WHO: Tuberculosis Deaths & Disease Increase During COVID-19 Pandemic – St. Lucia Times News

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An estimated 10.6 million people fell ill with tuberculosis (TB) in 2021, an increase of 4.5% from 2020, and 1.6 million people died from TB (including 187 000 among HIV positive people), according to the World Health Organization’s 2022 Global TB report.

The burden of drug-resistant TB (DR-TB) also increased by 3% between 2020 and 2021, with 450 000 new cases of rifampicin-resistant TB (RR-TB) in 2021.

This is the first time in many years an increase has been reported in the number of people falling ill with TB and drug resistant TB.

TB services are among many others disrupted by the COVID-19 pandemic in 2021, but its impact on the TB response has been particularly severe.

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Ongoing conflicts across Eastern Europe, Africa and the Middle East have further exacerbated the situation for vulnerable populations.

“If the pandemic has taught us anything, it’s that with solidarity, determination, innovation and the equitable use of tools, we can overcome severe health threats. Let’s apply those lessons to tuberculosis. It is time to put a stop to this long-time killer. Working together, we can end TB,” said Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, WHO Director-General.

Continued challenges with providing and accessing essential TB services have meant that many people with TB were not diagnosed and treated.

The reported number of people newly diagnosed with TB fell from 7.1 million in 2019 to 5.8 million in 2020. There was a partial recovery to 6.4 million in 2021, but this was still well below pre-pandemic levels.

SOURCE: Pan American Health Organization

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22 days to go: The 2022 FIFA World Cup -Team Poland Loop Barbados

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T-22; 22nd Edition of the FIFA World Cup.

Poland finished second in Group I of their World Cup qualifying group, behind England and earned a place in the UEFA playoffs versus Russia, who were suspended from this fixture due to the war on Ukraine.

Poland celebrating their qualification for the 2022 FIFA World Cup

Poland progressed onto the next knockout phase versus Sweden and dismissed them 2-0, courtesy of goals from captain Robert Lewandowski and Piotr Zielinski.

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Sport

By Renaldo Gilkes

If Poland are to replicate their glory days of the 70’s and 80’s, where they won a gold medal at the 1972 Olympics, a third-place finish at World Cup 1974 and 1982, they will need their captain to be in good health and great form against the experience duo of Argentina and Mexico.

Poland captain and Barcelona forward Robert Lewandowski

The Polish have only achieved three victories in their last three World Cup appearances (2002, 2006, 2018); one win in each and that may not be enough to get them beyond the group stage of what seems to be a very interesting group.

Country: Poland

Capital: Warsaw

Population: 37.8 million

Confederation: UEFA (Europe

Group: C

Professional League: PKO Ekstraklasa

World Cup appearances: 9

Qualification status: Winners of play-off match versus Sweden

Key players: Robert Lewandowski (Barcelona, Spain), Krzysztof Piatek (US Salernitana, Italy/Hertha Berlin, Germany), Nicola Zalewski (Roma, Italy), Wojciech Szczesny (Juventus, Italy)

Coach: Czeslaw Michniewicz (Polish)

Group mates: Argentina, Saudi Arabia, Mexico

Prediction: Judging from their most recent, previous World Cup campaigns, the Polish may miss out on a place in the last 16.

However, if Robert Lewandowski can produce his goal scoring heroics, especially against Mexico, they can create an interesting situation in Group C, which may go down to the final preliminary match day.

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Para start voetbalcompetitie voor vrouwen

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Door Marinio Balsemhof  PARAMARIBO — Para start dit weekend met een vrouwenvoetbalcompetitie. Het gaat om een open klasse voor voetbalsters

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‘Vrystaat Kunstefees’ versterkt woordkunstgevoel dichteres Anyra Hamat

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‘We hebben het recht onze stem te laten horen’ “Hoe kan je met artistieke kunsten iets bereiken om toch elke

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Des combats d’artillerie embrasent le front Sud en Ukraine

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Tout excités par la précision de leur frappe d’artillerie, les combattants ukrainiens de Kobzartsi, dernier village avant la ligne de front avec les forces russes dans le Sud de l’Ukraine, doivent bien vite…

Tout excités par la précision de leur frappe d’artillerie, les combattants ukrainiens de Kobzartsi, dernier village avant la ligne de front avec les forces russes dans le Sud de l’Ukraine, doivent bien vite retourner s’abriter dans les décombres d’une école.

De l’autre côté du champ, des volutes de fumée indiquent l’endroit où la frappe a touché les Russes, dans un paysage plat et déserté. Un drone planant quelque part à l’horizon où le soleil se couche envoie des images qui laissent penser que deux Russes ont été tués.

La nouvelle est saluée par les  soldats ukrainiens qui ont conduit rapidement en terrain ouvert leur énorme obusier.

Mais le feu nourri tout au long de cette journée qui s’achève menace de s’intensifier au coucher du soleil et les hommes se replient dans ce qui reste d’une école.

Deux ambulanciers stationnés avec leur unité échangent des regards avertis et reculent dans les ruines protectrices d’un gymnase voisin.

“Ils ne nous laissent pas oublier qu’ils sont toujours là”, observe Andriï, 24 ans, soudeur avant la guerre.

“Ca peut mal tourner par là”, renchérit son camarade Oleskiï, à peine plus âgé.

Ils cachent leur identité complète pour des raisons de sécurité militaire, comme tous ceux qui servent dans les forces armées ukrainiennes.

“Mais nous savons qu’ils souffrent bien plus de leur côté que du nôtre”, ajoute Oleksiï avec une ébauche de sourire.

Le moral des troupes pourrait se révéler vital au moment où l’Ukraine tente de maintenir dans les perfides steppes du Sud l’enthousiasme de la contre-offensive menée dans le Nord.

L’objectif ultime est Kherson, ville clé pour l’accès entre la Crimée, annexée par la Russie depuis 2014, et le rivage de la mer d’Azov.

Six semaines

Kerson, qui comptait quelque 288.000 habitants avant-guerre, a été la première ville d’importance prise par les forces russes au début de leur offensive lancée le 24 février.

L’administration d’occupation russe a juré d’en faire une “forteresse” pour résister à l’offensive ukrainienne dans cette région dont le Kremlin revendique l’annexion.

Les Ukrainiens disposent d’environ six semaines avant que les gelées hivernales n’entravent toute nouvelle avancée. Mais les Russes s’accrochent. 

Selon un conseiller du président ukrainien Volodymyr Zelensky, Moscou a envoyé de nouveaux renforts et dispose actuellement de trente bataillons tactiques autour de Kherson.

Chacune de ces unités bien équipées compte jusqu’à 800 soldats et contrôle une partie spécifique du front.

“C’est une énorme force militaire qu’il sera difficile de briser”, a averti cette semaine le conseiller présidentiel Oleksiï Arestovitch.

Les combats d’artillerie dans les zones situées juste au nord de Kherson sont menés par des chars et autres gros canons sur des terrains ouverts où ne subsistent quasiment que des ruines.

Kobzartsi est l’une des nombreuses localités figurant sur la carte de l’Ukraine mais qui n’existe désormais pratiquement plus.

Toujours cachés

Ses deux rues principales sont bordées par les squelettes de maisons rurales et des monceaux de décombres là où se dressaient naguère des immeubles.

Selon les soldats, quelques dizaines d’habitants se cachent toujours dans leurs caves. Peu s’aventurent beaucoup dehors, à cause des bombardements mais aussi des engins non explosés qui parsèment les routes et les potagers.

“Ils se cachent presque tout le temps”, note l’ambulancier Oleksiï. “Nous essayons de les aider et des volontaires livrent parfois des provisions. Mais on ne peut pas faire grand chose de plus”.

Le commandant de l’unité d’artillerie est un homme de 47 ans au visage buriné qui a pris pour nom de guerre “Anaconda”. Il a baptisé son chien “Javelina”, en référence aux missiles anticharges américains Javelin qui ont joué un rôle crucial pour repousser l’assaut russe sur Kiev durant le premier mois de guerre.

Anaconda reconnaît qu’il ne savait pas vraiment comment utiliser une quelconque arme moderne quand il a été mobilisé et a quitté son travail dans les douanes au moment de l’invasion russe.

“Tu te sens mal si tu tires et que tu rates. Tu t’en veux vraiment”, dit-il avec un rire d’autodérision. “Mais nous essayons vraiment de faire de notre mieux”.

“Nous apprenons au fur et à mesure. Nous progressons de jour en jour.”

zak/bur/lcm/lch/pz

Des membres d’une unité d’artillerie ukrainienne se préparent à tirer vers Kherson, le 28 octobre 2022
• BULENT KILIC

Des soldats ukrainiens préparent un tir vers Kherson, le 28 octobre 2022
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Des membres d’une unité d’artillerie ukrainienne tirent vers Kherson, le 28 octobre 2022
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Mansour Abbas, le précurseur d’une nouvelle politique arabe en Israël

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Chef de file d’un parti islamiste modéré, Mansour Abbas est devenu un pionnier en Israël l’an dernier, lorsqu’il a signé un accord de coalition soutenant un gouvernement hétéroclite…

Chef de file d’un parti islamiste modéré, Mansour Abbas est devenu un pionnier en Israël l’an dernier, lorsqu’il a signé un accord de coalition soutenant un gouvernement hétéroclite réunissant droite, centre et gauche israélienne.

Un peu plus d’un an plus tard, ladite coalition est tombée et les Israéliens sont appelés le 1er novembre à voter pour leurs cinquièmes législatives en trois ans et demi. Mais à quelques jours du scrutin, la confiance de Mansour Abbas, fort de son “expérience novatrice”, n’est en rien entamée.

Soutenir une telle coalition, “était un risque qui s’est transformé en opportunité, nous avons réussi à réaliser de grandes choses”, affirme à l’AFP le politicien arabe israélien de 48 ans.

La dernière fois qu’un parti arabe israélien avait soutenu -sans toutefois y participer- un gouvernement remonte à 1992, à l’époque du gouvernement du travailliste Yitzhak Rabin. Cette fois la formation Raam de Mansour Abbas a officiellement signé un accord de coalition, sans participer directement au cabinet.

Ce soutien au gouvernement, mené d’abord par Naftali Bennett (droite radicale) puis Yaïr Lapid (centre), lui a permis d’obtenir des promesses de milliards de dollars pour l’importante minorité arabe d’Israël, composée des descendants de Palestiniens restés sur leurs terres à la création de l’Etat israélien en 1948.

Mais elle a aussi ouvert la voie à une scission parmi les dirigeants arabes et la communauté au sens large, certains Arabes israéliens considérant ce soutien comme une trahison.

Alors qu’en 2020, les quatre formations arabes s’étaient unies sur une liste commune, leur permettant d’obtenir 15 sièges sur les 120 du Parlement –un succès historique–, elles concourent aujourd’hui en ordre dispersé. D’après les sondages, certaines ne sont pas assurées d’être reconduites au Parlement.

Si M. Abbas estime que Raam conservera ses quatre sièges, il reconnaît que les partis arabes sont confrontés à une “crise de confiance avec les électeurs”. Face aux critiques, il met en avant son engagement en faveur de sa minorité qui représente environ 20% de la population israélienne.

Médiatisation

Fils d’agriculteurs et issu d’une fratrie de 11 enfants de la ville de Maghar (nord), Mansour Abbas ne se prédestinait pas à faire de la politique.

Devenu dentiste après des études à l’Université hébraïque de Jérusalem, il explique avoir ressenti une “pression” pour se mobiliser contre la hausse de la criminalité dans la communauté arabe israélienne, qui affirme faire l’objet de discrimination par rapport à la majorité juive.

Et il a joint le Mouvement islamique, une organisation de défense des intérêts des musulmans qui s’était scindée dans les années 1990: la branche Nord opposée aux accords d’Oslo entre Israël et les Palestiniens, et la branche Sud favorable à ces accords sur l’autonomie palestinienne signés en 1993.

Mansour Abbas, qui vit dans le nord d’Israël, s’est toutefois engagé en faveur de la branche Sud qui concentre ses appuis chez les Bédouins du désert du Néguev, et cherche aujourd’hui à peser sur le pouvoir israélien pour obtenir le plus de gains pour la minorité arabe. 

Elu député pour la première fois en 2019, il a siégé dans des commissions parlementaires traitant notamment de cette problématique. Sa position de faiseur de roi après les élections de 2021 – il était courtisé à la fois par Benjamin Netanyahu et ses opposants – l’a propulsé sur les écrans aux heures de grande écoute.

Désormais, lorsqu’il se rend dans un restaurant, il est salué en hébreu par des juifs Israéliens désireux de se photographier avec lui.

Parmi la majorité juive, il ne fait toutefois pas l’unanimité, certains estimant que l’importance affichée de la foi musulmane est incompatible avec un engagement politique dans les sphères les plus hautes de l’Etat hébreu.

Lui affirme, qu’après avoir été fasciné par l’islam à l’adolescence, une étude plus approfondie de sa foi lui avait enseigné que “nous pouvons vivre avec les autres d’un point de vue religieux”.

Et affirme diriger le vote arabe vers “la bonne direction”. “Siéger au Parlement en tant que député n’est pas suffisant. Je cherche à influencer et à entrer dans la coalition”, assène-t-il.

mab-rsc/mib-cgo/gl/feb/mlb

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Benny Gantz, le “Monsieur sécurité” qui veut devenir Premier ministre d’Israël

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“Plus que jamais, Israël a besoin d’un leadership avec de l’expérience sécuritaire”. L’ex-chef de l’armée Benny Gantz ressort sa carte de “Monsieur sécurité” pour séduire les électeurs aux prochaines législatives et tenter de s’imposer comme une…

“Plus que jamais, Israël a besoin d’un leadership avec de l’expérience sécuritaire”. L’ex-chef de l’armée Benny Gantz ressort sa carte de “Monsieur sécurité” pour séduire les électeurs aux prochaines législatives et tenter de s’imposer comme une alternative crédible au poste de Premier ministre. 

Grand, baraqué et yeux azur, l’ancien général de 63 ans n’avait aucune expérience politique lorsqu’il s’est jeté dans l’arène en 2019 pour former le parti de centre-droit “Bleu-Blanc” (les couleurs du drapeau israélien) dont le but assumé était de chasser du pouvoir Benjamin Netanyahu, alors chef de gouvernement.

Depuis cette date, il a mené quatre batailles électorales contre l’ancien Premier ministre, sans jamais véritablement triompher de lui, et a rempilé cette année pour un cinquième round à la tête d’une coalition nommée “Parti national de l’unité” qui a recruté un autre ancien chef d’état-major: Gadi Eizenkot.

En mai 2020, pour sortir de l’impasse politique et répondre à la crise du coronavirus, il avait créé la surprise en s’alliant avec son adversaire à la faveur d’un accord de rotation au pouvoir que M. Netanyahu n’avait pas respecté, provoquant en 2021 de nouvelles élections au terme desquelles il a rejoint une coalition aujourd’hui menée par Yaïr Lapid. 

Pour les nouvelles élections du 1er novembre, Benny Gantz cherche à s’imposer comme une troisième voix entre MM. Lapid et Netanyahu, assurant pouvoir réunir le nombre d’élus nécessaires à la formation d’une coalition “d’union”.

“J’espère arriver à réunir autour de moi le maximum de formations, mettre fin au joug politique de Netanyahu et former un gouvernement sans se reposer sur les extrêmes”, déclare-t-il dans un entretien à l’AFP.

Stabilité

S’il propose une vision plus libérale de la société que M. Netanyahu, et souhaite mettre en place un gouvernement laïc favorable au mariage civil, ce qui n’est pas d’usage en Israël, ce fils d’immigrants roumain et hongrois rescapés de la Shoah soigne, comme lui, son image de faucon.

Cet ex-militaire à l’attitude décontractée et abordable affirme vouloir conserver le contrôle militaire israélien sur la majeure partie de la Cisjordanie –territoire palestinien occupé par l’armée israélienne depuis 1967–, annexer la vallée du Jourdain et mettre fin aux attaques venant de la bande de Gaza.

A 18 ans, il rejoint l’armée dont il gravit les échelons et obtient le grade de général en 2001 avant de devenir chef d’état-major de 2011 à 2015, dirigeant ainsi l’armée pendant deux guerres contre le mouvement Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, enclave palestinienne sous blocus israélien.

“Il n’a pas laissé de traces indélébiles dans l’armée, mais a conservé une image de stabilité et d’honnêteté”, selon Amos Harel, journaliste spécialiste des affaires militaires au quotidien Haaretz.

Disant vouloir frapper les groupes palestiniens responsables d’attaques anti-israéliennes, il s’entretient dans le même temps avec l’Autorité palestinienne, dont il rencontre le président Mahmoud Abbas à plusieurs reprises pour évoquer des “questions de sécurité et d’économie”.

En août dernier, il lance en tant que ministre de la Défense une opération éclair contre le Jihad islamique dans la bande de Gaza. Au total, 49 Palestiniens sont tués, parmi lesquels des combattants dans cette nouvelle escalade.

“C’est une réussite sur le plan militaire (…) Nous n’hésiterons pas à l’avenir à mener d’autres opérations de ce genre”, se félicite-t-il.

Marié et père de quatre enfants, Benny Gantz est titulaire d’une licence d’histoire de l’université de Tel-Aviv, d’un master en sciences politiques de l’université de Haïfa (nord) et d’un master en gestion de ressources nationales de la National Defense University aux Etats-Unis.

mib-cgo/gl/feb/cn 

Combinaison de photos créée le 26 octobre 2022 montrant le Premier ministre israélien Yair Lapid (en haut à gauche) à Jérusalem, le 23 octobre 2022 ; l’ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (en haut à droite) aux États-Unis le 5 mars 2014
; le ministre israélien de la Défense Benny Gantz (en bas-G) le 11 octobre 2022 ; le député d’extrême droite Itamar Ben-Gvir (en bas-D), à Tel Aviv le 6 octobre 2022.
• ABIR SULTAN

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Ben Gvir, l’impétueuse star de l’extrême droite israélienne

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Longtemps cantonné au rôle de trublion infréquentable de l’extrême droite, Itamar Ben Gvir est devenu une figure incontournable de la politique en Israël au point de s’imposer comme la possible clé de voûte d’un gouvernement de…

Longtemps cantonné au rôle de trublion infréquentable de l’extrême droite, Itamar Ben Gvir est devenu une figure incontournable de la politique en Israël au point de s’imposer comme la possible clé de voûte d’un gouvernement de droite à l’issue des législatives du 1er novembre.

Avocat de formation, ce père de six enfants qui vit dans une colonie parmi les plus radicales de Cisjordanie occupée, est devenu député en avril 2021, après des années à militer à l’extrême droite.

Aujourd’hui sur la liste “Sionisme religieux”, il défend l’annexion par Israël de la Cisjordanie, où vivent 2,9 millions de Palestiniens, le transfert d’une partie de la population arabe d’Israël vers les pays voisins, et ne craint jamais de se rendre là où les tensions sont les plus fortes, mettant, selon ses détracteurs, le feu aux poudres.

A Jérusalem-Est, il clame “Vive le peuple d’Israël” sur l’esplanade des Mosquées, appelé Mont du Temple dans la tradition juive, épicentre des tensions. En mai 2021, alors que des violences dans le quartier de Cheikh Jarrah, où des familles palestiniennes sont menacées d’expulsion, sont le prélude à un embrasement, il y établit son bureau parlementaire en soutien aux colons israéliens.

Mi-octobre cette année, alors que des heurts y opposent à nouveau colons, forces israéliennes et Palestiniens, il s’y rend, sort une arme devant tous, avant de la ranger. 

Le lendemain, le père de 46 ans publie sur Twitter une photo de deux de ses enfants, fusils d’assaut en plastique en main, et lui, tout sourire, avec pour légende: “Après les émeutes (…) j’apprends aux enfants comment se conduire avec les terroristes”.

“En guerre”

Né en banlieue de Jérusalem de parents séfarades, Itamar Ben Gvir puise son idéologie anti-arabe dans celle du rabbin extrémiste Meir Kahane, dont le mouvement Kach a été banni en Israël après l’assassinat en 1994 de 29 Palestiniens en train de prier à Hébron, en Cisjordanie, par un de ses sympathisants, Baruch Goldstein.

Itamar Ben Gvir, qui a milité dans Kach, a longtemps eu un portrait de Goldstein dans son salon mais dit avoir pris quelques distances depuis.

“Bien sûr j’ai changé, quand je disais il y a 20 ans qu’il fallait expulser tous les Arabes, je ne le pense plus, mais je ne vais pas m’excuser”, dit-il dans un entretien à l’AFP à Tel-Aviv. “Je suis le marqueur de droite de la Knesset et je viens sauver le pays ; je suis en guerre contre les jihadistes et ceux qui veulent attaquer le pays”.

Le député, également connu pour ses positions anti-LGBTQ, estime qu’”il n’y a pas vraiment de peuple palestinien” et parle d’un “danger existentiel pour la survie du peuple juif”, à l’heure où les violences liées au conflit israélo-palestinien sont vives.

“Ben Gvir a réussi à faire croire qu’il est désormais sinon modéré, au moins un extrémiste plus respectable, ce qu’il n’est pas”, affirme Yossi Klein Halevi, chercheur à l’institut Shalom Hartman. “C’est un démagogue qui s’alimente de la peur, de la frustration et de la colère”.

– Futur ministre? – 

Inculpé plus d’une cinquantaine de fois depuis son adolescence pour incitation à la haine ou des violences, il se vante d’avoir été innocenté dans 46 cas. C’est sur la recommandation des juges qu’il a entrepris des études de droit, pour se défendre lui-même, se targue-t-il.

Mais quand il ne vocifère pas, l’homme au visage mafflu apparaît presque affable, du genre que “les journalistes adorent interviewer”, relève M. Klein Halevi. “Il trouve toujours une bonne citation”.

En vue des législatives, il s’est de nouveau allié à Bezalel Smotrich, autre figure du nationalisme religieux.

Selon des sondages, leur alliance baptisée “Sionisme religieux” pourrait arriver en troisième place avec environ 14 sièges, essentiels au projet de gouvernement de droite de l’ex-Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui cherche à revenir aux affaires en réunissant les élus de son Likoud, des formations ultra-orthodoxes et du duo Ben Gvir/Smotrich.  

En échange de son soutien, M. Netanyahu pourrait promouvoir M. Ben Gvir au rang de ministre. “Il voudra le ministère de la Justice, il aura peut-être la Sécurité intérieure”, un scénario qui aurait pour corollaire “une agitation continue, de la tension et de la haine dans la rue”, prédit M. Klein Halevi.

cgo/gl/jg/lpa

Une affiche électorale du candidat d’extrême droite Itamar Ben Gvir à Tel Aviv, le 27 octobre 2022
• AHMAD GHARABLI

Le politicien israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir accuilli par des supporters à Jérusalem, le 28 octobre 2022
• MENAHEM KAHANA

Le politicien israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir lors d’un rassemblement électoral à Sderot, dans le sud d’Israël, le 26 octobre 2022
• GIL COHEN-MAGEN

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North Side man arrested and charged with murder Loop Cayman Islands

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Loop News

2 hrs ago

The Royal Cayman Islands Police Service (RCIPS) reported that just after 11am on Friday, October 28, investigators with the RCIPS arrested a 31-year-old-man of North Side on suspicion of murder.

According to the RCIPS, the arrest was made in relation to the Martin Drive shooting incident that took place on July 1, 2021.

During this incident, 36-years-old Mark Ebanks and 55-years-old Eldon Walton were both shot and killed and one other man sustained gunshot injuries.

Following his arrest, the North Side man was formally charged with two counts of Murder, one count of Attempted Murder, and Possession of an Unlicensed Firearm.

The man appeared in court on October 28 where he was remanded until November 11, 2022.

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After several weeks of a difficult and grueling trial, the jury in the case of the Queen versus Canover Norbert Watson and Bruce Andrew Blake delivered its verdict today, October 28, finding Mr&n

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MP Joseph Hew, the Deputy Leader of the Opposition, issued a statement responding to a media article indicating that there was pre-election of abuse of public cash at the National Roads Authority (NRA

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AI Forum, a leading research and information source on Artificial Intelligence, has launched an annual conference focused on several hot-button industry topics, such as the intersection of AI and huma

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The Opposition has now issued a statement explaining their absence from the sweating-in of the Hon. Margaret Ramsey-Hale as first female Chief Justice of the Cayman Islands.

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Detectives are appealing for witnesses to come forward and assist with the investigation of a stabbing incident that led to the death of Ian Duffell of West Bay.

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Police investigate stabbing in Belford Estates Loop Cayman Islands

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Loop News

1 hrs ago

Police say that just before 7pm on Wednesday, October 26, police and other emergency services were dispatched by the 9-1-1 Communications Unit to a report of a stabbing incident in the Belford Estates area of Bodden Town.

It was reported that a man and a woman who are known to each other had a physical altercation resulting in the man receiving several stab wounds. He was transported to the hospital by ambulance where he was treated for serious, but non-life-threatening injuries, and later released.

The woman, age 29, of Bodden Town, was arrested in relation to this wounding incident. She too received non-life-threatening injuries and was treated at the hospital and returned custody. She has since been bailed pending further investigations.

The incident is being investigated by the RCIPS Protective Services.

Anyone with information regarding this incident is encouraged to call the Bodden Town Police Station at 947-2220.

Alternatively, anonymous tips may be submitted through the RCIPS website.

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