Police: Enough chargers for body cams

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THE POLICE says the required infrastructure is in place to allow for the increased usage of body cameras, including “sufficient docking stations for charging the devices.”

In a statement on Monday, the police said, having received 1,000 body cameras in March, 477 of them had since been distributed among ten police units across TT.

“A total of 451 officers were trained in the use of body-worn cameras, with 90 per cent of these officers attached to the nine Divisional Task Forces in Trinidad and the Traffic and Highway Patrol Branch.”

The statement said the Tobago Division received 20 body cameras on Monday and that required training for officers in that division would begin next week.

“Eighty more cameras will be allocated to the division before the end of the month.”

A daily newspaper article published on Sunday, quoted acting Commissioner of Police McDonald Jacob as saying that distribution of the body cameras had been hampered by a lack of technological infrastructure.

“There needs to be, when they (officers) come back with it, they need to have a place to store it to be recharged and so on. So there is a need for recharging stands. But we are putting those infrastructures in place.”

Monday’s police statement, however, painted a better picture.

It said, “The TTPS also wishes to advise that a centralised management system for recorded video has been put in place and is currently undergoing the requisite configuration prior to being activated.

“There are also sufficient docking stations for charging the devices and these are being placed at strategic locations across all ten divisions.”

The statement added that additional distribution of cameras across the service was expected by the end of August.

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Transferts de la diaspora et taux de change r?el

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Lien vers la maison d’?dition : https://link.springer.com/chapter/10.1007/978-3-030-98865-4_8

Ha?ti : Arabie saoudite des Cara?bes ?

Tout semble s?parer Ha?ti de l’Arabie saoudite. Le premier tra?ne une r?putation de pays le plus pauvre d’Am?rique, le second ?voque la richesse p?troli?re coulant ? flots. Pourtant, les deux pays ont au moins deux points communs : 1) des milliards de dollars se d?versent sur leurs ?conomies chaque ann?e et 2) certaines cons?quences de ces flux ne sont pas n?cessairement positives.

Les sources de ces dollars sont bien entendu diff?rentes, la manne du p?trole pour les saoudiens et le dur labeur de la diaspora pour les Ha?tiens. Les montants sont aussi largement diff?rents en valeur absolue : 202 milliards de rente p?troli?re pour l’Arabie saoudite contre 3,3 milliards de transferts pour Ha?ti en 2019. Mais comme souvent en ?conomie, c’est le total des flux par rapport ? la richesse nationale produite par ann?e (PIB) qui compte. En 2019 par exemple, les revenus du p?trole repr?sentaient 24,6 % du PIB saoudien alors que les envois de la diaspora comptaient pour 20,5 % du PIB ha?tien.

En Ha?ti, tout ou presque d?pend de ces 20,5% (23,8% en 2020 d’ailleurs !), sans lui la consommation s’effondrait, on ne pourrait presque plus rien acheter de l’?tranger, le taux de change partirait en fl?che et l’inflation exploserait. Les finances publiques tomberaient dans le coma, car des importations qui chutent soudainement signifient que les recettes douani?res d?gringolent et que l’?tat se retrouve tr?s vite incapable de payer policiers et professeurs aussi bien que de subventionner la gazoline des motos-taxis que le diesel des turbines de l’EDH. Autant dire qu’Ha?ti ne peut se passer de la manne des transferts si elle veut survivre ? court terme.

Toutefois, malgr? les millions d’Ha?tiens qui arrivent ? se nourrir chaque jour, ? payer leur loyer, ou ? envoyer leurs enfants ? l’?cole gr?ce aux transferts, rien ne dit que cette pluie de devises ne charrie pas des effets moins d?sirables. Et c’est l? qu’il faut revenir ? la comparaison avec l’Arabie Saoudite. En effet, il existe une maladie ?conomique bien r?elle, la <> qui survient quand un pays se met ? recevoir de plus en plus de devises sans qu’il y ait un effort pour produire plus de biens et services, de fa?on plus efficace et ? moindre co?t. Ce mal frappe souvent les pays exportateurs de mati?res premi?res (p?trole, diamants, or, …) et fait qu’il leur est de plus en plus difficile de produire autre chose que les mati?res premi?res en question. Ainsi l’Arabie saoudite n’arrive-t-elle pas ? produire et exporter grand-chose en dehors du p?trole depuis que celui-ci est exploit? en 1939.

Ce n’est pas un choix, les Saoudiens ont investi des milliards pour essayer de diversifier leurs exportations et remplacer leurs importations, sans grand r?sultat. ? chaque fois, ce qu’ils essaient de produire en dehors du p?trole est toujours trop cher par rapport ? ce m?me bien ou service achet? ? l’?tranger. La m?me chose se produit chez d’autres exportateurs de mati?res premi?res : Venezuela, Angola, Congo, Russie, beaucoup de pays arabes (mis ? part des exceptions r?centes comme les ?mirats arabes unis et le Qatar). Un ph?nom?ne similaire peut se produire chez un pays d?pendant des transferts. Vous recevez des devises que l’?conomie nationale n’a d?ploy? aucun effort ? produire, tout comme l’Arabie saoudite quand le prix du p?trole passe d’un coup de 60 ? 100$. La pluie de dollars s’intensifie sans que ce soit le r?sultat d’une plus grande productivit? de l’?conomie. R?sultat : vous avez les moyens d’importer encore plus, mais un cercle vicieux s’installe. Vous ne pouvez qu’exporter encore plus de p?trole si vous ?tes l’?conomie saoudienne ou <> encore plus de migrants travaillant ? l’?tranger dans le cas d’Ha?ti.

Par quel m?canisme la <> des mati?res premi?res ou celle des transferts arrive-t-elle ? se transformer en <> et emp?che le pays de produire autre chose ?

Quand ces devises arrivent dans un pays, elles ont, entre autres, deux effets majeurs. D’un c?t?, elles vous donnent les moyens d’importer en quantit? et emp?chent au taux de change de grimper encore plus. Ceci rend les importations plus accessibles et relativement moins ch?res par rapport ? une situation o? ce flux de devises n’existait pas. J’entends d?j? les critiques dire, si les transferts emp?chent le taux de change d’augmenter, pourquoi donc le cours du dollar est-il pass? de 5 gourdes ? plus de 120 gourdes en 40 ans ? En fait, cette multiplication par 24, aussi douloureuse soit-elle, n’est rien par rapport ? ce qui aurait pu se passer en l’absence des transferts. Nos voisins dominicains et jama?cains ont vu leur taux de change nominal se multiplier respectivement par 55 et 84 sur la m?me p?riode. La conjoncture ?conomique d’Ha?ti a-t-elle ?t? tellement favorable pour ?viter que son taux de change augmente autant que celui de ses voisins ? ?videmment non. Un seul facteur nous a emp?ch? de connaitre le m?me sort : l’ampleur des transferts de la diaspora par rapport ? la taille de l’?conomie, autrement dit les transferts en pourcentage du PIB, lesquels sont pass?s de 4,7% ? 24,8% en moins de 35 ans.

D’un autre c?t?, les transferts alimentent la demande pour tout ce qui ne peut ?tre import? dans l’?conomie et que les ?conomistes appellent <>. Que sont donc ces <> ? Principalement des services : commerce, transport, t?l?communications, ?ducation, sant?, … Vu que la demande pour ces <> augmente plus vite que leur production, leur prix augmente, alimentant ainsi l’inflation. Au final, les importations paraissent toujours moins ch?res par rapport ? ce qui est produit localement et si vous essayez de produire pour exporter, les prix ?lev?s dans le secteur des non-?changeables (services en particulier) rendent votre production plus ch?re et non comp?titive.

Une fa?on de mesurer cette comp?titivit? est d’utiliser le taux de change r?el. De quoi s’agit-il ? Non, ce n’est pas le taux de change dont on parle souvent dans les m?dias et qui pr?occupe tous les esprits. Ce <> est un indicateur qui combine ? la fois le <> que tout le monde conna?t et le niveau des prix locaux par rapport aux prix ? l’?tranger. Quand il augmente, les biens et services produits localement deviennent moins chers par rapport ? ceux produits ? l’?tranger et quand il baisse, l’inverse se produit. L’?tude que j’ai r?alis?e avec Dudley Augustin visait justement ? investiguer si une augmentation des flux de transferts de la diaspora ne conduisait pas ? une appr?ciation du taux de change r?el qui rendrait les biens et services produits en Ha?ti de plus en plus chers par rapport ? leurs concurrents ?trangers. Malheureusement, les r?sultats de l’?tude semblent corroborer l’hypoth?se qu’Ha?ti souffrirait de la maladie hollandaise et que les envois de fonds de nos compatriotes contribuent ? l’appr?ciation du taux de change r?el, sur le long terme.

Que faire alors ? Faudrait-il refuser de recevoir les transferts ? Absolument pas ! L’?conomie entrerait dans une crise sans pr?c?dent comme on l’a vu au d?but du texte. Mais, il faut bien garder en t?te que les effets potentiellement nocifs des transferts semblent r?els et ne dispara?tront pas par magie. M?me quand un beau jour on arriverait ? r?tablir un minimum de s?curit? publique et de stabilit? politique, r?duire le d?ficit budg?taire et stabiliser la gourde par rapport au dollar, le probl?me pourrait demeurer entier. Les biens et services produits en Ha?ti risquent toujours d’?tre trop chers par rapport ? ceux de l’?tranger et il serait d?s lors difficile de produire pour remplacer les importations ou exporter. Dans un tel sc?nario, difficile d’esp?rer que le PIB ha?tien augmente fortement sur une longue p?riode et que beaucoup d’emplois formels et durables se cr?ent.

Des solutions cr?atives s’imposent. Il faudra trouver le moyen de r?duire le co?t de ce qui est produit localement alors que le flux des transferts tend ? avoir l’effet inverse. Quelques pays ont pu gu?rir de la <>, leur exemple pourrait ?tre instructif. Des politiques sectorielles cibl?es pourraient ?tre envisag?es. Les transferts, pourraient-ils ?tre canalis?s vers les investissements ?Gardons cela pour un prochain article.

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Seul le march? noir est bien aliment? en produits p?troliers

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La raret? de la gazoline est frappante dans plusieurs stations d’essence de la capitale mais pas dans les rues. Dans les rares stations-service qui distribuent l’essence, l’approvisionnement devient de plus en plus difficile pour les automobilistes. Sans surprise, des gallons jaunes viennent assi?ger les stations d’essence qui font la distribution de la gazoline dans la capitale. Ce qui alimente et ?largit un peu plus le march? informel. Dans les quartiers, les coins de rue et m?me ? proximit? d’une station d’essence, on trouve des gens qui ?coulent tranquillement ce pr?cieux liquide inflammable. Les vendeurs poussent comme des champignons.

Le mercredi 6 juillet, le d?cor ?tait plant? ? la station d’essence jouxtant la ruelle Berne. Un agent de police regarde, impuissant, une affluence de gallons jaunes et de barils. L’officier de police fait la queue pour remplir le r?servoir du v?hicule de service qui tombe en panne d’essence. Lui aussi, il dispose d’un gallon jaune.

<>, commente l’agent de police au milieu du brouhaha. Les chauffeurs de taxi restent en arri?re. Les pompistes sont plus enclins ? desservir les gallons jaunes et autres r?cipients pour le stockage. La raison : sur chaque gallon jaune rempli, un pourcentage va tout droit dans leur poche.

<>, raconte un vendeur ? gorge d?ploy?e. Le d?bat est d’un coup ouvert. <>, dit-il, sourire au coin.

<>, balance-t-il.

? c?t? dudit vendeur, un jeune homme muni d’un baril d’une capacit? de 23 gallons se l?che. <>, raconte le jeune homme, qui pense qu’on doit d?noncer cette situation. <>, dit-il.

Le ministre du Commerce, Ricardin Saint-Jean, avait annonc? le 20 juin dernier trois dispositions pour r?soudre le probl?me de la vente des produits au march? noir. <>, a d?taill? le ministre du Commerce. Comme troisi?me mesure, Ricardin Saint-Jean avait annonc? que le minist?re allait exiger des compagnies p?troli?res des informations sur les transporteurs de carburant.

Le 16 novembre 2021, le minist?re du Commerce et de l’Industrie (MCI) avait publi? une note pour interdire formellement sur toute l’?tendue du territoire toute vente de gazoline et de diesel dans des r?cipients dans le souci de faciliter une distribution ?quitable et disciplin?e des produits p?troliers.

<>, avait exig? le MCI.

La D?l?gation d?partementale de l’Ouest avait aussi mis en garde, le 21 juin 2021, sur la vente illicite des produits p?troliers sur la voie publique. Les autorit?s s?viront avec la derni?re rigueur contre tous les contrevenants, avait menac? la DDO dans une note de presse.

Pendant un certain temps, le march? informel de la vente des produits p?troliers avait pris un s?rieux coup ? la suite de descentes des lieux des autorit?s judiciaires pour interpeller des vendeurs et saisir les produits p?troliers dans plusieurs endroits. Pour l’instant, le march? informel s’?largit sous les yeux impuissants des autorit?s. Toutes les tentatives d’entrer en contact avec le commissaire du gouvernement de Port-au-Prince, Me Jacques Lafontant, se sont r?v?l?es vaines.

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Vers le licenciement d’ici la fin de l’ann?e de 4000 employ?s de S&H Global au parc industriel de Caracol

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Le S&H Global a annonc? le licenciement de 4 000 employ?s, l’?quivalent de 3 usines au parc industriel de Caracol, d’ici la fin de l’ann?e, ? cause du d?clin du march? ?conomique du march? am?ricain et de l’annulation de 45% des commandes de clients d?taillants, a indiqu? Zadok Min, dans une lettre dat?e du 4 juillet 2022 dont Le Nouvelliste a obtenu copie. << Malheureusement, en raison du r?cent d?clin ?conomique du march? am?ricain, 45 % des commandes de nos clients d?taillants am?ricains ont ?t? annul?es. Nous avons fait des efforts colossaux et de multiples appels pour avoir plus de commandes de notre client?le existante, mais nous n’avons pas r?ussi ? faire beaucoup de progr?s. C’est le coeur lourd, a poursuivi Zadok Min, que nous sommes contraints de prendre la d?cision malheureuse de r?duire les lignes de production, ce qui signifie licencier jusqu’? 4 000 employ?s d’ici la fin de l’ann?e.

C’est l’?quivalent de la fermeture de 3 de nos usines actuellement op?rationnelles. Plut?t que de fermer des usines enti?res en masse, nous avons d?cid? de licencier des travailleurs de chaque usine et de r?partir plus ou moins uniform?ment l’impact dans tous nos modules >>. <>, a indiqu? Zadok Min.

<>, peut-on lire dans cette lettre indiquant que l’entreprise vient <>.

<>, a indiqu? Zadok Min, qui dit compter sur le support de ses partenaires <>.

Zadiy Min, dans cette lettre, a exprim? sa gratitude envers ceux qui ont soutenu ses <>, en Ha?ti, o? cette entreprise a form? et employ? plus de 10 000 travailleurs.

Le responsable S&H Global, qui s’appr?te ? faire ces licenciements, a soulign? avoir <>. <>, a-t-il ?crit. Pour une source proche du secteur, cette annonce de licenciements massifs est un coup dur. En moyenne, les usines de la sous-traitance textile travaillent 23 jours par mois. Cela repr?sente pr?s de 60 millions de gourdes de salaire ? 650 gourdes par jour de travail, a-t-elle indiqu?. Cause principale avanc?e: les craintes de r?cession aux USA. Mais la situation en Ha?ti, faite d’ins?curit?, de troubles sociaux, de d?brayage, d’intimidation…, n’aide pas, a indiqu? cette source, qui a indiqu? qu’un container de mati?res premi?res pour une usine de Caracol a ?t? d?tourn? ? Hinche ce mercredi. Mais en d?pit de tout, il faut continuer les efforts pour le renouvellement du CBTPA, de Help. Le secteur de la sous-traitance textile repr?sente le premier poste d’exportation du pays, de tr?s loin, avec des montants avoisinant le milliard de dollars am?ricains.

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Montana r?pond ? Ariel Henry et Primature veut rencontrer tout le monde

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Alors que le pays s’enlise dans une crise inou?e caract?ris?e par des cas de kidnapping, de massacres dans des quartiers populaires, de renforcement des groupes arm?s, d’inflation et de chert? de la vie, le Premier ministre et les membres de l’accord de Montana poursuivent tranquillement leur jeu de correspondances. Dans une lettre responsive ? Ariel Henry cette semaine, le BSA lui <>, lit-on dans la correspondance.

Cette premi?re rencontre entre les deux d?l?gations, selon le BSA, aura pour objectifs sp?cifiques de d?terminer le <>.

<>, a d?taill? le BSA dans sa correspondance au Premier ministre.

Selon Montana, <>.

<>, exige le BSA.


<>, ?crit l’?quipe de Montana qui attend maintenant la r?ponse d’Ariel Henry.

Parall?lement, Me Andr? Michel du Secteur d?mocratique et populaire, signataire de l’accord de la Primature, membre influent du gouvernement et membre de la d?l?gation gouvernementale pour les n?gociations a d?clar? au Nouvelliste : <>

<>, a soutenu Me Andr? Michel, soulignant que les termes de r?f?rence de sa d?l?gation sont presque pr?ts.

Pour lui, les n?gociations devront porter sur <>.

Si depuis le 24 juin dernier le Premier ministre attendait la r?ponse de Montana sur ses conditions pour entamer les n?gociations politiques, aujourd’hui c’est Montana qui attend la r?ponse d’Ariel Henry sur ses modalit?s. Le jeu de correspondances se poursuit entre les protagonistes de la crise.

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Four die from freak series of incidents in Westmoreland | Loop Jamaica

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2 hrs ago

Four persons, including 46-year-old farmer, Hopeton Stewart, who was shot by unknown assailants, were killed in a dramatic series of incidents in a Westmoreland community where a grave digging was reportedly in progress on Sunday evening.

Reports are that about 7:30 pm, Stewart was pounced upon and shot by unknown assailants as he alighted from his motorcar, which he had stopped along the Jerusalem main road in the parish.

The injured Johnson reportedly jumped back into his vehicle and sped off, after which the vehicle got out of control and slammed into a group of people who were standing along the roadway.

The injured persons, including Johnson, were taken to hospital, where he was initially pronounced dead.

Three of the persons who sustained injuries after being hit by the motor vehicle, also reportedly died.

The Westmoreland police are investigating the dramatic development.

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Second man charged in April murder

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Koby Hinds, 23, was arrested and charged for the murder of 19-year-old Josiah Maloney in Demerara Road, Wallerfield, in April.
He was also charged for the possession of a gun and ammunition.
PHOTO COURTESY TTPS – PHOTO COURTESY TTPS

More than a month after an Arima man was arrested and charged for the murder of 19-year-old Josiah Maloney, a second suspect was charged for the killing.

A police media release on Monday reported that 23-year-old Koby Hinds was charged with Maloney’s murder and also for the possession of a firearm, possession of ammunition, possession of a firearm to endanger life, possession of ammunition to endanger life and shooting with intent.

He appeared before magistrate Brambhanan Dubay in the Arima Magistrate’s First Court on Monday.

The matter was adjourned to August 8.

Maloney was at his Demerara Road, Arima, home on April 14 when two gunmen stormed the house, shooting him several times before running away.

Maloney died at the scene while another person who was in the house at the time was wounded.

Northern Division police arrested Hinds on July 6 and was charged by WPC Theroulde on July 9 after receiving advice from the Director of Public Prosecutions Reoger Gaspard, SC.

The investigations were supervised by ASP Douglas, Insp John, Sgt Stanisclaus and acting Cpl Gordon of the Homicide Bureau of Investigations Region II.

The first suspect, 19-year-old labourer Ronaldo Assing was charged on May 25.

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Dancehall Producer Shab Don Returns To Court Today On Bribery Charges

Prominent dancehall producer Shab Don will appear in court today (July 12) for a hearing on the $2 million bribery[Read More…]

The post Dancehall Producer Shab Don Returns To Court Today On Bribery Charges appeared first on Urban Islandz.

Leerkrachten O.S.Bofokule gevlucht naar Paramaribo

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door Samuel Wens BOVEN-SURINAME — De leerkrachten van de school O.S. Bofokule in Boven-Suriname zijn maandagochtend naar Paramaribo vertrokken, omdat zij

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Holness calls on nation to be wary of ‘false prophets’ while… | Loop Jamaica

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While warning Jamaicans to be wary of ‘false prophets’ bringing unrealistic hopes, Prime Minister Andrew Holness has assured that his Jamaica Labour Party (JLP) Administration will ensure that the nation emerges stronger and better from the current global crisis that is being felt locally.

“Crisis is nothing new to Jamaica, and we have survived crisis before, and we have emerged stronger and better,” said Holness while speaking at a church service to mark the 79th anniversary of the JLP.

“… The Jamaica Labour Party has always been at the leadership – even at the forefront – of strengthening the country, assisting it through recovery, and ensuring that as a nation, not only do we survive, but we thrive,” he declared.

There has been much criticism from the Opposition People’s National Party (PNP) of the Government’s response to the rising cost of living locally.

The Russia/Ukraine war also continues to disrupt the global supply chain, resulting in rising inflation and food prices globally.

The Government has responded by, among other initiatives, last week announcing that it will provide $2.7 billion in additional expenditure, including $550 million in general welfare support for beneficiaries who are not on the Programme for Advancement Through Health and Education (PATH).

Still, Opposition Leader Mark Golding, while on the political hustings on the weekend, called on the Government to do more, claiming that the social assistance that is being provided by the Government is not enough.

Golding has also been championing the options of removing unbudgeted levels of the gas tax and cutting back on debt repayment, in order to provide more assistance for Jamaicans who he said are suffering badly from the rising cost of living.

Opposition Leader Mark Golding

On Sunday, Holness used his address at the church service to warn Jamaicans of ‘false prophets’ who he said are providing false hope to the nation.

He cited Jeremiah 29:11 to help highlight his point.

“If you read the entire chapter, you would see like many Jamaicans now, (that) the children of Israel were in the land of Babylon (and had been) taken from their promised land.

“They had given up hope, they had lost faith, and there were many false prophets telling them that, ‘Don’t worry man, in two years you will be taken out of Babylon and returned to the promise land’,” said Holness.

According to him, a similar situation is now occurring in Jamaica, where ‘false prophets’ are making promises.

He said they were telling citizens that, ” ‘Don’t worry, we will just remove the tax of gas. Don’t worry, we can make it hold. Don’t worry. Easy…

“… But the scripture is such that if you read it carefully, it was essentially saying to the children of Israel, ‘Listen, you are going to have tough times, buckle in, settle down, be strategic about what you’re doing. It will take a little time, but don’t be distracted by false prophets preaching false hope,” Holness opined.

He reiterated his call for citizens to remain focused and calm, as the country has overcome crisis in the past.

“… That is our wish and our prayer as we gather here in the tabernacle asking for God’s grace, God’s guidance, God’s protection, (and) God’s endowment of wisdom as we hold our hands steadily on the ship of state going through very difficult waters and strong headwinds.

“… But we will, as we have done in the past, steer the ship of state into our safe harbour,” asserted Holness.

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