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Heavy-duty licenses for drivers under 25 suspended Loop Barbados

Black Immigrant Daily News

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Individuals under the age of 25 who already possess a heavy-duty license will not be affected by the changes to the Road Traffic Amendment.

The Barbados Licensing Authority (BLA) has suspended the issuance of heavy-duty, public service vehicle and motor tractor permits and driver licenses to persons under age of 25, to allow for legislative changes to be drafted to Section 69 (1) of the Road Traffic Amendments.

“It was recently drawn to the attention of the Ministry of Transport, Works and Water Resources (MTWW), that an amendment made to Section 69 (1) in 2017 was never enforced by the BLA. This amendment prohibits issuing and endorsing as valid these categories of licenses to individuals under the age of 25,” said the BLA in a statement on Wednesday.

With the legislative change, persons under the age limit have been deferred from sitting the test for permit holders, and the issuing of permits has been suspended as well to those under 25.

The MTWW did not disclose how many persons are in the process of acquiring a heavy-duty license and are impacted by this change.

However, the release did say that the Ministry is mindful of the impact which the suspension is having on affected persons, and is seeking to urgently resolve the matter. MTWW and BLA officials have been meeting with stakeholders from the Ministry of Youth, Sports and Community Empowerment, Barbados Vocational Training Board, the Barbados Driving School Association, and the Barbados Police Service. The Barbados Revenue Authority has also been informed of the matter via official correspondence.

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Nicolas Gillet, l’homme de la mer

Black Immigrant Daily News

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Arrivé à bord d’un bateau à l’âge de 4 ans, Nicolas Gillet a grandi en Martinique où il pratique le catamaran de sport, la yole ronde et la voile radiocommandée. Et pour se changer les idées, au niveau professionnel, il possède une entreprise de construction et de réparation de… bateaux !

Les bateaux et la mer sont incontestablement deux passions de Nicolas Gillet. Il a quatre ans lorsqu’il débarque en Martinique du bateau construit par ses parents. La famille vivra dix ans à bord et le jeune Nicolas a déjà « le virus » de la mer et des bateaux. Il débute l’apprentissage de la voile à bord d’un optimist pour être aujourd’hui un pratiquant chevronné de catamaran de sport. Il a par exemple été plusieurs fois champion de Martinique de la discipline, a terminé 3e du Martinique Cata Raid, et parmi les 20 premiers de la Saint-Barth Cata Cup qui réunit chaque année une cinquantaine de participants dont les 15 meilleurs mondiaux. Il est d’ailleurs dans une phase active de la préparation de cette compétition qui se déroulera au mois de novembre, et du Martinique Cata Raid, en janvier. Il a comme équipier Nicolas Poix.

Et lors de ses entraînements, Nicolas Gillet a souvent rencontré sur la mer l’équipage de Sara/Autodistribution qui se prépare également. Six mois avant le Tour, on lui propose d’embarquer à bord de la yole et il devient l’écoute de la yole marinoise. « Il n’y a eu aucun problème à intégrer l’équipage, nous parlons le même langage. » Ce coup d’essai transformé en coup de maître se confirme puisque les Marinois remportent également le Tour 2022. « Pour les taquiner, je leur dis que je suis le seul à avoir participé à deux tours et à les avoir remporté ! » Cette année 2019 sert décidément de déclic à Nicolas Gillet qui assiste à une course de voiliers radiocommandés (VRC) à Fort-de-France. Il décide d’acheter un bateau, tout comme son copain Ian Girod, pratiquant de planche à voile. « Les régates de VRC nécessitent un super niveau de réglage, de tactique, de contrôle de course. Cette pratique est complémentaire avec les yoles rondes et les catas de sport ». Les deux amis ont rapidement progressé et ont obtenu un classement honorable pour leur première participation au championnat de France avec respectivement une 17e et une 19e place.

Constructeur et réparateur de bateaux

Et comme certaines personnes ont des journées qui durent plus que 24 heures, Nicolas Gillet est avant tout un chef d’entreprise : « J’ai un chantier naval de réparation et de construction de bateaux. Nous construisons des bateaux de 30 pieds à moteur pour des professionnels qui effectuent des sorties en mer. Nous venons également de construire un catamaran de 45 pieds équipé d’un moteur électrique ». L’activité de son entreprise rencontre un tel succès qu’il a actuellement un projet plus ambitieux qui « nécessite de trouver un plus gros terrain ».

Son activité professionnelle a également été une bénédiction pour l’association Yole Net 2000 à laquelle il apporte son expérience de professionnel de la mer. Il a également peint la yole pour le dernier Tour et préparé des mâts. Comment fait-il pour gérer sa carrière professionnelle et ses différentes passions de « voileux » ? « Cela demande de l’organisation. Il faut savoir jongler pour s’entraîner. En fait cela dépend du calendrier des compétitions. » Autrement dit, actuellement, Nicolas Gillet est branché 100% cata sport jusqu’au début de l’année prochaine. Ensuite, il préparera les championnats de France de VRC et enfin le prochain Tour de Martinique des yoles rondes sur lequel il espère bien demeurer invaincu !

F. G.

Nicolas Gillet prépare actuellement sa prochaine participation à la Saint Barth Cata Cup, avec Nicolas Poix.

– Photo DR

Nicolas Gillet et Ian Girod viennent de participer au championnat de voiliers radiocommandés.

– Photo DR

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Roland Manéré enregistre à Los Angeles

Black Immigrant Daily News

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Sans faire de bruit, Roland Manéré vit de sa passion, la guitare, depuis plus de 40 ans. Il vient de donner un second souffle à sa carrière en réenregistrant à Los Angeles une de ses compositions sortie en 1988, « Brightly moments ».

Roland Manéré et la guitare, c’est une histoire d’amour qui remonte à sa plus tendre enfance. A l’âge de 9 ans, le jeune garçon fabrique son premier instrument à l’aide d’une boîte de conserve, de fil à pêche et de clous. Bien vite, sa maman se rend compte qu’il s’agit d’une véritable passion. La vendeuse de pistaches de Sainte-Thérèse à Fort-de-France fait l’acquisition d’une guitare pour son fils qui, aujourd’hui encore, raconte cette anecdote remplie d’émotion : « Maman vendait le cornet de pistaches 30 centimes. Elle m’a acheté une guitare qui coûtait 70 francs. Vous vous rendez compte du sacrifice qu’elle a fait ! »

L’enfant de Sainte-Thérèse devenu adulte doit nourrir sa famille. Il se retrouve alors installateur d’antennes, vendeur de voitures, de télévisions… Mais la passion de la guitare est toujours bien présente et Roland Manéré a acquis un certain niveau. Il décide alors de devenir musicien professionnel, n’hésitant pas à se produire dans les hôtels, les restaurants, pour les comités d’entreprise en proposant un répertoire varié. Un répertoire critiqué par certains qui désignent Roland Manéré comme « musicien doudouiste ».

Malgré les critiques, le guitariste poursuit sa route, intervenant également avec des artistes ou groupes connus. Il compose également. En 1988, il propose un reggae, « Brightly moments » qui reçoit un bon écho. Le titre est enregistré presque de façon artisanale.

Le coup de téléphone inattendu

« Chez moi sur un appareil à cassette 4 pistes, les voix étant faites aux studios Moriello », raconte l’artiste. En effet, Roland Manéré est le premier à avoir possédé un home studio en Martinique. C’est chez lui, avec son regretté ami Ryco Loza, qu’a par exemple été enregistré le titre « Gwo Pwel ».

Près de 35 ans plus tard, Roland Manéré reçoit un coup de téléphone qui ressemble à une farce. Au bout du fil, Courtney Jones, qui a été manager des Fugees, lui propose de réenregistrer son titre « Brightly moments » dans un studio à Los Angeles. La Covid-19 est au paroxysme de la crise sanitaire, mais le projet prend forme. Roland Manéré enregistre la guitare et les voix en Martinique, les autres instruments étant faits par des musiciens professionnels dans un studio à Los Angeles. « C’est formidable de travailler dans de telles conditions. Après chaque enregistrement, je recevais un MP3 et je pouvais dire si j’étais satisfait. Et quand ce n’était pas le cas, le ou les musiciens concernés recommençaient. Je souhaitais avoir un mix genre Lucky Dube et c’est ce à quoi on a abouti ».

Pour ce projet qui pourrait donner un élan international à Roland Manéré, le musicien martiniquais a dû protéger son œuvre en s’inscrivant à la Socan (qui est en quelque sorte la Sacem au Canada) et doit convaincre un éditeur américain. En attendant, il continue sa vie d’artiste en composant des publicités, en se produisant en one man show dans différents endroits de Martinique et en donnant des cours de musique. Le « musicien doudouiste » vit de son art depuis plus de quarante et est « toujours à la recherche de l’excellence ».

??? F.G.

La guitare et la musique, la passion de toute une vie pour Roland Manéré. Sa carrière pourrait bien prendre un nouvel élan avec ce projet musical.

– F.G.

Un riche parcours musical

1967 à 1970 : bassiste dans l’orchestre « les Pop-Junior »

1970 à 1975 : guitariste dans différents orchestres de bal qui se produisaient dans les paillotes

1975 à 1982 : création de différents groupes comme Magma et Cosmos

1982 à 1985 : one man show dans les hôtels de la Pointe du Bout

1985 à 1991 : one man show dans les restaurants

1991 à 2000 : one man show sur le bateau de croisière le Carla Costa et guitariste de Shango

2000 à 2018 : one man show dans les restaurants et cours de guitare

2018 à 2021 : one man show pour les comités d’entreprise et cours de guitare

Depuis 2021 : one man show dans les restaurants et cours de guitare

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Les jeunes se mobilisent contre les addictions

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De nombreuses personnalités ont assisté, mercredi après-midi à la mairie, au lancement de la campagne d’affichage du projet « L’addiction vue par les jeunes ». La concrétisation d’un travail mené par la police municipale avec les élèves de quatre établissements scolaires de la commune.

Depuis 2020, dans le cadre de sa mission de lutte contre la délinquance, la police municipale mène des actions en milieu scolaire. Pour 2022, le projet déployé consistait à mettre en place des actions contre les addictions et était conjointement financé par le Midelca (Mission Interministérielle De Lutte contre les Drogues et les Conduites Addictives), l’ARS (Agence Régionale de Santé) et la ville du Lamentin.

Le thème retenu  « L’addiction vue par les jeunes » a été étudié par une école primaire, un collège et deux lycées. En plus du personnel scolaire et de membres de la police municipale, les élèves étaient encadrés par quatre personnalités, l’objectif final étant de réaliser une affiche avec le concours du photographe Bruno Jean-Louis reprenant le thème commun, la lutte contre les addictions.

Encadrés par des personnalités

Plusieurs élus ont pris la parole pour vanter la qualité de cette initiative, tout comme des personnalités à l’image de Carole Odonnat, conseillère d’éducation au lycée Acajou 2 ; Laëtitia Montlouis, chargée de mission prévention à l’ARS ; Nadia Félix Théodose, responsable de la prévention délinquance au bureau de la prévention et de l’ordre public ; Dominique Brieu, infirmière technique représentant la rectrice ; ou encore la journaliste Hélène Sérignac, elle-même partie prenante dans le projet du lycée Acajou 1.

La dernière prise de parole a été celle de l’adjointe, Judith Laborieux. L’élue a rappelé que ce projet était le 4e réalisé par la police municipale et que plusieurs projets antérieurs avaient été primés par différentes institutions. Avant de lancer officiellement la campagne d’affichage sur le réseau CLG (vitrines déroulantes) de la commune, elle a présenté les quatre affiches à l’assistance. Les élèves lamentinois ont véritablement pris en charge la lutte contre les addictions !

??? F.G.

Hélène Sérignac et Floriane Bascou ont été des actrices actives de cette campagne.

– F.G.

Personnalités et élèves présentent les affiches réalisées dans le cadre du projet « L’addiction vue par les jeunes ».

– F.G.

L’affiche portant sur la lutte contre le sucre avec les élèves de Pelletier et Christophe Maleau.

– DR

Quatre affiches

Quatre établissements scolaires ont été sélectionnés pour participer à cette campagne d’affichage. A la demande des élèves, quatre personnalités ont accepté de prêter leur temps et leur image pour réaliser ces affiches.

Le lycée Acajou 1 a travaillé sur les produits stupéfiants avec la journaliste Hélène Sérignac.

Le lycée Acajou 2 s’est penché sur les jeux vidéos avec la miss Martinique, Floriane Bascou, ancienne élève de ce lycée.

Le collège Edouard-Glissant de Place d’Armes a abordé le thème des écrans (téléphone, tablette, ordinateur…) avec le conseiller technique régional de football, Mario Bocaly.

L’école primaire de Pelletier s’est concentrée sur les dangers du sucre avec le nageur Christophe Maleau.

Judith Laborieux, adjointe en charge de la délégation de sécurité, réglementation et de prévention contre la délinquance

« On donne des tablettes à des enfants de plus en plus jeunes »

« Cette action a été initiée par la cellule de prévention de la police municipale qui a l’habitude de réaliser des projets avec les jeunes. Elle a déjà eu de nombreux prix et là, elle en mérite un nouveau. Grâce à ces affiches, cette action pourra servir en matière de prévention à toute la Martinique et même au delà de nos frontières . Quatre thèmes ont été retenus. Il y a par exemple l’addiction aux tablettes. La société évolue et on voit que l’on donne des tablettes à des enfants de plus en plus jeunes. Quand la maman est occupée, elle donne son téléphone à l’enfant. Cela n’est pas sans conséquence sur le comportement et la santé de nos jeunes. »

Judith Laborieux

– FG

NewsAmericasNow.com

« Chacun d’entre nous doit être formé à repérer des signes de quelqu’un qui ne va pas bien »

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Aujourd’hui, à 18 heures, le Conseil territorial de santé mentale organise un webinaire, ouvert à tous, autour du parcours de santé mentale en Martinique. L’occasion notamment de rappeler l’importance de la prévention auprès du grand public. 

En quoi est-ce important d’ouvrir cet événement au grand public ? 

Dans un premier temps, cela fait partie de la feuille de route qui est régionale mais qui décline les grands axes nationaux. Cela fait également partie d’un document sur lequel nous avons travaillé qui est le projet territorial de santé mentale. Dedans, il y a une volonté de pouvoir expliquer à la population mais aussi de lui permettre de s’approprier non seulement l’approche de ce parcours de santé mentale, mais aussi de s’approprier sa santé. Quand on parle de santé mentale, et on va être plus vulgaire, quand on parle d’un malade psy, cela fait peur. C’est un mot qui fait peur au malade lui-même quand on lui annonce le diagnostic, à l’entourage et même aux soignants qui ne sont pas dans ce domaine de santé. 

D’après l’Organisation mondiale de la santé, la santé mentale ne concerne pas uniquement les personnes atteintes de troubles psychiques. Qu’est-ce qu’englobe alors cette expression ? 

La santé mentale est un tout, cela concerne le bien-être. C’est se sentir bien là où l’on est, mais aussi pouvoir reconnaître qu’on a des difficultés. On insiste sur les compétences psychosociales, à savoir être bien là où on vit, avec les gens avec qui on vit, y compris avec soi-même. Les troublés liés à la santé mentale peuvent être par exemple la schizophrénie, le suicide, la dépression… Tout y est englobé. On peut être stable un jour et en raison d’un stress par exemple, comme le fait d’être agressé ou de voir quelqu’un tué devant soi, on peut basculer très vite. C’est là qu’on peut se rendre compte qu’on avait peut-être un petit fond dépressif ou un problème qu’on ne connaissait pas. 

Un des points principaux qui sera mentionné à l’occasion de ce webinaire est la prévention. Justement, comment prévenir ces possibles troubles ? 

La prévention, c’est un dépistage qui passe d’abord par une sensibilisation. Elle peut s’adresser à des parents, des enseignants, des animateurs en périscolaire qui remarquent des comportements qui peuvent interpeller. Plus c’est pris tôt, plus la personne qui rencontre la difficulté pourra s’intégrer dans le milieu ordinaire. Dans la prévention du suicide, cela passe par une formation aux bons gestes que propose notamment ici l’association Tombolo. Chacun d’entre nous doit être formé à repérer des signes de quelqu’un qui ne va pas bien et qui pourrait basculer sur une tentative de suicide. C’est être attentif aux autres tout simplement, et dépister ce qui pourrait être une difficulté. 

Possède-t-on des chiffres relatifs à la santé mentale sur notre île ? 

On sait que, depuis le début de l’année 2022, on a une vingtaine de suicides répertoriés sur les certificats médicaux. Ce qui est beaucoup pour notre population. Concernant les tentatives de suicide, il y a en a qui viennent à l’hôpital et d’autres qui ne sont pas repérés. Mais il n’y a pas que ça… On travaille beaucoup sur les troubles du comportement avec les équipes de la CTM, de la petite enfance, mais aussi avec les écoles. Beaucoup de programmes sont sortis après le Covid. 

Une période Covid qui, comme on le sait, a eu un fort impact sur la santé mentale…

Ici, comme dans l’Hexagone, on a eu une augmentation des chiffres dépressifs à cette période. Deux tranches d’âge ont particulièrement posé problème : les jeunes et, surtout chez nous, les personnes âgées. Les équipes de psychiatrie nous ont alertés à propos de leur détresse. Les seniors souffrent de solitude parce que leurs enfants sont repartis en métropole et ils sont seuls ici. Des personnes âgées ont fait des tentatives de suicide et sont venues aux urgences. C’est un défi majeur. On travaille actuellement avec les équipes de psychiatrie pour développer de plus en plus des équipes mobiles qui vont aller sur le terrain et être à l’écoute. 

D’ailleurs cette période a-t-elle amplifié des troubles existants ou les a-t-elle fait surgir ? 

Les deux. Le Covid était une période anxiogène pour tout le monde. On a tous eu un passage à vide quelles que soient nos difficultés ou pas avant. Cet impact va rester longtemps et va être à retravailler. Cela passe par des projets d’associations de quartiers, qui sont dans l’accompagnement des jeunes, mais aussi des personnes âgées, pour leur redonner leur place dans la société… Nous avons par exemple été alertés par l’Espace Sud sur le fait que des jeunes aidants, qui ont 15-16 ans, ne vont pas bien et rentrent dans des phases de décrochage, de détresse parce qu’ils sont obligés de devenir aidants de leurs parents. 

On sait qu’il y a un manque de moyens en psychiatrie un peu partout en France. Est-ce aussi le cas ici ? 

On ne va pas dire qu’on est parfait. Nous développons beaucoup d’équipes mobiles car nous y sommes contraints par le nombre de lits à l’hôpital. Mais les experts s’accordent à dire qu’il faut repérer les personnes dans le milieu où elles se trouvent et intervenir dans le milieu de la crise avant d’aller à l’hôpital. On travaille de façon consensuelle avec le CHMD et un petit peu avec le CHU, mais on œuvre dans le sens d’un centre de santé mentale unique.  L’État a tout de même bien réagi depuis les Assises de la santé mentale et de la psychiatrie en septembre 2021. C’est devenu une priorité nationale à décliner dans les régions. Les financements sont à la hauteur des attentes. On ne peut pas dire qu’on manque d’argent. Notre difficulté porte plus sur le porteur de projet. Pour donner des sommes comme celle-là, il faut des porteurs qui soient habitués. Mais on a beaucoup de bonnes volontés en Martinique. 

*Les personnes intéressées par le webinaire peuvent s’y inscrire par téléphone au 0696 83 62 82 ou bien sur la plateforme eventbrite.fr en recherchant l’événement « webinaire parcours santé mentale ». 

Des conseils de santé mentale pour être au plus près de la population

Un premier conseil local de santé mentale a été mis en place sur la commune du Lamentin fin 2019. C’est un lieu de concertation et de coordination entre les services de psychiatrie publics, les élus locaux du territoire concerné, les usagers et les aidants dont l’objectif est de définir des politiques locales et des actions permettant l’amélioration de la santé mentale de la population. Deux autres villes devraient mettre le leur en place, à savoir Saint-Joseph et très prochainement Fort-de-France. « Un outil qu’ont les élus pour bien connaître leur population en particulier sur le sujet de la santé mentale, du mal-être », explique la docteure Marie-Laure Audel. Un moyen de mettre en place « des actions pour aller au-devant de ces personnes qui ne vont pas bien ». 

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La France rapatrie un grand groupe de femmes et…

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La France a procédé jeudi à une nouvelle série de rapatriements d’enfants et de femmes qui avaient rejoint les territoires contrôlés par les organisations jihadistes pendant l’existence du Califat territorial de l’Etat islamique, un sujet délicat dans un pays marqué par les attentats de 2015.

15 femmes et 40 enfants qui étaient détenus dans les camps de prisonniers jihadistes dans le nord-est de la Syrie contrôlés par les forces kurdes sont arrivés cette nuit à 03H30 locales (01H30 GMT) à Villacoublay, près de Paris.

Selon un source sécuritaire, il s’agit de 14 mères, une femme jeune majeure sans enfant et 40 mineurs.

“Les mineurs ont été remis aux services chargés de l’aide à l’enfance et feront l’objet d’un suivi médico-social. Les adultes ont été remises aux autorités judiciaires compétentes”, selon un communiqué du ministère des Affaires étrangères.

C’est la plus grosse opération de rapatriement de ce type depuis trois mois, quand 16 mères et 35 mineurs avaient été rapatriés le 5 juillet. Entre-temps, une femme et ses deux enfants avaient été ramenés début octobre.

“La France remercie les autorités locales du nord-est de la Syrie (les autorités kurdes, ndlr) pour leur coopération, qui a rendu possible cette opération”, ajoute le Quai d’Orsay.

Ces femmes font partie de ces Françaises qui s’étaient rendues volontairement dans les territoires contrôlées par les groupes jihadistes en zone irako-syrienne et qui ont été capturées lors de la chute de l’Organisation de l’Etat islamique en 2019.

Les enfants sont pour nombre d’entre eux nés sur place.

Environ 300 mineurs français ayant séjourné dans des zones d’opération de groupes terroristes sont rentrés en France, dont 77 par rapatriement, a indiqué début octobre le ministre de la Justice Éric Dupond-Moretti lors d’une audition devant le Sénat.

Le sujet est sensible en France, pays frappé à plusieurs reprises par des attentats jihadistes, et particulièrement ceux du 13 novembre 2015 à Paris et en banlieue parisienne qui ont fait 130 morts, fomentés par l’organisation de l’Etat islamique (EI).

Sous la pression des familles de ces femmes jihadistes détenues dans des conditions particulièrement dures dans des camps de prisonniers, la France a longtemps procédé à des rapatriement mesurés, décidés au cas par cas.

Mais le 14 septembre, la Cour européenne des droits de l’Homme, saisie par les parents de deux de ces femmes, a condamné la France pour ne pas avoir étudié de manière appropriée ces demandes.

Après cela, le ministère des Affaires étrangères s’était dit prêt à “envisager” de nouveaux rapatriements “chaque fois que les conditions le permettraient”.

En juillet, les autorités en charge de la lutte anti-terroriste avait indiqué qu’il restait une centaine de femmes et près de 250 enfants dans les camps syriens.

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Isaura del Socorro Krozendijk-Sardá

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Hopi bo a duna nos, hopi bo a nifica pa nos.

Diripente bo a bay for di nos, lo bo sigi bida den nos curason.

Tristo pero conforme cu boluntad di Dios y cu tur loke e la nifica pa nos,

nos ta participa fayecimento di mi casa, mi mama, nos wela, nos ruman,

 Isaura del Socorro Krozendijk-Sardá

Miho conoci como

Cachi of Nana

*7 augustus 1952 –

†15 oktober 2022 

Ta invita pa asisti na acto di condolencia y ceremonia di despedida

cu lo tuma lugar diamars 25 di oktober 2022 for di 2’or pa 4’or di atardi na Misa Birgen di Fatima na Dakota.

Entiero lo tuma lugar na Santana Pastoor De Vries na Santa Cruz. 

Nos ta pidi disculpa si den nos tristeza nos a lubida di menciona nomber di un of mas famia.

Trahe: Alegre.

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Six shot, one fatally, in Brown’s Town, St Ann Loop Jamaica

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36 minutes ago

NEWYou can now listen to Loop News articles!

ix persons were shot, one fatally, by men travelling a Toyota Voxy motorcar in Orange Hill, Brown’s Town, St Ann on Wednesday.

The identity of the deceased man has not yet been ascertained.

Loop News was informed by a police source that the incident occurred shortly after 12pm.

Reports are that a group of persons were gathered at a section of the Orange Hill community, when the black Toyota Voxy was driven up.

Two armed men alighted from the vehicle and opened fire at the group of individuals before escaping in the waiting motorcar.

When the shooting subsided, six persons were found suffering from gunshot wounds.

They were assisted to the hospital, where one man was pronounced dead.

The conditions of the other injured persons are not known at this time.

No motive for the brazen daylight gun attack has yet been determined by investigators.

A manhunt is now ongoing by the police to locate the hoodlums who carried out the shooting.

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Espagne: le Ballon d’Or Benzema porte le Real…

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Pour le premier match de Karim Benzema depuis la réception de son Ballon d’Or lundi, le Real Madrid a dominé Elche 3-0 mercredi pour la 10e journée de Liga et reste leader du classement, six points devant le FC Barcelone, qui reçoit Villarreal jeudi (21h00).

Benzema a vu deux de ses buts refusés (5e, 60e), et un autre de David Alaba (26e) à qui il avait offert la passe décisive (tous pour hors-jeu), mais cela n’a pas freiné les Merengues : les hommes de Carlo Ancelotti ont quand même trouvé la brèche grâce à une puissante reprise de l’extérieur du pied gauche signée Fede Valverde (11e), qui a propulsé le ballon dans la lucarne d’Elche.

Il s’agit du 6e but en 15 matches cette saison toutes compétitions confondues pour l’Uruguayen, soit autant que lors de ses 148 matches précédemment disputés sous le maillot merengue.

Puis Benzema lui-même a enfin vu un de ses buts validés après un joli une-deux avec Rodrygo (75e), et le Brésilien a encore servi Marco Asensio à la 89e minute pour sceller le 3-0.

– Crampons dorés pour le “Nueve” –

Deux jours après avoir été sacré Ballon d’Or, l’international français a célébré son sacre avec des crampons aux semelles dorées, et avec un match plein qui lui a valu le trophée d’homme du match.

“KB9” a même été l’auteur d’un joli geste extra-sportif : avant la pause (42e), Benzema a mis le ballon en touche et a pointé les tribunes du doigt auprès de l’arbitre, qui a interrompu le jeu cinq minutes pour que les secours puissent porter assistance à une personne victime d’un malaise bénin.

Les rares occasions d’Elche, comme cette frappe lointaine de Nico à la 29e qui a obligé Andriy Lunin à s’envoler, n’ont pas inquiété les Madrilènes, impeccables tout le match, trois jours après leur brillant succès 3-1 lors du clasico face au FC Barcelone dimanche au Bernabéu.

“C’est un passage important de la saison, on est dans un bon moment, l’équipe va bien, on n’a aucune incertitude, aucun problème. Samedi, Thibaut (Courtois) revient, la semaine prochaine Dani Ceballos… L’équipe est en bonne santé, et on doit en profiter”, a encouragé Ancelotti en conférence de presse d’après-match.

– Victoire endeuillée pour la Real Sociedad –

Plus tôt dans la soirée, la Real Sociedad s’est défait à domicile de Majorque 1-0 grâce à un but express de Mikel Merino de la tête sur corner. Les Basques remontent à la troisième place, provisoirement à égalité de points avec le FC Barcelone (22 points), et devant le Betis Séville, qui a calé 0-0 à Cadix.

A Saint-Sébastien, le début de la rencontre a été retardé de quelques minutes en raison d’un malaise d’un supporter. La personne est malheureusement décédée, a indiqué la Real Sociedad dans un communiqué après la partie, en lui dédiant la victoire.

Le carton de la soirée est signé Valladolid : le promu s’est imposé 4-1 contre le Celta Vigo, et remonte à la 11e place, doublant au passage les Galiciens au classement.

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