Mansour Abbas, le précurseur d’une nouvelle politique arabe en Israël

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Chef de file d’un parti islamiste modéré, Mansour Abbas est devenu un pionnier en Israël l’an dernier, lorsqu’il a signé un accord de coalition soutenant un gouvernement hétéroclite…

Chef de file d’un parti islamiste modéré, Mansour Abbas est devenu un pionnier en Israël l’an dernier, lorsqu’il a signé un accord de coalition soutenant un gouvernement hétéroclite réunissant droite, centre et gauche israélienne.

Un peu plus d’un an plus tard, ladite coalition est tombée et les Israéliens sont appelés le 1er novembre à voter pour leurs cinquièmes législatives en trois ans et demi. Mais à quelques jours du scrutin, la confiance de Mansour Abbas, fort de son “expérience novatrice”, n’est en rien entamée.

Soutenir une telle coalition, “était un risque qui s’est transformé en opportunité, nous avons réussi à réaliser de grandes choses”, affirme à l’AFP le politicien arabe israélien de 48 ans.

La dernière fois qu’un parti arabe israélien avait soutenu -sans toutefois y participer- un gouvernement remonte à 1992, à l’époque du gouvernement du travailliste Yitzhak Rabin. Cette fois la formation Raam de Mansour Abbas a officiellement signé un accord de coalition, sans participer directement au cabinet.

Ce soutien au gouvernement, mené d’abord par Naftali Bennett (droite radicale) puis Yaïr Lapid (centre), lui a permis d’obtenir des promesses de milliards de dollars pour l’importante minorité arabe d’Israël, composée des descendants de Palestiniens restés sur leurs terres à la création de l’Etat israélien en 1948.

Mais elle a aussi ouvert la voie à une scission parmi les dirigeants arabes et la communauté au sens large, certains Arabes israéliens considérant ce soutien comme une trahison.

Alors qu’en 2020, les quatre formations arabes s’étaient unies sur une liste commune, leur permettant d’obtenir 15 sièges sur les 120 du Parlement –un succès historique–, elles concourent aujourd’hui en ordre dispersé. D’après les sondages, certaines ne sont pas assurées d’être reconduites au Parlement.

Si M. Abbas estime que Raam conservera ses quatre sièges, il reconnaît que les partis arabes sont confrontés à une “crise de confiance avec les électeurs”. Face aux critiques, il met en avant son engagement en faveur de sa minorité qui représente environ 20% de la population israélienne.

Médiatisation

Fils d’agriculteurs et issu d’une fratrie de 11 enfants de la ville de Maghar (nord), Mansour Abbas ne se prédestinait pas à faire de la politique.

Devenu dentiste après des études à l’Université hébraïque de Jérusalem, il explique avoir ressenti une “pression” pour se mobiliser contre la hausse de la criminalité dans la communauté arabe israélienne, qui affirme faire l’objet de discrimination par rapport à la majorité juive.

Et il a joint le Mouvement islamique, une organisation de défense des intérêts des musulmans qui s’était scindée dans les années 1990: la branche Nord opposée aux accords d’Oslo entre Israël et les Palestiniens, et la branche Sud favorable à ces accords sur l’autonomie palestinienne signés en 1993.

Mansour Abbas, qui vit dans le nord d’Israël, s’est toutefois engagé en faveur de la branche Sud qui concentre ses appuis chez les Bédouins du désert du Néguev, et cherche aujourd’hui à peser sur le pouvoir israélien pour obtenir le plus de gains pour la minorité arabe. 

Elu député pour la première fois en 2019, il a siégé dans des commissions parlementaires traitant notamment de cette problématique. Sa position de faiseur de roi après les élections de 2021 – il était courtisé à la fois par Benjamin Netanyahu et ses opposants – l’a propulsé sur les écrans aux heures de grande écoute.

Désormais, lorsqu’il se rend dans un restaurant, il est salué en hébreu par des juifs Israéliens désireux de se photographier avec lui.

Parmi la majorité juive, il ne fait toutefois pas l’unanimité, certains estimant que l’importance affichée de la foi musulmane est incompatible avec un engagement politique dans les sphères les plus hautes de l’Etat hébreu.

Lui affirme, qu’après avoir été fasciné par l’islam à l’adolescence, une étude plus approfondie de sa foi lui avait enseigné que “nous pouvons vivre avec les autres d’un point de vue religieux”.

Et affirme diriger le vote arabe vers “la bonne direction”. “Siéger au Parlement en tant que député n’est pas suffisant. Je cherche à influencer et à entrer dans la coalition”, assène-t-il.

mab-rsc/mib-cgo/gl/feb/mlb

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Benny Gantz, le “Monsieur sécurité” qui veut devenir Premier ministre d’Israël

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“Plus que jamais, Israël a besoin d’un leadership avec de l’expérience sécuritaire”. L’ex-chef de l’armée Benny Gantz ressort sa carte de “Monsieur sécurité” pour séduire les électeurs aux prochaines législatives et tenter de s’imposer comme une…

“Plus que jamais, Israël a besoin d’un leadership avec de l’expérience sécuritaire”. L’ex-chef de l’armée Benny Gantz ressort sa carte de “Monsieur sécurité” pour séduire les électeurs aux prochaines législatives et tenter de s’imposer comme une alternative crédible au poste de Premier ministre. 

Grand, baraqué et yeux azur, l’ancien général de 63 ans n’avait aucune expérience politique lorsqu’il s’est jeté dans l’arène en 2019 pour former le parti de centre-droit “Bleu-Blanc” (les couleurs du drapeau israélien) dont le but assumé était de chasser du pouvoir Benjamin Netanyahu, alors chef de gouvernement.

Depuis cette date, il a mené quatre batailles électorales contre l’ancien Premier ministre, sans jamais véritablement triompher de lui, et a rempilé cette année pour un cinquième round à la tête d’une coalition nommée “Parti national de l’unité” qui a recruté un autre ancien chef d’état-major: Gadi Eizenkot.

En mai 2020, pour sortir de l’impasse politique et répondre à la crise du coronavirus, il avait créé la surprise en s’alliant avec son adversaire à la faveur d’un accord de rotation au pouvoir que M. Netanyahu n’avait pas respecté, provoquant en 2021 de nouvelles élections au terme desquelles il a rejoint une coalition aujourd’hui menée par Yaïr Lapid. 

Pour les nouvelles élections du 1er novembre, Benny Gantz cherche à s’imposer comme une troisième voix entre MM. Lapid et Netanyahu, assurant pouvoir réunir le nombre d’élus nécessaires à la formation d’une coalition “d’union”.

“J’espère arriver à réunir autour de moi le maximum de formations, mettre fin au joug politique de Netanyahu et former un gouvernement sans se reposer sur les extrêmes”, déclare-t-il dans un entretien à l’AFP.

Stabilité

S’il propose une vision plus libérale de la société que M. Netanyahu, et souhaite mettre en place un gouvernement laïc favorable au mariage civil, ce qui n’est pas d’usage en Israël, ce fils d’immigrants roumain et hongrois rescapés de la Shoah soigne, comme lui, son image de faucon.

Cet ex-militaire à l’attitude décontractée et abordable affirme vouloir conserver le contrôle militaire israélien sur la majeure partie de la Cisjordanie –territoire palestinien occupé par l’armée israélienne depuis 1967–, annexer la vallée du Jourdain et mettre fin aux attaques venant de la bande de Gaza.

A 18 ans, il rejoint l’armée dont il gravit les échelons et obtient le grade de général en 2001 avant de devenir chef d’état-major de 2011 à 2015, dirigeant ainsi l’armée pendant deux guerres contre le mouvement Hamas au pouvoir dans la bande de Gaza, enclave palestinienne sous blocus israélien.

“Il n’a pas laissé de traces indélébiles dans l’armée, mais a conservé une image de stabilité et d’honnêteté”, selon Amos Harel, journaliste spécialiste des affaires militaires au quotidien Haaretz.

Disant vouloir frapper les groupes palestiniens responsables d’attaques anti-israéliennes, il s’entretient dans le même temps avec l’Autorité palestinienne, dont il rencontre le président Mahmoud Abbas à plusieurs reprises pour évoquer des “questions de sécurité et d’économie”.

En août dernier, il lance en tant que ministre de la Défense une opération éclair contre le Jihad islamique dans la bande de Gaza. Au total, 49 Palestiniens sont tués, parmi lesquels des combattants dans cette nouvelle escalade.

“C’est une réussite sur le plan militaire (…) Nous n’hésiterons pas à l’avenir à mener d’autres opérations de ce genre”, se félicite-t-il.

Marié et père de quatre enfants, Benny Gantz est titulaire d’une licence d’histoire de l’université de Tel-Aviv, d’un master en sciences politiques de l’université de Haïfa (nord) et d’un master en gestion de ressources nationales de la National Defense University aux Etats-Unis.

mib-cgo/gl/feb/cn 

Combinaison de photos créée le 26 octobre 2022 montrant le Premier ministre israélien Yair Lapid (en haut à gauche) à Jérusalem, le 23 octobre 2022 ; l’ancien Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu (en haut à droite) aux États-Unis le 5 mars 2014
; le ministre israélien de la Défense Benny Gantz (en bas-G) le 11 octobre 2022 ; le député d’extrême droite Itamar Ben-Gvir (en bas-D), à Tel Aviv le 6 octobre 2022.
• ABIR SULTAN

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Ben Gvir, l’impétueuse star de l’extrême droite israélienne

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Longtemps cantonné au rôle de trublion infréquentable de l’extrême droite, Itamar Ben Gvir est devenu une figure incontournable de la politique en Israël au point de s’imposer comme la possible clé de voûte d’un gouvernement de…

Longtemps cantonné au rôle de trublion infréquentable de l’extrême droite, Itamar Ben Gvir est devenu une figure incontournable de la politique en Israël au point de s’imposer comme la possible clé de voûte d’un gouvernement de droite à l’issue des législatives du 1er novembre.

Avocat de formation, ce père de six enfants qui vit dans une colonie parmi les plus radicales de Cisjordanie occupée, est devenu député en avril 2021, après des années à militer à l’extrême droite.

Aujourd’hui sur la liste “Sionisme religieux”, il défend l’annexion par Israël de la Cisjordanie, où vivent 2,9 millions de Palestiniens, le transfert d’une partie de la population arabe d’Israël vers les pays voisins, et ne craint jamais de se rendre là où les tensions sont les plus fortes, mettant, selon ses détracteurs, le feu aux poudres.

A Jérusalem-Est, il clame “Vive le peuple d’Israël” sur l’esplanade des Mosquées, appelé Mont du Temple dans la tradition juive, épicentre des tensions. En mai 2021, alors que des violences dans le quartier de Cheikh Jarrah, où des familles palestiniennes sont menacées d’expulsion, sont le prélude à un embrasement, il y établit son bureau parlementaire en soutien aux colons israéliens.

Mi-octobre cette année, alors que des heurts y opposent à nouveau colons, forces israéliennes et Palestiniens, il s’y rend, sort une arme devant tous, avant de la ranger. 

Le lendemain, le père de 46 ans publie sur Twitter une photo de deux de ses enfants, fusils d’assaut en plastique en main, et lui, tout sourire, avec pour légende: “Après les émeutes (…) j’apprends aux enfants comment se conduire avec les terroristes”.

“En guerre”

Né en banlieue de Jérusalem de parents séfarades, Itamar Ben Gvir puise son idéologie anti-arabe dans celle du rabbin extrémiste Meir Kahane, dont le mouvement Kach a été banni en Israël après l’assassinat en 1994 de 29 Palestiniens en train de prier à Hébron, en Cisjordanie, par un de ses sympathisants, Baruch Goldstein.

Itamar Ben Gvir, qui a milité dans Kach, a longtemps eu un portrait de Goldstein dans son salon mais dit avoir pris quelques distances depuis.

“Bien sûr j’ai changé, quand je disais il y a 20 ans qu’il fallait expulser tous les Arabes, je ne le pense plus, mais je ne vais pas m’excuser”, dit-il dans un entretien à l’AFP à Tel-Aviv. “Je suis le marqueur de droite de la Knesset et je viens sauver le pays ; je suis en guerre contre les jihadistes et ceux qui veulent attaquer le pays”.

Le député, également connu pour ses positions anti-LGBTQ, estime qu’”il n’y a pas vraiment de peuple palestinien” et parle d’un “danger existentiel pour la survie du peuple juif”, à l’heure où les violences liées au conflit israélo-palestinien sont vives.

“Ben Gvir a réussi à faire croire qu’il est désormais sinon modéré, au moins un extrémiste plus respectable, ce qu’il n’est pas”, affirme Yossi Klein Halevi, chercheur à l’institut Shalom Hartman. “C’est un démagogue qui s’alimente de la peur, de la frustration et de la colère”.

– Futur ministre? – 

Inculpé plus d’une cinquantaine de fois depuis son adolescence pour incitation à la haine ou des violences, il se vante d’avoir été innocenté dans 46 cas. C’est sur la recommandation des juges qu’il a entrepris des études de droit, pour se défendre lui-même, se targue-t-il.

Mais quand il ne vocifère pas, l’homme au visage mafflu apparaît presque affable, du genre que “les journalistes adorent interviewer”, relève M. Klein Halevi. “Il trouve toujours une bonne citation”.

En vue des législatives, il s’est de nouveau allié à Bezalel Smotrich, autre figure du nationalisme religieux.

Selon des sondages, leur alliance baptisée “Sionisme religieux” pourrait arriver en troisième place avec environ 14 sièges, essentiels au projet de gouvernement de droite de l’ex-Premier ministre Benjamin Netanyahu, qui cherche à revenir aux affaires en réunissant les élus de son Likoud, des formations ultra-orthodoxes et du duo Ben Gvir/Smotrich.  

En échange de son soutien, M. Netanyahu pourrait promouvoir M. Ben Gvir au rang de ministre. “Il voudra le ministère de la Justice, il aura peut-être la Sécurité intérieure”, un scénario qui aurait pour corollaire “une agitation continue, de la tension et de la haine dans la rue”, prédit M. Klein Halevi.

cgo/gl/jg/lpa

Une affiche électorale du candidat d’extrême droite Itamar Ben Gvir à Tel Aviv, le 27 octobre 2022
• AHMAD GHARABLI

Le politicien israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir accuilli par des supporters à Jérusalem, le 28 octobre 2022
• MENAHEM KAHANA

Le politicien israélien d’extrême droite Itamar Ben Gvir lors d’un rassemblement électoral à Sderot, dans le sud d’Israël, le 26 octobre 2022
• GIL COHEN-MAGEN

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North Side man arrested and charged with murder Loop Cayman Islands

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2 hrs ago

The Royal Cayman Islands Police Service (RCIPS) reported that just after 11am on Friday, October 28, investigators with the RCIPS arrested a 31-year-old-man of North Side on suspicion of murder.

According to the RCIPS, the arrest was made in relation to the Martin Drive shooting incident that took place on July 1, 2021.

During this incident, 36-years-old Mark Ebanks and 55-years-old Eldon Walton were both shot and killed and one other man sustained gunshot injuries.

Following his arrest, the North Side man was formally charged with two counts of Murder, one count of Attempted Murder, and Possession of an Unlicensed Firearm.

The man appeared in court on October 28 where he was remanded until November 11, 2022.

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After several weeks of a difficult and grueling trial, the jury in the case of the Queen versus Canover Norbert Watson and Bruce Andrew Blake delivered its verdict today, October 28, finding Mr&n

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MP Joseph Hew, the Deputy Leader of the Opposition, issued a statement responding to a media article indicating that there was pre-election of abuse of public cash at the National Roads Authority (NRA

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AI Forum, a leading research and information source on Artificial Intelligence, has launched an annual conference focused on several hot-button industry topics, such as the intersection of AI and huma

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The Opposition has now issued a statement explaining their absence from the sweating-in of the Hon. Margaret Ramsey-Hale as first female Chief Justice of the Cayman Islands.

In summary, the Opposit

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Detectives are appealing for witnesses to come forward and assist with the investigation of a stabbing incident that led to the death of Ian Duffell of West Bay.

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Spain’s state prosecutor dropped its charges against Neymar on Friday, but a Brazilian company involved in the case will continue to fight the soccer player in court.

The case stems from Neymar’s t

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Police investigate stabbing in Belford Estates Loop Cayman Islands

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Loop News

1 hrs ago

Police say that just before 7pm on Wednesday, October 26, police and other emergency services were dispatched by the 9-1-1 Communications Unit to a report of a stabbing incident in the Belford Estates area of Bodden Town.

It was reported that a man and a woman who are known to each other had a physical altercation resulting in the man receiving several stab wounds. He was transported to the hospital by ambulance where he was treated for serious, but non-life-threatening injuries, and later released.

The woman, age 29, of Bodden Town, was arrested in relation to this wounding incident. She too received non-life-threatening injuries and was treated at the hospital and returned custody. She has since been bailed pending further investigations.

The incident is being investigated by the RCIPS Protective Services.

Anyone with information regarding this incident is encouraged to call the Bodden Town Police Station at 947-2220.

Alternatively, anonymous tips may be submitted through the RCIPS website.

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Rejected! Recall petition fails

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After a vetting process, 52 signatures on a petition aimed at recalling UDP leader, Hon. Moses “Shyne” Barrow were disregarded (due to retractions of support) or disqualified. Albert area representative, Hon. Tracy Taegar Panton, has stated, however, that “signatories to the recall petition can only be retracted on the Convention floor.” Alberto August, vice chairman of the UDP, stated at a press conference on Wednesday that the UDP Chairman “has acted unilaterally.”

by Marco Lopez

BELIZE CITY, Wed. Oct. 26, 2022 

The petition for the recall of UDP leader Hon. Moses “Shyne” Barrow, which was submitted by the UDP vice chairman, Alberto August, last Friday has, according to UDP chairman Michael Peyrefitte, failed to meet the threshold needed to trigger a recall convention after a vetting of the 201 signatures that were affixed to that petition. According to Peyrefitte, forty-three of the persons whose signatures were on the petition had requested that their signatures be removed from the petition, and 9 others were disqualified for varying reasons – resulting in the did not appear on the list of delegates. And thirdly, there were two persons, he said, who had resigned. While we might be inclined to concede the first four signatures, we can most certainly challenge the other five. But let’s say for example, in order to make a long process shorter, we concede all nine of those signatures. That is going to leave one hundred and ninety-one valid signatures, which is more than enough to constitutionally trigger a recall,”  August told local media.

He also addressed Peyrefitte’s assertions that some delegates might not have known what they were signing, since their signatures were not placed on the same pages that described the recall effort and the reasons for the recall.

“Now of course you will not have the heading on all the pages, because it’s 2 pages, so you had the attachments to it, and some of them signed on the third page that might have had the heading. But the entire document includes 2 pages of information. Although all we could have said was that you’re signing to recall the party leader, but we gave them 6 reasons as to why the party leader should be recalled,” he said.

Notably, the retractions of support by some who signed the petition were sent via those delegates’ personal e-mail addresses, and it appears that those involved in the recall effort are questioning the authenticity of those retraction messages.

In regard to what further steps might be taken by members of the party who are seeking to recall the UDP leader, August said, “That is the decision of the team to first seek legal advice on the matter. Probably, who knows, might be the commencement of another recall. We don’t know, because there is no limit for the conduct of any recall. If they want one name on each paper, then we will give them one name on each paper, because those same persons are prepared to sign again.” 

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BSCFA tells BSI/ASR to prove claims about costs

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According to the Belize Sugar Cane Farmers Association (BSCFA), BSI/ASR has agreed to give them the right to audit their financial statements. But the association says that is not what they’re asking for.

by Khaila Gentle

BELIZE CITY, Tues. Oct. 25, 2022

The Belize Sugar Cane Farmers Association (BSCFA) says that they want BSI/ASR to provide them with proper documentation that verifies the accuracy of financial figures in statements given to them when they receive payment for sugar cane deliveries. This week, the association held another press conference at their headquarters in Orange Walk Town to explain some of the proposals they have made to BSI in an effort to resolve the impasse between the two parties before the start of the crop season this December.

According to the CEO of the BSCFA, Oscar Alonzo, while BSI has indicated that it is willing to give the farmers the right to audit its financial reports, which are presented in the form of a document known as a Net Strip Value (NSV) statement, the farmers currently have no means of verifying the accuracy and relevancy of the statements. This, he says, is why they have been asking BSI for additional documentation.

“In that manner, they have offered, in my view, a red herring, in terms of saying ‘we will give you the right, and we will include in the commercial agreement a clause that gives BSCFA the right to audit the figures that [are] in that NSV statement’,” Alonzo said.

The BSCFA says that it is not asking for an audit—that the farmers simply want some level of transparency that will allow them the confidence that they’re getting paid fairly for their product. And according to Alonzo, the audited accounts, invoices, and management statements that could make that possible have not been made available to them by BSI since 2014.

“There is nothing wrong with [giving BSCFA] the right to audit, but in our view that right would be meaningless if the figures that they will propose to us for us to audit do not reflect the true value before we attempt to audit,” he said.

“We’re not asking to audit their operations,” Alonzo reiterated. “What we are asking for is documentation—detailed documentation—that will enable us to verify the cost that they are deducting from the gross revenues for the sales of sugar and molasses to determine if we are getting fair payment for our product.”

The sugar crop season is set to begin less than two months from now. The standstill has led both sides to claim that the viability of their operation would be put at risk if a reasonable agreement is not made soon.

Last week, in an AMANDALA article dated Thursday, October 20, we reported that the BSCFA chairman, Andy Westby, had stated that farmers would likely begin phasing out of the sugar industry if the conflict is not resolved.

Apart from a lack of transparency that Oscar Alonzo says has fueled an atmosphere of distrust for decades now, another point of contention between BSCFA and BSI/ASR is the BSCFA’s proposal to split gross revenues at a 40/60 ratio, with the millers receiving 40% and the producers (the farmers) receiving 60%.

Javier Keme, chairman of the Finance Committee of the BSCFA, explained that the 40/60 formula is not something the association chose arbitrarily, but is in fact a model used in various parts of the world.

“In Mauritius, there is 78% for the producers and 22% for the mill from the gross revenues. In the case of Costa Rica, there is 65.5% for the producers and the rest for the mill. In Mexico, there is a straight split of 57% for the producers and 43% for the mills. And in Guatemala, it’s 56/44. And here in Santander, we have a split of 54/46, but there is an additional benefit that the farmer gets on top of the 46% from the payment of sugar, which is a $3 for the use of bagasse, per ton, for the sale of electricity to the national grid,” he said.

According to Keme, the 40/60 split is a simpler and, more importantly, transparent formula that will remove the distrust that the producers feel towards the millers—thus creating a better working relationship between the two entities.

The overhead costs that BSI/ASR had been deducting from the gross revenues, Keme further explained, would be included in the company’s 40%, under the arrangement being proposed by BSCFA. BSI/ASR has suggested, however, that it would not be feasible for them to cover all those overhead costs—which include transport and shipping—on their own.

Note: In a previous article we incorrectly stated that the 60/40 split would result in 40% of gross revenues going to the sugarcane farmers and 60% to the millers. What we should have stated is that 60% would go to the producers and 40% to the millers.

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WATCH: Pierre Discusses Opportunities In Agriculture For The Differently-Abled – St. Lucia Times News

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Prime Minister Hon. Philip J. Pierre continues to explore additional avenues to lend support to Saint Lucia’s differently-abled population.

On October 21, Hon. Pierre held an audience with officials representing the Farmers with Disabilities Bee Keeping Association.

Discussions centered on proposals that seek to create new mechanisms that can increase participation by the island’s differently-abled population in the local farming and beekeeping sectors.

Rehani Isidore tells us more:

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SOURCE: Office of the Prime Minister

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JAMAICA-MINING- Local company secures first shipment of construction grade limestone to US

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Deux-Sèvres: les opposants aux “bassines” prêts à braver l’interdiction

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En pleine sécheresse historique, plusieurs milliers de manifestants s’apprêtent samedi à braver l’interdiction de la préfecture des Deux-Sèvres pour crier leur opposition aux “bassines” près du chantier d’une nouvelle réserve…

En pleine sécheresse historique, plusieurs milliers de manifestants s’apprêtent samedi à braver l’interdiction de la préfecture des Deux-Sèvres pour crier leur opposition aux “bassines” près du chantier d’une nouvelle réserve d’eau destinée à l’irrigation agricole. 

Plus de 2.000 personnes, sur les 10.000 attendues par les organisateurs, étaient déjà arrivées vendredi soir, selon Julien Le Guet, porte-parole du collectif “Bassines Non Merci”, qui rassemble des associations environnementales, organisations syndicales et groupes anticapitalistes opposés à cet “accaparement de l’eau” destiné à l’”agro-industrie”.

La plupart des manifestants sont arrivés à pied pour contourner les restrictions de circulation dans la zone et ont posé leur tente dans le campement installé depuis mardi dans un champ prêté par un paysan près du chantier.

“Maïs pour tous, justice nulle part”, peut-on lire sur l’immense chapiteau jaune qui trône au milieu de ce camp constellé de barnums montés par différentes organisations déterminées à se rendre à partir de la mi-journée près du chantier de la “bassine”, malgré l’interdiction de “toute manifestation” dans plusieurs communes dont Sainte-Soline prononcée lundi par la préfecture.

La préfète des Deux-Sèvres Emmanuelle Dubée a expliqué vendredi vouloir “limiter” d’éventuels “actes de violence”, en référence aux dégradations et aux heurts entre manifestants et forces de l’ordre qui avaient émaillé un précédent rassemblement en mars.

Environ 1.500 gendarmes sont mobilisés, a ajouté Mme Dubée qui prévoit “5.000” manifestants autour de ce village d’environ 350 habitants devenu le nouvel épicentre d’un conflit sur l’usage de l’eau qui se raréfie avec le réchauffement climatique.

260 piscines olympiques

Environ 200 élus, avocats ou professeurs ont dénoncé un manquement à “la liberté fondamentale de manifester” dans une tribune publiée par Libération. Parmi les signataires, des élus insoumis ou écologistes comme Mathilde Panot, Clémentine Autain, Alexis Corbière ou Yannick Jadot, annoncé sur les lieux samedi.

Sandrine Rousseau était également sur place samedi matin, a constaté une journaliste de l’AFP.   

La réserve de Sainte-Soline est la deuxième de 16 réserves de substitution, au coeur d’un projet élaboré par un groupement de 400 agriculteurs réunis dans la Coop de l’eau, pour “baisser de 70% les prélèvements en été”, dans cette région qui connaît encore des restrictions d’irrigation après une sécheresse estivale hors norme.

Ces cratères à ciel ouvert, recouverts d’une bâche en plastique, sont remplis grâce au pompage de l’eau des nappes phréatiques superficielles l’hiver et peuvent stocker jusqu’à 650.000 m3 (soit 260 piscines olympiques). Cette eau est utilisée pour l’irrigation l’été, quand les précipitations se font plus rares.

Les opposants dénoncent des “mégabassines” réservées à de grandes exploitations céréalières tournées vers l’exportation et défendent la mise en place d’autres mesures pour mieux partager et préserver l’eau – agroécologie, changement de cultures, retour des prairies…

Le ministre de la Transition écologique, Christophe Béchu, a estimé samedi sur France Inter que les opposants “dénoncent quelque chose de juste, la nécessité qu’on diminue collectivement, et les agriculteurs aussi, nos usages d’eau”, mais a souligné qu’une étudé publiée en juillet était “venue dire à quel point le projet n’avait pas de conséquences négatives pour les nappes” phréatiques.

Selon cette étude du Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM), le projet pourrait, par rapport à la période 2000-2011, augmenter “de 5% à 6%” le débit des cours d’eau l’été, contre une baisse de 1% l’hiver, sans prendre en compte l’évaporation potentielle des futures réserves, ni la menace de sécheresses récurrentes liée au réchauffement climatique.

M. Béchu a également rappelé que le “plan signé par tout le monde il y a quatre ans” après une longue concertation entre agriculteurs, élus, autorités et associations, conditionnait l’accès à l’eau à des changements de pratiques (réduction des pesticides, plantation de haies, conversion à l’agroécologie).

Mais sur dix agriculteurs utilisant la première retenue, “aucun n’a souscrit de réduction de pesticides”, selon Vincent Bretagnolle, spécialiste d’agroécologie au CNRS à Chizé (Deux-Sèvres) et membre du comité scientifique et technique de suivi (CST) du projet, et depuis la signature, plusieurs associations se sont retirées du protocole.

Denis Mousseau, président de la FNSEA 79 qui défend ce projet de stockage, a rappelé jeudi à l’AFP “la forte inquiétude” des agriculteurs locaux face à l’appel d’organisations à “la désobéissance civile”.

lve-str/gf/sp

La “méga-bassine” construite à Mauzé-sur le Mignon, dans les Deux-Sèvres, le 7 octobre 2022
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Dans le Marais poitevin, la crainte d’une “guerre de l’eau”
• Camille CASSOU

NewsAmericasNow.com