QEH not offering mammograms, biopsies disadvatages cancer patients Loop Barbados

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Raising awareness of breast cancer is a continual fight, and Dr Shirley Hanoman-Jhagroo does not plan to back down.

The medical coordinator of the Barbados Cancer Society’s Breast Screening Programme voiced that women looking to get tested have been further disadvantaged by the Queen Elizabeth Hospital (QEH). The island’s sole public hospital does not offer mammogram services and most recently biopsies have been added to this list.

“The Queen Elizabeth Hospital is no longer offering mammogram services and recently we have had a problem with them doing biopsies….

“I think [it] is very disheartening because if a woman or whoever there is a suspicion that the lesion there is cancerous, are you going to wait months before the biopsy? No. This is not what this programme is about, so we are going to fight this,” Dr Hanoman-Jhagroo remarked during the opening ceremony of the 2022 CIBC Walk for the Cure at Warrens, St Michael.

She noted that a biopsy was not a cheap procedure and lower-income individuals could be wronged by the healthcare system.

While speaking to the thousands gathered in the CIBC FirstCaribbean car park, shared that the Breast Screening Clinic saw an average of two to three new cases weekly. Thanks to early detection – between stages zero and two – their survival increased between 95 to 98 per cent.

However, positive cases have steadily increased over the past three years, Dr Hanoman-Jhagroo reported.

“Positive cases in breast screening have increased from 23 in 2018 to 57 in 2020, and 69 so far in 2021. All of these cases were females between the ages of 31 to 86,” she said.

The medical coordinator of the Breast Screening Programme reminded those gathered that “breast cancer can affect anyone at any age” she mentioned that an 18-year-old also tested positive. While sharing that there have been no reported cases in men between 2018 to 2021, she cautioned that vigilance must be enforced, because anyone was susceptible.

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Vrees voor ‘koninkrijk der belastingen’ zonder arbeidsrechten

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Het heeft er alles van dat de regering op een nieuw avontuur uit is met haar voornemen de Dienst der

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Munroe-Knight replies to allegations of replacing Nelson with Mottley Loop Barbados

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Minister in the Prime Minister’s Office with Responsibility for Culture, Senator Dr Shantal Munro-Knight is calling the social media post circulating that proposes government intends to replace the Lord Nelson statue with a likeness of former Mayor Ernest Deighton Mottley as preposterous.

In reply she said, “It is fake news, completely untrue! There is no such direction, discussion, there is no such meeting planned for Thursday. Thursday is Cabinet. I don’t normally have meetings on Thursday. Thursday is Cabinet. So it is completely untrue.”

Furthermore, she stressed that the process of selecting a new monument to replace that of Lord Nelson in National Heroes Square are now well-advanced.

Seeking to set the record straight tonight, she said, “Let me say for the record if people would recall, the division of culture actually launched in May as part of the season of emancipation a design competition for a monument commemorating family. A press release had been issued. It was in the press. It was on social media. It was a public competition for the mission of a design for a monument commemorating the family. This was in May. Last year we started the process with consultations asking people to submit what they think should replace statue of Lord Nelson and he was square, and out of that it came up that we would go to look at the monument for family.”

Dr Munroe-Knight believes that government has “followed a very transparent process of being able to do that. The final designs are in my office. It is a multi-stakeholder committee, not only of governments but people from the artistic community are making this decision in relation to the design.”

She also shared that the process is going to be completed within the week and explained that she simply awaiting a report that is to be submitted to her.

In the social media post, it was purported that after the recent consultations, the substantive Minister of Culture Hon. Mia Amor Mottley has instructed to commence the public sensitization, request for design proposals and quotations to replace the Lord Nelson statue in the City of Bridgetown with that of Ernest Deighton Mottley, Former Mayor of Bridgetown. And it went on to invite someone to a planning meeting this Thursday 6th October 2022 at the Division of Culture, Sky Mall Office.

Dr Munroe-Knight responded to the social media allegations as it also insinuated that she would be the chair of said meeting.

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“Nous nous sentons un peu oubliés”: en…

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Karen Pagliaro parcourt la rue principale de Matlacha, se faufilant, un peu perdue, entre les arbres abattus, les débris et les véhicules abandonnés. Cette île de 800 habitants, d’habitude un petit coin de paradis, a été coupée du monde après le passage de l’ouragan Ian, qui a endommagé les deux ponts la reliant au reste de la Floride.

“Nous nous sentons un peu oubliés”, regrette cette enseignante de 50 ans, qui a perdu sa maison dans la tempête. “Nous pensions qu’ils (les autorités) allaient envoyer de l’aide, de l’eau, des fournitures et d’autres choses, mais ils nous ont dit non, et que nous devions partir”, ajoute-t-elle.

Jusqu’à mercredi, Matlacha était un petit joyau du sud-ouest de la Floride, un village de pêcheurs aux maisons de bois colorées construites autour d’une large rue, où l’on profite de la mer, du ciel bleu, des restaurants de fruits de mer et de petites galeries d’art.

L’ouragan, qui selon un dernier bilan officiel a fait 58 morts confirmés en Floride — contre 44 décès annoncés auparavant –, a tout changé.

Trois jours après son passage, les gardes-côtes, les pompiers et les habitants des villes voisines s’y rendent en bateau pour secourir les derniers résidents restés coincés après avoir refusé d’évacuer avant la tempête.

D’autres habitants qui avaient quitté l’île refont le voyage en sens inverse pour constater les dégâts.

Christian Lopez, 25 ans, observe la jetée où les services d’urgence évacuent des victimes.

Lui n’a pas l’intention de partir. “Je préfère rester ici plutôt que d’aller ailleurs et d’être à la rue. Ici, au moins, nous avons un petit toit, nous allons essayer de réparer la caravane où nous vivons”, explique le jeune homme.

– “Je n’ai pas de plan” –

À l’autre bout de Matlacha, la rue principale est coupée par une énorme fissure que les habitants traversent sur un pont de fortune fait d’une planche de métal.

Ici et là, des dizaines de personnes marchent d’un pas las, le regard ailleurs. La plupart partagent la même incertitude : ils ne savent pas où aller.

“Je n’ai pas de plan”, dit John Lynch, résigné. La maison de cet homme de 59 ans s’enfonce dans la mer et il se prépare à quitter les lieux.

“Nous sommes ici depuis 25 ans (…) C’est un crève-cœur parce que c’est ici que nous avions prévu de vivre le reste de notre vie”, soupire-t-il.

Karen Pagliaro ne sait pas non plus ce qu’elle va faire à partir de maintenant. Elle n’a nulle part où aller et l’école où elle travaille a dû fermer temporairement à cause des dégâts causés par l’ouragan. Ce qui est clair pour elle, c’est qu’elle veut vivre à Matlacha.

“C’est notre ville, nous la chérissons et nous aimons être ici”, dit-elle.

Près de la jetée, Jim Bedra est lui sur le point de partir avec sa femme, Kathy, et leur chien, Luna, sur un bateau des gardes-côtes. La semaine dernière, ce septuagénaire voulait évacuer l’île avec Kathy et leur fils de 31 ans, mais ces derniers l’ont convaincu de rester là où ils vivaient depuis 2013. Désormais, il n’a plus de maison et sa voix se brise à l’évocation de cette situation.

“Nous allons rester dans un abri, j’imagine. Ce n’est pas la retraite que nous recherchions”, explique-t-il, en ajoutant qu’il veut retourner dans son Etat d’origine, l’Ohio, dans le nord des Etats-Unis.

Avant d’embarquer sur le bateau qui doit le conduire sur le continent, Jim ajoute: “Je ne veux jamais revenir ici.”

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“Nous nous sentons un peu oubliés”: en…

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Karen Pagliaro parcourt la rue principale de Matlacha, se faufilant, un peu perdue, entre les arbres abattus, les débris et les véhicules abandonnés. Cette île de 800 habitants, d’habitude un petit coin de paradis, a été coupée du monde après le passage de l’ouragan Ian, qui a endommagé les deux ponts la reliant au reste de la Floride.

“Nous nous sentons un peu oubliés”, regrette cette enseignante de 50 ans, qui a perdu sa maison dans la tempête. “Nous pensions qu’ils (les autorités) allaient envoyer de l’aide, de l’eau, des fournitures et d’autres choses, mais ils nous ont dit non, et que nous devions partir”, ajoute-t-elle.

Jusqu’à mercredi, Matlacha était un petit joyau du sud-ouest de la Floride, un village de pêcheurs aux maisons de bois colorées construites autour d’une large rue, où l’on profite de la mer, du ciel bleu, des restaurants de fruits de mer et de petites galeries d’art.

L’ouragan, qui a fait au moins 44 morts en Floride selon le dernier bilan officiel, a tout changé.

Trois jours après son passage, les gardes-côtes, les pompiers et les habitants des villes voisines s’y rendent en bateau pour secourir les derniers résidents restés coincés après avoir refusé d’évacuer avant la tempête.

D’autres habitants qui avaient quitté l’île refont le voyage en sens inverse pour constater les dégâts.

Christian Lopez, 25 ans, observe la jetée où les services d’urgence évacuent des victimes.

Lui n’a pas l’intention de partir. “Je préfère rester ici plutôt que d’aller ailleurs et d’être à la rue. Ici, au moins, nous avons un petit toit, nous allons essayer de réparer la caravane où nous vivons”, explique le jeune homme.

– “Je n’ai pas de plan” –

À l’autre bout de Matlacha, la rue principale est coupée par une énorme fissure que les habitants traversent sur un pont de fortune fait d’une planche de métal.

Ici et là, des dizaines de personnes marchent d’un pas las, le regard ailleurs. La plupart partagent la même incertitude : ils ne savent pas où aller.

“Je n’ai pas de plan”, dit John Lynch, résigné. La maison de cet homme de 59 ans s’enfonce dans la mer et il se prépare à quitter les lieux.

“Nous sommes ici depuis 25 ans (…) C’est un crève-cœur parce que c’est ici que nous avions prévu de vivre le reste de notre vie”, soupire-t-il.

Karen Pagliaro ne sait pas non plus ce qu’elle va faire à partir de maintenant. Elle n’a nulle part où aller et l’école où elle travaille a dû fermer temporairement à cause des dégâts causés par l’ouragan. Ce qui est clair pour elle, c’est qu’elle veut vivre à Matlacha.

“C’est notre ville, nous la chérissons et nous aimons être ici”, dit-elle.

Près de la jetée, Jim Bedra est lui sur le point de partir avec sa femme, Kathy, et leur chien, Luna, sur un bateau des gardes-côtes. La semaine dernière, ce septuagénaire voulait évacuer l’île avec Kathy et leur fils de 31 ans, mais ces derniers l’ont convaincu de rester là où ils vivaient depuis 2013. Désormais, il n’a plus de maison et sa voix se brise à l’évocation de cette situation.

“Nous allons rester dans un abri, j’imagine. Ce n’est pas la retraite que nous recherchions”, explique-t-il, en ajoutant qu’il veut retourner dans son Etat d’origine, l’Ohio, dans le nord des Etats-Unis.

Avant d’embarquer sur le bateau qui doit le conduire sur le continent, Jim ajoute: “Je ne veux jamais revenir ici.”

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“Nous nous sentons un peu oubliés”: en…

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Karen Pagliaro parcourt la rue principale de Matlacha, se faufilant, un peu perdue, entre les arbres abattus, les débris et les véhicules abandonnés. Cette île de 800 habitants, d’habitude un petit coin de paradis, a été coupée du monde après le passage de l’ouragan Ian, qui a endommagé les deux ponts la reliant au reste de la Floride.

“Nous nous sentons un peu oubliés”, regrette cette enseignante de 50 ans, qui a perdu sa maison dans la tempête. “Nous pensions qu’ils (les autorités) allaient envoyer de l’aide, de l’eau, des fournitures et d’autres choses, mais ils nous ont dit non, et que nous devions partir”, ajoute-t-elle.

Jusqu’à mercredi, Matlacha était un petit joyau du sud-ouest de la Floride, un village de pêcheurs aux maisons de bois colorées construites autour d’une large rue, où l’on profite de la mer, du ciel bleu, des restaurants de fruits de mer et de petites galeries d’art.

L’ouragan, qui selon un dernier bilan officiel a fait 58 morts confirmés en Floride — contre 44 décès annoncés auparavant –, a tout changé.

Trois jours après son passage, les gardes-côtes, les pompiers et les habitants des villes voisines s’y rendent en bateau pour secourir les derniers résidents restés coincés après avoir refusé d’évacuer avant la tempête.

D’autres habitants qui avaient quitté l’île refont le voyage en sens inverse pour constater les dégâts.

Christian Lopez, 25 ans, observe la jetée où les services d’urgence évacuent des victimes.

Lui n’a pas l’intention de partir. “Je préfère rester ici plutôt que d’aller ailleurs et d’être à la rue. Ici, au moins, nous avons un petit toit, nous allons essayer de réparer la caravane où nous vivons”, explique le jeune homme.

– “Je n’ai pas de plan” –

À l’autre bout de Matlacha, la rue principale est coupée par une énorme fissure que les habitants traversent sur un pont de fortune fait d’une planche de métal.

Ici et là, des dizaines de personnes marchent d’un pas las, le regard ailleurs. La plupart partagent la même incertitude : ils ne savent pas où aller.

“Je n’ai pas de plan”, dit John Lynch, résigné. La maison de cet homme de 59 ans s’enfonce dans la mer et il se prépare à quitter les lieux.

“Nous sommes ici depuis 25 ans (…) C’est un crève-cœur parce que c’est ici que nous avions prévu de vivre le reste de notre vie”, soupire-t-il.

Karen Pagliaro ne sait pas non plus ce qu’elle va faire à partir de maintenant. Elle n’a nulle part où aller et l’école où elle travaille a dû fermer temporairement à cause des dégâts causés par l’ouragan. Ce qui est clair pour elle, c’est qu’elle veut vivre à Matlacha.

“C’est notre ville, nous la chérissons et nous aimons être ici”, dit-elle.

Près de la jetée, Jim Bedra est lui sur le point de partir avec sa femme, Kathy, et leur chien, Luna, sur un bateau des gardes-côtes. La semaine dernière, ce septuagénaire voulait évacuer l’île avec Kathy et leur fils de 31 ans, mais ces derniers l’ont convaincu de rester là où ils vivaient depuis 2013. Désormais, il n’a plus de maison et sa voix se brise à l’évocation de cette situation.

“Nous allons rester dans un abri, j’imagine. Ce n’est pas la retraite que nous recherchions”, explique-t-il, en ajoutant qu’il veut retourner dans son Etat d’origine, l’Ohio, dans le nord des Etats-Unis.

Avant d’embarquer sur le bateau qui doit le conduire sur le continent, Jim ajoute: “Je ne veux jamais revenir ici.”

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“Nous nous sentons un peu oubliés”: en…

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Karen Pagliaro parcourt la rue principale de Matlacha, se faufilant, un peu perdue, entre les arbres abattus, les débris et les véhicules abandonnés. Cette île de 800 habitants, d’habitude un petit coin de paradis, a été coupée du monde après le passage de l’ouragan Ian, qui a endommagé les deux ponts la reliant au reste de la Floride.

“Nous nous sentons un peu oubliés”, regrette cette enseignante de 50 ans, qui a perdu sa maison dans la tempête. “Nous pensions qu’ils (les autorités) allaient envoyer de l’aide, de l’eau, des fournitures et d’autres choses, mais ils nous ont dit non, et que nous devions partir”, ajoute-t-elle.

Jusqu’à mercredi, Matlacha était un petit joyau du sud-ouest de la Floride, un village de pêcheurs aux maisons de bois colorées construites autour d’une large rue, où l’on profite de la mer, du ciel bleu, des restaurants de fruits de mer et de petites galeries d’art.

L’ouragan, qui a fait au moins 44 morts en Floride selon le dernier bilan officiel, a tout changé.

Trois jours après son passage, les gardes-côtes, les pompiers et les habitants des villes voisines s’y rendent en bateau pour secourir les derniers résidents restés coincés après avoir refusé d’évacuer avant la tempête.

D’autres habitants qui avaient quitté l’île refont le voyage en sens inverse pour constater les dégâts.

Christian Lopez, 25 ans, observe la jetée où les services d’urgence évacuent des victimes.

Lui n’a pas l’intention de partir. “Je préfère rester ici plutôt que d’aller ailleurs et d’être à la rue. Ici, au moins, nous avons un petit toit, nous allons essayer de réparer la caravane où nous vivons”, explique le jeune homme.

– “Je n’ai pas de plan” –

À l’autre bout de Matlacha, la rue principale est coupée par une énorme fissure que les habitants traversent sur un pont de fortune fait d’une planche de métal.

Ici et là, des dizaines de personnes marchent d’un pas las, le regard ailleurs. La plupart partagent la même incertitude : ils ne savent pas où aller.

“Je n’ai pas de plan”, dit John Lynch, résigné. La maison de cet homme de 59 ans s’enfonce dans la mer et il se prépare à quitter les lieux.

“Nous sommes ici depuis 25 ans (…) C’est un crève-cœur parce que c’est ici que nous avions prévu de vivre le reste de notre vie”, soupire-t-il.

Karen Pagliaro ne sait pas non plus ce qu’elle va faire à partir de maintenant. Elle n’a nulle part où aller et l’école où elle travaille a dû fermer temporairement à cause des dégâts causés par l’ouragan. Ce qui est clair pour elle, c’est qu’elle veut vivre à Matlacha.

“C’est notre ville, nous la chérissons et nous aimons être ici”, dit-elle.

Près de la jetée, Jim Bedra est lui sur le point de partir avec sa femme, Kathy, et leur chien, Luna, sur un bateau des gardes-côtes. La semaine dernière, ce septuagénaire voulait évacuer l’île avec Kathy et leur fils de 31 ans, mais ces derniers l’ont convaincu de rester là où ils vivaient depuis 2013. Désormais, il n’a plus de maison et sa voix se brise à l’évocation de cette situation.

“Nous allons rester dans un abri, j’imagine. Ce n’est pas la retraite que nous recherchions”, explique-t-il, en ajoutant qu’il veut retourner dans son Etat d’origine, l’Ohio, dans le nord des Etats-Unis.

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Voedselveiligheid vergroot middels geschenk FAO

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Tekst en beeld Ricky Wirjosentono PARAMARIBO — De voedselveiligheid voor de Surinaamse consument is vergroot. Dit nadat de Voedsel- en

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Brésil : second tour Lula / Bolsonaro Guyaweb, site d’information et d’investigation en Guyane

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Il aura lieu le 30 octobre entre l’ex chef de l’Etat Lula qui a devancé (48,09%)* le président sortant Bolsonaro (43,50%)* au 1er tour ce dimanche 2 octobre.

Le président d’extrême-droite Jair Bolsonaro au pouvoir depuis 2019 a fait bien mieux que ce que lui prédisaient les sondages dans son duel avec l’ancien président (2003-2010) de gauche Luiz Inácio Lula Da Silva.

De quoi conforter les attaques de Jair Bolsonaro contre la fiabilité des sondages, du système de vote et des institutions électorales et judiciaires.

Le Brésil entame un mois de campagne de second tour dans un contexte incertain et extrêmement polarisé.

En Guyane 4000 électeurs brésiliens étaient appelés à participer au 1er tour de l’élection présidentielle ce dimanche 2 octobre.

* Après dépouillement de 98,44% des urnes.

Photo de Une : Palacio  do Planalto à Brasilia © Guyaweb 

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Businessman ‘likely’ to answer drug charges in US – prosecutor Loop Jamaica

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Loop News

1 hrs ago

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A 60-year-old businessman who is accused of being involved in a drug trafficking network operating between Jamaica and the United States, has purportedly indicated that he will not be challenging a request for him to be extradited to the United States.

Hugh Fraser did not appear in the Kingston and St Andrew Parish Court when the matter was mentioned on Friday, but a prosecutor told the presiding judge that the accused man intends to waive his right to an extradition hearing.

This would pave the way for him to face prosecution in the United States.

Fraser was not brought to court due to another matter relative to him in St James, where he was initially arrested in a targeted anti-narcotics operation by police-military teams.

The judge set the matter for mention on October 13.

Fraser, who was arrested in Montego Bay, is wanted for attempting to distribute five kilograms or more of cocaine.

According to reports, between January and December of 2021, American investigators came to the conclusion that he was part of a drug-trafficking network that supplied large amounts of cocaine to people in Pennsylvania in the United States.

The US Drug Enforcement Administration and US Marshals Service assisted local law enforcement agencies, including the Major Organised Crime and Anti-Corruption Agency (MOCA), in apprehending Fraser.

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