Kortgeding tegen vereniging van RGD-artsen

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PARAMARIBO — De directie van de Stichting Regionale Gezondheidsdienst (RGD) meldt in een persbericht dat maandagochtend een kortgeding dient die

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Kim a supervisé le lancement de son “missile monstre” avec sa fille, une première

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Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a supervisé le lancement vendredi de son “missile monstre”, le Hwasong-17, avec sa fille qui apparait pour la première fois en public…

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a supervisé le lancement vendredi de son “missile monstre”, le Hwasong-17, avec sa fille qui apparait pour la première fois en public, a dévoilé samedi l’agence d’Etat KCNA.

Le dirigeant a indiqué samedi qu’il allait recourir à la bombe atomique en cas d’attaque nucléaire contre son pays. Il a supervisé vendredi le lancement de son dernier missile balistique intercontinental, “avec succès”, selon KCNA.

Ce “tir d’essai a clairement prouvé la fiabilité du nouveau système d’armement stratégique majeur”, a ajouté le média d’Etat.

Fait extrêmement rare, KCNA –unique source d’information venant de Pyongyang– a fait mention de la famille de Kim Jong Un, soulignant que le dirigeant s’était rendu au lancement accompagné de sa “femme et (de sa) fille bien-aimées”.

Il est apparu pour la première fois aux côtés d’une jeune fille dont l’âge n’est pas précisé, vêtue d’une doudoune blanche et de chaussures rouges.

Il s’agit de la première confirmation officielle de l’existence de la fille de Kim Jong Un, selon les experts.

Le dernier lancement de vendredi confirme “qu’une fois de plus les forces nucléaires de la RPDC ont atteint une nouvelle capacité maximale fiable pour contenir toute menace nucléaire”, ajoute KCNA, utilisant l’acronyme du nom officiel de la Corée du Nord.

Les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont intensifié ces derniers mois leurs manoeuvres militaires conjointes depuis que Kim Jong Un a déclaré en septembre que le statut d’Etat nucléaire de la Corée du Nord était “irréversible”.

Séoul et Washington ont notamment mené fin octobre et début novembre les plus grands exercices aériens communs de leur histoire. 

Mais la Corée du Nord voit dans ces démonstrations de force des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à une tentative de renversement du régime.

Kim les a même qualifiés d’”exercices de guerre d’agression hystérique” et a promis de réagir “résolument aux armes nucléaires par des armes nucléaires et à un affrontement total par un affrontement sans merci”, cité par la KCNA.

Nouvelle génération

L’agence nationale nord-coréenne a indiqué que le missile avait atteint “une altitude maximale de 6.040,9 km et a parcouru une distance de 999,2 km” avant “d’atterrir avec précision sur la zone prédéfinie” dans la mer de l’Est, ou mer du Japon.

La distance et l’altitude correspondent aux estimations données par Séoul et par Tokyo vendredi, et ne sont que légèrement inférieures à celles de l’ICBM tiré par Pyongyang le 24 mars, qui semble être le test le plus puissant jamais réalisé par le Nord.

La Corée du Nord avait déjà affirmé avoir testé le 24 mars un Hwasong-17 –qui compte parmi les armes les plus puissantes de Pyongyang et qui a été surnommé le “missile monstre” par des analystes militaires– mais Séoul avait ensuite mis en doute cette affirmation. 

Cette fois, les analystes ont déclaré qu’il semblait que le Nord avait réussi. 

“Ce lancement est significatif car il s’agit (probablement) du premier essai réussi” de ce missile, a souligné auprès de l’AFP Joseph Dempsey, chercheur à l’Institut international d’études stratégiques (IISS).

Pyongyang a procédé début novembre à une rafale sans précédent de tirs de missiles, dont l’un est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud.

La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l’année 2017, quand le dirigeant Kim Jong Un et le président américain de l’époque Donald Trump se menaçaient réciproquement d’apocalypse nucléaire.

En septembre et en octobre, Pyongyang avait déjà tiré une copieuse salve de projectiles, dont l’un avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.

Selon Soo Kim, ancienne analyste de l’agence américaine de renseignement CIA, le lancement de vendredi témoigne de “la permanence du programme d’armement du régime des Kim, car il fait partie intégrante de sa propre survie et de la continuité du règne de sa famille”.

“Cela répond même en partie à des questions entourant la succession”, a ajouté à l’AFP cette analyste, aujourd’hui à la RAND Corporation.  

“Nous avons vu de nos propres yeux la quatrième génération des Kim. Et sa fille — ainsi que d’autres éventuels frères et soeurs — sera certainement préparée par son père”, a-t-elle relevé.

cdl/ceb/nzg/elm

Photo prise le 18 novembre 2022, publiée par l’agence officielle nord-coréenne (KCNA) le 19 novembre 2022, montrant le leader de la Corée du Nord Kim Jong Un (gauche) avec sa fille alors qu’il inspecte le site du missile ballistique intercontinental “Hwasong Gun 17”, à l’aéroport international de Pyongyang
• STR

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What’s Up? Renee 6:30 manifests dream collabs, talks new music Loop Jamaica

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Dancehall artiste Renee 6:30 is manifesting a few of her dream collabs — including one with the ‘Call Me If’ artiste Dexta Daps — and promising to come with the “bang dem” as she works on her EP.

Sharing that she will be focusing on a “straight gyal flex” for her EP, as the men in the space are currently focusing of the “choppings”, the dancer-turned-recording artiste said she is passionate about dancng and singing.

Renee 6:30, given name Renee McLean, said she has always loved dancehall and, whether she is dancing or singing, she can “shell di place”.

Having made her name in the entertainment industry as a dancer, the woman behind the Puppytail dance move talks about her transition to music, cosmetic surgery and those in the industry she admires.

She is known for songs ‘My Body’, ‘Show Me Your Love’, and a feature on Vybz Kartel’s ‘Sometimes Love Dies’.

Watch this week’s What’s Up? recorded and edited by Ramon Lindsay as Renee 6:30 gets candid.

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Two more Bajans immortalised in history’s books on new Court Complex Loop Barbados

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‘We write our names on history’s page with expectations great’

Barbados has honoured two stellar legal minds and forever etched their contributions and memories in brick and mortar, naming the Old Supreme Court Complex the Henry Forde and David Simmons Legal and Judicial Complex.

In the same week that the country welcomed another cohort of lawyers into the field, the annex which was under construction for an extended period is now back in use and its doors are set to open to help with case backlogs.

At the reopening and renaming ceremony held at the Coleridge Street location in the capital city of Bridgetown, Prime Minister Mia Amor Mottley gave the feature address, while Attorney General Dale Marshall and Chief Justice Sir Patterson Cheltenham delivered remarks.

In attendance were the President of Barbados the Most Honourable Dame Sandra Mason and she was accompanied by her son, attorney-at-law Matthew Goodin. Members of Cabinet and Parliament attended along with several dignitaries and a slew members of the Barbados Bar Association and the legal fraternity as well.

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Longue nuit de négociations pour sortir la COP27 de l’impasse

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Des négociations serrées se poursuivent dans la nuit de vendredi à samedi en Egypte à la COP27, qui joue les prolongations pour tenter de débloquer l’impasse autour du financement par les pays riches des dégâts…

Des négociations serrées se poursuivent dans la nuit de vendredi à samedi en Egypte à la COP27, qui joue les prolongations pour tenter de débloquer l’impasse autour du financement par les pays riches des dégâts climatiques déjà subis par les plus pauvres.

Ce dossier emblématique, sur lequel se multiplient les propositions, formelles ou non, a cristallisé l’attention à la conférence sur le climat de Charm el-Cheikh, au sortir d’une année 2022 marquée par une recrudescence inédite des catastrophes climatiques, inondations, sécheresses ou méga-feux…

Mais les discussions achoppent aussi sur d’autres dossiers, comme la réduction des émissions de gaz à effet de serre responsables du réchauffement ou le sort des énergies fossiles.

“Je suis toujours préoccupé par le nombre de questions non résolues”, a lancé devant les délégués le président égyptien de la conférence, Sameh Choukri, annonçant que les travaux, prévus pour s’achever vendredi, se prolongeraient samedi.

“Quelques changements”

La conduite des négociations par la présidence égyptienne est critiquée par de nombreux délégués, qui lui reprochent d’avoir tardé à présenter des projets de textes sur des points de blocage identifiés depuis longtemps.

Les pays en développement ont fait bloc pour demander la création d’un mécanisme financier dédié pour faire face aux “pertes et dommages”.

Une proposition de résolution sur la question, publiée très tard jeudi par les “facilitateurs” officiels suggère trois options, dont une actant le principe de création d’un fonds, dont le fonctionnement serait fixé ultérieurement.

Option acceptable “avec quelques changements”, a dit vendredi la ministre pakistanaise du Changement climatique, Sherry Rehman, présidente en exercice du puissant groupe de négociations G77+Chine.

Dans la soirée de vendredi, une nouvelle proposition informelle a circulé, après des consultations menées, selon une source proche des négociations, par la Grande-Bretagne. Ce document vu par l’AFP évoque des pistes de financement “nouvelles et améliorées” dont un possible “fonds” abondé par des partenaires publics et privés. 

Une variante “diluée” a immédiatement fustigé sur Twitter Mohamed Adow, de l’ONG Power Shift Africa.

Une porte-parole du département d’Etat américain a indiqué que les négociations se poursuivaient mais n’a pas confirmé ce document.

Les pays riches étaient depuis longtemps très réticents à un financement spécifique, craignant d’être confrontés à une responsabilité légale qui pourrait entraîner des dédommagements illimités.

Jeudi, l’Union européenne a fait une ouverture surprise, acceptant le principe d’un “fonds de réponse aux pertes et dommages”, réservé aux “plus vulnérables” sur une “base de contributeurs élargie”, sous-entendu incluant la Chine. 

“L’heure de vérité”

Deux protagonistes importants, Etats-Unis et Chine, n’ont toujours pas fait connaître publiquement leur réaction. 

En pleine négociations finales, l’émissaire spécial américain pour le climat John Kerry a été testé positif au Covid et poursuivra  par téléphone les discussions, a indiqué sa porte-parole.

Et la Chine, premier pollueur et deuxième puissance économique, qui ne veut pas être mise sur la sellette, reste publiquement très discrète. 

Des discussions se poursuivent entre les deux pays, selon des sources à Charm el-Cheikh.

“La Chine et les Etats-Unis peuvent débloquer ce dossier dans les 24 dernières heures”, estime Rachel Cleetus, économiste en chef de l’ONG américaine Union of Concerned Scientists. 

Toutes ces discussions se déroulent dans un contexte de grande méfiance, les pays riches n’ayant jamais tenu un engagement de 2009 de porter à 100 milliards de dollars par an les financements à destination des pays en développement pour l’adaptation au dérèglement climatique et la réduction des émissions.

La présidence égyptienne a publié vendredi matin un nouveau projet de texte final, dont une version amendée après les retours des délégations était toujours attendue tard dans la soirée.

Le document appelle notamment “à poursuivre les efforts pour limiter la hausse des températures à 1,5°C”, se référant clairement aux objectifs de l’accord de Paris, que certains craignaient de voir édulcorés.

Pierre angulaire de la lutte contre le changement climatique, cet accord de 2015 vise à limiter le réchauffement de la planète “nettement en dessous de 2°C” par rapport à l’ère pré-industrielle, si possible à 1,5°C.

Mais les engagements actuels des différents pays sont loin de permettre de tenir cet objectif. Selon les analyses de l’ONU, ils permettent au mieux de limiter le réchauffement à 2,4°C d’ici à la fin du siècle.

Côté énergie, le texte réaffirme la nécessité de réduire l’utilisation du charbon sans systèmes de capture de CO2 et s’attaque aux subventions “inefficaces” aux énergies fossiles, sans mentionner une réduction de l’utilisation du pétrole ou du gaz, que réclamaient de nombreux pays. 

so/uh/mj

COP27: le chef de l’ONU exhorte les parties à “agir rapidement”
• Dounia MAHIEDDINE

L’entrée du Centre de convention international de Charm el-Cheikh (Egypte) qui accueille la COP27, photographiée le 7 novembre 2022
• Ludovic MARIN

Les scénarios du réchauffement climatique
• Simon MALFATTO

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Pyongyang répondra “résolument” au feu nucléaire par l’arme atomique

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Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a promis de recourir à la bombe atomique en cas d’attaque nucléaire contre son pays, selon des médias d’Etat samedi, après un tir…

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un a promis de recourir à la bombe atomique en cas d’attaque nucléaire contre son pays, selon des médias d’Etat samedi, après un tir de missile balistique intercontinental par Pyongyang.

Pyongyang “réagira résolument aux armes nucléaires par des armes nucléaires et à un affrontement total par un affrontement sans merci”, a déclaré Kim Jong Un, cité par l’agence nord-coréenne KCNA, qui précise qu’il a lui-même supervisé le tir de missile de vendredi.

Les Etats-Unis, la Corée du Sud et le Japon ont intensifié ces derniers mois leurs manoeuvres militaires conjointes depuis que Kim Jong Un a déclaré en septembre que le statut d’Etat nucléaire de la Corée du Nord était “irréversible”.

Séoul et Washington ont notamment mené fin octobre et début novembre les plus grands exercices aériens communs de leur histoire. 

Mais la Corée du Nord voit dans ces démonstrations de force des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à une tentative de renversement du régime.

KCNA a indiqué que Kim avait assisté au lancement “avec sa fille et sa femme bien-aimées”. Les médias d’Etat ont montré un Kim rayonnant marchant devant un missile géant, accompagné d’une petite fille en doudoune et chaussures rouges.

Il est extrêmement rare que les médias d’Etat mentionnent les enfants du dirigeant nord-coréen, et il s’agirait de l’une des premières confirmations officielles de l’existence de sa fille, selon des experts.

KCNA a indiqué que l’essai de vendredi concernait le “nouveau type d’ICBM” nord-coréen, le Hwasong-17, et que le “tir d’essai a(vait) clairement prouvé la fiabilité de ce nouveau système d’armement stratégique majeur”.

“Kim Jong Un a déclaré qu’il était venu pour confirmer qu’une fois de plus les forces nucléaires de la RPDC ont atteint une nouvelle capacité maximale fiable pour contenir toute menace nucléaire”, ajoute KCNA, utilisant l’acronyme du nom officiel de la Corée du Nord.

Nouvelle génération

L’agence nationale nord-coréenne a indiqué que le missile avait atteint “une altitude maximale de 6.040,9 km et a parcouru une distance de 999,2 km” avant “d’atterrir avec précision sur la zone prédéfinie” dans la mer de l’Est, ou mer du Japon.

La distance et l’altitude correspondent aux estimations données par Séoul et par Tokyo vendredi, et ne sont que légèrement inférieures à celles de l’ICBM tiré par Pyongyang le 24 mars, qui semble être le test le plus puissant jamais réalisé par le Nord.

La Corée du Nord avait déjà affirmé avoir testé le 24 mars un Hwasong-17 –qui compte parmi les armes les plus puissantes de Pyongyang et qui a été surnommé le “missile monstre” par des analystes militaires– mais Séoul avait ensuite mis en doute cette affirmation. 

Cette fois, les analystes ont déclaré qu’il semblait que le Nord avait réussi. 

Pyongyang a procédé début novembre à une rafale sans précédent de tirs de missiles, dont l’un est tombé près des eaux territoriales de la Corée du Sud.

La seule journée du 2 novembre a vu 23 tirs de missiles nord-coréens, soit plus que pendant toute l’année 2017, quand le dirigeant Kim Jong Un et le président américain de l’époque Donald Trump se menaçaient réciproquement d’apocalypse nucléaire.

En septembre et en octobre, Pyongyang avait déjà tiré une copieuse salve de projectiles, dont l’un avait survolé le Japon pour la première fois depuis cinq ans.

Selon Soo Kim, ancienne analyste de l’agence américaine de renseignement CIA, le lancement de vendredi témoigne de “la permanence du programme d’armement du régime des Kim, car il fait partie intégrante de sa propre survie et de la continuité du règne de sa famille”.

“Cela répond même en partie à des questions entourant la succession”, a ajouté à l’AFP cette analyste, aujourd’hui à la RAND Corporation.  

“Nous avons vu de nos propres yeux la quatrième génération des Kim. Et sa fille –ainsi que d’autres éventuels frères et soeurs– sera certainement préparée par son père”, a-t-elle relevé.

cdl/ceb/bgs/mlb/elm

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Ukraine: la moitié des infrastructures énergétiques détruites, Kiev demande l’aide de l’UE

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L’Ukraine a réclamé vendredi à l’Union européenne un “soutien supplémentaire” pour passer l’hiver alors que près de la moitié de ses infrastructures énergétiques ont été mises “hors d’état de fonctionner” par les frappes russes massives…

L’Ukraine a réclamé vendredi à l’Union européenne un “soutien supplémentaire” pour passer l’hiver alors que près de la moitié de ses infrastructures énergétiques ont été mises “hors d’état de fonctionner” par les frappes russes massives qui les ont visées depuis début octobre.

La Russie a quant à elle accusé des militaires ukrainiens d’avoir exécuté une dizaine de ses soldats qu’ils avaient capturés, dénonçant un “crime de guerre” au lendemain d’accusations ukrainiennes sur des tortures commises à grande échelle par les forces russes à Kherson, ville récemment libérée.

“Près de la moitié de notre système énergétique a été mis hors d’état de fonctionner”, a déclaré le Premier ministre ukrainien Denys Chmygal lors d’une conférence de presse vendredi, réclamant “un soutien supplémentaire” de l’UE.

De nombreux Ukrainiens doivent affronter le début de l’hiver avec peu ou pas d’électricité et sans eau chaude, alors que la première neige de l’hiver est tombée jeudi sur le pays, après plus d’un mois et demi de bombardements sur le réseau énergétique du pays.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a déclaré que dix-sept provinces et la capitale Kiev étaient touchées par des coupures de courant, mais que les ingénieurs travaillaient à réparer le réseau électrique et que les pannes devenaient moins fréquentes.

Accusations mutuelles

Le ministère russe de la Défense a affirmé vendredi qu’il ne visait que les installations liées à l’armée, et qu’une série de frappes de longue portée et de précision effectuées la veille avaient “touché exactement les objets ciblés”.

Le Kremlin a imputé cette semaine les coupures de courant et leur impact sur les civils au refus de Kiev de négocier avec Moscou plutôt qu’aux attaques de missiles russes.

M. Zelensky a rétorqué qu’il ne pensait pas que la Russie était réellement intéressée par des pourparlers de paix, suggérant vendredi soir que le Kremlin “recherch(ait) désormais une courte trêve, un répit pour reprendre des forces”.

La Russie a accusé vendredi l’Ukraine de “crime de guerre”, estimant que les troupes de Kiev avaient exécuté “brutalement” plus de dix de ses militaires qui venaient de se rendre.

Cette accusation intervient après la publication sur les réseaux sociaux russes de deux vidéos d’une trentaine de secondes chacune, présentées par ces sources russes comme prouvant l’exécution des militaires capturés.

Kiev n’avait en fin de journée pas réagi à ces accusations, sur lesquelles l’ONU a indiqué se pencher.

L’Ukraine a affirmé à plusieurs reprises que l’armée russe avait commis des “crimes de guerre” et des “atrocités”, notamment lors de l’occupation d’une partie de la région de Kiev en mars mais aussi dans les régions de Kharkiv (nord-est) et de Kherson (sud) récemment repris.

Une étude de l’université américaine Yale publiée vendredi a recensé 226 détentions extrajudiciaires et disparitions forcées d’Ukrainiens à Kherson lors de l’occupation russe, dans ce qui apparaît comme une campagne planifiée.

“Ces résultats donnent du crédit à une série d’allégations alarmantes sur le traitement des détenus, notamment des morts en détention, l’usage généralisé de la torture et de traitements cruels, inhumains et dégradants, le pillage des personnes emprisonnées et des violences sexuelles et genrées”, affirme l’étude.

Un quart des 226 cas recensés auraient fait l’objet de tortures et quatre sont mortes en détention ou peu après, selon l’étude, qui indique que la majorité de ces actes ont été perpétrés par l’armée russe et par les services de sécurité russe (FSB).

Fortifications en Crimée

Après la reprise la semaine dernière d’une partie de la région de Kherson par l’armée ukrainienne, les lignes finissent de se déplacer dans le sud du pays.

C’est ainsi désormais bien en arrière du front, dans la péninsule de Crimée annexée par Moscou en 2014, que l’armée russe effectue des travaux de fortification, alors que son repli de Kherson et de la rive occidentale du fleuve Dniepr permet désormais aux Ukrainiens de l’atteindre avec leur artillerie.

Il s’agit “de garantir la sécurité des Criméens”, a assuré Sergueï Aksionov, gouverneur installé par Moscou.

L’Ukraine a répété plusieurs fois ces derniers mois vouloir reprendre la péninsule, par la force s’il le faut.

A ce sujet, la Maison Blanche a réitéré vendredi qu’il incombait au seul président ukrainien de décider l’ouverture de négociations avec la Russie, rejetant toute notion de pressions américaines sur Kiev.

Des médias américains ont récemment rapporté que certains hauts responsables commençaient à encourager l’Ukraine à envisager des pourparlers, ce que le président Zelensky a refusé jusqu’ici sans retrait préalable des forces russes de tout le territoire ukrainien.

Sur le terrain, l’armée russe a affirmé avoir conquis la localité d’Opytné dans la région de Donetsk, dans l’est de l’Ukraine.

bur/lpt/mj/mlb/elm

Ukraine: militaires et démineurs toujours à l’œuvre à Kherson une semaine après sa libération
• Jonathan KLEIN

Après un bombardement russe à Kherson, sud de l’Ukraine, le 18 novembre 2022
• BULENT KILIC

L’équipage d’un char ukrainien à Kherson, sud, le 18 novembre 2022
• BULENT KILIC

Carte de la situation en Ukraine au 18 novembre à 10h GMT
• Simon MALFATTO

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KFC Jamaica signs Khadija Shaw as brand ambassador Loop Jamaica

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KFC Jamaica has signed a two-year brand partnership with Reggae Girlz and Manchester City striker Khadija Shaw.

“KFC is a long-time supporter of Jamaican sports and athletes; it is, therefore, an absolute honour to enter into a brand partnership with one of Jamaica’s greatest footballers,” Restaurants of Jamaica’s brand manager, Andrei Roper. “We are pleased to welcome Khadija to the KFC family, and we are delighted to be a part of her journey.

Restaurants of Jamaica is the local franchise holder for KFC.

As part of the partnership, KFC will provide critical support to camps, outreach, and youth development activities that Shaw plans to carry out in Jamaica. In turn, Shaw will appear in KFC brand and retail marketing campaigns, helping to boost the brand image as she continues to excel on and off the field.

Roper further added that “Khadija values align perfectly with everything we hold dear at KFC – leadership, family, teamwork, youth development, nation building, and all-around Jamaican excellence. She is a brilliant role model for young athletes and a true ambassador for Jamaica, with a tremendous future ahead. We look forward to what will undoubtedly be two great years of close collaboration”.

Shaw said that “I’m excited to be partnering with KFC. Growing up as a child in Jamaica, my family and I would often spend time sitting outside in the evenings with our KFC meals spending quality time together. So to now be joining the KFC team as an official partner, it’s a great moment for me and my family. I’m excited to see this partnership come together and I’m looking forward to doing big things.”

Shaw is Jamaica’s all-time leading goal scorer, with 40 goals throughout her career.

In 2018, she was named the Southern Eastern Conference (SEC) Offensive Player of the Year for Tennessee University. Shaw was also recognised by the British publication The Guardian as the 2018 Footballer of the Year and one of the top women’s footballers in the world in 2019.

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‘Bordo’ gezocht voor ernstige misdrijven

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door Ivan Cairo PARAMARIBO — Politicus, Facebook-persoonlijkheid en directeur van het Nationaal Indoor Stadion, Martinus ‘Bordo’ Joel wordt door de

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Dancing, singing and cooking at Cultural Extravanganza

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Flames lit up Road Town on Saturday evening as the annual Cultural Extravaganza closed with a bonfire at the Festival Village Grounds.

Residents from across the territory gathered throughout the day to take part in activities including traditional games, cooking demonstrations, dances, singing, skits and more.

“We started off this morning with a demonstration of cooking of mutton soup and fish soup, and some dumb bread. We’re going to start with the spoken word, then games with the students,” Virgin Islands Communal Association President Melissa Potter said at the beginning of the day. “We’ll have three-legged races, some tug-of-war, lime-and-spoon for anyone who comes. We’re going to have the competition ‘name that bush’ and a cultural section with questions about our culture. That will lead right into the evening with Sankey sing-out, storytelling and bonfire with dance.”

The event was hosted by the VICA, an organisation that aims to preserve the VI’s heritage and promote good governance within the territory, according to a presentation displayed at the event.

Vendors set up their tents as early as 7 a.m. that morning. For farmer Sayretta Pickering, the event was a chance to showcase the plants she grows.

“This is a cultural event, and that’s why I’m participating, because plants and herbs are part of our culture,” Ms. Pickering said. “Before there was medicine in the pharmacy, plants are what we used for medicine. We boiled the bush and made the tea. That’s what we used for healing. Bush is the real thing.”

‘Smells like Vick’s’

She sold plants including chives, mint and rosemary.

“This one smells just like Vick’s and it helps with your throat if you have a cold,” she said of one of her herbs.

Next to her, there were cooking demonstrations of mutton soup. The mutton is traditionally cooked in a pot over a wood fire, Ms. Potter explained.

Nearby, residents cooked soup made with local fish.

Sankey singing

As the evening rolled in, more festivities like Sankey singing and traditional dances began.

Lydia Turnbull, of East End, explained the origin of Sankey singing in Major Bay.

“The Sankey was the book that was used for most of the services except for Sunday morning, so we heard Sankey from Sunday night all the way through Sunday morning,” she said. “Nowadays, when we sing Sankey songs we seem to focus on the rhythm and how you can move, but back then the focus was on the message in the songs.”

She went on to explain the powerful effect Sankey singing could have on the community.

“When the message in the song struck a note or a chord and vibrated in the hearts of those older people, let me tell you: The spirit would call and they would shout in every way,” she said. “Those older folks could not contain themselves when those songs touched their hearts. They moved. They got happy.”

Bonfire lit

During the next hour, while Sankey singing continued, a bonfire was lit a short distance from where the main events had been taken place.

The Cultural Extravaganza was a part of Culture and Tourism Month, which is scheduled to conclude with the Anegada Lobster Fest from Nov. 25-27.

Other activities are also slated for the coming days across the VI.

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