Man die ex-vrouw doodde gearresteerd
Black Immigrant Daily News
PARAMARIBO — Henry K., die ervan wordt verdacht zijn 49-jarige ex-vrouw dood te hebben gestoken, is dinsdag door het Regio
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PARAMARIBO — Henry K., die ervan wordt verdacht zijn 49-jarige ex-vrouw dood te hebben gestoken, is dinsdag door het Regio
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La Corée du Nord a lancé mercredi au moins 23 missiles dont l’un est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes, provoquant une brutale hausse des tensions avec son voisin du Sud qui a riposté…
La Corée du Nord a lancé mercredi au moins 23 missiles dont l’un est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes, provoquant une brutale hausse des tensions avec son voisin du Sud qui a riposté en lançant trois missiles vers la mer.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a fustigé la “provocation” de Pyongyang, dénonçant une “invasion territoriale de fait”.
Les Etats-Unis “condamnent” la salve de missiles envoyée par la Corée du Nord, a dit mercredi John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, et en particulier la “dangereuse décision” de Pyongyang de tirer un missile à proximité des eaux territoriales sud-coréennes.
En outre, Washington a accusé Pyongyang de “fournir de manière dissimulée une aide à la guerre de la Russie contre l’Ukraine”.
M. Kirby a évoqué un “nombre important” de munitions d’artillerie que la Corée du Nord aurait expédié en Russie, ajoutant que Washington cherchait à savoir si cette aide militaire avait été réceptionnée.
A Londres, la secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères Anne-Marie Trevelyan a assuré que le Royaume-Uni “condamne” les tirs de missiles nord-coréens, les jugeant “irresponsables”.
“C’est la première fois qu’un missile balistique est tiré si près des eaux territoriales sud-coréennes et cela démontre les actions irresponsables de la Corée du Nord”, a affirmé Mme Trevelyan.
A Paris, la France a condamné “avec la plus grande fermeté les nombreux tirs de missiles, dont plusieurs balistiques” par la Corée du Nord, dénonçant de “nouvelles provocations inacceptables”.
La Russie a pour sa part appelé “tout le monde à garder son calme”.
De son côté, le président du Conseil européen Charles Michel s’est dit “outré” par les tirs de missiles par la Corée du Nord, dénonçant le comportement “agressif” et “irresponsable” de Pyongyang.
L’armée nord-coréenne a également procédé à plus d’une centaine de tirs d’artillerie dans la “zone tampon” maritime entre les deux pays, au moment où la Corée du Sud et les Etats-Unis effectuent dans la région d’importantes manœuvres aériennes dénoncées par Pyongyang.
Trois missiles balistiques nord-coréens de courte portée ont été lancés à 08H51 (23H51 GMT mardi), et l’un a franchi la “Ligne de limite du Nord”, qui constitue de fait la frontière maritime entre les deux pays.
Ce tir a provoqué une rare alerte au raid aérien dans l’île sud-coréenne d’Ulleungdo, située à environ 120 km à l’est de la péninsule coréenne, où les habitants ont reçu consigne de se réfugier dans des bunkers.
Selon l’armée de Séoul, c’est “la première fois depuis la division de la péninsule” après la guerre de Corée en 1953 qu’un missile nord-coréen est tombé si près des eaux territoriales du Sud.
M. Yoon a “souligné que la provocation nord-coréenne est une invasion territoriale de fait par un missile qui a franchi la Ligne de limite du Nord pour la première fois depuis la division” de la péninsule, a déclaré la présidence sud-coréenne dans un communiqué.
Avant et après ce tir, la Corée du Nord a lancé au cours de la journée de mercredi un total de 22 autres projectiles, dont des missiles balistiques à courte portée et des missiles sol-air, selon l’armée sud-coréenne.
Un des missiles lancés mercredi matin a terminé sa course en mer à seulement 57 kilomètres de la ville sud-coréenne de Sokcho, dans le Nord-Est de la Corée du Sud, a indiqué l’armée sud-coréenne.
Elle a annoncé dans la foulée avoir tiré, pour sa part, trois missiles air-sol près de la frontière maritime intercoréenne.
Le président Yoon a convoqué une réunion du Conseil national de sécurité au sujet de cet incident, l’un des plus agressifs depuis plusieurs années estiment des analystes.
La Corée du Sud a fermé plusieurs routes aériennes au-dessus de la mer du Japon, conseillant aux compagnies aériennes d’effectuer un détour pour “assurer la sécurité des passagers sur les routes en direction des Etats-Unis et du Japon”.
Séoul et Washington organisent le plus grand exercice aérien conjoint de leur histoire, baptisé “Tempête vigilante” (Vigilant Storm), auquel participent des centaines d’avions de guerre des deux armées.
Pak Jong Chon, maréchal et secrétaire du Parti des travailleurs au pouvoir en Corée du Nord, a qualifié ces exercices d’agressifs et provocants, a rapporté mercredi la presse officielle nord-coréenne.
Selon lui, le nom de ces manœuvres fait écho à l’opération “Tempête du désert”, nom donné aux opérations militaires de la coalition conduite par les Etats-Unis contre l’Irak en 1991 après l’invasion du Koweït.
“Si les Etats-Unis et la Corée du Sud tentent d’utiliser leurs forces armées contre la (République populaire démocratique de Corée), les moyens spéciaux des forces armées de la RPDC accompliront leur mission stratégique sans délai”, a déclaré M. Pak, selon l’agence d’Etat KCNA.
“Les Etats-Unis et la Corée du Sud devront (…) payer le prix le plus horrible de l’histoire”, a menacé le maréchal.
Les missiles tirés mercredi par la Corée du Nord constituent “la plus agressive et menaçante démonstration (de force) contre le Sud depuis 2010”, a déclaré à l’AFP Cheong Seong-chang, chercheur à l’institut Sejong.
En mars 2010, un sous-marin nord-coréen avait torpillé une corvette sud-coréenne, tuant 46 marins. En novembre de la même année, le Nord avait bombardé une île frontalière sud-coréenne, causant la mort de quatre personnes, deux civils et deux militaires.
Les tirs de mercredi surviennent après une autre longue série en septembre et octobre, que le Nord a qualifié d’exercices nucléaires tactiques.
Washington et Séoul avertissent de manière répétée que Pyongyang pourrait effectuer un nouvel essai nucléaire qui serait le 7e de son histoire.
cdl/ceb/roc/ial/thm/mm/fjb
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol (g) lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur le lancement de missiles par la Corée du Nord, le 2 novembre 2022 à Séoul
• Handout
Les habitants de Séoul regardent les informations à propos des tirs de missiles du Nord
• Ayaka MCGILL
Des images diffusées dans une gare de Séoul, le 2 novembre 2022, de l’île sud-coréenne d’Ulleungdo où les habitants ont reçu consigne de se réfugier dans des bunkers après un tir de missile nord-coréen
• JUNG YEON-JE
Carte de la zone démilitarisée qui divise la péninsule coréenne depuis 1953
• Laurence CHU
Des images d’un tir de missile nord-coréen diffusées sur un écran de télévision dans une gare de Séoul, le 2 novembre 2022 en Corée du Sud
• JUNG YEON-JE
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La Corée du Nord a lancé mercredi au moins 23 missiles dont l’un est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes, provoquant une brutale hausse des tensions avec son voisin du Sud qui a riposté…
La Corée du Nord a lancé mercredi au moins 23 missiles dont l’un est tombé près des eaux territoriales sud-coréennes, provoquant une brutale hausse des tensions avec son voisin du Sud qui a riposté en lançant trois missiles vers la mer.
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a fustigé la “provocation” de Pyongyang, dénonçant une “invasion territoriale de fait”.
Les Etats-Unis “condamnent” la salve de missiles envoyée par la Corée du Nord, a dit mercredi John Kirby, porte-parole du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, et en particulier la “dangereuse décision” de Pyongyang de tirer un missile à proximité des eaux territoriales sud-coréennes.
En outre, Washington a accusé Pyongyang de “fournir de manière dissimulée une aide à la guerre de la Russie contre l’Ukraine”.
M. Kirby a évoqué un “nombre important” de munitions d’artillerie que la Corée du Nord aurait expédié en Russie, ajoutant que Washington cherchait à savoir si cette aide militaire avait été réceptionnée.
A Londres, la secrétaire d’Etat aux Affaires étrangères Anne-Marie Trevelyan a assuré que le Royaume-Uni “condamne” les tirs de missiles nord-coréens, les jugeant “irresponsables”.
“C’est la première fois qu’un missile balistique est tiré si près des eaux territoriales sud-coréennes et cela démontre les actions irresponsables de la Corée du Nord”, a affirmé Mme Trevelyan.
A Paris, la France a condamné “avec la plus grande fermeté les nombreux tirs de missiles, dont plusieurs balistiques” par la Corée du Nord, dénonçant de “nouvelles provocations inacceptables”.
La Russie a pour sa part appelé “tout le monde à garder son calme”.
De son côté, le président du Conseil européen Charles Michel s’est dit “outré” par les tirs de missiles par la Corée du Nord, dénonçant le comportement “agressif” et “irresponsable” de Pyongyang.
L’armée nord-coréenne a également procédé à plus d’une centaine de tirs d’artillerie dans la “zone tampon” maritime entre les deux pays, au moment où la Corée du Sud et les Etats-Unis effectuent dans la région d’importantes manœuvres aériennes dénoncées par Pyongyang.
Trois missiles balistiques nord-coréens de courte portée ont été lancés à 08H51 (23H51 GMT mardi), et l’un a franchi la “Ligne de limite du Nord”, qui constitue de fait la frontière maritime entre les deux pays.
Ce tir a provoqué une rare alerte au raid aérien dans l’île sud-coréenne d’Ulleungdo, située à environ 120 km à l’est de la péninsule coréenne, où les habitants ont reçu consigne de se réfugier dans des bunkers.
Selon l’armée de Séoul, c’est “la première fois depuis la division de la péninsule” après la guerre de Corée en 1953 qu’un missile nord-coréen est tombé si près des eaux territoriales du Sud.
M. Yoon a “souligné que la provocation nord-coréenne est une invasion territoriale de fait par un missile qui a franchi la Ligne de limite du Nord pour la première fois depuis la division” de la péninsule, a déclaré la présidence sud-coréenne dans un communiqué.
Avant et après ce tir, la Corée du Nord a lancé au cours de la journée de mercredi un total de 22 autres projectiles, dont des missiles balistiques à courte portée et des missiles sol-air, selon l’armée sud-coréenne.
Un des missiles lancés mercredi matin a terminé sa course en mer à seulement 57 kilomètres de la ville sud-coréenne de Sokcho, dans le Nord-Est de la Corée du Sud, a indiqué l’armée sud-coréenne.
Elle a annoncé dans la foulée avoir tiré, pour sa part, trois missiles air-sol près de la frontière maritime intercoréenne.
Le président Yoon a convoqué une réunion du Conseil national de sécurité au sujet de cet incident, l’un des plus agressifs depuis plusieurs années estiment des analystes.
La Corée du Sud a fermé plusieurs routes aériennes au-dessus de la mer du Japon, conseillant aux compagnies aériennes d’effectuer un détour pour “assurer la sécurité des passagers sur les routes en direction des Etats-Unis et du Japon”.
Séoul et Washington organisent le plus grand exercice aérien conjoint de leur histoire, baptisé “Tempête vigilante” (Vigilant Storm), auquel participent des centaines d’avions de guerre des deux armées.
Pak Jong Chon, maréchal et secrétaire du Parti des travailleurs au pouvoir en Corée du Nord, a qualifié ces exercices d’agressifs et provocants, a rapporté mercredi la presse officielle nord-coréenne.
Selon lui, le nom de ces manœuvres fait écho à l’opération “Tempête du désert”, nom donné aux opérations militaires de la coalition conduite par les Etats-Unis contre l’Irak en 1991 après l’invasion du Koweït.
“Si les Etats-Unis et la Corée du Sud tentent d’utiliser leurs forces armées contre la (République populaire démocratique de Corée), les moyens spéciaux des forces armées de la RPDC accompliront leur mission stratégique sans délai”, a déclaré M. Pak, selon l’agence d’Etat KCNA.
“Les Etats-Unis et la Corée du Sud devront (…) payer le prix le plus horrible de l’histoire”, a menacé le maréchal.
Les missiles tirés mercredi par la Corée du Nord constituent “la plus agressive et menaçante démonstration (de force) contre le Sud depuis 2010”, a déclaré à l’AFP Cheong Seong-chang, chercheur à l’institut Sejong.
En mars 2010, un sous-marin nord-coréen avait torpillé une corvette sud-coréenne, tuant 46 marins. En novembre de la même année, le Nord avait bombardé une île frontalière sud-coréenne, causant la mort de quatre personnes, deux civils et deux militaires.
Les tirs de mercredi surviennent après une autre longue série en septembre et octobre, que le Nord a qualifié d’exercices nucléaires tactiques.
Washington et Séoul avertissent de manière répétée que Pyongyang pourrait effectuer un nouvel essai nucléaire qui serait le 7e de son histoire.
cdl/ceb/roc/ial/thm/mm/fjb
Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol (g) lors d’une réunion du Conseil de sécurité sur le lancement de missiles par la Corée du Nord, le 2 novembre 2022 à Séoul
• Handout
Les habitants de Séoul regardent les informations à propos des tirs de missiles du Nord
• Ayaka MCGILL
Des images diffusées dans une gare de Séoul, le 2 novembre 2022, de l’île sud-coréenne d’Ulleungdo où les habitants ont reçu consigne de se réfugier dans des bunkers après un tir de missile nord-coréen
• JUNG YEON-JE
Carte de la zone démilitarisée qui divise la péninsule coréenne depuis 1953
• Laurence CHU
Des images d’un tir de missile nord-coréen diffusées sur un écran de télévision dans une gare de Séoul, le 2 novembre 2022 en Corée du Sud
• JUNG YEON-JE
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Le prix Goncourt 2022, remis jeudi, sera forcément celui du renouveau, en sacrant soit un ou une trentenaire, soit l’auteur d’un premier roman, soit une romancière qui restait…
Le prix Goncourt 2022, remis jeudi, sera forcément celui du renouveau, en sacrant soit un ou une trentenaire, soit l’auteur d’un premier roman, soit une romancière qui restait peu connue du grand public.
Les dix jurés du plus prestigieux des prix littéraires français, sept hommes et trois femmes, rendent leur verdict à la mi-journée.
Le rituel est le même depuis plus d’un siècle: un déjeuner au restaurant Drouant à Paris, pour décider qui a écrit le meilleur roman français de l’année.
La sélection a été resserrée à quatre auteurs: deux Françaises, Brigitte Giraud et Cloé Korman, un Italo-Suisse, Giuliano da Empoli, et un Haïtien, Makenzy Orcel.
Alors qu’en 2021 beaucoup anticipaient la victoire du Sénégalais Mohamed Mbougar Sarr, les pronostics sont plus difficiles cette année.
Giuliano da Empoli, 49 ans, qui a publié en avril “Le Mage du Kremlin” (éditions Gallimard), a la faveur des journalistes littéraires interrogés par le magazine spécialisé Livres Hebdo: ils sont huit sur douze à parier pour lui.
L’histoire semblait écrite avant qu’il n’obtienne le Grand Prix du roman de l’Académie française: ce roman qui parle de la Russie des 30 dernières années, et en particulier du président Vladimir Poutine, allait être sacré.
Mais réussir le doublé est rare. N’y sont parvenus que l’Américain Jonathan Littell, en 2006 avec sa fresque sur un officier SS, “Les Bienveillantes”, et l’un des jurés actuels, Patrick Rambaud, en 1997 avec “La Bataille”, sur une bataille napoléonienne.
Par ailleurs, une “jurisprudence Decoin”, du nom du président de l’Académie Goncourt Didier Decoin, veut qu’un même livre n’obtienne pas deux prix d’automne différents.
Juste avant de remettre le Goncourt 2021, celui-ci avait expliqué à l’AFP: “Il ne faut pas oublier nos amis et alliés que sont les libraires. Si on donne deux prix à un seul livre, ça ne fait qu’un livre dans la vitrine”.
Les prix littéraires, qui inspirent souvent les Français souhaitant découvrir ou offrir un roman en cette fin d’année, sont un enjeu économique crucial.
Le Goncourt garantit des ventes en centaines de milliers. “Le Mage du Kremlin”, après des critiques très favorables et plus de six mois en librairie, est en train seulement d’atteindre la barre des 100.000 exemplaires. Et ses trois rivaux parus en août en sont loin.
Toujours d’après les journalistes littéraires, la concurrente la plus sérieuse, si M. da Empoli devait être battu, est Brigitte Giraud, 56 ans.
“Vivre vite” (Flammarion), qui revient sur l’engrenage d’événements improbables ayant mené à la mort de son mari dans un accident de moto en 1999, a beaucoup touché certains jurés.
Cloé Korman et Makenzy Orcel, s’ils ne partent pas favoris, pourraient mettre tout le monde d’accord.
La première, à 38 ans, signe une enquête sur des enfants victimes de la Shoah, “Les presque sœurs” (Seuil).
Trois rescapées de l’Holocauste sur le témoignage desquelles se fonde le récit ont cependant protesté. D’après leurs témoignages à plusieurs médias, le livre contient des inexactitudes et indiscrétions sur leur vie.
Même si elles n’ont pas prévu d’intenter de procès, la révélation de leur mécontentement dans les jours précédant le prix risque de peser.
Enfin, pour la deuxième année consécutive, un Haïtien s’est hissé en finale. Après Louis-Philippe Dalembert en 2021, c’est cette fois-ci Makenzy Orcel, 39 ans.
“Une somme humaine” (Rivages) est un monologue venu d’outre-tombe, d’une jeune femme française, qui confirme le talent d’un écrivain prolifique mais méconnu jusqu’ici.
La récompense s’accompagne d’un chèque de dix euros, que les bénéficiaires préfèrent encadrer plutôt que déposer à la banque.
Comme le veut la tradition, le prix Renaudot est remis juste après le Goncourt, dans le même restaurant du quartier de l’Opéra à Paris.
Il compte six finalistes pour le roman: Sandrine Collette, Nathan Devers, Sibylle Grimbert, Claudie Hunzinger, Simon Liberati et Christophe Ono-dit-Biot.
hh/elc/lpa
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Le prix Goncourt 2022, remis jeudi, sera forcément celui du renouveau, en sacrant soit un ou une trentenaire, soit l’auteur d’un premier roman, soit une romancière qui restait…
Le prix Goncourt 2022, remis jeudi, sera forcément celui du renouveau, en sacrant soit un ou une trentenaire, soit l’auteur d’un premier roman, soit une romancière qui restait peu connue du grand public.
Les dix jurés du plus prestigieux des prix littéraires français, sept hommes et trois femmes, rendent leur verdict à la mi-journée.
Le rituel est le même depuis plus d’un siècle: un déjeuner au restaurant Drouant à Paris, pour décider qui a écrit le meilleur roman français de l’année.
La sélection a été resserrée à quatre auteurs: deux Françaises, Brigitte Giraud et Cloé Korman, un Italo-Suisse, Giuliano da Empoli, et un Haïtien, Makenzy Orcel.
Alors qu’en 2021 beaucoup anticipaient la victoire du Sénégalais Mohamed Mbougar Sarr, les pronostics sont plus difficiles cette année.
Giuliano da Empoli, 49 ans, qui a publié en avril “Le Mage du Kremlin” (éditions Gallimard), a la faveur des journalistes littéraires interrogés par le magazine spécialisé Livres Hebdo: ils sont huit sur douze à parier pour lui.
L’histoire semblait écrite avant qu’il n’obtienne le Grand Prix du roman de l’Académie française: ce roman qui parle de la Russie des 30 dernières années, et en particulier du président Vladimir Poutine, allait être sacré.
Mais réussir le doublé est rare. N’y sont parvenus que l’Américain Jonathan Littell, en 2006 avec sa fresque sur un officier SS, “Les Bienveillantes”, et l’un des jurés actuels, Patrick Rambaud, en 1997 avec “La Bataille”, sur une bataille napoléonienne.
Par ailleurs, une “jurisprudence Decoin”, du nom du président de l’Académie Goncourt Didier Decoin, veut qu’un même livre n’obtienne pas deux prix d’automne différents.
Juste avant de remettre le Goncourt 2021, celui-ci avait expliqué à l’AFP: “Il ne faut pas oublier nos amis et alliés que sont les libraires. Si on donne deux prix à un seul livre, ça ne fait qu’un livre dans la vitrine”.
Les prix littéraires, qui inspirent souvent les Français souhaitant découvrir ou offrir un roman en cette fin d’année, sont un enjeu économique crucial.
Le Goncourt garantit des ventes en centaines de milliers. “Le Mage du Kremlin”, après des critiques très favorables et plus de six mois en librairie, est en train seulement d’atteindre la barre des 100.000 exemplaires. Et ses trois rivaux parus en août en sont loin.
Toujours d’après les journalistes littéraires, la concurrente la plus sérieuse, si M. da Empoli devait être battu, est Brigitte Giraud, 56 ans.
“Vivre vite” (Flammarion), qui revient sur l’engrenage d’événements improbables ayant mené à la mort de son mari dans un accident de moto en 1999, a beaucoup touché certains jurés.
Cloé Korman et Makenzy Orcel, s’ils ne partent pas favoris, pourraient mettre tout le monde d’accord.
La première, à 38 ans, signe une enquête sur des enfants victimes de la Shoah, “Les presque sœurs” (Seuil).
Trois rescapées de l’Holocauste sur le témoignage desquelles se fonde le récit ont cependant protesté. D’après leurs témoignages à plusieurs médias, le livre contient des inexactitudes et indiscrétions sur leur vie.
Même si elles n’ont pas prévu d’intenter de procès, la révélation de leur mécontentement dans les jours précédant le prix risque de peser.
Enfin, pour la deuxième année consécutive, un Haïtien s’est hissé en finale. Après Louis-Philippe Dalembert en 2021, c’est cette fois-ci Makenzy Orcel, 39 ans.
“Une somme humaine” (Rivages) est un monologue venu d’outre-tombe, d’une jeune femme française, qui confirme le talent d’un écrivain prolifique mais méconnu jusqu’ici.
La récompense s’accompagne d’un chèque de dix euros, que les bénéficiaires préfèrent encadrer plutôt que déposer à la banque.
Comme le veut la tradition, le prix Renaudot est remis juste après le Goncourt, dans le même restaurant du quartier de l’Opéra à Paris.
Il compte six finalistes pour le roman: Sandrine Collette, Nathan Devers, Sibylle Grimbert, Claudie Hunzinger, Simon Liberati et Christophe Ono-dit-Biot.
hh/elc/lpa
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A two-week gun amnesty is set to take effect on Saturday, November 5 and will remain in force until midnight Saturday, November 19.
The House of Representatives on Tuesday approved a motion moved by Minister of National Security, Dr Horace Chang that gives effect to the amnesty.
The amnesty was announced on the same day that the new Firearms Prohibition, Restriction and Regulation) Act took effect.
Chang had indicated on September 1 when he tabled the Firearms Bill for debate in the House that an amnesty would be announced as soon as the new law took effect.
The new Act will see stiffer penalties from a mandatory 15 years up to life imprisonment for those who run afoul of the law.
Called the Firearms, Prohibition, Restriction and Regulation Amnesty Order 2022, Chang explained that it will allow persons who may be in possession an illegal or unregistered firearm or ammunition the opportunity to surrender the weapon to the State without the fear of prosecution.
The security minister encouraged persons who may be in possession of a firearm without criminal intent to make use of the amnesty.
He noted that such persons may include an individual who may have inherited a firearm from a relative and have it locked away in a safe. Persons who have decided that they are no longer using their firearm, which would become illegal under the new legislation, should also make use of the amnesty.
“The object of this amnesty is to have those individuals surrender their firearms,” said Chang.
He also urged persons who have acquired a firearm illegally but with no intent of committing an illegal act, to make use of the amnesty. He said any person who voluntarily surrender or disclose the location of any firearm or ammunition during the amnesty period shall not be charged with any offence relating to the illegal possession, custody or control of the firearm or ammunition.
However, once the amnesty expires “you can expect the full force of the law to apply to anyone who is found in possession of an illegal firearm or ammunition,” Chang warned.
Those wanting to make use of the amnesty may call the police, go to the nearest police station or engage an attorney-at-law. Such persons may call several numbers which are listed in the Order, including 811, to alert the police that “they’re coming in with an illegal firearm”.
If such a person is apprehended by the police on the way to the station, the call would have established a record “that they are not just trying to pull the wool over the eyes of the police”, Chang said.
He noted that firearm amnesties are not unique to Jamaica and have been used successfully around the world to deal with gun crimes.
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In what the police are describing as “particularly troubling”, children between ages 15 and 17 have been charged with 875 major crimes over the last four years.
This was disclosed by Police Commissioner, Major General Antony Anderson, at the Jamaica Constabulary Force’s (JCF) monthly media briefing on Tuesday.
“In recent weeks, we’ve been dissecting the crime figures and looking more closely at both perpetrators and victims.
“When we examine children as the perpetrators of major crimes, some concerns begin to emerge,” Anderson pointed out.
He noted that though a child, by definition, is a person below the age of 18 years, “most of the perpetrators in this category are between 15 and 17 years old”.
For the four-year period of 2019 to present, children have been slapped with 79 murder charges and 66 shooting charges, Anderson informed.
“A total of 175 children have been charged with rape over the period. There have been 256 charges for breaches of the Firearms Act, 175 for break-ins, 89 for robbery, and 65 for aggravated assault,” he outlined.
“These individuals, if we do not act collectively, are getting into an early career of violence and crime.
“We are bringing this to the nation’s attention, because as a society, we have to decide how we are going to save them,” stated Anderson.
Major General Antony Anderson (file photo)
In furtherance of that point, the commissioner explained that as a constabulary, they also took the initiative of informing the nation relative to these trends “associated with the pandemic of violence impacting our country”, to “demand collective responsibility and action if we are to make a sustained change in behaviour.”
He added that, “We have a responsibility to investigate every crime, but there are some that are particularly troubling.”
Despite the troubling trend relative to children, Anderson reminded that the police have formed various early intervention strategies through its Community Safety and Security Branch (CSSB) and programmes such as the police youth clubs.
He advised, as well, of the police’s collaborative efforts with the Education and Youth Ministry and its safe school’s programme.
“However, we all must take this matter (children as perpetrators of crime) more seriously.
“The pandemic of violence is affecting our children; they are not merely innocent victims of violence. In far too many instances, children and adolescents are actually the perpetrators themselves,” Anderson reiterated.
The top law enforcer also stressed the importance of “all institutions of society” being vigilant towards the issues and engage in early surveillance of children in the home, school or elsewhere, to identify the early signs of violent tendencies.
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PARAMARIBO — China heeft Suriname een financiële injectie van tweehonderdduizend US dollar gegeven. Het geld moet worden besteed voor de
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A high-level manhunt is under way by the police for Simeon Sutherland, the man charged in connection with the murder of then People’s National Party (PNP) Member of Parliament (MP) for East Portland, Dr Lynvale Bloomfield.
Sutherland absconded bail on Wednesday.
He was to stand trial in the Home Circuit Court in Kingston for the politician’s 2019 stabbing death at his home in Portland, this after several months of delay.
However, when his name was called at least three times to come inside the courtroom in downtown Kingston on Wednesday, Sutherland was nowhere to be found.
The court was informed that before the start of court, the accused and his parents were at the office of his lawyer, Peter Champagnie.
Sutherland’s mother reportedly claimed that her son was dropped off at the entrance to the Supreme Court building, but said she noticed that he did not go towards the building.
Instead, the accused man man reportedly walked away and did not stop, even while his parents attempted to drive him down.
Sutherland’s mother was ordered by High Court Judge, Justice Leighton Pusey, to be taken into custody to pay her son’s bail bond of $800,000.
A bench warrant was also issued by the judge for Sutherland’s arrest.
Champagnie has also asked the judge to release him from the matter.
Speaking to reporters after the court proceedings, Champagnie expressed surprised at the actions of his client.
“What took place in court today is absolutely surprising, that’s the first thing, and barring any… reasonable excuse for the absence of Mr Sutherland, I would not want the message to be received that it is okay for you to have access to legal representation in the form of myself…, to take leave of the process and re-engage at a subsequent occasion time… and believe that you can have access to representation.
“It doesn’t work like that. We are a part of the justice system and it ought to be respected,” declared Champagnie.
When asked if Sutherland was set to plead guilty ahead of the scheduled start to his trial, the attorney said he would not want to say “yes or no” to that question.
He said if Sutherland is brought back to court, he would not want to prejudice the matter, resulting in members of the public being “sensitised” relative to “a course of action”.
Bloomfield was found dead with multiple stab wounds at his home in Passley Gardens, Portland on the morning of February 2, 2019.
Sutherland was arrested by investigators assigned to the Major Investigative Division (MID) days later, but after denying knowledge of the murder, was initially released by the police.
He was re-arrested shortly after evidence reportedly linked him to the scene of the crime.
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Man charged with recent murder of cop in Maxfield Avenue area
Hunt on for man who fled before start of MP Bloomfield’s murder trial
Man hit in head after intervening in chopping incident succumbs
Man booked after suspicious actions ‘led to 1 round of ammo in pocket’
Patrice Roberts displeased about last-minute switch with Burna Boy
Kerrica Hill, Jaydon Hibbert among Rising Star nominees
‘Commendable’, says Morgan of MOH’s handling of VJH bacterial outbreak
Cari-Med considers going public
Martin becomes the seventh hurricane of the 2022 Atlantic Season
13 minutes ago
Constable Brian Martin
NEWYou can now listen to Loop News articles!
Twenty-year-old Jermaine Hamilton, otherwise called ‘Alex’, of Maxfield Avenue, St Andrew, has been arrested and charged following the death of 21-year-old Brian Martin, a police officer of Barbican, St Andrew, on Saturday, October 15 of this year.
Hamilton has been charged with murder, four counts of wounding with intent, and illegal possession of firearm.
Reports from the Hunts Bay police are that Constable Martin and the other persons who were subsequently injured, were patrons at a wake in Frog City in the Maxfield Avenue area, when men alighted from a motorcar and opened gunfire at the group of persons.
When the shooting subsided, Martin and three others were found with gunshot wounds.
They were all taken to hospital, where Martin was pronounced dead and the others were treated and released.
Hamilton was apprehended on Monday, October 17, and was later pointed out on an identification parade and subsequently charged.
Hamilton court date is being finalised.
Twenty-four-year-old pig farmer Giovanni Morris dreams of establishing his own state-of-the-art facility, which will integrate technology into the animal-rearing process.
Currently, the Portlan
Rushane Patterson arrested at Hanover guest house
The driver who was operating the Coaster bus that triggered an eight-vehicle collision on Constant Spring Road in St Andrew on Tuesday morning has more than 100 outstanding tickets.
The police hi
Injured officer rushed to hospital
A policeman remains hospitalised following a shooting incident at his home in Old Harbour, St Catherine, on Tuesday morning.
Initial reports had suggested that the lawman was allegedly shot b
Supply-chain issues have slowed the construction of the Portmore branch of Fontana according to its CEO, Anne Chang.
When Fontana announced in June last year that it was moving into St Catherine, i
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