Violences sexistes: des manifestants par dizaines de milliers contre l’”impunité” des agresseurs

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Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles et notamment réclamer…

Plusieurs dizaines de milliers de personnes ont manifesté samedi dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles et notamment réclamer une “loi cadre” contre l’”impunité” des agresseurs.

Cinq ans après l’émergence du mouvement #MeToo, près de 90 associations, syndicats ou partis de gauche ont appelé à un “raz-de-marée dans la rue pour crier notre colère”.

A Paris, la manifestation partie vers 14H30 de la place de la République et dont les derniers participants arrivaient place de la Nation vers 17H30, a rassemblé 80.000 personnes selon les organisatrices et 18.500 selon la police. “Nous sommes fortes, nous sommes fières et féministes et radicales et en colère”, scandaient des manifestantes, tandis que d’autres criaient “MeToo partout, justice nulle part”.

Sur des pancartes, uniformément violettes, la couleur emblématique du rassemblement, on pouvait lire notamment “mâle dominant, pour qui tu te prends?”, “stop à la culture du viol” ou encore “croire les victimes sauve des vies”.

“Ce qui nous met en colère, c’est l’impunité des agresseurs et le mauvais traitement réservé aux victimes” lorsqu’elles déposent plainte, a expliqué à l’AFP Maëlle Noir, membre de #NousToutes qui coordonne l’organisation des défilés.

“Nous manifestons aujourd’hui pour rendre hommage aux victimes”, a insisté de son côté Sandrine Bouchait, de l’Union nationale des familles de féminicides (UNFF), dont l’association demande pour les proches “un statut de victimes avec un accompagnement psychologique et financier”.

Plus généralement, les associations réclament un budget public de deux milliards d’euros par an, mais aussi une “loi-cadre” qui instaurerait notamment des “brigades et juridictions spécialisées”, une aide financière pour la “mise en sûreté” des femmes victimes, 15.000 places d’hébergement supplémentaires ou le renforcement de l’éducation à la vie sexuelle et affective à l’école.

“que la honte s’inverse”

La ministre chargée de l’égalité hommes/femmes Isabelle Rome a rappelé sur RMC qu’elle était ouverte à la mise en place d’une police et d’une justice spécialisées, sujet sur lequel planche une mission parlementaire. Quant aux moyens financiers, “ils n’ont cessé d’augmenter” pour atteindre “un montant global de 2,4 milliards” d’euros, a-t-elle observé en reconnaissant que ces sommes n’étaient “pas spécifiquement” dédiées à la lutte contre les violences.

L’appel à manifester – en amont du 25 novembre, journée mondiale de lutte contre les violences à l’égard des femmes -, concernait de nombreuses villes de France. 

Le ministère de l’Intérieur a décompté 13.600 personnes dans 39 actions en régions, dont les plus importantes à Rennes (2.500) Lille (1.700) et Toulouse (1.700).

A Metz (280 personnes selon la police), des manifestantes brandissaient des pancartes comme “dans 12 féminicides, c’est Noël” ou “Me croirez-vous quand je serai morte?”.

Pour Illyle Ezemzami, étudiante de 22 ans présente dans le cortège toulousain, “il faut montrer aux victimes qu’elles ne sont pas seules et qu’on les croit”. Pour elle, “il y a eu une libération de la parole mais ce n’est pas gagné, il faut aller plus loin, il faut que la honte s’inverse”.

Frédéric Planquart, 46 ans, qui participait à sa première mobilisation féministe à Marseille, estime que “ce n’est pas que l’affaire des femmes, c’est même peut-être plus celle des hommes”, même si, selon lui, “c’est plus important d’agir dans la vie de tous les jours que de manifester”.

L’exaspération des organisations féministes est alimentée par le nombre élevé de féminicides – déjà 100 depuis le début de l’année d’après un collectif associatif, contre 122 l’an dernier selon les chiffres officiels -, et par la frilosité du monde politique à écarter certains responsables accusés de violences envers les femmes. 

Les partis EELV et LFI “ont signé notre appel à manifester. On va leur demander aujourd’hui de respecter leur signature” et de “retirer de leur groupe parlementaire des hommes mis en cause pour violences”, a déclaré Pauline Baron, de #NousToutes, en citant les cas d’Adrien Quatennens (LFI) et Julien Bayou (EELV).

Entre 2017 et 2021, le nombre de viols ou tentatives de viols enregistrés par le ministère de l’Intérieur a doublé, passant de 16.900 à 34.300. Les victimes ont davantage tendance à dénoncer des faits anciens, explique le ministère qui y voit aussi le signe de la “libération de la parole”. Une expression qui exaspère désormais les associations, car “les femmes ont toujours parlé mais elles ne sont pas écoutées”, pointe Maëlle Noir.

bj-mas-bgy-cha-ab-tll/cel/or

Violences sexistes: départ de la manifestation parisienne
• Sofiane OUANES

Manifestation pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, le 19 novembre 2022 à Paris
• JULIEN DE ROSA

Manifestation pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, le 19 novembre 2022 à Paris
• JULIEN DE ROSA

Manifestation pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles, le 19 novembre 2022 à Paris
• JULIEN DE ROSA

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Climat: discussions nocturnes serrées pour trouver une issue

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Des discussions serrées se prolongeaient tard dans la nuit de samedi à dimanche à la COP27 en Egypte, autour des ambitions de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique…

Des discussions serrées se prolongeaient tard dans la nuit de samedi à dimanche à la COP27 en Egypte, autour des ambitions de réduction des gaz à effet de serre responsables du réchauffement climatique, jugées insuffisantes par de nombreux pays.  

L’espoir avait repris plus tôt samedi avec l’annonce d’un accord sur la question des dégâts climatiques subis par les pays pauvres, un des principaux points de blocage de la conférence annuelle de l’ONU sur le climat, qui devait se finir vendredi mais joue les prolongations.

Après une réunion avec les différentes délégations, aucune séance plénière de clôture n’avait été convoquée vers 01H00 du matin (23H00 GMT samedi). 

Des délégués sortant de la réunion ont indiqué aux journalistes que les désaccords persistaient sur de nombreux points, notamment concernant les ambitions en matière de réduction d’émissions et la mention des énergies fossiles.

Situation compliquée

La ministre de la Transition écologique espagnole Teresa Ribera a évoqué une “situation compliquée”, avec des pays poussant pour une formulation “plus forte” sur la réduction de l’utilisation des énergies fossiles, responsables du réchauffement.

Un conseiller de la délégation de Papouasie Nouvelle-Guinée, Kevin Conrad, a expliqué que les “suspects habituels” tentaient au contraire de bloquer toute référence en ce sens. Dans le passé, l’Arabie Saoudite s’y est notamment opposée.

“Plutôt pas d’accord qu’un mauvais accord”, avait tonné samedi matin le vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans.

Autre dossier brûlant, la question du financement des “pertes et dommages” subis par les pays les plus vulnérables aux impacts du changement climatique, semblait par contre avoir progressé.

Une source européenne avait indiqué plus tôt qu’un “accord a été trouvé” prévoyant notamment la création d’un fonds dédié qui “dirige” les moyens financiers vers les pays les plus vulnérables. L’accord prévoit que ce soit un instrument, dont le fonctionnement reste à déterminer, parmi une “mosaïque” d’autres financements.

Sherry Rehman, ministre pakistanaise du Changement climatique et présidente en exercice du puissant groupe de négociation G77+Chine, qui compte plus de 130 pays, s’est dite “optimiste quant à un résultat positif” sur cette question. 

Un accord devrait encore être formalisé lors de la plénière finale.

Le président français Emmanuel Macron, depuis la Tunisie où il participe à un sommet de la Francophonie, a estimé qu’un fonds seul serait “largement insuffisant”. Il a réitéré son soutien à une initiative de la Première ministre de la Barbade Mia Motley, qui appelle à une refonte du système financier international pour mieux l’orienter vers l’aide climatique.

La conférence, qui aurait dû se terminer vendredi soir, a longtemps bloqué sur cette question des “pertes et dommages”.

Ce sujet est plus que jamais au centre des débats après les inondations historiques qui ont récemment frappé le Pakistan et le Nigeria.

Subventions inefficaces

En début d’après-midi, la présidence égyptienne, critiquée pour la lenteur des négociations, a fini par publier un nouveau projet de texte final très attendu.

Le document réaffirme les objectifs de l’accord de Paris de 2015, qui vise à limiter le réchauffement de la planète “nettement en-dessous de 2°C” par rapport à l’ère pré-industrielle, et si possible à 1,5°C.

Le texte souligne que les impacts du dérèglement climatique seraient bien moins importants à 1,5°C et affiche l’importance de poursuivre les “efforts” pour respecter cette limite.

Côté énergie, le projet de résolution finale évoque la fin des “subventions inefficaces aux carburants fossile”, mais pas la sortie du pétrole ou du gaz.

L’objectif d’une sortie progressive du charbon – acquis de Glasgow l’an dernier – est réaffirmé, mais avec désormais un appel à accélérer le développement des renouvelables au cours de cette décennie.

“Le volet atténuation n’est pas au bon niveau d’ambition, notamment sur l’utilisation des énergies fossiles”, a mis en garde la ministre française de la Transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher.

“Nous devons émerger de la COP27 avec un ensemble de décisions qui garde en vie (l’objectif de) 1,5°C et protège les plus vulnérables”, a demandé l’émissaire pour le climat des îles Marshall, Tina Stege. 

Les engagements actuels des différents pays sont loin de permettre de tenir l’objectif de 1,5°C. 

Selon les analyses de l’ONU, ils permettent au mieux de limiter le réchauffement à 2,4°C d’ici la fin du siècle, menant l’humanité vers le risque que des points de bascule irréversibles soient atteints et provoquent un emballement incontrôlable du dérèglement climatique.

bur-uh-jmi-so/uh/cn 

Vue de la Terre distribuée par la Nasa
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Does GoB want to drill offshore?

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Oceana Belize has launched a petition drive to compel the government to conduct a referendum on any decision relating to offshore oil-exploration activity, including seismic testing! 

By Marco Lopez

BELIZE CITY, Thurs. Nov. 17, 2022

Oceana Belize has confirmed that the government has the intention to engage in seismic testing. This is according to Vice President of Oceana Belize, Janelle Chanona, who made the announcement today at a press conference, where she also stated that the organization will be conducting a petition drive geared toward getting signatures to compel the government to carry out a referendum before making any decision relating to offshore oil-exploration without the people’s consent.

“As we have maintained throughout our work in Belize, the only reason to conduct seismic testing is to proceed to offshore oil exploration. We are therefore announcing today that we are launching a signature-collecting drive,” Chanona said.

Petitions will be distributed to registered voters nationwide. They will be asked to indicate their support for efforts to ensure that a  “referendum mechanism be enshrined into law that says before anything happens in so far as exploration or exploitation or anything offshore oil-related that there should be a referendum and that those results should guide what happens next.” Chanona explained.

Oceana was granted a meeting with Prime Minister John Briceno on September 9, said Chanona, and she noted that they went there to have talks focused on strengthening the existing offshore oil moratorium. Instead, she said, the PM informed her that they had the intention to conduct seismic testing.

“It was during that conversation that he told us that he would like to proceed with seismic and at our urging that that be put to the Belizean people before any seismic work was done, I said we had an agreement to disagree at that point at the timing of when that conversation with the public would be held,” Chanona revealed.

On October 31, the Ministry of the Blue Economy launched Belize’s first Blue Economy Development, Policy and Strategy (BEDPS) and the first Belize Maritime Economy Plan (MEP) in San Pedro. Chanona pointed out that during that launch ceremony it was “confirmed publicly that under emerging sectors Belize would be looking to conduct research and other related activity into deep and ultra-deep oil and gas and sea bed mining.”   Such a decision, Chanona noted, was made despite a February 2012  initiative dubbed “The People’s Referendum”, in which over 30,000  Belizeans participated — with more than 96% voting against offshore oil activity.  

That referendum was not official. This time around, Oceana will be collecting signatures to ensure that any decision related to offshore oil exploration takes place only after a referendum has been conducted.  She stated that her reason for coming forward is to ensure that all Belizean citizens are informed of the plans related to the marine ecosystem. 

“I will tell you that I am relieved to be here sharing this information finally, not just because I believe in transparency, but because it has been a weight on me, to know that this is what is being thought about and being planned and not being able to come to the Belizean people until now, and I think it is so important that all of us are aware at the same time, and I think that is really what underscores all of this. This should not catch us all by surprise.” Chanona said.

Those who thought the signing of the Blue Bond would mean the end of any prospect of offshore drilling were probably also shocked by Chanona’s revelation that the government, in negotiating the Blue Bond agreement, viewed a permanent moratorium on offshore exploration as a deal breaker, and it was thus removed from the agreement. 

“We can’t fight climate change and then turn around with the other hand or in the other breath and say, ‘but we want to contribute by engaging in offshore oil development’. The fact of the matter is that since becoming aware of the government’s plans or preferences, I’ve been told that as a part of the Blue Bond negotiations that it was put forward in the Conservation List, the moratorium is made into a permanent ban, and that that was a deal breaker for the government,” Chanona said.  

The question being put to Belizeans is as follows: 

“Do you support a legislative ban by way of an amendment to the Belize Constitution, Chapter 4 of the Laws of Belize, which will prohibit offshore petroleum and natural gas exploration (including but not limited to seismic testing, seismic surveys, multibeam surveys), development, drilling, extraction, production, storage and disposal within the internal waters, territorial sea and the exclusive economic zone of Belize (“petroleum operations”), unless a referendum is held in accordance with the Referendum Act, Chapter 10 of the Laws of Belize which approves such petroleum operations?“

The petition drive officially began yesterday. Belizean citizens interested in signing can contact Oceana via its social media platforms or at phone number 610 -0952. 

A press release issued by the government this evening states the following:

“Having regard to the press conference held by Oceana today, November 17, 2022, the Government of Belize hereby clarifies that it has not entered into any agreements for seismic studies nor for oil exploration in offshore areas. The Government of Belize has made unprecedented progress in positioning its natural capital in its overall vision for the economic recovery and growth of our country. Consistent with Plan Belize, and its mandate to ensure the responsible use of its natural capital to realize its economic, social and environmental goals, the government will continue to approach its natural capital resources in a responsible and wise manner. 

“In the meeting held on September 9, 2022, the Prime Minister, among other matters, did discuss the issue of seismic surveys and the existing moratorium with Oceana.  In pursuance of his commitment to environmental and social principles, the Prime Minister reiterated the need to understand the extent of Belize’s offshore non-renewable economic resources in order to have an informed strategy on their potential for leveraging, given the national direction towards decarbonization and nature-based economy.  Furthermore, the government’s commitment to allow the determination of such an important policy to be people-centered was restated by the Prime Minister.

“The statements by Oceana at the press conference today are regrettable especially given its accessibility to this administration’s offices at the highest level for open and transparent discourse to have a clear and unified approach to this issue and all matters of mutual and national interest.”

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La Turquie règle ses comptes et frappe les régions kurdes de Syrie et d’Irak

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La Turquie a lancé dimanche une opération aérienne dans le nord de l’Irak et de la Syrie visant dans la nuit plusieurs régions sous contrôle des forces kurdes syriennes et du PKK, accusées par Ankara du récent attentat qui a…

La Turquie a lancé dimanche une opération aérienne dans le nord de l’Irak et de la Syrie visant dans la nuit plusieurs régions sous contrôle des forces kurdes syriennes et du PKK, accusées par Ankara du récent attentat qui a fait six morts et 81 blessés à Istanbul.

Immédiatement désignés, le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK)  et les Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par Washington, avaient rejeté ces accusations et nié toute implication dans cet attentat.

L’opération, baptisée “Griffe Epée”, vise à “éliminer les attaques terroristes du nord de l’Irak et de la Syrie, assurer la sécurité des frontières et d’éliminer le terrorisme à sa source”, a affirmé le ministère turc de la Défense, dans un communiqué.

“L’heure des comptes a sonné! Les salauds devront rendre des comptes pour leurs attaques perfides”, avait-il lancé dans la nuit sur Twitter.

Près de 25 frappes aériennes ont été effectuées par l’armée turque dans les provinces syriennes de Raqa et Hassaké (nord-est) et d’Alep (nord), faisant au moins neuf morts dans les rangs des forces kurdes et six morts dans ceux du régime syrien, et en blessant 31 autres selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée à Londres et qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie.

Les frappes ont visé principalement la ville de Kobané (nord) et ses environs, près de la frontière turque, notamment des silos à grains près d’Al-Malikiyah (nord-est) et une centrale électrique au sud de cette province, située dans des zones sous le contrôle des Forces démocratiques syriennes (FDS, coalition armée dominée par les Kurdes).

Les frappes turques ont complètement détruit la quatrième centrale électrique de Taql Bakl, près d’Al-Malikiyah dans le sud de la province de Hassaké, a rapporté un photographe de l’AFP, qui a vu des cadavres dimanche matin près d’une voiture sur place, et de grands trous dans le sol.

Des proches de blessés se sont rassemblés devant l’hôpital de la ville où les blessés des violents raids contre la région ont été transférés à l’aube, en scandant des chansons kurdes tristes sur la perte des enfants.

Selon Souleiman Abou Hawkar, habitant de la région, l’aviation turque a bombardé à plusieurs reprises la centrale. “Nous nous employions à sauver les blessés et récupérer les corps lorsque l’avion a de nouveau bombardé, alors nous avons fui”.

Les bombardements ont également ciblé des positions où les forces du régime de Damas sont déployées à Raqa, Hassaké et Alep, selon l’OSDH.

“Kobané, la ville qui a défait l’Etat islamique, est la cible de bombardements par l’aviation de l’occupation turque”, a annoncé Farhad Shami, un porte-parole des FDS, qui avait démenti tout lien avec l’attentat qui a rapporté que deux membres des FDS ont été tués à Al-Malikiyah, et quatre soldats prorégime dans le nord d’Alep.

Le commandant en chef des FDS, Mazloum Abdi, dénoncé des bombardements “agressifs et barbares”.

“Le bombardement turc de nos zones menace la région entière. Ce bombardement ne sert aucun parti. Nous faisons tout pour éviter une catastrophe majeure. Si la guerre éclate, tout le monde sera affecté”, a-t-il tweeté.

“Pas de victimes” en Irak

En revanche, les frappes turques n’ont “pas fait de victimes” dans le nord de l’Irak, a affirmé un responsable du gouvernement régional du Kurdistan d’Irak à l’AFP.

“Les Turcs ont visé au moins huit zones où se trouvent des bases du PKK sans faire de victime civile” a assuré ce responsable, citant les régions montagneuses de “Shingal, Rawanduz, Bradost, Qandil, Asos, Soran, Rania et Qaladzi”, situées entre Erbil, la capitale du Kurdistan autonome irakien et la frontière iranienne.

Selon un porte-parole du PKK “ces opérations ne sont pas nouvelles, elles durent sans discontinuer depuis sept mois”, a-t-il affirmé en assurant que “l’armée turque a effectué 3.694 bombardements sur le sol du Kurdistan d’Irak” pendant cette période.

Au lendemain de l’attentat commis dans une rue très commerçante et fréquentée d’Istabul, les autorités turques ont accusé une jeune femme, présentée comme de nationalité syrienne, d’avoir posé la bombe.

Selon Le ministre turc de l’Intérieur Suleyman Soylu, “l’ordre de l’attentat a été donné de Kobané”, ville contrôlée par les forces kurdes.

Le département d’Etat américain avait dit vendredi craindre “une éventuelle action militaire de la Turquie”, en déconseillant à ses ressortissants de se rendre dans le nord de la Syrie et de l’Irak.

En guerre depuis 2011, la Syrie est orcelée à cause de l’intervention de multiples groupes et puissances étrangères dans le conflit.

La Turquie, dont les soldats sont présents dans des zones du nord de la Syrie, menace depuis mai de lancer une offensive d’envergure contre les FDS, qu’elle considère comme “terroristes”.

Ankara dit vouloir créer une “zone de sécurité” de 30 kilomètres de largeur à sa frontière sud. 

Entre 2016 et 2019, l’armée turque a lancé trois opérations d’envergure dans le nord de la Syrie visant les milices et organisations kurdes.

ach-lar-jos/pz

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La Turquie règle ses comptes et frappe les régions kurdes de Syrie et d’Irak

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La Turquie a lancé dimanche une opération aérienne dans le nord de l’Irak et de la Syrie visant dans la nuit plusieurs régions sous contrôle des forces kurdes syriennes et du PKK, accusées par Ankara du récent attentat qui a…

La Turquie a lancé dimanche une opération aérienne dans le nord de l’Irak et de la Syrie visant dans la nuit plusieurs régions sous contrôle des forces kurdes syriennes et du PKK, accusées par Ankara du récent attentat qui a fait six morts et 81 blessés à Istanbul.

Immédiatement désignés, le Parti des Travailleurs du Kurdistan (PKK)  et les Forces démocratiques syriennes (FDS), soutenues par Washington, avaient rejeté ces accusations et nié toute implication dans cet attentat.

L’opération, baptisée “Griffe Epée”, vise à “éliminer les attaques terroristes du nord de l’Irak et de la Syrie, assurer la sécurité des frontières et d’éliminer le terrorisme à sa source”, a affirmé le ministère turc de la Défense, dans un communiqué.

“L’heure des comptes a sonné! Les salauds devront rendre des comptes pour leurs attaques perfides”, avait-il lancé dans la nuit sur Twitter.

Près de 25 frappes aériennes ont été effectuées par l’armée turque dans les provinces syriennes de Raqa et Hassaké (nord-est) et d’Alep (nord), faisant au moins neuf morts dans les rangs des forces kurdes et six morts dans ceux du régime syrien, et en blessant 31 autres selon l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH), une ONG basée à Londres et qui dispose d’un vaste réseau de sources en Syrie.

Les frappes ont visé principalement la ville de Kobané (nord) et ses environs, près de la frontière turque, notamment des silos à grains près d’Al-Malikiyah (nord-est) et une centrale électrique au sud de cette province, située dans des zones sous le contrôle des Forces démocratiques syriennes (FDS, coalition armée dominée par les Kurdes).

Les frappes turques ont complètement détruit la quatrième centrale électrique de Taql Bakl, près d’Al-Malikiyah dans le sud de la province de Hassaké, a rapporté un photographe de l’AFP, qui a vu des cadavres dimanche matin près d’une voiture sur place, et de grands trous dans le sol.

Des proches de blessés se sont rassemblés devant l’hôpital de la ville où les blessés des violents raids contre la région ont été transférés à l’aube, en scandant des chansons kurdes tristes sur la perte des enfants.

Selon Souleiman Abou Hawkar, habitant de la région, l’aviation turque a bombardé à plusieurs reprises la centrale. “Nous nous employions à sauver les blessés et récupérer les corps lorsque l’avion a de nouveau bombardé, alors nous avons fui”.

Les bombardements ont également ciblé des positions où les forces du régime de Damas sont déployées à Raqa, Hassaké et Alep, selon l’OSDH.

“Kobané, la ville qui a défait l’Etat islamique, est la cible de bombardements par l’aviation de l’occupation turque”, a annoncé Farhad Shami, un porte-parole des FDS, qui avait démenti tout lien avec l’attentat qui a rapporté que deux membres des FDS ont été tués à Al-Malikiyah, et quatre soldats prorégime dans le nord d’Alep.

Le commandant en chef des FDS, Mazloum Abdi, dénoncé des bombardements “agressifs et barbares”.

“Le bombardement turc de nos zones menace la région entière. Ce bombardement ne sert aucun parti. Nous faisons tout pour éviter une catastrophe majeure. Si la guerre éclate, tout le monde sera affecté”, a-t-il tweeté.

“Pas de victimes” en Irak

En revanche, les frappes turques n’ont “pas fait de victimes” dans le nord de l’Irak, a affirmé un responsable du gouvernement régional du Kurdistan d’Irak à l’AFP.

“Les Turcs ont visé au moins huit zones où se trouvent des bases du PKK sans faire de victime civile” a assuré ce responsable, citant les régions montagneuses de “Shingal, Rawanduz, Bradost, Qandil, Asos, Soran, Rania et Qaladzi”, situées entre Erbil, la capitale du Kurdistan autonome irakien et la frontière iranienne.

Selon un porte-parole du PKK “ces opérations ne sont pas nouvelles, elles durent sans discontinuer depuis sept mois”, a-t-il affirmé en assurant que “l’armée turque a effectué 3.694 bombardements sur le sol du Kurdistan d’Irak” pendant cette période.

Au lendemain de l’attentat commis dans une rue très commerçante et fréquentée d’Istabul, les autorités turques ont accusé une jeune femme, présentée comme de nationalité syrienne, d’avoir posé la bombe.

Selon Le ministre turc de l’Intérieur Suleyman Soylu, “l’ordre de l’attentat a été donné de Kobané”, ville contrôlée par les forces kurdes.

Le département d’Etat américain avait dit vendredi craindre “une éventuelle action militaire de la Turquie”, en déconseillant à ses ressortissants de se rendre dans le nord de la Syrie et de l’Irak.

En guerre depuis 2011, la Syrie est orcelée à cause de l’intervention de multiples groupes et puissances étrangères dans le conflit.

La Turquie, dont les soldats sont présents dans des zones du nord de la Syrie, menace depuis mai de lancer une offensive d’envergure contre les FDS, qu’elle considère comme “terroristes”.

Ankara dit vouloir créer une “zone de sécurité” de 30 kilomètres de largeur à sa frontière sud. 

Entre 2016 et 2019, l’armée turque a lancé trois opérations d’envergure dans le nord de la Syrie visant les milices et organisations kurdes.

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Kick-off activiteiten 40 jarige IMEAO-1 met planten van bomen

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Tekst en beeld Sharon Singh PARAMARIBO — Het Instituut voor Middelbaar Economisch en Administratief Onderwijs(IMEAO-1) viert dit jaar haar 40

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Mondial: Benzema forfait, les Bleus groggy

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L’étoile des champions du monde français a perdu de son éclat samedi avec le forfait de Karim Benzema, Ballon d’Or terrassé par une nouvelle blessure, un coup de massue supplémentaire pour les Bleus…

L’étoile des champions du monde français a perdu de son éclat samedi avec le forfait de Karim Benzema, Ballon d’Or terrassé par une nouvelle blessure, un coup de massue supplémentaire pour les Bleus à trois jours d’affronter l’Australie au Mondial.

Le feuilleton des blessés continue de bousculer l’équipe de France et le dernier épisode en date prend la forme d’une violente secousse: l’attaquant du Real Madrid est à terre, comme Paul Pogba et N’Golo Kanté, Mike Maignan, Presnel Kimpembe et Christopher Nkunku.

Convalescent depuis un mois, Benzema a espéré voir le bout du tunnel, samedi, en participant à son premier entraînement collectif avec les Bleus. 

Mais il a dû l’écourter, victime d’une “lésion” musculaire à la cuisse gauche, “qui nécessitera un délai de convalescence de trois semaines”, a expliqué la Fédération dans un communiqué.

“De ma vie je n’ai jamais abandonné mais ce soir, il faut que je pense à l’équipe comme je l’ai toujours fait”, a réagi le buteur sur Instagram. “La raison me dit de laisser ma place à quelqu’un qui pourra aider notre groupe à faire une belle Coupe du monde”.

A 34 ans, l’avant-centre ne disputera probablement jamais une deuxième Coupe du monde, après celle de 2014 qu’il avait terminée dans la peau de meilleur buteur français.

Pour défendre son titre, la bande de Didier Deschamps va devoir faire sans l’ancien Lyonnais, revenu en grâce après le long bannissement (2015-2021) consécutif à “l’affaire de la sextape”.

Plus que jamais, la star du Paris SG Kylian Mbappé se retrouve au centre des attentes.

Remplacement possible

Le réservoir d’attaque reste néanmoins bien rempli pour les Bleus, avec Antoine Griezmann, Mbappé, Ousmane Dembélé, Kingsley Coman, Marcus Thuram, Randal Kolo Muani… et Olivier Giroud, éternel revenant et premier postulant pour remplacer Benzema.

“C’est une période un peu faste pour moi, je me sens bien physiquement, dans mon jeu, dans mon club et aussi en équipe de France”, a rapporté jeudi l’avant-centre titulaire en 2018, barré ces derniers mois par le retour de “KB9” mais encore là, à 36 ans.

Les règlements de la Fifa permettent à Deschamps d’appeler un nouveau joueur jusqu’à lundi, veille de France-Australie, pour procéder à un remplacement de dernière minute en cas de blessure. Mais il peut également décider de conserver un groupe de 25 joueurs.

Une brume assez épaisse entourait l’état de santé de Benzema depuis la mi-octobre. Il se plaignait de gênes persistantes à la cuisse droite depuis plusieurs semaines, sans que la nature de ses pépins physiques ne soit clairement établie. 

Il a disputé son dernier match en intégralité le 19 octobre, un Elche-Real remporté 3-0 par les Madrilènes avec un but du Français, sacré Ballon d’Or deux jours plus tôt à Paris. Et il n’a pu jouer, depuis, qu’une petite trentaine de minutes le 2 novembre en Ligue des champions.

Varane de retour

L’étirement de sa période de convalescence a commencé à poser question à l’aube du Mondial, notamment sur sa capacité à répéter les efforts à haute intensité dans la chaleur du Qatar.

S’il est préférable “d’enchaîner les matches” avant un grand tournoi, “Karim est un cas à part, c’est moins handicapant que pour un milieu de terrain”, a cependant argumenté Adrien Rabiot, vendredi. “C’est un joueur de très haut niveau qui sait se gérer” et, s’il n’est pas rétabli au premier match, “ce sera au deuxième”, avait lancé le milieu de la Juventus.

Benzema ne sera finalement pas avec les Bleus mardi, contre l’Australie, ni les 26 et 30 novembre contre le Danemark puis la Tunisie.

De l’autre côté du terrain, en défense, il subsiste encore un gros point d’interrogation derrière le nom de Raphaël Varane, patron de la jeune arrière-garde du haut de ses 29 ans et 87 sélections.

Le milieu de Manchester United s’est entraîné pour la première fois avec l’ensemble du groupe, samedi en fin de journée au stade Jassim-bin-Hamad de Doha. Le protocole de rétablissement semble être respecté sans accroc pour l’ex-Madrilène, fauché le 22 octobre par une inquiétante blessure à la cuisse droite.

Une rare bonne nouvelle dans un océan de tourments.

ama-jta/lh

le Français Karim Benzema (G), derrière Kylian Mbappé lors d’une séance d’entraînement à Doha, le 19 novembre 2022
• FRANCK FIFE

le Français Olivier Giroud lors d’un entraînement le 17 novembre à Doha
• FRANCK FIFE

Karim Benzema et Raphael Varane (d) lors d’une ssesion d’entraînement à Doha le 19 novembre 2022
• FRANCK FIFE

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La COP27 se termine sur un bilan contrasté

Black Immigrant Daily News

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Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé du calendrier prévu, la COP27 s’est terminée dimanche à l’aube après avoir adopté un texte très disputé sur l’aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique mais sans nouvelles ambitions…

Après des négociations longues et difficiles qui ont largement débordé du calendrier prévu, la COP27 s’est terminée dimanche à l’aube après avoir adopté un texte très disputé sur l’aide aux pays pauvres affectés par le changement climatique mais sans nouvelles ambitions pour la baisse des gaz à effet de serre.

Après plus de deux semaines, la grande conférence sur le climat de l’ONU a pris fin avec plus d’un jour de retard sur le calendrier prévu, ce qui en fait l’une des COP les plus longues de l’histoire.

“Ca n’a pas été facile” mais “nous avons finalement rempli notre mission”, a souligné le président égyptien de la conférence Sameh Choukri.

Une déclaration finale fruit de nombreux compromis a été finalement adoptée, appelant à une réduction “rapide” des émissions mais sans ambition nouvelle par rapport à la dernière COP de Glasgow en 2021.

“Nous devons drastiquement réduire les émissions maintenant –et c’est une question à laquelle cette COP n’a pas répondu”, a regretté le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, à l’issue de la conférence climatique.

Dans la foulée, l’Union européenne s’est dite “déçue” par l’accord sur les émissions.

Cette édition a en revanche été marquée par l’adoption d’une résolution emblématique, qualifiée d’historique par ses promoteurs, sur la compensation des dégâts causés par le changement climatique déjà subis par les pays les plus pauvres.

Ce dossier des “pertes et dommages” climatiques des pays pauvres avait failli faire dérailler la conférence, avant de faire l’objet d’un texte de compromis de dernière minute qui laisse de nombreuses questions en suspens, mais acte le principe de la création d’un fonds financier spécifique.

“Les pertes et dommages dans les pays vulnérables ne peuvent désormais plus être ignorés même si certains pays développés avaient décidé d’ignorer nos souffrances”, a salué la jeune militante ougandaise Vanessa Nakate.

Recul critiqué

Le texte sur les réductions d’émissions a été également très disputé, de nombreux pays dénonçant ce qu’ils considéraient comme un recul sur les ambitions définies lors de précédentes conférences.

Notamment sur l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris, contenir le réchauffement à 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, qui est toutefois réaffirmé dans la décision finale.

Les engagements actuels des pays signataires de l’accord ne permettent pas de tenir cet objectif, ni même celui de contenir l’élévation de la température à 2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, quand les humains ont commencé à utiliser en masse les énergies fossiles responsables du réchauffement climatique.

Ces engagements, en admettant qu’ils soient intégralement tenus, mettraient au mieux le monde sur la trajectoire de +2,4°C à la fin du siècle et, au rythme actuel des émissions, sur celle d’un catastrophique +2,8°C.

Or, à près de 1,2°C de réchauffement actuellement, les impacts dramatiques du changement climatique se multiplient déjà.

L’année 2022 en a été l’illustration, avec son cortège de sécheresses, méga-feux et inondations dévastatrices, impactant récoltes et infrastructures.

Les coûts de ces événements extrêmes s’envolent également: la Banque mondiale a ainsi estimé à 30 milliards de dollars le coût des inondations qui ont laissé un tiers du territoire pakistanais sous l’eau pendant des semaines et fait des millions de sinistrés.

Les pays pauvres, souvent parmi les plus exposés mais qui sont généralement très peu responsables du réchauffement, réclamaient depuis des années un financement des “pertes et dommages” qu’ils subissent.

“Suspects habituels”

La bataille ne s’achèvera pas avec l’adoption de la résolution de Charm el-Cheikh puisque celle-ci reste volontairement vague sur certains points controversés.

Les détails opérationnels doivent être définis pour adoption à la prochaine COP, fin 2023 aux Emirats arabes unis, promettant de nouveaux affrontements. Notamment sur la question des contributeurs, les pays développés insistant pour que la Chine en fasse partie.

Autre sujet qui a secoué la COP: les ambitions de réductions d’émissions.

De nombreux pays ont estimé que les textes proposés par la présidence égyptienne constituaient un retour en arrière sur les engagements d’en relever régulièrement le niveau pris à Glasgow.

“Cette COP a affaibli les obligations pour les pays de présenter des engagements nouveaux et plus ambitieux”, a regretté Laurence Tubiana, architecte des accords de Paris de 2015.

Sans compter la question de la réduction de l’usage des énergies fossiles, à l’origine du réchauffement mais à peine mentionnées dans la plupart des textes sur le climat.

Le charbon avait été cité en 2021 après de rudes échanges mais à Charm el-Cheikh les “suspects habituels”, selon l’expression d’un délégué, s’y sont une nouvelle fois opposés pour le pétrole et le gaz. Arabie saoudite, Iran ou Russie sont les noms de pays les plus souvent avancés.

Le développement des renouvelables fait cependant l’objet d’une mention inédite aux côtés des énergies à “basses émissions”, expression généralement appliquée au nucléaire.

so-jmi/uh/elm

Les marais asséchés de Chibayich en Irak, le 24 juillet 2022
• Asaad NIAZI

COP27 : le président Shoukry appelle à l’action et ouvre la réunion plénière de clôture

NewsAmericasNow.com

D Head Cornerstone wins United Racehorse Trainers’ Association trophy Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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Loop Sports

6 hrs ago

D Head Cornerstone with jockey Reyan Lewis wins the United Racehorse Trainers’ Association trophy at nine furlongs and 25 yards at Caymanas Park on Saturday, November 19, 2022. (PHOTO: caymanasracing).

NEWYou can now listen to Loop News articles!

D HEAD CORNERSTONE on Saturday franked his fourth-place finish in this year’s St Leger and Jamaica Derby with a workmanlike victory in Saturday’s United Racehorse Trainers’ Association feature event at nine furlongs and 25 yards at Caymanas Park.

Ridden by Reyan Lewis for Gary Subratie, DHEAD CORNERSTONE gained quickly on longtime leader, THE CITADEL, attacking off the home turn to record his second consecutive win.

D HEAD CORNERSTONE, who won impressively at a mile on November 5, took over from THE CITADEL a furlong out to win going away in 1:57.2.

Lewis survived a stewards’ enquiry and jockey’s objection lodged by Jerome Innis after 6-5 favourite D HEADCORNERSTONE drifted inwards on THE CITADEL when making his bid for the lead.

Dane Dawkins rode a three-timer on the 10-race card to move six clear of defending champion jockey Anthony Thomas.

Dawkins won back-to-back races, the second and third events, astride CHARMIN BEAUTY and leading trainer, Jason DaCosta’s two-year-old, SHE’S MYHEDGEFUND, before making all with SENSATIONAL SATIN in the eighth.

Youville Pinnock rode two upsetters, TIGRAY EXPRESS at 15-1 in the fourth and TURNONTHELIGHT at 13-1 in the 10th.

Trainer Patrick Lynch saddled two winners, TIGRAY EXPRESS and CHARMIN BEAUTY.

Racing continues on Sunday with a nine-race card featuring a $5 million Reggae 6 carryover starting at the opening event.

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Rules and guidelines for people attending JLP conference on Sunday Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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The police are advising persons who will be attending the annual conference of the Jamaica Labour Party at the National Arena on Sunday, November 20 that no firearms, drugs, knives, ice picks, machetes, umbrellas (long ones), glass bottles or any other item that can be used to cause serious harm or injury, will be allowed inside the venue.

Licensed firearm holders are advised to make the necessary arrangements to ensure the safeguarding of their weapons, the police said in a release on Saturday.

All persons entering the venue will be subjected to a search and no vending will be allowed outside of the designated areas, the release stated.

Warning to motorists

Motorists are reminded that all provisions of the Road Traffic Act will be strictly enforced. In particular, drivers are warned not to allow passengers to hang from the doors of motor buses, sit on top of motor vehicles, or have any part of the body protruding from the motor vehicles. Driversare to ensure that they obey the speed limit and desist from dangerous and careless driving on the nation’s roads.

The full force of the law will be brought to bear on anyone found in contravention of any of the provisions of the law.

TRAFFIC CHANGESTraffic changes will be implemented beginning at 8:00 am on Sunday, November 20 to facilitate the smooth staging of the event.

These are as follows:

Before the event: At 8:00 am, Arthur Wint Drive will be one way towards the National Arena (easterly). Motorists travelling from this direction will turn left onto Roosevelt, right onto Stanton Terrace, right on Mountain View Ave, right onto Arthur Wint drive and into the Car Park.

Police checkpoints will be set up at the intersection of Roosevelt Avenue and Stanton Terrace as well as at the intersection of Mountain View Avenue and Arthur Wint Drive.

Only vehicles with VIP passes will be allowed to pass these checkpoints and head towards the National Arena.

There will be no throughway along Arthur Wint Drive between gates E4 to the Bob Marley Statue at the intersection of Roosevelt Avenue. The area will be available only to pedestrian traffic.

Residents travelling from Mountain View Avenue to the Lofts Apartments will be allowedto turn onto Arthur Wint and access the apartment.

Residents from Stadium Gardens will be able to leave and enter the community by using Arthur Wint as a one-way easterly only.

ROAD CLOSURES

Latham Avenue at the intersection with Old Hope Road will be closed to general vehicular traffic; only residents will be allowed access.

Latham Avenue will be closed to vehicular traffic at the junction with Roosevelt Avenue; only residents will be allowed access.

Stanton Terrace/Roosevelt Avenue

Except for the party president and residents of the respective community, all other vehicles travelling from Old Hope Road including those transporting delegates and supporters will be diverted along Stanton Terrace via Mountain View Avenue to access the KSAC Car Park.

PARKINGo VIPs will enter through gates E1 and park at Arena North. Others will park in the general Parking Area which will be accessed via Gates E4? and E5and the KSAC Car Park across from the Stadium Car Park.

No parking is allowed along Arthur Wint Drive, Roosevelt Avenue, Stanton Terrace and Mountain View Avenue.

Vehicles found in contravention will be towed. Motorists will be asked to position their vehicles facing the directions where the traffic will flow after the event to assist with traffic flow after the event.

DURING THE EVENTThe situation will remain. However, the traffic Management team will use discretion to deal with situations as they arise.

AFTER THE EVENT

Arthur Wint Drive1. From gate E4 towards Tom Redcam Ave, Arthur Wint Drive will be one-way westerly. Roosevelt Ave will operate as normal.2. From gate E5 towards Mountain View Ave, Arthur Wint Drive will be one-way easterly.3. Motorists travelling on North and Central Avenue towards Arthur Wint Drive will only beallowed to turn right onto Arthur Wint Drive. Emergency vehicles will use these roads toaccess the Bustamante Children’s Hospital.

Latham AvenueLatham Ave will be one way north-westerly towards Old Hope Road.

Stadium GardensFor about 45 minutes after the event, residents of Stadium Gardens will be able to exit the community by turning left onto Arthur Wint drive but will not be able to enter or re-enter the community.

All attendees, both motorists and pedestrians are being asked to obey all directions given by the police and other security and safety personnel, who will be deployed in adequate numbers to ensure the safety of all.

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