “inquiet” dès dimanche soir, rappelait à beaucoup de Brésiliens que Jair Bolsonaro avait maintes fois menacé de ne pas reconnaître le verdict des urnes s’il perdait.

Anticipant déjà des difficultés, Lula avait souhaité dimanche que “le gouvernement (sortant) soit civilisé” et comprenne qu’”il est nécessaire de faire une bonne passation de pouvoir”.

Ce climat d’incertitude se reflétait dans la volatilité de la Bourse de Sao Paulo, la première place financière d’Amérique latine, qui, après avoir ouvert dans le rouge, a clôturé sur une hausse de 1,36%, après de nombreuses variations en cours de séance. Le real brésilien a gagné plus de 2% par rapport au dollar.

Bolsonaro “a été enlevé de son trône par la force, et on va le remettre au pouvoir avec la force qui est la nôtre, nous, le groupe des camionneurs”, a dit à l’AFP Ezequias, un chauffeur routier de 40 ans qui n’a souhaité donner que son prénom.

Il prenait part lundi au blocage de l’autoroute entre Rio de Janeiro et Sao Paulo, la capitale économique, à Barra Mansa (sud-est), sans qu’il soit possible de savoir si le mouvement était spontané ou coordonné.

La période de transition a démarré de manière tendue lorsque des camionneurs et des manifestants pro-Bolsonaro ont bloqué des autoroutes dans au moins 11 Etats du pays lundi, brûlant des pneus et stationnant des véhicules au milieu de la route pour interrompre le trafic. 

Vêtus du jaune et du vert du drapeau brésilien — que le président sortant a fait sien — les manifestants brandissaient des pancartes pro-Bolsonaro et chantaient l’hymne national, avant d’être progressivement dispersés par les autorités dans certaines régions.

Lundi soir, le juge de la Cour suprême Alexander de Moraes a ordonné à la police de disperser immédiatement les barrages. Il agissait en réponse à la demande d’une fédération de transport qui se plaignait que cela nuisait à leurs affaires.

Le chef de la police routière fédérale, Cristiano Vasconcellos, a déclaré à la radio CBN que des barrages avaient été dressés “dans tout le Brésil”. Il a ajouté que les forces de l’ordre en avaient dégagé certains, mais a prévenu que la tâche était difficile: “nous en libérons un, et un autre se forme”, a-t-il dit.

“Relations solides”

“Si le risque de manifestations à court terme est élevé, celui d’une sérieuse crise institutionnelle est très faible”, estimaient toutefois les consultants d’Eurasia Group.

La victoire de M. Lula a été saluée dans le monde entier par une avalanche de messages de dirigeants étrangers, de Washington, Londres, Paris, Pékin, Moscou, New Delhi, Buenos Aires à la Commission européenne. Beaucoup ont exprimé leur impatience de renouer des relations solides et productives avec Brasilia, après quatre années d’isolement diplomatique sous Jair Bolsonaro.

De nombreux dirigeants ont saisi l’occasion de rappeler à Lula à quel point le dossier de la protection de l’Amazonie, où la déforestation a battu des records depuis 2019, était prioritaire pour l’avenir de la planète.   

Principal bailleur de fonds pour la protection de la plus grande forêt tropicale au monde, la Norvège a annoncé le déblocage de ses financements suspendus depuis 2019.

“Le Brésil est prêt à reprendre son leadership dans la lutte contre la crise climatique (…) Le Brésil et la planète ont besoin d’une Amazonie en vie”, avait lancé M. Lula dans son discours de victoire.

Son gouvernement devra redonner des moyens aux organismes de surveillance de la déforestation en Amazonie, très affaiblis par les coupes dans les crédits, les démembrements et l’impunité totale de toutes sortes de trafiquants.

pt-lg/lab/fjb/lpa/roc 

Le président sortant Jair Bolsonaro (au centre) dans le palais de l’Alvorada à Brasilia, le 31 octobre 2022, le lendemain de sa défaite contre Lula.
• EVARISTO SA

Brésil: célébrations après la victoire de Lula
• Carlos FABAL

Des partisans du président brésilien sortant Jair Bolsonaro bloquent un axe routier à Palhoca, dans la région de Florianopolis, le 31 octobre 2022
• Anderson Coelho

Des partisans de Luiz Inacio Lula da Silva fêtent sa victoire au 2e tour de la présidentielle, le 30 octobre 2022 à Sao Paulo
• CARL DE SOUZA

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En conseil des ministres, un projet de loi pour accélérer sur le nucléaire

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Le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres son projet de loi visant à accélérer la construction de réacteurs nucléaires, au moment où commence juste le débat public sur…

Le gouvernement présente mercredi en conseil des ministres son projet de loi visant à accélérer la construction de réacteurs nucléaires, au moment où commence juste le débat public sur la place de l’atome en France.

Alors que le besoin d’électricité va croître pour permettre au pays de s’extraire des énergies fossiles, le président Emmanuel Macron soutient la construction de six réacteurs EPR de nouvelle génération, avec une option pour huit autres, et l’essor des énergies renouvelables, solaire et éolien marin d’abord.

Un projet de loi pour accélérer sur les renouvelables, dont le déploiement accuse un retard criant, doit être examiné à partir de mercredi par le Sénat.

Le même jour, un texte sur le nucléaire arrivera au conseil des ministres, pour être examiné début 2023, d’abord à l’Assemblée nationale, a indiqué le ministère de la Transition énergétique.

“Si nous voulons à la fois avoir une indépendance énergétique mais également tenir nos objectifs climatiques, il faut remplacer les énergies fossiles par des énergies bas carbone. Le nucléaire est aujourd’hui l’énergie le plus bas carbone de toutes les solutions dont nous disposons”, a justifié vendredi la ministre Agnès Pannier-Runacher, à la centrale de Chinon (Indre-et-Loire).

“Gagner du temps”

Installés sur les sites de centrales déjà existantes, les futurs EPR seraient implantés, pour les deux premiers, à Penly (Seine-Maritime) puis Gravelines (Nord). La localisation de la troisième paire de réacteurs n’est pas tranchée, la vallée du Rhône (Bugey ou Tricastin) est envisagée.

Le projet de loi présenté mercredi vise à “gagner du temps”, en simplifiant les procédures administratives: par exemple, les sites seraient dispensés d’autorisation d’urbanisme car le contrôle de conformité serait assuré par les services de l’Etat.

Les projets répondront à “une raison impérative d’intérêt public majeur, leur permettant de bénéficier d’une des conditions d’octroi des dérogations relatives aux espèces protégées”, stipule-t-il.

Et les travaux sur les bâtiments non destinés à recevoir des substances radioactives pourront être réalisés avant clôture de l’enquête publique.

Emmanuel Macron pourrait ainsi en poser la première pierre avant la fin de son mandat en 2027, même si la mise en service de ce premier EPR ne pourrait se faire avant 2035 voire 2037.

Consulté obligatoirement pour avis, le Conseil national de la transition écologique (CNTE), qui regroupe syndicats, patronat, ONG… a “regretté les délais insuffisants” qui lui ont été laissés pour se prononcer sur ce projet de loi.

Le CNTE note en outre que ce texte de loi “ne saurait préjuger des conclusions du débat public”.

Les associations environnementales en particulier avaient réagi avec colère à la réception soudaine de ce projet.

“Le passage en force sous de faux prétextes d’urgence à court terme n’est pas acceptable”, avait dit Allain Bougrain-Dubourg, de la Ligue de protection des oiseaux (LPO), déplorant “une parodie de consultation” et l’absence d’étude d’impact du nucléaire sur “la faune aquatique et les mortalités massives d’oiseaux”.

Débats publics

Ce projet de loi “ne préempte pas les concertations en cours ni les futures lois énergie climat qui décideront” in fine, a assuré le ministère lundi.

“Nous souhaitons avoir une adhésion des populations et des élus”, a dit la ministre à Chinon.

Les parlementaires devront de fait voter à compter du second semestre 2023 la stratégie énergie climat de la France.

D’ici là, les Français pourront s’exprimer.

Un débat public sur la construction des six EPR, obligatoire pour le porteur de projet EDF, a en effet commencé le 27 octobre et durera jusqu’au 27 février.

Dans le même temps, une autre concertation plus large sur l’énergie est organisée par le gouvernement jusqu’au 31 décembre, notamment en ligne (concertation-energie.gouv.fr).

Ces deux processus, dont les synthèses seront livrées aux parlementaires, pourront s’appuyer sur les scénarios à 2050 du gestionnaire du réseau RTE et de l’Ademe. Tous ces scénarios incluent une poussée des énergies renouvelables, avec une part variable de nucléaire (ou pas de nucléaire du tout, ce qui toutefois obligerait à des mesures très volontaristes de sobriété).

La France, qui dépend du nucléaire pour environ 70% de son électricité, avait décidé en 2015 de diversifier ses sources d’approvisionnement en fermant 14 de ses 58 réacteurs (deux ont déjà fermé), avant un revirement annoncé par Emmanuel Macron fin 2021.

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