SURINAME-ECONOMY – IDB provides funds to help Suriname strengthen fiscal sustainability, economic growth
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Quatre ans après le sacre de la France, la planète football investit le Qatar pour sacrer son nouveau roi lors du premier Mondial organisé dans le monde arabe, traversé par les polémiques sur les…
Quatre ans après le sacre de la France, la planète football investit le Qatar pour sacrer son nouveau roi lors du premier Mondial organisé dans le monde arabe, traversé par les polémiques sur les droits humains, l’impact climatique ou les discriminations.
“Bienvenue à la Coupe du monde arabe”, a titré le journal qatari arabophone Al-Sharq dimanche alors que l’effervescence montait dans le petit émirat, à quelques heures du match d’ouverture dans le stade Al Bayt, à Al Khor, entre le Qatar et l’Équateur (19h00 locales, 17h00 à Paris).
Des supporters étrangers, encore peu nombreux jusqu’à vendredi, sont venus se presser sur la Corniche, la promenade touristique longeant la baie de Doha. En centre-ville, devant la billetterie centrale où s’achètent les tickets pour les 64 matches du Mondial, ont grossi des files d’attente qui n’avaient plus été vues depuis l’ouverture des guichets à la mi-octobre.
Le premier vol commercial entre Israël et le Qatar, deux pays n’ayant pas de relations diplomatiques, a quitté dimanche Tel-Aviv pour Doha dans le cadre d’un programme spécial à l’occasion du tournoi.
Les personnalités continuent d’arriver, comme le président sénégalais Macky Sall ou le prince héritier d’Arabie saoudite Mohammed ben Salmane, à quelques heures d’une cérémonie d’ouverture censée rappeler celles des Jeux olympiques, “mêlant tradition qatarie et culture universelle”.
La tête d’affiche en est l’un des membres du célèbre groupe de K-pop sud-coréenne BTS, lors de cet événement inaugural programmé à partir de 17h40 locales (15h40 à Paris).
Depuis 12 ans, le Qatar s’est préparé pour être capable d’accueillir 32 sélections et des centaines de milliers de fans qui vont débarquer dans cet émirat grand comme Chypre ou la grande région parisienne.
Lors de ce tournoi joué dans huit stades -dont sept sont sortis du désert pour l’occasion-, les habituels géants du ballon rond devraient encore se disputer le trophée, jusqu’à la finale du 18 décembre: Brésil, Argentine, France ou encore Angleterre, Allemagne et Espagne.
La France peut rêver d’imiter l’Italie (1934 et 1938) et le Brésil de Pelé (1958 et 1962), seuls pays à avoir conservé leur titre.
Ce sera toutefois sans le meilleur joueur du monde: tout frais Ballon d’Or, Karim Benzema a déclaré forfait samedi soir, blessé à une cuisse, laissant des Bleus déjà orphelins de Paul Pogba et N’Golo Kanté. Le Madrilène ne sera pas remplacé dans le groupe.
Les Sud-Américains en profiteront-ils? Depuis 20 ans et la victoire du Brésil (2002), les Européens se partagent les titres (Italie 2006, Espagne 2010, Allemagne 2014 et France 2018).
Star argentine qui conduit une équipe invaincue depuis 36 matches, Lionel Messi pense toutefois “que le Brésil, la France et l’Angleterre sont un peu au-dessus”.
Sorti de ce premier cercle, une victoire finale dans le superbe stade doré de Lusail, au nord de Doha, relèverait de l’exploit. Mais la Croatie, finaliste il y a quatre ans, reste un outsider. On peut aussi citer la Serbie, le Portugal de Cristiano Ronaldo (37 ans), l’Uruguay des vétérans Luis Suarez et Edinson Cavani (35 ans), voire le Sénégal, malgré l’absence de Sadio Mané.
D’autant que la donne pourrait changer car pour la première fois, le Mondial ne se joue pas lors de l’été boréal, afin d’éviter les chaleurs intenables (autour de 50°). La Fifa a décalé ce rendez-vous en pleine saison de clubs.
Si tous devraient donc être physiquement déjà bien dans le rythme, les pays entrent dans la compétition sans rodage.
Les exploits des footballeurs ne devraient toutefois pas suffire à éteindre les polémiques sur tous les sujets extras-sportifs qui embrasent ce Mondial depuis des mois, voire des années.
Droits humains des travailleurs ayant construit les somptueuses enceintes, environnement, avec un bilan carbone annoncé neutre mais que ses détracteurs qualifient “d’aberration”, et discrimination des personnes, notamment des LGBTQ+: cette 22e édition est l’une des plus controversées de l’histoire.
Les autorités du petit émirat gazier sont régulièrement critiquées par les ONG pour leur traitement des travailleurs migrants, notamment dans les secteurs de la construction, de la sécurité et du travail domestique. Des accusations vigoureusement rejetées par les autorités qui soulignent avoir réformé les lois sur le travail.
Côté empreinte environnementale, la construction des stades et les transports par avion des supporters venus du monde entier sont en cause. Mais les stades plantés dans le désert rafraîchis par la climatisation aux heures les plus chaudes ont aussi choqué.
Le traitement des personnes LGBTQ+ est un autre sujet d’inquiétude dans un pays conservateur où l’homosexualité et les relations sexuelles hors mariage sont criminalisées.
Les autorités ont assuré qu’elles seraient accueillies sans discrimination mais la volte-face vendredi sur la vente d’alcool finalement interdite autour des stades fait craindre à certains d’autres revirements.
“Si ça veut dire que tout est re-discutable, quid de la sécurité des supporters LGBT, de la possibilité de soutenir son équipe en étant debout au stade, de la possibilité de s’embrasser dans la rue?”, interroge Ronan Evain, directeur général de l’association Football Supporters Europe.
Après des mois de silence, le président de la Fifa, Gianni Infantino a répondu sur un mode offensif samedi: “Donner des leçons de morale -toujours dans le même sens-, c’est simplement de l’hypocrisie”, a-t-il tancé, trouvant “profondément injuste” ces critiques.
“Pour ce que nous, les Européens, avons fait au cours des 3.000 dernières années, nous devrions nous excuser pour les 3.000 prochaines années avant de donner des leçons de morale aux autres”, a-t-il proclamé.
Infantino avait déjà demandé à tous de “se concentrer sur le football”. Pas certain qu’il soit entendu.
L’Allemagne ou le Danemark ont répété que leurs capitaines, Manuel Neuer et Simon Kjaer, porteraient bien le brassard coloré “One Love” en faveur de l’inclusion et contre les discriminations, et non ceux dégainés par la Fifa, porteurs de messages plus consensuels.
Des supporters de l’Equateur avant le match d’ouverture du Mondial contre le Qatar, pays hôte, le 20 novembre 2022 à Doha
• Juan MABROMATA
Des fans de football à l’aéroport de Tel-Aviv, en Israël, avant le départ d’un vol inédit à destination de Doha, pour assister au Mondial, le 20 novembre 2022
• Gil COHEN-MAGEN
Les joueurs les plus attendus de la Coupe du monde de football
• David LORY
Le Français Karim Benzema lors de la séance d’entraînement des Bleus du 19 novembre 2022 à Doha
• FRANCK FIFE
Photo de l’intérieur du stade Al Bayt, où a lieu le match d’ouverture du Mondial entre le Qatar et l’Equateur, prise le 12 novembre 2022
• Gabriel BOUYS
Le président de la Fifa Gianni Infantino lors de la conférence de presse inaugurale du Mondial, le 19 novembre 2022 à Doha
• GABRIEL BOUYS
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L’avenir du réseau social à l’oiseau bleu apparaît très incertain après une semaine aussi agitée que les précédentes, entre nouvelle saignée des effectifs et rétablissement du compte de Donald Trump, probable source de controverses.
Avec environ 237 millions d’utilisateurs quotidiens au dernier pointage, fin juin, Twitter est beaucoup plus modeste que Facebook (1,98 milliard), TikTok (plus d’un milliard), mais aussi Snapchat (363 millions).
Pourtant, en un peu plus de 15 ans, la plateforme est devenue un lieu incontournable pour dirigeants, entreprises, célébrités et médias, qui se contentent parfois de ce canal pour communiquer.
Twitter “n’a rien d’essentiel”, a lancé, sur son compte, Steven Cohn, entrepreneur new-yorkais. “Le monde se débrouillerait fort bien sans Twitter”, a-t-il insisté, convaincu, comme d’autres, que le pays des gazouillis n’est qu’un microcosme, à l’importance réelle limitée.
“L’essentiel des tweets vient de 1%” des utilisateurs, a-t-il écrit. “La plupart des gens normaux ne se connectent jamais.”
Au contraire, pour Karen North, professeure à l’université USC Annenberg, “ce qui est vraiment fort avec Twitter, c’est que n’importe qui peut y annoncer quelque chose qui pourra être vu par tout le monde”.
En cas de conflit, de mouvement social, de vague de répression, “Twitter est devenu une plateforme centrale pour pouvoir rapporter la réalité de ce qui se passe sur le terrain”, estime Charles Lister, du centre de réflexion Middle East Institute, à Washington.
Comme la plupart des autres réseaux sociaux, Twitter est aussi utilisé pour diffuser propagande et fausses informations. L’entreprise a développé des outils de modération pour y faire face, mais leur pérennité fait question après le départ de plus de deux tiers des équipes.
Une étude publiée en 2018 a montré que les fausses informations y circulaient plus vite que celles ayant fait l’objet de vérifications.
“Ce n’est pas réaliste d’imaginer une plateforme où la désinformation serait impossible”, tempère Charles Lister. “Voir disparaître l’information, juste et fausse”, avec l’éventuelle dissolution de Twitter, “est, par définition, une mauvaise chose.”
“Les dirigeants autoritaires ou tous ceux qui ne veulent pas que l’information soit partagée pourraient bénéficier d’un monde sans Twitter”, anticipe Mark Hass, professeur à l’Université de l’Etat d’Arizona.
“Ce serait épouvantable pour le journalisme”, renchérit Karen North. Car “Twitter n’est pas un réseau social”, dit-elle, “c’est un maillage de nouvelles et d’informations, le point de rendez-vous où vont les journalistes pour se mettre à jour, trouver une idée de sujet, une source ou une citation.”
Avec les réductions d’effectifs et la baisse des budgets qu’a vécues la presse depuis plus d’une décennie, “il n’y a plus les ressources suffisantes pour aller chercher les sources sur le terrain”, fait valoir l’universitaire.
Autre effet pervers, selon elle, “sans Twitter, les gens qui auront accès aux médias seront ceux qui seront déjà suffisamment importants pour que la presse les écoute. Avec Twitter, n’importe qui peut annoncer une histoire.”
Autre fonction de cet espace collaboratif, “Twitter est devenu une source vitale d’information, de conseils, d’entraide durant les ouragans, les feux de forêt, les guerres, les attaques terroristes ou les épidémies”, a tweeté Caroline Orr, chercheuse à l’université du Maryland.
“Ce n’est pas quelque chose qui peut être remplacé par des plateformes existantes”, prévient-elle.
Globalement, la question des alternatives possibles à Twitter ne suscite pas de réponse évidente.
“Facebook a son utilité, mais c’est un peu dépassé”, avance Charles Lister.
“Des concurrents de Twitter récupèreront sans doute des utilisateurs”, prévoit Mark Hass, qui mentionne le réseau social Mastodon, “mais ils resteront probablement des niches. Aucun d’entre eux ne deviendra la place publique que Twitter a cherché à créer.”
Il croit davantage au potentiel du site communautaire Reddit, comme Karen North, pour qui ce réseau social est néanmoins limité, en l’état, par sa présentation minimaliste et fouillie, sans comparaison avec la facilité d’utilisation d’un Twitter.
“Je ne crois pas qu’il existe quelque chose aujourd’hui qui offre la même valeur ajoutée que Twitter”, explique Charles Lister.
“Est-ce que cela pourrait être reproduit? Bien sûr”, dit-il, “mais ça nécessiterait des ressources énormes et un délai significatif.”
Le logo de Twitter et une photo d’Elon Musk sur un écran de smartphone, le 4 octobre 2022, à Washington
• OLIVIER DOULIERY
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Un homme est suspecté d’avoir ouvert le feu dans la nuit de samedi à dimanche dans une discothèque LGBTQ à Colorado Springs aux Etats-Unis, tuant au moins cinq personnes et…
Un homme est suspecté d’avoir ouvert le feu dans la nuit de samedi à dimanche dans une discothèque LGBTQ à Colorado Springs aux Etats-Unis, tuant au moins cinq personnes et blessant 18 autres, a annoncé la police.
“Il y a eu une fusillade dans une boîte locale ce soir. Nous avons dix-huit personnes blessées et cinq tuées”, a déclaré une porte-parole de la police, Pamela Castro, prévenant que ce bilan était susceptible d’évoluer. Les blessés ont été transportés dans divers hôpitaux du Colorado, un Etat du centre du pays.
Des policiers intervenus à la suite d’un appel vers 23H57 locales (06H57 dimanche) faisant état d’une fusillade en cours dans cette boîte locale, nommée le Club Q, “ont localisé à l’intérieur un individu que nous pensons être le suspect”, a-t-elle poursuivi.
De son côté, le Club Q a remercié pour la rapidité de leur réaction “les clients héroïques qui ont maîtrisé le tireur et mis fin à cette attaque haineuse”, selon un message posté dimanche sur Facebook. Le club se dit “bouleversé par cette attaque insensée contre notre communauté”.
Le club avait annoncé samedi un événement LGBTQ, une soirée “avec toutes sortes d’identités de genres et de numéros” à l’occasion de la Journée du souvenir trans célébrée le 20 novembre internationalement.
La police de Colorado Springs a annoncé prévoir une conférence de presse en début de matinée dimanche sur la fusillade.
Le 12 juin 2016, un Américain d’origine afghane, Omar Mateen, avait tué 49 personnes et blessé une cinquantaine d’autres dans une boîte gay d’Orlando (Floride, Sud-Est), le Pulse.
Le président américain Joe Biden avait marqué l’an dernier le cinquième anniversaire du massacre d’Orlando en annonçant que le club allait devenir un mémorial national.
Les Etats-Unis paient un très lourd tribut à la dissémination des armes à feu sur leur territoire et à la facilité avec laquelle les Américains y ont accès.
Le pays compte davantage d’armes individuelles que d’habitants: un adulte sur trois possède au moins une arme et près d’un adulte sur deux vit dans un foyer où se trouve une arme.
La conséquence de cette prolifération est le taux très élevé de décès par arme à feu aux Etats-Unis, sans comparaison avec celui des autres pays développés.
Environ 49.000 personnes sont mortes par balle en 2021, contre 45.000 en 2020, qui était déjà une année record. Cela représente plus de 130 décès par jour, dont plus de la moitié sont des suicides.
Ce sont toutefois les fusillades à nombreuses victimes qui marquent le plus les esprits.
L’histoire américaine récente est en effet jalonnée de tueries, sans qu’aucun lieu de la vie quotidienne ne semble à l’abri, de l’entreprise à l’église, du supermarché à la discothèque, de la voie publique aux transports en commun.
Un de ces massacres, commis dans un lycée en Floride le 14 février 2018 à Parkland, a déclenché un vaste mouvement national, avec la jeunesse en fer de lance, pour exiger un encadrement plus strict des armes individuelles aux Etats-Unis.
Mais, malgré la mobilisation de plus d’un million de manifestants, le Congrès des Etats-Unis n’a pas adopté de loi ambitieuse, nombre d’élus étant sous l’influence de la puissante National Rifle Association (NRA), le premier lobby américain des armes.
De fait, dans un pays où la possibilité de détenir une arme à feu est considérée par des millions d’Américains comme un droit constitutionnel fondamental, les seules avancées législatives récentes restent marginales, comme la généralisation des contrôles d’antécédents judiciaires et psychiatriques avant tout achat d’arme.
bur-dva/lch/sba/seb
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China on Sunday announced its first new death from COVID-19 in nearly half a year as strict new measures are imposed in Beijing and across the country to ward against new outbreaks.
The death of the 87-year-old Beijing man was the first reported by the National Health Commission since May 26, bringing the total death toll to 5,227. The previous death was reported in Shanghai, which underwent a major springtime surge in cases.
China on Sunday announced 24,215 new cases detected over the previous 24 hours, the vast majority of them asymptomatic.
While China has an overall vaccination rate of more than 92 per cent having received at least one dose, that number is considerably lower among the elderly — particularly those over age 80 — where it falls to just 65 per cent. The commission did not give details on the vaccination status of the latest deceased.
That vulnerability is considered one reason why China has mostly kept its borders closed and is sticking with its rigid “zero-COVID” policy that seeks to wipe out infections through lockdowns, quarantines, case tracing and mass testing, despite the impact on normal life and the economy and rising public anger at the authorities.
China says its tough approach has paid off in much lower numbers of cases and deaths than in other countries, such as the US.
With a population of 1.4 billion, China has officially reported just 286,197 cases since the virus was first detected in the central Chinese city of Wuhan in late 2019. That compares to 98.3 million cases and 1 million deaths for the US, with its population of 331.9 million, since the virus first appeared there in 2020.
China’s figures have come under question, however, based on the ruling Communist Party’s long-established reputation for manipulating statistics, the lack of outside scrutiny and a highly subjective criteria for determining cause of death.
Unlike in other countries, the deaths of patients who presented COVID-19 symptoms were often attributed to underlying conditions such as diabetes or heart disease, obscuring the real number of deaths from the virus and almost certainly leading to an undercount.
Critics pointed especially to this year’s outbreak in Shanghai. The city of more than 25 million only reported about two dozen coronavirus deaths despite an outbreak that spanned more than two months and infected hundreds of thousands of people in the world’s third-largest city.
China has also defied advice from the World Health Organization to adopt a more targeted prevention strategy. Beijing has resisted calls to cooperate fully with the investigation into the origin of the virus, angrily rejecting suggestions it may have leaked from a Wuhan lab, seeking to turn such accusations on the U.S. military instead.
In all cases, the party’s instinct to use total control — even using routine testing information to limit people’s movements — has won out, with only slight concessions made to criticisms aired on highly censored internet forums.
In response to the latest outrage, the central city of Zhengzhou said Sunday it will no longer require a negative COVID-19 test from infants under age 3 and other “special groups” seeking health care.
The announcement by the Zhengzhou city government came after a second child’s death was blamed on overzealous anti-virus enforcement. The 4-month-old girl died after suffering vomiting and diarrhoea while in quarantine at a hotel in Zhengzhou.
Reports said it took her father 11 hours to get help after health care workers refused to provide assistance and she finally was sent to a hospital 100 kilometres (60 miles) away. Internet users expressed anger at “zero COVID” and demanded officials in Zhengzhou be punished for failing to help the public.
That follows an earlier outcry over a 3-year-old boy’s death from carbon monoxide poisoning in the northwest. His father blamed health workers in the city of Lanzhou, who he said tried to stop him from taking his son to a hospital.
Other cases include a pregnant woman who miscarried after she was refused entry to a hospital in the northwestern city of Xi’an and forced to sit outside in the cold for hours.
Clashes between authorities and residents fed up with restrictions have been reported in numerous cities despite tight controls on information. A new round of mass testing has been ordered in Huizhu district in the southern manufacturing hub of Guangzhou that has seen such frictions involving migrant workers shut out of their homes, the local government said on its official microblog Sunday.
Each such case brings promises from the party — most recently last week — that people in quarantine or who can’t show negative test results wouldn’t be blocked from getting emergency help.
Yet, the party has often found itself unable to rein in stringent and often unauthorized measures imposed by local officials who fear losing their jobs or facing prosecution if outbreaks occur in areas under their jurisdiction.
Nearly three years into the pandemic, while the rest of the world has largely opened up and the impact on the Chinese economy rises, Beijing has mostly kept its borders closed and discouraged travel even within the country.
In the capital Beijing, residents were told not to travel between city districts, and large numbers of restaurants, shops, malls, office buildings and apartment blocks have been closed or isolated. Local and international schools in urban districts of the city of 21 million have been moved online.
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Stakes-leading trainer Jason DaCosta’s United States-bred EAGLE ONE is down in class among overnight-allowance runners, closing Sunday’s nine-race card at Caymanas Park after finishing fifth at long odds behind EXCESSIVE FORCE and stablemate MADELYN’S SUNSHINE in last Saturday’s Grade 2 Port Royal Sprint.
MADELYN’S SUNSHINE, also a US-bred, was the hot favourite to make all at six furlongs after clocking a quick 1:04.3 at five and a half furlongs on October 8. However, the filly was caught close home by back-to-form EXCESSIVE FORCE, who won by a length in 1:12.1.
EAGLE ONE, carrying 119lbs, almost level with EXCESSIVE FORCE, ran a big race into the straight, never worse than third/fourth behind MADELYN’S SUNSHINE being chased by DUKE.
A furlong out, EAGLE ONE appeared to have been marginally second before EXCESSIVE FORCE ran through to go in chase of MADELYN’S SUNSHINE.
EXCESSIVE FORCE won by a length, whereas MADELYN’S SUNSHINE was three and a quarter lengths clear of EL PROFESSOR, DUKE and EAGLE ONE, who needed a ruler to separate them in third, fourth and fifth, respectively.
Returning two classes lower with Robert Halledeen called in to ride three pounds overweight at 118lbs, DaCosta has shown his hand, indicating where stable confidence lies among the three runners going to post from the leading barn.
Fitzroy Glispie’s MONEY MONSTER is also down in class, but shares top weight 126lbs with LABAN, both having won at the level in June.
However, top weight leaves MONEY NOSTER and LABAN with too much to do against EAGLE ONE, a foreigner and middle-distance specialist who won in overnight allowance in January of this year, clocking 1:19.3 at six and a half furlongs, returning a month later to upset FATHER PATRICK in Grade at odds of 4-1 in the exact time.
First post is noon.
CAYMANAS PARK TIPS – SUNDAY, NOVEMBER 20
Race 1 – 1100m
Last Lick (4)
Race 2 -1200m
Legal Opportunity (6)
Race 3 – 1000m Rd
Is That A Fact (4)
—-Race 4 – 1000m St
Sparklin Tradition (5)
Race 5 – 800m St
Okahumpka (9)
Race 6 -1400m
Silent Cat (1)
Race 7 – 1000m St
Just Move In (5)
Race 8 – 1500m
Fly Messenger Fly (8)
Race 9 – 1400m
Eagle One (2)
BETS OF THE DAY
Race 3 – 1000m Rd
Is That A Fact (4)
Race 8 – 1500m
Fly Messenger Fly (8)
Race 9 – 1400m
Eagle One (2)
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Jamaica is facing an epidemic of child abuse, Education and Youth Minister, Fayval Williams, has declared.
The minister pointed to the troubling statistics that the Child Protection and Family Services Agency (CPFSA) receives about 12,000 calls about child abuse cases every year.
“There is an epidemic of child abuse in Jamaica. I don’t know of any other way to say that,” Williams indicated.
She was speaking at the National Church Service in recognition of Saturday’s observance of World Day for the Prevention of Child Abuse at Andrews Memorial Seventh Day Adventist Church.
Based on the cases assessed by the CPFSA, Williams said child abuse “takes many forms” locally.
“It could be because a child has been beaten unconscious, it could be because that child has been sexually abused, neglected, (or) because of emotional abuse, child labour and child trafficking,” she stated.
In noting that some children are abused more than once, Williams said the situation affecting minors could be one of the reasons why so many social ills, including violence in schools and indiscipline on the nation roads, exist today.
The minister is imploring Jamaicans to play their roles in looking out for the warning signs of abuse among children, given the frightening statistics from the CPFSA.
In relation to physical discipline of children, which can often lead to physical abuse, Williams called on parents to exercise patience, among other alternatives.
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Small craft operators and swimmers cautioned
Park and Ride system back for second batch of Humanitarian Awards
US battle injuries, idleness ahead of World Cup opener
Barbados homicides hit 40 in 11 months
Feel left out? Humanitarian Awards Appeal Committee open
Two more Bajans immortalised in history’s books on new Court Complex
Update: Shooting death at Bush Hall, St Michael
Volleyball fraternity mourns passing of John Griffith
Traffic changes for renaming ceremony of Supreme Court Complex
NEWYou can now listen to Loop News articles!
A small craft advisory is in effect for Barbados for above normal swells.
According to the Barbados Meteorological Services, high wind speeds across the central Atlantic are expected to cause a deterioration in sea conditions, particularly across the eastern coast of Barbados from Monday, November 21 until Wednesday, November 23.
Swell heights are expected to be moderate to rough in open water with swells ranging from 2.0m to 3.0m (7 to 10 ft).
All marine craft operators and beachgoers should note the following possibilities along the coast and near shore of this zone, due to the imminent marine threat.
Large open water swells can be hazardous to some vessels.Operation of smaller vessels can be difficult at times due to large swells.
This alert will be updated at 6 pm on Sunday, November 20.
John Griffith was the longest serving president of the Barbados Volleyball Association
“Know your strengths…if you choose to persevere in the things that you love, you’ll get it!”
Die Hard by Kendrick Lamar featuring Amanda Reifer and Blxst nominated for Best Melodic Rap Performance
2022 homicides trending higher than 2021, 2019, 2018
Founder of Khadija Collymore Ministries is currently pursuing a degree in Ministry at Christian Leaders Institute in Michigan
There are three locations this time
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Prime Minister Hon. Philip J. Pierre along with Minister for External Affairs Hon. Alva Baptiste engaged the Working Party on Latin America and the Caribbean within the Council of the European Union (COLAC) on November 16, 2022 for discussions on a range of topics from improved access to climate financing to identifying additional avenues to exchange expertise across various productive sectors as well as creating new business investment opportunities and linkages between Saint Lucia and Europe.
The EU Mission has also expressed interest in jointly pursuing workable solutions to lowering unemployment and implementing strategic social interventions to reduce crime in Saint Lucia.
The COLAC Delegation was led by Chairman of the Working Party, Tomas Reyes Ortega who was also joined by representatives from Germany, Czech Republic, Finland, France, Ireland, Luxembourg, Slovenia and Spain as well as a number of EU officials.
The group was hosted by Ambassador of the European Union to Barbados and the Eastern Caribbean States, H.E Malgorzata Wasilewska.
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The COLAC Delegation also met with Government Ministers and to visited EU-sponsored projects in Saint Lucia before concluding their two-day Mission on November 17, 2022.
SOURCE: Office of the Prime Minister
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PARAMARIBO — De participatie van Suriname – ook als voorzitter van de Caricom – aan de G20-top op Bali, Indonesië,
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