Project padiekafverwerking Nickerie gestart

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PARAMARIBO — In Nickerie wordt padiekaf vanaf februari 2023 omgezet in energie voor de rijstsector. In de Prins Bernhardpolder zal

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Xi Jinping en route pour un troisième sacre à la tête de la Chine

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Le président chinois Xi Jinping doit être reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, après avoir balayé toute contestation dans le pays et dans ses rangs, s’assurant ainsi de diriger la Chine…

Le président chinois Xi Jinping doit être reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, après avoir balayé toute contestation dans le pays et dans ses rangs, s’assurant ainsi de diriger la Chine pendant au moins cinq ans de plus.

Ce troisième mandat fera de lui le dirigeant le plus puissant depuis le fondateur du régime, Mao Tsé-toung (1949-1976).

Après une semaine de délibérations à huis clos, le 20e congrès du Parti communiste chinois (PCC) s’est refermé samedi sur un large remaniement de son Comité central, sorte de parlement interne au parti.

Ce dernier a été renouvelé à 65% par rapport à 2017, selon des calculs de l’AFP.

Dimanche matin, les 205 membres – dont 11 femmes seulement – tiendront leur première réunion. Ils désigneront les 25 représentants du Bureau politique, l’instance de décision du PCC, ainsi que son Comité permanent.

Cet organe tout-puissant de sept membres actuellement détient la réalité du pouvoir en Chine et la nouvelle équipe sera présentée à la presse vers midi (04H00 GMT).

Il sera renouvelé à plus de 50% car on sait déjà que quatre des sept membres tirent leur révérence, selon la liste des membres du Comité central publiée par l’agence officielle Chine nouvelle.

Il s’agit de l’actuel Premier ministre Li Keqiang, du numéro trois chinois Li Zhanshu, du vice-Premier ministre Han Zheng et de Wang Yang, président de la Conférence consultative politique du peuple chinois, une assemblée sans pouvoir de décision.

Considéré comme l’une des voix les plus libérales du Parti, Wang Yang était l’un des favoris au poste de prochain Premier ministre.

“Victoire” pour Xi

La composition du nouveau Comité permanent, qui fait généralement l’objet en coulisses d’âpres négociations pendant le congrès, est déjà actée et confirmera la mainmise de Xi Jinping sur la formation politique, selon des analystes.

“Ce sera une victoire presque totale pour Xi Jinping” qui pourra placer une majorité de ses soutiens, pronostique Willy Lam, spécialiste du PCC à l’Université chinoise de Hong Kong.

“Il y aura une domination anormalement asymétrique d’une seule faction: celle de Xi Jinping”, indique M. Lam à l’AFP.

Loin de son apparence homogène, le PCC est divisé en interne et plusieurs courants rivaux cohabitent, estiment des sinologues.

Jusqu’à présent, des compromis existaient pour la répartition des postes dont Xi Jinping est un illustre exemple.

A défaut de s’entendre sur leur candidat respectif, les différentes factions du PCC avaient finalement placé au pouvoir un candidat de consensus en 2012.

Mais Xi Jinping avait ensuite surpris tout le monde en éliminant ses rivaux pour concentrer peu à peu tous les pouvoirs à la tête du parti et de la Chine, tout en menant une répression sévère contre toute dissidence.

Conformément à la coutume, les membres du Comité permanent seront annoncés par ordre d’importance, le numéro un étant le secrétaire général.

A priori le numéro deux ou le numéro trois sera le prochain Premier ministre qui succèdera à Li Keqiang.

Parmi les noms évoqués pour le remplacer: l’actuel vice-Premier ministre Hu Chunhua ou Li Qiang, chef du parti à Shanghai, en dépit d’une gestion chaotique du confinement au printemps.

L’incident Hu Jintao

En obtenant un troisième mandat comme secrétaire général du parti, Xi Jinping est quasiment assuré d’un troisième mandat présidentiel en mars prochain.

Pour se maintenir au pouvoir, l’homme fort de Pékin a obtenu en 2018 un amendement de la Constitution qui limitait ce poste à deux mandats et d’une durée totale de 10 ans.

Chef du Parti, chef des armées, chef de l’Etat… le dirigeant a plaidé pour la continuité de ses politiques lors du discours d’ouverture du congrès.

Le Parti communiste chinois a de son côté réaffirmé samedi le “rôle central” de Xi Jinping.

Seul incident marquant durant une cérémonie de clôture pourtant très chorégraphiée, l’ancien président Hu Jintao a été escorté vers la sortie, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Visiblement contre son gré, l’homme de 79 ans, qui a présidé la Chine de 2003 à 2013, a été incité par des employés à se lever de son siège, situé à côté de Xi Jinping.

Cette scène très inhabituelle n’a été ni expliquée ni rapportée par les médias d’Etat accessibles en Chine. Les autorités n’ont quant à elles donné aucune suite aux sollicitations de l’AFP. 

De son côté, l’agence Chine nouvelle a affirmé en anglais que Hu Jintao “ne se sentait pas bien”. Il va “beaucoup mieux” désormais, a-t-elle écrit sur Twitter, réseau social bloqué en Chine.

Dimanche, aucun média dans le pays n’avait republié ce commentaire.

Hu Jintao, qui a paru affaibli physiquement durant le congrès, est le prédécesseur de Xi Jinping et considéré comme un réformateur.

sbr-lxc/ybl

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F1: Sainz Jr offre à Ferrari sa première pole à Austin

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Carlos Sainz Jr (Ferrari) a signé la pole position du Grand Prix des Etats-Unis, la troisième de sa carrière en Formule 1, et partira en tête de la…

Carlos Sainz Jr (Ferrari) a signé la pole position du Grand Prix des Etats-Unis, la troisième de sa carrière en Formule 1, et partira en tête de la grille dimanche au circuit des Amériques.

L’Espagnol a devancé son coéquipier Charles Leclerc, mais le Monégasque, pénalisé après l’installation de nouvelles pièces sur son unité de puissance, s’élancera dix rangs plus bas à la 12e place, selon la grille provisoire communiquée par les organisateurs.

Du coup, c’est le double champion du monde Max Verstappen (Red Bull), auteur du 3e chrono, qui partira en première ligne juste derrière Sainz.

“C’était très amusant, très délicat avec les rafales de vent. J’ai réussi à faire un bon tour sans faire d’erreur. Mais Red Bull reste le favori car ils ont généralement le meilleur rythme de course”, a commenté à chaud Sainz Jr, qui offre à la Scuderia sa toute première pole à Austin.

Sa rivale britannique, qui a appris en préparant cette séance de qualifications le décès à 78 ans de son cofondateur et propriétaire, l’Autrichien Dietrich Mateschitz, peut espérer remporter le titre des constructeurs dimanche.

Plusieurs scénarios sont possibles, le plus simple étant que ses pilotes, Max Verstappen et le Mexicain Sergio Pérez, qui s’élancera en 9e position, malgré son 4e temps, car lui aussi pénalisé de cinq places pour un changement de moteur au-delà du quota autorisé, finissent devant Sainz Jr et Leclerc.

Une possibilité réelle tant la domination des Red Bull en course est écrasante depuis le début de saison. 

Affecté par la mort de Dietrich Mateschitz, Verstappen a convenu avoir traversé une fin de journée délicate. “C’est une nouvelle difficile pour tout le monde, pour Red Bull et pour le sport, et pour moi en général”, a-t-il dit. 

“Nous avons manqué la pole de peu, mais il y a une course demain et nous allons essayer de la gagner pour lui”, a ajouté le Néerlandais, vainqueur à Austin l’an passé et qui pourra, s’il s’impose, égaler le record de 13 victoire dans une saison, pour l’heure copropriété des Allemands Michael Schumacher et Sebastian Vettel.

nip/ybl

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Xi Jinping en route pour un troisième sacre à la tête de la Chine

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Le président chinois Xi Jinping doit être reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, après avoir balayé toute contestation dans le pays et dans ses rangs, s’assurant ainsi de diriger la Chine…

Le président chinois Xi Jinping doit être reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, après avoir balayé toute contestation dans le pays et dans ses rangs, s’assurant ainsi de diriger la Chine pendant au moins cinq ans de plus.

Ce troisième mandat fera de lui le dirigeant le plus puissant depuis le fondateur du régime, Mao Tsé-toung (1949-1976).

Après une semaine de délibérations à huis clos, le 20e congrès du Parti communiste chinois (PCC) s’est refermé samedi sur un large remaniement de son Comité central, sorte de parlement interne au parti.

Ce dernier a été renouvelé à 65% par rapport à 2017, selon des calculs de l’AFP.

Dimanche matin, les 205 membres – dont 11 femmes seulement – tiendront leur première réunion. Ils désigneront les 25 représentants du Bureau politique, l’instance de décision du PCC, ainsi que son Comité permanent.

Cet organe tout-puissant de sept membres actuellement détient la réalité du pouvoir en Chine et la nouvelle équipe sera présentée à la presse vers midi (04H00 GMT).

Il sera renouvelé à plus de 50% car on sait déjà que quatre des sept membres tirent leur révérence, selon la liste des membres du Comité central publiée par l’agence officielle Chine nouvelle.

Il s’agit de l’actuel Premier ministre Li Keqiang, du numéro trois chinois Li Zhanshu, du vice-Premier ministre Han Zheng et de Wang Yang, président de la Conférence consultative politique du peuple chinois, une assemblée sans pouvoir de décision.

Considéré comme l’une des voix les plus libérales du Parti, Wang Yang était l’un des favoris au poste de prochain Premier ministre.

“Victoire” pour Xi

La composition du nouveau Comité permanent, qui fait généralement l’objet en coulisses d’âpres négociations pendant le congrès, est déjà actée et confirmera la mainmise de Xi Jinping sur la formation politique, selon des analystes.

“Ce sera une victoire presque totale pour Xi Jinping” qui pourra placer une majorité de ses soutiens, pronostique Willy Lam, spécialiste du PCC à l’Université chinoise de Hong Kong.

“Il y aura une domination anormalement asymétrique d’une seule faction: celle de Xi Jinping”, indique M. Lam à l’AFP.

Loin de son apparence homogène, le PCC est divisé en interne et plusieurs courants rivaux cohabitent, estiment des sinologues.

Jusqu’à présent, des compromis existaient pour la répartition des postes dont Xi Jinping est un illustre exemple.

A défaut de s’entendre sur leur candidat respectif, les différentes factions du PCC avaient finalement placé au pouvoir un candidat de consensus en 2012.

Mais Xi Jinping avait ensuite surpris tout le monde en éliminant ses rivaux pour concentrer peu à peu tous les pouvoirs à la tête du parti et de la Chine, tout en menant une répression sévère contre toute dissidence.

Conformément à la coutume, les membres du Comité permanent seront annoncés par ordre d’importance, le numéro un étant le secrétaire général.

A priori le numéro deux ou le numéro trois sera le prochain Premier ministre qui succèdera à Li Keqiang.

Parmi les noms évoqués pour le remplacer: l’actuel vice-Premier ministre Hu Chunhua ou Li Qiang, chef du parti à Shanghai, en dépit d’une gestion chaotique du confinement au printemps.

L’incident Hu Jintao

En obtenant un troisième mandat comme secrétaire général du parti, Xi Jinping est quasiment assuré d’un troisième mandat présidentiel en mars prochain.

Pour se maintenir au pouvoir, l’homme fort de Pékin a obtenu en 2018 un amendement de la Constitution qui limitait ce poste à deux mandats et d’une durée totale de 10 ans.

Chef du Parti, chef des armées, chef de l’Etat… le dirigeant a plaidé pour la continuité de ses politiques lors du discours d’ouverture du congrès.

Le Parti communiste chinois a de son côté réaffirmé samedi le “rôle central” de Xi Jinping.

Seul incident marquant durant une cérémonie de clôture pourtant très chorégraphiée, l’ancien président Hu Jintao a été escorté vers la sortie, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Visiblement contre son gré, l’homme de 79 ans, qui a présidé la Chine de 2003 à 2013, a été incité par des employés à se lever de son siège, situé à côté de Xi Jinping.

Cette scène très inhabituelle n’a été ni expliquée ni rapportée par les médias d’Etat accessibles en Chine. Les autorités n’ont quant à elles donné aucune suite aux sollicitations de l’AFP. 

De son côté, l’agence Chine nouvelle a affirmé en anglais que Hu Jintao “ne se sentait pas bien”. Il va “beaucoup mieux” désormais, a-t-elle écrit sur Twitter, réseau social bloqué en Chine.

Dimanche, aucun média dans le pays n’avait republié ce commentaire.

Hu Jintao, qui a paru affaibli physiquement durant le congrès, est le prédécesseur de Xi Jinping et considéré comme un réformateur.

sbr-lxc/ybl

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Sizzla “Rise Up” To Grammy Consideration

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Conscious dancehall icon Sizzla is thankful for the consideration by the Recording Academy in the running for the 65th Grammy Awards. He could be among the nominees for Best Reggae Album for his latest work, Rise Up. He’ll have to wait until Tuesday, November 15, to know if the album was selected.

The last time he received a nomination was in 2014 for the self-produced album The Messiah. The “Just One of Those Days” artist spoke with STAR about the nomination and what it means to him.

“I would like to say thanks to the Most High Jah Rastafari for his divine inspiration, who had endowed me with the strength, love, life and intelligence in keeping my being wholesome and healthy for me to be able to deliver my messages of love and culture to the people of the world,” he shared.

He also said that he was especially thankful to his fans and those who voted for the album to be nominated, as they have been his die-hard supporters since the very beginning of his career. Sizzla shot to fame in the 90s with his lyrical flow at a time when conscious dancehall was dominating the airwaves throughout the Caribbean region.

Like most hard-working artists, he’s never stopped churning out hits and has well over 50 albums. His most popular albums from which many tracks are still played throughout the Caribbean include Black Woman and Child, Praise Ye Jah, and Good Ways.

This latest project, RISE, has 12 tracks and was produced by his label Kalonji Music Production and Blaqk Sheep Music. It was released on July 22. Sizzla, who was born to devout Rastafarian parents, has definitely stayed true to his beliefs.

He is currently the indigenous president of the Nyabinghi Theocracy Reign government of the Rastafari nation, an ambassador of the Ethiopia Africa Black International Congress True Divine Church of Salvation, and an ambassador to Jamaica in black culture, black heritage, and black history.

All of his devotion to his way of life has helped mold most of his albums, including this one as well. He explained that it’s not just for the people of Jamaica that he does music but for all the people around the world who hold steadfast to the Rastafarian way.

The “Good Ways” singer also said that he is encouraged by the fact his music has helped people to feel more connected to Jamaican culture and that the island’s music has continued to flourish in a competitive world market.

“I expect Sizzla to continue in the path of his Majesty, teaching the people of the world through his music and help in advancing the welfare and well-being of a people so poised at getting to the world and having the right things done,” he added.

Sizzla has remained a cornerstone of the conscious dancehall movement in Jamaica and has at least 21 albums that have made it onto Billboard’s Top Reggae Albums music chart.

Sizzla, along with Capleton, Norris Man, Turbulence, Buju Banton, and Anthony B, are credited with leading a movement that saw the reemergence of the Rastafarian way of life through their highly sought-after music.

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Dietrich Mateschitz, l’Autrichien discret derrière l’empire Red Bull

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Le milliardaire autrichien Dietrich Mateschitz, mort samedi à l’âge de 78 ans, a construit sur le tard un empire sportif et médiatique autour de son entreprise de boissons énergisantes Red…

Le milliardaire autrichien Dietrich Mateschitz, mort samedi à l’âge de 78 ans, a construit sur le tard un empire sportif et médiatique autour de son entreprise de boissons énergisantes Red Bull, devenue une marque mondialement célèbre.

Né en 1944 dans la région orientale de Styrie au sein d’une famille d’enseignants, cette personnalité timide était considérée en 2022 par le magazine Forbes comme la première fortune d’Autriche, estimée à 27,4 milliards d’euros.

Il possédait l’île paradisiaque de Laucala aux Fidji et de nombreuses propriétés en Autriche, où il cultivait la discrétion.

Jamais marié, toujours en jeans, cheveux grisonnants, Dieter Mateschitz n’aura quasiment jamais accordé d’entretien aux journalistes. Tout juste sait-on qu’il avait un fils. 

Après des études d’économie, il devient directeur marketing chez un fabricant de dentifrice. A l’occasion d’un voyage d’affaires, il découvre un breuvage qui va changer sa vie, au bar d’un hôtel hongkongais.

On lui sert une boisson énergisante, courante en Asie. Conquis, il rachète alors avec un associé thaïlandais, Chaleo Yoovidhya, les droits de la société et fonde “Red Bull” – taureau rouge en anglais – en 1984.

De la canette aux sports extrêmes

Il a 40 ans et c’est le début d’une formidable ascension.

La marque aura son siège dans une vallée verdoyante des Alpes, à Fuschl-am-See, depuis laquelle elle va doucement mais sûrement conquérir l’Occident. 

Aujourd’hui, Red Bull emploie plus de 13.000 personnes dans 172 pays, avec un chiffre d’affaires d’environ 8 milliards d’euros, et vend près de 10 milliards de canettes par an.

Dietrich Matechitz avait une obsession: l’image de sa marque, valorisée à travers le parrainage de sports extrêmes et l’investissement de sommes considérables dans le marketing.

L’essor commercial de sa boisson a été porté par cette stratégie, qui a trouvé son paroxysme en 2012 avec le parrainage de Felix Baumgartner, premier homme à franchir le mur du son en chute libre stratosphérique.

Avec un succès grandissant, il pénètre peu à peu le monde plus fermé des sports grand public. Aujourd’hui, Red Bull est un acteur incontournable de la Formule 1: les champions Sebastien Vettel, Daniel Ricciardo et Max Vestappen sont passés dans son écurie. 

Après des incursions dans les domaines de la musique et de l’aviation, il se risque dans le football en rachetant notamment le club de la ville autrichienne de Salzbourg en 2005 puis celui de Leipzig en Allemagne.

L’envers du décor

Créer l’événement, mais en contrôler la communication. Le premier, Mateschitz a vu venir l’évolution du paysage médiatique, devenu en quelques années un monde fragmenté en une multitude de sites internet et de chaînes en quête de contenus spectaculaires. 

En 2007, il fonde en Autriche la “Media house”, chargée de fournir des milliers d’heures d’images aux diffuseurs intéressés, et investit également dans la téléphonie mobile.

Derrière le succès planétaire, difficile de savoir qui était le fondateur de Red Bull.

Dans un rare entretien accordé au quotidien autrichien Kleine Zeitung en 2017, le milliardaire critiquait l’absence de maîtrise de la vague migratoire en Europe et laissait entrevoir des positions conservatrices. 

Une partie de son empire médiatique, présent dans le monde germanique, est depuis critiquée pour avoir pris un tournant conspirationniste, notamment dans le traitement de la pandémie de Covid-19.

En 2021, le magasine autrichien Dossier a publié une enquête révélant les dessous de cette entreprise impénétrable, dont le marketing sportif cacherait la nocivité de la boisson.

Il a également révélé le lobbying joué par la diplomatie autrichienne auprès des Etats souhaitant réguler la consommation de boissons énergisantes, accusées d’être dangereuses pour la santé en cas de surconsommation. 

bg/anb/ybl

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Dietrich Mateschitz, l’Autrichien discret derrière l’empire Red Bull

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Le milliardaire autrichien Dietrich Mateschitz, mort samedi à l’âge de 78 ans, a construit sur le tard un empire sportif et médiatique autour de son entreprise de boissons énergisantes Red…

Le milliardaire autrichien Dietrich Mateschitz, mort samedi à l’âge de 78 ans, a construit sur le tard un empire sportif et médiatique autour de son entreprise de boissons énergisantes Red Bull, devenue une marque mondialement célèbre.

Né en 1944 dans la région orientale de Styrie au sein d’une famille d’enseignants, cette personnalité timide était considérée en 2022 par le magazine Forbes comme la première fortune d’Autriche, estimée à 27,4 milliards d’euros.

Il possédait l’île paradisiaque de Laucala aux Fidji et de nombreuses propriétés en Autriche, où il cultivait la discrétion.

Jamais marié, toujours en jeans, cheveux grisonnants, Dieter Mateschitz n’aura quasiment jamais accordé d’entretien aux journalistes. Tout juste sait-on qu’il avait un fils. 

Après des études d’économie, il devient directeur marketing chez un fabricant de dentifrice. A l’occasion d’un voyage d’affaires, il découvre un breuvage qui va changer sa vie, au bar d’un hôtel hongkongais.

On lui sert une boisson énergisante, courante en Asie. Conquis, il rachète alors avec un associé thaïlandais, Chaleo Yoovidhya, les droits de la société et fonde “Red Bull” – taureau rouge en anglais – en 1984.

De la canette aux sports extrêmes

Il a 40 ans et c’est le début d’une formidable ascension.

La marque aura son siège dans une vallée verdoyante des Alpes, à Fuschl-am-See, depuis laquelle elle va doucement mais sûrement conquérir l’Occident. 

Aujourd’hui, Red Bull emploie plus de 13.000 personnes dans 172 pays, avec un chiffre d’affaires d’environ 8 milliards d’euros, et vend près de 10 milliards de canettes par an.

Dietrich Matechitz avait une obsession: l’image de sa marque, valorisée à travers le parrainage de sports extrêmes et l’investissement de sommes considérables dans le marketing.

L’essor commercial de sa boisson a été porté par cette stratégie, qui a trouvé son paroxysme en 2012 avec le parrainage de Felix Baumgartner, premier homme à franchir le mur du son en chute libre stratosphérique.

Avec un succès grandissant, il pénètre peu à peu le monde plus fermé des sports grand public. Aujourd’hui, Red Bull est un acteur incontournable de la Formule 1: les champions Sebastien Vettel, Daniel Ricciardo et Max Vestappen sont passés dans son écurie. 

Après des incursions dans les domaines de la musique et de l’aviation, il se risque dans le football en rachetant notamment le club de la ville autrichienne de Salzbourg en 2005 puis celui de Leipzig en Allemagne.

L’envers du décor

Créer l’événement, mais en contrôler la communication. Le premier, Mateschitz a vu venir l’évolution du paysage médiatique, devenu en quelques années un monde fragmenté en une multitude de sites internet et de chaînes en quête de contenus spectaculaires. 

En 2007, il fonde en Autriche la “Media house”, chargée de fournir des milliers d’heures d’images aux diffuseurs intéressés, et investit également dans la téléphonie mobile.

Derrière le succès planétaire, difficile de savoir qui était le fondateur de Red Bull.

Dans un rare entretien accordé au quotidien autrichien Kleine Zeitung en 2017, le milliardaire critiquait l’absence de maîtrise de la vague migratoire en Europe et laissait entrevoir des positions conservatrices. 

Une partie de son empire médiatique, présent dans le monde germanique, est depuis critiquée pour avoir pris un tournant conspirationniste, notamment dans le traitement de la pandémie de Covid-19.

En 2021, le magasine autrichien Dossier a publié une enquête révélant les dessous de cette entreprise impénétrable, dont le marketing sportif cacherait la nocivité de la boisson.

Il a également révélé le lobbying joué par la diplomatie autrichienne auprès des Etats souhaitant réguler la consommation de boissons énergisantes, accusées d’être dangereuses pour la santé en cas de surconsommation. 

bg/anb/ybl

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Police Name Person Of Interest In Aneka ‘Slickianna’ Townsend’s Death

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The Jamaica Constabulary Force has named a male suspect in the death of popular social media influencer Aneka ‘Slickianna’ Townsend, whose body was found floating at a beach in St. James on Friday.

The man has been identified as Rushane Patterson, a resident of Hanover. A release by police says Patterson is from the community of Prosper in Hanover. “We have Rushane Patterson of Prosper, Hanover as a person of interest in this investigation and we are asking him to turn himself in to the police by 5:00 pm,” commander of the St James Police Division, Senior Superintendent of Police Vernon Ellis, said to journalists on Saturday.

The suspect is asked to report to Montego Bay’s Freeport Police Station by 5:00 pm on October 22, 2022. The senior cop has not disclosed details about the investigation but revealed that police have been working diligently to solve the crime, and after several police operations conducted in Hanover, a motor vehicle has been recovered.

In the meantime, while many persons, including some friends and people that know her personally, have compared the tattoos that Townsend had with the ones seen on the body of the woman found floating on the beach, police say that her family members, including her mother, identified the influencer and businesswoman on Saturday at the morgue.

“No one has come forward to identify her as yet, but we have an idea of who she is. We are just awaiting the formal identification,” the senior cop said.

Meanwhile, there are speculations that Patterson is no stranger to the law. Passionate anti-violence advocates online have dug up news reports that suggest that Rushane Patterson is the same person who has been charged in two previous cases where victims were raped and murdered.

The two incidents stem back to a St. Andrew 2013 incident in which Patterson was freed in 2017 and another which appears to be active in the courts and was committed in Westmoreland.

In the current case, Patterson, who is accused of murder and rape, was rearrested in May 2022 after absconding bail. Patterson is described as 33 years old in this case, and reports say that he is on trial for murder, attempted murder, and rape. It’s unclear the details of this case.

In the 2013 case, Patterson, who was accused of murder and rape, was freed after the chief witness did not show up in court.

Archived news reports from the Jamaica Gleaner said that Patterson had abducted and raped a woman and killed her partner.

In 2017, Patterson, then 28 years old, was successful in getting the case thrown out after the witness failed to turn up. Prosecutors claimed that the rape victim and her partner Andre Roberts were walking along Cargill Avenue in St. Andrew around 4 am when they were accosted by men in a motor vehicle.

Roberts, who was placed in the trunk of the car, was killed after attempting to escape from the moving vehicle while the woman was taken to another location where she was raped before her throat was slashed. The victim eventually survived and reported the incident to the police.

At the time, he was represented by attorney Hugh Wildman. Despite the judge giving the prosecution time to locate the witness, their efforts were unsuccessful, and the case was eventually thrown out.

In the meantime, social media users have been collaborating to share whatever information they know about the influencer’s last whereabouts. On Friday evening, a video surfaced showing the woman at a Knutsford Express in Montego Bay. It was later revealed that surveillance footage allegedly showed that the mother of one was picked up by a blue car. She was also allegedly spotted at Margaritaville in Montego Bay the night before her killing.

Some social media users have also taken stock of several comments and responses by both the influencer and an account said to belong to Patterson, which suggests that they knew each other. In a post shared recently, the influencer wrote, “my man really got himself a baddie with a dope soul, I love this for him.”

An Instagram account said to be Patterson’s commented “Slick” with the tongue emoji, which also showed the Influencer responding with a heart emoji.

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L1: L’OM cale complètement et laisse filer Lens

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L’OM n’avance plus, mais vraiment plus du tout: malgré une prestation de qualité, l’équipe d’Igor Tudor a concédé samedi contre Lens au Vélodrome sa troisième défaite consécutive (1-0) et reste en dehors du podium alors que son…

L’OM n’avance plus, mais vraiment plus du tout: malgré une prestation de qualité, l’équipe d’Igor Tudor a concédé samedi contre Lens au Vélodrome sa troisième défaite consécutive (1-0) et reste en dehors du podium alors que son adversaire du soir s’installe à la deuxième place.

A quatre jours d’un très important déplacement à Francfort en Ligue des Champions, ce nouvel échec est évidemment inquiétant pour les Marseillais. Pourtant, les trois revers de cette triste série ne se ressemblent pas beaucoup.

Contre Ajaccio, l’OM a perdu par inadvertance (2-1), à Paris, il a chuté face à plus fort que lui (1-0), alors que ce samedi, il a péché un peu par malchance et un peu par maladresse au bout d’un sommet de bon niveau entre deux équipes qui ont montré qu’elles méritaient leurs statuts de candidates à l’Europe.

Jeudi, l’entraîneur marseillais Igor Tudor avait assuré qu’il ne regardait pas le classement. Et désormais ? Il devrait peut-être, car son équipe pourrait glisser à la 6e place à l’issue de la 12e journée dimanche, en cas de succès de Rennes (5e) et Monaco (6e), autres rivaux directs pour la qualification en Ligue des Champions.

Sommet d’intensité

L’OM pourtant n’a pas fait un mauvais match samedi, mais il peine vraiment à marquer et a cédé sur une action malheureuse, la frappe de Pereira Da Costa étant déviée par Balerdi, qui a lobé Pau Lopez (1-0, 79e).

Il y a un peu plus d’un an, le duel entre les deux équipes au Vélodrome, remporté par Lens (3-2), avait déjà été formidable et avait profondément marqué Jorge Sampaoli, choqué par l’intensité du jeu des Sang et Or et la brutalité de leurs contre-attaques.

Samedi, le match a été du même tonneau, du moins la première période, vrai sommet d’intensité à l’échelle de la L1. Dans une grosse ambiance malgré la fermeture du bas du Virage Sud, les deux équipes ont en effet livré une furieuse bataille, sans qu’aucune ne parvienne à prendre l’avantage.

Même si Openda (10e) et Fofana (37e) ont été dangereux côté Sang et Or, c’est tout de même Marseille qui est passé le plus près de l’ouverture du score, avec des tentatives de Harit (30e) et Sanchez (44e) contrecarrées par Samba, ou de Clauss, tout près de marquer contre son ancienne équipe sur une passe de rêve de Sanchez (44e).

Entre-temps, dès la 20e minute, Tudor avait déjà fait sortir Kolasinac, de retour de blessure et manifestement gêné à la jambe droite, autant que par l’activité d’Openda et Sotoca et par un carton jaune reçu d’entrée.

La C1 pour guérir

La sortie du Bosnien n’est pas une très bonne nouvelle pour la défense de l’OM, qui sera encore privée de Gigot (suspendu) la semaine prochaine à Strasbourg et alors que l’état physique de Bailly, absent samedi, n’est pas connu.

En attendant, c’est Gueye qui est passé troisième défenseur central, avec plus ou moins de bonheur, mais sans que l’OM en soit trop fragilisé, l’équipe de Tudor ne concédant que quelques bribes d’occasions aux Lensois et à Fofana en particulier avant le but de Pereira Da Costa.

L’OM de son côté aurait vraiment dû marquer, par Mbemba qui a tiré sur Samba en excellente position (63e) ou par Guendouzi, stoppé de justesse par Danso (75e).

Mais les Marseillais n’y sont pas parvenus et les voilà en situation bien moins favorable qu’il y a 15 jours en L1, quand ils étaient invaincus et solides deuxièmes.

Dès mercredi, la Ligue des Champions peut faire office de médicament miracle. Mais la L1 reste une priorité et avant la Coupe du Monde, l’OM n’a que des grands rendez-vous, à Strasbourg, contre Lyon et à Monaco.

stt/bvo

L’attaquant de l’OM Alexis Sanchez contre Lens, le 22 octobre 2022 à Marseille
• Nicolas TUCAT

L’attaquant de Lens Seko Fofana (g) devance le capitaine marseillais Valentin Rongier, le 22 octobre 2022 à Marseille
• Nicolas TUCAT

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Fin de l’histoire pour Mario Moradel

Black Immigrant Daily News

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Il y a eu beaucoup d’émotions, ce samedi matin, lors des obsèques de Mario Moradel. Ce grand homme de radio et de télévision, originaire de la Basse-Terre,  est parti discrètement après des années d’investissement pour faire vivre les médias privés, singulièrement Radio et TV Eclair.. 

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