Aeropuerto Luis Muñoz Marín reanuda operaciones a partir de las 10 a.m.

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Radio Isla TV

El presidente de Aerostar Airport Holdings, LLC. (compañía que maneja las operaciones del Aeropuerto Internacional Luis Muñoz Marín [LMM]), Jorge Hernández, informó que hoy, lunes, desde las 10 a.m., el aeropuerto reanudará sus funciones dentro de las condiciones permitidas, incluyendo el retomar vuelos cancelados o pospuestos desde y hacia Puerto Rico.

“El tráfico aéreo se está reactivando en la mañana de hoy. Ya nosotros, durante la noche de ayer, se hicieron las inspecciones debidas para recertificar que el aeropuerto está en condición para operar comercialmente, y se le somete a las autoridades federales para la aprobación de la misma […] Ya estamos operando con servicio eléctrico comercial. O sea, llegó la luz aquí, al aeropuerto, cerca de la medianoche de hoy. Así que, en efecto, ya a partir de las 10 de la mañana vamos a empezar a tener operaciones aéreas. Obviamente, todavía se está coordinando con las diferentes líneas aéreas para coordinar y reestablecer, realmente, cuáles van a ser los itinerarios de manejo del día de hoy”, indicó Hernández.

El líder informó que no hay daños estructurales mayores más allá de filtraciones y que LUMA Energy trabaja en una área de carga impactada por una subestación aledaña a la estructura.

Asimismo, descartó conocer la situación del Aeropuerto Internacional La Mercedita, en Ponce, y el disparo de precios en boletos de viaje, lo cual achacó a un cambio de algoritmo en los sistemas de reservación de vuelos de las múltiples líneas aéreas.

Respecto a los vuelos, anticipó que puede haber problemas con la disponibilidad del personal, por lo que exhortó a la población a tener paciencia ante la posible dilación que pudiera haber. 

“Hoy es un día bastante crítico en este proceso […] Hay mucho movimiento. Todavía los itinerarios están muy fluidos. O sea, no están definidos. Así que contacten a su línea aérea”, finalizó Hernández.

[embedded content]

[embedded content]

NewsAmericasNow.com

Obstruidas dos carreteras en Trujillo Alto y Ceiba

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Radio Isla TV

Autoridades informaron sobre el cierre de la carretera 175 a la altura de la represa Carraízo debido a un derrumbe de tierra que obstruye ambos carriles en Trujillo Alto.

Por otra parte, otro derrumbe de tierra fue reportado a eso de las 8:00 de la mañana de hoy, lunes, en la carretera 976 del barrio Chupa Cayo en Ceiba.

Personal del Negociado de la Policía de Puerto Rico, en unión a personal de Manejo de Emergencias, se encuentra en el lugar trabajando con la situación.

Nota relacionada: Informan varias carreteras obstruidas

NewsAmericasNow.com

PSG beats Lyon 1-0

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: NBC SVG

 Lionel Messi scored the winner as Paris St-Germain beat Lyon 1-0 at Lyon yesterday to maintain their unbeaten start to French Ligue 1, and move two points clear at the top of the table.

Messi found the net inside five minutes with a smart first-time shot after combining with Neymar, who made his seventh assist in the league this season.

It was a sixth Paris St-Germain goal in all competitions this season for Messi.

Sergio Ramos also had the ball in the net late on, but he was offside following a Messi free-kick.

Related

NewsAmericasNow.com

Monza beats Juventus 1-0

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: NBC SVG

 Newly promoted, Monza claimed the first Italian Serie A victory in their history by beating giants Juventus 1-0 at Monza yesterday.

Christian Gytkjaer  scored the winning goal in the second half for Monza’s first win of the season to move off the bottom of the table.

Juventus had Angel di Maria  sent off in the first half, the 10th dismissal of the Argentine’s career.

Monza were promoted to Serie A for the first-time last season.

The club missed out on automatic promotion but emerged through the play-offs.

Juventus have had a poor start to the season. They are eighth in Serie A, having won just twice in seven matches. They have also lost both of their Champions League matches so far.

Related

NewsAmericasNow.com

SVG Football Federation to recruit fresh talent for its Under-20 and Senior Women’s Teams

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: NBC SVG

The St Vincent and the Grenadines Football Federation will be embarking on a recruitment drive for fresh talent for its Under-20 and Senior Women’s Teams.

Training for the recruitment will start tomorrow at 4.00 p. m and will continue each Tuesday and Thursday at that time at the Golden Grove Playing Field in Fitz Hughes for players in Zone 1; at the Sion Hill Playing Field for players in Zone 2; at the Greggs Playing Field for players in Zone 3 and at the Mt Young Playing Field for players in Zone 4.

Players are to attend recruitment training at venues which are nearest to where they live.

The St Vincent and the Grenadines Football Federation said the aim is to strive for the holistic development of its technical programmes.

Related

NewsAmericasNow.com

Britse koningin  Elizabeth II naar laatste rustplaats

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: De Ware Tijd Online

LONDEN — Bij de uitvaartdienst van de Britse koningin Elizabeth II waren maandag ongeveer tweeduizend mensen in de Westminster Abbey

NewsAmericasNow.com

Etreint par l’émotion, le Royaume-Uni dit…

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Des funérailles grandioses, conclues par deux minutes de silence: un Royaume-Uni étreint par l’émotion a fait ses adieux en grande pompe lundi à Elizabeth II, souveraine dévouée et “joyeuse” à la popularité planétaire, en présence de centaines de dignitaires étrangers.

Un chapitre d’Histoire s’est tourné avec ces funérailles religieuses, à l’abbaye de Westminster de Londres, de la monarque qui a traversé ses 70 ans, sept mois et deux jours de règne avec un constant sens du devoir, sans jamais laisser percer une opinion mais remplissant ses fonctions de cheffe d’Etat avec sérieux, bienveillance pour ses sujets et un humour pince-sans-rire parfois irrésistible.

“Dans un discours connu prononcé pour ses 21 ans, sa défunte Majesté a déclaré que sa vie entière serait consacrée au service de la nation et du Commonwealth”, organisation réunissant de nombreuses ex-colonies britanniques, a déclaré durant la cérémonie l’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef spirituel de l’Eglise anglicane qui était dirigée par la reine.

“Rarement une promesse aura été aussi bien tenue”, a-t-il ajouté, rendant hommage à une reine “joyeuse, présente pour tant de monde, touchant une multitude de vies”.

– “God Save the King” –

Une fois qu’a retenti le “Last Post”, hommage aux soldats tombés au combat dans l’armée britannique, la cérémonie s’est achevée par deux minutes d’un silence poignant, observées à travers le pays, puis l’hymne national dans sa version masculine, célébrant le nouveau souverain Charles III, “God Save the King”.

Des applaudissements ont retenti à l’extérieur de l’édifice où Elizabeth, encore princesse avait épousé à 21 ans en novembre 1947 le fringant Philip Mountbatten, avant d’y être couronnée le 2 juin 1953.

Dans les rues de Londres ou de Windsor, où la reine sera inhumée dans la soirée, les Britanniques se sont massés – depuis plusieurs jours pour certains – pour participer à cette journée historique, fériée, point d’orgue de l’émotion qui a déferlé après le décès d’Elizabeth II le 8 septembre dans son château écossais de Balmoral, à l’âge de 96 ans.

A l’unisson avec les 2.000 invités à l’intérieur de l’abbaye de Westminster, le public se lève et s’assoit durant la cérémonie, ou se rassemble autour des quelques heureux parvenant à visionner la cérémonie sur leur téléphone portable.

-George et Charlotte aux funérailles –

A l’image d’un deuil national réglé au millimètre et marqué par la pompe et la solennité dont la monarchie britannique a le secret, la dépouille avait quitté peu avant 10H00 GMT Westminster Hall où des centaines de milliers de Britanniques s’étaient recueillis jour et nuit depuis mercredi, après des heures d’attente.

Au son des cornemuses et roulements de tambours, le cercueil, drapé de l’étendard royal et surmonté de la scintillante couronne impériale, a été accompagné en procession jusqu’à l’abbaye de Westminster tiré sur un affût de canon par des marins de la Royal Navy, formant une armée de képis.

Suivait la famille royale, marchant au pas, le regard figé: Charles III, devenu roi à 73 ans après une vie à attendre, ses frères et soeur Anne, Andrew et Edward, l’héritier du trône Willam, nouveau prince de Galles et le prince Harry, en civil, conséquence de son retrait de la monarchie en 2020.

Dans la nef de l’abbaye, ils ont été rejoints par la reine consort Camilla, les épouses de William, Kate, et d’Harry, Meghan. Les deux aînés de William et Kate, George, 9 ans, Charlotte, 7 ans, ont marché derrière le cercueil de leur arrière-grand-mère à sa arrivée dans l’abbaye.

Une cloche avait sonné toutes les minutes, 96 fois pour autant d’années de la reine, avant la cérémonie.

– “J’étais là!” –

Parmi les invités vêtus de noir, le gratin des dirigeants mondiaux s’était déplacé, des président américain Joe Biden et français Emmanuel Macron à l’empereur du Japon Naruhito, pour ces premières funérailles d’Etat depuis celles de Winston Churchill à 1965.

Les têtes couronnées européennes dont le roi Philippe de Belgique, le roi d’Espagne Felipe VI et le prince Albert de Monaco ont aussi pris place sous les arches gothiques de l’abbaye si liée au destin d’Elizabeth II.

Jamais depuis des années Londres n’avait connu une telle affluence de dignitaires, et la police de la capitale n’a jamais connu un tel défi sécuritaire.

Pour des millions de Britanniques, Elizabeth II était la seule, l’unique, ancre rassurante de stabilité dans les convulsions d’un monde qui change.

“Je parlerai de ce moment à mes enfants: Je dirai: j’étais là!”, lance Jack, 14 ans, venu au petit matin avec ses parents à Hyde Park Corner, non loin de Buckingham Palace.

Pour Thay, homme de 59 ans, la reine apportait de la “stabilité” dans une vie “chaotique”. Il espère que Charles fera de même “parce que nous avons besoin de quelque chose à quoi nous accrocher”.

A Windsor, où la reine résidait depuis la pandémie de coronavirus, Pauline Huxtable, 64 ans, est venue fêter sa “vie extraordinaire”, empreinte de “dignité”: c’était une “figure maternelle”.

– Procession historique –

Après la cérémonie à Westminster, le cercueil a été à nouveau placé sur un affût de canon de la Royal Navy pour une procession historique dans les rues du centre de Londres, jusqu’à l’arc de Wellington, d’où il repartira en corbillard pour le château de Windsor.

Plus de 6.000 militaires y participeront.

De plus en plus frêle ces derniers mois, souffrant de problèmes de mobilité, Elizabeth II recevait encore, souriante, deux jours avant son décès, la toute nouvelle Première ministre Liz Truss, sa dernière photo publique.

C’était la dirigeante en exercice la plus âgée du monde. Durant sa vie, elle a traversé la Seconde Guerre mondiale, vu la dissolution de l’Empire britannique, l’entrée puis la sortie de l’Union européenne.

Elle sera inhumée lundi soir dans l’intimité, dans le Mémorial George VI de la chapelle du château aux côtés de ses parents du prince Philip décédé en avril 2021. Ils étaient restés mariés 73 ans.

Après des jours épuisants de voyages dans les quatre nations constitutives du Royaume Uni, de bains de foule conjugués au deuil d’une mère, Charles III, 73 ans, devra écrire sa propre histoire.

Certains rêvaient d’une transition rapide avec le nouveau prince de Galles, son fils William, 40 ans. Mais Charles III a promis, comme sa mère, de servir toute sa vie.

Si sa cote de popularité a grimpé en flèche, à 70% selon YouGov, les défis, nombreux, ne font que commencer, certains pays du Commonwealth ne cachant pas leur souhait de voir évoluer leurs liens avec la monarchie.

Dès mardi, le Royaume-Uni reprend le cours de sa vie suspendue depuis le 8 septembre. La crise du coût de la vie et les mouvements sociaux devraient rapidement refaire la Une des journaux.

NewsAmericasNow.com

Etreint par l’émotion, le Royaume-Uni dit adieu à Elizabeth II, Des funérailles grandioses, conclues par deux minutes de silence: un Royaume-Uni étreint par l’émotion a fait ses adieux en grande pompe lundi à Elizabeth II, souveraine dévouée et “joyeuse” à la popularité…

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Des funérailles grandioses, conclues par deux minutes de silence: un Royaume-Uni étreint par l’émotion a fait ses adieux en grande pompe lundi à Elizabeth II, souveraine dévouée et “joyeuse” à la popularité planétaire, en présence de centaines de dignitaires étrangers.

Un chapitre d’Histoire s’est tourné avec ces funérailles religieuses, à l’abbaye de Westminster de Londres, de la monarque qui a traversé ses 70 ans, sept mois et deux jours de règne avec un constant sens du devoir, sans jamais laisser percer une opinion mais remplissant ses fonctions de cheffe d’Etat avec sérieux, bienveillance pour ses sujets et un humour pince-sans-rire parfois irrésistible.

“Dans un discours connu prononcé pour ses 21 ans, sa défunte Majesté a déclaré que sa vie entière serait consacrée au service de la nation et du Commonwealth”, organisation réunissant de nombreuses ex-colonies britanniques, a déclaré durant la cérémonie l’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef spirituel de l’Eglise anglicane qui était dirigée par la reine.

“Rarement une promesse aura été aussi bien tenue”, a-t-il ajouté, rendant hommage à une reine “joyeuse, présente pour tant de monde, touchant une multitude de vies”.

“God Save the King”

Une fois qu’a retenti le “Last Post”, hommage aux soldats tombés au combat dans l’armée britannique, la cérémonie s’est achevée par deux minutes d’un silence poignant, observées à travers le pays, puis l’hymne national dans sa version masculine, célébrant le nouveau souverain Charles III, “God Save the King”.

Des applaudissements ont retenti à l’extérieur de l’édifice où Elizabeth, encore princesse avait épousé à 21 ans en novembre 1947 le fringant Philip Mountbatten, avant d’y être couronnée le 2 juin 1953.

Dans les rues de Londres ou de Windsor, où la reine sera inhumée dans la soirée, les Britanniques se sont massés – depuis plusieurs jours pour certains – pour participer à cette journée historique, fériée, point d’orgue de l’émotion qui a déferlé après le décès d’Elizabeth II le 8 septembre dans son château écossais de Balmoral, à l’âge de 96 ans.

A l’unisson avec les 2.000 invités à l’intérieur de l’abbaye de Westminster, le public se lève et s’assoit durant la cérémonie, ou se rassemble autour des quelques heureux parvenant à visionner la cérémonie sur leur téléphone portable.

George et Charlotte aux funérailles

Photo AFP

A l’image d’un deuil national réglé au millimètre et marqué par la pompe et la solennité dont la monarchie britannique a le secret, la dépouille avait quitté peu avant 10H00 GMT Westminster Hall où des centaines de milliers de Britanniques s’étaient recueillis jour et nuit depuis mercredi, après des heures d’attente.

Au son des cornemuses et roulements de tambours, le cercueil, drapé de l’étendard royal et surmonté de la scintillante couronne impériale, a été accompagné en procession jusqu’à l’abbaye de Westminster tiré sur un affût de canon par des marins de la Royal Navy, formant une armée de képis.

Suivait la famille royale, marchant au pas, le regard figé: Charles III, devenu roi à 73 ans après une vie à attendre, ses frères et soeur Anne, Andrew et Edward, l’héritier du trône Willam, nouveau prince de Galles et le prince Harry, en civil, conséquence de son retrait de la monarchie en 2020.

Dans la nef de l’abbaye, ils ont été rejoints par la reine consort Camilla, les épouses de William, Kate, et d’Harry, Meghan. Les deux aînés de William et Kate, George, 9 ans, Charlotte, 7 ans, ont marché derrière le cercueil de leur arrière-grand-mère à sa arrivée dans l’abbaye.

Une cloche avait sonné toutes les minutes, 96 fois pour autant d’années de la reine, avant la cérémonie.

“J’étais là!”

Parmi les invités vêtus de noir, le gratin des dirigeants mondiaux s’était déplacé, des président américain Joe Biden et français Emmanuel Macron à l’empereur du Japon Naruhito, pour ces premières funérailles d’Etat depuis celles de Winston Churchill à 1965.

Les têtes couronnées européennes dont le roi Philippe de Belgique, le roi d’Espagne Felipe VI et le prince Albert de Monaco ont aussi pris place sous les arches gothiques de l’abbaye si liée au destin d’Elizabeth II.

Jamais depuis des années Londres n’avait connu une telle affluence de dignitaires, et la police de la capitale n’a jamais connu un tel défi sécuritaire.

Pour des millions de Britanniques, Elizabeth II était la seule, l’unique, ancre rassurante de stabilité dans les convulsions d’un monde qui change.

“Je parlerai de ce moment à mes enfants: Je dirai: j’étais là!”, lance Jack, 14 ans, venu au petit matin avec ses parents à Hyde Park Corner, non loin de Buckingham Palace.

Pour Thay, homme de 59 ans, la reine apportait de la “stabilité” dans une vie “chaotique”. Il espère que Charles fera de même “parce que nous avons besoin de quelque chose à quoi nous accrocher”.

A Windsor, où la reine résidait depuis la pandémie de coronavirus, Pauline Huxtable, 64 ans, est venue fêter sa “vie extraordinaire”, empreinte de “dignité”: c’était une “figure maternelle”.

Procession historique

Après la cérémonie à Westminster, le cercueil a été à nouveau placé sur un affût de canon de la Royal Navy pour une procession historique dans les rues du centre de Londres, jusqu’à l’arc de Wellington, d’où il repartira en corbillard pour le château de Windsor. Plus de 6.000 militaires y participeront.

De plus en plus frêle ces derniers mois, souffrant de problèmes de mobilité, Elizabeth II recevait encore, souriante, deux jours avant son décès, la toute nouvelle Première ministre Liz Truss, sa dernière photo publique.

C’était la dirigeante en exercice la plus âgée du monde. Durant sa vie, elle a traversé la Seconde Guerre mondiale, vu la dissolution de l’Empire britannique, l’entrée puis la sortie de l’Union européenne.

Elle sera inhumée lundi soir dans l’intimité, dans le Mémorial George VI de la chapelle du château aux côtés de ses parents du prince Philip décédé en avril 2021. Ils étaient restés mariés 73 ans.

Après des jours épuisants de voyages dans les quatre nations constitutives du Royaume Uni, de bains de foule conjugués au deuil d’une mère, Charles III, 73 ans, devra écrire sa propre histoire.

Certains rêvaient d’une transition rapide avec le nouveau prince de Galles, son fils William, 40 ans. Mais Charles III a promis, comme sa mère, de servir toute sa vie.

Si sa cote de popularité a grimpé en flèche, à 70% selon YouGov, les défis, nombreux, ne font que commencer, certains pays du Commonwealth ne cachant pas leur souhait de voir évoluer leurs liens avec la monarchie.

Dès mardi, le Royaume-Uni reprend le cours de sa vie suspendue depuis le 8 septembre. La crise du coût de la vie et les mouvements sociaux devraient rapidement refaire la Une des journaux.

NewsAmericasNow.com

Etreint par l’émotion, le Royaume-Uni dit adieu à Elizabeth II

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Des funérailles grandioses, conclues par deux minutes de silence: un Royaume-Uni étreint par l’émotion a fait ses adieux en grande pompe lundi à Elizabeth II, souveraine dévouée et “joyeuse” à la popularité planétaire, en présence de centaines de dignitaires étrangers.

Un chapitre d’Histoire s’est tourné avec ces funérailles religieuses, à l’abbaye de Westminster de Londres, de la monarque qui a traversé ses 70 ans, sept mois et deux jours de règne avec un constant sens du devoir, sans jamais laisser percer une opinion mais remplissant ses fonctions de cheffe d’Etat avec sérieux, bienveillance pour ses sujets et un humour pince-sans-rire parfois irrésistible.

“Dans un discours connu prononcé pour ses 21 ans, sa défunte Majesté a déclaré que sa vie entière serait consacrée au service de la nation et du Commonwealth”, organisation réunissant de nombreuses ex-colonies britanniques, a déclaré durant la cérémonie l’archevêque de Canterbury Justin Welby, chef spirituel de l’Eglise anglicane qui était dirigée par la reine.

“Rarement une promesse aura été aussi bien tenue”, a-t-il ajouté, rendant hommage à une reine “joyeuse, présente pour tant de monde, touchant une multitude de vies”.

“God Save the King”

Une fois qu’a retenti le “Last Post”, hommage aux soldats tombés au combat dans l’armée britannique, la cérémonie s’est achevée par deux minutes d’un silence poignant, observées à travers le pays, puis l’hymne national dans sa version masculine, célébrant le nouveau souverain Charles III, “God Save the King”.

Des applaudissements ont retenti à l’extérieur de l’édifice où Elizabeth, encore princesse avait épousé à 21 ans en novembre 1947 le fringant Philip Mountbatten, avant d’y être couronnée le 2 juin 1953.

Dans les rues de Londres ou de Windsor, où la reine sera inhumée dans la soirée, les Britanniques se sont massés – depuis plusieurs jours pour certains – pour participer à cette journée historique, fériée, point d’orgue de l’émotion qui a déferlé après le décès d’Elizabeth II le 8 septembre dans son château écossais de Balmoral, à l’âge de 96 ans.

A l’unisson avec les 2.000 invités à l’intérieur de l’abbaye de Westminster, le public se lève et s’assoit durant la cérémonie, ou se rassemble autour des quelques heureux parvenant à visionner la cérémonie sur leur téléphone portable.

George et Charlotte aux funérailles

Photo AFP

A l’image d’un deuil national réglé au millimètre et marqué par la pompe et la solennité dont la monarchie britannique a le secret, la dépouille avait quitté peu avant 10H00 GMT Westminster Hall où des centaines de milliers de Britanniques s’étaient recueillis jour et nuit depuis mercredi, après des heures d’attente.

Au son des cornemuses et roulements de tambours, le cercueil, drapé de l’étendard royal et surmonté de la scintillante couronne impériale, a été accompagné en procession jusqu’à l’abbaye de Westminster tiré sur un affût de canon par des marins de la Royal Navy, formant une armée de képis.

Suivait la famille royale, marchant au pas, le regard figé: Charles III, devenu roi à 73 ans après une vie à attendre, ses frères et soeur Anne, Andrew et Edward, l’héritier du trône Willam, nouveau prince de Galles et le prince Harry, en civil, conséquence de son retrait de la monarchie en 2020.

Dans la nef de l’abbaye, ils ont été rejoints par la reine consort Camilla, les épouses de William, Kate, et d’Harry, Meghan. Les deux aînés de William et Kate, George, 9 ans, Charlotte, 7 ans, ont marché derrière le cercueil de leur arrière-grand-mère à sa arrivée dans l’abbaye.

Une cloche avait sonné toutes les minutes, 96 fois pour autant d’années de la reine, avant la cérémonie.

“J’étais là!”

Parmi les invités vêtus de noir, le gratin des dirigeants mondiaux s’était déplacé, des président américain Joe Biden et français Emmanuel Macron à l’empereur du Japon Naruhito, pour ces premières funérailles d’Etat depuis celles de Winston Churchill à 1965.

Les têtes couronnées européennes dont le roi Philippe de Belgique, le roi d’Espagne Felipe VI et le prince Albert de Monaco ont aussi pris place sous les arches gothiques de l’abbaye si liée au destin d’Elizabeth II.

Jamais depuis des années Londres n’avait connu une telle affluence de dignitaires, et la police de la capitale n’a jamais connu un tel défi sécuritaire.

Pour des millions de Britanniques, Elizabeth II était la seule, l’unique, ancre rassurante de stabilité dans les convulsions d’un monde qui change.

“Je parlerai de ce moment à mes enfants: Je dirai: j’étais là!”, lance Jack, 14 ans, venu au petit matin avec ses parents à Hyde Park Corner, non loin de Buckingham Palace.

Pour Thay, homme de 59 ans, la reine apportait de la “stabilité” dans une vie “chaotique”. Il espère que Charles fera de même “parce que nous avons besoin de quelque chose à quoi nous accrocher”.

A Windsor, où la reine résidait depuis la pandémie de coronavirus, Pauline Huxtable, 64 ans, est venue fêter sa “vie extraordinaire”, empreinte de “dignité”: c’était une “figure maternelle”.

Procession historique

Après la cérémonie à Westminster, le cercueil a été à nouveau placé sur un affût de canon de la Royal Navy pour une procession historique dans les rues du centre de Londres, jusqu’à l’arc de Wellington, d’où il repartira en corbillard pour le château de Windsor. Plus de 6.000 militaires y participeront.

De plus en plus frêle ces derniers mois, souffrant de problèmes de mobilité, Elizabeth II recevait encore, souriante, deux jours avant son décès, la toute nouvelle Première ministre Liz Truss, sa dernière photo publique.

C’était la dirigeante en exercice la plus âgée du monde. Durant sa vie, elle a traversé la Seconde Guerre mondiale, vu la dissolution de l’Empire britannique, l’entrée puis la sortie de l’Union européenne.

Elle sera inhumée lundi soir dans l’intimité, dans le Mémorial George VI de la chapelle du château aux côtés de ses parents du prince Philip décédé en avril 2021. Ils étaient restés mariés 73 ans.

Après des jours épuisants de voyages dans les quatre nations constitutives du Royaume Uni, de bains de foule conjugués au deuil d’une mère, Charles III, 73 ans, devra écrire sa propre histoire.

Certains rêvaient d’une transition rapide avec le nouveau prince de Galles, son fils William, 40 ans. Mais Charles III a promis, comme sa mère, de servir toute sa vie.

Si sa cote de popularité a grimpé en flèche, à 70% selon YouGov, les défis, nombreux, ne font que commencer, certains pays du Commonwealth ne cachant pas leur souhait de voir évoluer leurs liens avec la monarchie.

Dès mardi, le Royaume-Uni reprend le cours de sa vie suspendue depuis le 8 septembre. La crise du coût de la vie et les mouvements sociaux devraient rapidement refaire la Une des journaux.

NewsAmericasNow.com

Brazil airline charged $70m for bribery of Brazilian officials Loop Cayman Islands

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Cayman Compass

On September 15, 2022, the Securities and Exchange Commission charged Brazil’s second largest domestic airline, GOL Linhas A?reas Inteligentes, for violating the Foreign Corrupt Practices Act (FCPA). The S?o Paulo-based company, also known as Gol Intelligent Airlines, agreed to pay $70 million to settle the SEC charges.

According to the SEC’s order, Gol bribed prominent Brazilian government officials in exchange for certain favorable payroll tax and aviation fuel tax reductions. The scheme took place against a backdrop of insufficient internal accounting controls, and the bribes were characterized as legitimate business expenses in Gol’s recordkeeping.

“This case highlights the need for internal accounting controls that are effective for transactions initiated at all levels of an organization,” said Charles Cain, the SEC’s FCPA Unit Chief. “Here, Gol’s internal accounting controls were particularly ineffective for transactions initiated by those at its highest levels.”

Gol consented to a cease-and-desist order finding that it violated the anti-bribery, books and records, and internal accounting controls provisions of the FCPA.

Gol also agreed to enter into a deferred prosecution agreement with the U.S. Department of Justice and to pay more than $87 million to settle criminal charges.

Due to Gol’s demonstrated financial condition and inability to pay the fines in full, the SEC and the DOJ waived payment of all but $24.5 million and $17 million of Gol’s payment obligations, respectively. Gol will pay approximately $3.4 million in additional penalties or restitution to Brazilian authorities.

In determining to accept the offer, the SEC considered Gol’s cooperation and remedial acts, which included disciplining the Gol director who orchestrated the scheme and enhancing internal accounting controls and anti-corruption policies and procedures.

The SEC’s investigation was conducted by Ernesto Palacios, Shahriar Masud, and Thierry Olivier Desmet of the SEC’s FCPA Unit. The SEC acknowledges the assistance of the Department of Justice Criminal Division’s Fraud Section, the FBI, the Brazil Controladoria-General da Uni?o, the Advocacia-Geral da Uni?o, and the Minist?rio Publico Federal.

(Source: Securities & Exchange Commission)

NewsAmericasNow.com