18 children compete in Know Your Country spelling bee

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Minister of Education Nyan Gadsby-Dolly with students participating in the St Ann’s East constituency and Nalis’ Know Your Country spelling bee competition at the National Library’s headquarters, Abercromby Street, Port of Spain on Monday. – AYANNA KINSALE

Eighteen schoolchildren took part in a Know Your Country spelling bee for primary schools in St Ann’s East, held in collaboration with the National Library and Information System Authority (NALIS), on Monday morning.

The competition was an initiative of Education Minister and MP for the constituency Dr Nyan Gadsby-Dolly, to promote literacy.

The spelling bee consisted of words relating to TT and its culture.

Gadsby-Dolly said, “To facilitate this is a pleasure for us, because it is us adding our voice as a constituency to positive engagement, literacy and to ensuring that our children have something to look forward to that will help them in their school life. In my days of primary school, these competitions were a big part of my enjoyment, and so it is a pleasure to add that to the educational landscape in St Ann’s.”

Director of the Educational Library Services Division Primatie Persad said, “Through this competition, students have the opportunity to learn more about our country and its history and culture in a fun and educational setting.

“We hope students develop a sense of respect and appreciation for our rich, diverse cultural heritage and by extension, develop a sense of national pride.”

Eighteen students between nine and 12, from nine primary schools, participated in the spelling competition ­­– two from each school.

Students nervously waited as they lined up for their names to be called to go up on stage to be given their word to spell. Each student had 30 seconds to spell each word. Local words such as kurma, guava, accra, buljol, souse, jhandi and Blanchisseuse were given.

With each word spelt correctly, the children smiled in relief and pride as they walked back to rejoin the line. When a word was spelt incorrectly, the student was eliminated and sadly walked back to his or her seat.

It took 14 rounds to eliminate all but the finalists, when a supplementary list of words was given. The final five students were T’shawn Mitchell, Aliya Eustache, Meaghan John, Hope Clement and Damari Dhanoolal.

The supplementary list consisted of words that had not been given to the students to learn beforehand, so they had to use their critical thinking and listening skills to spell them.

Damari Dhanoolal of Maracas RC Primary School was the last student standing and winner of the competition.

He told Newsday he felt “great” about his victory, and gave encouraging advice to other students wishing to follow in his footsteps: “Revise with whoever is close to you and always be confident of yourself…always.”

Dhanoolal’s parents played a significant role in helping their son prepare for the competition. His teacher, Melissa O’Brian, said, “I must commend his parents, who took that role to ensure that he learnt the words. His parents were really instrumental in what he did today.”

Sadly, his parents were unable to attend the competition.

At the end, all the students were awarded for their bravery and participation.

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COP27: désaccords persistants à l’orée de la dernière ligne droite

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A quatre jours de la fin prévue de la COP27, il reste “beaucoup de travail” pour surmonter les divisions entre pays riches responsables du réchauffement et pays pauvres qui réclament de l’aide pour y faire face, a prévenu lundi le…

A quatre jours de la fin prévue de la COP27, il reste “beaucoup de travail” pour surmonter les divisions entre pays riches responsables du réchauffement et pays pauvres qui réclament de l’aide pour y faire face, a prévenu lundi le président de la conférence de l’ONU sur le climat.

“Nous avons terminé sur certaines questions, mais il reste encore beaucoup de travail si nous voulons obtenir des résultats significatifs et tangibles dont nous pourrons être fiers. Il faut maintenant changer de vitesse”, a exhorté Sameh Choukri, président de la COP27, lors d’un bref point d’étape en ouverture de la dernière ligne droite de la conférence mondiale sur le climat à Charm el-Cheikh, en Egypte, prévue jusqu’à vendredi.

Le chef de la diplomatie égyptienne a listé les points litigieux, soit tous les chapitres importants: l’atténuation (baisse des émissions), l’adaptation aux effets prévisibles du changement climatique et les finances, notamment pour les “pertes et dommages” déjà inévitables, qui frappent souvent les pays les plus pauvres, les moins responsables du réchauffement.

“Construire les ponts”

Simon Stiell, patron de l’agence ONU-Climat, a fait écho à cette liste dans un tweet: “les peuples et la planète attendent de ce processus qu’il tienne ses promesses”. Et d’appeler à “construire les ponts nécessaires pour progresser sur (la limitation du réchauffement à) 1,5°C, l’adaptation, le financement et les pertes et dommages”.

Il y a un an, à la précédente COP à Glasgow, quelque 200 pays s’étaient engagés à “maintenir en vie” l’objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris. C’est-à-dire limiter le réchauffement à +1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, en rehaussant leurs engagements de réduction de gaz à effet de serre pour la COP27.

Mais seuls une trentaine l’ont fait, mettant la planète sur la voie au mieux d’un réchauffement de +2,4°C. Et la première semaine de la COP27 n’a pas vu beaucoup d’annonces, à l’exception du Mexique. 

Selon plusieurs observateurs, la Chine et l’Arabie saoudite ont même fait savoir leur réticence, déjà exprimée dans le passé, à voir dans la déclaration finale la référence à l’objectif de +1,5°C, insistant sur le principal objectif de l’accord de Paris de “nettement en dessous” de +2°C.

“La plupart des pays ici n’a pas l’intention de revenir en arrière”, a insisté l’émissaire spécial américain pour le climat, John Kerry, mais les décisions se prennent par consensus et un pays peut à lui seul bloquer la machine.

Poussant toujours pour plus d’ambitions, le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, à la veille d’un sommet du G20 à Bali, a appelé lundi ces vingt pays responsables de 80% des émissions, à mettre en place un “plan commun pour atteindre la neutralité carbone d’ici 2050”.

Certains observateurs étaient déjà encouragés par la rencontre lundi entre les présidents chinois Xi Jinping et américain Joe Biden.

“Soupir de soulagement”

L’annonce par la Maison blanche de la reprise de la coopération pour renforcer “les efforts” en matière de climat entre les deux plus gros émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre, aux relations tendues, provoque “un soupir de soulagement”, a commenté Ani Dasgupta, président du World Resources Institute.

M. Choukri a demandé aux délégations d’achever les travaux techniques mardi, afin de pouvoir passer ensuite la main aux ministres attendus à Charm el-Cheikh.

Dans la déclaration finale, il faut “un certain nombre de choses qui disent aux gens +on vous a entendus, il y a une urgence, c’est tout le monde sur le pont et on va utiliser tous les leviers pour décarboner la planète+”, résume Alden Meyer, analyste au groupe de réflexion E3G.

Du Pakistan noyé sous les inondations il y a quelques mois aux petites îles du Pacifique menacées par la montée de l’océan, les pays en développement réclament de leur côté plus d’argent aux pays riches qui n’ont pas respecté leur promesse de porter à 100 milliards de dollars par an leur aide destinée à la réduction des émissions et l’adaptation aux impacts. 

Ils revendiquent également désormais la mise en place d’un mécanisme spécifique pour faire face aux “pertes et dommages” déjà subis.

Europe et Etats-Unis y sont notamment très réticents, et le président Biden a soigneusement évité le terme lors de son bref passage vendredi à la COP, plaidant plutôt pour mobiliser le secteur privé.

Créer un mécanisme dédié, “est-ce que c’est la bonne solution? On pense que ce n’est pas le cas”, indique de son côté une source européenne à l’AFP, préférant l’utilisation d’organismes existants comme le Fonds Vert pour le climat.

La présidence allemande du G7 et une soixantaine de pays vulnérables ont lancé lundi à la COP27 un “bouclier”, nouvelle structure pour aider, notamment via des assurances, les populations à financer les impacts du réchauffement, initiative accueillie avec prudence par les ONG.

“Le plus gros problème est le manque de volonté politique, la réticence à voir l’urgence climatique”, a déploré la ministre de l’Environnement des Maldives Aminath Shauna, refusant tout “compromis” sur les pertes et dommages.

abd-so/hj

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Et de trois: la Nasa retente de faire décoller sa nouvelle fusée vers la Lune

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Troisième essai pour la nouvelle méga-fusée de la Nasa: le décollage de la mission Artémis 1 est prévu dans la nuit de mardi à mercredi depuis la Floride, et cette fois tous les voyants semblent au vert pour enfin lancer…

Troisième essai pour la nouvelle méga-fusée de la Nasa: le décollage de la mission Artémis 1 est prévu dans la nuit de mardi à mercredi depuis la Floride, et cette fois tous les voyants semblent au vert pour enfin lancer le grand programme américain de retour sur la Lune.

Le baptême de l’air de la fusée SLS, la plus puissante du monde, est programmé mercredi à 01H04 du matin heure locale (06H04 GMT), avec une fenêtre de tir possible de deux heures.

La météo s’annonce coopérative, avec 90% de chances de temps favorable.

“Notre heure va venir, et nous espérons que ce soit mercredi”, a déclaré lundi soir Mike Sarafin, responsable de la mission. Il a loué la “persévérance” de ses équipes, qui ont dû rebondir après deux tentatives de décollage ratées cet été, puis deux ouragans.

Cinquante ans après la dernière mission Apollo, ce vol test non habité, qui fera le tour de la Lune sans y atterrir, doit permettre de confirmer que le véhicule est sûr pour un futur équipage. Cette même fusée emmènera à l’avenir la première femme et la première personne de couleur sur la Lune.

Malgré un lancement nocturne mercredi, quelque 100.000 personnes sont attendues pour admirer le spectacle, notamment depuis les plages environnantes. De nombreux astronautes font aussi le déplacement, dont le Français Thomas Pesquet.

Les complexes opérations de remplissage de carburant doivent commencer mardi après-midi au centre spatial Kennedy, sous les ordres de Charlie Blackwell-Thompson, la première femme directrice de lancement de la Nasa.

L’étage principal de la fusée, de couleur orange, sera rempli de pas moins de 2,7 millions de litres d’oxygène et d’hydrogène liquides.

Cet été, une fuite d’hydrogène avait causé l’annulation de la deuxième tentative de décollage au dernier moment. Les procédures ont depuis été modifiées, et vérifiées avec succès lors d’un test. La première annulation était elle due à un capteur défectueux.

Les responsables de la Nasa n’ont cessé de répéter que ces problèmes étaient normaux pour un tout nouveau véhicule, que ses équipes apprennent à comprendre et manier.

Mission de 25 jours

Après ces soucis techniques, deux ouragans ont successivement menacé la fusée. Cette géante de 98 mètres de haut a d’abord dû être rentrée fin septembre dans son bâtiment d’assemblage pour être mise à l’abri de l’ouragan Ian, repoussant le décollage de plusieurs semaines.

Puis, une fois ressortie sur son pas de tir, elle a dû affronter il y a moins d’une semaine les vents de l’ouragan Nicole. Cette tempête a causé l’endommagement d’une fine couche de mastic au sommet de la fusée, mais la Nasa a estimé lundi que le risque induit était minime.

Au total, le programme cumule plusieurs années de retard, et la réussite de cette mission, qui coûte plusieurs milliards de dollars, est devenue impérative pour la Nasa.

Juste après le décollage, les équipes du centre de contrôle à Houston, au Texas, prendront la main. 

Au bout de deux minutes, les deux propulseurs d’appoint blancs retomberont dans l’Atlantique. Après huit minutes, l’étage principal se détachera à son tour. Puis, environ 1h30 après le décollage, une dernière poussée de l’étage supérieur mettra la capsule Orion sur le chemin de la Lune, qu’elle rejoindra en quelques jours.

Là, elle sera placée sur une orbite distante durant environ une semaine, et s’aventurera jusqu’à 64.000 km derrière la Lune — un record pour une capsule habitable.

Enfin, Orion entamera son retour vers la Terre, mettant à l’épreuve son bouclier thermique, le plus grand jamais construit. Il devra supporter une température moitié aussi chaude que la surface du Soleil en traversant l’atmosphère.

Si le décollage a bien lieu mercredi, la mission doit durer 25 jours et demi, avec un amerrissage dans l’océan Pacifique le 11 décembre.

Nouvelle ère

Après la fusée Saturn V des missions Apollo, puis les navettes spatiales, SLS doit faire entrer la Nasa dans une nouvelle ère d’exploration humaine — cette fois de l’espace lointain.

En 2024, Artémis 2 emmènera des astronautes jusqu’à la Lune, toujours sans y atterrir. Un honneur réservé à l’équipage d’Artémis 3, en 2025 au plus tôt.

La Nasa envisage ensuite une mission par an, notamment pour construire une station spatiale en orbite autour de la Lune, nommée Gateaway, et une base sur son pôle sud.

Le but est d’y tester de nouveaux équipements: combinaisons spatiales, véhicule pressurisé, mini-centrale électrique, utilisation de l’eau glacée présente sur place… Le tout afin d’y établir une présence humaine durable.

Cette expérience doit préparer un vol habité vers Mars, peut-être à la fin des années 2030. L’aller-retour prendra au minimum deux ans.

la/led/ybl

Des photographes devant la fusée SLS de la Nasa, le 13 novembre 2022 au centre spatial Kennedy, en Floride
• Gregg Newton

Schéma descriptif de la capsule Orion de la NASA, qui dans le cadre du programme américain Artémis transportera des astronautes vers la Lune et les ramènera sur Terre
• Gal ROMA

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Yung Bleu Addresses Criticism From DMX Fans For Song Sample

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Yung Bleu is responding to backlash from DMX fans after covering the late rapper’s hit song, “How’s It Goin’ Down,” off of his 1998 debut album.

On Monday, Yung Bleu released the music video for the track “What Type of Games” produced by Murda Beatz.

Bleu’s track incorporated DMX’s chorus, which led to fans calling him out for the sample. Many fans felt that the song was a legendary track, and even though Bleu was a good artist, they did not want the track to be touched.

Yung Bleu, however, defended the track and said that he was not destroying a classic, but rather he had received the artist’s blessings before and that the song is also bringing proceeds to the artist’s estate and his children.

“I understand that’s such a great song and it will never be duplicated no. Matter what by any artist ! Classic ! I’m paying homage! and mainly bringing more income to his estate at that! that’s what matter to me,” he said in a since deleted Tweet.

Twitter

Bleu added that he and DMX spoke on the phone two weeks before his death.

The artist added that he and DMX had even discussed him making music together. Their plans, however, fell through after the artist passed away on April 9, 2021, after suffering a heart attack.

“He was gonna be on my song Ghetto. Love Birds so this was my dedication after that! Anyways! fly high og! I hope it get a billion streams,” Bleu said in another tweet.

In the meantime, the track “What Type Of Games” is off of the album ‘Tantra’ released by Bleu on November 11.

The featured artists include Nicki Minaj, Fivio Foreign, Zayn, Lucky Daye, Kelly Rowland, and French Montana.

In the meantime, some fans also shared support for Blue. One fan wrote on Instagram, “MX did show his support for Bleu prior to passing, so at the end of the day, it doesn’t matter if we like his art or not, it’s his music and his song, so let him rock out with his homage. He never compared himself to DMX as so many newer artist try and do with Legends. At least he’s respectful.”

“Adding income to his estate should shut y’all up,” another said. “He doesn’t have to explain himself people are easily bothered. I love his creativity,” another said.

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Rekha Bissumbhar eerste vrouwelijke voorzitter VSB

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PARAMARIBO — “Het bedrijfsleven is de motor voor een duurzame ontwikkeling van Suriname.” Met deze woorden begon Rekha Bissumbhar haar

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Defensie dient kort geding in tegen stakende militairen

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PARMARIBO — Het ministerie van Defensie heeft maandag een kort geding ingediend tegen de Vereniging Rechtspositie Militairen (VRM). “Ondertussen heeft

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Et de trois: la Nasa retente de faire décoller sa nouvelle fusée vers la Lune

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Troisième essai pour la nouvelle méga-fusée de la Nasa: le décollage de la mission Artémis 1 est prévu dans la nuit de mardi à mercredi depuis la Floride, et cette fois tous les voyants semblent au vert pour enfin lancer…

Troisième essai pour la nouvelle méga-fusée de la Nasa: le décollage de la mission Artémis 1 est prévu dans la nuit de mardi à mercredi depuis la Floride, et cette fois tous les voyants semblent au vert pour enfin lancer le grand programme américain de retour sur la Lune.

Le baptême de l’air de la fusée SLS, la plus puissante du monde, est programmé mercredi à 01H04 du matin heure locale (06H04 GMT), avec une fenêtre de tir possible de deux heures.

La météo s’annonce coopérative, avec 90% de chances de temps favorable.

“Notre heure va venir, et nous espérons que ce soit mercredi”, a déclaré lundi soir Mike Sarafin, responsable de la mission. Il a loué la “persévérance” de ses équipes, qui ont dû rebondir après deux tentatives de décollage ratées cet été, puis deux ouragans.

Cinquante ans après la dernière mission Apollo, ce vol test non habité, qui fera le tour de la Lune sans y atterrir, doit permettre de confirmer que le véhicule est sûr pour un futur équipage. Cette même fusée emmènera à l’avenir la première femme et la première personne de couleur sur la Lune.

Malgré un lancement nocturne mercredi, quelque 100.000 personnes sont attendues pour admirer le spectacle, notamment depuis les plages environnantes. De nombreux astronautes font aussi le déplacement, dont le Français Thomas Pesquet.

Les complexes opérations de remplissage de carburant doivent commencer mardi après-midi au centre spatial Kennedy, sous les ordres de Charlie Blackwell-Thompson, la première femme directrice de lancement de la Nasa.

L’étage principal de la fusée, de couleur orange, sera rempli de pas moins de 2,7 millions de litres d’oxygène et d’hydrogène liquides.

Cet été, une fuite d’hydrogène avait causé l’annulation de la deuxième tentative de décollage au dernier moment. Les procédures ont depuis été modifiées, et vérifiées avec succès lors d’un test. La première annulation était elle due à un capteur défectueux.

Les responsables de la Nasa n’ont cessé de répéter que ces problèmes étaient normaux pour un tout nouveau véhicule, que ses équipes apprennent à comprendre et manier.

Mission de 25 jours

Après ces soucis techniques, deux ouragans ont successivement menacé la fusée. Cette géante de 98 mètres de haut a d’abord dû être rentrée fin septembre dans son bâtiment d’assemblage pour être mise à l’abri de l’ouragan Ian, repoussant le décollage de plusieurs semaines.

Puis, une fois ressortie sur son pas de tir, elle a dû affronter il y a moins d’une semaine les vents de l’ouragan Nicole. Cette tempête a causé l’endommagement d’une fine couche de mastic au sommet de la fusée, mais la Nasa a estimé lundi que le risque induit était minime.

Au total, le programme cumule plusieurs années de retard, et la réussite de cette mission, qui coûte plusieurs milliards de dollars, est devenue impérative pour la Nasa.

Juste après le décollage, les équipes du centre de contrôle à Houston, au Texas, prendront la main. 

Au bout de deux minutes, les deux propulseurs d’appoint blancs retomberont dans l’Atlantique. Après huit minutes, l’étage principal se détachera à son tour. Puis, environ 1h30 après le décollage, une dernière poussée de l’étage supérieur mettra la capsule Orion sur le chemin de la Lune, qu’elle rejoindra en quelques jours.

Là, elle sera placée sur une orbite distante durant environ une semaine, et s’aventurera jusqu’à 64.000 km derrière la Lune — un record pour une capsule habitable.

Enfin, Orion entamera son retour vers la Terre, mettant à l’épreuve son bouclier thermique, le plus grand jamais construit. Il devra supporter une température moitié aussi chaude que la surface du Soleil en traversant l’atmosphère.

Si le décollage a bien lieu mercredi, la mission doit durer 25 jours et demi, avec un amerrissage dans l’océan Pacifique le 11 décembre.

Nouvelle ère

Après la fusée Saturn V des missions Apollo, puis les navettes spatiales, SLS doit faire entrer la Nasa dans une nouvelle ère d’exploration humaine — cette fois de l’espace lointain.

En 2024, Artémis 2 emmènera des astronautes jusqu’à la Lune, toujours sans y atterrir. Un honneur réservé à l’équipage d’Artémis 3, en 2025 au plus tôt.

La Nasa envisage ensuite une mission par an, notamment pour construire une station spatiale en orbite autour de la Lune, nommée Gateaway, et une base sur son pôle sud.

Le but est d’y tester de nouveaux équipements: combinaisons spatiales, véhicule pressurisé, mini-centrale électrique, utilisation de l’eau glacée présente sur place… Le tout afin d’y établir une présence humaine durable.

Cette expérience doit préparer un vol habité vers Mars, peut-être à la fin des années 2030. L’aller-retour prendra au minimum deux ans.

la/led/ybl

Des photographes devant la fusée SLS de la Nasa, le 13 novembre 2022 au centre spatial Kennedy, en Floride
• Gregg Newton

Schéma descriptif de la capsule Orion de la NASA, qui dans le cadre du programme américain Artémis transportera des astronautes vers la Lune et les ramènera sur Terre
• Gal ROMA

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Mondial – J-5: Les gros commencent à atterrir au Qatar

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A cinq jours du coup d’envoi du Mondial-2022 dimanche, les polémiques résisteront-elles à l’arrivée au Qatar des principaux pays, notamment européens, comme, dès mardi, l’Angleterre…

A cinq jours du coup d’envoi du Mondial-2022 dimanche, les polémiques résisteront-elles à l’arrivée au Qatar des principaux pays, notamment européens, comme, dès mardi, l’Angleterre, les Pays-Bas ou encore le Danemark?

Avec quelques jours seulement pour préparer leur premier match, les 32 sélections vont avoir peu de temps pour s’acclimater à la chaleur ou encore à leur cadre de vie provisoire dans le désert du Qatar.

Et dans le contexte extra-sportif tendu de cette Coupe du monde, que ce soit au sujet des droits humains, des discriminations à l’égard des personnes LGBTQ+ ou des thèmes environnementaux, chaque prise de parole ou chaque action seront scrutées.

Quelle sera, par exemple, l’attitude des Danois lors de leur premier entraînement alors qu’ils se sont vu interdire jeudi dernier par la Fédération internationale (Fifa) le port d’un maillot pro-droits humains à l’entraînement?

Les Aussies ferment le débat

Ils ont certes annoncé qu’ils se plieraient aux consignes vestimentaires de la Fifa. Mais évoqueront-ils le sujet une fois les pieds sur le sol qatari ? Ou feront-ils comme les Australiens qui ont prévenu lundi à leur arrivée qu’ils n’évoqueraient plus le sujet, quelques jours après la diffusion d’une vidéo qui a fait grand bruit ?

Le 27 octobre, les Australiens avaient en effet diffusé une vidéo dans laquelle ils critiquaient ouvertement le Qatar pour le non-respect des droits humains.

Lundi lors de leur première conférence de presse à Doha, ils sont brièvement revenus sur le sujet… pour le fermer au moins le temps de la compétition.

“Ce que nous avons dit dans cette vidéo a été dit, ce qui devait être entendu a été entendu, et maintenant très franchement, nous nous occupons juste du football, on ne parle plus vraiment de tout ça”, a expliqué l’attaquant Mitchell Duke depuis le camp de base des “Socceroos”.

Les Pays-Bas et l’Angleterre iront, eux, rencontrer jeudi les travailleurs migrants qui ont participé à l’organisation de cette Coupe du monde dans le cadre d’un programme orchestré par la Fifa et le Qatar.

Le pays hôte et l’instance dirigeante du football mondial ont en effet prévu des activités “sociales” pour permettre aux volontaires, aux travailleurs ou à des joueurs et joueuses amateurs de côtoyer pendant une heure les stars du Mondial.

Autre pays à poser ses valises dans le Golfe mardi : l’Équateur. Les Sud-Américains, qui ont fait un “stop” en Espagne pour affiner leur préparation ce week-end, vont vite devoir se mettre dans le bain puisqu’ils auront l’honneur toujours impressionnant d’affronter le pays-hôte lors du match d’ouverture dimanche (19h00 locales, 17h00 Paris).

Les polémiques pourraient aussi venir du ciel. Ainsi, l’Allemagne a quitté Francfort lundi pour le Golfe à bord d’un avion Lufthansa arborant un message en faveur de la diversité.

La compagnie allemande a fait peindre le slogan “Diversity wins” (la diversité gagne, NDLR) sur le fuselage de l’avion, un pied de nez au pays organisateur du mondial critiqué depuis sa désignation par les défenseurs des droits humains et de l’environnement.

Dernier jour en France

De son côté, la France passe mardi sa dernière journée à la maison, dans son château de Clairefontaine, avant de décoller pour Doha mercredi, où elle aura cinq jours pour préparer son entrée dans la compétition mardi contre l’Australie.

Les champions du monde vont profiter de cette journée pour poser pour la postérité avec la fameuse et toujours attendue photo officielle.

Ils auront aussi une ultime session d’entraînement, au cours de laquelle ils rencontreront quelques supporteurs invités.

Mercredi, ce sera le grand départ pour le Qatar et la défense d’un titre, qui s’est encore compliquée avec le forfait de Presnel Kimpembe lundi, l’un des leaders des Tricolores, remplacé par le Monégasque Axel Disasi, jamais appelé par Didier Deschamps jusqu’à présent.

L’arrivée surprise de l’attaquant Marcus Thuram, 26e et dernier sélectionné, renforce encore une escouade offensive impressionnante. 

ep/ng/lh

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Tyre burning in Portmore as anger mounts amid taxi strike Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Jamaica News Loop News

Irate bus and taxi operators burnt tyres to choke off key roads in Portmore, St Catherine on Monday, as a protest by public passenger vehicle operators threatened to mushroom into chaos and mayhem by late evening.

The tyre fires billowed black clouds of smoke, sending firefighters scrambling into action and creating a major traffic jam in the Sunshine City on Monday evening.

Several arrests were made across the parish as tempers flared amid the withdrawal of services by transport operators who are calling on the authorities to grant them a traffic ticket amnesty.

Head of the St Catherine South Police, Senior Superintendent Christopher Phillips told Loop News that seven arrests were made across the division for several criminal damage and public disorder offences since the operators withdrew their services early Monday.

SSP Phillips said that there were at least two fires lit at different sections of George Lee Boulevard Monday afternoon.

“We put out one fire on the roadway in the vicinity of MegaMart, but what we’re picking up is that people are going around lighting these fires in other sections of Portmore. We have a report of another fire in the Bayview area, but we’ve mobilised a team to deal with these fires and the lawlessness that is being displayed in the area,” Phillips said.

The transport operators have withdrawn their services and are threatening to continue for another two days, claiming that the punitive nature of the road traffic ticketing system is unfair, especially with the added threat of incarceration for unpaid tickets.

But it appears that the Government will be giving no quarter to beleaguered taxi and bus operators.

A release from the Office of the Prime Minister categorically condemned the strike, with the Cabinet emphasising “that the Government and the country will give no support for lawlessness and disorder and welcomes the significant rejection of today’s protest actions and demands”.

“All well-thinking Jamaicans are concerned that these actions have not only demonstrated a disregard for the need for citizens going about their lawful business to get to work and school but have also demonstrated complete disdain for law, order and discipline,” the release said.

The Government appears to be sticking to its guns that no traffic ticket amnesty will be granted to the irate transport operators.

“We advise persons who have broken the law and, as a result, have unpaid tickets to pay their fines as ticketed,” the release stated bluntly.

Meanwhile, Egerton Newman, president of the Transport Operators Development Sustainable Services (TODSS), blamed the statement from the Cabinet for the general chaos, saying that the tone of the release “added fuel to the fire”.

“The release from the Cabinet put more fuel to the fire and what we’re seeing now is indicative of the anger of the operators. It is unfortunate because the release from Cabinet doesn’t speak to the challenges of the sector,” Newman said.

He took exception to the accusatory tone of the release.

“We made a request for amnesty, not granted; instead, all the release speaks to is lawlessness in the transport sector. But what of the general lawlessness in Jamaica? The problem is everywhere, but the release speaks to arresting us instead of arresting the problem, ” he said.

Newman said that there is still hope and that TODSS will be able to broker an agreement with the Minister of Transport, Audley Shaw.

“There will be a meeting at 8:30 tomorrow (Tuesday) at his office, and a team will meet with him, but we cannot say if the operators will stay off the roads during that meeting. I encourage them to hold, but it is really up to them if they plan to end the strike. The Cabinet’s statement skirted the issues and is a total disrespect to the transport sector,” Newman said.

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Les Occidentaux cherchent à unir le G20 contre la Russie de Poutine

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Les Occidentaux alliés de l’Ukraine se sont dits optimistes mardi quant à leur capacité à rallier les principales économies émergentes autour d’une condamnation de la guerre menée en Ukraine par Vladimir Poutine, grand…

Les Occidentaux alliés de l’Ukraine se sont dits optimistes mardi quant à leur capacité à rallier les principales économies émergentes autour d’une condamnation de la guerre menée en Ukraine par Vladimir Poutine, grand absent du sommet du G20 en Indonésie.

Le plus important rassemblement de dirigeants mondiaux depuis le début de la pandémie s’ouvre dans le cadre tropical de l’île indonésienne de Bali après près de neuf mois d’une guerre meurtrière aux lourdes conséquences économiques pour la planète, et la menace nucléaire qui plane.

L’invasion de l’Ukraine ne figure pas à l’agenda officiel du G20 mais domine la réunion, tant elle inquiète et aussi creuse les divisions entre les Occidentaux soutenant Kiev et d’autres pays, Chine en tête, qui refusent de condamner Moscou.

Alors que son armée bat en retraite dans le sud de l’Ukraine, Vladimir Poutine a décidé de bouder l’événement et s’est fait représenter par son inamovible chef de la diplomatie Sergueï Lavrov, officiellement pour des raisons d’agenda.

Autre absence, celle du Premier ministre cambodgien Hun Sen testé positif au Covid-19 juste avant le sommet.

Vers un communiqué commun?

Signe des fractures au sein du G20, club des grandes économies mondiales créé à l’origine pour s’accorder sur les questions financières, l’hôte du sommet, l’Indonésie, avait averti qu’il ne fallait pas s’attendre au traditionnel communiqué commun dont chaque virgule fait l’objet d’intenses tractations pour ne fâcher personne.

Mais un accord a été obtenu lundi soir sur un texte commun au niveau des négociateurs, a indiqué le président du Conseil européen Charles Michel appelant “toutes les parties à renforcer la pression sur la Russie”.

Selon une source occidentale, le document va qualifier l’invasion de l’Ukraine de “guerre”, un terme pourtant rejeté par Moscou qui parle d’une “opération spéciale” visant à “dénazifier” l’Ukraine. Mais il laissera aussi de la latitude à chaque pays dans sa position. 

“Je pense que vous allez voir que la plupart des membres du G20 vont dire clairement qu’ils condamnent la guerre de la Russie en Ukraine, et qu’ils voient la Russie comme la cause principale des souffrances économiques et humanitaires immenses dans le monde”, a indiqué un haut responsable américain sous couvert d’anonymat.

Les pays du G20 se montrent particulièrement inquiets de l’expiration possible vendredi de l’accord obtenu en juillet sous l’égide de la Turquie pour exporter des céréales d’Ukraine. Un accord qualifié lundi soir de crucial pour la “sécurité alimentaire mondiale” par le chef de l’ONU Antonio Guterres, qui a averti de risques de famine.

La Russie laisse planer le doute sur sa prolongation, alors que les exportations céréalières russes restent elles, entravées.

“Stabilité” en jeu

Si Vladimir Poutine sera absent, en personne comme en ligne, le président ukrainien doit lui s’exprimer devant les dirigeants du G20 par lien vidéo.

Tous les regards seront tournés vers la Chine, grande puissance dont le président Xi Jinping s’est encore rapproché de Vladimir Poutine à la veille de la guerre, formant un front commun contre ce qu’ils décrivent comme les volontés hégémoniques occidentales.

Pékin a refusé de condamner l’invasion de l’Ukraine lancée le 24 février et rejette les sanctions adoptées par les Occidentaux.

Lors d’une rencontre mardi matin avec le dirigeant chinois, le président français Emmanuel Macron a plaidé pour que la Chine “unisse (ses) forces” avec ses partenaires contre la guerre, soulignant que la “stabilité” dans le monde était aussi dans “l’intérêt” de Pékin.

Lundi, c’est le président américain Joe Biden qui avait plaidé cette cause lors de son premier face-à-face avec Xi Jinping depuis son élection, assurant avoir obtenu l’accord de son homologue chinois sur le rejet de tout recours à l’arme nucléaire en Ukraine. 

Les Occidentaux voudraient que le G20 se prononce explicitement contre ce risque d’escalade.

Face à la menace russe, nombre d’entre eux veulent renforcer leurs capacités militaires et le Premier ministre Rishi Sunak est arrivé à Bali avec l’annonce d’une commande de cinq frégates de guerre, au nom de la “menace” russe.

Ce contrat de près de cinq milliards d’euros tranche avec les économies massives préparées par le gouvernement britannique.

“Au G20, le régime de Poutine – qui a étouffé la dissidence intérieure et s’est fabriqué un vernis de légitimité uniquement par la violence – entendra le chœur de l’opposition mondiale à ses actions”, a averti M. Sunak dans un communiqué.

bur-gmo/lgo/roc 

G20: Macron appelle la France et la Chine à “unir” leurs “forces” contre la guerre en Ukraine
• Esther DELORD

Le président américain Joe Biden donne une conférence de presse en marge du sommet du G20 à Bali, le 14 novembre 2022
• SAUL LOEB

Le Premier ministre britannique Rishi Sunak arrive au sommet du G20 à Bali, en Indonésie, le 15 novembre 2022
• KEVIN LAMARQUE

Les membres du G20
• Nicolas RAMALLO

NewsAmericasNow.com