Guyanese fisherman arrested for murder of DR woman in Suriname

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Dead: Altagracia Del Rosario Mejia

Law enforcement officials in Suriname have arrested a 41-year-old Guyanese fisherman at Commissioner Thurkowweg near Belwaarde, and he is being held in connection with the murder of a Dominican Republic woman.

The lifeless body of the woman, 40-year-old Altagracia Del Rosario Mejia, was found at about 10:30h on Thursday at a house on the Verlengde Hoogestraat in Suriname. It has been reported that she had lived in the house with other Dominican women, and that the rooms of the house are rented out.

Mejia’s naked and gagged body was found with multiple injuries, including cuts and stab wounds to the face, neck, abdomen, and shoulders. Her room had also been ransacked.

The woman’s body being removed from the house (Photo: Waterkant)

Neighbours told Surinamese Police they had heard screaming at around 04:00h on Thursday, and when they had taken a closer look, they had seen nothing worth mentioning, but they note it was dark in the house. However, the woman’s motionless and bloodied body was found in her room later in the day.

Following the ordeal, the suspect, who was plying his trade in Surinamese waters, was arrested after video footage showed he was the last person to have visited the woman’s apartment before she was found dead.

Surinamese authorities have since stated that CCTV cameras close to the woman’s apartment have revealed that the fisherman would frequently visit the woman’s apartment.

He was tracked down and arrested by Police as he was about to leave their shores with a fishing boat. He was then taken to Paramaribo, and will be transferred to the Capital Offenses Department.

While the motive for the woman’s killing is still unknown at this time, her lifeless body was seized for autopsy, and further investigations have been launched.

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Veel lof en dankbaarheid bij boekpresentatie van oprichter Godo

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‘Ik ben een echte Godo meid’ door Jason Pinas PARAMARIBO — Blijdschap, lovende woorden en dankbaarheid voerden de boventoon bij

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Mondial: le patron de la Fifa se sent “migrant” et fustige les “leçons de morale”

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Le président de la Fifa Gianni Infantino a affirmé samedi se sentir “arabe”, “gay”, “travailleur migrant”, en critiquant vivement, à la veille du coup d’envoi du Mondial-2022, les “leçons de morale” des détracteurs du…

Le président de la Fifa Gianni Infantino a affirmé samedi se sentir “arabe”, “gay”, “travailleur migrant”, en critiquant vivement, à la veille du coup d’envoi du Mondial-2022, les “leçons de morale” des détracteurs du Qatar, qui relèvent selon lui de “l’hypocrisie”.

Dans une conférence de presse débutée par un long monologue, très théâtral, le dirigeant italo-suisse a mis en avant ses origines italiennes pour assurer se sentir proche des migrants venus travailler à Doha dans des conditions fustigées par les organisations de défense des droits humains.

“Aujourd’hui, je me sens qatari, aujourd’hui je me sens arabe, aujourd’hui je me sens africain, aujourd’hui je me sens gay, aujourd’hui je me sens handicapé, aujourd’hui je me sens travailleur migrant”, a-t-il récité dans cette anaphore introductive.

“Cela me renvoie à mon histoire personnelle, parce que je suis le fils de travailleurs migrants”, a-t-il lancé. “Je sais ce que cela veut dire d’être discriminé, d’être harcelé, en tant qu’étranger. Enfant, j’étais discriminé (en Suisse) parce que j’étais roux et j’avais des taches de rousseur, j’étais Italien, je parlais mal l’allemand.”

Face aux nombreuses critiques dont la Fifa a été la cible en raison des conditions de travail des ouvriers sur les chantiers du Mondial, Gianni Infantino a affirmé que la fédération internationale était l’une des rares à se soucier de leur sort.

“Hypocrisie”

“Parmi les grandes entreprises qui gagnent des milliards au Qatar, combien ont réglé la question du sort des travailleurs migrants? Aucune, parce qu’un changement de législation veut dire moins de profits. Mais nous, nous l’avons fait”, a-t-il lancé, avant de s’interroger: “Pourquoi personne ne reconnaît ces progrès?”

Le Qatar est régulièrement critiqué par les ONG pour son traitement des travailleurs migrants, notamment dans les secteurs de la construction, de la sécurité et du travail domestique, ainsi que des personnes LGBTQ+.

Ces accusations sont vigoureusement rejetées par les autorités, qui soulignent avoir réformé leurs lois sur le travail, et par les organisateurs qataris du Mondial, qui assurent que les membres de la communauté LGBTQ+ seront accueillis sans discrimination, en dépit des lois criminalisant les relations sexuelles entre personnes du même sexe dans le pays.

“Ces leçons de morale, biaisées, sont juste de l’hypocrisie”, a asséné Gianni Infantino, à la tête de l’instance suprême du football mondial depuis 2016 et seul candidat à sa succession en 2023.

“Pour tout ce que nous, les Européens, avons fait pendant 3.000 ans, nous devrions nous excuser pendant les 3.000 prochaines années avant de commencer à donner des leçons de morale aux gens”, a-t-il ajouté.

Sur les droits des LGBTQ+, le dirigeant a assuré que les autorités qataries lui avaient donné la garantie que “tout le monde” était “le bienvenu” pendant la Coupe du monde.

“Si quelqu’un dit l’inverse, ce n’est pas l’opinion du pays, et ce n’est pas l’opinion de la Fifa”, a-t-il clamé.

Le Mondial, qui se termine le 18 décembre, débute dimanche avec la rencontre entre le pays hôte et l’Equateur.

cfe-jed/ep/gk

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Violences sexistes: manifestations dans plusieurs villes contre l’”impunité” des agresseurs

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Des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi à Paris et dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles: elles entendent…

Des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi à Paris et dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles: elles entendent réclamer une “loi cadre” contre l’”impunité” des agresseurs.

Cinq ans après l’émergence du mouvement #MeToo, près de 90 associations, syndicats ou partis de gauche appellent à un “raz-de-marée dans la rue pour crier notre colère”.

Face aux violences sexistes et sexuelles, qui “trouvent racine dans le patriarcat”, “les institutions ne sont pas à la hauteur”, dénoncent les organisatrices.

Dans les commissariats, les tribunaux ou au sein des partis politiques, “les derniers mois ont prouvé à quel point la parole des victimes de violences de genre était remise en cause”, s’insurgent-elles.

“Ce qui nous met en colère, c’est l’impunité des agresseurs et le mauvais traitement réservé aux victimes” lorsqu’elles déposent plainte, explique à l’AFP Maëlle Noir, membre de #NousToutes qui coordonne l’organisation des défilés.

“On ne cesse de nous répéter que la justice doit faire son travail, mais quel travail? On ne peut pas reprocher à la victime de ne pas porter plainte si elle sait que ça ne mènera nulle part”, s’insurge la militante.

Pour lutter contre les violences, les associations réclament un budget public de deux milliards d’euros par an, mais aussi une “loi-cadre” qui instaurerait notamment des “brigades et juridictions spécialisées”, une aide financière pour la “mise en sûreté” des femmes victimes, 15.000 places d’hébergement supplémentaires dédiées ou encore le renforcement de l’éducation à la vie sexuelle et affective à l’école.

Interrogée sur ces revendications, la ministre chargée de l’égalité hommes/femmes, Isabelle Rome, a rappelé qu’elle était ouverte à la mise en place d’une police et d’une justice spécialisées. Une mission parlementaire planche sur le sujet et doit remettre ses conclusions au gouvernement dans quelques mois pour une “justice plus réactive et performante”, a-t-elle souligné samedi au micro de RMC.

Quant aux moyens financiers, “ils n’ont cessé d’augmenter”, pour atteindre “un montant global de 2,4 milliards” d’euros “quand on additionne les sommes mises par chaque ministère”, a observé la ministre, qui a reconnu toutefois que ces sommes ne sont “pas spécifiquement” dédiées à la lutte contre les violences, mais incluent des champs plus larges, comme l’éducation et “l’égalité économique”.

“Pas écoutées”

A Paris, le cortège partira à 14h de la place de la République et rejoindra celle de la Nation. Des manifestations sont également prévues à Marseille, Nice, Toulouse, Lille, Strasbourg, Rennes, Nancy ou Dijon, notamment.

En 2021, la mobilisation – organisée en amont du 25 novembre, journée mondiale de lutte contre les violences à l’égard des femmes -, avait rassemblé 50.000 personnes à Paris selon les organisateurs, et 18.000 selon la préfecture de police.

Un an après, l’exaspération des organisations féministes est toujours aussi vive, alimentée par le nombre élevé de féminicides – déjà 100 depuis le début de l’année d’après un collectif associatif, contre 122 l’an dernier selon les chiffres officiels -, et par la frilosité du monde politique à écarter certains responsables accusés de violences envers les femmes. 

Les faits dénoncés sont pourtant de plus en plus nombreux: entre 2017 et 2021, le nombre de viols ou tentatives de viols enregistrés par le ministère de l’Intérieur a doublé, passant de 16.900 à 34.300. Les victimes ont davantage tendance à dénoncer des faits anciens, explique le ministère, qui y voit aussi le signe de la “libération de la parole”.

Une expression qui exaspère désormais les associations, car “les femmes ont toujours parlé, mais elles ne sont pas écoutées”, pointe Maëlle Noir.

Dans le monde du travail aussi, la lutte contre les violences sexistes avance trop lentement, ont pointé les principaux syndicats français dans une lettre adressée jeudi à la Première ministre. 

Les politiques de prévention y sont encore insuffisantes, et lorsqu’un cas problématique est signalé, “au lieu de suspendre, puis de sanctionner le salarié mis en cause, on continue souvent de déplacer, discréditer, voire placardiser ou licencier la victime”, déplorent les signataires. 

ab/cel/spi

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Mondial: le patron de la Fifa se sent “migrant” et fustige les “leçons de morale”

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Le président de la Fifa Gianni Infantino a affirmé samedi se sentir “arabe”, “gay”, “travailleur migrant”, en critiquant vivement, à la veille du coup d’envoi du Mondial-2022, les “leçons de morale” des détracteurs du…

Le président de la Fifa Gianni Infantino a affirmé samedi se sentir “arabe”, “gay”, “travailleur migrant”, en critiquant vivement, à la veille du coup d’envoi du Mondial-2022, les “leçons de morale” des détracteurs du Qatar, qui relèvent selon lui de “l’hypocrisie”.

Dans une conférence de presse débutée par un long monologue, très théâtral, le dirigeant italo-suisse a mis en avant ses origines italiennes pour assurer se sentir proche des migrants venus travailler à Doha dans des conditions fustigées par les organisations de défense des droits humains.

“Aujourd’hui, je me sens qatari, aujourd’hui je me sens arabe, aujourd’hui je me sens africain, aujourd’hui je me sens gay, aujourd’hui je me sens handicapé, aujourd’hui je me sens travailleur migrant”, a-t-il récité dans cette anaphore introductive.

“Cela me renvoie à mon histoire personnelle, parce que je suis le fils de travailleurs migrants”, a-t-il lancé. “Je sais ce que cela veut dire d’être discriminé, d’être harcelé, en tant qu’étranger. Enfant, j’étais discriminé (en Suisse) parce que j’étais roux et j’avais des taches de rousseur, j’étais Italien, je parlais mal l’allemand.”

Face aux nombreuses critiques dont la Fifa a été la cible en raison des conditions de travail des ouvriers sur les chantiers du Mondial, Gianni Infantino a affirmé que la fédération internationale était l’une des rares à se soucier de leur sort.

“Hypocrisie”

“Parmi les grandes entreprises qui gagnent des milliards au Qatar, combien ont réglé la question du sort des travailleurs migrants? Aucune, parce qu’un changement de législation veut dire moins de profits. Mais nous, nous l’avons fait”, a-t-il lancé, avant de s’interroger: “Pourquoi personne ne reconnaît ces progrès?”

Le Qatar est régulièrement critiqué par les ONG pour son traitement des travailleurs migrants, notamment dans les secteurs de la construction, de la sécurité et du travail domestique, ainsi que des personnes LGBTQ+.

Ces accusations sont vigoureusement rejetées par les autorités, qui soulignent avoir réformé leurs lois sur le travail, et par les organisateurs qataris du Mondial, qui assurent que les membres de la communauté LGBTQ+ seront accueillis sans discrimination, en dépit des lois criminalisant les relations sexuelles entre personnes du même sexe dans le pays.

“Ces leçons de morale, biaisées, sont juste de l’hypocrisie”, a asséné Gianni Infantino, à la tête de l’instance suprême du football mondial depuis 2016 et seul candidat à sa succession en 2023.

“Pour tout ce que nous, les Européens, avons fait pendant 3.000 ans, nous devrions nous excuser pendant les 3.000 prochaines années avant de commencer à donner des leçons de morale aux gens”, a-t-il ajouté.

Sur les droits des LGBTQ+, le dirigeant a assuré que les autorités qataries lui avaient donné la garantie que “tout le monde” était “le bienvenu” pendant la Coupe du monde.

“Si quelqu’un dit l’inverse, ce n’est pas l’opinion du pays, et ce n’est pas l’opinion de la Fifa”, a-t-il clamé.

Le Mondial, qui se termine le 18 décembre, débute dimanche avec la rencontre entre le pays hôte et l’Equateur.

cfe-jed/ep/gk

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Violences sexistes: manifestations dans plusieurs villes contre l’”impunité” des agresseurs

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Des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi à Paris et dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles: elles entendent…

Des dizaines de milliers de personnes sont attendues samedi à Paris et dans toute la France pour dénoncer les dysfonctionnements de la justice en matière de lutte contre les violences sexistes et sexuelles: elles entendent réclamer une “loi cadre” contre l’”impunité” des agresseurs.

Cinq ans après l’émergence du mouvement #MeToo, près de 90 associations, syndicats ou partis de gauche appellent à un “raz-de-marée dans la rue pour crier notre colère”.

Face aux violences sexistes et sexuelles, qui “trouvent racine dans le patriarcat”, “les institutions ne sont pas à la hauteur”, dénoncent les organisatrices.

Dans les commissariats, les tribunaux ou au sein des partis politiques, “les derniers mois ont prouvé à quel point la parole des victimes de violences de genre était remise en cause”, s’insurgent-elles.

“Ce qui nous met en colère, c’est l’impunité des agresseurs et le mauvais traitement réservé aux victimes” lorsqu’elles déposent plainte, explique à l’AFP Maëlle Noir, membre de #NousToutes qui coordonne l’organisation des défilés.

“On ne cesse de nous répéter que la justice doit faire son travail, mais quel travail? On ne peut pas reprocher à la victime de ne pas porter plainte si elle sait que ça ne mènera nulle part”, s’insurge la militante.

Pour lutter contre les violences, les associations réclament un budget public de deux milliards d’euros par an, mais aussi une “loi-cadre” qui instaurerait notamment des “brigades et juridictions spécialisées”, une aide financière pour la “mise en sûreté” des femmes victimes, 15.000 places d’hébergement supplémentaires dédiées ou encore le renforcement de l’éducation à la vie sexuelle et affective à l’école.

Interrogée sur ces revendications, la ministre chargée de l’égalité hommes/femmes, Isabelle Rome, a rappelé qu’elle était ouverte à la mise en place d’une police et d’une justice spécialisées. Une mission parlementaire planche sur le sujet et doit remettre ses conclusions au gouvernement dans quelques mois pour une “justice plus réactive et performante”, a-t-elle souligné samedi au micro de RMC.

Quant aux moyens financiers, “ils n’ont cessé d’augmenter”, pour atteindre “un montant global de 2,4 milliards” d’euros “quand on additionne les sommes mises par chaque ministère”, a observé la ministre, qui a reconnu toutefois que ces sommes ne sont “pas spécifiquement” dédiées à la lutte contre les violences, mais incluent des champs plus larges, comme l’éducation et “l’égalité économique”.

“Pas écoutées”

A Paris, le cortège partira à 14h de la place de la République et rejoindra celle de la Nation. Des manifestations sont également prévues à Marseille, Nice, Toulouse, Lille, Strasbourg, Rennes, Nancy ou Dijon, notamment.

En 2021, la mobilisation – organisée en amont du 25 novembre, journée mondiale de lutte contre les violences à l’égard des femmes -, avait rassemblé 50.000 personnes à Paris selon les organisateurs, et 18.000 selon la préfecture de police.

Un an après, l’exaspération des organisations féministes est toujours aussi vive, alimentée par le nombre élevé de féminicides – déjà 100 depuis le début de l’année d’après un collectif associatif, contre 122 l’an dernier selon les chiffres officiels -, et par la frilosité du monde politique à écarter certains responsables accusés de violences envers les femmes. 

Les faits dénoncés sont pourtant de plus en plus nombreux: entre 2017 et 2021, le nombre de viols ou tentatives de viols enregistrés par le ministère de l’Intérieur a doublé, passant de 16.900 à 34.300. Les victimes ont davantage tendance à dénoncer des faits anciens, explique le ministère, qui y voit aussi le signe de la “libération de la parole”.

Une expression qui exaspère désormais les associations, car “les femmes ont toujours parlé, mais elles ne sont pas écoutées”, pointe Maëlle Noir.

Dans le monde du travail aussi, la lutte contre les violences sexistes avance trop lentement, ont pointé les principaux syndicats français dans une lettre adressée jeudi à la Première ministre. 

Les politiques de prévention y sont encore insuffisantes, et lorsqu’un cas problématique est signalé, “au lieu de suspendre, puis de sanctionner le salarié mis en cause, on continue souvent de déplacer, discréditer, voire placardiser ou licencier la victime”, déplorent les signataires. 

ab/cel/spi

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Sandals Empowers Girls Through The Do-Nation Girls Who Brunch Tour – St. Lucia Times News

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Sandals Resorts in Saint Lucia, recognising the benefits to community of sharpening the skills of young people, was pleased to assist in bringing together over 300 girls aged 9 to 17 for a day-long event of empowerment and character building.

Spearheaded by Saint Lucian Diane Felicien, the Do-Nation Foundation Saint Lucia Chapter has been in the making for some months.

Ms. Felicien, in planning and organising the 2022 Girls who Brunch Tour event, was very emotional, sharing that, “I have seen so many girls with so much potential, and I just want to help them. But of course I can’t help them all. So, one girl at a time I always say, and we will see our way. So when Sandals in Saint Lucia stepped up to help us for our first major event, you can imagine how happy I felt.”

From break-out sessions to cat-walk confidence-building initiatives, there was something for everyone.

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When the former Governor General Her Excellency Dame Pearlette Louisy took to the microphone as guest speaker, the atmosphere was electric.

One student, Layla Satioute, after listening to Her Excellency describe her personal journey from girlhood, to being a teacher at 12 years old, and then to retirement, said, “I never knew that someone could be a teacher at 12 years old! I would have been asleep in my bed at 12.”

The former Governor General went on to encourage the girls to overcome any shortcoming they may encounter and just push through to achieve success.

Dame Pearlette left the girls with the powerful message that all of their dreams are attainable, and that with hard work, discipline, and prayers they can be achieved.

In the words of a mother Jacinta Wilson, “It was a safe place where my girl could spend the day with her friends and I did not have to worry about her safety. I did not think twice about letting my daughter participate. And because I knew that Sandals was a sponsor, again, it was a no-brainer for my daughter to participate. I was able to drop her off in the morning, go to work, I work at Sandals, and pick her up after work.”

When asked by media personnel “how did you benefit from attending the Girls Who Brunch Tour”, one young girl replied, “I did not realize that women can do what men do and that they can do it just as well as men. If women set out to achieve a goal it can be accomplished because they too have no limitations as to what they can achieve”.

During the course of the day’s programme, the girls were exposed to musical renditions by local performers, dance pieces and a fashion show.

At day’s end, during a question and answer session, Sandals representatives donated school supplies to several participants.

SOURCE: Sandals. Headline photo: Youth participants at the recently held Sandals Sponsored Do Nation Foundation Girls Who Bruch Initiative.

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Le destin de Twitter en question après l’ultimatum d’Elon Musk

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L’avenir de Twitter semblait incertain vendredi après le départ de nombreux ingénieurs de l’influent réseau social ayant refusé de se donner “à fond, inconditionnellement”, selon les nouveaux…

L’avenir de Twitter semblait incertain vendredi après le départ de nombreux ingénieurs de l’influent réseau social ayant refusé de se donner “à fond, inconditionnellement”, selon les nouveaux termes dictés par Elon Musk. 

Selon d’anciens salariés et plusieurs médias américains, des centaines d’employés ont répondu “non” à l’ultimatum du nouveau propriétaire et patron, qui leur avait donné le choix entre travailler sans relâche “pour bâtir un Twitter 2.0 révolutionnaire” ou partir avec trois mois de salaire.

La moitié des 7.500 employés du groupe californien ont déjà été licenciés il y a deux semaines par le multimilliardaire, et quelque 700 salariés avaient déjà démissionné pendant l’été, avant même d’être sûrs que l’acquisition aurait lieu.

“Mes amis sont partis, la vision est brouillée, une tempête arrive et il n’y a pas d’incitation financière. Que feriez-vous ? Est-ce que vous sacrifieriez votre temps avec vos enfants pendant les vacances pour de vagues promesses et (pour) rendre une personne riche encore plus riche ?”, a résumé Peter Clowes, ingénieur informatique et directeur chez Twitter et “survivant des licenciements”, d’après son profil LinkedIn.

Comme de nombreux autres salariés du groupe californien, il a détaillé sur le réseau social ses hésitations, expliquant qu’il ne “haïssait pas Elon Musk” et voulait “voir Twitter réussir”.

Mais il ne reste selon lui que “trois ingénieurs sur les 75” de son équipe. “Si j’étais resté, j’aurais été de permanence quasi constamment, avec très peu de soutien pour une durée indéterminée sur des systèmes informatiques complexes dans lesquels je n’ai pas d’expérience”, note-t-il.

En outre, “aucune vision n’a été partagée avec nous. Pas de plan sur cinq ans comme chez Tesla. (…) C’est un pur test de loyauté”, détaille-t-il.

Drapeau de pirate

“Que doit faire Twitter maintenant?”, a tweeté Elon Musk vendredi matin, apparemment imperméable au chaos ambiant.

Il a ensuite annoncé que plusieurs comptes d’utilisateurs suspendus ont été réadmis sur la plateforme, mais qu’il n’avait “pas encore pris de décision sur (Donald) Trump”.

“La politique du nouveau Twitter c’est la liberté d’expression, mais pas la liberté d’atteindre” le public, a-t-il encore tweeté, promettant de rétrograder à l’avenir les “tweets haineux”.

Vendredi soir, il a lancé un nouveau sondage : “Réadmettre l’ancien président Trump ? Oui/Non”, assorti d’un tweet: “Vox populi, Vox Dei” (“La voix du peuple est la voix de Dieu”).

Pendant ce temps, de nombreux utilisateurs du réseau social, notamment des ex-employés, des journalistes et des analystes, se demandaient si la fin de Twitter n’était pas proche.

Car le fantasque entrepreneur a mobilisé des équipes jour et nuit sur des projets controversés, ensuite reportés. Il a lancé un plan social massif avant de devoir rappeler des personnes essentielles. Il a fait des promesses aux annonceurs tout en menaçant ceux qui fuyaient.

D’après un ex-ingénieur de l’entreprise, le risque de pannes augmente à cause de la difficulté croissante à transmettre les compétences techniques, même s’il reste des personnes qualifiées et des systèmes de sécurité solides.

“Et… nous venons d’atteindre un nouveau pic d’utilisation de Twitter, lol”, ironisait Elon Musk jeudi soir, après une série de tweets humoristiques dont un drapeau de pirate à tête de mort.

“Stop au Twitter toxique”

Jeudi après-midi, Twitter a prévenu tous les employés que les bâtiments de l’entreprise étaient temporairement fermés et inaccessibles, même avec un badge, jusqu’à lundi.

Mais vendredi, Elon Musk a écrit aux développeurs pour leur demander de venir “au dixième étage à 14h” après lui avoir adressé par e-mail un récapitulatif de leur travail récent, d’après une source anonyme.

D’autres salariés, qui ont refusé l’ultimatum, ont eux perdu l’accès à leur ordinateur portable.

Le multimilliardaire a voulu racheter l’entreprise californienne au printemps, puis il n’en a plus voulu à l’été, et a été forcé de l’acquérir pour 44 milliards de dollars fin octobre, pour éviter un procès, en l’endettant lourdement.

Depuis, il divise toujours plus entre les inconditionnels, ceux qui veulent encore croire à l’ingénieur brillant, et ceux qui le vouent aux gémonies.

“On a l’impression que le ciel nous tombe sur la tête en ce moment, mais peut-être que non, peut-être que c’est une transition vers autre chose”, souligne John Wihbey, professeur spécialiste des médias à la Northeastern University.

“Mais s’il continue toute cette folie et aliène ce qu’il reste des ingénieurs essentiels, il pourrait conduire le réseau par-dessus la falaise”, reconnaît-il.

Jeudi soir, des messages anti-Elon Musk ont été projetés sur la façade du siège de l’entreprise à San Francisco, dont “Elon Musk, ferme-la”, “Stop au Twitter toxique” ou “En avant vers la faillite”, d’après des photos de Gia Vang, une journaliste de la chaîne NBC.

juj/dax/

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Sra. Vda. Maria Eliza Koolman-Martijn

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“Dios ta amor, y amor ta Dios,

maske mi no ta na e mundo aki,

tur dia lo mi ta banda di boso curason,

mi por stens di loke Señor ta haci”.

Salmo 33 

Cu hopi tristeza na nos curason,

pero conforme cu e boluntad di nos bon Dios,

nos ta anuncia fayecimento di nos

Mama, Wela, BisaWela, Suegra, Tanta y ruman stima; 

Sra. Vda. Maria Eliza Koolman-Martijn

“Mama Keta – Maria di Maracucho”

*07-04-1941 – †16-11-2022

Na nomber di su:

Esposo:

† Sr. Francisco Koolman

Yuinan:

Maickel & Luz Marina Koolman-Heredia

Miriam & Francisco Rosel-Koolman

Giovanni Koolman & Vda. Charlene Quant

Nietonan:

Alex Montilla & Indra Chan Margory Koolman Angelo Koolman Luigi & Tamarra Carrion-Perrotte Desiree & Luigi Van der Linden-Carrion Gabriella Carrion Chavioska Koolman Ferdinand Koolman & Jeralyne Kock Chavianni Koolman Giovanni Koolman & Carolyne Webb Jofran Quandus & Michelline Tromp Charlize Koolman & Mitchell Thijzen

Bisanietonan:

Junior Montilla, Kiandra Montilla, Jurik George, Armani George,

Kevin Koolman, Lianni Koolman, Aiden Carrion, Amelia Carrion,

Alica Van der Linden, Jaydyon Willems, Jake Koolman, Victoria Croes,

Kayra Koolman, Gïon Koolman, Jayvan Quandus, Minjerlene Thijsen.

Su rumanan:

Sra. Vda. Sebastania Thijzen- Martijn & Famia

Sra. Vda. Angelica Tromp – Martijn & Famia

Sra. Vda. Magdalena Ras – Martijn & Famia 

Tur su rumannan, swa & cuñanan den felis memoria

Tur su Sobrina(o)nan y nan famia

Prima(o)nan y nan famia

Swa y Cuñanan y nan famia

Ihanan, Comer y Compernan,

Amiga y Amigonan y demas famia y conocirnan, ayudantenan di Cas Cristelle. 

Demas Famia:

Koolman, Martijn, Rosel, Carrion, Heredia, Quant, Clasquin, Valentijn,

Montilla, Croes, Kock, Krosendijk, Thijzen, Wouters, Tromp, Ras, Capelo,

Quandus, Willems, Webb, George, Perrotte, Van der Linden.

Ta invita tur amigo/a-nan, bisinjanan y conocirnan pa asisti

na acto di entiero cual lo tuma lugar Dialuna 21 November 2022

pa 4.or di atardi saliendo for di Capilla Santa Famia na Pos Chikito

pa Santana catolico San Hose na Savaneta.

E restonan mortal di Mama Keta lo ta reposa for di 2or di merdia den misa.

Lugar pa condolencia Aurora Funeral Home, Diasabra 19 November 2022, 7or pa 9or anochi.

Ta duel nos cu despues di entiero no ta ricibi bishita di condolencia na cas.

Nos kier pidi disculpa si nos por a lubida un of otro famia den nos tristesa.                             

 

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Longue nuit de négociations pour sortir la COP27 de l’impasse

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Des négociations serrées se poursuivent dans la nuit de vendredi à samedi en Egypte à la COP27, qui joue les prolongations pour tenter de débloquer l’impasse autour du financement par les pays riches des dégâts…

Des négociations serrées se poursuivent dans la nuit de vendredi à samedi en Egypte à la COP27, qui joue les prolongations pour tenter de débloquer l’impasse autour du financement par les pays riches des dégâts climatiques déjà subis par les plus pauvres.

Ce dossier emblématique, sur lequel se multiplient les propositions, formelles ou non, a cristallisé l’attention à la conférence sur le climat de Charm el-Cheikh, au sortir d’une année 2022 marquée par une recrudescence inédite des catastrophes climatiques, inondations, sécheresses ou méga-feux…

Mais les discussions achoppent aussi sur d’autres dossiers, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement ou le sort des énergies fossiles.

“Je suis toujours préoccupé par le nombre de questions non résolues”, a lancé devant les délégués le président égyptien de la conférence, Sameh Choukri, annonçant que les travaux, prévus pour s’achever vendredi, se prolongeraient samedi.

“Quelques changements”

La conduite des négociations par la présidence égyptienne est critiquée par de nombreux délégués, qui lui reprochent d’avoir tardé à présenter des projets de textes sur des points de blocage identifiés depuis longtemps.

Les pays en développement ont fait bloc pour demander la création d’un mécanisme financier dédié pour faire face aux “pertes et dommages”.

Une proposition de résolution sur la question, publiée très tard jeudi par les “facilitateurs” officiels suggère trois options, dont une actant le principe de création d’un fonds, dont le fonctionnement serait fixé ultérieurement.

Option acceptable “avec quelques changements”, a dit vendredi la ministre pakistanaise du Changement climatique, Sherry Rehman, présidente en exercice du puissant groupe de négociations G77+Chine.

Dans la soirée de vendredi, une nouvelle proposition informelle a circulé, après des consultations menées, selon une source proche des négociations, par la Grande-Bretagne. Ce document vu par l’AFP évoque des pistes de financement “nouvelles et améliorées” dont un possible “fonds” abondé par des partenaires publics et privés. 

Une variante “diluée” a immédiatement fustigé sur Twitter Mohamed Adow, de l’ONG Power Shift Africa.

Une porte-parole du département d’Etat américain a indiqué que les négociations se poursuivaient mais n’a pas confirmé ce document.

Les pays riches étaient depuis longtemps très réticents à un financement spécifique, craignant d’être confrontés à une responsabilité légale qui pourrait entraîner des dédommagements illimités.

Jeudi, l’Union européenne a fait une ouverture surprise, acceptant le principe d’un “fonds de réponse aux pertes et dommages”, réservé aux “plus vulnérables” sur une “base de contributeurs élargie”, sous-entendu incluant la Chine. 

“L’heure de vérité”

Deux protagonistes importants, Etats-Unis et Chine, n’ont toujours pas fait connaître publiquement leur réaction. 

En pleine négociations finales, l’émissaire spécial américain pour le climat John Kerry a été testé positif au Covid et poursuivra  par téléphone les discussions, a indiqué sa porte-parole.

Et la Chine, premier pollueur et deuxième puissance économique, qui ne veut pas être mise sur la sellette, reste publiquement très discrète. 

Des discussions se poursuivent entre les deux pays, selon des sources à Charm el-Cheikh.

“La Chine et les Etats-Unis peuvent débloquer ce dossier dans les 24 dernières heures”, estime Rachel Cleetus, économiste en chef de l’ONG américaine Union of Concerned Scientists. 

Toutes ces discussions se déroulent dans un contexte de grande méfiance, les pays riches n’ayant jamais tenu un engagement de 2009 de porter à 100 milliards de dollars par an les financements à destination des pays en développement pour l’adaptation au dérèglement climatique et la réduction des émissions.

La présidence égyptienne a publié vendredi matin un nouveau projet de texte final, dont une version amendée après les retours des délégations était toujours attendue tard dans la soirée.

Le document appelle notamment “à poursuivre les efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5°C”, se référant clairement aux objectifs de l’accord de Paris, que certains craignaient de voir édulcorés.

Pierre angulaire de la lutte contre le changement climatique, cet accord de 2015 vise à limiter le réchauffement de la planète “nettement en dessous de 2°C” par rapport à l’ère pré-industrielle, si possible à 1,5°C.

Mais les engagements actuels des différents pays sont loin de permettre de tenir cet objectif. Selon les analyses de l’ONU, ils permettent au mieux de limiter le réchauffement à 2,4°C d’ici à la fin du siècle.

Côté énergie, le texte réaffirme la nécessité de réduire l’utilisation du charbon sans systèmes de capture de CO2 et s’attaque aux subventions “inefficaces” aux énergies fossiles, sans mentionner une réduction de l’utilisation du pétrole ou du gaz, que réclamaient de nombreux pays. 

so/uh/mj

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