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SURINAME HEEFT BETREKKELIJK veel casino’s. Die zijn voor het publiek overzichtelijk zichtbaar. Dat kan niet worden gezegd van het aantal
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SURINAME HEEFT BETREKKELIJK veel casino’s. Die zijn voor het publiek overzichtelijk zichtbaar. Dat kan niet worden gezegd van het aantal
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Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras…
Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras, les journalistes et les fans seront partis”.
“Il ne restera plus que les travailleurs et leurs employeurs et ce sera encore plus dur de faire respecter les lois existantes”, a-t-il estimé dans un entretien accordé à l’AFP, ajoutant qu’il “espère (se) tromper”.
Sous le feu des critiques depuis qu’il a été désigné en décembre 2010 hôte du Mondial-2022, le Qatar a entrepris en 2018 d’importantes réformes de sa législation sur le travail, démantelant son système de parrainage des travailleurs migrants ou encore instaurant un salaire minimum d’environ 270 euros.
L’Organisation internationale du travail (OIT) et les fédérations syndicales internationales qui ont négocié ces réformes saluent les progrès réalisés mais pointent encore des failles dans leur mise en oeuvre. Le Qatar, lui, assure vouloir poursuivre dans cette direction, grâce notamment à l’installation permanente de l’OIT sur son sol.
Après avoir été emprisonné pendant quatre semaines dans l’émirat puis expulsé en 2021, Bidali, qui est devenu militant à plein temps pour les droits des travailleurs migrants, regardera-t-il le Mondial-2022 ?
“C’est une question ambivalente”, répond l’homme de 30 ans. “Dire que je ne regarderai pas serait un mensonge mais, en voyant les stades, je ne pourrai m’empêcher de me demander combien de personnes n’ont pas été payées, combien ont subi des conditions de travail déplorables, combien sont mortes.”
Retour en janvier 2016: Malcolm Bidali arrive au Qatar.
Douze heures par jour, six jours par semaine, il observe des écrans de vidéosurveillance. Résidant dans une villa avec plusieurs autres travailleurs et touchant “1.500 riyals qataris (environ 420 euros) par mois”, il ne se plaint pas. C’est, dit-il, “beaucoup mieux que les conditions au Kenya.”
La situation se dégrade à partir de septembre 2018, quand il est recruté par une deuxième entreprise pour “1.250 riyals qataris par mois” (soit 350 euros). “Nous vivions dans une toute petite pièce de moins de 20 mètres carrés, à six, sur des lits superposés infestés de punaises, et sans aucun verrou à la porte, donc aucune vie privée”, raconte-t-il.
“Au début, je ne disais rien car il fallait garder la tête basse”, poursuit M. Bidali, qui s’est endetté à hauteur de 1.200 dollars auprès d’une agence de recrutement kényane pour émigrer.
Il finit par envoyer des courriers électroniques aux autorités “mais rien ne s’est passé”, affirme-il.
L’agent de sécurité est approché par Migrant-Rights.org, une ONG spécialisée. En 2020, il se met à dénoncer, sous le pseudonyme de “Noah”, les violations du Code du travail et la xénophobie.
“Les conditions de travail au Qatar sont similaires à de l’esclavage dans le sens où quelqu’un te possède, te dit à quelle heure te lever, te coucher, quelle nourriture manger, où tu vis”, relate “Noah”.
Le 4 mai 2021, il est interpellé et conduit dans les locaux de l’agence chargée de la sécurité nationale, sans avocat, déclare-t-il.
“Je ne savais même pas pourquoi j’avais été arrêté”, soutient l’agent de sécurité, qui va rester en détention pendant 28 jours, soumis, selon lui, à des “pressions psychologiques”.
Le Qatar lui reproche d’avoir reçu de l’argent de la part d’un “agent étranger” pour se livrer à de la “désinformation”.
Libéré après des protestations de la part d’ONG et du syndicat des footballeurs professionnels Fifpro, il a interdiction de quitter le territoire pendant deux mois.
Grâce à ses soutiens internationaux et diplomatiques, “Noah” est finalement expulsé mi-août après avoir écopé d’une amende d’un peu plus de 6.000 euros, selon ses dires.
Sollicitées par l’AFP, les autorités qataries n’ont pas souhaité revenir sur cet épisode. Fin mai 2021, elles avaient assuré que l’agent de sécurité bénéficiait “de conseils juridiques et d’une représentation”.
dyg-bur/ng/hpa
Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA
Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA
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Alors que la remise du gouvernement sur les prix des carburants passe de 25 à 8,33 centimes à partir de ce mercredi 16 novembre, le ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François Carenco, affirme se battre actuellement pour maintenir la baisse des tarifs des carburants.
En raison de la baisse de la remise du gouvernement, les prix réglementés des carburants sont censés réaugmenter à partir de ce mercredi 16 novembre, sauf pour la bouteille de gaz. La remise de 25 centimes du gouvernement était valable du 1er septembre jusqu’au 15 novembre inclus. Elle passe à 8,33 centimes, à partir de ce mercredi jusqu’au 31 décembre 2022 dans les Outre-mer, comme dans l’Hexagone.
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Carburants : Gazole et sans plomb repartent à la hausse en novembre
Les évolutions de ce mois-ci sont liés à plusieurs éléments : la hausse des cours du pétrole brut de 2,7% à cause de l’escalade de la guerre en Ukraine au début du mois d’octobre, l’augmentation des cours moyens de l’essence de 18% et l’augmentation de ceux du gazole de 12%, la baisse des cours de butane de 11% pour le 5ème mois consécutif en raison d’une saison anormalement chaude qui réduit fortement la demande en Europe, la diminution de la parité euro/dollar de 2% sous l’effet des politiques monétaires défavorables à la zone euro.
Cependant, le ministre délégué chargé des Outre-mer, Jean-François Carenco, est en mission. À l’heure actuelle, le ministre débat avec les acteurs concernés pour diminuer les prix des carburants en Outre-mer et notamment en Martinique.
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Prix des carburants : coup de pouce de l’État, mais pas de Total
« Les prix ont baissé. L’effort est considérable. Il est plus considérable en Outre-mer qu’en métropole. Total a fait une remise à Mayotte. Il ne l’a pas fait ici pour des raisons que j’assume mais qui ne sont pas ma faute », a expliqué le ministre dimanche soir dans le journal télévisé de Martinique la 1ère. En Martinique, Total a voulu appliquer une remise de 20 centimes, comme en métropole, mais les fournisseurs d’énergie n’ont pas réussi à s’entendre pour faire baisser les prix. La direction du pétrolier a donc fait savoir que son dispositif ne serait pas appliqué chez nous pour ne pas bouleverser l’équilibre social du marché.
« Je me bats encore pour des mesures qui soient plus favorables à l’Outre-mer qu’en métropole, a confié Jean-François Carenco. On peut essayer de lisser, cela est prévu. On lisse avec la Sara, on lisse un certain nombre de sujets. La Martinique n’est pas en dehors du monde. On essaie de compenser le plus possible, a-t-il assuré. Cette compensation a eu lieu et continue. Elle continue plus faiblement, encore que, en Martinique et dans les Antilles, on essaie d’amortir sur la durée en attendant une hypothétique baisse, mais j’y crois encore », a-t-il conclu.
Le prix des carburants
Les nouveaux tarifs des carburants prévus au 16 novembre 2022, sauf changement de dernière minute :
– Supercarburant sans plomb : 1,76 €/L, soit +0,24 €/L par rapport à octobre 2022 (1,52 €/L), au lieu de 1,59 €/L du 1er au 15 novembre.
– Gazole routier : 1,91 €/L, soit +0,09 €/L par rapport à octobre 2022 (1,72 €/L), au lieu de 1,74 €/L, soit +0,02 €/L du 1er au 15 novembre.
Sans l’application de l’aide exceptionnelle les prix seraient les suivants :
– Supercarburant sans plomb : 1,84 €/L, soit +0,07 €/L par rapport à octobre 2022 (1,77 €/L).
– Gazole routier : 1,99 €/L, soit +0,02 €/L par rapport à octobre 2022 (1,97 €/L).
Le prix du gaz
La bouteille de gaz (de 12,5 kg) passe à 24,41 €, soit -2,28 € par rapport à octobre 2022 (26,69 €).
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Rédaction web
Tribunal de Pointe-à-Pitre • DR
Ce mardi (15 novembre), Pierre-Edouard Décimus, et Rudy Roland Vardarassin ont été condamnés par le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre, à la suite des poursuites menées pour des irrégularités financières lors des 40 ans du concert de Kassav. 8 mois de prison avec sursis et des amendes ont été prononcés contre les deux hommes.
Ce mardi matin, le tribunal correctionnel de Pointe-à-Pitre a rendu son délibéré dans l’affaire du concert de Kassav à Baie-Mahault en fin 2019.
Poursuivis pour abus de confiance et prise illégale d’intérêt par chargé de service public, Pierre-Edouard Décimus et Rudy Roland Vardarassin, directeur des opérations spéciales à Cap Excellence ont été respectivement condamnés à 8 mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende et 8 mois de prison également avec sursis et 7500 euros d’amende.
Des irrégularités présumées liées au versement de subventions avaient été soulevées par la Chambre Régionale des Comptes avec la saisie de la brigade financière.
Manque de transparence
Les hommes entendus, Pierre-Edouard Décimus, un des fondateurs mythique du groupe de zouk, et le directeur des grands événements et opérations spéciales à Cap Excellence, Rudy Roland Vardarassin, avaient été placés en garde à vue en juin 2021.
La Chambre Régionale des Comptes avait saisi le parquet en dénonçant un manque de transparence sur la comptabilité, avec des incertitudes sur l’usage des fonds, et surtout des retraits en espèces et des virements du compte bancaire de l’association, vers ceux de Pierre-Edouard Décimus et Rudy Roland Vardarassin, sans justificatif.
Les prévenus peuvent encore faire appel de la décision rendue ce jour.
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Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras…
Malcolm Bidali, l’agent de sécurité kényan qui a dénoncé les conditions de travail au Qatar avant la Coupe du monde de football (20 novembre-18 décembre), s’inquiète de la situation “quand les caméras, les journalistes et les fans seront partis”.
“Il ne restera plus que les travailleurs et leurs employeurs et ce sera encore plus dur de faire respecter les lois existantes”, a-t-il estimé dans un entretien accordé à l’AFP, ajoutant qu’il “espère (se) tromper”.
Sous le feu des critiques depuis qu’il a été désigné en décembre 2010 hôte du Mondial-2022, le Qatar a entrepris en 2018 d’importantes réformes de sa législation sur le travail, démantelant son système de parrainage des travailleurs migrants ou encore instaurant un salaire minimum d’environ 270 euros.
L’Organisation internationale du travail (OIT) et les fédérations syndicales internationales qui ont négocié ces réformes saluent les progrès réalisés mais pointent encore des failles dans leur mise en oeuvre. Le Qatar, lui, assure vouloir poursuivre dans cette direction, grâce notamment à l’installation permanente de l’OIT sur son sol.
Après avoir été emprisonné pendant quatre semaines dans l’émirat puis expulsé en 2021, Bidali, qui est devenu militant à plein temps pour les droits des travailleurs migrants, regardera-t-il le Mondial-2022 ?
“C’est une question ambivalente”, répond l’homme de 30 ans. “Dire que je ne regarderai pas serait un mensonge mais, en voyant les stades, je ne pourrai m’empêcher de me demander combien de personnes n’ont pas été payées, combien ont subi des conditions de travail déplorables, combien sont mortes.”
Retour en janvier 2016: Malcolm Bidali arrive au Qatar.
Douze heures par jour, six jours par semaine, il observe des écrans de vidéosurveillance. Résidant dans une villa avec plusieurs autres travailleurs et touchant “1.500 riyals qataris (environ 420 euros) par mois”, il ne se plaint pas. C’est, dit-il, “beaucoup mieux que les conditions au Kenya.”
La situation se dégrade à partir de septembre 2018, quand il est recruté par une deuxième entreprise pour “1.250 riyals qataris par mois” (soit 350 euros). “Nous vivions dans une toute petite pièce de moins de 20 mètres carrés, à six, sur des lits superposés infestés de punaises, et sans aucun verrou à la porte, donc aucune vie privée”, raconte-t-il.
“Au début, je ne disais rien car il fallait garder la tête basse”, poursuit M. Bidali, qui s’est endetté à hauteur de 1.200 dollars auprès d’une agence de recrutement kényane pour émigrer.
Il finit par envoyer des courriers électroniques aux autorités “mais rien ne s’est passé”, affirme-il.
L’agent de sécurité est approché par Migrant-Rights.org, une ONG spécialisée. En 2020, il se met à dénoncer, sous le pseudonyme de “Noah”, les violations du Code du travail et la xénophobie.
“Les conditions de travail au Qatar sont similaires à de l’esclavage dans le sens où quelqu’un te possède, te dit à quelle heure te lever, te coucher, quelle nourriture manger, où tu vis”, relate “Noah”.
Le 4 mai 2021, il est interpellé et conduit dans les locaux de l’agence chargée de la sécurité nationale, sans avocat, déclare-t-il.
“Je ne savais même pas pourquoi j’avais été arrêté”, soutient l’agent de sécurité, qui va rester en détention pendant 28 jours, soumis, selon lui, à des “pressions psychologiques”.
Le Qatar lui reproche d’avoir reçu de l’argent de la part d’un “agent étranger” pour se livrer à de la “désinformation”.
Libéré après des protestations de la part d’ONG et du syndicat des footballeurs professionnels Fifpro, il a interdiction de quitter le territoire pendant deux mois.
Grâce à ses soutiens internationaux et diplomatiques, “Noah” est finalement expulsé mi-août après avoir écopé d’une amende d’un peu plus de 6.000 euros, selon ses dires.
Sollicitées par l’AFP, les autorités qataries n’ont pas souhaité revenir sur cet épisode. Fin mai 2021, elles avaient assuré que l’agent de sécurité bénéficiait “de conseils juridiques et d’une représentation”.
dyg-bur/ng/hpa
Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA
Malcolm Bidali s’entretient avec l’AFP à Nairobi, le 17 octobre 2022
• Simon MAINA
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Travel in Threes: Ah Stacious…in Belize, Antigua, and Israel
Fraser-Pryce among finalists for World Athlete of the Year
50% loss of production on Monday due to taxi strike – private sector
SOEs declared for seven parishes
Djokovic set to be granted visa to play Australian Open
Flying home for the holidays will cost you more this year
Some schools closed early, others had low attendance amid taxi strike
World population hits 8 billion, creating many challenges
Cops launch search for more persons who were intimidating passengers
‘Professional clown’ caught on camera harassing passengers charged
1 hrs ago – Updated
File photo shows public passenger vehicles in Kingston.
NEWYou can now listen to Loop News articles!
Jamaica’s private sector bodies say the strike among public passenger vehicle (PPV) operators resulted in approximately 50 per cent loss of production on Monday.
The bodies, which include the Private Sector Organisation of Jamaica, The Jamaica Chamber of Commerce, The MSME Alliance and The Jamaica Manufacturers and Exporters Association, have therefore called for an urgent and amicable resolution to this situation.
They say the impacts of this strike are far-reaching and pose a severe blow to efforts to restore the country’s growth.
The country, they note, cannot afford any further setbacks to normalcy, as it has already seen the negative repercussions across sectors during the pandemic, including learning loss by children and reduced operations in businesses.
They further said many of the country’s citizens are reliant on the public transportation system not only to make it to and from work but also to access essential services.
The private sector bodies reiterated their expectation that this situation is resolved quickly and that the respective parties can arrive at a consensus on the way forward.
The police have advised that 46-year-old Xingxiang Zhong, otherwise called ‘Miss Chin’, of Montego West Village, Montego Bay in St James, who went missing on Thursday, November 10, has returned home.
To recognise its strong partnership with Jamaica, Frontier Airlines will feature an image of Jamaica’s national bird – the red-billed streamer tail hummingbird – on the tailfin of a 240-passenger airc
The passenger recently thanked him
Support for transport operators as some J’cans say Gov’t should’ve acted to avoid service disruption
Jamaica will welcome non-stop flights from Santo Domingo, Dominican Republic, to the Norman Manley International Airport in Kingston, beginning Monday, November 14.
The flights, being offered
Cabinet rejects call for traffic ticket amnesty
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Sprint icon Shelly-Ann Fraser-Pryce is among the finalists for the Women’s World Athlete of Year.
The Jamaican, who won a record fifth world 100m title in Oregon on July 17 at age 35, is joined by American 400m hurdles gold medallist Sydney McLaughlin and Venezuelan triple jump world record holder Yulimar Rojas.
Peruvian race walk double champion Kimberly Garcia and Nigerian 100m hurdles gold medallist Tobi Amusan make up the shortlist.
The women’s finalists are:
Tobi Amusan, NGR- World 100m hurdles champion- Diamond League, Commonwealth and African 100m hurdles champion- Set a world 100m hurdles record of 12.12
Shelly-Ann Fraser-Pryce, JAM- World 100m champion, claiming a fifth gold medal in the event- Diamond League 100m champion- Ran a world-leading 10.62 among her record seven sub-10.70 100m races of the season
Kimberly Garcia, PER- World 20km race walk champion, winning Peru’s first ever World Athletics Championships medal- World 35km race walk champion in a South American record to complete a race walk double- World Athletics Race Walking Team Championships 20km bronze medallist
Sydney McLaughlin, USA- World 400m hurdles and 4x400m champion- Broke the world 400m hurdles record with 51.41 at the US Championships- Further improved the world record to 50.68 to win the world title
Yulimar Rojas, VEN- World indoor and outdoor triple jump champion- Diamond League triple jump champion- Improved her world record to 15.74m in Belgrade
For the Men’s World Athlete of Year, American 200m world champion Noah Lyles is among the five finalists.
Lyles is joined on the shortlist by two Scandinavian world champions – Norway’s distance runner Jakob Ingebrigtsen and Swedish pole vaulter Mondo Duplantis.
Steeplechase king Soufiane El Bakkali, of Morocco, and Kenya’s world marathon record holder Eliud Kipchoge complete the shortlist.
The men’s finalists are:
Mondo Duplantis, SWE– World pole vault champion indoors and outdoors- Diamond League and European pole vault champion- Improved his world record to 6.19m and 6.20m indoors, and then 6.21m outdoors
Soufiane El Bakkali, MAR– World 3000m steeplechase champion- Diamond League 3000m steeplechase champion- Unbeaten in 2022, running a world-leading 7:58.28 in Rabat
Jakob Ingebrigtsen, NOR– World 5000m champion, world 1500m silver medallist indoors and outdoors- European 1500m and 5000m champion- Ran a world indoor 1500m record of 3:30.60 and won the Diamond League title in a world-leading 3:29.02
Eliud Kipchoge, KEN– Improved his world marathon record to 2:01:09- Berlin Marathon champion- Tokyo Marathon champion
Noah Lyles, USA– World 200m champion- Diamond League 200m champion- Ran a world-leading national record of 19.31 to move to third on the world all-time list.
The winners will be announced by on World Athletics’ social media platforms in early December, as part of the World Athletics Awards 2022.
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The world’s population will likely hit an estimated 8 billion people on Tuesday, according to a United Nations projection, with much of the growth coming from developing nations in Africa.
Among them is Nigeria, where resources are already stretched to the limit. More than 15 million people in Lagos compete for everything from electricity to light their homes to spots on crowded buses, often for two-hour commutes each way in this sprawling megacity. Some Nigerian children set off for school as early as 5 a.m.
And over the next three decades, the West African nation’s population is expected to soar even more: from 216 million this year to 375 million, the U.N. says. That will make Nigeria the fourth-most populous country in the world after India, China and the United States.
“We are already overstretching what we have — the housing, roads, the hospitals, schools. Everything is overstretched,” said Gyang Dalyop, an urban planning and development consultant in Nigeria.
The U.N.’s Day of 8 Billion milestone Tuesday is more symbolic than precise, officials are careful to note in a wide-ranging report released over the summer that makes some staggering projections.
The upward trend threatens to leave even more people in developing countries further behind, as governments struggle to provide enough classrooms and jobs for a rapidly growing number of youth, and food insecurity becomes an even more urgent problem.
Nigeria is among eight countries the U.N says will account for more than half the world’s population growth between now and 2050 — along with fellow African nations Congo, Ethiopia and Tanzania.
“The population in many countries in sub-Saharan Africa is projected to double between 2022 and 2050, putting additional pressure on already strained resources and challenging policies aimed to reduce poverty and inequalities,” the U.N. report said.
It projected the world’s population will reach around 8.5 billion in 2030, 9.7 billion in 2050 and 10.4 billion in 2100.
Other countries rounding out the list with the fastest growing populations are Egypt, Pakistan, the Philippines and India, which is set to overtake China as the world’s most populous nation next year.
In Congo’s capital, Kinshasa, where more than 12 million people live, many families struggle to find affordable housing and pay school fees. While elementary pupils attend for free, older children’s chances depend on their parents’ incomes.
“My children took turns” going to school, said Luc Kyungu, a Kinshasa truck driver who has six children. “Two studied while others waited because of money. If I didn’t have so many children, they would have finished their studies on time.”
Rapid population growth also means more people vying for scarce water resources and leaves more families facing hunger as climate change increasingly impacts crop production in many parts of the world.
“There is also a greater pressure on the environment, increasing the challenges to food security that is also compounded by climate change,” said Dr. Srinath Reddy, president of the Public Health Foundation of India. “Reducing inequality while focusing on adapting and mitigating climate change should be where our policy makers’ focus should be.”
Still, experts say the bigger threat to the environment is consumption, which is highest in developed countries not undergoing big population increases.
“Global evidence shows that a small portion of the world’s people use most of the Earth’s resources and produce most of its greenhouse gas emissions,” said Poonam Muttreja, executive director of the Population Foundation of India. “Over the past 25 years, the richest 10% of the global population has been responsible for more than half of all carbon emissions.”
According to the U.N., the population in sub-Saharan Africa is growing at 2.5% per year — more than three times the global average. Some of that can be attributed to people living longer, but family size remains the driving factor. Women in sub-Saharan Africa on average have 4.6 births, twice the current global average of 2.3.
Families become larger when women start having children early, and 4 out of 10 girls in Africa marry before they turn 18, according to U.N. figures. The rate of teen pregnancy on the continent is the highest in the world — about half of the children born last year to mothers under 20 worldwide were in sub-Saharan Africa.
Still, any effort to reduce family size now would come too late to significantly slow the 2050 growth projections, the U.N. said. About two-thirds of it “will be driven by the momentum of past growth.”
“Such growth would occur even if childbearing in today’s high-fertility countries were to fall immediately to around two births per woman,” the report found.
There are also important cultural reasons for large families. In sub-Saharan Africa, children are seen as a blessing and as a source of support for their elders — the more sons and daughters, the greater comfort in retirement.
Still, some large families “may not have what it takes to actually feed them,” says Eunice Azimi, an insurance broker in Lagos and mother of three.
“In Nigeria, we believe that it is God that gives children,” she said. “They see it as the more children you have, the more benefits. And you are actually overtaking your peers who cannot have as many children. It looks like a competition in villages.”
Politics also have played a role in Tanzania, where former President John Magufuli, who ruled the East African country from 2015 until his death in 2021, discouraged birth control, saying that a large population was good for the economy.
He opposed family planning programs promoted by outside groups, and in a 2019 speech urged women not to “block ovaries.” He even described users of contraceptives as “lazy” in a country he said was awash with cheap food. Under Magufuli, pregnant schoolgirls were even banned from returning to classrooms.
But his successor, Samia Suluhu Hassan, appeared to reverse government policy in comments last month when she said birth control was necessary in order not to overwhelm the country’s public infrastructure.
Even as populations soar in some countries, the U.N. says rates are expected to drop by 1% or more in 61 nations.
The U.S. population is now around 333 million, according to U.S. Census Bureau data. The population growth rate in 2021 was just 0.1%, the lowest since the country was founded.
“Going forward, we’re going to have slower growth — the question is, how slow?” said William Frey, a demographer at the Brookings Institution. “The real wild card for the U.S. and many other developed countries is immigration.”
Charles Kenny, a senior fellow at the Center for Global Development in Washington, says environmental concerns surrounding the 8 billion mark should focus on consumption, particularly in developed countries.
“Population is not the problem, the way we consume is the problem — let’s change our consumption patterns,” he said.
SOURCE: The Associated Press
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Kadaffi Romney, mother of Jehlano Romney, centre, leaves the Forensic Science Centre, St. James. Romney, a main witness in the murder of officer Clarence Gilkes was shot and killed at Poinsettia Avenue, Morvant on Sunday. Photo by Ayanna Kinsale
Seven months after he asked for protection after witnessing the death of a policeman in Richplain, Diego Martin, a 30-year-old man was gunned down at a house in Morvant.
Police said Jehlano Romney, 30, was at a house in Poinsettia Drive, at around 9.35 pm when a group of gunmen shot him several times before running away.
A woman who was nearby was also shot in her face.
Police from the North Eastern Division Task Force took the wounded woman to the hospital.Police from the Homicide Bureau of Investigations Region II visited the scene with a district medical officer who declared Romney dead.
On April 22, a team of 12 officers from the Western Division Task Force went to a staircase on Upper Rich Plain Road, Diego Martin, where they confronted Romney.During the incident PC Clarence Gilkes who was part of this group was shot and killed, as Romney ran away.
While the original account given by police claimed that Romney shot Gilkes, an autopsy later revealed that Gilkes was shot from behind with a police-issued bullet.Romney spent almost a week in hiding before surrendering to police with his attorney Criston J Williams.
He was questioned and later released.
Speaking with Newsday on Monday, Williams confirmed that his client requested protection from the police while being interviewed by them but was never given any offer of protection.He said attributed Romney’s murder to the lack of protection and said his death was not reassuring to citizens who were willing to assist police in their investigations.
“It sends the message to the public that maybe I should not be a good citizen to hold anyone accountable because I may not be protected.
“It was the fault of the police because no protective measures were offered to him and as far as I’m aware his death may have been a direct result of this.
“I know he was not a saint, he may have been a sinner and he tried to change his life and not being offered witness protection and being placed back in your original environment you may have to act like a cornered animal to protect yourself.”
Williams said Romney asked officers of the Homicide Bureau of Investigations to place him in witness protection while members of the Police Complaints Authority (PCA) were present.Asked how the case would progress with the main witness in the case now dead, Williams said Romney entered a statement before his death.
Under the amdended Evidence Act a dead witness’ statement can still be entered as evidence and can lead to a criminal prosecution.
Williams added that Romney had two cases against the police for false imprisonment.Newsday attempted to contact acting Police Commissioner McDonald Jacob for comment several times on Tuesday but were unsuccessful.
Romney’s mother and other relatives visited the Forensic Science Centre, St James, on Monday to identify his body and speak to police investigators.They denied comment.
Newsday also visited the family at their Richplain home shortly after where they also declined to comment.
Newsday attempted to contact director of the PCA David West via phone call and WhatsApp but was unsuccessful up to press time.
Police in the Western Division said while homicide detectives were still trying to establish a motive for Romney’s murder, they suspect it may have been a reprisal for gang-related murders in Diego Martin.
He also denied claims that the police were responsible for his murder.”His name was calling in the death of a few people so he had a lot of enemies and it’s no secret because gang reprisals are real.
“I know there are people who are trying to make it out that the police killed him given everything that happened to PC Gilkes but the truth is the police weren’t anywhere near that.”
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File photo
A group of bandits overpowered a security guard and stole two Toyota Hiace vans filled with goods in a robbery in Trinicity early on Tuesday morning.
Police said a 35-year-old security guard who works for Dynamite Security Services was on duty at the WebSource compound at the Trincity Business Park, when five bandits, two of whom had guns, stormed the guard booth and announced a robbery.
They tied up the guard and cut open several metal doors to different warehouses before they found the keys to the vans.
The bandits then forced the guard to open the front gate of the compound and drove of.Arouca police visited the scene with crime scene investigators from the North Central Division.
WebSource, on its official Facebook account, confirmed the robbery hs taken place and urged the public to report to the police if they saw the missing vans.
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