‘Primaire reden voor hangjongeren is geld verdienen’
Black Immigrant Daily News
door Valerie Fris PARAMARIBO — “De straat is de plek waar ze geld kunnen verdienen, want geld verdienen zorgt ervoor
NewsAmericasNow.com
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door Valerie Fris PARAMARIBO — “De straat is de plek waar ze geld kunnen verdienen, want geld verdienen zorgt ervoor
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L’armée polonaise a relevé le niveau d’alerte de certaines de ses unités militaires après des informations, encore non confirmées, de chute de missiles russes en Pologne, dans le cadre de frappes ayant gravement…
L’armée polonaise a relevé le niveau d’alerte de certaines de ses unités militaires après des informations, encore non confirmées, de chute de missiles russes en Pologne, dans le cadre de frappes ayant gravement endommagé les infrastructures énergétiques en Ukraine.
Une réunion du Conseil de défense a eu lieu en Pologne “suite à la situation de crise en cours”, sans plus de détail, alors que Washington dit examiner des informations de presse selon lesquelles deux missiles russes auraient “frappé un lieu en Pologne ou à la frontière avec l’Ukraine”.
“Il vient d’être décidé de relever le niveau d’alerte de certaines unités de combat… et d’autres personnels en uniforme”, a précisé le porte-parole du gouvernement polonais, Piotr Müller.
La Pologne, qui partage une frontière avec l’Ukraine, envahie le 24 février par la Russie, est membre de l’Otan et quelque 10.000 militaires américains se trouvent dans le pays.
Selon des médias polonais locaux, se basant sur des sources non officielles, une explosion aurait fait deux morts dans un dépôt de céréales dans le village polonais de Przewodow, près de la frontière avec l’Ukraine.
De son côté, la Russie a qualifié mardi de “provocations” ces informations. “Les déclarations de médias polonais et de responsables officiels sur une prétendue chute de missiles russes près de la localité de Przewodow relèvent de la provocation intentionnelle dans le but de créer une escalade de la situation”, a déclaré le ministère russe de la Défense sur son compte Telegram.
“Aucune frappe n’a été menée sur des objectifs proches de la frontière ukraino-polonaise” par l’armée russe, a affirmé le ministère. Les images de “débris publiés par les médias polonais depuis les lieux des faits dans la localité de Przewodow n’ont aucun rapport” avec des projectiles russes.
Mais à Kiev, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a accusé la Russie d’avoir tiré des missiles sur la Pologne, membre de l’Otan, qualifiant cette attaque présumée, non confirmée pour l’instant, “d’escalade très importante”.
Son ministre des Affaires étrangères, Dmytro Kuleba, a demandé une réunion “immédiate” de l’Alliance atlantique et qualifié de “théories du complot” les allégations, publiées sur internet, selon lesquelles ce pourrait être un missile ukrainien qui serait tombé en territoire polonais.
En Hongrie, le porte-parole du Premier ministre Viktor Orban a indiqué sur Twitter qu’un Conseil de défense avait également été convoqué dans la soirée “en réponse au missile qui a frappé le territoire de la Pologne”.
A Washington, un porte-parole du Pentagone a déclaré : “Nous n’avons pas d’éléments à ce stade pour confirmer ces informations et nous les examinons de façon plus poussée”.
Le président polonais Andrzej Duda et le président Biden, qui participe à la réunion du G20 à Bali, se sont entretenus au téléphone mardi soir, a annoncé la présidence polonaise.
A Bruxelles, siège de l’OTAN, un responsable de l’Alliance a indiqué qu’elle était “en train d’examiner” ces informations. “Nous sommes en train d’examiner ces informations et nous sommes en coordination étroite avec la Pologne, notre alliée”, a déclaré un responsable de l’Otan.
Le président du Conseil européen, Charles Michel, a pour sa part annoncé qu’il proposerait “une réunion de coordination mercredi avec les dirigeants de l’UE” présents au G20 à Bali, après avoir parlé avec le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki.
-“Gifle au visage du G20”
L’article 5 du traité de l’Alliance atlantique stipule que si un Etat membre est victime d’une attaque armée, les autres considéreront cet acte de violence comme une attaque armée dirigée contre l’ensemble des membres et prendront les mesures jugées nécessaires pour venir en aide au pays attaqué.
Cette information, qui si elle était confirmée constituerait une aggravation sérieuse du conflit, est intervenue au soir d’une journée marquée par une intense campagne de bombardement russe sur les infrastructures ukrainiennes, qualifiée par le président Zelensky de “gifle au visage du G20”, réuni sur l’île indonésienne de Bali.
Présent à Bali, le président français Emmanuel Macron a “pris contact avec les autorités polonaises” et “se tient au courant de la situation”, selon l’Elysée.
L’Ukraine a été frappée par des attaques russes d’une ampleur inédite selon Kiev – une centaine de missiles – contre les réseaux énergétiques qui ont rendu la situation “critique”.
Ces frappes, qui ont fait au moins un mort à Kiev – mais les opérations de secours étaient toujours en cours – ont entraîné des coupures de courant généralisées en Ukraine et jusque dans la Moldavie voisine, aux portes de l’UE.
Le président Zelensky a indiqué que ces frappes avaient provoqué l’arrêt automatique de réacteurs dans deux centrales nucléaires en Ukraine. Dix millions d’Ukrainiens ont été privés d’électricité mais quelque huit millions avaient bénéficié de réparations d’urgence mardi soir, a précisé M. Zelensky.
“Plusieurs réacteurs nucléaires dans deux centrales ont été automatiquement mis hors service à la suite des frappes. Ces conséquences ont été calculées et l’ennemi savait exactement ce qu’il faisait”, a ajouté le chef de l’Etat.
Selon lui ce sont 85 missiles qui ont été tirés sur les villes ukrainiennes, de Kiev à Lviv, près de la frontière polonaise, et de Kharkiv au nord-est à Odessa au sud-ouest. Mais d’après l’armée de l’Air, ce sont pas moins de cent missiles qui ont été tirés, y compris par des bombardiers stratégiques, soit “plus que le 10 octobre, quand les occupants en avaient tiré 84”, selon le porte-parole Iouri Ignat.
Un responsable de l’administration présidentielle ukrainienne a publié une vidéo montrant un immeuble de cinq étages en flammes.
“Nous étions au lit (quand l’immeuble a été frappé). Nous nous sommes précipités dans le couloir, et c’était déjà enfumé”, a raconté à l’AFP Svitlana Romantchouk, 66 ans, qui vivait au quatrième étage de cet immeuble en brique avec son mari Petro, 72 ans.
Lviv, Kharkiv, Vinnitsia, Krementchouk, Rivné, régions de Soumy, Khmelnistky, Volyn, Odessa.. les frappes ont touché tout le pays, et les autorités locales annonçaient tour à tour les dommages dans leur ville sur les réseaux sociaux.
En Moldavie, pays voisin au sud-ouest de l’Ukraine, les frappes russes ont aussi entraîné des coupures d’électricité.
En retour, des frappes ukrainiennes sur la région russe de Belgorod, frontalière au nord-est, ont fait deux mort et trois blessés, a indiqué sur Telegram le gouverneur de la région, Viatcheslav Gladkov.
Les frappes massives sur l’Ukraine ont eu lieu quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après plus de huit mois d’occupation.
Signe des difficultés des Russes sur le terrain, les autorités d’occupation dans la région de Kherson, dont Moscou revendique l’annexion, ont dû abandonner une nouvelle ville, Nova Kakhovka.
Cette ville est située sur la rive gauche (orientale) du Dniepr, où les forces russes s’étaient repliées la semaine dernière faute de pouvoir tenir la rive droite (occidentale), où se trouve Kherson.
Les frappes sont aussi survenues en plein sommet du G20 en Indonésie, boudé par le président russe Vladimir Poutine qui n’a pas même souhaité s’y exprimer par visioconférence.
“Ces frappes russes ne feront qu’approfondir les préoccupations au sein du G20 concernant l’impact déstabilisateur de la guerre de Poutine”, a pour sa part déclaré le conseiller à la sécurité nationale de la Maison Blanche, Jake Sullivan, dans un communiqué.
bur/lpt/mm/cpy
Un homme sur la rive du Dniepr, le 14 novembre 2022 à Kherson, récemment libérée des troupes russes, dans le sud de l’Ukraine
• BULENT KILIC
Carte de la situation en Ukraine au 15 novembre à 15h GMT
• Simon MALFATTO
Des pompiers ukrainiens interviennent sur un site frappé par un missile russe dans le centre de Kiev, le 15 novembre 2022.
• Sergei SUPINSKY
Des pompiers ukrainiens et des sauveteurs interviennent sur le site où des fragments de missiles sont tombés, dans le centre de Kiev, le 15 novembre 2022
• Sergei SUPINSKY
Le porte-parole du gouvernement polonais, Piotr Müller (droite), et le chef du Bureau de la Sécurité nationale, Jacek Siewiera, font une déclaration à Varsovie, le 15 novembre 2022, après une explosion sur le sol polonais
• JANEK SKARZYNSKI
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Elon Musk a annoncé mardi que le lancement du nouvel abonnement payant à Twitter était reporté au 29 novembre, après dix jours de controverses multiples autour…
Elon Musk a annoncé mardi que le lancement du nouvel abonnement payant à Twitter était reporté au 29 novembre, après dix jours de controverses multiples autour du projet phare du nouveau propriétaire.
“Le relancement de Blue Verified est repoussé au 29 novembre pour être sûr qu’il soit béton”, a tweeté le directeur général du réseau social.
Avant le rachat de Twitter par le patron de Tesla le 27 octobre, la plateforme proposait d’une part un service gratuit de vérification de l’identité pour les organisations et personnes notoires, et, d’autre part, un abonnement payant à des options supplémentaires, baptisé Twitter Blue.
Elon Musk a lancé manu militari la refonte de cet abonnement pour y ajouter l’authentification, que tous les utilisateurs pourront donc obtenir quelle que soit leur notoriété, moyennant huit dollars par mois.
Le nouveau Twitter Blue a été activé il y a une semaine sur les iPhone dans une cacophonie totale, quelques jours après le licenciement de la moitié des 7.500 employés de la société.
Pendant 48 heures, de nombreux comptes se sont fait passer pour ceux de célébrités ou de grandes entreprises, de LeBron James à Nintendo. L’entreprise pharmaceutique Eli Lilly a dû s’excuser jeudi après le succès d’un tweet émis avec un compte à son nom, doté de la coche bleue, qui promettait de l’insuline gratuite.
Vendredi, la possibilité de souscrire à “Twitter Blue” a disparu, et un mémo interne, publié par certains médias américains, a indiqué que le service était suspendu “pour résoudre les problèmes d’usurpation”.
Dans le système qui sera lancé le 29 novembre, “tout changement de nom causera la perte de la coche bleue jusqu’à ce que le nom soit vérifié par Twitter”, a promis Elon Musk mardi.
Il a aussi précisé que les personnes qui ne s’abonneront pas perdront la coche bleue (si elles l’avaient obtenue gratuitement) dans les mois qui viennent.
En parallèle, le réseau social avait sorti mercredi dernier un nouveau badge gris “Officiel” pour les comptes notoires.
Elon Musk avait décrété le jour même qu’il supprimait cette nouvelle étiquette, avant que la directrice des produits en développement Esther Crawford n’intervienne, pour expliquer que le badge serait dans un premier temps réservé aux gouvernements et organisations.
Les licenciements ont continué cette semaine au sein d’un Twitter chamboulé. Un ingénieur a été remercié d’un tweet d’Elon Musk après avoir remis en cause en public des affirmations du fantasque dirigeant, qui se considère comme le défenseur ultime de la liberté d’expression.
juj/ube
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La Pologne a placé mardi son armée en état d’alerte renforcée après avoir été atteinte par ce qu’elle a décrit comme un “projectile de fabrication russe”, qui a fait deux morts et pourrait marquer une escalade majeure du conflit…
La Pologne a placé mardi son armée en état d’alerte renforcée après avoir été atteinte par ce qu’elle a décrit comme un “projectile de fabrication russe”, qui a fait deux morts et pourrait marquer une escalade majeure du conflit en Ukraine avec l’implication d’un membre de l’Otan.
Les réactions internationales ont fusé dans la foulée de la confirmation polonaise de ce tir dans le sud-est du pays.
“A 15h40 (14H40 GMT), dans le village de Przewodow (…), un projectile de fabrication russe est tombé, tuant deux citoyens de la République de Pologne”, selon un communiqué de Lukasz Jasina, porte-parole du ministère polonais des Affaires étrangères, signalant que l’ambassadeur russe avait été convoqué pour “des explications détaillées”.
“Il vient d’être décidé de relever le niveau d’alerte de certaines unités de combat… et d’autres personnels en uniforme”, avait annoncé plus tôt le porte-parole du gouvernement polonais Piotr Müller.
Le chef de l’Otan Jens Stoltenberg doit tenir dès mercredi une “réunion d’urgence” avec les ambassadeurs de l’Alliance, selon une porte-parole.
La Pologne, qui partage une frontière avec l’Ukraine, envahie le 24 février par la Russie, est membre de l’Otan et quelque 10.000 militaires américains se trouvent dans le pays.
La Maison Blanche a fait savoir que le président américain Joe Biden avait échangé au téléphone avec M. Stoltenberg et s’était également entretenu avec son homologue polonais Andrzej Duda.
Paris, Londres et Berlin ont assuré Varsovie de leur soutien, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exprimé ses “condoléances pour la mort de citoyens polonais victimes de la terreur des missiles russes”.
“L’Ukraine, la Pologne, toute l’Europe et le monde doivent être entièrement protégés de la Russie terroriste”, a poursuivi M. Zelensky, affirmant avoir “échangé les informations disponibles et (nous) sommes en train de clarifier tous les faits”.
Des médias polonais locaux, se basant sur des sources non officielles, avaient fait état plus tôt d’une explosion ayant fait deux morts dans un dépôt de céréales à Przewodow.
De son côté, Moscou a qualifié les accusations de tirs russes sur le sol polonais de “provocations”.
“Les déclarations de médias polonais et de responsables officiels sur une prétendue chute de missiles russes près de la localité de Przewodow relèvent de la provocation intentionnelle dans le but de créer une escalade de la situation”, avait alors réagi le ministère russe de la Défense sur Telegram.
“Aucune frappe n’a été menée sur des objectifs proches de la frontière ukraino-polonaise” par l’armée russe, affirmait le ministère. Les images de “débris publiés par les médias polonais depuis les lieux des faits dans la localité de Przewodow n’ont aucun rapport” avec des projectiles russes.
Dans la nuit de mardi à mercredi, le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki a appelé “tous les Polonais à garder le calme face à cette tragédie”, à l’issue d’une réunion d’urgence de son cabinet.
Et le président Duda a relevé qu’il n’y avait à ce stade pas de “preuve équivoque” sur l’auteur du tir du missile meurtrier, “probablement de fabrication russe” selon lui. “Une enquête est en cours”, a-t-il tempéré.
A Kiev, le président ukrainien a directement accusé la Russie d’avoir tiré des missiles sur la Pologne, qualifiant cette frappe présumée “d’escalade très importante”.
Son ministre des Affaires étrangères Dmytro Kouleba avait demandé une réunion “immédiate” de l’Otan et qualifié de “théories du complot” les allégations, publiées sur internet, selon lesquelles ce pourrait être un missile ukrainien qui serait tombé en territoire polonais.
En Hongrie, le porte-parole du Premier ministre Viktor Orban a indiqué sur Twitter qu’un Conseil de défense avait été convoqué dans la soirée “en réponse au missile qui a frappé le territoire de la Pologne”.
Le président du Conseil européen Charles Michel a annoncé qu’il proposerait “une réunion de coordination mercredi avec les dirigeants de l’UE” présents au G20 à Bali, après avoir parlé avec le Premier ministre polonais.
Selon la présidence française, Emmanuel Macron “explore la possibilité d’une discussion” dès mercredi matin “au niveau des leaders” réunis sur l’île indonésienne, pour “analyser les risques” et “prévenir une escalade du conflit”, “compte tenu de la présence de tous nos grands partenaires européens et nos grands partenaires alliés au G20”.
– “Gifle au visage du G20” –
L’article 5 du traité de l’Alliance atlantique affirme que si un Etat membre est victime d’une attaque armée, les autres considèreront cet acte de violence comme une attaque armée dirigée contre l’ensemble des membres et prendront les mesures jugées nécessaires pour venir en aide au pays attaqué.
Si une attaque d’origine russe était confirmée cela constituerait une aggravation sérieuse du conflit en Ukraine.
Ce tir est intervenu au soir d’une journée marquée par une intense campagne de bombardement russe sur les infrastructures ukrainiennes, qualifiée par le président Zelensky de “gifle au visage du G20”.
L’Ukraine a été frappée par des attaques russes d’une ampleur inédite selon Kiev –une centaine de missiles– contre les réseaux énergétiques qui ont rendu la situation “critique”.
Ces frappes, qui ont fait au moins un mort à Kiev, ont entraîné des coupures de courant généralisées en Ukraine et jusque dans la Moldavie voisine, aux portes de l’UE.
Selon M. Zelensky, ces frappes ont provoqué l’arrêt automatique de réacteurs dans deux centrales nucléaires en Ukraine. Dix millions d’Ukrainiens ont été privés d’électricité mais quelque huit millions avaient bénéficié de réparations d’urgence mardi soir, a-t-il précisé.
Selon lui, 85 missiles ont été tirés sur les villes ukrainiennes, de Kiev à Lviv, près de la frontière polonaise, et de Kharkiv au nord-est à Odessa au sud-ouest. D’après l’armée de l’Air, pas moins de cent missiles ont été tirés.
Un responsable de l’administration présidentielle ukrainienne a publié une vidéo montrant un immeuble de cinq étages en flammes.
“Nous étions au lit (quand l’immeuble a été frappé). Nous nous sommes précipités dans le couloir, et c’était déjà enfumé”, a raconté à l’AFP Svitlana Romantchouk, 66 ans, qui vivait au quatrième étage de cet immeuble en brique avec son mari Petro, 72 ans.
Des frappes ukrainiennes sur la région russe de Belgorod, frontalière au nord-est, ont fait deux mort et trois blessés, a indiqué sur Telegram le gouverneur de la région Viatcheslav Gladkov.
Les frappes massives sur l’Ukraine ont eu lieu quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après plus de huit mois d’occupation.
Signe des difficultés des Russes sur le terrain, les autorités d’occupation dans la région de Kherson, dont Moscou revendique l’annexion, ont dû abandonner une nouvelle ville, Nova Kakhovka.
Cette ville est située sur la rive gauche (orientale) du fleuve Dniepr, où les forces russes s’étaient repliées la semaine dernière faute de pouvoir tenir la rive droite (occidentale), où se trouve Kherson.
Les frappes sont aussi survenues en plein sommet du G20 en Indonésie, boudé par le président russe Vladimir Poutine qui n’a pas même souhaité s’y exprimer par visioconférence.
bur/lpt/mm/cpy/elm/ybl
Carte de la situation en Ukraine au 15 novembre à 15h GMT
• Simon MALFATTO
Des pompiers ukrainiens interviennent sur un site frappé par un missile russe dans le centre de Kiev, le 15 novembre 2022.
• Sergei SUPINSKY
Des pompiers ukrainiens et des sauveteurs interviennent sur le site où des fragments de missiles sont tombés, dans le centre de Kiev, le 15 novembre 2022
• Sergei SUPINSKY
Le porte-parole du gouvernement polonais, Piotr Müller (droite), et le chef du Bureau de la Sécurité nationale, Jacek Siewiera, font une déclaration à Varsovie, le 15 novembre 2022, après une explosion sur le sol polonais
• JANEK SKARZYNSKI
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Donald Trump s’est lancé mardi dans la course pour la Maison Blanche, engageant une campagne qui promet d’être sans merci dans son camp républicain, meurtri et divisé…
Donald Trump s’est lancé mardi dans la course pour la Maison Blanche, engageant une campagne qui promet d’être sans merci dans son camp républicain, meurtri et divisé par la déception des récentes élections.
“J’annonce ma candidature à l’élection présidentielle”, a déclaré l’ancien président de 76 ans, sous un tonnerre d’applaudissements des militants réunis dans la grande salle de réception de sa luxueuse résidence de Mar-a-Lago, en Floride.
Promettant une Amérique “de retour”, Donald Trump a dressé un tableau idyllique de son premier mandat, évoquant un pays en paix, prospère et respecté sur la scène internationale.
A l’inverse, l’ancien chef de l’Etat, arborant sa traditionnelle cravate rouge, n’a pas eu de mots assez durs pour dénoncer le bilan de son successeur, le démocrate Joe Biden.
Un pays plongé dans la violence et le criminalité, où la flambée des prix étrangle les ménages américains, où des “millions” de clandestins traversent la frontière avec les Mexique, s’est-il indigné devant une rangée de drapeaux américains.
“Joe Biden incarne les échecs de la gauche et de la corruption de Washington”, a accusé l’ex-homme d’affaires dans son discours au ton pugnace, d’une durée d’un peu plus d’une heure, s’engageant à ce que le président démocrate “ne passe pas quatre années de plus” à la Maison Blanche.
Joe Biden “nous conduit au bord de la guerre nucléaire”, a-t-il aussi affirmé, en référence au soutien américain à Kiev.
Quelques instants plus tôt, Donald Trump avait déposé auprès des autorités électorales américaines sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, une première étape officielle.
“Cela ne va pas être ma campagne, cela va être notre campagne”, a-t-il promis à ses partisans, installés sur des chaises dorées. Il leur a redit sa volonté de “curer le marigot” de Washington, selon sa formule consacrée pour désigner les élites honnies de la capitale fédérale.
– Pas de “vague géante” –
Cette nouvelle candidature est la troisième du septuagénaire à la Maison Blanche.
Arrivé au pouvoir en novembre 2016 en créant la plus grande surprise politique moderne, Donald Trump avait bafoué tous les usages pendant sa présidence. Il avait quitté Washington dans le chaos après avoir échoué à se faire réélire face à Joe Biden — une défaite qu’il n’a jamais reconnue.
Elle préfigure aussi un possible remake de la présidentielle de 2020: le président Biden a récemment réaffirmé son “intention” de briguer un deuxième mandat.
La réaction du dirigeant démocrate à l’annonce de son rival ne s’est d’ailleurs pas faite attendre: “Trump a laissé tomber l’Amérique”, a tancé Joe Biden, en déplacement en Indonésie.
Les rumeurs allaient bon train ces dernières semaines sur une annonce imminente de Donald Trump, l’ex-président étant alors déterminé à surfer sur le succès pressenti des républicains aux élections du 8 novembre pour reconquérir le pouvoir.
Mais la “vague géante” prédite avec beaucoup d’aplomb par les conservateurs ne s’est pas matérialisée, loin de là: le parti démocrate du président Biden s’est assuré ce week-end de garder le contrôle du Sénat, et pourrait même élargir sa majorité, déjouant les prédictions des sondeurs.
Les républicains reprendront eux très probablement la Chambre des représentants aux démocrates, mais avec une majorité significativement plus faible que prévu.
Cette performance plus que mitigée du camp républicain, notamment de la part de candidats adoubés par Donald Trump, a terni la réputation de faiseur de rois du tribun.
Plusieurs voix influentes dans le camp conservateur ont d’ailleurs appelé le magnat de l’immobilier à s’écarter du leadership républicain, jetant une ombre sur ses projets présidentiels.
Une partie de l’électorat conservateur s’est déjà tourné vers un autre possible prétendant à la Maison Blanche et résident de Floride: son gouverneur, Ron DeSantis. Le quadragénaire, nouvelle star de la droite dure, qui sort lui renforcé des élections de mi-mandat, a assuré que son combat “ne faisait que commencer”.
Et n’a pas manqué de dénoncer mardi la “performance extrêmement décevante” du reste de son camp à ce scrutin, prenant toutefois soin de ne pas nommer Donald Trump directement.
L’ancien vice-président de Donald Trump, Mike Pence, son ex-chef de la diplomatie, Mike Pompeo, le gouverneur de Virginie, Glenn Youngkin… la bataille pour l’investiture républicaine promet d’être âpre.
Mais l’ancien président conserve pour le moment une popularité indéniable auprès de sa base, une marée de casquettes rouges qui continue d’affluer à ses meetings de campagne. La majorité des sondages le donnent d’ailleurs toujours gagnant d’une primaire républicaine.
Un obstacle pourrait toutefois compliquer l’ascension de Donald Trump vers la Maison Blanche: ses nombreux ennuis judiciaires, qui pourraient finir par le disqualifier.
L’ancien président est visé par plusieurs enquêtes pour son rôle dans l’attaque contre le siège du Congrès le 6 janvier 2021 ou sa gestion des archives de la Maison Blanche.
“Je suis une victime”, a déploré Donald Trump devant ses partisans.
En s’appuyant sur un “instinct” toujours mis en avant, le tribun, dont la chute a été mille fois annoncée, a jusqu’ici survécu à tous les scandales. Comme si, à force d’accumulation, ils n’avaient plus d’effet sur lui.
cjc/seb
Un partisan de Donald Trump à Mar-a-Lago, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY
Le président américain Joe Biden, à Washington, le 2 novembre 2022
• Jim WATSON
L’ancien président américain Donald Trump dans sa résidence de Palm Beach, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY
Des soutiens de l’ancien président américain Donald Trump près de sa résidence à Palm Beach, en Floride, le 15 novembre 2022
• Giorgio VIERA
L’ancien président Donald Trump lors d’un meeting de campagne dans l’Ohio, le 7 novembre 2022
• Megan JELINGER
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Several Jamaica Urban Transit Company (JUTC) passengers were injured in separate pepper-spraying and stone-throwing incidents on Monday, which also resulted in two buses being damaged.
According to Corporate Communications Manager for the State-owned bus company, Cecil Thoms, the incidents took place on the same day that taxi and bus operators staged a protest as they demanded a traffic ticket amnesty from the Government.
Thoms said that around 3:20pm on Monday, a route 97 bus, which plies the downtown Kingston to Bull Bay route, was travelling along the intersection of Windward Road and South Camp Road when passengers began shouting that they were having difficulty breathing.
He shared that there was an altercation between students, one of whom “sprayed pepper spray inside the bus”.
“The driver reportedly opened the front door to get passengers out of the unit, while other passengers reportedly broke the side glass of the unit, both right and left, in a bid to exit the bus. It is understood that police personnel who were passing by observed what was happening and provided assistance. The student who released the pepper spray was pointed out and was taken into police custody,” Thoms said.
He said in the second incident, a stone was thrown inside a bus travelling from Half-Way Tree, St Andrew to Spanish Town, St Catherine, on route 32B, in the vicinity of Eastwood Park Road and Courtney Walsh Drive. The incident occurred around 7:40pm.
“One passenger was injured, but his wounds are not considered life-threatening.
“The bus was intercepted by the police along Washington Boulevard near Maverley and a male passenger was taken to hospital,” said Thoms.
The bus company is encouraging persons who may have filmed the two incidents and anyone else who may have information to provide same to the police to help in their investigations.
“We are also pleading with those who would seek to perpetrate violence, the hoodlums who engage in this reckless practice of stoning our buses, to stop it. Such actions only serve to diminish the service we provide to the travelling public and endanger their lives,” Thoms said.
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Black Immigrant Daily News
Kadaffi Romney, mother of Jehlano Romney, centre, leaves the Forensic Science Centre, St. James. Romney, a main witness in the murder of officer Clarence Gilkes was shot and killed at Poinsettia Avenue, Morvant on Sunday. Photo by Ayanna Kinsale
The mother of murdered witness Jehlano Romney claims that the family has been under constant monitoring from the police since the death of PC Clarence Gilkes in April.
Romney, 30, was shot dead at his father’s Poinsettia Drive, Morvant, home on Sunday night.
A woman who was also at home at the time was also wounded in the attack.
Police said she was in stable condition up to Tuesday afternoon.
Romney was the main witness in the shooting death of PC Gilkes in Richplain Road, Diego Martin, on April 22.
While he was originally accused of murdering Gilkes, a post mortem report revealed the policeman was shot from behind with a police-issued bullet.
Speaking with Newsday on Tuesday, Romney’s mother Kadaffi Romney claimed the family has been observed by police until her son’s murder.
“Since the day he got cleared, since his name was cleared he has been under police surveillance continuously in unmarked (police) cars.
“He could not even stay in Richplain where his home was.
“Cars were always turning up in front of my daughter’s residence, I always felt being followed. As a matter of fact, there was one police jeep that kept circling wherever I went, but outside of that, we knew we were not safe.
“It had times where he was staying at one point in Diego Martin, people were always roaming the yard and whatever.
“He knew this was coming.”
Romney said while he did not like staying in Morvant, he chose to stay with his father owing to the anxiety he faced in Diego Martin.
She also dismissed claims from police in the Western Division that Romney was involved in Diego Martin murders in August and October, noting that he became very cautious about venturing outdoors since Gilkes’ death.
“My son was not involved in that because I remembered one day I got up and looked at his WhatsApp status, I didn’t even see the news headline on the murder itself, but I saw him saying, ‘Allyuh really trying hard to put it on me, you all know what you doing, leave my name out of your madness please,’
“There was no way he could have been involved in that (murder).
“He was not even going out.
“Since that has happened to him he has not been able to really work except for a few friends who might give him something to do, people who he felt safe around.
“Sometimes I myself gave him money because he has children to take care of.”
Contacted for comment, acting Police Commissioner McDonald Jacob denied Romney’s claims.
“I know there were no police special operations in relation to them at all.
“If there was an issue with police harassment then they had a right to report it and I was not aware of any reports.”
Jacob added that the police had a right to go on routine patrols and visit areas in different communities and said such activities should not be perceived as surveillance on a particular person.
On Monday, Romney’s attorney Criston Williams claimed that his client asked to be placed in witness protection since he surrendered to police one week after Gilkes’ shooting in April, but did not receive any protection.
Williams also claimed that officials from the Police Complaints Authority (PCA) were present at this meeting with the police.
Responding to Newsday’s questions on Tuesday, the PCA said all complaints made to them were confidential and was unable to share information pertaining to the investigation.
Asked what Romney’s murder meant for Gilkes’ case, the authority said their investigation was closed in June and made recommendations to the Director of Public Prosecutions and the acting Police Commissioner.
“As a matter of law, the DPP has the power under the constitution to institute, take over or discontinue any criminal proceeding before judgment.
“Further, the DPP can make an application to tender statements of deceased persons into evidence if the court determines that it is in the best interest of justice to do so.”
Responding to Williams’s claims, Jacob maintained that Romney was offered police protection on two occasions but refused them.
He also extended condolences to Romney’s family and vowed his murder would be investigated by the police.
“The police service generally feels the hurt when any life is lost in TT.
“Again we want to give the public the assurance that his death will be investigated by the Homicide Department with the same vigour and professionalism like all the other murder enquiries.”
Jacob also urged anyone with information on Romney’s murder to come forward give it to the police.
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– Advertisement –
On November 15, 2022, the Office of the Prime Minister convened a press conference to update the nation on the scale of the loss and damage associated with the impact of a trough system that affected the northern quadrant of the island on November 6, 2022.
The Saint Lucia Meteorological Services has estimated that between the hours of 11 am to 2 pm on November 6, approximately 157 millimetres or 6.1 inches of rainfall was recorded in Rodney Bay, Gros – Islet and approximately 104 millimetres or 4 inches of rainfall was recorded in Forestierre, Castries.
Flooding and flash flooding, landslides and land slippage associated with the November 6 trough system caused extensive damage to public infrastructure as well as private property including homes and businesses in numerous communities from Forestierre in Castries, to Beausejour in Gros – Islet.
The National Emergency Management Organisation is in the process of conducting a Damage Assessment and Analysis report (DANA).
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The DANA report, as of November 14, 2022, indicates that approximately 300 households have been affected by the trough. The ongoing assessment indicates that the total number of affected households will increase.
Most of the affected households indicated that they each lost between 80% – 90% of general household items. Preliminary Loss and damage estimates to residential properties affected by the November 6 trough exceed XCD $1.8 million.
Damage assessments conducted by the Ministry of Infrastructure indicate that eight constituencies incurred varying degrees of loss and damage to public infrastructure.
The estimated cost of damage to public infrastructure related to the passage of the November 6 trough currently stands at XCD $854,180.
The Ministry of Education has reported that a total of eight public schools were affected by the November 6 trough.
The Dame Pearlette Louisy Primary School sustained extensive infrastructural damage. It has been concluded that the school plant has been severely compromised as a result of flood damage. Approximately XCD $2.4 million is required to undertake reconstruction work to restore the school plant.
A Damage and Loss Assessment (DALA) report was also conducted by the Ministry of Agriculture.
The DALA report examined the impact of the November 6 trough on the island’s agricultural, fisheries and forestry subsectors.
To date, the loss and damage costings in agriculture regions one and two in the island’s north is estimated at XCD $1.2 million.
The loss and damage assessment on the commercial sector in the affected zones are continuing and will be reported subsequently. Not including the projected losses suffered by the affected businesses, preliminary cost estimates, at present, exceed XCD $6.2 million.
SOURCE: Office of the Prime Minister
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