NBC’s Special Report – Wednesday September 21st 2022

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Eight educational institutions across St. Vincent and the Grenadines this morning received cash grants compliments the non-profit organization MRI-6.

The cash contributions are intended to assist vulnerable students at the various institutions with lunch and other meals.

Rawdica Stephen tells us more in today’s special report.

https://www.nbcsvg.com/wp-content/uploads/2022/09/MRI6-CASH-GRANTS-REPORT.mp3

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Twee doden bij afzonderlijke verkeersongevallen

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PARAMARIBO — De verkeersbarometer staat voor dit jaar op 52 nadat de 29-jarige autobestuurder Mirsorjo Weti en de zestienjarige bromfietser

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Miss Martinique : dix candidates pour une couronne

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CONCOURS DE BEAUTÉ

 Ce samedi 24 septembre à 20 heures aura lieu l’élection de la future miss Martinique au Grand carbet à Fort-de-France.

Le comité Miss Martinique a invité la délégation de Miss France pour la soirée d’élection de Miss Martinique qui aura lieu ce samedi soir, au Grand carbet du parc culturel Aimé-Césaire. La délégation, constituée d’une quarantaine de personnes, est arrivée hier soir à l’aéroport du Lamentin, pour une semaine. 

C’est la Miss France 2005, Cindy Fabre, nouvellement élue directrice du comité national Miss France, qui sera la présidente du jury, samedi soir. Elle participera durant toute la…


France-Antilles Martinique

202 mots – 21.09.2022

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Borne sous pression sur les retraites et la…

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L’épineuse question des retraites a concentré les critiques des présidents de groupes parlementaires reçus mercredi à Matignon par Elisabeth Borne, conformément à sa volonté de “concertation” pour tenter de déminer une session qui s’annonce musclée.

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les “superprofits” des grandes entreprises et tenter d’obtenir un référendum d’initiative partagée, qui ne manquera pas d’animer les débats budgétaires. “Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force” avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.

La question a aussi été évoquée lors des échanges à Matignon. “Dans une économie de guerre, il faut dégager des recettes exceptionnelles”, a plaidé Patrick Kanner au nom des sénateurs PS.

“On en reparlera” lors du débat budgétaire, a promis le ministre des Relations avec le parlement, Franck Riester, lors d’un point presse en fin de journée.

“Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays”, a fait de son côté valoir dans un tweet la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l’Assemblée nationale, prône le dialogue dans l’espoir de bâtir des “majorités de projet”.

Elle n’exclut pas cependant, pour le vote du budget à l’automne, le recours à l’article 49.3, qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, car “les Français ne nous ont pas demandé l’immobilisme”.

Balayant le calendrier législatif, de l’assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont été nombreux à dire leur hostilité à l’idée d’un amendement sur les retraites dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).

– “Contradictoire” –

Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité, souhaitant une application “dès 2023”. Une décision qui “appartiendra” au gouvernement, avait-il ajouté.

Prudente, Mme Borne ne s’est toujours pas exprimée sur le sujet. “Le moment venu, le président de la République et Première ministre trancheront, tant sur la forme que sur le fond”, mais “pour prendre des décisions, c’est important d’écouter”, a affirmé M. Riester.

“Si c’est l’amendement, le gouvernement s’empalera”, a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire “totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode (basée sur le compromis, NDLR) proclamée par le président de la République”.

Ce serait “une violence faite au débat parlementaire autant qu’au dialogue social”, a jugé pour les députés PS Boris Vallaud, pour qui le compromis “n’a été dans la pratique du gouvernement qu’un mot”.

Communistes et écologistes avaient auparavant également rejeté l’hypothèses d’un amendement.

L’éventualité divise jusque dans la majorité.

Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d’Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé “collégialement” en faveur d’une “décision rapide” sur les retraites.

Si le gouvernement devait recourir à l’article 49.3 de la Constitution, ce sera “la responsabilité des oppositions”, selon elle.

– “Pas un scandale” –

Mais le président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l’opposition de ses députés à un tel amendement, même s’il approuve “la nécessité d’une réforme”.

“Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner”, a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera “au rendez-vous de la réforme”, tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget sur les retraites.

En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables “sera un bon test” pour “voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions” d’EELV et parvient à “trouver d’autres majorités”, a dit espérer le sénateur écologiste Guillaume Gontard.

Son homologue à l’Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une “politique à la hauteur (du) bouleversement” climatique, et redit son “opposition complète” aux réformes “libérales” de l’assurance chômage et des retraites.

La Première ministre doit encore recevoir jeudi Marine Le Pen (RN) et Olivier Marleix (LR), puis le 30 septembre Mathilde Panot (LFI).

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Borne sous pression sur les retraites et la…

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L’épineuse question des retraites a concentré les critiques des présidents de groupes parlementaires reçus mercredi à Matignon par Elisabeth Borne, conformément à sa volonté de “concertation” pour tenter de déminer une session qui s’annonce musclée.

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les “superprofits” des grandes entreprises et tenter d’obtenir un référendum d’initiative partagée, qui ne manquera pas d’animer les débats budgétaires. “Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force” avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.

“Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays”, a plaidé de son côté, dans un tweet, la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l’Assemblée nationale, prône le dialogue dans l’espoir de bâtir des “majorités de projet”.

Même si elle n’exclut pas, pour le vote du budget à l’automne, le recours à l’article 49.3 qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, car “les Français ne nous ont pas demandé l’immobilisme”.

Balayant le calendrier législatif, de l’assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont cependant été nombreux à dire leur hostilité à l’idée que la réforme des retraites fasse l’objet d’un amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).

– “Contradictoire” –

Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité lors d’une rencontre avec la presse, souhaitant une application “dès 2023”. Une décision qui “appartiendra” au gouvernement, avait-il ajouté.

Prudente, Mme Borne ne s’est toujours pas exprimée sur le sujet.

“Si c’est l’amendement, le gouvernement s’empalera”, a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire “totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode [basée sur le compromis] proclamée par le président de la République”.

“On veut nous faire acheter un âne dans un sac, on ne sait pas comment la question retraite va être traitée”, a déploré le président du groupe communiste à l’Assemblée nationale, André Chassaigne, opposé à la réforme en soi.

Le chef de file des sénateurs écologistes, Guillaume Gontard, a jugé “inacceptable” de la faire passer dans un amendement.

L’hypothèse divise jusque dans la majorité.

Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d’Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé “collégialement” en faveur d’une “décision rapide” sur les retraites.

Si le gouvernement devait recourir à l’article 49.3 de la Constitution, ce sera “la responsabilité des oppositions”, selon elle.

– “Pas tranché” –

Mais le président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l’opposition de ses députés à un tel amendement, même s’il approuve “la nécessité d’une réforme”.

“Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner”, a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera “au rendez-vous de la réforme”, tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget avec une proposition sur les retraites.

Amendement ou pas, la question “n’est pas tranchée”, selon plusieurs participants.

Un amendement, “ce n’est pas un scandale” mais “je comprends aussi qu’il y ait le temps du dialogue et que ce n’est pas une décision évidente pour le gouvernement”, a temporisé le président du groupe Les Indépendants au Sénat, Claude Malhuret (Horizons).

En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables “sera un bon test” pour “voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions” d’EELV et parvient à “trouver d’autres majorités”, a dit espérer M. Gontard.

Son homologue à l’Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une “politique à la hauteur (du) bouleversement” climatique, et redit son “opposition complète” aux réformes “libérales” de l’assurance chômage et des retraites.

Mme Borne a de son côté souhaité, pour “construire des accords” avec les écologistes, “placer la planification écologique au cœur des politiques publiques, travailler ensemble pour atteindre le plein emploi et porter des perspectives communes”, selon un tweet.

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Parliament called upon to declare lack of confidence in gov’t Loop Cayman Islands

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Loop News

33 minutes ago

The motion was moved by MP Roy McTaggart.

A Private Member’s Motion calling for Parliament to declare a lack of confidence in the current government was moved in the House on Wednesday.

The motion — which was moved by Roy McTaggart, The MP for George Town East, and seconded by Joseph Hew, MP for George Town North — cites several alleged failures on the part of the government which it branded as incompetent.

See the full motion below:

WHEREAS having regard to the general conduct of the Government since it assumed office on 22nd April 2021 and the failure of the Government to take any significant action to tackle the challenges facing the Cayman Islands, particularly with regard, but not limited to:

The Premier’s lack of effective leadership;The Cabinet’s collective lack of collaboration, cohesion, and competence;The lack of any progress in bringing forward a Parliamentary Code of Conduct that would provide an effective means of holding Members of Parliament accountable for their behaviour;The lack of any substantive legislation being brought to Parliament in over a year;In contravention of accepted conventions and norms, the Premier allowed his Ministers to involve the Speaker of Parliament in government business at home and at official meetings overseas;The failure to make any significant progress against the overwhelming majority of the targets the Government set for itself in its Strategic Policy Statement;The failure to recognise and respond quickly and effectively to the cost-of-living crisis, which is impacting families and businesses across the Cayman Islands;The failure to implement the motion passed during Parliament’s last sitting to reduce stamp duty paid by Caymanians, especially first-time home and property buyers;The failure to complete the review of the national minimum wage;The ongoing slippage in the delivery of the waste to energy facility (known as ReGen) — the sustainable, long-term alternative to landfilling waste and generating electricity from our waste;The failure to make progress with a National Development Plan despite the work of Plan Cayman to establish both development principles and an effective planning framework;

The delays in opening the overseas offices that are necessary to support the financial services industry, encourage inward investment and build Cayman’s reputation abroad;The failure of Ministers and others to conform to acceptable standards of behaviour in public life, including failure to comply with the Ministerial Code of Conduct;A Minister personally cancelling an order for essential public health supplies, an action he had no authority to take.

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Pinelands FC score big in BFA Republic Cup Loop Barbados

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Pinelands FC earned a massive win last Sunday night at the Briar playing field, to move into second place in Zone 5 of the Barbados Football Association (BFA) Republic Cup.

The Pine lads were relentless as they hammered FC Mega Ballers 8-0 and moved onto six points from their three matches, which places them in a prime position to advance to the knockout phase of the competition, with two more group games remaining.

Abrahams United Silver Sands made the race for qualification in Zone 7 quite interesting, when they defeated Youngboyz FC 5-3, also at Briar Hall.

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By Renaldo Gilkes

The result was Silver Sands’ second victory in three matches, drawing them level on points with Wotton FC and Kickstart Rush, who were 5-0 winners versus Eastern United at Rices.

Brittons Hill FC unbeaten run continued in Zone 4 as they put nine goals pass St Philip Academy, in a 9-1 slaughter at Greens.

In the feature match at Greens, Pride of Gall Hill edged United Stars Alliance (USA) 2-1 and climbed to the top of Zone 3 with seven points from three games, three more points than Claytons Kola Tonic Notre Dame, who have played a game less than Gall Hill.

Central League Spartans made a strong case for playoff qualification by defeating College Savannah 7-1 and now find themselves in joint second place in Zone 4 with Ellerton FC.

Benfica earned their first victory of the competition as they blanked FC Bydes Mill 2-0, who are yet to win an encounter.

Over at the Bridgefield playing field, Potential Ballers defeated a spirited Beverley Hills FC 2-1 to secure their second victory in as many matches.

Fitts Village won by a similar margin versus Technique FC to climb up to second place in Zone 1.

Other winners over the weekend were L&R United who brushed aside Carlton Red & White 4-1 at Rices, Scotty’s Car Rental St Andrew Lions managed to get by the Barbados Fire Service 3-2 and Bagatelle FC won their encounter versus Red Hill FC 3-1 at the Mahaica playing field in Speightstown.

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Dertigplusser opgesloten na fatale steekpartij

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ALBINA — De 35-jarige Martin M., die zich maandag meldde bij de politie van Albina, is na zijn voorgeleiding in

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Grève des chauffeurs de bus à Schoelcher : 2 bus en état pour 3 lignes

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Cela fait plus de deux semaines que le réseau centre de Martinique Transports est perturbé par une grève des chauffeurs affectant les lignes de Schoelcher:  110, 111 et 104. 2 bus sur les 6 nécessaires seraient en état.

 « L’employeur nous a fait une proposition de 50/50. Nous ne négocions pas avec le droit de retrait ». Ce sont les propos de Fred Beauroy, délégué syndical CGTM, qui exerce son droit de retrait depuis deux semaines en tant que chauffeur de bus de la société Rapide du Centre couvrant trois lignes du réseau centre de Martinique Transports, les lignes 110, 111 et 104 desservant respectivement Terreville, La Colline et Ravine Touza. Depuis, les trois lignes concernées sont paralysées et les usagers se déplaçant entre les communes de Schoelcher et Fort-de-France peinent à trouver des alternatives et/ou sont contraints d’attendre leur bus beaucoup plus longtemps.

Les chauffeurs de la compagnie pointent du doigt leurs mauvaises conditions de travail. Sur les six bus normalement disponibles sur le réseau, seuls deux seraient en capacités de rouler.

Ce lundi 19 septembre, les grévistes ont, selon leurs dires fait appel à l’inspection du travail pour se rendre ce mardi au parc des bus de la société afin de faire un « état des lieux ».

« L’employeur nous avait promis cinq bus en état sur les six. Après inspection des anomalies avec l’inspecteur du travail, il s’avère qu’il n’y a que deux bus en état de rouler », explique Fred Beauroy.

« De plus, nous n’avons aucun bus de rechange pour assurer un service en cas de panne. Notre parcours étant particulièrement accidentogène, il nous faudrait deux bus de secours ». Un service minimum n’aurait, selon les chauffeurs en grève, pas pu être mis en place, faute de bus disponibles. Des arguments que rejettent entièrement David Bernard, gérant de la société Rapide du Centre, qui ne comprend pas cette situation.

Trois bus attendus cet après-midi

« Le doit de retrait est un droit individuel. À l’heure actuelle, aucun salarié ne m’a justifié d’un danger imminent menaçant son intégrité, son droit de retrait. Pas même verbalement ». L’employeur dénonce une « prise d’otage » de la population par les chauffeurs en grève qui tentent de faire passer leurs doléances « de force ». « J’ai délégué un huissier le jour de leur visite au parc des bus pour constater que cinq bus étaient bien en état de circuler. À part discuter avec lui et poser des questions au représentant de la direction sur place, les grévistes n’ont fait aucune vérification technique. Il y a bien cinq bus en état », nous explique David Bernard. Selon l’employeur, la société a toujours été en capacité d’assurer un service minimum sur au moins deux des trois lignes, et leurs activités ont toujours été conformes au plan de transport organisé par le Régie des Transports de Martinique et le chef d’exploitation. Trois nouveaux bus sont attendus ce mercredi après-midi, ce qui permettrait à la société d’exploiter 8 bus, dont deux de réserve en cas de panne sur le réseau.

Pour tenter de trouver une issue favorable au conflit, les chauffeurs en grève comptent bien faire appel aux prud’hommes et faire reconnaître le droit de retrait. Une décision dont n’a pas été informé l’employeur, qui n’a pas l’intention de reconnaître le droit de retrait ni de prendre en charge 100% des jours d’arrêt. « Ce n’est pas un droit de retrait mais un arrêt concerté du travail. Il n’y a aucune raison d’exercer le droit de retrait », justifie David Bernard.En attendant la fin du conflit, les usagers doivent prendre leur mal en patience et trouver des alternatives comme par exemple la ligne 105 qui dessert l’Anse Madame et le Monastère ainsi qu’une partie du trajet des lignes actuellement à l’arrêt.

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Borne sous pression sur les retraites et la…

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L’épineuse question des retraites a concentré les critiques des présidents de groupes parlementaires reçus mercredi à Matignon par Elisabeth Borne, conformément à sa volonté de “concertation” pour tenter de déminer une session qui s’annonce musclée.

La coalition de gauche Nupes faisait au même moment monter la pression sur le gouvernement, avec une proposition de loi pour taxer les “superprofits” des grandes entreprises et tenter d’obtenir un référendum d’initiative partagée, qui ne manquera pas d’animer les débats budgétaires. “Nous espérons que cette procédure va créer un rapport de force” avec la majorité présidentielle, a insisté le socialiste Olivier Faure.

La question a aussi été évoquée lors des échanges à Matignon. “Dans une économie de guerre, il faut dégager des recettes exceptionnelles”, a plaidé Patrick Kanner au nom des sénateurs PS.

“On en reparlera” lors du débat budgétaire, a promis le ministre des Relations avec le parlement, Franck Riester, lors d’un point presse en fin de journée.

“Concertation et écoute permettront de mener les réformes nécessaires pour le pays”, a fait de son côté valoir dans un tweet la Première ministre qui, privée de majorité absolue à l’Assemblée nationale, prône le dialogue dans l’espoir de bâtir des “majorités de projet”.

Elle n’exclut pas cependant, pour le vote du budget à l’automne, le recours à l’article 49.3, qui permet l’adoption d’un texte sans vote sauf motion de censure, car “les Français ne nous ont pas demandé l’immobilisme”.

Balayant le calendrier législatif, de l’assurance chômage au budget en passant par les énergies renouvelables, ses interlocuteurs ont été nombreux à dire leur hostilité à l’idée d’un amendement sur les retraites dans le Projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).

– “Contradictoire” –

Le président Emmanuel Macron avait évoqué cette éventualité, souhaitant une application “dès 2023”. Une décision qui “appartiendra” au gouvernement, avait-il ajouté.

Prudente, Mme Borne ne s’est toujours pas exprimée sur le sujet. “Le moment venu, le président de la République et Première ministre trancheront, tant sur la forme que sur le fond”, mais “pour prendre des décisions, c’est important d’écouter”, a affirmé M. Riester.

“Si c’est l’amendement, le gouvernement s’empalera”, a prédit le chef de file des sénateurs LR Bruno Retailleau, qui juge la réforme des retraites nécessaire, mais fustige une façon de faire “totalement contradictoire avec la fameuse nouvelle méthode (basée sur le compromis, NDLR) proclamée par le président de la République”.

Ce serait “une violence faite au débat parlementaire autant qu’au dialogue social”, a jugé pour les députés PS Boris Vallaud, pour qui le compromis “n’a été dans la pratique du gouvernement qu’un mot”.

Communistes et écologistes avaient auparavant également rejeté l’hypothèses d’un amendement.

L’éventualité divise jusque dans la majorité.

Reçue en premier avec ses homologues du MoDem et d’Horizons, la cheffe de file des députés Renaissance, Aurore Bergé a plaidé “collégialement” en faveur d’une “décision rapide” sur les retraites.

Si le gouvernement devait recourir à l’article 49.3 de la Constitution, ce sera “la responsabilité des oppositions”, selon elle.

– “Pas un scandale” –

Mais le président du groupe MoDem à l’Assemblée nationale, Jean-François Mattéi, a redit à la Première ministre l’opposition de ses députés à un tel amendement, même s’il approuve “la nécessité d’une réforme”.

“Nous avons été élus pour agir, non pas pour procrastiner”, a plaidé de son côté le président du groupe Horizons au Palais-Bourbon Laurent Marcangeli, qui sera “au rendez-vous de la réforme”, tandis que le sénateur macroniste François Patriat rappelait que le Sénat, à majorité de droite, amendait chaque année le budget sur les retraites.

En termes de méthode, le projet de loi sur les énergies renouvelables “sera un bon test” pour “voir si le gouvernement est en capacité justement de rebondir sur (les) propositions” d’EELV et parvient à “trouver d’autres majorités”, a dit espérer le sénateur écologiste Guillaume Gontard.

Son homologue à l’Assemblée nationale, Cyrielle Châtelain, a réclamé une “politique à la hauteur (du) bouleversement” climatique, et redit son “opposition complète” aux réformes “libérales” de l’assurance chômage et des retraites.

La Première ministre doit encore recevoir jeudi Marine Le Pen (RN) et Olivier Marleix (LR), puis le 30 septembre Mathilde Panot (LFI).

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