Somalie: 9 morts et 47 blessés dans une attaque islamiste sur un hôtel

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Neuf personnes ont été tuées et 47 blessées dans une attaque menée dimanche durant plus de six heures par des islamistes radicaux shebab dans un hôtel de la ville de…

Neuf personnes ont été tuées et 47 blessées dans une attaque menée dimanche durant plus de six heures par des islamistes radicaux shebab dans un hôtel de la ville de Kismayo, dans le sud de la Somalie.

Cette grande ville portuaire est la dernière frappée par le regain des actions violentes des shebab ces derniers mois, qui a notamment ensanglanté la capitale Mogadiscio et le centre du pays.

L’attaque, débutée vers 12H45 locale (09H45 GMT), s’est achevée vers 19H00 après que trois assaillants présents à l’intérieur de l’hôtel ont été abattus par les forces de sécurité de l’Etat du Jubaland.

Le ministre de la Sécurité du Jubaland, Yusuf Hussein Osman, a annoncé un bilan de neuf personnes tuées et 47 autres blessées, “parmi lesquelles des élèves qui sortaient d’une école voisine au moment de l’attaque”. 

“Les forces de sécurité ont mis fin au siège en temps opportun”, a-t-il estimé.

L’attaque a été menée par quatre hommes: un premier qui a mené une attaque suicide, suivie de l’intrusion de trois hommes armés dans l’hôtel.

Selon Yusuf Hussein Osman, l’attaque a débuté par un kamikaze “qui s’est fait exploser”.

Des témoins ont évoqué à l’AFP une voiture piégée. “Un kamikaze a conduit un véhicule à l’entrée de l’hôtel avant que des hommes armés n’entrent dans le bâtiment. Des tirs ont commencé à l’intérieur”, a raconté l’un d’eux, nommé Farhan Hassan.

Les shebab ont revendiqué l’attaque, affirmant viser un hôtel où étaient réunis des membres de l’administration du Jubaland. Ils avaient mené en juillet 2019 une attaque similaire contre les autorités locales dans un hôtel de la ville, faisant au moins 26 morts et 56 blessés.

Le groupe islamiste, lié à Al-Qaïda, combat depuis 2007 le gouvernement fédéral soutenu par la communauté internationale. Il a été chassé des principales villes – dont la capitale Mogadiscio en 2011 – mais reste solidement implanté dans de vastes zones rurales, notamment dans le sud du pays.

Capitale du Jubaland située à 500 kilomètres au sud de Mogadiscio, Kismayo était un bastion des shebab, qui tiraient de solides revenus de son activité portuaire avant que la ville ne soit reprise en 2012 par des milices locales épaulées par les forces kényanes.

“Guerre totale”

Ces derniers mois, les shebab ont redoublé d’activité en Somalie, pays pauvre et instable de la Corne de l’Afrique, avec notamment un spectaculaire assaut, long d’une trentaine d’heures, fin août sur un hôtel de la capitale Mogadiscio. 

Après cette attaque qui a fait au moins 21 morts et 117 blessés, le président Hassan Cheikh Mohamoud a promis une “guerre totale” pour éliminer les shebab et appelé la population à se “tenir à l’écart” des zones contrôlées par les islamistes qui allaient être visés par de prochaines offensives.

Les forces de sécurité et des milices claniques locales ont notamment lancé des opérations militaires dans le centre du pays, qui ont permis selon les autorités de reprendre du terrain aux combattants islamistes.

L’armée américaine mène également des frappes aériennes. L’une d’entre elles a tué début octobre Abdullahi Yare, un des plus hauts dirigeants et cofondateur du mouvement, dans le sud du pays.

Quelques heures après l’annonce de sa mort par le gouvernement somalien, un triple attentat à la bombe contre un bâtiment gouvernemental dans la ville de Beledweyne (centre) a tué au moins 30 personnes et blessé 58 autres. 

Outre l’insurrection shebab, la Somalie est également menacée par une famine imminente, provoquée par la plus grave sécheresse observée depuis plus de 40 ans. 

À travers le pays, 7,8 millions de personnes, soit près de la moitié de la population, sont affectées par la sécheresse, dont 213.000 sont en grand danger de famine, selon l’ONU. Sans une mobilisation urgente, l’état de famine pourrait être déclaré avant la fin de l’année.

nur-sva/cpy

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Accusations russes de “bombe sale” en Ukraine, Kiev et Washington craignent un prétexte pour l’escalade

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Moscou a multiplié les entretiens téléphoniques bilatéraux dimanche, avec Paris, Londres, Washington et Ankara, en accusant l’Ukraine de se préparer à utiliser “une bombe sale”, des allégations rejetées par Kiev…

Moscou a multiplié les entretiens téléphoniques bilatéraux dimanche, avec Paris, Londres, Washington et Ankara, en accusant l’Ukraine de se préparer à utiliser “une bombe sale”, des allégations rejetées par Kiev qui les a qualifiées d’”absurdes” et “dangereuses”.

Le ministre russe de la Défense, Sergueï Choïgou, s’est entretenu dimanche au téléphone avec ses homologues américain, français, britannique et turc du conflit en Ukraine, a annoncé le ministère russe de la Défense.  

Au cours de ces échanges d’une intensité inédite en un seul jour pour M. Choïgou depuis le début de l’offensive russe en Ukraine le 24 février, il a fait part à la plupart de ses interlocuteurs de “ses préoccupations liées à d’éventuelles provocations de la part de l’Ukraine avec recours à une +bombe sale+”, selon son ministère.

“Les affabulations russes à propos de l’Ukraine qui se préparerait à utiliser une +bombe sale+ sont aussi absurdes qu’elles sont dangereuses”, a réagi dimanche en début de soirée le ministre ukrainien des Affaires étrangères Dmytro Kouleba, sur les réseaux sociaux. 

“Si la Russie appelle et dit que l’Ukraine serait en train de préparer quelque chose, cela signifie une seule chose: la Russie a déjà préparé tout cela. Je crois que désormais le monde doit réagir aussi durement que possible”, a pour sa part fustigé le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Si la Russie a préparé “une nouvelle étape dans l’escalade, elle doit voir maintenant, de façon préventive et avant une de ses nouvelles +saletés+, que le monde ne l’acceptera pas”, a-t-il ajouté.

Le ministère français des Armées a confirmé dans un communiqué qu’avait été évoquée la crainte russe d’une “frappe de bombe sale par les Ukrainiens sur leur territoire, pour en faire porter la responsabilité à la Russie”.  

Le ministre français de la Défense Sébastien Lecornu a rappelé que “la France (refusait) toute forme d’escalade, singulièrement nucléaire”. De son côté, son homologue britannique Ben Wallace a “réfuté” durant l’entretien avec M. Choïgou les affirmations de Moscou selon lesquelles les pays occidentaux facilitaient une escalade de la guerre en Ukraine.

Le ministre russe s’est également entretenu dimanche avec le chef du Pentagone, Lloyd Austin, leur seconde conversation depuis vendredi, et la troisième depuis le début du conflit. 

Une paix “possible”, selon Macron

“Une paix est possible” en Ukraine quand les Ukrainiens “le décideront”, a déclaré dimanche Emmanuel Macron à l’ouverture d’un sommet pour la paix à Rome, organisé par la communauté catholique italienne Sant’Egidio.

“A un moment, en fonction de l’évolution des choses et quand le peuple ukrainien et ses dirigeants l’auront décidé, dans les termes qu’ils auront décidé, la paix se bâtira avec l’autre, qui est l’ennemi d’aujourd’hui, autour d’une table”, a estimé le président français lors d’un discours.

Tout en soutenant diplomatiquement et militairement l’Ukraine, le chef de l’Etat français assume depuis le début du conflit ukrainien de continuer à parler à son homologue russe Vladimir Poutine, à la différence d’autres dirigeants occidentaux et notamment du président américain Joe Biden.

Il a encore plaidé, vendredi à Bruxelles, pour que Kiev et Moscou reviennent “autour de la table” lorsque ce sera “acceptable” pour le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

Coupures d’électricité à Kiev

Les Ukrainiens ont une nouvelle fois subi dimanche des coupures d’électricité, conséquence des frappes russes répétées visant les infrastructures du pays.

L’opérateur national Ukrenergo a procédé à des coupures électriques à Kiev pour “stabiliser” la fourniture en électricité, selon le fournisseur privé d’électricité ukrainien DTEK.

Plus d’un million de foyers ukrainiens ont été privés d’électricité à la suite d’attaques russes contre les infrastructures électriques, avait précisé samedi la présidence d’Ukraine.

Depuis une dizaine de jours, la Russie multiplie les frappes sur le réseau ukrainien, entraînant la destruction d’au moins un tiers de ses capacités, juste avant l’hiver.

Les frappes de l’armée russe ont aussi ciblé et détruit dimanche dans le centre de l’Ukraine un dépôt avec 100.000 tonnes de carburant destiné à l’aviation ukrainienne, ainsi que plusieurs dépôts de munitions et un réservoir de pétrole avec du carburant diesel destiné aux véhicules militaires ukrainiens, a affirmé le ministère russe de la Défense. 

Régions transfrontalière russes en alerte

La Russie fait actuellement face à une vaste contre-offensive ukrainienne et dénonce une “augmentation considérable” des tirs ukrainiens sur plusieurs régions russes frontalières, dont celle de Belgorod et de Koursk.

Deux lignes de défense ont été construites dans la région de Koursk pour faire face à une éventuelle attaque des forces ukrainiennes, a annoncé dimanche le gouverneur de la région, Roman Starovoït. “Nous sommes prêts à faire face à toute atteinte à notre territoire”, a-t-il assuré.  

Le gouverneur de la région de Belgorod, où deux personnes ont été tuées samedi par des frappes ukrainiennes selon les autorités locales, a également annoncé le même jour le début de la construction d’une ligne de défense.

Dans le sud de l’Ukraine, les autorités prorusses de la région de Kherson, première ville importante à avoir été prise par les forces russes au début de leur offensive et qui a depuis été annexée, ont appelé samedi les civils à quitter “immédiatement” la capitale régionale, face à l’avancée des forces de Kiev.

Les évacuations vers la rive gauche du fleuve Dniepr, qui borde Kherson, sont en cours depuis mercredi.

Une personne a été tuée dimanche dans l’explosion d’un engin artisanal accroché à un poteau dans une rue à Kherson, ont indiqué les autorités d’occupation prorusse.

bur-cm/am/cls

Après la bataille contre les Russes, la bataille de l’hiver dans un village près de Donetsk
• Arthur De Poortere

Photo transmise le 22 octobre 2022 via le compte Telegram du responsable de l’Administration de la région ukrainienne de Rivne, Vitaliy Koval, montrant des pompiers ukrainiens en train d’éteindre un indendie sur une infrastructure énergétique touchée par un missile à Rivne
• Handout

Des habitants allument un feu pour cuisiner à l’extérieur d’une maison dans la ville ukrainienne de Bakhmout (est), le 23 octobre 2022
• Dimitar DILKOFF

Un habitant tente d’éteindre un incendie après un bombardement dans la ville ukrainienne de Bakhmout (est), le 22 octobre 2022
• Dimitar DILKOFF

Ukraine: “une paix est possible” quand les Ukrainiens “le décideront”, dit Macron

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Fusillade vendredi ? Bon Repos: au moins 8 morts et une dizaine de bless?s

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Vers 1heure 30 p.m., au niveau du rond-point de Bon Repos commun?ment appel? carrefour Saint-Marc, au moins deux personnes ont ?t? tu?es vendredi. <>, a rapport? au journal Gimcis Geoassaint, juge de paix de Croix-des Bouquets, assist? du greffier Alfred Dorelian, qui a fait le constat l?gal des cadavres.

<>, a pr?cis? le juge de paix qui ?tait accompagn? des agents de la Police nationale d’Ha?ti affect?s au sous commissariat de police de Bon Repos.

Apr?s le rond-point, l’escadron de la mort a poursuivi sa course en direction de Morne-?-Cabris, o? au moins six personnes ont ?t? tu?es de la station de Hinche. <>, a rapport? le juge Gimcis Geoassint.

Ces ?v?nements ont provoqu? une vive tension ? Bon Repos. Un climat de terreur s’est install? dans le quartier dans un contexte o? des tirs d’armes automatiques ne cessent de retentir. Les parents des victimes sont aux abois. Ils ne parlent m?me pas de justice, ils souhaitent seulement enterrer leurs proches dans la dignit?.

Vers 7 heures 30 du soir, Bernadette Mercier, soeur d’une des victimes, rencontr?e au sous-commissariat de Bon Repos, cherchait encore le salon fun?raire o? ?tait d?pos? le corps de Samy, r?sident de Corail, m?canicien et chauffeur de moto tu? dans la fusillade. <>, a d?clar?, en larmes, Bernadette Mercier.

La plupart des victimes sont des chauffeurs de mototaxi. Les autres sont passants, des propri?taires de petites entreprises sp?cialis?es dans la vente des pi?ces de rechange pour autos et motocyclettes. La police, jusqu’? tr?s tard dans la soir?e, ne disposait pas d’informations sur la voiture et le mobile de la fusillade. Au niveau de la population, les riverains sont rest?s dans l’expectative. La tuerie s’?tant d?roul?e non loin de Canaan, personne ne souhaitait commenter les actions commises par des civils arm?s. <>, a l?ch? un chauffeur de moto d’une trentaine d’ann?es rencontr? sur place.

La fusillade a eu lieu non loin de Canaan, devenu, depuis quelques temps, zone d’affrontements entre gangs arm?s.

Les tueries de masse s’intensifient ? Croix-des-Bouquets

Les attaques des bandits arm?s contre la population civile ont tendance ? augmenter dans la commune de la Croix-des-Bouquets qui compte plusieurs foyers de bandes criminelles. Au moins 15 personnes ont ?t? tu?es le lundi 17 octobre 2022 au village artistique de Noailles.

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Staking bij Rosebel Gold Mines

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door Samuel Wens BROKOPONDO — Omdat de directie van Rosebel Gold Mines vrijdag heeft geweigerd uitsluitsel te geven over onder

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Tanzanie: l’incendie sur le Kilimandjaro est “maîtrisé”

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L’incendie était largement “maîtrisé” dimanche sur le mont Kilimanjaro, le plus haut sommet d’Afrique, dont les pentes ont été dévorées par les flammes durant plus de 24 heures…

L’incendie était largement “maîtrisé” dimanche sur le mont Kilimanjaro, le plus haut sommet d’Afrique, dont les pentes ont été dévorées par les flammes durant plus de 24 heures, ont annoncé les autorités tanzaniennes. 

Le feu s’est déclaré dans la soirée de vendredi à proximité du camp Karanga, halte pour randonneurs et alpinistes située à environ 4.000 mètres d’altitude sur une des voies d’ascension les plus fréquentées menant au “toit de l’Afrique” (5.895 mètres).

“Nous avons réussi à maîtriser l’incendie. Dans une large mesure, il est déjà éteint dans la plupart des zones, bien qu’il y ait encore des fumerolles”, a déclaré dimanche dans la matinée le secrétaire permanent du ministère des Ressources naturelles et du Tourisme, Eliamani Sedoyeka, à la chaîne publique TBC.

En début de soirée, le ministère a annoncé dans un communiqué que le feu avait été contrôlé en plusieurs autres points. “La situation est globalement sous contrôle, nous pensons qu’elle sera complètement maîtrisée au fil du temps”, a-t-il assuré.

L’incendie n’a fait aucune victime dans ce haut lieu touristique du nord-est de la Tanzanie, très prisé notamment des amateurs de trekking et alpinisme. Plusieurs dizaines de milliers de personnes gravissent ses pentes chaque année.

Un total de 500 personnes – pompiers, personnels de l’autorité des parcs nationaux (Tanapa), policiers ainsi que des civils (étudiants, habitants, employés d’un tour-operator) – se sont mobilisées pour combattre le feu, qui avait été attisé par un fort vent.

Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux samedi montraient de larges flammes dévorant une végétation de buissons et d’arbustes et dégageant d’épais panaches de fumée grise.

Les pompiers ont notamment réussi à éviter que les flammes n’atteignent la zone de forêt située en contrebas.

Cause humaine probable

Si l’origine de l’incendie n’est pas encore formellement identifiée, M. Sedoyeka a estimé samedi soir qu’”il est possible qu’un grimpeur ou des ramasseurs de miel aient causé l’incendie par négligence”.

Un responsable de l’autorité des parcs nationaux (Tanapa), Herman Batiho, a affirmé être “sûr qu’il est dû à des activités humaines, peut-être l’extraction de miel par des habitants ou (…) des braconniers”. 

Cet incendie intervient exactement deux ans après un feu qui avait ravagé, durant une semaine en octobre 2020, 95 km2 de pentes, sans faire de victime. Selon les premiers éléments de l’enquête à l’époque, le feu avait été causé par des porteurs qui accompagnaient des grimpeurs.

Montagne emblématique dont la cime enneigée est connue à travers le monde, le Kilimandjaro et la zone qui l’entoure sont classées comme parc national, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco.

D’une superficie totale de plus de 75.000 hectares (plus de 750 km2), le parc abrite un écosystème remarquable, avec une flore riche et une faune composée d’éléphants, buffles, antilopes…

Ce massif volcanique constitué de trois pics (Kibo, Mawenzi, Shira) n’échappe pas au réchauffement climatique, qui assèche notamment sa végétation, composée successivement de plaines, de forêt de montagne puis de lande d’altitude, avant un désert alpin et le sommet. 

Les “neiges du Kilimandjaro” célébrées par Ernest Hemingway pourraient même disparaître d’ici 2040, selon un rapport de 2011 de l’Organisation météorologique mondiale, l’agence météo de l’ONU, sur la situation climatique de l’Afrique. 

La surface couverte par les glaciers y a reculé de 85% en un siècle, passant de 11,40 km2 en 1912 à 1,76 km2 en 2011.

str-sva/cpy

Tanzanie: mobilisation pour contenir un incendie sur le Kilimandjaro
• STRINGER

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Tanzanie: l’incendie sur le Kilimandjaro est “maîtrisé”

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L’incendie était largement “maîtrisé” dimanche sur le mont Kilimanjaro, le plus haut sommet d’Afrique, dont les pentes ont été dévorées par les flammes durant plus de 24 heures…

L’incendie était largement “maîtrisé” dimanche sur le mont Kilimanjaro, le plus haut sommet d’Afrique, dont les pentes ont été dévorées par les flammes durant plus de 24 heures, ont annoncé les autorités tanzaniennes. 

Le feu s’est déclaré dans la soirée de vendredi à proximité du camp Karanga, halte pour randonneurs et alpinistes située à environ 4.000 mètres d’altitude sur une des voies d’ascension les plus fréquentées menant au “toit de l’Afrique” (5.895 mètres).

“Nous avons réussi à maîtriser l’incendie. Dans une large mesure, il est déjà éteint dans la plupart des zones, bien qu’il y ait encore des fumerolles”, a déclaré dimanche dans la matinée le secrétaire permanent du ministère des Ressources naturelles et du Tourisme, Eliamani Sedoyeka, à la chaîne publique TBC.

En début de soirée, le ministère a annoncé dans un communiqué que le feu avait été contrôlé en plusieurs autres points. “La situation est globalement sous contrôle, nous pensons qu’elle sera complètement maîtrisée au fil du temps”, a-t-il assuré.

L’incendie n’a fait aucune victime dans ce haut lieu touristique du nord-est de la Tanzanie, très prisé notamment des amateurs de trekking et alpinisme. Plusieurs dizaines de milliers de personnes gravissent ses pentes chaque année.

Un total de 500 personnes – pompiers, personnels de l’autorité des parcs nationaux (Tanapa), policiers ainsi que des civils (étudiants, habitants, employés d’un tour-operator) – se sont mobilisées pour combattre le feu, qui avait été attisé par un fort vent.

Des vidéos circulant sur les réseaux sociaux samedi montraient de larges flammes dévorant une végétation de buissons et d’arbustes et dégageant d’épais panaches de fumée grise.

Les pompiers ont notamment réussi à éviter que les flammes n’atteignent la zone de forêt située en contrebas.

Cause humaine probable

Si l’origine de l’incendie n’est pas encore formellement identifiée, M. Sedoyeka a estimé samedi soir qu’”il est possible qu’un grimpeur ou des ramasseurs de miel aient causé l’incendie par négligence”.

Un responsable de l’autorité des parcs nationaux (Tanapa), Herman Batiho, a affirmé être “sûr qu’il est dû à des activités humaines, peut-être l’extraction de miel par des habitants ou (…) des braconniers”. 

Cet incendie intervient exactement deux ans après un feu qui avait ravagé, durant une semaine en octobre 2020, 95 km2 de pentes, sans faire de victime. Selon les premiers éléments de l’enquête à l’époque, le feu avait été causé par des porteurs qui accompagnaient des grimpeurs.

Montagne emblématique dont la cime enneigée est connue à travers le monde, le Kilimandjaro et la zone qui l’entoure sont classées comme parc national, inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco.

D’une superficie totale de plus de 75.000 hectares (plus de 750 km2), le parc abrite un écosystème remarquable, avec une flore riche et une faune composée d’éléphants, buffles, antilopes…

Ce massif volcanique constitué de trois pics (Kibo, Mawenzi, Shira) n’échappe pas au réchauffement climatique, qui assèche notamment sa végétation, composée successivement de plaines, de forêt de montagne puis de lande d’altitude, avant un désert alpin et le sommet. 

Les “neiges du Kilimandjaro” célébrées par Ernest Hemingway pourraient même disparaître d’ici 2040, selon un rapport de 2011 de l’Organisation météorologique mondiale, l’agence météo de l’ONU, sur la situation climatique de l’Afrique. 

La surface couverte par les glaciers y a reculé de 85% en un siècle, passant de 11,40 km2 en 1912 à 1,76 km2 en 2011.

str-sva/cpy

Tanzanie: mobilisation pour contenir un incendie sur le Kilimandjaro
• STRINGER

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MP, senior cop commit to changing troubled Manchester community Loop Jamaica

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Following a series of murders which rocked the Manchester community of Greenvale this summer, the police and the local political representative have given their commitment to unify the community members and change the reputation of the area.

The declarations came following a peace walk through the community with the police, political representatives and residents on Thursday.

Restrictions were placed on entertainment events in Greenvale after the August 5 murders of 34-year-old Adrian Nation and Lloyd Levy at a party in the community. A man and a woman were also shot and injured in the incident.

While speaking during Thursday’s peace walk, head of the Manchester police, Superintendent Shane McCalla, said law enforcers continue to closely monitor the community.

He said the peace walk signified the work of the stakeholders in a bid to create change in the community.

“We have the same vision and we want the same end result… We want the unity,” McCalla told residents.

“So, as we move forward, you going to see us engaging you more in some more street meetings, where the police going to come in on the corner, and we just have a chat with the youths dem, ’cause we want to get (rid of) that little stigma weh people have outside the community,” the senior lawman continued.

“We want get rid a that (stigma),” he added.

McCalla emphasised that the only way the stigma can be removed from the community is if the police and citizens work together.

“So my commitment, as long as I am here, is that we going to be working together. We know we might have some bad days, right, but we know that together we can have better days,” he declared.

Added McCalla: “We want to see if we can move forward and relax some of the more hardened measures that we put in place recently, but we need your commitment to do that.”

For his part, Member of Parliament (MP) for North West Manchester, Mikael Phillips, in whose constituency Greenvale falls, said efforts to bring the community spirit back, such as social intervention activities, are crucial.

“For the members of the community who have walked with us, if you don’t believe in yourself, you can’t fix the problem, and what it has shown is that you also believe in yourself,” Phillips indicated.

He lauded residents, especially those who felt “somewhat intimidated” from participating in the peace walk.

“It shows that this tension that is taking place, in some instances, is manufactured, and I know you want to live as one community same way, and I as the political representative, want to see that happen,” Phillips declared.

“So, hence why we putting out that effort. This is not just a one-off (activity).

“There are other activities that we want to do to bring it (the community) back together,” he stated.

The parliamentarian announced his intention to have other activities in collaboration with the police, geared towards increasing the level of interaction with residents.

He also commended the Manchester top cop for his “open-door policy”, which involves listening to the complaints of the residents.

The parliamentarian also had glowing praise for the police’s efforts thus far.

“I know you are putting out every effort to ensure that normalcy remains in the community, and I want to commend you and thank you for that effort,” Phillips told McCalla.

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UPDATE: 3 females who died from St James crash identified as Americans Loop Jamaica

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UPDATE: 3 females who died from St James crash identified as Americans

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Migrant children celebrate Divali

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More than 160 migrant boys and girls who study at LLI Chaguanas learn the traditions of TT. Photo by Grevic Alvarado

Migrant children studying English at the Langdons Language Institute (LLI) in Chaguanas celebrated Divali, the Hindu festival of lights, on Friday.

More than 160 boys and girls of various ages carried out traditional activities.

The school’s director Susan Langdon said the children of migrants were mostly dressed in traditional East Indian wear for Hindu festivals.

They took part in rangoli competitions and learned how to decorate the deyas. They shared Hindu sweets made by the representatives and teachers and enjoyed the traditional music of the teacher Deo Nanan who delighted the children playing the tabla and the dhantal.

“These are activities framed in the educational plan of our institution for boys and girls. The Divali festivities are Trinidad and Tobago traditions our students should and want to know about,” said Langdon.

For lunch the boys and girls ate roti.

“Parents have been collaborators in everything. The teachers and staff of our institution have also been involved in every activity so that the students know every detail of the Divali,” she said.

The students of the Langdons Language Institute (LLI) of Chaguanas carried out traditional activities of the Divali celebrations together with their teachers. Photo by Grevic Alvarado

LLI is a language academy endorsed by the University of Cambridge. For several years they have been working on the education of migrant children who have not had the opportunity to enter the TT educational system.

These migrant children are studying their traditional subjects and are also getting to know the TT culture.

Maria Suarez, mother of two students, said she wants her children to know the TT culture.

“TT has opened its doors for us so Venezuelans can have a better quality of life and in gratitude for that we respect and value their culture, which is beautiful. My children are happy to wear their Divali outfits,” said Suarez.

She said she will continue to teach her children the TT traditions.

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Ag Commissioner: Police ensuring safe Divali celebrations

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Acting CoP Mc Donald Jacob.

Acting Commissioner of Police Mc Donald Jacob is seeking to assure the public that the police service is prepared to maintain law and order in the season of light.

In a statement on Sunday in which he wished the Hindu community a happy Divali, Jacob lamented there are still those who are bent on pursuing darkness.

The statement came just hours after four people, including a three-year-old child and a woman, were killed in a drive-by shooting in Diego Martin. Two other men were shot dead in separate incidents at Diamond Village, near San Fernando, and Bel Eau Road, Belmont.

Jacob said the community spirit and togetherness shown during Divali is the embodiment of what is good about this cosmopolitan country.

“After two years of somewhat muted Divali celebrations, the

lifting of covid restrictions is symbolic, as it holds great meaning and

significance. The darkness that covid brought is on the decline,

allowing members of the Hindu community to truly celebrate the victory

of light over darkness.”

He said the service is ready with “our police lights” and will be highly visible, as divisional commanders have been tasked to heighten patrols to act as a deterrent to criminals.

“While it is impossible to be everywhere all the time, we have been using the Active Direct Patrol Grid system, which has been

quite successful in apprehending suspects and the seizure of narcotics

and illegal firearms.

“This weekend we have applied our intelligence data

to guide specific strategies which are being implemented to mitigate

criminal activity throughout the country.”

He said the police will use its lawful authority to ensure light prevails over darkness.

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