Des acteurs engagés et éco responsables se dévoilent au centre commercial Destreland

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Marie Vandewoestyne

Couch’édo Myèl. • M.V.

Jusqu’au 5 novembre se déroule la 17ème édition de la Semaine de l’environnement à Destreland. Les organisatrices Virginie Chanchorle et Martine Marais orientent les visiteurs vers les stands des acteurs locaux.

Des associations locales ayant pour but de
sensibiliser et d’éduquer sur des thèmes écologiques ou de faire
connaitre leur marque éco-responsable se réunissent pour trois
jours de rencontres avec la population à Destreland. Ces
associations sont porteuses de valeurs telles que le recyclage des
objets, la pollution de l’air, le zéro déchet ou encore l’économie
solidaire.

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A Lobster Festival Returns to This Caribbean Island

Black Immigrant Daily News

BY NAN News Writer

News Americas, ROAD TOWN, TORTOLA, BRITISH VIRGIN ISLANDS, Fri. Nov. 4, 2022: It will be lobster time this November 25th in the Caribbean Island of the BVI as the Anegada Lobster Festival, (ALF), returns.

From November 25 to 27th, the festival will welcome foodies from around the world to Anegada to celebrate the shared love of food, music, and fun. It will kick off with a “lobster crawl,” a bar crawl covering many of the island’s favorite watering holes.
 

Ten restaurants on Anegada are anxiously looking forward to preparing their specialties for all to sample.  Festivalgoers will have the opportunity to indulge in lobster prepared in over ten different ways – lobster wraps, lobster ice-cream, and grilled lobster, to name a few.  This scavenger hunt-styled event encourages everyone to take advantage of the many available ways to get around the island while exploring all the participating restaurants and attractions on Anegada.
 
One of the highlights of the Anegada Lobster Festival will be the Butter Sauce Tramp on the early morning of Sunday, November 27th.

“We are excited to welcome our residents and visitors back to Anegada and the British Virgin Islands to celebrate this milestone with us. In addition to delectable dishes from ten restaurants, there are amazing prizes and giveaways in store for everyone”, said Director of Tourism of the BVI Tourist Board & Film Commission (BVITB&FC),  Clive McCoy. “In addition to promoting gastronomical tourism, the event is expected to promote the major attractions to explore and the activities to experience on Anegada.”
 
The Anegada Lobster Festival is a welcoming event that caters to all food palates.  Each restaurant will feature food for all dietary preferences, in addition to entertainment by live bands or popular deejays.
 
The participating restaurants are:

Anegada Reef Hotel

Big Bamboo

Cow Wreck

Flash of Beauty

Lobster Trap

Pink Flamingo

Potter’s By the Sea

Sid’s Pomato Point

Tipsy

Wonky Dog

Persons attending the event are encouraged to download the “Flapbook.”  This digital guide contains all you need to know about the event including, menus of participating restaurants, ferry schedules, an island map, emergency contacts, and fun activities.
 

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Pakistan: l’ex-PM Imran Khan se rétablit à l’hôpital après une tentative d’assassinat

Black Immigrant Daily News

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L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan se remettait vendredi à l’hôpital d’une blessure par balle au lendemain d’une tentative d’assassinat, ses partisans promettant de maintenir sa “longue marche” vers Islamabad destinée à fragiliser…

L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan se remettait vendredi à l’hôpital d’une blessure par balle au lendemain d’une tentative d’assassinat, ses partisans promettant de maintenir sa “longue marche” vers Islamabad destinée à fragiliser le gouvernement en vue des prochaines élections.

L’attaque jeudi contre son convoi – apparemment menée par un seul homme armé – a fait un mort et au moins dix blessés, accentuant encore la tension dans un pays plongé dans une profonde crise politique depuis que M. Khan a été évincé du pouvoir en avril.

L’ancienne star du cricket était “dans un état stable et se portait bien” dans un hôpital de Lahore (Est), a indiqué vendredi matin à l’AFP son médecin Faisal Sultan.

M. Khan, 70 ans, a lancé vendredi une “longue marche” rassemblant plusieurs milliers de ses soutiens entre Lahore et la capitale Islamabad, pour obtenir la tenue d’élections anticipées, première étape dans sa reconquête espérée du pouvoir.

Il a été touché par au moins une balle à la jambe droite quand un individu a tiré en rafale avec un pistolet automatique vers le sommet d’un conteneur posé sur un camion, d’où M. Khan avait l’habitude de s’adresser à la foule depuis le début de la marche.

La tentative d’assassinat a eu lieu alors que ce véhicule fendait lentement la large foule rassemblée à Wazirabad, à environ 170 km à l’est de la capitale.

“Tous ceux qui étaient debout au premier rang ont été touchés”, a déclaré à l’AFP Fawad Chaudhry, ancien ministre de l’Information du gouvernement Khan, derrière lequel il se tenait.

Il s’agissait d’une “tentative de le tuer, de l’assassiner”, a affirmé à l’AFP l’un des proches conseillers de M. Khan, Raoof Hasan. 

Plusieurs officiels de son parti, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), figurent parmi les blessés. Le PTI a accusé le gouvernement d’être derrière cette attaque, ce que celui-ci a fermement nié.

Scène de crime

M. Chaudhry a précisé que les responsables du PTI se réuniraient vendredi pour discuter de la stratégie à tenir concernant la “longue marche”, tout en promettant qu’elle allait se poursuivre.

“La longue marche pour la vraie liberté continuera et le mouvement en faveur des droits du peuple aussi jusqu’à ce qu’il y ait une annonce sur les élections”, a-t-il twitté.

Depuis son renversement par une motion de censure en avril, M. Khan n’a cessé d’exiger la tenue immédiate d’élections, misant sur sa popularité intacte pour obtenir un second mandat. 

Le gouvernement préfère attendre la date butoir d’octobre 2023, pour se donner le temps de remettre l’économie sur les rails et en faire un argument de campagne.

Vendredi matin, le camion de M. Khan est devenu une scène de crime. Le périmètre est bouclé et gardé par des commandos, pendant que la police scientifique passe les lieux au crible.

Pendant la nuit, des milliers de partisans de M. Khan se sont rassemblés sur place, beaucoup brandissant des banderoles aux slogans politisés.

La ministre de l’Information, Marriyum Aurangzeb, a annoncé jeudi qu’un assaillant avait été appréhendé, et partagé une vidéo circulant en ligne dans laquelle il justifie son acte.

“Je l’ai fait parce que (Khan) trompait le public. J’ai essayé de le tuer, j’ai fait de mon mieux”, explique l’homme aux cheveux ébouriffés, les mains attachées dans le dos, à l’intérieur de ce qui semble être un poste de police.

Il ajoute avoir été mis en colère par le vacarme émanant du cortège au moment de l’appel à la prière.

Large soutien

Plusieurs assassinats politiques ont émaillé l’histoire récente du pays, qui est par ailleurs aux prises depuis des décennies avec des mouvements islamistes violents contestant l’influence du pouvoir central.

Cette attaque fait notamment ressurgir le souvenir de l’attentat qui avait coûté la vie en 2007 à Benazir Bhutto, la première femme de l’ère moderne à avoir dirigé un pays musulman. Les commanditaires de son assassinat n’ont jamais été identifiés.

Des coups de feu avaient été tirés et un kamikaze s’était fait exploser près de son véhicule alors qu’elle saluait ses partisans à Rawalpindi. Elle était revenue au Pakistan quelques semaines plus tôt pour participer aux élections, après plusieurs années d’exil.

Malgré son éviction, M. Khan bénéficie d’un large soutien de la population. Depuis avril, il a organisé de vastes rassemblements dans tout le pays – attirant des dizaines de milliers de partisans – pour faire pression sur la fragile coalition au pouvoir.

Il continue d’affirmer que sa chute a été le fruit d’une “conspiration” ourdie par les Etats-Unis, et critique sans répit le gouvernement de son successeur, Shehbaz Sharif, ainsi que l’institution militaire.

Imran Khan était arrivé au pouvoir en 2018, après la victoire aux législatives du PTI, sur une plateforme populiste mêlant promesses de réformes sociales, conservatisme religieux et lutte contre la corruption.

Mais sous son mandat, la situation économique s’est dégradée et il a perdu l’appui de l’armée, qui était accusée d’avoir contribué à le faire élire.

Ces derniers mois, il s’est plusieurs fois déclaré prêt à mourir pour son pays, et son entourage a souvent fait état de menaces à son encontre.

sjd-fox/cyb/nzg/lpa

Pakistan: des centaines de partisans d’Imran Khan se rassemblent devant l’hôpital
• Faisal SATTI

Un policier devant le camion utilisé par l’ex-Premier ministre Imran Khan, après qu’il a été blessé par balle lors d’un meeting politique, le 3 novembre 2022 à Wazirabad
• Aamir QURESHI

Des partisans de l’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan déposent des fleurs devant l’hôpital où il a été admis après avoir été blessé par balle, le 3 novembre 2022 à Lahore
• Arif ALI

Des images de l’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan blessé par balle diffusées à la télévision, le 3 novembre 2022 à Islamabad
• Farooq NAEEM

Carte localisant Gujranwala au Pakistan
• STAFF

L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan lors d’une marche contre le gouvernement, le 1er novembre 2022 à Gujranwala
• Arif ALI

NewsAmericasNow.com

Masters WTA: Garcia cède contre Swiatek, mais les demies restent accessibles

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Impuissante, mais sans jamais démériter, Caroline Garcia a été battue 6-3, 6-2 par la N.1 mondiale Iga Swiatek, pour son 2e match de groupe du Masters WTA, mais la Française…

Impuissante, mais sans jamais démériter, Caroline Garcia a été battue 6-3, 6-2 par la N.1 mondiale Iga Swiatek, pour son 2e match de groupe du Masters WTA, mais la Française peut encore se qualifier pour les demi-finales.

La joueuse de 29 ans (N.6), qui avait atteint ce stade de l’épreuve en 2017 pour sa première participation, conserve en effet ses chances après la victoire 7-6 (8/6), 6-3 de Daria Kasatkina (N.8) aux dépens de Coco Gauff (N.4).

Un succès contre la Russe samedi lui permettra de finir deuxième de son groupe derrière Swiatek, d’ores et déjà qualifiée en première position.

“Ce sera un grand défi. Une victoire et ce sera possible, une défaite et il n’y aura aucune chance d’y arriver. C’est donc assez simple. A la fin, c’est toujours du tennis, il faut faire de son mieux pour essayer de gagner le match”, a commenté Garcia, sans encore savoir que ce duel équivalant à un quart de finale l’opposerait à Kasatkina.

Elle n’a pas démérité face à Swiatek, la grande favorite de la compétition qui s’est affirmée cette saison comme la patronne du circuit, forte de huit titres remportés, dont ceux majeurs à Roland-Garros et à l’US Open.

La Française avait des raisons de croire en ses chances, car elle a été une des rares à vaincre la Polonaise cette année. C’était en quart de finale du tournoi de Varsovie cet été, devant un public tout acquis à la cause de sa favorite, qui traversait alors un petit creux.

Bras de fer

Mais cette fois, dans une ambiance autrement plus morose, au cœur d’une Dickies Arena trop grande et trop vide pour cet événement déprécié au pays du football américain, Swiatek a remis les pendules à l’heure et mène désormais deux victoires à une dans leurs confrontations.

La première manche fut un sacré bras de fer, durant lequel les deux joueuses se sont rendu coup pour coup, le plus souvent gagnants, pratiquant un tennis de haut niveau. 

Mais à l’agressivité payante de Garcia, qui lui a permis de breaker la première, Swiatek a répondu par sa défense acharnée, sa capacité à couvrir le terrain, à mieux lire le jeu, avec un sens aiguisé du contre-pied, tout en sachant aussi placer des accélérations.

La ténacité de la Polonaise a ainsi pris le dessus sur les coups de boutoir et les avancées au filet de la Française, qui savait que pour espérer l’emporter il lui faudrait écourter les échanges.

Or Garcia a commis un peu trop d’erreurs directes (14 contre 8) pour continuer à faire illusion, à l’image de cette double faute, qui a offert le break décisif à sa rivale.

La Lyonnaise, malgré une envie intacte de bousculer Swiatek, n’y est pas plus parvenue dans le second set et, à sa troisième occasion, cette dernière lui a ravi son service d’entrée.

373 aces

Garcia a aussitôt eu trois opportunités de débreaker. Toutes manquées, Swiatek élevant encore son niveau de jeu, jusqu’à faire cavalier seule pour s’imposer en 1h25.

“C’était vraiment un match difficile. C’est une très bonne joueuse, très solide, qui ne vous donne pas beaucoup d’espace. J’ai essayé du mieux que je pouvais. Mais elle était meilleure et m’a sortie de ma zone de confort”, a analysé Garcia, qui, pour lot de consolation,a dépassé la Kazakhe Elena Rybakina, au rang du plus grand nombre d’aces réussis en 2022 (373).

“Le score est un peu sévère. Je n’avais pas l’impression d’être dépassée”, a-t-elle encore commenté.

Surtout, Garcia semble avoir retrouvé l’envie et les jambes, qui lui avaient permis de passer un été flamboyant, marqué par trois titres à Bad Homburg, Varsovie et au WTA 1000 de Cincinnati, avant d’atteindre les demies à l’US Open.

Un état de forme encourageant, déjà entrevu mardi lors de sa victoire autoritaire contre Coco Gauff, pour celle qu’on pensait voir débarquer dans le Texas pleine d’incertitudes, juste après le départ surprise de son entraîneur Bertrand Perret, au terme de 11 mois d’une collaboration fructueuse qui l’a fait passer de la 75e à la 6e place mondiale.        

nip/roc/gk

La Polonaise Iga Swiatek serre le poing lors de son match contre la Française Caroline Garcia au Masters WTA de Forth Worth (Etats-Unis) le 3 novembre 2022
• TOM PENNINGTON

Caroline Garcia serre la main de son adversaire Iga Swiatek après la victoire de la Polonaise lors du Masters WTA de Fort Worth (Etats-Unis), le 3 novembre 2022
• TOM PENNINGTON

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Puerto Rico SMEs To Benefit From Expanded Access To Capital

Black Immigrant Daily News

By NAN Business Editor

News Americas, SAN JUAN, Puerto Rico, Fri. Nov. 4, 2022: Qualified SMEs in Puerto Rico will now be able to access more capital for growth.

Acrecent, a Sygnus company based in Puerto Rico, recently secured a US$34.8 million investment from global impact investment firms, BlueEarth Capital, Ceniarth, Calvert Impact Capital and Community Development Venture Capital Alliance, (CDVCA).

This investment will allow Acrecent to continue deploying critical financing to hundreds of SMEs in underserved sectors which are essential for the social and economic development of the island, such as healthcare, affordable housing construction, hospitality and renewable energy, among others.

James Connor, co-founder and CEO of Acrecent commented: “Having BlueEarth and Ceniarth join Calvert Impact Capital and CDVCA in our AFP impact fund inspires me to double down on our mission of addressing the chronic gap in access to credit for overlooked SMEs. I am confident the joining of forces will serve as a catalyst for other impact-centric LPs in the U.S. and other developed markets to play a role in addressing the gross underdevelopment of Puerto Rico’s non-bank, private capital/credit sector.”

As awareness of social responsibility expands and companies are increasingly under pressure to conduct their business responsibly, more investors are eager to generate both financial and social or environmental returns. Responsible impact investing produces a multiplier effect which allows capital to be re-invested sustainably throughout communities in need.

“The deepening of relationships with global impact investors by Acrecent highlights the continued growth and expansion of the Caribbean private credit market and reflects the strategic importance of Acrecent to SCI’s regional private credit platform,” said said Jason Morris, Chief Investment Officer of Sygnus Capital Limited, the investment manager for SCI. “Channeling capital through the impact investing channel aligns with Sygnus Credit Investments (SCI) mission to deepen access to credit for Caribbean middle-market companies, while accelerating equality of access to economic opportunities.”

Acrecent Financial Corporation, founded in 2003 and headquartered in Guaynabo, Puerto Rico, is a Sygnus Group company, and is a non-bank financial institution that provides asset-backed loans and leases to SMEs in Puerto Rico. The company is recognized as one of the leading players in the region due to its management’s broad expertise and track record, which reflects in differentiated impact through products offered to key sectors in the economy, such as healthcare, commercial real estate, and hospitality.

 Sygnus is the Caribbean’s leading alternative investment management company spanning private credit, real estate and private equity. Sygnus manages Sygnus Credit Investments Limited(SCI) which is listed on the JSE and the largest Private Credit Investment company in the English Speaking Caribbean. SCI is a pioneering private credit investment company, which offers creative debt financing to middle market  businesses across the Caribbean. Sygnus Real Estate Finance Limited (SRF) provides flexible capital (Debt or Equity) to all classes of real estate assets (commercial, industrial or residential). Sygnus Deneb Investments Limited (SDI) invests private equity  capital in companies in the form of growth capital, buyouts and turnarounds. Sygnus also offers its clients Investment Banking, Wealth Management and Tax Advisory services.  

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Sra Vda. Genia Cecilia Tromp Alcantara Carvajalino

Black Immigrant Daily News

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Senñor ta mi wardador,

mi’n tin falta di nda;

den cunucu di yerba berde,

E ta pone mi sosega,

E ta hibami na awanan tranquil,

pa bolbe haya forsa.

 Cu immenso dolor na nos curason,

pero conforme cu boluntad di dios,

nos ta anuncia fayecimento di: 

Sra Vda. Genia Cecilia Tromp Alcantara Carvajalino

Cariñosamente yama “Jenny”

*08-02-1940  – †31-10-2022

Mayornan:

†Amada Carvajalino y † Andres Alcantara

 Na nomber di su:

 Casa:

† Inocencio Felipe Tromp 

Yiunan:

Omar F. Tromp

Edwin Tromp & Anushka Ponson

Rosalinda Tromp

Liz P. Tromp & Earnie Panneflek 

Nieto(s)nan:

Ashley Tromp, Ellise Panneflek, Eloisa Tromp,

Elias Panneflek, Eli Tromp y Vinn Tromp 

Como nieto:

Stephanie Ras  y Jefferson Rojer   

Mama di nietonan:

Carina Figaroa, Joanne Croes y Jurene Richardson 

Ruman nan:         

† Carmen Celina Fuentes,

Lays Gloria de Moya Carvajalino,

Edith de Moya Carvajalino,

Rosa Alcantara y Raul de Moya Carvajalino.  

Sobrinan y sobrinonan:

Patricia Maria Maria y famia, Lilian del Rocio Fuentes y famia, Claudia M. Calvano y famia,

Ivan Lascarro y famia, Milena Lascarro y famia, Paola Lascarro y famia. Milagros, Victor,

Jesus David, Edgar y Luz Divina Perez deMoya. 

Swa y Cuña:

Jose (Sep) Tromp y famia

Jacinta Maduro Tromp y famia

† Felicita Tromp Lampe y Benjamin Lampe  

Mascos cu sobrina y sobrino:

Lays Gomez y famia, Victor Gomez y famia, Giovanni Gomez y yiu. 

Amigonan di cas:

Chayo Koolman y famia. Marcia Peasch y famia, Aidee Middendorp y famia,

Enrique y Marines y famia, Esperanza Ruiz y famia. Carmen Segura y famia,

Nilda Guda y famia, Martin y Lucy Perea, Elizabeth Cantillo Henriquez y famia,

Bienvenida y Wilfred Panneflek y famia. Ingrid Acosta y famia, Griselda Acosta y famia, Jefferson y famia

 Señora cu a cuide:

Angelique Geerman 

Demas famianan:

Alcantara, Carvajalino, Fuentes, Maria Maria, Calvano, Figaroa, Tromp,

Panneflek, Lampe, Maduro, Ponson, Lascarro, Gomez, Croes. 

Ta invita pa e acto di condolencia y despedida cual o tuma lugar

Diasabra 5 di November 2022 for di 2:00PM-4:00PM na Aurora Funeral Home.

Despues lo tin acto di cremacion den seno familiar. 

Den lugar di flor of krans, un donashon

pa fundashon Beato Jose Gregorio Hernandez (Tanki Leendert) lo ta aprecia.

Box lo ta disponible 

Nos ta pidi nos disculpa si den nos triteza nos por a lubida un of demas famia

 Nos ta lamenta cu despues di entiero nos no ta ricibi di bishita di condolencia na cas

 

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Tir de barrage nord-coréen dans une zone maritime “tampon”, selon Séoul

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La Corée du Nord a procédé à un tir de barrage, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur une zone maritime “tampon”, a déclaré l’armée de Séoul, dans le cadre d’une recrudescence de tirs de Pyongyang, dont un missile…

La Corée du Nord a procédé à un tir de barrage, dans la nuit de jeudi à vendredi, sur une zone maritime “tampon”, a déclaré l’armée de Séoul, dans le cadre d’une recrudescence de tirs de Pyongyang, dont un missile balistique intercontinental qui a échoué en plein vol.

Séoul et Washington ont prolongé jusqu’à samedi leurs exercices aériens conjoints, les plus importants jamais réalisés, qui impliquent des centaines d’avions de guerre de part et d’autre.

Pyongyang a déclaré que la décision de prolonger les exercices aériens était “un choix très dangereux et mauvais” et a tiré trois missiles balistiques à courte portée jeudi en fin de journée. 

Peu après cette annonce, à partir de 23H28 locales jeudi, l’armée de Séoul a détecté environ 80 tirs d’artillerie effectués par le Nord dans une “zone tampon” maritime depuis la région de Kumkang, dans la province de Kangwon sur la côte est du pays. 

Ce tir de barrage est “une claire violation” de l’accord inter-coréen de 2018 qui a établi des zones tampon afin de réduire les tensions entre les deux parties, a déclaré l’état-major sud-coréen.

Les Etats-Unis ont dénoncé “le tir illégal et déstabilisateur d’un missile balistique intercontinental”, pendant que Séoul et Washington ont promis de prendre de nouvelles mesures pour démontrer leur “détermination et leurs capacités” face aux menaces croissantes du Nord.

Pyongyang a tiré une trentaine de missiles mercredi et jeudi, dont un a terminé sa course près des eaux territoriales du Sud, pour la première fois depuis la fin de la guerre de Corée en 1953.

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a déclaré qu’il s’agissait d’une “invasion territoriale de fait.

Cette démonstration de force par Pyongyang intervient au moment où la Corée du Sud et les Etats-Unis mènent les plus importants exercices aériens de leur histoire dans la région.

L’exercice baptisé “Tempête vigilante” constitue “une manœuvre militaire agressive et provocatrice visant la République populaire et démocratique de Corée”, a dénoncé mercredi le régime nord-coréen, qui a menacé Séoul et Washington de “payer le plus horrible prix de l’histoire”.

Les responsables et les analystes avertissent depuis des mois que la Corée du Nord s’apprête à réaliser un essai nucléaire, qui serait son septième.

Outre l’exercice “Tempête vigilante” prévu jusqu’à samedi, l’armée sud-coréenne a annoncé qu’elle procèderait la semaine prochaine à son exercice annuel “Taegeuk” destiné à “améliorer la performance en temps de guerre” et la gestion de crise.

Il s’agit d’un exercice simulé par ordinateur mené pour renforcer “la capacité à mener des missions pratiques en prévision de diverses menaces telles que les armes nucléaires, les missiles et les récentes provocations de la Corée du Nord”, selon l’armée sud-coréenne.

cdl/ceb/chv/roc 

Une frégate sud-coréenne en mer du Japon, le 3 novembre 2022
• ANTHONY WALLACE

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Budget: nouvelle motion de censure LFI dans un climat tendu avec le RN

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Pour clore l’examen en première lecture du budget de l’Etat 2023, l’Assemblée nationale examine vendredi une nouvelle motion de censure des Insoumis contre le gouvernement dans une ambiance à couteaux tirés avec les députés RN…

Pour clore l’examen en première lecture du budget de l’Etat 2023, l’Assemblée nationale examine vendredi une nouvelle motion de censure des Insoumis contre le gouvernement dans une ambiance à couteaux tirés avec les députés RN après un lourd incident en séance jeudi.

Le très probable rejet de la motion, examinée à partir de 15H30, vaudra adoption en première lecture de l’ensemble du projet de loi de finances. Le Sénat doit s’en saisir à compter du jeudi 17 novembre.

Oppositions et camp présidentiel se seront renvoyé tout au long d’un mois de débat la responsabilité du “blocage” et de l’absence de compromis.

Cette fois seuls à déposer une motion de censure, les Insoumis répondent à l’arme constitutionnelle du 49.3 dégainée mercredi par la Première ministre Élisabeth Borne pour la quatrième fois en quinze jours, afin de faire passer sans vote les budgets de la Sécu puis de l’Etat, faute de majorité absolue à l’Assemblée.

Le groupe RN, qui a choisi de ne pas déposer cette fois sa propre motion, a prévu d’apporter ses voix à la motion LFI. 

Les votes des alliés de gauche PS, PCF et EELV, qui divergent sur la stratégie à adopter face à la série de 49.3, seront scrutés de près.

Une vingtaine de députés de gauche n’avaient pas voté la précédente motion LFI, dont le patron du Parti communiste Fabien Roussel, la socialiste Valérie Rabault ou l’écologiste Delphine Batho.

Sanction réclamée

Mais avant ces débats sous haute tension, le bureau de l’Assemblée nationale, sa plus haute instance collégiale, doit décider de la possible sanction d’un député RN après un incident d’une ampleur rare survenu jeudi avec un élu LFI.

Lors d’une question au gouvernement de l’insoumis Carlos Martens Bilongo, noir, à propos du “drame de l’immigration clandestine”, le RN Grégoire de Fournas a lancé “qu’il retourne en Afrique” – “retourne en Afrique”, ont entendu certains parlementaires.

Dans une ambiance houleuse, la titulaire du perchoir Yaël Braun-Pivet a mis fin prématurément à la séance, “compte tenu de la gravité des faits” et de “l’émotion légitime” de l’Assemblée – de telles interruptions de séance sont rarissimes.

Soutenu par son groupe, le député RN de Gironde affirme qu’il parlait d’un “bateau” de migrants mentionné dans la question, et pas de M. Martens Bilongo, natif et élu du Val-d’Oise.

Mais l’indignation a été générale, jusqu’à Emmanuel Macron, “heurté par ces mots qui dans l’hémicycle comme hors de l’hémicycle sont intolérables”, selon son entourage. 

La présidente du groupe RN, Marine Le Pen, a dénoncé de son côté une “polémique grossière” des “adversaires” du RN.

Selon une source parlementaire, le député concerné est passible d’une “censure simple”, soit la privation pendant un mois de la moitié de l’indemnité parlementaire, ou d’une “censure avec exclusion temporaire”, c’est-à-dire la privation pendant deux mois de la moitié de l’indemnité allouée au député avec interdiction de prendre part aux travaux de l’Assemblée et de reparaître au Palais Bourbon pendant quinze jours. 

Le groupe macroniste Renaissance a indiqué qu’il “ne siègera pas” tant qu’une sanction lourde n’aura pas été prise. Le parti présidentiel a même demandé la démission “sans délai” du député.

“Opposition frontale” au RN

Un rassemblement en soutien à M. Martens Bilongo est organisé par LFI aux abords du Palais Bourbon à 13H00.

C’est l’occasion pour la Nupes de se ressouder. Le vote RN à deux reprises déjà en faveur d’une motion de censure de la Nupes puis d’une motion LFI avait provoqué un malaise dans les rangs de la coalition de gauche et de vives critiques du camp présidentiel quant à une “collusion” avec l’extrême droite.

Le groupe LFI emmené par Mathilde Panot a pris soin cette fois de préciser dans sa motion que “notre projet et notre vision de la société nous placent en opposition frontale avec l’extrême droite”.

“On ne se sent pas visé par le terme +extrême droite+”, dit-on au sein du groupe RN, où il est toujours prévu de voter la motion LFI, même après l’incident de jeudi.  

La censure sera défendue à la tribune vendredi après-midi par le député LFI de La Réunion Jean-Hugues Ratenon. Les Insoumis accusent l’exécutif de “mépriser les ultramarins” en ne reprenant pas l’ensemble des augmentations de crédits votées par les députés, souvent contre l’avis du gouvernement.

adc-reb/sac/pab/jnd

La Première ministre Elisabeth Borne s’adresse à l’Assemblée nationale, à Paris le 31 octobre 2022
• Geoffroy Van der Hasselt

La présidente du groupe Rassemblement national à l’Assemblée nationale, Marine Le Pen, assiste à une séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, à Paris, le 31 octobre 2022
• Geoffroy VAN DER HASSELT

La présidente du groupe parlementaire La France insoumise s’adresse aux députés de l’Assemblée nationale à Paris, le 23 octobre 2022
• JULIEN DE ROSA

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Tir de barrage nord-coréen dans une zone maritime “tampon”

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La Corée du Nord a procédé à un tir de barrage dans la nuit de jeudi à vendredi sur une zone maritime “tampon” près de sa frontière avec le Sud, selon Séoul, nouvel épisode de la spectaculaire montée des…

La Corée du Nord a procédé à un tir de barrage dans la nuit de jeudi à vendredi sur une zone maritime “tampon” près de sa frontière avec le Sud, selon Séoul, nouvel épisode de la spectaculaire montée des tensions ces derniers jours dans la péninsule coréenne.

Séoul et Washington ont prolongé jusqu’à samedi leurs exercices aériens conjoints, les plus importants jamais réalisés, qui impliquent des centaines d’avions de guerre de part et d’autre, après le tir apparemment raté d’un missile balistique intercontinental (ICBM) par la Corée du Nord jeudi matin.

Pyongyang a déclaré que la prolongation de ces exercices était “un choix très dangereux et mauvais”, et a tiré trois missiles balistiques à courte portée jeudi en fin de journée.

Peu après cette annonce, à partir de 23H28 locales jeudi, l’armée de Séoul a détecté environ 80 tirs d’artillerie effectués par le Nord dans une “zone tampon” maritime depuis la région de Kumkang, dans la province de Kangwon sur la côte est du pays. 

Ce tir de barrage est “une claire violation” de l’accord inter-coréen de 2018 qui a établi ces zones tampon afin de réduire les tensions entre les deux parties, a déclaré l’état-major sud-coréen.

Les Etats-Unis ont dénoncé “le tir illégal et déstabilisateur d’un missile balistique intercontinental”. Séoul et Washington ont promis de prendre de nouvelles mesures pour démontrer leur “détermination et leurs capacités” face aux menaces croissantes du Nord.

Pyongyang a tiré une trentaine de missiles mercredi et jeudi, dont un a terminé sa course près des eaux territoriales du Sud, pour la première fois depuis la fin de la guerre de Corée en 1953.

Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a déclaré qu’il s’agissait d’une “invasion territoriale de fait”.

Les provocations de Pyongyang, “en particulier pendant notre période de deuil national, sont contre l’humanité et l’humanisme”, a fait valoir vendredi Lee Hyo-jung, vice-porte-parole du ministère de l’Unification de Séoul, en référence à la bousculade qui a fait 156 morts à Séoul pendant Halloween. 

“Développement irréfléchi du nucléaire”

“Le gouvernement condamne fermement la Corée du Nord pour ses menaces et provocations continues, sur la base de nos exercices annuels et défensifs, faisant monter les tensions autour de la péninsule coréenne”, a-t-elle ajouté. Elle a attribué cette montée des tensions au “développement irréfléchi du nucléaire et des missiles” de Pyongyang.

Baptisés “Vigilant Storm” (“Tempête vigilante”), les exercices américano sud-coréens constituent “une manœuvre militaire agressive et provocatrice visant la République populaire et démocratique de Corée”, a dénoncé mercredi de son coté le régime nord-coréen, qui a menacé Séoul et Washington de “payer le plus horrible prix de l’histoire”.

La Corée du Nord considère depuis toujours les manoeuvres militaires américano-sud-coréennes comme des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à un renversement de son régime.

Des analystes attribuent la réaction particulièrement furieuse de Pyongyang cette fois-ci à l’utilisation, pendant “Tempête Vigilante”, d’avions furtifs de pointe F-35A et F-35B, perçus comme un outil idéal pour mener des “frappes de décapitation” éclair contre des dirigeants nord-coréens.

La Corée du Nord avait déjà, en septembre, révisé sa doctrine nucléaire pour s’autoriser à mener des frappes préventives en cas de menace existentielle contre le régime de Kim Jong Un.

Si le “système de commandement et de contrôle” nucléaire de la Corée du Nord est “mis en danger par une attaque de forces hostiles, une frappe nucléaire sera lancée automatiquement et immédiatement”, précise la nouvelle doctrine.

Séoul et Washington avertissent depuis des mois que la Corée du Nord s’apprête à réaliser un essai nucléaire, qui serait son septième.

Outre l’exercice “Tempête vigilante” prévu jusqu’à samedi, l’armée sud-coréenne a annoncé qu’elle procèderait la semaine prochaine à son exercice annuel “Taegeuk” destiné à “améliorer la performance en temps de guerre” et la gestion de crise.

Il s’agit d’un exercice simulé par ordinateur mené pour renforcer “la capacité à mener des missions pratiques en prévision de diverses menaces telles que les armes nucléaires, les missiles et les récentes provocations de la Corée du Nord”, selon l’armée sud-coréenne.

cdl/ceb/chv/nzg/roc 

Le dirigeant nord-coréen Kim Jong Un assiste à un exercice de tir à l’Académie révolutionnaire Mangyongdae à Pyongyang, le 16 octobre 2022
• STR

Le ministre américain de la Défense Lloyd Austin (à droite) et son homologue sud-coréen Lee Jong-sup discutent avec l’équipage d’un bombardier B-52 sur la base d’Andrews, aux Etats-Unis, le 3 novembre 2022
• Mandel NGAN

Des avions furtifs F-35A sud-coréens pendant l’exercice conjoint “Vigilant Storm” avec l’armée de l’air américaine, le 31 octobre 2022 sur la base de Gunsan en Corée du Sud
• Handout

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Pakistan: l’ex-PM Imran Khan se rétablit à l’hôpital après une tentative d’assassinat

Black Immigrant Daily News

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L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan se remettait vendredi à l’hôpital d’une blessure par balle au lendemain d’une tentative d’assassinat, ses partisans promettant de maintenir sa “longue marche” vers Islamabad destinée à fragiliser…

L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan se remettait vendredi à l’hôpital d’une blessure par balle au lendemain d’une tentative d’assassinat, ses partisans promettant de maintenir sa “longue marche” vers Islamabad destinée à fragiliser le gouvernement en vue des prochaines élections.

L’attaque jeudi contre son convoi – apparemment menée par un seul homme armé – a fait un mort et au moins dix blessés, accentuant encore la tension dans un pays plongé dans une profonde crise politique depuis que M. Khan a été évincé du pouvoir en avril.

L’ancienne star du cricket était “dans un état stable et se portait bien” dans un hôpital de Lahore (Est), a indiqué vendredi matin à l’AFP son médecin Faisal Sultan.

M. Khan, 70 ans, a lancé vendredi une “longue marche” rassemblant plusieurs milliers de ses soutiens entre Lahore et la capitale Islamabad, pour obtenir la tenue d’élections anticipées, première étape dans sa reconquête espérée du pouvoir.

Il a été touché par au moins une balle à la jambe droite quand un individu a tiré en rafale avec un pistolet automatique vers le sommet d’un conteneur posé sur un camion, d’où M. Khan avait l’habitude de s’adresser à la foule depuis le début de la marche.

La tentative d’assassinat a eu lieu alors que ce véhicule fendait lentement la large foule rassemblée à Wazirabad, à environ 170 km à l’est de la capitale.

“Tous ceux qui étaient debout au premier rang ont été touchés”, a déclaré à l’AFP Fawad Chaudhry, ancien ministre de l’Information du gouvernement Khan, derrière lequel il se tenait.

Il s’agissait d’une “tentative de le tuer, de l’assassiner”, a affirmé à l’AFP l’un des proches conseillers de M. Khan, Raoof Hasan. 

Plusieurs officiels de son parti, le Pakistan Tehreek-e-Insaf (PTI, Mouvement du Pakistan pour la justice), figurent parmi les blessés. Le PTI a accusé le gouvernement d’être derrière cette attaque, ce que celui-ci a fermement nié.

Scène de crime

M. Chaudhry a précisé que les responsables du PTI se réuniraient vendredi pour discuter de la stratégie à tenir concernant la “longue marche”, tout en promettant qu’elle allait se poursuivre.

“La longue marche pour la vraie liberté continuera et le mouvement en faveur des droits du peuple aussi jusqu’à ce qu’il y ait une annonce sur les élections”, a-t-il twitté.

Depuis son renversement par une motion de censure en avril, M. Khan n’a cessé d’exiger la tenue immédiate d’élections, misant sur sa popularité intacte pour obtenir un second mandat. 

Le gouvernement préfère attendre la date butoir d’octobre 2023, pour se donner le temps de remettre l’économie sur les rails et en faire un argument de campagne.

Vendredi matin, le camion de M. Khan est devenu une scène de crime. Le périmètre est bouclé et gardé par des commandos, pendant que la police scientifique passe les lieux au crible.

Pendant la nuit, des milliers de partisans de M. Khan se sont rassemblés sur place, beaucoup brandissant des banderoles aux slogans politisés.

La ministre de l’Information, Marriyum Aurangzeb, a annoncé jeudi qu’un assaillant avait été appréhendé, et partagé une vidéo circulant en ligne dans laquelle il justifie son acte.

“Je l’ai fait parce que (Khan) trompait le public. J’ai essayé de le tuer, j’ai fait de mon mieux”, explique l’homme aux cheveux ébouriffés, les mains attachées dans le dos, à l’intérieur de ce qui semble être un poste de police.

Il ajoute avoir été mis en colère par le vacarme émanant du cortège au moment de l’appel à la prière.

Large soutien

Plusieurs assassinats politiques ont émaillé l’histoire récente du pays, qui est par ailleurs aux prises depuis des décennies avec des mouvements islamistes violents contestant l’influence du pouvoir central.

Cette attaque fait notamment ressurgir le souvenir de l’attentat qui avait coûté la vie en 2007 à Benazir Bhutto, la première femme de l’ère moderne à avoir dirigé un pays musulman. Les commanditaires de son assassinat n’ont jamais été identifiés.

Des coups de feu avaient été tirés et un kamikaze s’était fait exploser près de son véhicule alors qu’elle saluait ses partisans à Rawalpindi. Elle était revenue au Pakistan quelques semaines plus tôt pour participer aux élections, après plusieurs années d’exil.

Malgré son éviction, M. Khan bénéficie d’un large soutien de la population. Depuis avril, il a organisé de vastes rassemblements dans tout le pays – attirant des dizaines de milliers de partisans – pour faire pression sur la fragile coalition au pouvoir.

Il continue d’affirmer que sa chute a été le fruit d’une “conspiration” ourdie par les Etats-Unis, et critique sans répit le gouvernement de son successeur, Shehbaz Sharif, ainsi que l’institution militaire.

Imran Khan était arrivé au pouvoir en 2018, après la victoire aux législatives du PTI, sur une plateforme populiste mêlant promesses de réformes sociales, conservatisme religieux et lutte contre la corruption.

Mais sous son mandat, la situation économique s’est dégradée et il a perdu l’appui de l’armée, qui était accusée d’avoir contribué à le faire élire.

Ces derniers mois, il s’est plusieurs fois déclaré prêt à mourir pour son pays, et son entourage a souvent fait état de menaces à son encontre.

sjd-fox/cyb/nzg/lpa

Pakistan: des centaines de partisans d’Imran Khan se rassemblent devant l’hôpital
• Faisal SATTI

Un policier devant le camion utilisé par l’ex-Premier ministre Imran Khan, après qu’il a été blessé par balle lors d’un meeting politique, le 3 novembre 2022 à Wazirabad
• Aamir QURESHI

Des partisans de l’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan déposent des fleurs devant l’hôpital où il a été admis après avoir été blessé par balle, le 3 novembre 2022 à Lahore
• Arif ALI

Des images de l’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan blessé par balle diffusées à la télévision, le 3 novembre 2022 à Islamabad
• Farooq NAEEM

Carte localisant Gujranwala au Pakistan
• STAFF

L’ex-Premier ministre pakistanais Imran Khan lors d’une marche contre le gouvernement, le 1er novembre 2022 à Gujranwala
• Arif ALI

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