Le corps découvert au large de Cap Chevalier serait celui du plongeur recherché

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R.L.

Le corps a été découvert ce samedi à Cap Chevalier, à Sainte-Anne.

Un corps a été retrouvé en fin de matinée, ce samedi 29 octobre, au large de Sainte-Anne. Il s’agirait de celui de Mathieu Danteaux, porté disparu depuis dimanche dernier.

(MIS A JOUR LE SAMEDI 29 OCTOBRE, à 16H23)

La brigade nautique de la gendarmerie, alertée par un témoin, est restée plusieurs heures suyr place. Ce samedi (29 octobre), en fin de matinée, un corps flottant en mer a été repéré au large de Cap Chevalier à Sainte-Anne. « La brigade procède aux opérations de relevage de corps », indique la gendarmerie. 

« Il pourrait s’agir du corps du plongeur en apnée porté disparu depuis le 23 octobre dernier », précise-t-il. Selon nos éléments, les palmes et la combinaison pourrait correspondre à la description du quadragénaire. 

 

Recherché depuis une semaine

Dimanche dernier (23 octobre), ce plongeur en apnée de 43 ans avait été porté disparu après être parti nager avec deux pêcheurs, au large de l’îlet Chevalier. Les opérations de recherches n’avaient rien donné. Dans notre édition de ce week-end, l’épouse et la fille de Mathieu Danteaux interpellent la population en lui demandant d’être attentive.

À 16h30, les opérations et investigations de la gendarmerie se poursuivaient toujours.

 

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Marseille: un enfant autiste retrouvé tué à l’arme blanche, sa mère en garde à vue

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Le corps sans vie d’un enfant autiste de 12 ans, porté disparu vendredi, a été retrouvé samedi par sa famille à Marseille, sur les rives du fleuve Huveaune, porteur de “plaies à l’arme blanche”, a annoncé…

Le corps sans vie d’un enfant autiste de 12 ans, porté disparu vendredi, a été retrouvé samedi par sa famille à Marseille, sur les rives du fleuve Huveaune, porteur de “plaies à l’arme blanche”, a annoncé le parquet à l’AFP en fin d’après-midi.

“La mère de l’enfant a été placée en garde à vue, compte tenu des constats de la police technique et scientifique dans l’appartement” familial, a précisé à peine deux heures plus tard la procureure de la République de Marseille Dominique Laurens, toujours à l’AFP.

L’enfant, autiste selon son oncle et sa tante qui se sont exprimés auprès de l’AFP sur place dans l’après-midi, dans le quartier populaire de la Capelette, aurait échappé à la surveillance de sa mère vendredi, vers 16H00, lors d’une promenade.

Selon Mme Laurens, la mère aurait signalé la disparition de son enfant vendredi. 

L’oncle et la tante de l’enfant ont affirmé à l’AFP que la famille aurait averti une première fois  le commissariat vers 17H00, puis une nouvelle fois vers 22H00, leurs recherches étant toujours infructueuses.

Le corps a été découvert par le père et l’oncle de l’enfant, a insisté Mme Laurens, en précisant que l’enquête avait été confiée à la police judiciaire.

La famille a affirmé à l’AFP avoir d’abord retrouvé la veste de l’enfant samedi matin vers 08H30, au bord de l’Huveaune, avant de finalement retrouver le corps vers 13H00, toujours au bord du fleuve, à une centaine de mètres de distance, en bas d’une pente raide donnant sur l’eau, dans des herbes hautes et des broussailles.

“J’avais essayé de l’aider”

Le cadavre présente “des plaies à l’arme blanche”, a précisé la procureure à l’AFP, en parlant également “de nombreuses traces de sang sur le trajet de la découverte du corps”.

Sur des images prises par l’oncle avec son téléphone portable, que l’AFP a pu voir, l’enfant, habillé, est en position latérale, le visage tourné vers les broussailles, du sang sur un bras et sur le ventre. Toujours selon l’oncle, les marins-pompiers auraient conseillé à la famille de s’éloigner, le visage de l’enfant étant “abîmé”.

“Nous sommes allés voir la police tout de suite”, a répété la tante samedi auprès de l’AFP: “Quand c’est un enfant autiste comme lui, on ne laisse pas repartir les parents comme ça, on trouve une patrouille pour aller chercher”, a-t-elle poursuivi.

“Si ils étaient venus plus tôt… Après, je ne sais pas ce que ça aurait changé”, a-t-elle ajouté, visiblement en colère. Informée quelques instants plus tard du placement en garde à vue de la mère, la tante a aussitôt fondu en larmes.

Selon elle, la mère s’occupait “à plein temps” de son fils, son seul enfant, et n’exerçait pas de profession: “J’avais essayé de l’aider pour qu’elle se fasse accompagner par des institutions spécialisées mais cela avait échoué, et cet enfant a dû manquer de l’encadrement dont il aurait eu besoin”, a-t-elle expliqué.

L’oncle, la tante et deux voisins de la famille ont assuré à l’AFP que les recherches de l’enfant avaient duré jusqu’à 03H00 du matin samedi.

jnb-sm/ol/or

Un pont traversant le fleuve Huveaune, à Marseille, où le corps sans vie d’un enfant de 12 ans a été retrouvé, le 29 octobre 2022
• Nicolas BOVE

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Brésil: derniers meetings de campagne pour Bolsonaro et Lula

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La campagne du second tour s’achève samedi au Brésil par plusieurs rassemblements de soutien aux deux finalistes : le président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro et le candidat de la gauche Luiz Inacio Lula da Silva…

La campagne du second tour s’achève samedi au Brésil par plusieurs rassemblements de soutien aux deux finalistes : le président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro et le candidat de la gauche Luiz Inacio Lula da Silva, en tête des sondages avant le vote dimanche.

Jair Bolsonaro, 67 ans, prend une nouvelle fois la tête d’un cortège de motards à Belo Horizonte, capitale du Minas Gerais (sud-est), la deuxième plus grande circonscription électorale du pays après Sao Paulo.

“Je suis sûre qu’il va gagner”, a déclaré à l’AFP Fabricia Alves, 36 ans, micro-entrepreneur qui attendait l’arrivée du président avec d’autres supporters habillés en vert et jaune, aux couleurs du drapeau du Brésil.

Elle dit soutenir le président sortant pour sa politique économique et “pour les valeurs” de la famille qu’elle considère comme non négociables : “je ne suis pas favorable à l’avortement ou à l’idéologie du genre, qui est ce que l’autre parti veut imposer à notre pays”, a-t-elle déclaré.

Dans un pays où l’interruption volontaire de grossesse n’est autorisée que dans de rares cas extrêmes, Lula a pourtant répété, et encore récemment devant des responsables d’églises évangéliques, qu’il était “personnellement contre l’avortement”.

Mais les fausses informations sur les réseaux sociaux ont émaillé toute la campagne souvent ordurière, pleine de coup bas.

Vendredi lors du denier débat télévisé à couteaux tirés où ont fusé les invectives (“bandit”, “déséquilibré”), les deux protagonistes se sont accusés mutuellement de “mentir” au détriment des expositions de projets concrets pour les quatre années de mandat en jeu au scrutin de dimanche.

“Un anti-débat, sans la moindre nouveauté qui puisse changer la donne”, a estimé le chroniqueur politique Otavio Guedes sur la chaîne Globonews.

Selon le sondage de l’institut de référence Datafolha publié jeudi, Lula est en tête de quatre à six points (53%-47%). Une ultime enquête samedi donnera la tendance la veille du vote.

Mais les enquêtes d’opinion avaient été pointés du doigt à l’issue du premier tour le 2 octobre pour ne pas avoir anticipé l’écart resserré entre les deux candidats qui se honnissent : 48% pour Lula contre 43% pour Bolsonaro.

– “Besoin de paix” – 

Lula, qui, à tout juste 77 ans, cherche à revenir au pouvoir après avoir dirigé la première économie d’Amérique latine entre 2003 et 2010, avant d’être emprisonné pendant 18 mois pour corruption, va effectuer à Sao Paulo une “marche de la victoire”.

“Le Brésil a besoin d’un gouvernement qui s’occupe à nouveau de notre peuple, en particulier de ceux qui en ont le plus besoin. Il a besoin de paix, de démocratie et de dialogue”, a écrit Lula dans une lettre aux électeurs, dans laquelle il s’en prend au pays de “la haine, du mensonge, de l’intolérance” qu’incarne, selon lui, Bolsonaro.

Dans la dernière ligne droite, Jair Bolsonaro s’est félicité de la lente reprise de l’activité, avec la récente baisse de l’inflation et la diminution du chômage qui s’élevait à 8,7% en septembre. Et “ceci avec une pandémie et une guerre qui affecte toute l’économie mondiale (…) Il y a encore beaucoup à faire”, a-t-il écrit sur son compte Twitter.

Dimanche, quelque 156 millions de Brésiliens sont appelés à voter dans les 26 Etats du pays et le district fédéral. Au premier tour, environ 32 millions (21%) ne se sont cependant pas déplacés. Ces abstentionnistes sont un des enjeux de ce second tour car seulement 6 millions de voix séparaient les deux finalistes au soir du 1er tour.

Le vote est obligatoire au Brésil mais l’amende de 3,5 réais, environ 0,50 euro, est peu dissuasive.

Le décompte final des voix pourrait être serré et accroître la tension et la polarisation dans le pays.

En cas de défaite dans les urnes, les partisans de Jair Bolsonaro pourraient, selon les experts, manifester des réactions violentes, à l’image de l’invasion du Capitole à Washington après la défaite de Donald Trump à la présidentielle américaine, en janvier 2021.

L’ex-président américain a d’ailleurs apporté son soutien au candidat Bolsonaro qu’il surnomme le “Trump des tropiques”, “un grand et respecté dirigeant” qui “se trouve aussi être un type super avec un très grand coeur”. Sur son propre réseau Truth social, il a fustigé son adversaire qu’il surnomme +Lulu+, un “cinglé de la gauche radicale qui va rapidement détruire votre pays et les immenses progrès réalisés sous le président Bolsonaro”.

Vendredi à l’issue du débat interrogé s’il accepterait une éventuelle défaite, Jair Bolsonaro a cependant déclaré que “celui qui a le plus de voix gagne”. “C’est la démocratie”.

bur-lab/thm

Ecart, en nombre de voix, entre Lula et Jair Bolsonaro au 1er tour de l’élection présidentielle brésilienne, le 2 octobre
• Kenan AUGEARD

Le président sortant Jair Bolsonaro (G) et l’ancien président brésilien (2003-2010) et candidat pour le Parti des travailleurs (PT) Luiz Inacio Lula da Silva avant le début du débat télévisé au studio de Globo TV à Rio de Janeiro, au Brésil, le 28 octobre 2022
• MAURO PIMENTEL

Des drapeaux avec les images du président brésilien Jair Bolsonaro et de l’ancien président (2003-2010) Luiz Inacio Lula da Silva sur un marché de Belo Horizonte, au Brésil, le 25 octobre 2022
• DOUGLAS MAGNO

Des partisans de l’ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva dans les rues de Brasilia, le 29 octobre 2022
• EVARISTO SA

Des sympathisants du président sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro, le 29 octobre 2022 à Brasilia
• EVARISTO SA

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Coupures d’eau : les habitants de Morne Capot au Lorrain à nouveau mobilisés devant l’usine de Vivé

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Depuis ce vendredi soir (28 octobre), le collectif des habitants de Morne Capot bloque l’usine de production d’eau de Vivé au Lorrain, afin de protester encore une fois contre les problèmes systématiques d’alimentation en eau potable.

Depuis 1993, les habitants de Morne Capot, au Lorrain, et des environs souffrent de coupures d’eau récurrentes, à cause de la vétusté du réseau. Comme à la fin du mois de juin 2022, le collectif des habitants de Morne Capot est mobilisé, depuis ce vendredi soir (29 octobre), devant l’usine de production d’eau de Vivé au Lorrain, afin de protester une nouvelle fois contre ces problèmes systématiques d’alimentation en eau potable. L’usine est bloquée par un barrage. Elle alimente 130 000 foyers en Martinique, dont les 2 000 habitants de Morne Capot. 

 

A lire aussi
Lorrain : Le manque d’eau au Morne Capot attise encore la colère des riverains

 

La centaine de manifestants compte rester devant l’usine tout le week-end et jusqu’à nouvel ordre. Des associations, comme celle de la protection de l’environnement et de la nature, sont présentes sur place pour les soutenir. 

 

Pas d’eau parfois pendant une semaine 

Roger Lanoix, président du comité citoyen des habitants de Morne Capot, et Tony Tanic, président de l’association Dlo Môn Kapo décrivent le calvaire quotidien des habitants du coin : « On se retrouve parfois sans eau pendant une semaine. Les tuyaux sont pourris. Parfois l’eau arrive avec une odeur nauséabonde, elle est souvent impropre à la consommation. On attend que l’Agence régionale de santé analyse notre eau car nous estimons que ce n’est pas une bonne eau ». 

Ainsi, ils réclament une eau potable de qualité et une alimentation en permanence, sans coupure. « À la dernière réunion avec Cap Nord récemment, nous avons estimé qu’il fallait partir car trop, c’est trop. Nous avons été trompés pendant près de 30 ans », indique Tony Tanic. Les habitants souhaitent la construction d’un nouveau réseau d’eau potable dans leur quartier.

« Cap Nord est dans l’incapacité de nous dire quand les travaux vont commencer. On a eu des avancées très timides. On nous a installé 6 citernes dans le quartier pour pallier aux coupures mais ça fait un mois et demi qu’elles sont vides », déplore-t-il enfin.   

 

Les habitants de Morne Capot ont des coupures d’eau incessantes.
• DR

Ces coupures d’eau au Morne Capot et dans les environs durent depuis 1993.
• DR

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Health probe launched after 9 students at popular school fall ill Loop Jamaica

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3 hrs ago

NEWYou can now listen to Loop News articles!

Principal of the John Rollins Success Primary School in St James Yvonne Wisdom has revealed that there were nine occurrences of vomiting by students at the institution on Friday.

She stated that a teacher was also reportedly vomiting at the school.

The school called in the St James Health Department to determine what was behind the cause of the vomiting which started during a maths presentation at the school Friday morning.

Parents responded to the call to collect the affected children.

Wisdom said classes were not disrupted by the cases of vomiting at the school.

The school is now awaiting a report from the St James Health Department regarding their findings on the issue.

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Eleven killed in traffic crashes Oct 22-28 says RSU Loop Jamaica

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Eleven people, including three American visitors, perished in motor vehicle crashes across Jamaica during the week of October 22-28.

This has pushed to 373, the number of people killed in motor vehicle collisions since the start of the year.

The Americans, all women, died from injuries they sustained in a two-vehicle crash along the Ironshore main road outside Montego Bay in St James early Sunday morning October 23.

They were identified as 59-year-old airline hostess Sandra Lee; her daughter, 25-year-old real estate agent, Savanna Lee; and a relative of the two, 55-year-old nurse Donna Brown, all of Florida addresses in the United States.

According to reports, at about 1:00 am a Toyota Axio and a Subara motor car collided along the Ironshore main road at the Junction with Morgan’s Road.

Both vehicles were reportedly travelling in opposite directions along the Ironshore main road with the Subaru travelling east from Montego Bay towards Coral Gardens and the Toyota Axio travelling west from Coral Gardens towards Montego Bay.

On reaching the junction with Morgan’s Road, the Toyota Axio motorcar made an attempt to turn onto Morgan’s Road and collided with the Subaru in the process.

As a result, the Toyota Axio spun out of control and the passengers who were seated in the rear of the vehicle were ejected through the window before the Toyota Axio collided with a wooden utility pole. The three women died as a result of the collisions.

Also killed during the week were: An 18-year-old male passenger of a private motor car; five pedestrians and two motorcyclists who were all men.

Meanwhile, the RSU is reporting that as of October 28 a total of 373 people have been killed in 324 fatal collisions. A breakdown reveals that the top three categories with the highest number of fatalities were: motorcyclists with 111, pedestrians accounting for 76 and passengers of private motor cars with 54 deaths among them.

To date, 85 per cent of all road fatalities are male with the remaining 15 per cent being female.

The main cause of fatalities was proceeding at excessive speed with no regard to road conditions the RSU said.

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Three men killed in drive-by on Lincoln Avenue, identified Loop Jamaica

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17 minutes ago

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The three men killed in a drive-by shooting outside a small cook shop in an area known as New Lincoln, close to Cross Roads in St Andrew, on Friday evening have been identified.

They are 55-year-old Randolph McBean, and 41-year-old Donville Charlton both of Lincoln Crescent, Kingston 5, and 38-year-old Barrington Phillips, a contractor of Berwick Road, Kingston.

Reports from the Major Investigation Division (MID) are that at about 7:21 pm, Mcbean, Phillips, and Charlton were among a group of people purchasing meals when they were attacked by gunmen traveling in a Mazda motor car.

Reports are that criminals opened fire on members of the group and then sped off.

Police were called to the area and four injured people were rushed to the hospital where the three men whose names were mentioned above were pronounced dead.

The other victim remains in the hospital.

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Family of 5 homeless after Bath Settlement fire

Black Immigrant Daily News

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The destroyed Bath Settlement, WCB house

Five persons, including a two-year-old infant, are now homeless after a massive fire destroyed their Bath Settlement, West Coast Berbice, home this morning.

Bhaskhanand Baldeo, his wife Bibi Nareema Khan, and three children ages 18, 15, and 2, lost all their belongings including a Motor Car valued at $3.3M in the blaze.

Baldeo told the Evening News that the fire started sometime around 08:00h, and at the time, his 15-year-old daughter was at home alone.

The Baldeo family

He said the teenager told him that she was in the bottom flat of the house when she heard things falling upstairs.

Upon investigating, the teen saw the upper flat of the house fully engulfed in flames and made her way out of the house for her safety.

The Fire Service was summoned to the scene but despite their efforts to save the building, the house was completely destroyed.

An investigation was launched to determine the origin of the fire.

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50 Cent’s G-Unit Films Finds New Home At Lusid Media After Starz Exit

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50 Cent is moving on from Starz and has signed a new deal to produce an unscripted series for NBC Universal’s online streaming platform Peacock.

On Thursday, the rapper announced that he signed a new deal to produce an unscripted series for Lusid Media and Peacock. The new deal will see Curtis ’50 Cent’ Jackson producing a three-project partnership with Lusid Media. The first project is reportedly already underway, but so far, no details have been revealed by either 50 Cent, who left Starz in September after a $150 million deal that saw him producing the hit series “Power” and several spinoffs.

According to Variety, the rapper-turned-producer is expanding his resume as executive producer as one of the unscripted projects is a true crime series that will air on Peacock in 2023.

“I am excited by the kind of stories we’re going to be bringing to life together, and can’t wait for the first project to reach Peacock next year,” Variety quoted the rapper.

He added, “G-Unit Film & Television continues to go from strength-to-strength, and this partnership with Lusid is another great collaboration for the team.”

On Instagram, 50 Cent wrote, “More heat on the way, must see TV GLG GreenlightGang i don’t miss Peacock.”

Previously speaking about his four-year deal with Starz, the rapper celebrated moving on.

“09-17-22 official day of really owning my content and deciding where and how I do it moving forward,” he said in September as he hinted about what’s ahead.

In the meantime, Lusid Media President Zak Weisfeld spoke about 50 Cent joining the team.

“50 Cent is a storytelling phenomenon, and we’re excited by the combination of our track record in the unscripted entertainment space, and the dynamism of 50 and the G Unit team,” he said.

In the meantime, fans can continue to enjoy the 50 Cent-produced “BMF,” which was recently renewed with a star-packed cast for a second season, and he also has several new shows set to hit the big screen- “Hip Hop Homicides” airing on WeTV in November and a horror movie series deal with Eli Roth and 3BlackDot.

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Licences for Guyanese fisherfolk: Govt pursuing diplomatic solution as private sector continues to complain

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Fishing boats moored at the Number 66 Fisherman’s Co-op Society

The Guyana Government is actively working to resolve the ongoing fishermen licence issue, in order for Guyanese to operate and fish in Surinamese waters.

This was communicated by President Dr Irfaan Ali on Friday, expressing that Government is not happy with the way fisherfolk are currently treated. However, action is being taken and he further assured that this matter will not affect pending areas of interest between the two countries.

“When you’re in Government, you have to run Government in a very responsible way. It’s a mature thing to be in Government. The President is not an immature position to be in. We have one issue with fishing. That has not affected the other issues… Are we happy with the way the fishermen are treated? No, we’re not happy. Are we taking steps? Yes, we’re taking steps,” Ali commented.

Addressing the effects of this situation, the Head of State shared that his Administration is concerned about the private sector’s view and the effects created from this situation. However, he reiterated that it is being handled from a diplomatic standpoint.

“It affects the way in which the private sector view things, of course, because the private sector is complaining and we’re very concerned.  We are approaching this fishing issue from a diplomatic level, applying all the measures that the Government can apply and finding a solution. That is what we’re working towards.”

The matter of Suriname’s harassment of Guyanese fishermen and the Dutch-speaking republic’s continued refusal to grant licences to them, has been a topical issue in recent times that even escalated to the point where Guyana’s Ambassador in Suriname, Keith George, was summoned last month to a meeting with the Surinamese Foreign Minister, Krishna Mathoera, on this very issue.

Following the high-level meeting in Guyana during August 2021 between President Dr Irfaan Ali and Surinamese President Chandrikapersad Santokhi, the two leaders had issued a joint press statement indicating that the age-old issue of licences for Guyanese fisherfolk to operate in Suriname’s territorial waters would be addressed.

These fishermen operate from the Corentyne coast and have to use the Corentyne to get access to the Atlantic where they get most of their catch. The Corentyne River is considered Surinamese territory. Currently, the licences are issued to Surinamese businessmen at US$100 per year and rented to the Guyanese fisherfolk at US$3000 annually.

About 150 boats operate from the Number 66 Fisherman’s Co-op Society, thus providing direct employment for about 800 fishermen. Additionally, some 200 persons are employed in providing services which include transportation, fish vending and repairs to machinery and equipment. Guyana has already said that it will be bringing this matter before the Caribbean Community (Caricom), since Suriname is also a member state.

Email correspondence sent from high officials in the Surinamese Government, to their Guyanese counterparts, revealed that Suriname had promised Guyana, that the fishing licence for Guyanese to fish in Surinamese waters would have been issued on January 1, 2021.

In the email dated December 13, 2020, which was seen by this publication, Surinamese Minister of Agriculture, Livestock and Fisheries Prahlad Sewdien had written to Guyana’s Minister of Agriculture, Zulfikar Mustapha, informing him that the fishing licences would be issued from January 1 of the next year and that they would try to have preparations completed within two weeks. The email also acknowledged the list of fishermen that Mustapha had sent to Sewdien, while also suggesting various actions that should be taken to complete the process of issuing the licence, under Surinamese law.

Despite previous promises, Suriname has failed to issue to Guyanese fishermen licences to operate in Surinamese waters.

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