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La justice belge refuse la remise à la France de l’imam marocain Iquioussen

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Un tribunal belge a refusé vendredi d’exécuter le mandat d’arrêt européen ciblant l’imam marocain Hassan Iquioussen, réclamé par la justice française pour s’être soustrait à une mesure d’éloignement cet été, a annoncé…

Un tribunal belge a refusé vendredi d’exécuter le mandat d’arrêt européen ciblant l’imam marocain Hassan Iquioussen, réclamé par la justice française pour s’être soustrait à une mesure d’éloignement cet été, a annoncé à l’AFP son avocat belge Nicolas Cohen.

L’imam, arrêté en Belgique le 30 septembre, conteste son extradition.

Son avocat a notamment plaidé qu’il risquait “un procès inéquitable” en France, “à cause de l’ampleur de la polémique”, a-t-il expliqué.

Hassan Iquioussen, actuellement incarcéré dans une prison belge, a comparu vendredi lors d’une audience à huis clos devant la chambre du conseil du tribunal de Tournai (ouest), chargée de statuer sur le mandat d’arrêt (MAE).

Selon Me Cohen, le parquet s’est prononcé en faveur de l’exécution du MAE, ce qui laisse envisager un recours de sa part devant la cour d’appel.

Le tribunal de Tournai n’était pas joignable vendredi en fin de journée. L’ordonnance de la chambre du conseil devrait être communiquée lundi aux défenseurs de l’imam.

Fin juillet, le ministre français de l’Intérieur Gérald Darmanin avait annoncé l’expulsion de ce prédicateur du Nord, fiché S (pour sûreté de l’Etat) par les services de renseignement “depuis dix-huit mois”, selon lui.

L’arrêté d’expulsion lui reprochait “un discours prosélyte émaillé de propos incitant à la haine et à la discrimination et porteur d’une vision de l’islam contraires aux valeurs de la République”. 

M. Iquioussen était introuvable au moment où cet arrêté, qu’il avait contesté devant la justice, avait été définitivement validé par le Conseil d’Etat le 31 août.

Son avocate française, Me Lucie Simon, a jugé qu’il avait “respecté purement et simplement la loi française en quittant l’Hexagone pour la Wallonie”.

Conséquence logique, Me Simon a fustigé l’émission d’un MAE et contesté sa validité, estimant qu’il se fonde “sur une infraction” qui n’est, selon elle, “pas constituée”. “Pourquoi le rechercher ? Pourquoi vouloir le faire revenir ?”, s’était-elle interrogée début septembre.

L’argument a de nouveau été brandi vendredi par Me Simon et Me Cohen.

La “soustraction à l’exécution d’une mesure d’éloignement” reprochée à l’imam par un juge de Valenciennes (nord de la France) “n’est pas une infraction en droit belge”, a soutenu Me Cohen.

Or une des conditions de l’extradition est que “les deux pays incriminent le même comportement”, a-t-il ajouté.

Trois jours après l’arrestation de l’imam dans la région de Mons (sud de la Belgique), Lucie Simon avait dénoncé les “pressions” de l’exécutif français soulignant que son client faisait “confiance en la justice belge pour ne pas (y) céder”.

mad/am 

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Steve Bannon, ex-conseiller de Trump, condamné à quatre mois de prison

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Steve Bannon, qui fut un influent conseiller de Donald Trump à la Maison Blanche, a été condamné vendredi à quatre mois de prison pour avoir refusé de coopérer avec…

Steve Bannon, qui fut un influent conseiller de Donald Trump à la Maison Blanche, a été condamné vendredi à quatre mois de prison pour avoir refusé de coopérer avec l’enquête parlementaire sur l’assaut du Capitole.

Cet homme de 68 ans, figure du populisme de droite aux Etats-Unis, a immédiatement fait part de son intention de faire appel, ce qui suspend l’application de la sentence.

Il a donc pu ressortir libre du tribunal. Devant les caméras, il a assuré “respecter la décision du juge” mais a tout de suite glissé sur le terrain politique. 

“Le 8 novembre sera le jour du jugement du régime illégitime de (Joe) Biden (…) et l’on sait comment cela va finir”, a-t-il lancé en référence aux élections de mi-mandat, dans lesquelles les démocrates pourraient perdre leur contrôle du Congrès.

Citant plusieurs membres de la commission d’enquête sur le 6 janvier, chargée de faire la lumière sur le rôle de Donald Trump dans le coup de force de ses partisans, Steve Bannon a prédit qu’ils “seraient battus”. 

Refusant de répondre aux assignations de cette commission, il avait été reconnu coupable, en juillet, d’entrave aux prérogatives d’enquête du Congrès.

Les procureurs avaient ensuite requis six mois de détention, épinglant son “mépris” et sa “mauvaise foi” tout au long de la procédure. Ses avocats avaient demandé une peine de liberté conditionnelle ou d’assignation à résidence. 

Le juge Carl Nichols a finalement opté pour quatre mois de prison, assortis d’une amende de 6.500 dollars.

“Respecter le Congrès est une composante importante de notre système constitutionnel”, a-t-il justifié, en soulignant que Steve Bannon n’avait, à ce jour, toujours produit “aucun document, ni livré aucun témoignage” à la commission.

“L’enfer”

Féroce contempteur de l’establishment, Steve Bannon, qui a été banquier d’affaires ou encore directeur du site d’information de droite radicale Breitbart, est considéré comme l’un des artisans de la victoire de Donald Trump de 2016. 

Devenu l’un des puissants conseillers du président, il avait été écarté de la Maison Blanche en août 2017 après des violences d’extrême droite à Charlottesville, en Virginie.

Mais il était resté proche du milliardaire républicain et avait encore échangé avec lui le 5 janvier 2021, à la veille de l’attaque contre le siège du Congrès. Après leur conversation, il avait prédit un déferlement de “tout l’enfer” le lendemain à Washington. 

Pour connaître la teneur de leurs discussions, la commission d’enquête parlementaire avait assigné Steve Bannon à témoigner et à produire des documents.

Il avait refusé, invoquant le droit des présidents et des membres de l’exécutif à garder certaines conversations secrètes. 

Mais Donald Trump n’a pas invoqué ce droit et Steve Bannon, qui “était un citoyen privé le 6 janvier”, ne peut pas s’en prévaloir, a souligné le juge Nichols.

Lors de son procès en juillet, Steve Bannon n’a produit aucun témoin et n’a pas pris la parole. Les jurés l’ont déclaré coupable après moins de trois heures de délibérations.

Steve Bannon est par ailleurs poursuivi pour fraude par la justice new-yorkaise dans le cadre d’une enquête sur une levée de fonds pour construire un mur entre les Etats-Unis et le Mexique, l’une des principales promesses de campagne de Donald Trump.

Il avait déjà été mis en cause dans ce dossier par la justice fédérale, avant d’être gracié par Donald Trump dans les derniers jours de sa présidence.

L’ancien président fait lui-même l’objet de plusieurs enquêtes et la commission du 6 janvier a annoncé qu’elle allait l’assigner à comparaître. 

Ses membres, sept démocrates et deux républicains, doivent publier un rapport sur leurs travaux d’ici la fin de l’année, dans lequel ils pourraient préconiser d’inculper l’ancien président. La décision reviendra in fine au ministre de la Justice Merrick Garland, un homme prudent qui n’exclut rien.

chp/led

L’ancien conseiller de Donald Trump, Steve Bannon, à la sortie du tribunal fédéral de Washington, le 21 octobre 2022
• CHIP SOMODEVILLA

L’ancien conseiller de Donald Trump, Steve Bannon, fait une déclaration à la presse à la sortie du tribunal fédéral de Washington, le 21 octobre 2022
• CHIP SOMODEVILLA

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Linivèsité Oliwon Lakarayib ouverte au public pour la deuxième fois ce samedi 22 octobre 2022

Black Immigrant Daily News

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Linivèsite Oliwon Lakarayib, université ouverte à toutes et tous en hybride visant à une meilleure connaissance de l’histoire et de la géographie de la Caraïbe, ouvre ses portes sur YouTube ce samedi 22 octobre.

Projet pensé pour contribuer à une meilleure connaissance de l’histoire et de la géographie de la Martinique et des îles voisines, la deuxième édition de ” Linivèsite Oliwon Lakarayib ” se déroulera ce samedi 22 octobre 2022 de 9 heures à 17 heures au Cosy, espace de co-working, au 31 Rue Professeur Raymond Garcin à Fort-de- France pour les membres et invités de l’association Oliwon Lakarayib. Pour le public, les cours se dérouleront en ligne via la plateforme de streaming YouTube.

 

Des formats ludiques adaptés aux réseaux sociaux

Habituée des formats audio, audiovisuels ou même écrits via des podcasts, des videos, des articles, citations ou des focus, l’association aborde à chaque fois des thèmes précis et d’actualité ou raconte des événements peu ou mal connus, réalise des biographies et aborde des thématiques, au regard de la recherche scientifique. Le projet initial est né d’une forte demande sociale de mieux connaître son histoire et son territoire. L’équipe éditoriale d’Oliwon Lakarayib a débuté le projet en septembre 2019 et se compose de professeur.es d’Histoire et/ou géographie de Martinique et de Guadeloupe, à savoir : Ghislaine Artigot, Laury Belrose, Stephanie Belrose, Florence Beuze, Muriel Descas Ravoteur, Jean-Luc Farant, Nadine Guiose-Luilet, Fabienne Jannas, Elsa Juston, Elisabeth Landi, Bruno Magallon-Graineau, Jean-Michel Pozzo et Daniel Sigiscard.

 

Programme

Le programme de ce samedi est le suivant :

9h : Ouverture ; 9h15: ” Les villes, à l’heure de l’entre soi : de la mixite à la fragmentation ” par Bruno Magallon-Graineau ; 10h15 : ” 1492, et après dans les Caraïbes ? ” par Ghislaine Artigot ; 11h15 : ” Colomb, entre mémoires et histoire. ” par Fabienne Jannas ; 12h15 – 14h : pause ; 14h : ” La présence noire en France : être esclave, affranchi ou libre sur le territoire métropolitain au XVIIIème siècle. ” par Muriel Descas Ravoteur ; 15h : ” Penser le monde en terme de races au XIXème siècle ” par Elisabeth Landi ; 16h : ” Octobre 1962 ou quand la Caraïbe était devenue le centre du monde ” par Nadine Guiose-Luilet. L’évènement sera clôturé à 17 heures.

L’évenement sera à retrouver sur leur chaîne YouTube, accessible en cliquant ici.

 

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La famille de Lola demande d’arrêter d’utiliser “le nom et l’image de leur enfant à des fins politiques”

Black Immigrant Daily News

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La famille de Lola, tuée à Paris le 14 octobre, a demandé vendredi que “cesse instamment, et soit retirée, toute utilisation du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques”, lors des manifestations et sur…

La famille de Lola, tuée à Paris le 14 octobre, a demandé vendredi que “cesse instamment, et soit retirée, toute utilisation du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques”, lors des manifestations et sur Internet, a indiqué leur avocate dans un communiqué.

Ses parents souhaitent “pouvoir honorer la mémoire de leur fille dans la sérénité, le respect et la dignité qui lui est due”, a rappelé l’avocate Me Clotilde Lepetit, au lendemain d’une manifestation à Paris en présence notamment d’Eric Zemmour lors de laquelle certains manifestants portaient des pancartes sur lesquelles figurait le visage de la collégienne.

Le RN, qui devait dans un premier temps participer au rassemblement, a finalement organisé une minute de silence au même moment devant l’Assemblée nationale “en hommage à Lola et en soutien à sa famille et ses proches”.

Les circonstances de la mort de Lola et le profil de la suspecte, de nationalité algérienne et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), ont suscité de vives critiques à droite et à l’extrême droite. 

Les élus LR n’ont pas participé aux rassemblements de jeudi mais le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau a annoncé le dépôt prochain d’une proposition de loi pour engager “la responsabilité de l’Etat” lorsqu’il “manque à ses obligations”, avec de possibles “dommages et intérêts aux victimes”.

Un rassemblement pour “soutenir famille et proches” de la victime est prévu est prévu vendredi à Fouquereuil (Pas-de-Calais), commune d’où est originaire le père de la jeune adolescente, avant des obsèques prévues lundi à 14H30 à Lillers, ville d’origine de sa mère, dans la même département.

Vendredi, en marge d’un Conseil européen à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a estimé que la famille avait “besoin du respect et de l’affection de la nation”.

jpa/edy/pga/vk

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Police Seek Public’s Help In Solving Pillar Rock Double Murder

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The murder of two Royalton Resort employees earlier this year remains an active investigation, even though police are working on very little information, Commissioner of Police, Atlee Rodney, has revealed.

The Royalton Resort’s Accounting Manager, Ronaldo Emmanuel Sandoval Stone, and Human Resource Manager, Cesar Santos Ramirez discovered murdered at their Pillar Rock residence early last month.

While praising investigators for the work done so far, Commissioner Rodney said they are seeking more information that will help to crack the case.

“I am looking at what the investigators are doing and we have been doing a tremendous job. We are just hoping that we will put our hands on some credible information and evidence that can lead us to an arrest,” the top cop said.

He said in these instances, information shared by the public with the police is important in solving such gruesome crimes.

“We will continue to appeal to the public, anybody who saw anything in that area, you can talk to the police, or if you just want to talk to the TIP (8477) number, that would assist us because we need some additional information.

“Yes, we have some information we’re working with, we have some theory we are following, but we are still hoping that we can get some more credible information that can assist us in the investigation.”

Police responded to a report of gunshots at one of the villas at Pillar Rock on the evening of 7th September, where they discovered a body floating in the swimming pool.

The second man was discovered at the bottom of the same pool the next day.

Both men were nationals of Mexico. (POINTE XPRESS)

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Antigua and Barbuda says it has not agreed to lift whaling ban

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SOURCE LOOP NEWS: The Government of Antigua and Barbuda has denied that it gave approval for any of its representatives at the International Whaling Commission (IWC) to support moves to lift a ban on whaling.

A statement from the government today said: “Cabinet has NOT agreed to lift the ban on hunting of whales and is not aware of any statement which suggests otherwise.”

The comment from the Antigua and Barbuda government came after international media and marine charities reported that Antigua and Barbuda joined Japan and several other countries to propose that the whaling ban be overturned.

Marine wildlife protection charity, OceanCare, claimed that Antigua and Barbuda and countries that support the lifting of the ban proposed that whales be seen as a food source to secure food and nutritional security.

Nicolas Entrup, OceanCare´s Director for International Relations, commented: “Instead of losing precious time with decade-old debates about fabricated scenarios like ´sustainable whaling´ and false solutions to ´food security’ the IWC should urgently take up the real pressing issues: climate change and plastic pollution.”

”The IWC´s own Scientific Committee and Conservation Committee have done great work to highlight these problems and point the way how to tackle them. It is this spirit of the Florianópolis Declaration which is the way forward for a modern, conservation oriented IWC.”

At today’s post-cabinet media briefing Ambassador Lionel Hurst, chief of staff at the Prime Minister’s Office, stated that 48 countries had proposed the resolution, which he noted is always on the IWC’s agenda at their annual convention.

“It is a permanent feature of the international whaling commission…The majority will always voted down and it is expected that this resolution will be voted down. Antigua and Barbuda has always taken a very keen interest in this subject matter,” he stated. “Our friends in Japan have taken a keen interest in this matter. But it is the way it has worked out in times past and even in this present moment that the resolution will be voted down and therefore no harm comes to the whales.”

He noted that people in Caribbean countries and territories do not eat whale meat but they have an interest in making sure there is food security.

Hurst said Antigua and Barbuda usually stands “on the right side of history” when it comes to environmental matters as he highlighted the country’s stance on wealthy nations claiming territory in Antarctica.

He described the comments and protests by international environmental bodies on the matter as “noise”.

“If you are going to judge us merely on the issue of whales, I dare say that you’d get a very skewed view on the manner in which Antigua and Barbuda approaches the subject matter,” he said.

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Saint Lucia Developing Sustainable Road Transport Plan – St. Lucia Times News

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The Ministry of Infrastructure, Ports, Transport, Physical Development and Urban Renewal, in collaboration with the Caribbean Development Bank has embarked on the development of a Sustainable Road Transport Plan for St. Lucia.

This plan includes field studies within the country aimed at taking a closer look at the main challenges to the delivery of quality and efficient public transport services within the sector.

The studies will examine options for achieving sustainable public transport system with a view of reducing environmental, social and economic impacts, including greenhouse gas mitigation, improving resilience to natural disasters and mitigating health and safety risks in order to build a safer, healthier, more reliable, affordable and responsive society.

Coming out of the public consultation, recommendations will be made for an action plan for improvement of Saint Lucia’s public transportation sector.

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The public is encouraged to be part of this Sustainable Road Transport Plan by participating in this online Survey.

Access the survey via this link: https://www.saintluciapublictransportplan.com

SOURCE: Department of Infrastructure. Headline photo: Stock image.

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Sales jobs available in Trinidad, Guyana, Barbados & St Lucia Loop Barbados

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A wide range of Sales positions are available in Trinidad, Guyana, St. Lucia and Barbados on www.caribbeanjobs.com.

Recruiters have used detailed job descriptions to convey the necessary skills, experience and qualifications.

Applicants should be sure to examine the roles, get information about the countries and research the companies if possible.

The competition for great sales professionals remains intense as organizations seek talent throughout the region.

Here are 10 great sales jobs in Trinidad, Guyana, St. Lucia and Barbados:

TRINIDAD

General Sales Manager

Western Scientific Company Ltd

https://www.caribbeanjobs.com/General-Sales-Manager-Job-148815.aspx

Sales Representative, ANSA Motors

ANSA McAL Group of Companies

https://www.caribbeanjobs.com/Sales-Representative-ANSA-Motors-Job-149354.aspx

Sales Executive, ANSA Motors Limited

ANSA McAL Group of Companies

https://www.caribbeanjobs.com/Sales-Executive-ANSA-Motors-Limited-Job-148812.aspx

GUYANA

Trade Marketing Executive, Guyana Breweries Inc.

ANSA McAL Group of Companies

https://www.caribbeanjobs.com/Trade-Marketing-Executive-Guyana-Breweries-Job-149301.aspx

SAINT LUCIA

OECS Director of Sales

Unicomer Regional (HC)

https://www.caribbeanjobs.com/OECS-Director-of-Sales-Job-149559.aspx

Sales Supervisor

Not Disclosed

https://www.caribbeanjobs.com/Sales-Supervisor-Job-149464.aspx

BARBADOS

Not Disclosed

https://www.caribbeanjobs.com/REGIONAL-SALES-MANAGER-FMCG-Sector-Job-149520.aspx

Corporate Sales Representative (Technology Sector)

Favio

https://www.caribbeanjobs.com/Corporate-Sales-Representative-Technology-Sector-Job-149347.aspx

SALES MANAGER (Hotel Sector)

Favio

https://www.caribbeanjobs.com/SALES-MANAGER-Hotel-Sector-Job-149346.aspx

Business Development Manager – Caribbean

Stansfeld Scott & Co. Ltd

https://www.caribbeanjobs.com/Business-Development-Manager-Caribbean-Job-149102.aspx

Caribbeanjobs.com Tips (Garth Francis MBA Caribbeanjobs.com Contributor)

As we celebrate our 17th anniversary at Caribbeanjobs.com we would like to congratulate our job seekers for being willing to explore opportunities throughout the region. We love to see professionals pursue their ideal jobs even beyond their borders.

The recruiters also deserve praise for being willing to expand their search for talent.

Organizations will always benefit when they have the largest pool of talent possible.

Job seekers win when they have the widest range of options.

Good luck to all the Grenadians working in T&T, Trinis working in Guyana, Guyanese working in Barbados etc!

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Crise à Haïti: le Conseil de sécurité de l’ONU adopte à l’unanimité un régime de sanctions contre des gangs

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Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté vendredi à l’unanimité une résolution prévoyant un régime de sanctions contre des bandes criminelles haïtiennes et pour tenter de résoudre la terrible…

Le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté vendredi à l’unanimité une résolution prévoyant un régime de sanctions contre des bandes criminelles haïtiennes et pour tenter de résoudre la terrible crise sécuritaire et humanitaire en Haïti.

Le texte, préparé par les Etats-Unis et le Mexique et voté par les 15 membres du Conseil, vise notamment les gangs qui sèment le chaos dans ce pays pauvre des Caraïbes et dont il “exige une cessation immédiate de la violence, des activités criminelles et des atteintes aux droits humains”.

Le Conseil de sécurité débat depuis des semaines de deux projets de résolution sur Haïti, aux prises avec une crise multidimensionnelle: économique, sécuritaire, politique et humanitaire.

Lundi, le Conseil avait discuté du possible envoi d’une force internationale pour permettre à la population de sortir du “cauchemar”, mais sans prendre de décision sur cette option qui ne fait pas l’unanimité.

“La situation est absolument dramatique. Le port est bloqué par les gangs qui ne laissent pas sortir le carburant (…) Sans carburant, il n’y a pas d’eau. Et il y a le choléra”, dont le traitement nécessite un bon approvisionnement en eau potable, avait déclaré le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

Cette deuxième résolution, adoptée vendredi, prévoit la mise en place d’un régime de sanctions (interdiction de voyage, gel des avoirs, embargo ciblé sur les armes) contre les gangs et leurs meneurs.

Le seul dirigeant mentionné par le texte onusien est Jimmy Cherizier, surnommé “Barbecue”, “l’un des chefs de gangs les plus influents, qui dirige une alliance de bandes haïtiennes surnommée +la famille G9+ et ses alliés”. Cherizier bloque le terminal de Varreux et ses actions “ont directement contribué à la paralysie économique et à la crise humanitaire en Haïti”, selon l’ONU.

“Cette résolution est une première réponse aux appels à l’aide de la population haïtienne”, s’est félicitée l’ambassadrice des Etats-Unis à l’ONU Linda Thomas-Greenfield.

Les Haïtiens “veulent que nous agissions contre les acteurs criminels, notamment les gangs et leurs financiers, qui ont sapé la stabilité et accru la pauvreté dans cette société dynamique”, a ajouté la diplomate américaine.

Elle s’est réjouie que “le Conseil de sécurité ait sanctionné l’un des dirigeants les plus connus d’une bande criminelle (…) dont les agissements ont directement contribué à la crise humanitaire qui provoque tant de souffrance chez la population haïtienne”.

af-nr/vgr

Manifestation à Port-au-Prince contre le Premier ministre et les USA, la France et le Canada, le 17 octobre 2022
• Richard Pierrin

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La famille de Lola demande d’arrêter d’utiliser “le nom et l’image de leur enfant à des fins politiques”

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La famille de Lola, tuée à Paris le 14 octobre, a demandé vendredi que “cesse instamment, et soit retirée, toute utilisation du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques”, lors des manifestations et sur…

La famille de Lola, tuée à Paris le 14 octobre, a demandé vendredi que “cesse instamment, et soit retirée, toute utilisation du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques”, lors des manifestations et sur Internet, a indiqué leur avocate dans un communiqué.

Ses parents souhaitent “pouvoir honorer la mémoire de leur fille dans la sérénité, le respect et la dignité qui lui est due”, a rappelé l’avocate Me Clotilde Lepetit, au lendemain d’une manifestation à Paris en présence notamment d’Eric Zemmour lors de laquelle certains manifestants portaient des pancartes sur lesquelles figurait le visage de la collégienne.

Le RN, qui devait dans un premier temps participer au rassemblement, a finalement organisé une minute de silence au même moment devant l’Assemblée nationale “en hommage à Lola et en soutien à sa famille et ses proches”.

Les circonstances de la mort de Lola et le profil de la suspecte, de nationalité algérienne et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), ont suscité de vives critiques à droite et à l’extrême droite. 

Les élus LR n’ont pas participé aux rassemblements de jeudi mais le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau a annoncé le dépôt prochain d’une proposition de loi pour engager “la responsabilité de l’Etat” lorsqu’il “manque à ses obligations”, avec de possibles “dommages et intérêts aux victimes”.

Un rassemblement pour “soutenir famille et proches” de la victime est prévu est prévu vendredi à Fouquereuil (Pas-de-Calais), commune d’où est originaire le père de la jeune adolescente, avant des obsèques prévues lundi à 14H30 à Lillers, ville d’origine de sa mère, dans la même département.

Vendredi, en marge d’un Conseil européen à Bruxelles, le président de la République Emmanuel Macron a estimé que la famille avait “besoin du respect et de l’affection de la nation”.

jpa/edy/pga/vk

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