Hipolito van den Berg

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Diario

“Señor ta mi wardador, mi’n tin falta di nada

Den cunucu di yerba berde e ta ponemi sosega.

E ta hibami na awa trankil,

Pa mi bolbe haña forsa”.

Salmo: 23

Cu inmenso tristeza na nos curason,

nos ta participa fayecimento di;

Hipolito van den Berg

Mihor conoci como: “Poli ”

30-08-1941 † 25-10-2022 

Na nomber di su:

Mayornan:

Romana y Paulus v/den Berg-Maduro 

Mama di su yiu:

Antonia Solognier 

Yiu:

Vivian Neraida v/den Berg 

Nieta(o)nan:

Angenique y Rayen Martinus-Hoek

Ilenia Hoek y Omar Lambert

Aishell Robert y pareha 

Bisanieto(a)nan:

Angelainy y Richaylon 

Nuero:

Lucas Robert y Fidelia Statie

 Rumannan:

Rosalia Kock-v/den Berg y Bicente Kock y famia

Margo v/den Berg y famia

Jose v/den Berg

Nemencio v/den Berg

Ciriaco v/den Berg

Emilia v/den Berg y famia

Martha Dirksz-v/den Berg y Rudolfo Dirksz y famia 

Sobrino(a) nan, primo(a) nan na Aruba, Curacao y Hulanda 

Ihanan

 Tur su bon amigo nan y bon bisiñanan, ex coleganan di Lago, Coastal y Valero,

amigonan di Domino, Staff y personal di Imsan y Lite Life

Nos kier pidi nos disculpa si nos por a lubida un of otro famia den nos tristesa.

       Nos kier a invita tur amigo, bisiña y conocirnan pa asisti na e acto di entiero cual ta tuma lugar 

Diasabra 29 di oktober 2022 di 9:00 am pa 11:00 am na Pray Funeral Home

y despues pa Santana na Sabana Basora 

Nos ta lamenta cu despues di enteiro nos no por ricibi bishita di condolencia na cas.

 

NewsAmericasNow.com

Délire fanatique et réincarnation :  un père demande à son fils de l’abattre

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Mercredi 30 juin 1982. C’est pour faire la démonstration de la réincarnation qu’un Antillais vivant dans le Val-d’Oise (région Ile-de-France), adepte de la secte « La Conscience de Krishna », a demandé à son fils de l’abattre d’un coup de fusil de chasse.

Nous publions dans son intégralité l’article paru
dans l’édition de France-Antilles du mercredi 7 juillet
1982.

« La mort de Félicien B., 42 ans, est un fait
consternant à mesure que l’on en connaît les détails. Cette foi
naïve qu’un fonctionnaire d’origine guadeloupéenne et deux de ses
enfants avaient placée dans une philosophie hindouiste et
ses ” vérités ”, aura entrainé la mort d’un homme et fait le
malheur d’une famille.

Il s’agissait, pour un fervent adepte de “La
Conscience de Krishna”, d’expérimenter, sur sa personne, des
préceptes donnant pour certaine, la réincarnation.

Passion et endoctrinement

C’est avec préméditation et insistance que
Félicien B. a fait de son fils Clément, 18 ans, un parricide,

NewsAmericasNow.com

Nouvelles élections en Israël, Netanyahu vise un retour au pouvoir

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

L’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, inculpé pour corruption, vise un retour au pouvoir à l’issue des législatives du 1er novembre, les cinquièmes en moins de quatre ans en Israël, sur fond cette fois de poussée de l’extrême…

L’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, inculpé pour corruption, vise un retour au pouvoir à l’issue des législatives du 1er novembre, les cinquièmes en moins de quatre ans en Israël, sur fond cette fois de poussée de l’extrême droite et de division du vote arabe. 

Si M. Netanyahu a livré ses dernières batailles électorales avec la casquette de “Rosh HaMemshela”, de “Premier ministre” en français, il monte cette fois sur le ring en position de leader de l’opposition face au chef du gouvernement sortant, Yaïr Lapid.

Les derniers sondages placent encore et toujours le Likoud de M. Netanyahu en pole position avec un peu plus d’une trentaine de sièges sur les 120 de la Knesset, le Parlement, devant la formation Yesh Atid (“Il y a un futur”) de M. Lapid qui progresse au point d’être créditée de 24 à 27 sièges.

Suivent derrière une dizaine de partis dont les résultats seront cruciaux pour la formation possible d’un gouvernement, notamment pour M. Netanyahu qui dit chercher à réunir 61 sièges, seuil de la majorité, avec l’appui des formations ultra-orthodoxes et de l’extrême droite.

L’alliance d’extrême droite de Bezalel Smotrich et d’Itamar Ben Gvir avait récolté six sièges lors des élections de 2021, mais est créditée aujourd’hui d’environ 14 députés selon les sondages, qui place désormais “Sionisme religieux” en troisième place de l’échiquier politique.

La majorité

En réunissant ces voix, M. Netanyahu flirte avec le seuil de la majorité sans toutefois l’atteindre ou la dépasser, notent les baromètres commandés par les médias israéliens.

Ex-journaliste vedette, Yaïr Lapid avait rassemblé l’an dernier un ensemble hétéroclite de partis hostiles à Benjamin Netanyahu et chassé du pouvoir ce Premier ministre le plus pérenne de l’histoire d’Israël, qui a dirigé les gouvernements 1996 à 1999 et de 2009 à 2021.

Aujourd’hui, cette coalition bigarrée reste à cinq ou six sièges du seuil de la majorité et devra ratisser encore plus large si elle veut rester au pouvoir. 

“Lapid sait qu’il ne peut pas atteindre directement 61 députés, alors son but est que Netanyahu n’y arrive pas de son côté avec ses alliés”, confie à l’AFP un de ses proches. 

“Lapid dit être le seul à pouvoir réunir le vote anti-Netanyahu. Son but est de faire accroître le soutien à son parti, mais il doit s’assurer aussi que ses partenaires éventuels atteignent le seuil d’éligibilité”, note Gayil Talshir, professeur de sciences politiques à l’Université hébraïque de Jérusalem.

– Fatigue et division – 

Dans le système proportionnel en vigueur en Israël, les partis doivent obtenir un minimum de 3,25% des suffrages pour faire élire des députés (soit un minimum de quatre).  

Or plusieurs partis oscillent autour de ce seuil. Leur capacité à l’atteindre ou à le dépasser est intimement liée au taux de participation à ce nouveau cycle électoral.

En dépit d’une “fatigue absolue” des électeurs, l’analyste politique Dahlia Scheindlin s’attend à une participation encore élevée au scrutin qui pourrait sceller le sort politique de Benjamin Netanyahu et de son projet de gouvernement avec l’extrême droite.

Si les électeurs “n’ont pas changé de manière significative au cours des derniers cycles électoraux”, le jeu des alliances lui pourrait changer, selon le résultat de chacun, dit-elle à l’AFP.

Pour ces élections, les partis arabes, plus hostiles à l’égard de M. Netanyahu, se présentent en ordre dispersé, en trois blocs, d’où le risque que certains d’entre eux ne franchissent pas le seuil d’éligibilité.

“Il est clair que les partis arabes traversent une crise interne”, explique à l’AFP Mansour Abbas, chef de la formation Raam qui était devenue l’an dernier la première formation arabe de l’histoire d’Israël à soutenir la coalition sortante de M. Lapid.

S’il parvient à réunir une majorité de 61 sièges, Netanyahu, qui a publié ses mémoires deux semaines avant le scrutin, pourrait tenter de se faire voter une immunité par le Parlement. 

Mais sinon, il “pourrait négocier une peine avec la justice”, note Mme Talshir. “Et avec la publication de ses mémoires, c’est comme s’il préparait le terrain à son départ”.

gl/cgo/hj/mlb

Affiche électorale pour le chef du parti Yesh Atid, Yair Lapid, à Tel Aviv le 27 octobre 2022, avant les législatives de novembre
• AHMAD GHARABLI

Une banderole électorale d’Itamar Ben-Gvir, député d’extrême droite israélien à Tel Aviv le 27 octobre 2022 avant les législatives de novembre
• AHMAD GHARABLI

Combinaison de photos créée le 26 octobre 2022 montrant le Premier ministre israélien Yair Lapid (en haut à gauche) à Jérusalem, le 23 octobre 2022 ; l’ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (en haut à droite) aux États-Unis le 5 mars 2014
; le ministre israélien de la Défense Benny Gantz (en bas-G) le 11 octobre 2022 ; le député d’extrême droite Itamar Ben-Gvir (en bas-D), à Tel Aviv le 6 octobre 2022.
• ABIR SULTAN

NewsAmericasNow.com

Lula ou Bolsonaro: le Brésil à deux jours d’une présidentielle très serrée

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

Après une campagne à couteaux tirés et un premier tour plus serré que prévu, le Brésil élit dimanche son prochain président: l’ex-chef d’Etat de gauche Lula ou le…

Après une campagne à couteaux tirés et un premier tour plus serré que prévu, le Brésil élit dimanche son prochain président: l’ex-chef d’Etat de gauche Lula ou le président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro.

Le pays d’Amérique latine aux dimensions continentales se prépare à cette échéance depuis mars 2021, lorsque la Cour Suprême avait permis à Luiz Inacio Lula da Silva de faire un come-back politique en annulant les condamnations controversées qui l’avaient envoyé 18 mois en prison pour corruption.

Lula, qui a fêté ses 77 ans jeudi, a beau être le favori des sondages depuis des mois, l’écart s’est resserré avec Bolsonaro, 67 ans, qui a obtenu un meilleur score que prévu au premier tour (43% contre 48%). 

A deux jours du vote, les analystes n’excluent pas que la 6e campagne présidentielle de l’inoxydable fondateur du Parti des travailleurs (PT) échoue au poteau.

Selon le dernier sondage jeudi de l’institut de référence Datafolha, l’ancien syndicaliste est crédité de 53% des votes exprimés, contre 47% pour Bolsonaro.

Les deux candidats, qui se détestent, se retrouvent vendredi soir pour un dernier débat télévisé qui promet d’être très tendu.

“Cette course va se terminer sur le fil”, prédit pour l’AFP Brian Winter, rédacteur en chef de Americas Quarterly, “chaque vote va compter, je ne parierais pas sur le résultat”.

a bénéficié d’une dynamique après ce premier tour rassurant pour lui. Ses alliés ont par ailleurs fortement progressé aux élections des gouverneurs et aux législatives qui se déroulaient parallèlement au 1er tour de la présidentielle, le 2 octobre. 

Quel que soit le nom du nouveau président élu pour quatre ans, il devra gouverner avec une droite radicale plus puissante.

“Des cicatrices”

Mais Bolsonaro semble avoir douté de sa victoire ces derniers jours, relançant ses attaques contre le système électoral brésilien “frauduleux” qu’il avait mises en sourdine. 

Il n’acceptera le résultat des élections que s’”il ne se passe rien d’anormal”, a-t-il prévenu récemment.

Il vient de lancer une offensive sur des irrégularités présumées dans la diffusion de propagande électorale à la radio qui auraient desservi sa campagne, privée selon lui de la diffusion de quelque 150.000 spots. Mais le Tribunal supérieur électoral (TSE) a rejeté mercredi sa demande d’enquête.

Dans ce contexte, beaucoup redoutent un remake brésilien de l’assaut du Capitole en janvier 2021 par des sympathisants du président américain défait Donald Trump, modèle de Jair Bolsonaro.

Mais les analystes estiment qu’il manque à Bolsonaro le soutien de l’armée et des institutions pour faire un véritable coup de force s’il perd.

Il peut toutefois essayer, d’autant qu’il peut compter sur un socle de partisans prêts à tout. Et, “comme on l’a vu aux Etats-Unis, cela laisse des cicatrices pour le pays”, dit Brian Winter.

Débauche d’attaques

Ce dernier mois de campagne a donné lieu à une débauche d’attaques et d’insultes personnelles, surtout sur les réseaux sociaux, un champ de bataille plus important que jamais.

Le camp Bolsonaro a accusé Lula de vouloir fermer les églises, promouvoir l”‘idéologie de genre” dans les écoles et pactiser avec Satan. Le camp Lula a accusé Bolsonaro de pédophilie et de cannibalisme.

Ces joutes ont laissé peu de place aux vrais problèmes des 215 millions de Brésiliens, telles la relative faiblesse de l’économie, l’inflation et la faim dont souffrent 33 millions d’entre eux.

Lula a surtout fait campagne autour du succès de ses deux mandats (2003-2010) à une époque du boom économique permis par l’envolée des matières premières pour la plus grande économie d’Amérique latine.

Et même si les charges qui pesaient contre lui autour de l’enquête tentaculaire sur les pots de vin liés à Petrobras ont été annulées, Lula incarne toujours pour des millions de Brésiliens la corruption.

Mais il garde des soutiens irréductibles, telle Ana Gabriele dos Santos, employée d’un ranch dans la région semi-aride du Sertao, fief de Lula, dans le Nord-est.

“On était pour Lula à l’époque, on est pour Lula aujourd’hui”, dit à l’AFP la jeune femme dont la famille a toujours voté pour le chef du PT.

Bolsonaro peut de son côté capitaliser sur une légère reprise économique avec un reflux du chômage comme de l’inflation, ainsi que sur la défense des valeurs ultra-conservatrices: Dieu, famille, patrie.

“Il est l’un des nôtres”, lance Gilberto Klais, un entrepreneur qui exhibe un autocollant géant sur sa voiture, jaune et vert comme les couleurs du drapeau brésilien, dans l’Etat méridional du Parana, un bastion bolsonariste.

Mais en fait, une foule de Brésiliens voteront surtout dimanche pour le candidat qu’ils détestent le moins.

jhb-pt/lg/chv

Lula et Bolsonaro, arborant l’écharpe présidentielle
• ORLANDO KISSNER

Photomontage du président brésilien Jair Bolsonaro (G) et de l’ancien président brésilien (2003-2010) de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, à Sao Paulo le 28 août 2022
• Miguel SCHINCARIOL

Les silhouettes des visages du président brésilien Jair Bolsonaro (G)et de l’ex-président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva
• EVARISTO SA

Photomontage avec Luiz Inacio Lula da Silva (en haut) et Jair Bolsonaro (en bas), lors de rassemblements distincts à Sao Paulo le 1er octobre 2022
• Miguel SCHINCARIOL

Rassemblement dans l’État de Rio de Janeiro pour Bolsonaro avant le second tour
• Florian PLAUCHEUR

NewsAmericasNow.com

La Corée du Nord tire un missile balistique “non identifié”, selon l’armée sud-coréenne

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Guadeloupe FranceAntilles

La Corée du Nord a tiré un missile balistique “non identifié”, a annoncé vendredi l’armée sud-coréenne, sur fond de craintes d’un…

La Corée du Nord a tiré un missile balistique “non identifié”, a annoncé vendredi l’armée sud-coréenne, sur fond de craintes d’un nouvel essai nucléaire de Pyongyang.

“La Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié” vers la mer du Japon, a indiqué l’état-major interarmées sud-coréen sans donner plus de détails.   

Ce tir intervient tout juste après une rencontre entre les vice-ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis, du Japon et de la Corée du Sud qui se sont engagés à renforcer leur dissuasion dans la région.

“Nous sommes convenus de renforcer encore la coopération (…) afin que la Corée du Nord mette immédiatement fin à ses activités illégales et reprenne les pourparlers de dénucléarisation”, a déclaré lors de cette rencontre le Sud-Coréen Cho Hyun-dong. 

“Les trois pays se sont accordés sur la nécessité d’une réponse d’une force sans précédent si la Corée du Nord procède à son septième essai nucléaire”, a-t-il dit à la presse.

Séoul et Washington ont averti à plusieurs reprises que Pyongyang pourrait être sur le point de réaliser un nouvel essai nucléaire, pour la première fois depuis 2017, après une série de tirs de missiles balistiques ces dernières semaines.

Un missile a survolé le Japon le mois dernier et la Corée du Nord a affirmé séparément avoir effectué des exercices nucléaires tactiques. 

“Tous ces comportements sont dangereux et profondément déstabilisants”, avait averti la secrétaire d’Etat adjointe américaine Wendy Sherman, exhortant la Corée du Nord à “s’abstenir de nouvelles provocations”.

Mardi, le Nord a procédé à environ 250 tirs, selon l’état-major interarmées sud-coréen (JCS), qui a qualifié ce geste de “violation manifeste” de l’accord de 2018, selon Yonhap.

Cet accord a établi cette année-là une “zone tampon” maritime destiné à prevenir les tensions. 

kjk/ceb/cwl/nzg/chv

NewsAmericasNow.com

‘Met sociale media kunnen omgaan betekent niet automatisch marketing bewust zijn’

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: De Ware Tijd Online

door Valerie Fris PARAMARIBO — ‘Hoe zet je een online community op?’, ‘hoe ga je om met data?’, ‘hoe doe

NewsAmericasNow.com

Nouvelles élections en Israël, Netanyahu vise un retour au pouvoir

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

L’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, inculpé pour corruption, vise un retour au pouvoir à l’issue des législatives du 1er novembre, les cinquièmes en moins de quatre ans en Israël, sur fond cette fois de poussée de l’extrême…

L’ex-Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, inculpé pour corruption, vise un retour au pouvoir à l’issue des législatives du 1er novembre, les cinquièmes en moins de quatre ans en Israël, sur fond cette fois de poussée de l’extrême droite et de division du vote arabe. 

Si M. Netanyahu a livré ses dernières batailles électorales avec la casquette de “Rosh HaMemshela”, de “Premier ministre” en français, il monte cette fois sur le ring en position de leader de l’opposition face au chef du gouvernement sortant, Yaïr Lapid.

Les derniers sondages placent encore et toujours le Likoud de M. Netanyahu en pole position avec un peu plus d’une trentaine de sièges sur les 120 de la Knesset, le Parlement, devant la formation Yesh Atid (“Il y a un futur”) de M. Lapid qui progresse au point d’être créditée de 24 à 27 sièges.

Suivent derrière une dizaine de partis dont les résultats seront cruciaux pour la formation possible d’un gouvernement, notamment pour M. Netanyahu qui dit chercher à réunir 61 sièges, seuil de la majorité, avec l’appui des formations ultra-orthodoxes et de l’extrême droite.

L’alliance d’extrême droite de Bezalel Smotrich et d’Itamar Ben Gvir avait récolté six sièges lors des élections de 2021, mais est créditée aujourd’hui d’environ 14 députés selon les sondages, qui place désormais “Sionisme religieux” en troisième place de l’échiquier politique.

La majorité

En réunissant ces voix, M. Netanyahu flirte avec le seuil de la majorité sans toutefois l’atteindre ou la dépasser, notent les baromètres commandés par les médias israéliens.

Ex-journaliste vedette, Yaïr Lapid avait rassemblé l’an dernier un ensemble hétéroclite de partis hostiles à Benjamin Netanyahu et chassé du pouvoir ce Premier ministre le plus pérenne de l’histoire d’Israël, qui a dirigé les gouvernements 1996 à 1999 et de 2009 à 2021.

Aujourd’hui, cette coalition bigarrée reste à cinq ou six sièges du seuil de la majorité et devra ratisser encore plus large si elle veut rester au pouvoir. 

“Lapid sait qu’il ne peut pas atteindre directement 61 députés, alors son but est que Netanyahu n’y arrive pas de son côté avec ses alliés”, confie à l’AFP un de ses proches. 

“Lapid dit être le seul à pouvoir réunir le vote anti-Netanyahu. Son but est de faire accroître le soutien à son parti, mais il doit s’assurer aussi que ses partenaires éventuels atteignent le seuil d’éligibilité”, note Gayil Talshir, professeur de sciences politiques à l’Université hébraïque de Jérusalem.

– Fatigue et division – 

Dans le système proportionnel en vigueur en Israël, les partis doivent obtenir un minimum de 3,25% des suffrages pour faire élire des députés (soit un minimum de quatre).  

Or plusieurs partis oscillent autour de ce seuil. Leur capacité à l’atteindre ou à le dépasser est intimement liée au taux de participation à ce nouveau cycle électoral.

En dépit d’une “fatigue absolue” des électeurs, l’analyste politique Dahlia Scheindlin s’attend à une participation encore élevée au scrutin qui pourrait sceller le sort politique de Benjamin Netanyahu et de son projet de gouvernement avec l’extrême droite.

Si les électeurs “n’ont pas changé de manière significative au cours des derniers cycles électoraux”, le jeu des alliances lui pourrait changer, selon le résultat de chacun, dit-elle à l’AFP.

Pour ces élections, les partis arabes, plus hostiles à l’égard de M. Netanyahu, se présentent en ordre dispersé, en trois blocs, d’où le risque que certains d’entre eux ne franchissent pas le seuil d’éligibilité.

“Il est clair que les partis arabes traversent une crise interne”, explique à l’AFP Mansour Abbas, chef de la formation Raam qui était devenue l’an dernier la première formation arabe de l’histoire d’Israël à soutenir la coalition sortante de M. Lapid.

S’il parvient à réunir une majorité de 61 sièges, Netanyahu, qui a publié ses mémoires deux semaines avant le scrutin, pourrait tenter de se faire voter une immunité par le Parlement. 

Mais sinon, il “pourrait négocier une peine avec la justice”, note Mme Talshir. “Et avec la publication de ses mémoires, c’est comme s’il préparait le terrain à son départ”.

gl/cgo/hj/mlb

Affiche électorale pour le chef du parti Yesh Atid, Yair Lapid, à Tel Aviv le 27 octobre 2022, avant les législatives de novembre
• AHMAD GHARABLI

Une banderole électorale d’Itamar Ben-Gvir, député d’extrême droite israélien à Tel Aviv le 27 octobre 2022 avant les législatives de novembre
• AHMAD GHARABLI

Combinaison de photos créée le 26 octobre 2022 montrant le Premier ministre israélien Yair Lapid (en haut à gauche) à Jérusalem, le 23 octobre 2022 ; l’ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (en haut à droite) aux États-Unis le 5 mars 2014
; le ministre israélien de la Défense Benny Gantz (en bas-G) le 11 octobre 2022 ; le député d’extrême droite Itamar Ben-Gvir (en bas-D), à Tel Aviv le 6 octobre 2022.
• ABIR SULTAN

NewsAmericasNow.com

Lula ou Bolsonaro: le Brésil à deux jours d’une présidentielle très serrée

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Après une campagne à couteaux tirés et un premier tour plus serré que prévu, le Brésil élit dimanche son prochain président: l’ex-chef d’Etat de gauche Lula ou le…

Après une campagne à couteaux tirés et un premier tour plus serré que prévu, le Brésil élit dimanche son prochain président: l’ex-chef d’Etat de gauche Lula ou le président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro.

Le pays d’Amérique latine aux dimensions continentales se prépare à cette échéance depuis mars 2021, lorsque la Cour Suprême avait permis à Luiz Inacio Lula da Silva de faire un come-back politique en annulant les condamnations controversées qui l’avaient envoyé 18 mois en prison pour corruption.

Lula, qui a fêté ses 77 ans jeudi, a beau être le favori des sondages depuis des mois, l’écart s’est resserré avec Bolsonaro, 67 ans, qui a obtenu un meilleur score que prévu au premier tour (43% contre 48%). 

A deux jours du vote, les analystes n’excluent pas que la 6e campagne présidentielle de l’inoxydable fondateur du Parti des travailleurs (PT) échoue au poteau.

Selon le dernier sondage jeudi de l’institut de référence Datafolha, l’ancien syndicaliste est crédité de 53% des votes exprimés, contre 47% pour Bolsonaro.

Les deux candidats, qui se détestent, se retrouvent vendredi soir pour un dernier débat télévisé qui promet d’être très tendu.

“Cette course va se terminer sur le fil”, prédit pour l’AFP Brian Winter, rédacteur en chef de Americas Quarterly, “chaque vote va compter, je ne parierais pas sur le résultat”.

Bolsonaro a bénéficié d’une dynamique après ce premier tour rassurant pour lui. Ses alliés ont par ailleurs fortement progressé aux élections des gouverneurs et aux législatives qui se déroulaient parallèlement au 1er tour de la présidentielle, le 2 octobre. 

Quel que soit le nom du nouveau président élu pour quatre ans, il devra gouverner avec une droite radicale plus puissante.

“Des cicatrices”

Mais Bolsonaro semble avoir douté de sa victoire ces derniers jours, relançant ses attaques contre le système électoral brésilien “frauduleux” qu’il avait mises en sourdine. 

Il n’acceptera le résultat des élections que s’”il ne se passe rien d’anormal”, a-t-il prévenu récemment.

Il vient de lancer une offensive sur des irrégularités présumées dans la diffusion de propagande électorale à la radio qui auraient desservi sa campagne, privée selon lui de la diffusion de quelque 150.000 spots. Mais le Tribunal supérieur électoral (TSE) a rejeté mercredi sa demande d’enquête.

Dans ce contexte, beaucoup redoutent un remake brésilien de l’assaut du Capitole en janvier 2021 par des sympathisants du président américain défait Donald Trump, modèle de Jair Bolsonaro.

Mais les analystes estiment qu’il manque à Bolsonaro le soutien de l’armée et des institutions pour faire un véritable coup de force s’il perd.

Il peut toutefois essayer, d’autant qu’il peut compter sur un socle de partisans prêts à tout. Et, “comme on l’a vu aux Etats-Unis, cela laisse des cicatrices pour le pays”, dit Brian Winter.

Débauche d’attaques

Ce dernier mois de campagne a donné lieu à une débauche d’attaques et d’insultes personnelles, surtout sur les réseaux sociaux, un champ de bataille plus important que jamais.

Le camp Bolsonaro a accusé Lula de vouloir fermer les églises, promouvoir l”‘idéologie de genre” dans les écoles et pactiser avec Satan. Le camp Lula a accusé Bolsonaro de pédophilie et de cannibalisme.

Ces joutes ont laissé peu de place aux vrais problèmes des 215 millions de Brésiliens, telles la relative faiblesse de l’économie, l’inflation et la faim dont souffrent 33 millions d’entre eux.

Lula a surtout fait campagne autour du succès de ses deux mandats (2003-2010) à une époque du boom économique permis par l’envolée des matières premières pour la plus grande économie d’Amérique latine.

Et même si les charges qui pesaient contre lui autour de l’enquête tentaculaire sur les pots de vin liés à Petrobras ont été annulées, Lula incarne toujours pour des millions de Brésiliens la corruption.

Mais il garde des soutiens irréductibles, telle Ana Gabriele dos Santos, employée d’un ranch dans la région semi-aride du Sertao, fief de Lula, dans le Nord-est.

“On était pour Lula à l’époque, on est pour Lula aujourd’hui”, dit à l’AFP la jeune femme dont la famille a toujours voté pour le chef du PT.

Bolsonaro peut de son côté capitaliser sur une légère reprise économique avec un reflux du chômage comme de l’inflation, ainsi que sur la défense des valeurs ultra-conservatrices: Dieu, famille, patrie.

“Il est l’un des nôtres”, lance Gilberto Klais, un entrepreneur qui exhibe un autocollant géant sur sa voiture, jaune et vert comme les couleurs du drapeau brésilien, dans l’Etat méridional du Parana, un bastion bolsonariste.

Mais en fait, une foule de Brésiliens voteront surtout dimanche pour le candidat qu’ils détestent le moins.

jhb-pt/lg/chv

Lula et Bolsonaro, arborant l’écharpe présidentielle
• ORLANDO KISSNER

Photomontage du président brésilien Jair Bolsonaro (G) et de l’ancien président brésilien (2003-2010) de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, à Sao Paulo le 28 août 2022
• Miguel SCHINCARIOL

Les silhouettes des visages du président brésilien Jair Bolsonaro (G)et de l’ex-président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva
• EVARISTO SA

Photomontage avec Luiz Inacio Lula da Silva (en haut) et Jair Bolsonaro (en bas), lors de rassemblements distincts à Sao Paulo le 1er octobre 2022
• Miguel SCHINCARIOL

NewsAmericasNow.com

La Corée du Nord tire un missile balistique “non identifié”, selon l’armée sud-coréenne

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

La Corée du Nord a tiré un missile balistique “non identifié”, a annoncé vendredi l’armée sud-coréenne, sur fond de craintes d’un…

La Corée du Nord a tiré un missile balistique “non identifié”, a annoncé vendredi l’armée sud-coréenne, sur fond de craintes d’un nouvel essai nucléaire de Pyongyang.

“La Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié” vers la mer du Japon, a indiqué l’état-major interarmées sud-coréen sans donner plus de détails.   

Ce tir intervient tout juste après une rencontre entre les vice-ministres des Affaires étrangères des Etats-Unis, du Japon et de la Corée du Sud qui se sont engagés à renforcer leur dissuasion dans la région.

“Nous sommes convenus de renforcer encore la coopération (…) afin que la Corée du Nord mette immédiatement fin à ses activités illégales et reprenne les pourparlers de dénucléarisation”, a déclaré lors de cette rencontre le Sud-Coréen Cho Hyun-dong. 

“Les trois pays se sont accordés sur la nécessité d’une réponse d’une force sans précédent si la Corée du Nord procède à son septième essai nucléaire”, a-t-il dit à la presse.

Séoul et Washington ont averti à plusieurs reprises que Pyongyang pourrait être sur le point de réaliser un nouvel essai nucléaire, pour la première fois depuis 2017, après une série de tirs de missiles balistiques ces dernières semaines.

Un missile a survolé le Japon le mois dernier et la Corée du Nord a affirmé séparément avoir effectué des exercices nucléaires tactiques. 

“Tous ces comportements sont dangereux et profondément déstabilisants”, avait averti la secrétaire d’Etat adjointe américaine Wendy Sherman, exhortant la Corée du Nord à “s’abstenir de nouvelles provocations”.

Mardi, le Nord a procédé à environ 250 tirs, selon l’état-major interarmées sud-coréen (JCS), qui a qualifié ce geste de “violation manifeste” de l’accord de 2018, selon Yonhap.

Cet accord a établi cette année-là une “zone tampon” maritime destiné à prevenir les tensions. 

kjk/ceb/cwl/nzg/chv

NewsAmericasNow.com

F1: Pérez vise la gagne à Mexico dimanche et… la course au titre en 2023

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Martinique FranceAntilles

Pas le moindre doute pour le pilote mexicain Sergio Pérez (Red Bull): entre gagner le Grand Prix de Mexico ou finir deuxième du championnat de Formule 1 à la fin de la saison 2022…

Pas le moindre doute pour le pilote mexicain Sergio Pérez (Red Bull): entre gagner le Grand Prix de Mexico ou finir deuxième du championnat de Formule 1 à la fin de la saison 2022, il choisit la victoire devant son public.

A l’approche du Grand Prix de Mexico dimanche (21h00), l’antépénultième de la saison, deux petits points séparent le Monégasque Charles Leclerc (267) de Pérez (265), le co-équipier de Max Verstappen déjà sacré champion du monde pour la deuxième année consécutive. 

“Sans aucun doute, je préfère gagner à Mexico parce que c’est un rêve depuis que je suis enfant tandis que finir vice-champion de monde n’a jamais été mon rêve”, a expliqué sans ambages “Checo”, diminutif de Sergio au Mexique, lors d’une conférence de presse à Mexico mercredi. 

“J’espère l’emporter. Je viens pour ça et j’ai l’opportunité de le faire. Nous espérons que tout va bien se passer”, a ajouté le natif de Guadalajara (ouest).

Le pilote s’attend néanmoins à une course compliquée en raison de l’altitude, la capitale mexicaine culminant à 2.240 mètres.

“Le facteur de l’altitude va jouer un rôle très important: les freins, les moteurs, tout va être poussé à la limite et c’est un tracé très compliqué”, a-t-il souligné à propos du circuit de l’Autodrome Hermanos Rodríguez (4,3 km). 

Se battre pour le titre en 2023

Son écurie Red Bull a fait coup double cette saison en remportant également le championnat du monde des constructeurs (le 5e de son histoire), mettant fin à une razzia de huit titres consécutifs pour le rival Mercedes.

Pérez voit là le début d’une lutte acharnée entre les mastodontes du paddock, Red Bull, Mercedes et Ferrari.

“Ce serait incroyable de pouvoir entamer une ère de domination de Red Bull. L’équipe est très solide, mais la compétition est toujours plus forte avec Mercedes et Ferrari qui sont également des équipes très costaudes et compétitives et ça ne va pas être facile, loin s’en faut”, a-t-il relevé.

A titre personnel, il reste à “Checo” Pérez encore deux années de contrat avec Red Bull, qu’il a bien l’intention de mettre à profit pour aller chercher un titre de champion du monde des pilotes.

“Pour moi, c’est très important de finir (cette saison) très fort pour m’attaquer à la prochaine avec tous les atouts, et ce dès le début, et me battre pour le titre toute l’année”, a prévenu le Mexicain, qui considère que les ajustements sur sa voiture en première partie de saison l’ont empêché de se mêler à la course au titre.

“Ministre de l’attaque”

Âgé de 32 ans, Pérez réalise la meilleure de ses douze saisons en Formule 1, et se dit très reconnaissant du soutien inconditionnel de ses fans dans son pays, soutien qui, nuance-t-il, lui fait défaut sur la scène internationale.

“Quand je fais une bonne course, on n’en parle pas autant que si j’étais un pilote européen, et quand je fais une mauvaise course, on en parle plus”, a estimé le pilote, qui apparaît souvent mal classé dans les enquêtes d’opinion sur la discipline reine du sport automobile.

“Sincèrement, 99% de ces sondages me passent par-dessus la tête. Je suis en Formule 1 pour mes propres raisons et ce qu’en pensent les différentes écuries, les médias, ou n’importe qui, ça m’indiffère, je suis concentré pour donner 100% à mon équipe.”

Quitte à tenter de bousculer dès 2023 la hiérarchie en place au sein de Red Bull. 

Surnommé “le ministre de la défense”, en référence à son rôle de protection de son leader Max Verstappen lors de la conquête du premier titre du Néerlandais en 2021, face au Britannique Lewis Hamilton (Mercedes), Pérez a rappelé à qui voulait bien l’entendre qu’il aimait “mieux attaquer que défendre”.

“Je préfèrerais être le ministre de l’attaque”, a-t-il martelé. Voilà Verstappen prévenu.

str/gfe/fal/hdy/hpa

Le pilote mexicain de Red Bull Sergio Pérez lors d’une conférence de presse à Mexico le 26 octobre 2022, en amont du Grand Prix de Mexico dimanche.
• ALFREDO ESTRELLA

NewsAmericasNow.com