Deux immeubles s’effondrent en plein centre de Lille, un disparu

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Les pompiers sont à la recherche d’un médecin porté disparu après l’effondrement samedi matin de deux petits immeubles mitoyens dans une rue commerçante en plein centre de Lille, dont la plupart des habitants ont pu être évacués grâce à…

Les pompiers sont à la recherche d’un médecin porté disparu après l’effondrement samedi matin de deux petits immeubles mitoyens dans une rue commerçante en plein centre de Lille, dont la plupart des habitants ont pu être évacués grâce à l’alerte lancée par l’un d’eux dans la nuit.

Plusieurs responsables politiques avaient initialement indiqué qu’il n’y avait “a priori” pas de victimes, avant que les pompiers annoncent être à la recherche de cette “victime potentielle”.

“On est quasiment sûrs que cette personne se trouve dans les gravats”, a indiqué le lieutenant-colonel Stéphane Beauventre. “Son téléphone ne répond pas, sa voiture est dans le parking, (…) et il n’a pas pris son astreinte.”

“On concentre tous nos efforts à (…) extraire à la main les gravats pour accéder à cette victime”, a-t-il ajouté.

Une autre personne, légèrement blessée, a été extraite des décombres, a indiqué le service départemental d’incendie et secours du Nord.

Le parquet de Lille a indiqué à l’AFP avoir ouvert une enquête pour “mise en danger de la vie d’autrui” et diligenté “une expertise judiciaire”.

Un immeuble de trois étages en travaux s’est écroulé vers 9H15, entraînant le bâtiment voisin dans sa chute, dans la rue Pierre-Mauroy, une rue très passante de la ville, une heure avant l’ouverture des magasins.

“J’en tremble encore”

Selon la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, présente sur place, une dizaine de personnes avaient été évacuées quelques heures avant l’effondrement.

“Un jeune est rentré à 3h00 du matin et il s’est rendu compte que le mur (du bâtiment) était gondolé” et la porte ouverte, a-t-elle indiqué. Il a alors prévenu la police municipale et les pompiers, qui ont décidé d’évacuer un bâtiment, l’autre semblant vide, estimant “qu’il y avait un vrai risque”.

“Je ne dormais pas encore quand les pompiers ont commencé à tambouriner sur les portes, mais j’ai cru que c’était des fêtards et je suis resté au lit”, a raconté à l’AFP un habitant, Benjamin Lopard, 35 ans. 

“Quand les policiers sont arrivés, j’ai réalisé que c’était sérieux”, indique le jeune homme, qui est parti vers 5h30 avec ses papiers, son ordinateur et une tenue de rechange. “Je réalise maintenant la chance incroyable qu’on a eue”, dit-il: sans cette évacuation “on serait tous dans des boîtes en bois”.

“J’en tremble encore, car si cette nuit ce monsieur n’était pas rentré à 3h00 du matin et ne nous avait pas joints (…) il y aurait des morts”, a déclaré la maire de Lille, avant l’annonce qu’un riverain était porté disparu. Elle a précisé avoir pris “un arrêté de péril imminent”.

“Pas d’insalubrité”

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, a également remercié “l’étudiant qui a, cette nuit, donné l’alerte”.

Les bâtiments avoisinants ont été évacués samedi matin “par précaution”.

Les pompiers à pied d’oeuvre évoluaient avec précaution samedi après-midi dans les gravats, un mélange poussiéreux de briques et de poutrelles en métal, restes d’un échafaudage sur la façade du bâtiment.

“Ce n’était pas un immeuble frappé d’insalubrité”, a affirmé à l’AFP le ministre délégué au Logement, Olivier Klein.

Le périmètre était sécurisé par de nombreux policiers. Des pompiers ont forcé des portes de magasins au pied des immeubles voisins afin de vérifier la présence d’éventuelles fissures mettant en péril les bâtiments ou de fuites de gaz.

“On a entendu un bruit de quelques secondes, tout doucement au début. On a pensé que c’était l’échafaudage qui tombait”, a raconté à l’AFP Ludovic Ficher, 30 ans, qui travaille dans un immeuble mitoyen.

“Quand on s’est rendu compte que c’était tout l’immeuble qui était en train de s’effondrer, on est tous partis en courant”, a-t-il ajouté. “J’ai eu la peur de ma vie.”

Le député insoumis de la circonscription Adrien Quatennens, en retrait de la vie publique depuis l’ouverture d’une enquête le visant sur des violences conjugales, a commenté l’incident dans un tweet, saluant “la réactivité de celui qui a donné l’alerte”.

zap-cnp-av/

Des pompiers devant deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

Des pompiers dans les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

Des pompiers dans les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

La maire de Lille, Martine Aubry, devant les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de la ville, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

Deux immeubles s’effondrent en plein centre de Lille
• Sameer Al-DOUMY

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Aux Etats-Unis, les démocrates à un siège de garder le Sénat

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Joe Biden semblait en mesure samedi de conserver le contrôle du Sénat et les républicains de le priver de la majorité à la Chambre des représentants. Mais les regards se tournaient déjà vers 2024 avec l’annonce probable mardi d’une…

Joe Biden semblait en mesure samedi de conserver le contrôle du Sénat et les républicains de le priver de la majorité à la Chambre des représentants. Mais les regards se tournaient déjà vers 2024 avec l’annonce probable mardi d’une candidature de Donald Trump à la Maison Blanche.

La victoire annoncée vendredi du démocrate sortant Mark Kelly en Arizona signifie que le Sénat est actuellement partagé à 49-49, avec deux sièges restants à départager, dans le Nevada et la Géorgie, quatre jours après les élections américaines de mi-mandat.

Il suffit que les démocrates en remportent un pour garder le contrôle de la chambre haute, puisqu’ils pourront user du vote de la vice-présidente Kamala Harris pour départager les égalités, comme le prévoit la Constitution.

En Arizona, l’astronaute Mark Kelly a battu Blake Masters, qui avait reçu le soutien appuyé de l’ancien président républicain omniprésent dans cette campagne.

Piqué par ce revers, qui s’ajoute à d’autres échecs de ses poulains, Donald Trump a de nouveau crié à la “fraude électorale” refusant d’admettre le verdict des urnes, comme il le fait depuis sa défaite à la présidentielle de 2020.

Du côté de la Chambre des représentants, les républicains semblaient en passe de reprendre la majorité des sièges, ce qui compliquera la suite du mandat du président Joe Biden.

Mais leur victoire s’annonce nettement plus courte qu’annoncée. La chaîne NBC News projetait samedi matin une frêle majorité de cinq sièges pour les républicains avec 220 élus contre 215 pour les démocrates.

Près de 20 scrutins n’ont cependant toujours pas donné leur verdict, principalement en Californie.

“Pas de vague”

Les républicains ont longtemps cru posséder un boulevard pour reprendre les deux chambres à leurs rivaux, promettant une “vague rouge”, voire un “tsunami” qui n’aura donc finalement pas eu lieu.

Leurs résultats décevants font monter l’agitation parmi leurs élus au Congrès, augurant de possibles règlements de compte.

Dans une lettre révélée par Politico, plusieurs sénateurs trumpistes demandent de reporter le vote pour élire leur chef au Sénat, posant un défi à l’actuel responsable, le ténor républicain Mitch McConnell. “Nous sommes tous déçus qu’une +Vague Rouge+ ne se soit pas concrétisée, et il existe plusieurs raisons à cela”, écrivent-ils.

Une fois le paysage politique établi dans les deux chambres du Congrès, les regards seront bel et bien tournés vers 2024 aux Etats-Unis, avec la perspective de voir l’ancien président Donald Trump annoncer sa candidature dès mardi, selon l’un de ses proches conseillers.

“Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle, très soignée”, a déclaré vendredi son conseiller Jason Miller sur “War Room”, le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump.

Fragilisé

Le magnat de l’immobilier avait jusque-là laissé entendre qu’il pourrait se présenter, promettant qu’il ferait depuis sa résidence de Floride, Mar-A-Lago, une “grande annonce” – dont la teneur ne suscitait plus vraiment de suspense ces derniers jours.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.

A l’inverse de Donald Trump, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine.

Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme “Ron-la-Morale”.

Et, hasard du calendrier ou pas, mardi sera aussi le jour de la sortie des mémoires d’un autre concurrent possible de Donald Trump, son ancien vice-président Mike Pence.

L’élection de 2024 pourrait tenir du remake de celle de 2020: son adversaire d’alors, l’actuel président démocrate Joe Biden, a réaffirmé cette semaine son “intention” de briguer un deuxième mandat. Mais lui a pris soin de repousser toute décision définitive à l’année prochaine.

rle/chp

Carte représentant le parti ayant remporté les élections de mi-mandat par circonscription lors des élections de mi-mandat, au 11 novembre à 9h30 GMT
• Sabrina BLANCHARD

L’ancien président républicain Donald Trump sort d’un bureau de vote pour les élections de mi-mandat, à Palm Beach en Floride, le 8 novembre 2022
• Eva Marie UZCATEGUI

Le sénateur démocrate de l’Arizona Mark Kelly lors d’un meeting de campagne à Phoenix, le 2 novembre 2022
• Patrick T. FALLON

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Rugby: l’Italie bat l’Australie pour la première fois de son histoire (28-27)

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Un XV d’Italie séduisant et plein de promesses a créé l’exploit samedi à Florence en battant l’Australie pour la première fois de son histoire (28-27), lors…

Un XV d’Italie séduisant et plein de promesses a créé l’exploit samedi à Florence en battant l’Australie pour la première fois de son histoire (28-27), lors d’un match rythmé et indécis jusqu’au bout.

Déjà vainqueurs des Samoa la semaine dernière, les Italiens ont fait la différence grâce à trois essais de Pierre Bruno (18e) et d’Ange Capuozzo (25e, 64e), à la conclusion de deux combinaisons spectaculaires.

Menés au score pendant tout le match, les Wallabies auraient pu s’imposer sur le fil si Ben Donaldson, à peine entré en jeu, avait transformé l’essai inscrit par Neville à la 81e minute.

Mais l’échec du jeune demi d’ouverture, qui honorait sa première sélection, a permis aux Italiens de signer une victoire historique, la première en 19 confrontations entre les deux équipes.

Handicapée par le forfait de dernière minute de son ouvreur Paolo Garbisi, remplacé par Tommaso Allan, les Azzurri auraient même pu alourdir le score s’ils n’avaient pas laissé passer 14 points au pied.

L’Australie, largement remaniée et en difficulté sur les ailes, est parvenue à rester dans le match avec des essais de Wright (31e) et de McReight (44e) avant de relancer le score par l’intermédiaire de Robertson (68e).

Déjà battus sur le fil par les Bleus samedi dernier (30-29), les Australiens concluront leur tournée de novembre face à l’Irlande samedi prochain tandis que la Nazionale accueillera l’Afrique du Sud.

cmk/fbx

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Scarborough secondary student highlights sargassum problem in coding competition

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Tobago

Lloyander Scotland, right, placed third in Cariri and Republic Bank’s Coding and Innovation Programme’s Power Up! competition. Also in photo are first-place winner Joseann Boneo, centre, and second-place winner Lionel Clement. – Photo courtesy Ministry of Planning and Development

AFTER placing third in the Cariri/Republic Bank Coding and Innovation’s PowerUp! competition, Tobago student Lloyander Scotland says she is aiming for first place in the 2023 competition.

The competition was staged courtesy the Caribbean Industrial Research Institute (Cariri) and Republic Bank Ltd. Scotland’s project which was judged in the finals was about an early-warning system to aid in controlling the sargassum seaweed which has washed up along miles of Tobago’s pristine beaches.

The 14-year-old is a Form Three student of Scarborough Secondary School and was Tobago’s lone finalist in the competition.

In July, students between the ages of 10-18 were invited to the programme which ran from August 2-30. There were three available tracks for students to choose from – coding and programming, innovation, and entrepreneurship.

Following this, a competition aspect was introduced to ensure the students complete the programme, remain engaged to the end as well as get a good understanding of the concepts taught.

In the competition, students had to identify a problem in the environment – water, land and energy, the economy, the community they live or come up with a better way for people to communicate and socialise with each other.

Scotland, speaking at her Carnbee home on Wednesday, said: “I feel very proud of myself especially as the only Tobagonian (in the final).”

She said she had to present a five-minute video on her selected topic which focused on the sargassum seaweed early detection.

She said she was able to complete her presentation in approximately three weeks. Scotland initially registered for the programme in 2021, but was unable to participate as all spaces were filled. She applied again this year and was accepted.

Sargassum seaweed ashore at Rockly Bay, Lambeau Tobago in April 2020. – File photo by Leeandro Noray

“There were other Tobagonians in the first round, I wasn’t the only one, but I was the only Tobagonian selected as a finalist.”

The youngster said that in the past decade, sargassum seaweed has become an acute problem for several Caribbean countries as it washed up on shore and drastically alters or even destroys the ecosystem.

It has also been a problem for the tourism sector as the seaweed washes up on many beaches and as they dry out and decay, give off a terrible stench.

“The Caribbean would usually experience a few small mats of sargassum washing ashore in a given year. Until 2011, when the seaweed first began arriving in unexpectedly large waves. Similar pile-ups have occurred almost every year since – closing down hotels and beaches,” she said.

She recalled that in 2015, the Tobago House Of Assembly (THA) spent approximately $3million in clean-up and recovery exercises, adding that the assembly currently spends approximately $1 million annually in recuperation and rehabilitation.

But what is her solution?

“To have buoys in the sea or ocean at different locations with a sensor and camera attached. When the sargassum seaweed approaches the first buoy, the sensor is triggered and turns on the camera.”

With a broad smile, Scotland said she enjoyed the programme and competition immensely.

“Overall, it was a nice experience for me, getting to use my skills in putting my presentation together. I really liked the journey and I think this was a really good thing for me to get into, and I am aiming for first place in next year’s competition.”

She said her father Lloyd supported her throughout.

“My father helped me – I conducted a survey and compiled the findings which he then looked at and made good suggestions.”

Listening in on the interview, Lloyd chimed in to say he was very proud of his daughter.

“I feel good because of the fact that out of 2,000 people all with their own presentations, my child placed third overall. This is a great success not only for her but for Tobago to as she was the only Tobagonian in the finals,” Scotland said.

He said Lloyande’s topic was timely.

“When we look at the sargassum seaweed, we saw that it has the potential to damage our tourism. She thought it necessary to try and develop something that could give us an early warning so that we can implement action before the seaweed reach our shores,” he said.

A press release stated that Cariri has been executing ICT educational programmes for the nation’s youths since 2018 and has reached over 5,000 students thus far.

Republic Bank under its Power to Make a Difference programme saw value in the content and partnered with Cariri to offer the programme to more students than ever before.

The current Coding and Innovation Programme was designed to include participants aged 10–18 and provided them with five options of tracks to choose from which included:

An introduction to computer engineering for kids.

ICT-enabled youth entrepreneurship

Computer engineering concepts for industry

New technologies, ideation and life skills

Introduction to mobile app development and computer science, web technologies and business applications.

The programme helped students to understand coding, engineering, business development and innovation and its importance in generating winning ideas that could be created to solve business and community problems.

In order to ensure that learning took place and to keep students engaged to the end, this year, a competition aspect was added to keep things interesting for the students.

The PowerUp! competition asked students to identify a problem that currently exists and figure out a way to solve it using technology.

The top ten students were selected and they were able to attend a special class to learn about pretotyping (pretotyping is a way to test a product idea quickly and inexpensively by creating an extremely simple version of the solution).

Then they were given two weeks to develop a pretotype of their solution and the final leg of the competition saw the ten students have the opportunity to do a pitch to the judges.

In first place was Joseann Boneo with Schomoply, second place went to Lionel Clement with Track your Data and third place went to Scotland with her Sargassum Seaweed Plan.

Other participants in the competition were Oghenetega Osoroh, Jurre Cox, Jerrod Prescott, Jordan Cook, Jayden Solomon, Hannah-Marie Redman, Skye Craig.

The prize giving ceremony took place on November 7, at Cariri’s Centre for Enterprise Development in Freeport.

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WATCH: NEMO Providing Disaster Relief To Flood Victims – St. Lucia Times News

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The National Emergency Management Organisation (NEMO) is providing post-disaster relief to communities affected by Sunday’s devastating floods.

NEMO’s Acting Director, Maria Medard, led a team of volunteers through the Corinth Estate on Friday to deliver supplies to affected households.

The organisation’s Facebook page said flood victims received mattresses, food, water, and baby packages.

Other communities will benefit from relief supplies in the coming days.

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In the meantime, NEMO has renewed its appeal for donations to assist families, households, and communities impacted by the disaster.

The NEMO Acting Director spoke to Rehani Isidore of the Office of the Prime Minister regarding Friday’s exercise and the relief effort.

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Nigerian-Bajan producer wants to come home, build, partner Loop Barbados

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Unbeknownst to many, Nigerian actor, producer, executive producer and entrepreneur Nwakaego Boyo, familiarly called Ego, spent a good chunk of her childhood living in Barbados because her mum is Bajan. So, technically and genetically, she is Nigerian-Barbadian.

Ego played Anne Haatrope in the popular early 90s soap – Checkmate, and today, she is a mother and the founder and Managing Director of Temple Productions, Temple films and Temple Studio.

the dream for Temple started on Temple Road

Loop caught up with Ego on this Good News Day, November 10. When we reached out to the producer, she was so warm and open to the interview, she said ‘yes’ without hesitation.

Loop: How did you get started with acting?

Ego: I have always had an interest in acting, but I got started professionally after my degree in Theatre Arts.

I had the opportunity to sit down with a writer and producer — the late Amaka Igwe and after a reading, she offered me a role as the lead character in the series, Checkmate. Checkmate was a television series that was on air nationally in Nigeria from 1991 to 1995.

Loop: What led to the creation of Temple Productions and where did the name come from?

Ego: I created Temple Productions because I wanted to have the opportunity to make films that focused on subjects and themes that I liked, content that was of interest to me.

The name, Temple Productions, came from the street that I lived on for most of my childhood and early 20’s. (Temple Road in Lagos). The story of the company started there. It was where my childhood friend and I, came up with many stories for films and series that we wanted to make. Now that I think back on this, I smile because we were so young, optimistic and full of verve.

To put it simply, the dream for Temple started on Temple Road and it became the natural name for my company.

I lived in Barbados from 1968 to 1971. I was 10 days old when I left Nigeria with my mother and my sister because of the Biafran war

Loop: What has been the biggest challenge and success of your production company since you started it back in 1996?

Ego: The biggest challenge has been raising financing for our projects.

There isn’t a very formal structure for raising funds, so like many creatives, one resorts to funding from friends, family, one’s own resources, NGOs (non-governmental organisations), and if you have the opportunity, corporate organizations.

My greatest professional successes are yet to come. I’ve had varying degrees of success though — the films that we’ve worked on, the stories that I’ve been passionate about and have been able to bring to the screen, the great film professionals and people I have worked with, the awards that our films have won, I am grateful for all of that but I am definitely looking forward to more.

Loop: How do you juggle working and motherhood?

Ego: The age old question! Juggling work and motherhood at the time when my children were younger was a bit of a challenge, but I had great support and I’m thankful for that.

My husband was and is incredibly supportive, and that partnership raising our children helped a great deal to make it easier. I also had my two mums and sisters who I depended on and who were and still are very supportive.

Obviously there were times when I had some mom-guilt about not being there enough for a play, or homework or not being with my children at particular times, but I always tried to make up for those times.

When I could and when they were younger, I took my children with me to work. Luckily I had a job that made it possible for me to do that.

Loop: What do you remember of your childhood years in Barbados? And what is the one thing you remember about Barbados?

Ego: Not very much to be honest. I lived in Barbados from 1968 to 1971. I was 10 days old when I left Nigeria with my mother and my sister because of the Biafran war (Nigerian Civil War). We left on one of the Red Cross planes and flew to my mother’s home in Barbados.

We lived there for three years and a bit, until the war ended, and then we returned to Nigeria. I don’t remember very much, I was quite young. I lived with my mum, my sister and my grandparents, and we had a whole group of uncles and aunts on my mother’s side and I remember being happy running around and singing songs with my Grandma. By all accounts, it was a wonderful idyllic childhood.

Founder of Temple Productions, film maker Ego Boyo

Loop: If you had to compare Barbados and Nigeria, what’s a food or dish that you find similar or think we share?

Ego: Okra! Barbados has cou cou and okra, in Nigeria we use it to make a soup. (See video at the top of this article*)

Loop: Do you see yourself making a home in Barbados one day, perhaps when you retire?

Ego: I definitely see myself living in Barbados at some point.

I would love to buy a home and live on the beach. A few more films to make and see how we can make that happen. I love the vibe on the island – I love how gentle and easy it is to just be. I have quite a lot of family still living in Barbados. It is always lovely to see them and catch up. I was there in August 2021, and had hoped to go back this year but it did not pan out.

Ego Boyo at the beach in Barbados

I have always loved the work of Denzel Washington, Viola Davis, Meryl Streep, Idris Elba, Delroy Lindo, Hugh Grant, Regina King, Philicia Rashad, Issa Rae

Loop: Let’s talk about the concept behind your creations, the movies Ghost and the House of Truth, especially with the subject of girl trafficking being a global issue. What led you to depict this topic in film?

Ego: The film “The Ghost and The House of Truth” came from a script brought to my attention by the director of the film, Akin Omotoso – who came across it in South Africa and suggested it to me.

The script was part of a project in South Africa. After a few years we acquired the script, and after a number of changes, setting it in Nigeria, we decided to go ahead and make the film.

For me the idea of reconciliation between victims and perpetrators piqued my interest. I wanted to learn more about how that sort of situation could work and also in instances where people give into despair, how they got to that point and what the turnaround can be. I honestly just wanted to explore that critically and to give audiences the opportunity to see that on screen.

Loop: Is working with Bollywood or Hollywood stars a dream of yours? Is there any particular actor or actress you would love to work with?

Ego: Working with actors from any other parts of the world is definitely a dream of mine. I embrace the idea of working with people who have a completely different experience from mine. I have always loved the work of Denzel Washington, Viola Davis, Meryl Streep, Idris Elba, Delroy Lindo, Hugh Grant, Regina King, Philicia Rashad, Issa Rae, off the top of my head, these are the people I would love to work with.

We are also looking into possibly working in Barbados

Loop: The concept of the Silent Experiment Film was novel. Did you expect the success that your film A Hotel Called Memory garnered?

Ego: It was actually a very short script, it was something like 12 pages. The concept behind the film was the opportunity to have actors deliver convincingly to an audience without uttering a word. When you look at the history of film, a lot of films started out as silent films before the talkies.

We wanted to see just how we could push the boundaries using silence and sound effects to convey the message of the story. We wanted to see if an audience would experience the film or embrace the film almost in the same way as they would a film with dialogue.

I could not have foreseen the success that it had, even within a niche audience. I was pleasantly surprised at the reception to the film and even the critics who watched it and were very positive and forward thinking in their reviews.

I hope that an even larger number of people will come to understand and appreciate experimental filmmaking.

It is still my hope that people can see beyond the films that they regularly enjoy and open themselves to experiences with different genres and different experimental films.

Loop: What’s next for you and Temple Productions?

Ego: We are currently working on a slate of feature films, and our plan is to make two films in 2023.

We are also looking into possibly working in Barbados, to see what partnership opportunities and collaborations are open to us there. I am very happy to say that exciting times are ahead and I am looking forward to everything working out.

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8 days to go: Team Brazil Loop Barbados

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T-8… The 2022 FIFA World Cup is soon upon us, and the excitement can be felt globally, as football lovers prepare to be isolation for the next month.

Some of the world’s best players will be on show, as they compete to be the best football nation in the world.

One country which can boast of being in the argument each time is five-time world champions Brazil.

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The “Selecao” will be attending their 22nd World Cup. Brazil is the only country to qualify for every FIFA World Cup every held and have won it, a record five times, two of those titles coming in successive years; 1958 and 1962. They are the only nation to have ever repeated as champions.

Brazil have also been a powerhouse in the South American continent, winning the Copa America championship nine times, with the most recent success in 2019

The current number one ranked team in the world will attempt to end their 20-year World Cup drought and they are expected to do so, primarily due to the abundance of quality players at their disposal.

Country: Brazil

Capital: Brasilia

Population: 214 million

Confederation: CONMEBOL (South America)

Group: G

Professional League: Campeonato Brasileiro Serie A

World Cup appearances: 22 (2022)

Qualification status: Runners-up in CONMEBOL table

Key players: Neymar (PSG, France), Thiago Silva (Chelsea, England), Gabriel Jesus (Arsenal, England), Alex Sandro (Juventus, Italy), Vinicius Junior (Real Madrid, Spain)

Coach: Adenor Leonardo Bacchi (“Tite”)

Group mates: Serbia, Switzerland, Cameroon

Predictions: Group winners and title contenders.

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COMMENTAAR: Brandjes blussen, geen beleid

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HET LIJKT STEEDS meer erop dat de regering aanpakt wat op het moment het dringends is, mooie dingen belooft en

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Deux immeubles s’effondrent en plein centre de Lille, un disparu

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Les pompiers sont à la recherche d’un médecin porté disparu après l’effondrement samedi matin de deux petits immeubles mitoyens dans une rue commerçante en plein centre de Lille, dont la plupart des habitants ont pu être évacués grâce à…

Les pompiers sont à la recherche d’un médecin porté disparu après l’effondrement samedi matin de deux petits immeubles mitoyens dans une rue commerçante en plein centre de Lille, dont la plupart des habitants ont pu être évacués grâce à l’alerte lancée par l’un d’eux dans la nuit.

Plusieurs responsables politiques avaient initialement indiqué qu’il n’y avait “a priori” pas de victimes, avant que les pompiers annoncent être à la recherche de cette “victime potentielle”.

“On est quasiment sûrs que cette personne se trouve dans les gravats”, a indiqué le lieutenant-colonel Stéphane Beauventre. “Son téléphone ne répond pas, sa voiture est dans le parking, (…) et il n’a pas pris son astreinte.”

“On concentre tous nos efforts à (…) extraire à la main les gravats pour accéder à cette victime”, a-t-il ajouté.

Une autre personne, légèrement blessée, a été extraite des décombres, a indiqué le service départemental d’incendie et secours du Nord.

Le parquet de Lille a indiqué à l’AFP avoir ouvert une enquête pour “mise en danger de la vie d’autrui” et diligenté “une expertise judiciaire”.

Un immeuble de trois étages en travaux s’est écroulé vers 9H15, entraînant le bâtiment voisin dans sa chute, dans la rue Pierre-Mauroy, une rue très passante de la ville, une heure avant l’ouverture des magasins.

“J’en tremble encore”

Selon la maire socialiste de Lille, Martine Aubry, présente sur place, une dizaine de personnes avaient été évacuées quelques heures avant l’effondrement.

“Un jeune est rentré à 3h00 du matin et il s’est rendu compte que le mur (du bâtiment) était gondolé” et la porte ouverte, a-t-elle indiqué. Il a alors prévenu la police municipale et les pompiers, qui ont décidé d’évacuer un bâtiment, l’autre semblant vide, estimant “qu’il y avait un vrai risque”.

“Je ne dormais pas encore quand les pompiers ont commencé à tambouriner sur les portes, mais j’ai cru que c’était des fêtards et je suis resté au lit”, a raconté à l’AFP un habitant, Benjamin Lopard, 35 ans. 

“Quand les policiers sont arrivés, j’ai réalisé que c’était sérieux”, indique le jeune homme, qui est parti vers 5h30 avec ses papiers, son ordinateur et une tenue de rechange. “Je réalise maintenant la chance incroyable qu’on a eue”, dit-il: sans cette évacuation “on serait tous dans des boîtes en bois”.

“J’en tremble encore, car si cette nuit ce monsieur n’était pas rentré à 3h00 du matin et ne nous avait pas joints (…) il y aurait des morts”, a déclaré la maire de Lille, avant l’annonce qu’un riverain était porté disparu. Elle a précisé avoir pris “un arrêté de péril imminent”.

“Pas d’insalubrité”

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, a également remercié “l’étudiant qui a, cette nuit, donné l’alerte”.

Les bâtiments avoisinants ont été évacués samedi matin “par précaution”.

Les pompiers à pied d’oeuvre évoluaient avec précaution samedi après-midi dans les gravats, un mélange poussiéreux de briques et de poutrelles en métal, restes d’un échafaudage sur la façade du bâtiment.

“Ce n’était pas un immeuble frappé d’insalubrité”, a affirmé à l’AFP le ministre délégué au Logement, Olivier Klein.

Le périmètre était sécurisé par de nombreux policiers. Des pompiers ont forcé des portes de magasins au pied des immeubles voisins afin de vérifier la présence d’éventuelles fissures mettant en péril les bâtiments ou de fuites de gaz.

“On a entendu un bruit de quelques secondes, tout doucement au début. On a pensé que c’était l’échafaudage qui tombait”, a raconté à l’AFP Ludovic Ficher, 30 ans, qui travaille dans un immeuble mitoyen.

“Quand on s’est rendu compte que c’était tout l’immeuble qui était en train de s’effondrer, on est tous partis en courant”, a-t-il ajouté. “J’ai eu la peur de ma vie.”

Le député insoumis de la circonscription Adrien Quatennens, en retrait de la vie publique depuis l’ouverture d’une enquête le visant sur des violences conjugales, a commenté l’incident dans un tweet, saluant “la réactivité de celui qui a donné l’alerte”.

zap-cnp-av/

Des pompiers devant deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

La maire de Lille, Martine Aubry, devant les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de la ville, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

Des pompiers dans les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

Des pompiers dans les décombres de deux immeubles mitoyens qui se sont effondrés dans le centre de Lille, le 12 novembre 2022 dans le nord de la France
• Sameer Al-DOUMY

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Aux Etats-Unis, les démocrates à un siège de garder le Sénat

Black Immigrant Daily News

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Joe Biden semblait en mesure samedi de conserver le contrôle du Sénat et les républicains de le priver de la majorité à la Chambre des représentants. Mais les regards se tournaient déjà vers 2024 avec l’annonce probable mardi d’une…

Joe Biden semblait en mesure samedi de conserver le contrôle du Sénat et les républicains de le priver de la majorité à la Chambre des représentants. Mais les regards se tournaient déjà vers 2024 avec l’annonce probable mardi d’une candidature de Donald Trump à la Maison Blanche.

La victoire annoncée vendredi du démocrate sortant Mark Kelly en Arizona signifie que le Sénat est actuellement partagé à 49-49, avec deux sièges restants à départager, dans le Nevada et la Géorgie, quatre jours après les élections américaines de mi-mandat.

Il suffit que les démocrates en remportent un pour garder le contrôle de la chambre haute, puisqu’ils pourront user du vote de la vice-présidente Kamala Harris pour départager les égalités, comme le prévoit la Constitution.

En Arizona, l’astronaute Mark Kelly a battu Blake Masters, qui avait reçu le soutien appuyé de l’ancien président républicain omniprésent dans cette campagne.

Piqué par ce revers, qui s’ajoute à d’autres échecs de ses poulains, Donald Trump a de nouveau crié à la “fraude électorale” refusant d’admettre le verdict des urnes, comme il le fait depuis sa défaite à la présidentielle de 2020.

Du côté de la Chambre des représentants, les républicains semblaient en passe de reprendre la majorité des sièges, ce qui compliquera la suite du mandat du président Joe Biden.

Mais leur victoire s’annonce nettement plus courte qu’annoncée. La chaîne NBC News projetait samedi matin une frêle majorité de cinq sièges pour les républicains avec 220 élus contre 215 pour les démocrates.

Près de 20 scrutins n’ont cependant toujours pas donné leur verdict, principalement en Californie.

“Pas de vague”

Les républicains ont longtemps cru posséder un boulevard pour reprendre les deux chambres à leurs rivaux, promettant une “vague rouge”, voire un “tsunami” qui n’aura donc finalement pas eu lieu.

Leurs résultats décevants font monter l’agitation parmi leurs élus au Congrès, augurant de possibles règlements de compte.

Dans une lettre révélée par Politico, plusieurs sénateurs trumpistes demandent de reporter le vote pour élire leur chef au Sénat, posant un défi à l’actuel responsable, le ténor républicain Mitch McConnell. “Nous sommes tous déçus qu’une +Vague Rouge+ ne se soit pas concrétisée, et il existe plusieurs raisons à cela”, écrivent-ils.

Une fois le paysage politique établi dans les deux chambres du Congrès, les regards seront bel et bien tournés vers 2024 aux Etats-Unis, avec la perspective de voir l’ancien président Donald Trump annoncer sa candidature dès mardi, selon l’un de ses proches conseillers.

“Le président Trump annoncera mardi qu’il est candidat à l’élection présidentielle. Et ce sera une annonce très professionnelle, très soignée”, a déclaré vendredi son conseiller Jason Miller sur “War Room”, le podcast de Steve Bannon, autre proche de Donald Trump.

Fragilisé

Le magnat de l’immobilier avait jusque-là laissé entendre qu’il pourrait se présenter, promettant qu’il ferait depuis sa résidence de Floride, Mar-A-Lago, une “grande annonce” – dont la teneur ne suscitait plus vraiment de suspense ces derniers jours.

La candidature de Donald Trump sera sa troisième à la Maison Blanche. Même si son influence sur le parti républicain reste indéniable, il sort fragilisé des élections de mi-mandat, lors desquelles nombre de ses lieutenants ont déçu.

A l’inverse de Donald Trump, le gouverneur de Floride Ron DeSantis, réélu triomphalement, est auréolé de l’image de grand gagnant de cette saison électorale. La victoire de cette nouvelle star de la droite dure a conforté sa place de potentiel rival de l’ex-président pour l’investiture républicaine.

Cela n’a pas échappé au milliardaire, qui a enchaîné cette semaine piques et moqueries contre celui qu’il surnomme “Ron-la-Morale”.

Et, hasard du calendrier ou pas, mardi sera aussi le jour de la sortie des mémoires d’un autre concurrent possible de Donald Trump, son ancien vice-président Mike Pence.

L’élection de 2024 pourrait tenir du remake de celle de 2020: son adversaire d’alors, l’actuel président démocrate Joe Biden, a réaffirmé cette semaine son “intention” de briguer un deuxième mandat. Mais lui a pris soin de repousser toute décision définitive à l’année prochaine.

rle/chp

Carte représentant le parti ayant remporté les élections de mi-mandat par circonscription lors des élections de mi-mandat, au 11 novembre à 9h30 GMT
• Sabrina BLANCHARD

L’ancien président républicain Donald Trump sort d’un bureau de vote pour les élections de mi-mandat, à Palm Beach en Floride, le 8 novembre 2022
• Eva Marie UZCATEGUI

Le sénateur démocrate de l’Arizona Mark Kelly lors d’un meeting de campagne à Phoenix, le 2 novembre 2022
• Patrick T. FALLON

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