IMMUNIZATION
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The Pan American Health Organization is on a quest to strengthen Grenada’s Immunization System.
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President Chandrikapersad Santokhi heeft de afgelopen week in Sharm-el-Sheikh in Egypte, waar hij de klimaatconferentie van de Verenigde Naties (COP27)
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Dans une échoppe du vieux Damas, Mohammad al-Masri mélange des essences dans des dizaines de fioles, recréant pour sa clientèle appauvrie par la guerre et la crise économique les parfums…
Dans une échoppe du vieux Damas, Mohammad al-Masri mélange des essences dans des dizaines de fioles, recréant pour sa clientèle appauvrie par la guerre et la crise économique les parfums de luxe désormais hors de prix.
Pour ce “nez” âgé de cinquante ans, il suffit d’humer, une seule fois, un flacon d’un parfum importé pour le reproduire et le vendre à un prix beaucoup plus accessible.
“Je n’ai pas un grand atelier, mais j’ai plus d’essences qu’une grande usine en France, et j’ai ce nez que j’entraîne depuis que j’ai 15 ans”, affirme ce petit homme moustachu, surnommé Abou Nour.
Son métier, qu’il tient de ses oncles maternels, se transmet dans la famille depuis une centaine d’années, et il l’apprend maintenant à son fils qui le seconde.
Située dans un vieux caravansérail, entre le souk des épices dont s’échappent les effluves de cannelle et de cardamome et celui de l’encens, sa minuscule boutique, qui ne peut pas accueillir plus de trois clients à la fois, ne désemplit pas.
Jeunes et vieux défilent.
Certains lui montrent sur leurs téléphones des images de parfums importés qu’ils lui demandent d’imiter, d’autres veulent acheter la fragrance que leur conseille le parfumeur.
Cham al-Falah, 24 ans, est venue lui demander de composer pour elle un parfum semblable à la marque américaine à laquelle elle était fidèle.
“Le parfum pour les jeunes filles est quelque chose d’essentiel, c’est comme boire ou manger”, affirme cette jeune diplômée en gestion, élégante sous son voile crème.
“Auparavant, je m’achetais des parfums étrangers, mais je ne peux plus me le permettre, et d’ailleurs les produits importés sont de plus en plus inaccessibles en Syrie”, explique-t-elle.
Si Damas, la capitale, a été globalement épargnée par la guerre en Syrie déclenchée par la répression de manifestations prodémocratie en 2011, l’économie de tout le pays a été mise à mal par une décennie de combats et de lourdes sanctions internationales.
Sur le marché parallèle, la monnaie syrienne a depuis perdu près de 99% de sa valeur et le salaire moyen d’un employé ne vaut plus désormais qu’environ 25 dollars américains.
Un flacon de parfum importé vaut aujourd’hui au moins cent dollars.
Mais Mohammad al-Masri se targue de pouvoir recréer presque à l’identique les parfums les plus luxueux, et les vend à moins de 30.000 livres, soit environ six dollars.
Dans sa boutique, les clients prennent leur temps, humant les dizaines de fioles, ou le regardent jongler avec les essences.
Son fils lui apporte les flacons d’un entrepôt voisin.
Sur une table rectangulaire, Abou Nour a aligné des dizaines de fioles: les essences de jasmin côtoient celles de la rose de Damas ou du musc.
Et il a tapissé le mur derrière lui de photos des parfums des grandes marques mondiales, découpées dans de vieux magazines.
Certains clients fidèles viennent de loin, comme Ahmad Dorra, qui a fait 50 kilomètres depuis la localité montagneuse de Zabadani pour acheter cinq fioles de parfum pour sa famille.
“Je ne m’y connais pas en parfums, mais je fais confiance au nez d’Abou Nour”, dit ce paysan, la tête recouverte d’un keffieh rouge à damiers.
mam/rh-at/tp
Le parfumeur Mohammad al-Masri sert des clients dans sa boutique du vieux Damas, le 31 octobre 2022 en Syrie
• LOUAI BESHARA
Ahmad Dorra, venu acheter des parfums pour sa famille, essaie une nouvelle fragrance dans la boutique du parfumeur Mohammad al-Masri, le 31 octobre 2022 dans le vieux Damas, en Syrie
• LOUAI BESHARA
Le parfumeur Mohammad al-Masri sert des clients dans sa boutique du vieux Damas, le 31 octobre 2022 en Syrie
• LOUAI BESHARA
Le parfumeur Mohammad al-Masri sert des clients dans sa boutique du vieux Damas, le 31 octobre 2022 en Syrie
• LOUAI BESHARA
Dans le vieux Damas, un “nez” recrée les plus grands parfums
• Youssef KARWASHAN
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Réputation en charpie et dette monumentale: Orpea, le groupe de maisons de retraite médicalisées privées (Ehpad) dans la tourmente a tenté mardi de convaincre qu’il peut redresser la barre, et…
Réputation en charpie et dette monumentale: Orpea, le groupe de maisons de retraite médicalisées privées (Ehpad) dans la tourmente a tenté mardi de convaincre qu’il peut redresser la barre, et assainir ses pratiques et ses finances.
Nouvelle politique en matière de ressources humaines, meilleur accompagnement des résidents et stratégie financière repensée sans renoncer aux marges : un plan vise à remettre sur les rails l’entreprise de 71.000 salariés, dont 26.000 en France.
Ces trois champs figuraient au coeur des dénonciations détaillées dans “Les Fossoyeurs”, publié en janvier par le journaliste Victor Castanet. Le groupe qui gère plus de 350 établissements en France pour personnes âgées dépendantes fait depuis l’objet d’une enquête pour maltraitance institutionnelle et infractions financières.
Orpea compte notamment “fidéliser” ses collaborateurs en investissant dans la formation continue et la promotion interne, pour une “meilleure qualité et la sécurité des soins”, selon un communiqué mardi.
Le groupe présent dans 23 pays veut aussi revoir sa stratégie en matière d’immobilier et se désengager de certains pays où il est peu présent, comme la Chine et des pays d’Amérique latine.
Orpea a identifié “un portefeuille d’actifs immobiliers estimé à plus d’un milliard d’euros, prêt à être cédé dès que les conditions de marché le permettront”. Il prévoit à terme de détenir en propre 20 à 25% du portefeuille, contre 47% à fin 2021.
“Orpea s’est éloigné de son coeur de métier, en privilégiant un développement international et immobilier trop rapide, au prix d’un endettement excessif et d’une situation financière très fragilisée”, a commenté Laurent Guillot, devenu directeur général d’Orpea en juillet après le scandale et le départ de la précédente équipe.
Au total, une trentaine de cadres ont été licenciés en raison de comportements “contraires à l’éthique”, a-t-il par ailleurs précisé.
Ce plan de transformation doit permettre au groupe de réaliser 9% de croissance annuelle de son chiffre d’affaires d’ici 2025 et une marge supérieure à 20% en 2025 contre 17% aujourd’hui et 25% en 2021.
Reste un obstacle financier de taille pour créer ce “nouvel Orpea”: le groupe risque de manquer de liquidités “au cours du premier semestre 2023” et ploie sous une dette massive de 9,5 milliards d’euros.
Pour pouvoir mettre en oeuvre son plan, Orpea ouvre mardi des négociations avec ses créanciers dans le cadre d’une procédure de conciliation devant le tribunal de commerce de Nanterre. Il s’agit de la seconde procédure de ce genre initiée par le groupe cette année.
La direction souhaite convertir une partie de la dette en capital et lever à nouveau de l’argent frais, de 1,9 à 2,1 milliards d’euros, en dette et en capital.
Cette opération entraînerait une “dilution massive pour les actionnaires existants qui décideraient de ne pas y participer”, prévient Orpea, dont le cours de Bourse a perdu 90% de sa valeur depuis janvier.
Orpea “s’attend à ce que, à l’issue de ces opérations, au moins 20% de son capital social soit détenu par des investisseurs institutionnels français à long terme”, a-t-il indiqué sans donner de précision sur ces investisseurs.
La presse évoque l’entrée au capital de la Caisse des dépôts, le bras financier de l’Etat. L’organisme n’a pas exclu cette hypothèse, sans avancer de chiffres.
Contactée par l’AFP lundi, elle indique qu’elle “examinera le dossier” lorsque “deux conditions” seront remplies: un changement “complet” des pratiques d’Orpea et un bilan “assaini”.
Deux groupes français, Mat Immo Beaune et Nextstone, sont entrés au capital, à hauteur de plus de 5%, pour “accompagner” la direction dans le redressement. Mais ils s’opposent à sa stratégie pour réduire le poids de la dette.
A la Bourse de Paris, le titre du groupe progressait de 1,71% à 8,35 euros en milieu de matinée (dans un marché en hausse de 0,41%).
Du côté des salariés, les syndicats “ont le sentiment que (la nouvelle direction) est à l’écoute”, indiquait lundi à l’AFP Dominique Chave, secrétaire général de l’Union fédérale de la santé privée CGT.
vac-bp/fmp/clr
Laurent Guillot, devenu directeur général d’Orpea en juillet après le scandale et le départ de la précédente équipe, à l’assemblée générale le 28 juillet 2022
• JULIEN DE ROSA
Réputation en charpie et dette monumentale: Orpea, le groupe d’Ehpad privés dans la tourmente depuis les révélations du livre-enquête “Les Fossoyeurs”, a tenté mardi de redresser la barre avec un plan visant à assainir ses pratiques et ses finances
• LOIC VENANCE
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Relèvement de l’âge de la retraite à 64 ans, annulation du transfert Agirc-Arrco, “contribution exceptionnelle” des labos d’analyse… Le Sénat à majorité de droite s’apprête à voter mardi sa…
Relèvement de l’âge de la retraite à 64 ans, annulation du transfert Agirc-Arrco, “contribution exceptionnelle” des labos d’analyse… Le Sénat à majorité de droite s’apprête à voter mardi sa version du budget de la Sécu.
Un scrutin public solennel sera organisé en début d’après-midi sur le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS), qui a été débattu une semaine durant en première lecture par les sénateurs, après un examen écourté par l’article 49.3 de la Constitution à l’Assemblée nationale.
Ce PLFSS anticipe une forte baisse du déficit à 7,2 milliards d’euros en 2023 (17,8 milliards cette année), reposant sur une fonte spectaculaire de la facture liée au Covid-19.
Le ministre de la Santé François Braun a vanté “le choix d’un système de santé renforcé, plus juste”. Mais la rapporteure centriste Elisabeth Doineau a critiqué un manque de “propositions fortes”.
La majorité sénatoriale a souhaité “apporter des solutions là où le gouvernement hésite et peine à réformer le pays”, a indiqué le groupe LR. Même si les sénateurs ne se font guère d’illusions sur ce que retiendra in fine le gouvernement en utilisant à nouveau le 49.3 à l’Assemblée.
Constant sur ce dossier depuis plusieurs années, le Sénat a voté une réforme des retraites précédée d’une période de négociations qui devrait prendre en compte pénibilité, carrières longues et emploi des seniors. En cas d’échec, la droite prévoit une accélération de la réforme Touraine allongeant la durée de cotisation, et le report progressif de 62 à 64 ans de l’âge légal de départ.
Si le gouvernement ne retiendra pas ce dispositif dans le PLFSS, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal y a vu la possibilité de “trouver une majorité” pour faire adopter la réforme qui sera présentée début 2023 par l’exécutif.
La majorité sénatoriale a en outre réécrit à sa manière la mise en place d’une quatrième année d’internat en médecine générale, en priorité dans les déserts médicaux. Les sénateurs ont refusé une proposition du gouvernement ouvrant la voie à des stages également en milieu hospitalier.
Parmi les autres points sensibles modifiés, le Sénat s’est opposé au projet controversé de transfert du recouvrement des cotisations du régime de retraite complémentaire Agirc-Arrco à l’Urssaf.
Il a voté une “contribution exceptionnelle” des laboratoires d’analyses médicales à hauteur de 250 millions d’euros. Elle est présentée comme “plus juste” que la mesure pérenne d’économies que le gouvernement entend toujours leur imposer, malgré un mouvement de grève massif.
Dernier coup de semonce du Sénat: il a rejeté dans l’hémicycle l’objectif national de dépenses d’assurance maladie pour 2023 (Ondam), proposé à 244 milliards d’euros.
La gauche s’opposera à l’ensemble du texte qui, selon le groupe PS, “semble n’obéir qu’à la seule boussole du rééquilibrage des comptes publics”. Les groupes CRCE à majorité communiste et écologiste voteront contre un texte jugé “déconnecté de l’urgence, injuste, insincère”.
Dès jeudi, le Sénat se lancera dans l’examen en première lecture du projet de budget de l’Etat pour 2023, dans une version remodelée par le gouvernement après usage également du 49.3 à l’Assemblée.
Basé sur des hypothèses économiques optimistes, ce projet de budget joue à l’équilibriste, entre volonté de “protéger” les Français contre la flambée des prix de l’énergie et espoir de ne pas creuser la dette.
Le cap fixé est de contenir le déficit public à 5% du PIB, malgré des mesures comme le “bouclier tarifaire” de 45 milliards d’euros pour limiter à 15% les hausses des prix réglementés du gaz et de l’électricité, une augmentation des enseignants ou la création de plus de 10.000 postes de fonctionnaires, dont 3.000 policiers et gendarmes.
La chambre des territoires sera particulièrement attentive aux mesures concernant les collectivités. Le rapporteur général Jean-François Husson (LR) proposera de décaler d’une année la suppression prévue de la CVAE, un impôt sur les entreprises, “notamment pour assoir un dispositif de compensation”.
Au sein de la majorité sénatoriale, le groupe centriste proposera de nouveau l’instauration d’une “contribution exceptionnelle de solidarité sur les superprofits”.
vm/reb/jmt/mpm
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L’UE s’est dite prête mardi à rehausser ses engagements pour le climat lors de la COP27 où les pays en développement ont encore fustigé le manque d’ambition des pays riches et la faiblesse de leur…
L’UE s’est dite prête mardi à rehausser ses engagements pour le climat lors de la COP27 où les pays en développement ont encore fustigé le manque d’ambition des pays riches et la faiblesse de leur soutien aux plus vulnérables aux impacts du réchauffement.
“Ne laissez personne vous dire, ici ou ailleurs, que l’UE fait machine arrière. Ne les laissez pas vous dire que l’invasion de l’Ukraine par la Russie est en train de tuer le Pacte vert européen et que nous sommes dans une ruée vers le gaz”, a déclaré le vice-président de la Commission européenne Frans Timmermans à la tribune.
Il a ainsi annoncé que, grâce à l’adoption de plusieurs législations dans les dernières semaines, “l’UE est prête à mettre à jour ses engagements”. Pour réduire les émissions d’au moins 57% d’ici 2030 par rapport à 1990, contre au moins 55% actuellement.
Mais il est peu probable que cette annonce apaise la colère des pays en développement, les moins responsables du réchauffement mais en première ligne face à ses impacts dévastateurs qui s’amplifient.
“L’absence de leadership et d’ambition en matière d’atténuation des émissions de gaz à effet de serre est inquiétante”, a lancé le ministre sénégalais de l’Environnement Alioune Ndoye, au nom du groupe des Pays les Moins Avancés, dénonçant trois décennies “émaillées de déception”.
“Notre génération doit avoir le courage et la sagesse d’endosser la responsabilité de changer le cours de l’Histoire pour transmettre aux générations futures une planète vivable”, a-t-il ajouté.
“Lors de combien de COP avons nous réclamé des actions climatiques urgentes ? Combien de plus seront nécessaires ? Combien de vies devrons nous sacrifier”, a ajouté le ministre du changement climatique du Belize, Orlando Habet, réclamant des actes du G20 et des “autres gros pollueurs”.
Nombre de participants à la COP27 à Charm el-Cheikh attendent d’ailleurs de voir la façon dont les dirigeants du G20 réunis à Bali mardi et mercredi prendront en compte la crise climatique et leur ambition à agir, espérant une bonne nouvelle qui donnerait une coup de pouce aux négociations en Egypte.
Négociations difficiles. Le président de cette 27e conférence de l’ONU sur le climat Sameh Choukri l’a bien souligné lundi, “il reste encore beaucoup de travail si nous voulons obtenir des résultats significatifs et tangibles dont nous pourrons être fiers”.
Espérant finir cette COP à l’heure vendredi – alors que ces conférences débordent souvent très largement -, le ministre égyptien des Affaires étrangères a donné jusqu’à mardi soir aux négociateurs pour finir le travail technique, avant que les ministres ne prennent le relais.
Mais la première ébauche de déclaration finale publiée dans la nuit de lundi à mardi n’est qu’une liste à puces, avec toutefois la réaffirmation en quelques mots de certains principes disputés comme “l’urgence d’agir pour que l’objectif de +1,5°C reste du domaine du possible”.
L’accord de Paris de 2015 vise à limiter le réchauffement nettement en dessous de +2°C par rapport à l’ère pré-industrielle, si possible +1,5°C. Alors que chaque dixième de degré entraîne une multiplication des catastrophes climatiques, les signataires de l’accord s’étaient engagés l’an dernier à la COP26 à “maintenir en vie” l’objectif le plus ambitieux.
Mais selon des observateurs, l’Arabie saoudite et la Chine ont fait savoir leur réticence, déjà exprimée par le passé, à voir à nouveau cette référence dans le texte final, alors que le monde se dirige vers un réchauffement catastrophique de +2,8°C.
“Poursuivre sur le même chemin expose l’humanité à de graves conséquences”, a mis en garde mardi à la tribune la Première ministre des Samoa Fiame Naomi Mataafa, dénonçant les ambitions “sans éclat” des principaux émetteurs.
Autre point crucial au coeur des négociations, la revendication des pays en développement de la création d’un mécanisme dédié pour financer les “pertes et dommages” déjà subis en raison des impacts du réchauffement.
L’ébauche du texte ne mentionne que le “besoin de dispositions financières pour répondre aux pertes et dommages”, une formulation utilisée depuis le début de la conférence le 6 novembre par les Européens et les Américains, réticents à la mise en place d’une nouvelle structure spécifique.
Mais les pays du Sud n’abandonnent pas le combat. “Ici à Charm el-Cheikh nous devons établir un fonds pour adresser les pertes et dommages dus au changement climatique”, a insisté mardi Alioune Ndoye.
abd/so/uh/sg
Le ministre sénégalais de l’Environnement Alioune Ndoye fait un discours au nom du groupe des Pays les Moins Avancés le 15 novembre 2022 lors du sommet de la COP27
• AHMAD GHARABLI
Sélection d’indicateurs de l’urgence climatique
• Simon MALFATTO
Le logo de la COP27, à Charm el-Cheikh en Egypte, le 14 novembre 2022
• AHMAD GHARABLI
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MIAMI (AP) — Bam Adebayo scored 30 points, including a pair of free throws to put Miami up for good with 35 seconds left, and the Heat rallied from a 13-point deficit in the fourth quarter to beat the Phoenix Suns 113-112 in the NBA on Monday night.
Phoenix had three shots to win on their final possession — a missed layup by Cameron Payne, a jumper from Devin Booker that Jimmy Butler blocked, and then a 3-pointer from Booker that fell short.
Butler finished with 16 points, 13 rebounds and seven assists for Miami Heat. Caleb Martin and Kyle Lowry each scored 15 for Miami, which got back to .500 at 7-7.
Booker led Phoenix with 25 points, and Duane Washington Jr. added 21. Deandre Ayton finished with 16 points and 12 rebounds for the Suns, who shot only four free throws compared to 25 for Miami.
Boston Celtics forward Jayson Tatum (0) tosses up a shot while driving to the basket against Oklahoma City Thunder guard Shai Gilgeous-Alexander (2).
CELTICS 126, THUNDER 122
BOSTON (AP) — Marcus Smart scored 20 of his 22 points in the second half, and Boston Celtics beat Oklahoma City Thunder for their seventh straight win.
Boston trailed by 15 in the third quarter but outscored Oklahoma City 37-26 in the fourth.
Jayson Tatum had 27 points and 10 rebounds for the Celtics. Jaylen Brown scored 26, and Al Horford added 12 points and 11 rebounds.
Smart also had eight assists and five rebounds, and reserve Payton Pritchard added 10 points, leading a key surge late in the third and early in the fourth as the Celtics rallied.
Shai Gilgeous-Alexander led the Thunder with 37 points. Lu Dort scored 21 and Aleksej Pokusevski finished with 16 points and 14 rebounds.
HAWKS 121, BUCKS 106
MILWAUKEE (AP) — De’Andre Hunter scored 24 points and Trae Young had 21 points and nine assists, leading Atlanta Hawks over Milwaukee Bucks.
Clint Capela added 19 points and 10 rebounds as the Hawks won for the fifth time in seven games. Dejounte Murray also scored 19, and John Collins had 16 points and nine boards.
Giannis Antetokounmpo, who missed the previous two games and three of the past four with left knee soreness, scored 27 points in 31 minutes. The Bucks have lost three of four after a 9-0 start.
It was the third meeting between the teams in 16 days. MarJon Beauchamp had 20 points for the Bucks, who dropped to 7-1 at home.
Golden State Warriors’ Jonathan Kuminga reacts to his dunk against San Antonio Spurs.
WARRIORS 132, SPURS 95
SAN FRANCISCO (AP) — Back in the starting lineup for a night, Jordan Poole scored a season-best 36 points on the debut of his first bobblehead and led Golden State Warriors past San Antonio Spurs.
Poole shot 13 for 20 and knocked down five 3-pointers. He exited with 8:04 left following his 13th career game of 30 or more points.
Stephen Curry added 16 points, five rebounds and five assists in 27 minutes. It was the second game of a back-to-back for the Warriors after they lost 122-115 at Sacramento on Sunday to fall to 0-7 on the road.
Keldon Johnson had 15 points for the injury-plagued Spurs.
RAPTORS 115, PISTONS 111
DETROIT (AP) — Dalano Banton scored 27 points and Chris Boucher added 20 as short-handed Toronto Raptors snapped a three-game losing streak with a victory over Detroit Pistons.
O.G. Anunoby added 19 points and seven rebounds for the Raptors, who played without Fred VanVleet (non-COVID-19 illness), Pascal Siakam (abdominal strain) and Gary Trent (hip).
Rookie guard Jaden Ivey scored 21 for the Pistons, who lost their fourth straight. Bojan Bogdanovic added 18 points.
HORNETS 112, MAGIC 105
ORLANDO, Fla. (AP) — LaMelo Ball had 17 points and nine assists, and Charlotte Hornets stopped an eight-game slide by beating Orlando Magic.
Seven players scored in double figures for the Hornets, including their entire starting lineup. Mason Plumlee had 18 points and 10 rebounds. Terry Rozier scored 17, and Kelly Oubre Jr. had 16.
Franz Wagner scored 23 points and Wendell Carter Jr. added 20 for Orlando, but the Magic committed 22 turnovers.
Ball, who missed the Hornets’ 113-93 loss at Orlando last month because of a sprained ankle, played in only his second game of the season after missing the first 13.
CLIPPERS 122, ROCKETS 106
HOUSTON (AP) — Paul George scored 22 points in three quarters to lead Los Angeles Clippers past Houston Rockets.
George, who also had eight rebounds and five assists, spent the fourth quarter on the bench with the game in hand as Clippers coach Tyronn Lue didn’t play his starters in the final period on the front end of a back-to-back.
Jalen Green scored 25 points and Kevin Porter Jr. added 20 for the Rockets, who dropped their third in a row.
Reggie Jackson had 17 points and six assists to help the Clippers win for the third time in four games.
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Kadaffi Romney, mother of Jehlano Romney, centre, leaves the Forensic Science Centre, St. James. Romney, a main witness in the murder of officer Clarence Gilkes was shot and killed at Poinsettia Avenue, Morvant on Sunday. Photo by Ayanna Kinsale
Seven months after he asked for protection after witnessing the death of a policeman in Richplain, Diego Martin, a 30-year-old man was gunned down at a house in Morvant.
Police said Jehlano Romney, 30, was at a house in Poinsettia Drive, at around 9.35 pm when a group of gunmen shot him several times before running away.
A woman who was nearby was also shot in her face.
Police from the North Eastern Division Task Force took the wounded woman to the hospital.Police from the Homicide Bureau of Investigations Region II visited the scene with a district medical officer who declared Romney dead.
On April 22, a team of 12 officers from the Western Division Task Force went to a staircase on Upper Rich Plain Road, Diego Martin, where they confronted Romney.During the incident PC Clarence Gilkes who was part of this group was shot and killed, as Romney ran away.
While the original account given by police claimed that Romney shot Gilkes, an autopsy later revealed that Gilkes was shot from behind with a police-issued bullet.Romney spent almost a week in hiding before surrendering to police with his attorney Criston J Williams.
He was questioned and later released.
Speaking with Newsday on Monday, Williams confirmed that his client requested protection from the police while being interviewed by them but was never given any offer of protection.He said attributed Romney’s murder to the lack of protection and said his death was not reassuring to citizens who were willing to assist police in their investigations.
“It sends the message to the public that maybe I should not be a good citizen to hold anyone accountable because I may not be protected.
“It was the fault of the police because no protective measures were offered to him and as far as I’m aware his death may have been a direct result of this.
“I know he was not a saint, he may have been a sinner and he tried to change his life and not being offered witness protection and being placed back in your original environment you may have to act like a cornered animal to protect yourself.”
Williams said Romney asked officers of the Homicide Bureau of Investigations to place him in witness protection while members of the Police Complaints Authority (PCA) were present.Asked how the case would progress with the main witness in the case now dead, Williams said Romney entered a statement before his death.
Under the amdended Evidence Act a dead witness’ statement can still be entered as evidence and can lead to a criminal prosecution.
Williams added that Romney had two cases against the police for false imprisonment.Newsday attempted to contact acting Police Commissioner McDonald Jacob for comment several times on Tuesday but were unsuccessful.
Romney’s mother and other relatives visited the Forensic Science Centre, St James, on Monday to identify his body and speak to police investigators.They denied comment.
Newsday also visited the family at their Richplain home shortly after where they also declined to comment.
Newsday attempted to contact director of the PCA David West via phone call and WhatsApp but was unsuccessful up to press time.
Police in the Western Division said while homicide detectives were still trying to establish a motive for Romney’s murder, they suspect it may have been a reprisal for gang-related murders in Diego Martin.
He also denied claims that the police were responsible for his murder.”His name was calling in the death of a few people so he had a lot of enemies and it’s no secret because gang reprisals are real.
“I know there are people who are trying to make it out that the police killed him given everything that happened to PC Gilkes but the truth is the police weren’t anywhere near that.”
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Citing a spike in road accidents resulting in injuries and deaths, the President of the National Council on Public Transportation (NCOPT) has called for comprehensive measures to address the problem.
Saint Lucia has recorded twenty road deaths so far for the year.
And on Saturday, the Saint Lucia Fire Service (SLFS) responded to a mass casualty accident at Balenbouche, Choiseul involving a minibus and a van.
SLFS Communications Officer Stacy Joseph said seventeen individuals were involved, among them fifteen youngsters who were transported to St. Jude Hospital
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NCOPT President Godfrey Ferdinand, expressing concern about the situation, asked why a demerit point system, breathalysers, speed guns, and cameras on some roads were not in place to deter careless motorists.
“With the increase in vehicle accidents and vehicles also, why is it the authorities are not seeing the need? ” Ferdinand told St Lucia Times.
He explained that the measures he enquired about were ‘on the books’.
In addition, the NCOPT President expressed concern that no disciplinary committee was in operation to deal with errant minibus operators.
Ferdinand raised the disciplinary committee matter late last month, recalling that the government had agreed to implement the body within a month.
However, he explained that it was a source of frustration for the people who operate the 1400 minibuses providing public transport that the committee was not in place.
“If we see an increase in road accidents, why is there not an urgency to put in speed guns, breathalysers, cameras on certain roads – especially the Bexon Road? Let’s see the driving habits of certain individuals,” Ferdinand told St Lucia Times.
“Why not have highway patrols for the Bexon Highway where most of our fatal accidents have occurred – Bexon to Dennery?” The NCOPT President stated.
“We just seem to be allowing our vehicle operators to do anything on the road,” Ferdinand lamented.
Headline photo: Stock image
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