En Ukraine, la vie près du front continue sous terre

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A Kryvyï Rig dans le Sud de l’Ukraine, le front est tout proche mais les enfants peuvent quand même participer à une compétition d’arts…

A Kryvyï Rig dans le Sud de l’Ukraine, le front est tout proche mais les enfants peuvent quand même participer à une compétition d’arts martiaux, dans un abri anti-nucléaire.

Filles et garçons défilent en tenue blanche pour les finales de la compétition municipale annuelle, dans ce bunker construit à grands frais dans les années 1960 pour parer toute éventuelle attaque nucléaire pendant la Guerre froide.

Ils s’affrontent ensuite sur des tapis carrés, sous l’oeil de leurs parents à la mine épuisée, écroulés sur des bancs ou appuyés contre les murs.

Un commentateur enthousiaste détaille chaque combat. Les échos du haut-parleur résonnent bien au-dessus du niveau de la terre.

“Psychologiquement, c’est important pour les enfants de voir que les adultes ne les ont pas oubliés”, observe Anatoli Volochine, l’entraîneur national. Il crie pour couvrir le bruit ambiant.

“Ils n’ont pas été à l’école depuis des mois. Ils ont besoin de sentir qu’ils comptent à nouveau”, ajoute-t-il.

Anatoli Volochine officie comme maître de cérémonie en l’absence du maire-adjoint, Serguiï Milioutine, coincé à son bureau pour surveiller les coupures de courant qui affectent sa ville.

“Sang-froid”

Après huit mois de guerre, le maire-adjoint, un homme robuste et enjoué âgé de 45 ans et ingénieur de formation, a pris l’habitude d’être constamment sur son téléphone. Les dernières nouvelles du front ajoutent à sa bonne humeur coutumière.

Les forces russes ont été repoussées à environ une heure de route des faubourgs de Kryvyï Rig, ville industrielle et russophone dont le président Volodymyr Zelensky et son épouse sont originaires.

La contre-offensive ukrainienne a obligé les autorités d’occupation russe à commencer l’évacuation de Kherson, capitale régionale voisine prise début mars.

Mais à l’approche des rudes mois d’hiver, les forces russes ont frappé le réseau d’électricité du pays.

Le maire-adjoint se veut philosophe en mâchant son sandwich tout en cherchant sur son téléphone quels districts de sa ville ont besoin d’aide d’urgence.

“Bien sûr, je suis fatigué physiquement”, concède-t-il. “Mais j’ai atteint le point où je survis juste en poursuivant ma route. Il faut garder son sang-froid et économiser son énergie. Personne ne sait combien de temps cela va durer”.

Kryvyï Rig, à l’instar d’autres villes industrielles en Ukraine, essaie de trouver une sorte d’équilibre entre le désespoir et la joie.

L’approche de chaque missile ou –de plus en plus souvent– d’un drone suicide est annoncée par les hurlements déchirants des sirènes. Jour et nuit.

L’annonce de chaque missile abattu est célébrée sur les réseaux sociaux dans ce pays qui semble avoir transféré en ligne une bonne partie de sa vie quotidienne.

Certains quartiers dans les villes principales sont complètement ruinés ou totalement dépourvus d’éclairage et de courant.

D’autres en revanche sont remplis de gens faisant leurs courses ou de couples souriants avec des poussettes ou promenant leur chien sans se préoccuper le moins du monde des alertes aériennes.

“Ne relâchez pas l’attention”

Le maire-adjoint ne sait trop comment faire pour que ses administrés prennent les sirènes autant au sérieux qu’aux premiers jours de la guerre.

“Nous passons notre temps à rappeler aux gens +s’il vous plaît, s’il vous plaît ne relâchez pas l’attention”, insiste-t-il, la voix soudainement grave.

Les écoles et les cinémas sont fermés en Ukraine à cause des menaces de bombardement.

Pour redonner un semblant de normalité à la vie des habitants, Kryvyï Rig a transformé son abri anti-nucléaire, comme d’autres constructions souterraines semblables, en salle de spectacles et de rencontres sportives.

Il accueille des concerts de musique pop aussi bien que des shows de l’équipe de Kvartal 95, la société de production dont M. Zelensky était co-propriétaire et la vedette clé jusqu’à son élection à la tête de l’Etat en avril 2019.

Des centaines de personnes s’y pressent le week-end, malgré la guerre qui fait rage à leurs portes.

Il a fallu quelques mois, explique M. Milioutine, pour que chacun réalise qu’il était possible de renouer avec un semblant de vie normale grâce à ces bunkers oubliés qui parsèment le pays depuis l’époque soviétique.

“Tout le monde est très joyeux là en dessous”, assure l’entraîneur Anatoli Volochine. “C’est comme s’il n’y avait pas de guerre”.

zak/lch/am

Un jeune Ukrainien est réconforté en pleine compétition d’arts martiaux dans un abri nucléaire datant des années 1960, à Kryvyï Rig en Ukraine le 22 octobre 2022
• BULENT KILIC

De jeunes Ukrainiens, aux côtés de leurs parents, lors d’une compétition d’arts martiaux dans un abri nucléaire, à Kryvyï Rig en Ukraine le 22 octobre 2022
• BULENT KILIC

Avant une compétition d’arts martiaux, dans un abri nucléaire de Kryvyï Rig en Ukraine le 22 ocobtre 2022
• BULENT KILIC

Serguiï Milioutine, maire-adjoint de Kryvyï Rig en Ukraine, lors d’un entretien avec l’AFP le 22 octobre 2022
• BULENT KILIC

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Somalie: attaque islamiste en cours dans un hôtel, au moins trois morts

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Au moins trois personnes ont été tuées dans une attaque revendiquée par les islamistes radicaux shebab et toujours en cours dimanche après-midi dans un hôtel de la ville de Kismayo, dans le sud de la…

Au moins trois personnes ont été tuées dans une attaque revendiquée par les islamistes radicaux shebab et toujours en cours dimanche après-midi dans un hôtel de la ville de Kismayo, dans le sud de la Somalie, selon une source policière et un témoin.

“Des assaillants terroristes ont pris d’assaut l’hôtel Tawakal cet après-midi, il y a des combats en cours à l’intérieur du bâtiment entre les forces de sécurité et les terroristes. (…) Trois civils ont été confirmés morts”, a déclaré à l’AFP Abdullahi Ismail, un officier de police. 

Un témoin présent à l’extérieur a également affirmé avoir vu trois cadavres. “Il y a des coups de feu à l’intérieur de l’hôtel. J’ai vu les corps de trois personnes récupérés près de l’entrée principale, mais nous ne connaissons pas le nombre de ceux qui ont pu être tués à l’intérieur”, a déclaré à l’AFP ce témoin, Farhan Hassan.

L’attaque a débuté vers 12H45 locale (09H45 GMT) avec une attaque à la voiture piégée. Le nombre exact d’assaillants n’était pour l’instant pas connu.

“Un kamikaze a conduit un véhicule à l’entrée de l’hôtel avant que des hommes armés n’entrent dans le bâtiment, des tirs ont commencé à l’intérieur et il semble que les hommes armés tiraient au hasard sur des personnes à l’intérieur”, a raconté Farhan Hassan. 

Les shebab ont revendiqué cette attaque, affirmant avoir visé un hôtel où étaient réunis des membres de l’administration de l’Etat fédéré du Jubaland.

Pays pauvre de la Corne de l’Afrique en proie à l’instabilité depuis des décennies, la Somalie fait face ces derniers mois à un regain d’activité des shebab.

Ce groupe islamiste lié a Al-Qaïda qui combat depuis 2007 le governement fédéral soutenu par la communauté internationale. Il a été chassé des principales villes du pays, dont la capitale Mogadiscio en 2011, mais reste solidement implanté dans de vastes zones rurales. 

“Guerre totale”

Fin août, un commando avait mené un spectaculaire assaut d’une trentaine d’heures dans un hôtel de la capitale Mogadiscio, faisant au moins 21 morts et 117 blessés. 

Le président Hassan Cheikh Mohamoud, élu mi-mai, avait alors promis une “guerre totale” pour éliminer ces “enfants de l’enfer”, puis appelé la population à se “tenir à l’écart” des zones contrôlées par les islamistes qui allaient être visées par de prochaines offensives.

Les forces de sécurité et des milices claniques locales ont notamment lancé des opérations militaires dans le centre du pays.

L’armée américaine mène également des frappes aériennes contre les positions shebab. L’une d’entre elles a tué début octobre Abdullahi Yare, un des plus hauts dirigeants et cofondateur du mouvement, dans le sud du pays.

Quelques heures après l’annonce de sa mort par le gouvernement somalien, un triple attentat à la bombe contre un bâtiment gouvernemental dans la ville de Beledweyne (centre) avait tué au moins 30 personnes morts et blessé 58 autres. 

Outre l’insurrection shebab, la Somalie est également menacée par une famine imminente, provoquée par la plus grave sécheresse observée depuis plus de 40 ans. 

À travers le pays, 7,8 millions de personnes, soit près de la moitié de la population, sont affectées par la sécheresse, dont 213.000 sont en grand danger de famine, selon l’ONU.

Sans une mobilisation urgente, l’état de famine pourrait être déclaré avant la fin de l’année.

Selon de nombreuses organisations humanitaire, la situation actuelle est pire que lors de la dernière famine de 2011 qui avait fait 260.000 morts, dont plus de la moitié d’enfants de moins de cinq ans.

nur-sva/cpy

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More charges ‘possible’ for principal remanded re illegal land sale Loop Jamaica

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Suelyn Ward-Brown, the reported school principal who has been charged relative to the illegal sale of land close to Clifton in the Greater Bernard Lodge area of St Catherine, is to remain in police custody until at least next week.

The educator made her first court appearance in the St Catherine Parish Court, where she was remanded.

She is charged with several offences, including breaches of the Proceeds of Crime Act Jamaica (POCA ), the Law Reform Fraudulent Transactions Special Provisions Act, and common law – conspiracy to defraud of land in Portmore, St Catherine.

Parish Court Judge Desiree Alleyne is expected to decide on Monday, October 31, whether Ward-Brown will be granted bail.

Her attorney, Debra Martin, commenced a bail application on Friday. But the police are currently carrying out further investigations which could lead to additional charges being laid against the educator.

The police are also searching for other suspects in relation to the illegal activities.

Members of the Jamaica Constabulary Force (JCF) were tasked with conducting an investigation into the illegal sale of land in the Greater Bernard Lodge development area following the recent demolition of unfinished houses in the area.

After being both criticised and praised for the demolition exercise, Prime Minister Andrew Holness named the St Catherine-based Clansman gang as being the outfit that has benefitted from the scam.

The prime minister acknowledged that some of the affected individuals are members of the security forces and civil servants.

Holness said too, that the probe by the Major Organised Crime and Anti-Corruption Agency (MOCA) and the JCF should also determine whether any public official is culpable in the matter.

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Ja’s tourism partners consider island a safe destination- Madden-Greig Loop Jamaica

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Jamaican hotelier and President of the Caribbean Hotel and Tourism Association (CHTA), Nicola Madden-Greig, says the United States’ level-three travel advisory for Jamaica has had minimal impact on the island’s tourism sector.

In fact, the tourism official has stated that the industry’s partners consider the island to be a safe destination.

“… While that warning is there and exists, it has not impacted our travel arrival numbers in any significant way,” declared Madden-Greig.

The CHTA president, who was speaking on the state of the Caribbean travel industry at a recent virtual meeting of the Rotary Club of Mona, St Andrew, however said despite the fallout from the warning being minimal on the sector, the country must bolster its efforts to fight crime.

While that is being done by those tasked with doing so, she stated that the country must do more to “sell” or promote its positive aspects.

In the latest travel advisory updated on Wednesday, October 5, US citizens were warned against travelling to Clarendon, Hanover, Kingston and St Andrew, all of Montego Bay, St Ann, St Catherine, St James, and Westmoreland, due to crime.

According to the US State Department, violent crimes, such as home invasions, armed robberies, sexual assaults and homicides, are common in Jamaica.

Though the travel warning has been in place in Jamaica over the years, Madden-Greig emphasised that the island’s tourism partners recognise that the country is a very safe destination for visitors.

“We have had that travel warning, and we’ve been at level three or level four over the years for various reasons. Through the pandemic, we were at the highest level and visitors still came also in record numbers,” she said.

“So, it (the travel advisory) can damper potential visitors, but generally, Jamaica has been very good at communicating to the market exactly what is happening on the ground.

“Fortunately, the situations that happen in Jamaica right now, which are now really quite sad, doesn’t necessarily impact the visitor, and that is the reputation we have in the visitor market and with(in) the travel and tourism industry,” the seasoned hotelier indicated.

“… Our partners, they consider Jamaica a safe destination,” Madden-Greig stressed.

But she said the country must tackle the issue of crime and promote its positive attributes.

“Obviously, the kind of crime we have in Jamaica is not something that we should tolerate. It needs to be addressed, because as a small island state, we shouldn’t be having these challenges,” Madden-Greig indicated.

“… But sometimes we have to be also careful, in a sense, of what we communicate, and it is important that while we have to solve a problem, we don’t, at the same time, contribute to the problem,” she warned.

Added the tourism official: “So, we have to sell our positives, (and) we have to ensure that we continue to provide employment for our many nationals.

“Yes, some of the news that is coming out is not good, but at the same time, we have to work towards the solution while continuing to ensure that our industry does well.”

Madden-Greig suggested, as well, that it is the responsibility of all Jamaicans “to move for permanent change” relative to the crime situation locally.

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BARBADOS-ECONOMY – Barbados glow in the dark coin wins award

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Iamgold: Rosebel ‘niet winstgevend’, verkoop is ‘strategische herziening’

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PARAMARIBO — Iamgold kampt momenteel met een ‘begrotingstekort’ voor zijn Côte Gold-project in Canada, wat het plegen van nieuwe investeringen

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Campagne pour Downing Street: rencontre entre les rivaux Rishi Sunak et Boris Johnson

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L’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson et son ancien ministre des Finances Rishi Sunak, qui a creusé l’écart dans la course pour la tête du gouvernement…

L’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson et son ancien ministre des Finances Rishi Sunak, qui a creusé l’écart dans la course pour la tête du gouvernement britannique, se sont rencontrés samedi soir.

M. Johnsonétait rentré en matinée à Londres après des vacances dans les Caraïbes, renforçant l’hypothèse de sa candidature dans la course à Downing Street. Il a rencontré M. Sunakpour discuter de la compétition au sein du parti conservateur pour succéder à la démissionnaire Liz Truss, selon plusieurs médias dont la BBC.

Boris Johnson et Rishi Sunak, dont la démission avait conduit à celle de son patron, ne se sont pas à ce stade lancés publiquement dans cette campagne éclair.

Selon le Sunday Telegraph, ils ont parlé de “candidature commune” pour éviter aux Tories une “guerre civile”.

Après la démission de Liz Truss, restée seulement 44 jours au pouvoir, trois noms ont émergé: l’actuelle ministre des Relations avec le Parlement

, qui a officialisé sa candidature vendredi, Rishi Sunak, qui avait perdu début septembre face à Liz Truss, et Boris Johnson, qui a démissionné en juillet après une succession de scandales.

James Duddridge, un allié de M. Johnson au Parlement, avait rapporté vendredi soir un échange avec son “boss”. “Il a dit: +Nous allons le faire, je suis prêt+”, selon ce député.

L’ex-Premier ministre a quitté le Parlement le 20 juillet en lançant “Hasta la vista, baby!”. 

“Pire idée en 46 ans”

M. Sunak, dont la démission du gouvernement Johnson avait été suivie d’une soixantaine d’autres, est le premier à avoir dépassé vendredi soir le seuil des 100 parrainages requis pour espérer prendre la tête du parti conservateur et donc remporter Downing Street. 

Boris Johnson aurait lui aussi dépassé les 100, selon James Duddridge, mais cela n’a pas été confirmé. Et il figure toujours loin derrière dans les médias qui font le décompte.

Selon le site Guido Fawkes, qui suit de près les soubresauts de la course, Rishi Sunak avait samedi après-midi 128 parrainages, devant Boris Johnson (72) et Penny Mordaunt (25).

Les candidats ont jusqu’à lundi après-midi pour obtenir ces parrainages. 

Les 357 députés conservateurs voteront d’abord et, s’il reste deux candidats en lice, les 170.000 adhérents du parti devront les départager par un vote sur internet d’ici le 28 octobre.

En cas de candidat unique, il entrerait directement à Downing Street en début de semaine.

La partie se jouait samedi en grande partie en coulisses pour MM. Johnson et Sunak, qui sont à couteaux tirés depuis cet été, chacun tentant d’obtenir plus de parrainages, divisant encore les Tories.

Changement de camp

Rishi Sunak “est le candidat idéal”, a affirmé sur Sky News Dominic Raab, ex-vice-Premier ministre, qui a mis en avant ses compétences économiques.

“Nous ne pouvons pas avoir un autre épisode (…) du feuilleton du +partygate+”, en référence aux fêtes illégales à Downing Street durant le confinement anti-Covid, a-t-il également dit.

Les derniers mois du mandat de Boris Johnson ont été marqués par plusieurs scandales, dont celui du “partygate” dans lequel la police avait estimé qu’il avait enfreint la loi.

Il fait toujours l’objet d’une enquête de la Commission des normes parlementaires qui pourrait, en théorie, aboutir à sa suspension du Parlement, voire son expulsion en tant que député.

L’ancien chef du parti conservateur William Hague a averti qu’un retour de Boris Johnson aboutirait à une “spirale de la mort” pour le parti. “C’est probablement la pire idée que j’ai entendue depuis 46 ans que je suis membre du parti conservateur”, a-t-il lâché.

Et même des proches lui tournent le dos. Pour David Frost, un important allié de Johnson pendant la campagne pour le Brexit, “il n’est tout simplement pas juste de risquer de répéter le chaos de l’année dernière”.

Le coup le plus dur vient certainement de Steve Barclay, son ancien chef de cabinet, qui a annoncé son soutien pour Rishi Sunak. “Notre pays fait face à des défis économiques importants et Rishi est le mieux placé pour y faire face”, a-t-il tweeté.

Même sentiment du côté de l’influent ministre du Commerce Kemi Badenoch: Rishi Sunak “serait un formidable dirigeant en temps de crise”.

Mais Boris Johnson peut toujours compter sur de solides soutiens, comme celui de son ancienne ministre de l’Intérieur Priti Patel.

Le prochain Premier ministre sera le cinquième depuis 2016, quand le Royaume-Uni a voté pour quitter l’Union européenne.

ctx/am/elm/ybl

La ministre des Relations avec le Parlement, Penny Mordaunt, à la Chambre des Communes à Londres le 17 octobre 2022
• JESSICA TAYLOR

Liz Truss après l’annonce de sa démission de son poste de Première ministre britannique, à Londres le 20 octobre 2022
• Daniel LEAL

Rishi Sunak sort de chez lui, le 22 octobre 2022 à Londres
• Daniel LEAL

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En Ukraine, la vie près du front continue sous terre

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A Kryvyï Rig dans le Sud de l’Ukraine, le front est tout proche mais les enfants peuvent quand même participer à une compétition d’arts…

A Kryvyï Rig dans le Sud de l’Ukraine, le front est tout proche mais les enfants peuvent quand même participer à une compétition d’arts martiaux, dans un abri anti-nucléaire.

Filles et garçons défilent en tenue blanche pour les finales de la compétition municipale annuelle, dans ce bunker construit à grands frais dans les années 1960 pour parer toute éventuelle attaque nucléaire pendant la Guerre froide.

Ils s’affrontent ensuite sur des tapis carrés, sous l’oeil de leurs parents à la mine épuisée, écroulés sur des bancs ou appuyés contre les murs.

Un commentateur enthousiaste détaille chaque combat. Les échos du haut-parleur résonnent bien au-dessus du niveau de la terre.

“Psychologiquement, c’est important pour les enfants de voir que les adultes ne les ont pas oubliés”, observe Anatoli Volochine, l’entraîneur national. Il crie pour couvrir le bruit ambiant.

“Ils n’ont pas été à l’école depuis des mois. Ils ont besoin de sentir qu’ils comptent à nouveau”, ajoute-t-il.

Anatoli Volochine officie comme maître de cérémonie en l’absence du maire-adjoint, Serguiï Milioutine, coincé à son bureau pour surveiller les coupures de courant qui affectent sa ville.

“Sang-froid”

Après huit mois de guerre, le maire-adjoint, un homme robuste et enjoué âgé de 45 ans et ingénieur de formation, a pris l’habitude d’être constamment sur son téléphone. Les dernières nouvelles du front ajoutent à sa bonne humeur coutumière.

Les forces russes ont été repoussées à environ une heure de route des faubourgs de Kryvyï Rig, ville industrielle et russophone dont le président Volodymyr Zelensky et son épouse sont originaires.

La contre-offensive ukrainienne a obligé les autorités d’occupation russe à commencer l’évacuation de Kherson, capitale régionale voisine prise début mars.

Mais à l’approche des rudes mois d’hiver, les forces russes ont frappé le réseau d’électricité du pays.

Le maire-adjoint se veut philosophe en mâchant son sandwich tout en cherchant sur son téléphone quels districts de sa ville ont besoin d’aide d’urgence.

“Bien sûr, je suis fatigué physiquement”, concède-t-il. “Mais j’ai atteint le point où je survis juste en poursuivant ma route. Il faut garder son sang-froid et économiser son énergie. Personne ne sait combien de temps cela va durer”.

Kryvyï Rig, à l’instar d’autres villes industrielles en Ukraine, essaie de trouver une sorte d’équilibre entre le désespoir et la joie.

L’approche de chaque missile ou –de plus en plus souvent– d’un drone suicide est annoncée par les hurlements déchirants des sirènes. Jour et nuit.

L’annonce de chaque missile abattu est célébrée sur les réseaux sociaux dans ce pays qui semble avoir transféré en ligne une bonne partie de sa vie quotidienne.

Certains quartiers dans les villes principales sont complètement ruinés ou totalement dépourvus d’éclairage et de courant.

D’autres en revanche sont remplis de gens faisant leurs courses ou de couples souriants avec des poussettes ou promenant leur chien sans se préoccuper le moins du monde des alertes aériennes.

“Ne relâchez pas l’attention”

Le maire-adjoint ne sait trop comment faire pour que ses administrés prennent les sirènes autant au sérieux qu’aux premiers jours de la guerre.

“Nous passons notre temps à rappeler aux gens +s’il vous plaît, s’il vous plaît ne relâchez pas l’attention”, insiste-t-il, la voix soudainement grave.

Les écoles et les cinémas sont fermés en Ukraine à cause des menaces de bombardement.

Pour redonner un semblant de normalité à la vie des habitants, Kryvyï Rig a transformé son abri anti-nucléaire, comme d’autres constructions souterraines semblables, en salle de spectacles et de rencontres sportives.

Il accueille des concerts de musique pop aussi bien que des shows de l’équipe de Kvartal 95, la société de production dont M. Zelensky était co-propriétaire et la vedette clé jusqu’à son élection à la tête de l’Etat en avril 2019.

Des centaines de personnes s’y pressent le week-end, malgré la guerre qui fait rage à leurs portes.

Il a fallu quelques mois, explique M. Milioutine, pour que chacun réalise qu’il était possible de renouer avec un semblant de vie normale grâce à ces bunkers oubliés qui parsèment le pays depuis l’époque soviétique.

“Tout le monde est très joyeux là en dessous”, assure l’entraîneur Anatoli Volochine. “C’est comme s’il n’y avait pas de guerre”.

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Un jeune Ukrainien est réconforté en pleine compétition d’arts martiaux dans un abri nucléaire datant des années 1960, à Kryvyï Rig en Ukraine le 22 octobre 2022
• BULENT KILIC

De jeunes Ukrainiens, aux côtés de leurs parents, lors d’une compétition d’arts martiaux dans un abri nucléaire, à Kryvyï Rig en Ukraine le 22 octobre 2022
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Avant une compétition d’arts martiaux, dans un abri nucléaire de Kryvyï Rig en Ukraine le 22 ocobtre 2022
• BULENT KILIC

Serguiï Milioutine, maire-adjoint de Kryvyï Rig en Ukraine, lors d’un entretien avec l’AFP le 22 octobre 2022
• BULENT KILIC

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23-year-old woman found dead at her home on Tindale Road

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23 YEAR OLD WOMAN FOUND DEAD

 

Police are now carrying out a probe after a 23 year old woman was found dead at her home on Tindale Road.

 

Investigators say the body of the Jamaican national was discovered at about 9:15 Saturday night.

 

Details about what led to her death are not immediately clear, but we will provide more information as soon as it is available.

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Editor

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Ms. Therese Theresa Georges-Dublin is 100 years old today

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BIOGRAPHY OF THERESA GEORGE-DUBLIN – 1922-2022

Therese  Theresa Georges-Dublin affectionately known as “mama” and “grandma” was born on October 23, 1922, in Victoria in the  district of St. Patrick in the Commonwealth of Dominica.

Her parents were  Mr. Ander Georges   and Mrs. Rosetta Mary-Anne Georges.  She was blessed to have four siblings –  Ionie Georges, Adrian Georges,  Pauline Georges and Eliza Georges.

Mama was educated at the Victoria Government School where she was successful in passing 3 seventh standard exams.

In school, her favorite subject was mathematics, and to this day she can mentally solve simple mathematical problems.

After completing school, Mama moved from her village, Delices, to Roseau, the capital, where she worked as a store clerk.

In her twenties, she migrated to Antigua, where she met and wedded Samuel Dublin, and their union yielded eight (8) children.

Mama is a devout Seventh-day Adventist and a member of the Cedar Grove SDA Church which she faithfully attended until 2020 when churches went on lockdown due to the Covid-19 pandemic.

She has been a Seventh-day Adventist for over 75 years.

In addition to assisting her husband on the family farm, Theresa’s greatest commitment was to rear her children nurturing them in the fear and admonition of the Lord.  She instilled in them love for God, respect for authority, the dignity of hard work, and the value of education.

Her impact on the Antiguan society can be seen through her children and grandchildren, all of whom are making invaluable contribution to the nation, in sectors such as law, law enforcement, education, aviation, information technology, accounting, health, and the hospitality industry.

Mama is blessed with a magnificent memory and has committed to memory many bible passages, especially Psalm 121 which  brings her much comfort now that she is unable to read the bible, due to declining vision.

She also enjoys singing her favourite song “O happy Day that fixed my choice”  as well as reciting her favorite poem “the Village Black Smith”.

She attributes her long life to faith in God, a healthy lifestyle and being a blessing others.

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