Le Brésil vote: choc entre Lula le revenant et…

Black Immigrant Daily News

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Les 156 millions d’électeurs brésiliens ont commencé à voter dimanche pour une présidentielle tendue qui pourrait voir l’ancien président de gauche Lula être élu dès le premier tour et le chef d’Etat sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro refuser le verdict des urnes.

“Suspense jusqu’à la fin” barrait la Une du grand quotidien O Globo qui soulignait aussi “l’instabilité qui a marqué toute la campagne” électorale.

Parmi les premiers électeurs qui commençaient à voter à 8H00 locales (11H00 GMT), Edmilson Dias da Silva, un retraité de 72 ans, a déjà choisi Bolsonaro, pour son “bon gouvernement”. Mais ajoute-t-il prudemment, “on va attendre que l’arbitre siffle la fin de la partie”.

Pour cette élection cruciale pour l’avenir de la jeune démocratie au Brésil, le choc au sommet entre Jair Bolsonaro, 67 ans, et Luiz Inacio Lula da Silva, 76 ans, a relégué les neuf autres candidats au rang de figurants.

L’ex-président Lula (2003-2010) était toujours le grand favori dans le dernier sondage Datafolha samedi soir, avec 50% contre 36% à Bolsonaro.

“La question est de savoir s’il y aura un 2e tour ou non, et c’est impossible à prédire”, déclare à l’AFP Adriano Laureno, analyste chez les consultants Prospectiva.

L’autre question était de savoir si Bolsonaro respecterait le verdict des urnes.

Une victoire de Lula, qui a marqué la vie politique brésilienne depuis un demi-siècle et concourt à sa 6e présidentielle, signerait un comeback inespéré quatre ans après son incarcération controversée pour des soupçons de corruption.

Le dernier débat présidentiel jeudi a illustré le degré de haine entre les deux favoris qui se sont écharpés, s’accusant d’être “menteur” ou “corrompu”.

La campagne, menée en gilet pare-balle par les candidats, a elle aussi été tendue. Elle a charrié des tombereaux d’attaques personnelles, livré peu de projets pour le Brésil, et s’est déroulée dans un climat délétère.

Ainsi pour de nombreux Brésiliens, l’élection de Lula dès le premier tour permettrait d”‘en finir” et d’échapper à quatre semaines supplémentaires de campagne à couteaux tirés jusqu’à un second tour le 30 octobre.

– Sondages “mensongers” –

Mais un second tour pourrait permettre à Bolsonaro de galvaniser ses troupes et de trouver un nouvel élan.

Sur son compte Twitter, il a publié les messages de soutien de ses rares alliés: l’ancien président américain Donald Trump qui appelle les Brésiliens à “réélire l’un des plus grands présidents d’aucun pays dans le monde”, de même que l’ex-Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ou le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

Mais espérant une victoire dès le 1er tour, l’équipe de Lula a fait campagne pour le “vote utile”, lorgnant du côté des électeurs de Ciro Gomes (centre gauche), 4e dans les sondages avec 5% des intentions de vote.

Jair Bolsonaro a affirmé qu’il serait “anormal” qu’il n’obtienne pas au moins 60% des voix dimanche et rejette les sondages “mensongers”.

“Je pense qu’il va contester le résultat s’il perd” dit M. Laureno, “mais cela ne veut pas dire qu’il va réussir. La communauté internationale va reconnaître le résultat rapidement”.

L’ex-capitaine de l’armée a lancé des attaques innombrables contre la fiabilité des urnes électroniques, laissant planer la menace d’un remake brésilien de l’assaut du Capitole à Washington en 2021 après la défaite de Trump.

L’armée n’a donné aucun signe d’agitation et les Etats-Unis ont indiqué qu’ils allaient “suivre de près” l’élection.

Plus de 500.000 membres des forces de l’ordre doivent assurer la sécurité et des dizaines d’observateurs étrangers surveiller le déroulement du vote jusqu’à 17H00 (20H00 GMT).

Lula devait voter en matinée à Sao Bernardo do Campo, près de Sao Paulo, et Bolsonaro à Rio, avant de suivre à Brasilia les résultats (22-23H GMT).

– “Démocratie contre fascisme” –

Lula, le chef du Parti des Travailleurs (PT), a réuni une vaste coalition de dix partis allant jusqu’au centre droit de son colistier, l’ex-gouverneur de Sao Paulo Geraldo Alckmin, choisi pour rassurer les milieux économiques.

Bolsonaro se présente sous l’étiquette du petit Parti libéral (PL) et bénéficie du soutien enthousiaste des évangéliques, du lobby de l’agronégoce et des pro-armes, et de l’appui, plus réservé, du patronat.

La majorité des Brésiliens attendent de leur président qu’il lutte contre la faim dont souffrent 30 millions d’entre eux, l’inflation et le chômage qui ont renforcé la précarité et la corruption.

Les Brésiliens élisent aussi dimanche leurs 513 députés fédéraux, les gouverneurs des 27 Etats et les députés des assemblées des Etats. Comme le président, tous ont un mandat de quatre ans. Un tiers des 81 sièges du Sénat seront aussi renouvelés, mais pour huit ans.

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Le Brésil vote: choc entre Lula le revenant et Bolsonaro le sortant, Les 156 millions d’électeurs brésiliens ont commencé à voter dimanche pour une présidentielle tendue qui pourrait voir l’ancien président de gauche Lula être élu dès le premier tour et le chef d’Etat sortant…

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Les 156 millions d’électeurs brésiliens ont commencé à voter dimanche pour une présidentielle tendue qui pourrait voir l’ancien président de gauche Lula être élu dès le premier tour et le chef d’Etat sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro refuser le verdict des urnes.

“Suspense jusqu’à la fin” barrait la Une du grand quotidien O Globo qui soulignait aussi “l’instabilité qui a marqué toute la campagne” électorale. Parmi les premiers électeurs qui commençaient à voter ce dimanche mati), Edmilson Dias da Silva, un retraité de 72 ans, a déjà choisi Bolsonaro, pour son “bon gouvernement”. Mais ajoute-t-il prudemment, “on va attendre que l’arbitre siffle la fin de la partie”.

Pour cette élection cruciale pour l’avenir de la jeune démocratie au Brésil, le choc au sommet entre Jair Bolsonaro, 67 ans, et Luiz Inacio Lula da Silva, 76 ans, a relégué les neuf autres candidats au rang de figurants.

L’ex-président Lula (2003-2010) était toujours le grand favori dans le dernier sondage Datafolha samedi soir, avec 50% contre 36% à Bolsonaro.

“La question est de savoir s’il y aura un 2e tour ou non, et c’est impossible à prédire”, déclare à l’AFP Adriano Laureno, analyste chez les consultants Prospectiva.

L’autre question était de savoir si Bolsonaro respecterait le verdict des urnes.

Une victoire de Lula, qui a marqué la vie politique brésilienne depuis un demi-siècle et concourt à sa 6e présidentielle, signerait un comeback inespéré quatre ans après son incarcération controversée pour des soupçons de corruption.

Le dernier débat présidentiel jeudi a illustré le degré de haine entre les deux favoris qui se sont écharpés, s’accusant d’être “menteur” ou “corrompu”.

La campagne, menée en gilet pare-balle par les candidats, a elle aussi été tendue. Elle a charrié des tombereaux d’attaques personnelles, livré peu de projets pour le Brésil, et s’est déroulée dans un climat délétère.

Ainsi pour de nombreux Brésiliens, l’élection de Lula dès le premier tour permettrait d”‘en finir” et d’échapper à quatre semaines supplémentaires de campagne à couteaux tirés jusqu’à un second tour le 30 octobre.

Sondages “mensongers”

Mais un second tour pourrait permettre à Bolsonaro de galvaniser ses troupes et de trouver un nouvel élan.

Sur son compte Twitter, il a publié les messages de soutien de ses rares alliés: l’ancien président américain Donald Trump qui appelle les Brésiliens à “réélire l’un des plus grands présidents d’aucun pays dans le monde”, de même que l’ex-Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ou le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

Mais espérant une victoire dès le 1er tour, l’équipe de Lula a fait campagne pour le “vote utile”, lorgnant du côté des électeurs de Ciro Gomes (centre gauche), 4e dans les sondages avec 5% des intentions de vote.

Jair Bolsonaro a affirmé qu’il serait “anormal” qu’il n’obtienne pas au moins 60% des voix dimanche et rejette les sondages “mensongers”.

“Je pense qu’il va contester le résultat s’il perd” dit M. Laureno, “mais cela ne veut pas dire qu’il va réussir. La communauté internationale va reconnaître le résultat rapidement”.

L’ex-capitaine de l’armée a lancé des attaques innombrables contre la fiabilité des urnes électroniques, laissant planer la menace d’un remake brésilien de l’assaut du Capitole à Washington en 2021 après la défaite de Trump.

L’armée n’a donné aucun signe d’agitation et les Etats-Unis ont indiqué qu’ils allaient “suivre de près” l’élection.

Plus de 500.000 membres des forces de l’ordre doivent assurer la sécurité et des dizaines d’observateurs étrangers surveiller le déroulement du vote jusqu’à 17H00. Lula devait voter en matinée à Sao Bernardo do Campo, près de Sao Paulo, et Bolsonaro à Rio, avant de suivre à Brasilia les résultats.

“Démocratie contre fascisme”

Lula, le chef du Parti des Travailleurs (PT), a réuni une vaste coalition de dix partis allant jusqu’au centre droit de son colistier, l’ex-gouverneur de Sao Paulo Geraldo Alckmin, choisi pour rassurer les milieux économiques.

Bolsonaro se présente sous l’étiquette du petit Parti libéral (PL) et bénéficie du soutien enthousiaste des évangéliques, du lobby de l’agronégoce et des pro-armes, et de l’appui, plus réservé, du patronat.

La majorité des Brésiliens attendent de leur président qu’il lutte contre la faim dont souffrent 30 millions d’entre eux, l’inflation et le chômage qui ont renforcé la précarité et la corruption.

Les Brésiliens élisent aussi dimanche leurs 513 députés fédéraux, les gouverneurs des 27 Etats et les députés des assemblées des Etats. Comme le président, tous ont un mandat de quatre ans. Un tiers des 81 sièges du Sénat seront aussi renouvelés, mais pour huit ans.

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A Paris, la musique à l’unisson contre la drépanocytose

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Pour la  treizième édition du Drépaction, qui a vu le jour au Zénith de Paris en 2009, Jenny Hippocrate-Fixy et ses 90 bénévoles se sont mobilisés pour ce concert, en donnant carte blanche à Jean-Claude Naimro et ses invités chanteurs (M’Toro Chamou due Mayotte, Stacy de la Martinique, Milca de la Guyane, Rachelle Allisson de la Guadeloupe, Eloisha de la Cote d’Ivoire, Missie Kako et Tronixx, et Mainy-K’Reen), ont célébré la vie avec des belles chansons et des messages forts.

Les musiciens dirigés par le chef d’orchestre, Tony Chasseur, n’ont pas hésité une nouvelle fois à s’ngager pour cet élan de solidarité en faveur de la drépanocytose.

Une combattante

Treize, un chiffre porte-bonheur pour la présidente de l’APIPD. Jenny Hippocrate-Fixy, la combattante contre la drépanocytose était là, debout, contente pour célébrer la vie. ” Il y a eu deux ans de Covid, on revient à la Cigale, après la pandémie, dans cette salle mythique, pour célébrer la vie. Je suis vraiment contente “. Elle se bat au quotidien depuis plus de trente contre une maladie qui ne se guérit pas vraiment, sans vrai médicament et pour laquelle il reste un gros travail à faire au niveau de la recherche clinique. Elle avance en disant : ” On a beaucoup insisté sur la partie physique, la douleur de la drépanocytose et aussi tout cette partie phycologique, cette partie sociale. La maladie fatigue empêchant de travailler normalement, d’avoir une vie amoureuse normale. L’idée de la mort rode tout temps. La drépanocytose désocialise et tue. En premier ce qui tue, c’est la laxisme et l’immobilisme du pouvoir publique. C’est compliqué et très difficile. C’est une maladie racialisée “. Jenny Hippocrate-Fixy, son fils Taylor et le vice-président de la région Ile de France, Patrick Karam, qui est là depuis le début à leur côté, sont venus apporter leur message d’espoir, d’encouragement et de solidarité aux malades.

Un bon moment de musique

Dans cette salle de la Cigale bien remplie, les musiciens ont donné à ce concert tout leur professionnalisme, leur chaleur pour assurer l’ambiance et enflammer la scène. Coté public, venu assez nombreux, c’était l’effervescence, l’explosion, la joie, les applaudissements… L’ambiance était au rendez-vous ce samedi soir.

Le parrain de cette édition, Jean-Claude Naimro, a félicité la présidente et l’encouragé dans sa lutte. ” J’espère que cette treizième édition portera chance à l’association. Je suis un parrain qui portera la bonne parole. Mais ce qui est important, ce sont les dons “, a expliqué le musicien ému.

Ce samedi soir, il y avait beaucoup d’amour sur scène et dans la salle pour briser le silence et célébrer la vie. Ils ont envoyé un message d’espoir et de solidarité pour réchauffer les cœurs de ceux qui souffrent en attendant un lendemain meilleur.

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Le Brésil vote: choc entre Lula le revenant et Bolsonaro le sortant, Les 156 millions d’électeurs brésiliens ont commencé à voter dimanche pour une présidentielle tendue qui pourrait voir l’ancien président de gauche Lula être élu dès le premier tour et le chef d’Etat sortant…

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Les 156 millions d’électeurs brésiliens ont commencé à voter dimanche pour une présidentielle tendue qui pourrait voir l’ancien président de gauche Lula être élu dès le premier tour et le chef d’Etat sortant d’extrême droite Jair Bolsonaro refuser le verdict des urnes.

“Suspense jusqu’à la fin” barrait la Une du grand quotidien O Globo qui soulignait aussi “l’instabilité qui a marqué toute la campagne” électorale. Parmi les premiers électeurs qui commençaient à voter ce dimanche mati), Edmilson Dias da Silva, un retraité de 72 ans, a déjà choisi Bolsonaro, pour son “bon gouvernement”. Mais ajoute-t-il prudemment, “on va attendre que l’arbitre siffle la fin de la partie”.

Pour cette élection cruciale pour l’avenir de la jeune démocratie au Brésil, le choc au sommet entre Jair Bolsonaro, 67 ans, et Luiz Inacio Lula da Silva, 76 ans, a relégué les neuf autres candidats au rang de figurants.

L’ex-président Lula (2003-2010) était toujours le grand favori dans le dernier sondage Datafolha samedi soir, avec 50% contre 36% à Bolsonaro.

“La question est de savoir s’il y aura un 2e tour ou non, et c’est impossible à prédire”, déclare à l’AFP Adriano Laureno, analyste chez les consultants Prospectiva.

L’autre question était de savoir si Bolsonaro respecterait le verdict des urnes.

Une victoire de Lula, qui a marqué la vie politique brésilienne depuis un demi-siècle et concourt à sa 6e présidentielle, signerait un comeback inespéré quatre ans après son incarcération controversée pour des soupçons de corruption.

Le dernier débat présidentiel jeudi a illustré le degré de haine entre les deux favoris qui se sont écharpés, s’accusant d’être “menteur” ou “corrompu”.

La campagne, menée en gilet pare-balle par les candidats, a elle aussi été tendue. Elle a charrié des tombereaux d’attaques personnelles, livré peu de projets pour le Brésil, et s’est déroulée dans un climat délétère.

Ainsi pour de nombreux Brésiliens, l’élection de Lula dès le premier tour permettrait d”‘en finir” et d’échapper à quatre semaines supplémentaires de campagne à couteaux tirés jusqu’à un second tour le 30 octobre.

Sondages “mensongers”

Mais un second tour pourrait permettre à Bolsonaro de galvaniser ses troupes et de trouver un nouvel élan.

Sur son compte Twitter, il a publié les messages de soutien de ses rares alliés: l’ancien président américain Donald Trump qui appelle les Brésiliens à “réélire l’un des plus grands présidents d’aucun pays dans le monde”, de même que l’ex-Premier ministre israélien Benyamin Netanyahou ou le Premier ministre hongrois Viktor Orban.

Mais espérant une victoire dès le 1er tour, l’équipe de Lula a fait campagne pour le “vote utile”, lorgnant du côté des électeurs de Ciro Gomes (centre gauche), 4e dans les sondages avec 5% des intentions de vote.

Jair Bolsonaro a affirmé qu’il serait “anormal” qu’il n’obtienne pas au moins 60% des voix dimanche et rejette les sondages “mensongers”.

“Je pense qu’il va contester le résultat s’il perd” dit M. Laureno, “mais cela ne veut pas dire qu’il va réussir. La communauté internationale va reconnaître le résultat rapidement”.

L’ex-capitaine de l’armée a lancé des attaques innombrables contre la fiabilité des urnes électroniques, laissant planer la menace d’un remake brésilien de l’assaut du Capitole à Washington en 2021 après la défaite de Trump.

L’armée n’a donné aucun signe d’agitation et les Etats-Unis ont indiqué qu’ils allaient “suivre de près” l’élection.

Plus de 500.000 membres des forces de l’ordre doivent assurer la sécurité et des dizaines d’observateurs étrangers surveiller le déroulement du vote jusqu’à 17H00. Lula devait voter en matinée à Sao Bernardo do Campo, près de Sao Paulo, et Bolsonaro à Rio, avant de suivre à Brasilia les résultats.

“Démocratie contre fascisme”

Lula, le chef du Parti des Travailleurs (PT), a réuni une vaste coalition de dix partis allant jusqu’au centre droit de son colistier, l’ex-gouverneur de Sao Paulo Geraldo Alckmin, choisi pour rassurer les milieux économiques.

Bolsonaro se présente sous l’étiquette du petit Parti libéral (PL) et bénéficie du soutien enthousiaste des évangéliques, du lobby de l’agronégoce et des pro-armes, et de l’appui, plus réservé, du patronat.

La majorité des Brésiliens attendent de leur président qu’il lutte contre la faim dont souffrent 30 millions d’entre eux, l’inflation et le chômage qui ont renforcé la précarité et la corruption.

Les Brésiliens élisent aussi dimanche leurs 513 députés fédéraux, les gouverneurs des 27 Etats et les députés des assemblées des Etats. Comme le président, tous ont un mandat de quatre ans. Un tiers des 81 sièges du Sénat seront aussi renouvelés, mais pour huit ans.

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St. Kitts Tourism Authority Return From Successful Marketing Mission to Canada

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Basseterre, St. Kitts, 30 September 2022 – A St. Kitts Tourism Authority delegation led by Ellison “Tommy” Thompson, CEO, and Melnecia Marshall, Deputy CEO, recently returned from a successful marketing mission to Canada as part of the destination’s tourism rebound strategy.

The purpose of the mission was to unveil the destination’s exciting new brand campaign, Venture Deeper, engage with the Canadian diaspora, host the travel trade media and industry partners, and participate in an integrated consumer event activation in collaboration with the SKTA Canada-based team. The multi-day visit incorporated three events, strategy meetings, multiple media interviews and in-person meetings with key business partners.

“The Canadian marketing mission was a long-awaited opportunity for us to re-connect with the travel industry at large and excite the market on the destination’s immersive attractions, distinctive cultural offerings and authentic Caribbean travel experiences,” said CEO at the St. Kitts Tourism Authority, Mr. Ellison “Tommy” Thompson. “The Canadian market is a huge priority for us as it was on an upward trajectory prior to the pandemic with almost 10,000 Canadians visiting each year. We know there is significant opportunity in Canada and we have an aggressive strategy in place to reignite this market.”

Upon arrival, the St. Kitts team hosted the local diaspora at a reception on 26 September at the Hilton Hotel in downtown Toronto, which also included specially invited guest Ms. Brenda Foreman, Honorary Consul of the Consulate of St. Kitts and Nevis.

“The opportunity to engage with the diaspora was an important moment for the destination,” said Mrs. Marshall “As we aim to be more visible and competitive in the region, and recognize the need to forge partnerships with both the public and private sectors, the chance to meet face-to-face was an invaluable opportunity.”

During the visit, the delegation met with critical partners, Air Canada and Air Canada Vacations, to discuss the upcoming seasonal direct route restart on 5 November 2022 and the potential for expanding airlift to the destination. With Canadians ranked among some of the most passionate foodies in the world, the team also met with key consumer business partners to support a multi-year Canadian culinary strategy that commenced in 2021.

“Our marketing is data driven and the data strongly indicates that culinary serves as an effective marketing driver in Canada,” said Mr. Thompson. “Incredible food experiences are absolutely on the hearts and minds of Canadian travellers as they make their holiday plans, and we recognize that highlighting our restaurants, chefs and unique dining experiences is a way to introduce and build brand awareness for St. Kitts in Canada – it’s the entry point to create that conversation.”

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NCRA appeals to block makers to maintain standards Loop Jamaica

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The National Compliance and Regulatory Authority (NCRA) is making a special appeal to block makers to ensure that standards are maintained in their production processes.

Inspector-in-Charge, Import and Domestic Commodities Inspectorate, NCRA, Dr Wendell Richards, said checks carried out by inspectors have revealed substandard blocks from some block makers.

Speaking at a recent Jamaica Information Service (JIS) ‘Think Tank’, Richards reminded block makers that there is a compulsory standard.

“Note, as well, that Jamaica sits on a fault line (and) we spend more time in a building than outside; therefore, the blocks have to be compliant,” he emphasised.

Richards explained that substandard hollow blocks can be the result of not using the correct material, not using material in the right quantities, among other factors.

These deviate from the existing compulsory standard JS 35:2011 for standard hollow concrete blocks, which Richards said puts “fellow citizens, your own family, friends and loved ones at risk”.

Though the authority does not offer consultancy services, it is open to pointing interested block makers in the right direction to ensure guidance from the Bureau of Standards Jamaica (BSJ) and adherence to regulations.

“If you don’t know what to do, come to us. We will put you in conversation with the right experts, and they are going to guide you through. When you speak to us, as well, we will guide you through the regulatory process, so that you become compliant,” said Richards.

He advised that persons who are interested in the block-making business should make three blocks and present them to the BSJ for testing. The results should be taken to the NCRA and after registration, an inspector will be assigned to conduct a site visit.

There are three main block sizes – 100 mm or four inches; 150 mm or six inches; and 200 mm or eight inches. The NCRA will inspect a sample of 10 blocks; therefore, if a block maker applies to make all three sizes, a sample of 30 blocks must be prepared for testing.

Richards stressed that the samples must meet the minimum specifications to be passed, but block makers should aim to exceed the minimum specifications.

“The most important specification is the compressive strength of seven megapascals. That is the minimum you should meet. (Do not simply) try to meet seven megapascals, because if anything goes wrong you will fall below that,” he said.

The Import and Domestic Commodities Inspectorate of the NCRA works at all major ports of entry and throughout retail outlets within the domestic space. In the domestic market, they conduct targeted inspection and monitoring work in five product categories, one of which is construction and material units.

To access the list of standards for building and associated materials, persons can visit the NCRA’s website at ww.ncra.org.jm.

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LISTEN: PM Browne denies involvement in the murder of Nigel Christian

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PNM, UNC MPs quote scripture in budget debate

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The content originally appeared on: Trinidad and Tobago Newsday

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Parliament’s procedural clerk Keiba Jacob Mottley, from left, Port of Spain South MP Keith Scotland and Finance Minister Colm Imbert at the reception of the ceremonial Opening of the 3rd Session of the 12th Republican Parliament on September 12. Scotland quoted Psalm 1 in the budget debate on Saturday. – File photo/Sureash Cholai

Church came a day early for some parliamentarians as PNM and UNC MPs in their budget presentations took from the word of the Lord to preach to the other side.

MPs Dr Rai Ragbir and Keith Scotland both quoted scripture on the second day of debate on the 2022-2023 budget which was read on Monday last.

Ragbir, the Cumuto Manzanilla MP, opened his parliamentary sermon with Acts, Chapter 2, verse 14.

“Peter was a unreliable leader,” he said. “His bravado however was his downfall and he even denied Jesus. Jesus forgave him and he filled with the holy spirit. Then he displayed confidence, humility and boldness and he became a powerful dynamic speaker. Deputy Speaker, I am here today filled with the holy spirit.”

“Let my words resonate in the hearts and minds of everyone that is suffering, that you would pray it will be a better day tomorrow.”

Not to be outdone, Scotland, the MP for Port of Spain South, had scripture of his own.

“The honourable member of Cumuto/Manzanilla said he’s filled with the holy spirit. And he sits on the other side while quoting scripture. So I’ll quote scripture for you.”

Quoting from Psalm 1, he said: “Blessed is the man that walketh not in the council of the ungodly. Nor standeth in the way of sinners, nor sitteth in the seat of the scornful.”

Scotland then moved on to knock the Chaguanas East MP, Vandana Mohit ,for unfair remarks about the state of the country.

UNC Cumuto/Manzanilla MP Dr Rai Ragbir quoted from Acts, Chapter 2 during the budget debate on Saturday. – File photo/Sureash Cholai

“Madam speaker, the honourable member for Chaguanas East in her presentation spewed a cacophony of words that began with ‘dis’. But what the honourable member forgot to mention in her discourse is that since September 2015, TT is disinterested in the UNC. Therefore, at the polls we treated them with disdain. Under the distinguished leadership of the Prime Minister and the discipline and financial stewardship of the Minister of Finance this country need not despair.”

“Members of the other side stop your persistent peddling of gloom and doom in TT. Stop dissing our country.”

Ragbir spoke on one of the highlights of the budget, in which Finance Minister Colm Imbert said government allotted $200 million for healthcare workers as thanks for their efforts during the pandemic. He said the nurses most of all, needed the money.

“Nurses account for 59 per cent of our healthcare professionals. I hope they get the money soon.”

Also during the debate, Communications Minister Symon De Nobriga knocked what he called “misinformation” by the Opposition, saying that it is a threat to the nation’s democracy.

“Unfortunately, much of the misinformation that emanates from those opposite is spread on social media and in such an environment; it is increasingly difficult for citizens to judge the integrity of information being spewed at them on a daily basis.”

He responded to Opposition Leader Kamla Persad-Bissessar’s claim on Friday about spoke an alleged strategic plan to axe 2,500 WASA workers. He said that the PNM had no such plan.

“The only strategic plan that I know that has been authorised and approved by this government (is) for Strategic Action Plan, dated January 2022,” he said. “The member for Siparia spoke about what she had seen on page 53. So I turned to that. On page 53 of this report, Mr Deputy Speaker there is no conversation anywhere around retrenching, letting people go or sending people home.”

However, he said he came across a letter from May 2012 during the PP administration where then CEO of WASA, Ganga Singh proposed to reduce staff from 4,736 people to about 2,500 over a period of 48 months.

“They offend this country in general and its supporters in particular, with a consistent diet of misinformation…When we do this, where are we going as a nation? What do we expect to see? We saw what happened in jurisdictions much further north than on January 6 (the storming of Capitol Hill in the US). Is that what we are trying to get this country to? I make a simple claim that in my opinion, this Opposition with the misinformation campaign is a threat to the democracy.”

Ragbir responded saying that government did in fact review a programme for retrenchment. He also referred to the Finance Minister’s “they haven’t rioted yet” comment in 2016.

“You laughed as the fuel price went up five times,” he said.

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CDB, CARICOM & OECS Launch Teacher Training To Tackle COVID-19 Learning Loss – St. Lucia Times News

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15,000 educators across the region, will have the opportunity to benefit from capacity building in key components of the Learning Recovery and Enhancement Programme (Let’s REAP) for Caribbean Schools, an intervention designed to address the learning loss that occurred or worsened due to COVID-19.

Launched in July 2021, Let’s REAP was developed by the Caribbean Development Bank (CDB), the CARICOM Secretariat and the OECS Commission to provide school leaders and teachers across the region with a roadmap to bridge gaps and accelerate learning outcomes for all students, while improving inclusion.

The course focuses on three core drivers: implementing communities of practice focused on student learning, using formative assessment and differentiated instruction to drive effective teaching, and leadership for learning.

COVID-related school closures in the Caribbean affected approximately 1.7 million children across 21 countries, disproportionately impacting marginalised and vulnerable students.

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The certification programme, which was developed by The Eastern Caribbean and Western Joint Boards of Teacher Education, seeks to address these impacts in the short-term and increase equitable access to quality education and training in the medium to long-term.

Addressing the launch, CDB’s Vice-President (Corporate Services) and Bank Secretary, Mrs. Yvette Lemonias Seale said, “The Caribbean Development Bank, in its commitment to strengthening social infrastructure as a means of promoting human capital and socio-economic development in the region, is strategically investing in the Learning Recovery and Enhancement Programme … to empower schools to improve the quality of teaching and learning.”

CARICOM’s Assistant Secretary-General, Ms. Allison Drayton said, “Let’s REAP as a response to put regional progress against the CARICOM Human Resource Development Strategy (HRD) 2030 Agenda and the Sustainable Development Goal 4, back on track is timely and urgent. Capacity building for educators in formative assessment and differentiated instruction; building communities of practice focused on student learning, and leadership for learning will go a long way towards improving student success and addressing academic trajectories and well-being.”

OECS Commission’s Director General, H.E. Dr. Didacus Jules explained that in response to the ‘generational catastrophe’ caused by COVID-19, the OECS Commission, developed and implemented an Academic Recovery Programme (ARP) in 2020.

He said, “Understanding the direct link between teacher quality and student learning outcomes, this recovery strategy focused on the capacity of teachers, hence aproximately 700 primary school teachers have been certified in Effective Pedagogy in Distributed Teaching and Learning. Ultimately, almost 40,000 students in the region benefitted from this programme. The Let’s Reap progamme builds on the ARP which will further support teaching and learning. Nonetheless, we know that addressing learning loss will require interventions even beyond what we have started and are currently embarking on. It will necessitate diagnosis and assessment, meeting learners at their level, access to psychosocial support, and a multi-sectoral approach.”

The 45-hour certification course will be implemented over a two-year period (August 2022-March 2024) and has been designed for blended delivery and flexible pacing for participants.

It is expected that five mixed cohorts of approximately 3000 educators each, including principals, teachers and Ministry of Education officials will complete the course over a 6-to-10-week period.

The programme is in line with CDB’s mission to reduce poverty and transform lives through sustainable, resilient and inclusive development, and advances the goals of the CARICOM HRD, as well as the OECS Education Sector Strategy.

The first cohort of 3000 educators will commence training in October 2022.

SOURCE: CARICOM Today. Headline photo: Stock image.

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CARIBBEAN-ECONOMY-IDB, KIAT sign MOU to strengthen collaboration for innovation in the Caribbean

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