Eugène Verwey moet Inter Moengotapoe weer kampioen maken

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door Marinio Balsemhof PARAMARIBO — “Het doel is het kampioenschap.” Dat zegt Eugène Verwey, die begin november is aangesteld als

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En désaccord avec Washington et l’Otan, Zelensky maintient que le missile était “russe”

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Kiev a réaffirmé mercredi que le missile ayant tué deux personnes la veille dans un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine était “russe”, contredisant l’Otan et Washington qui accréditent plutôt…

Kiev a réaffirmé mercredi que le missile ayant tué deux personnes la veille dans un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine était “russe”, contredisant l’Otan et Washington qui accréditent plutôt la thèse d’un missile de défense ukrainien.

“Je n’ai aucun doute que ce missile n’était pas à nous”, a déclaré mercredi soir le président ukrainien Volodymyr Zelensky à la télévision tout en soulignant que Kiev voulait faire partie d’un groupe d’enquête international sur cet incident.

“Je crois que c’était un missile russe, conformément au rapport des militaires” ukrainiens, a-t-il ajouté alors que les responsables de l’Otan ont estimé qu’il s’agissait probablement d’un missile du système ukrainien de défense anti-aérienne.

Il a ensuite réclamé l’accès des experts ukrainiens à “toutes les données” des Occidentaux et au site de l’explosion du missile tombé en Pologne. “Nous voulons établir tous les détails, chaque fait”.

Budapest avait fustigé auparavant M. Zelensky, estimant qu’il donnait “un mauvais exemple” en affirmant que le missile était russe. “Dans une telle situation, les dirigeants mondiaux s’expriment de manière responsable”, a déclaré Gergely Gulyas, chef de cabinet du Premier ministre hongrois Viktor Orban.

La chute du missile sur le village polonais de Przewodow a fait craindre que l’Otan ne soit entraînée dans le conflit –provoquant une escalade majeure– en Ukraine, car la Pologne est protégée par un engagement de défense collective de l’Alliance atlantique.

La Russie a nié avoir tiré ce missile, Varsovie elle-même jugeant “hautement probable” qu’il s’agisse d’un projectile anti-aérien ukrainien, évoquant “un accident malheureux”.

Le missile a tué deux hommes à Przewodow en frappant un bâtiment agricole, laissant la Pologne sous le choc et son armée en état d’alerte renforcée.

La Maison Blanche n’a “rien vu qui contredise” l’hypothèse, avancée par Varsovie, selon laquelle ce missile provenait “selon toute probabilité” de la défense antiaérienne ukrainienne, a estimé mercredi une porte-parole du Conseil de sécurité nationale, Adrienne Watson.

“Cela étant dit, quelles que soient les conclusions définitives, il est clair que la Russie est, au bout du compte, responsable de cet incident tragique” à cause de ses frappes contre les infrastructures civiles ukrainiennes, a-t-elle estimé dans un communiqué, en ajoutant: “L’Ukraine avait, et a, le droit de se défendre”.

“L’incident a été probablement causé par un missile du système ukrainien de défense anti-aérienne tiré pour défendre le territoire ukrainien contre les missiles de croisière russes”, a déclaré le chef de l’Otan Jens Stoltenberg, après une réunion de crise à Bruxelles.

– Pas d’attaque “intentionnelle” – 

“Rien n’indique qu’il s’agissait d’une attaque intentionnelle contre la Pologne”, a également affirmé le président polonais Andrzej Duda.

Depuis Bali où le G20 était réuni en sommet, le président américain Joe Biden avait auparavant lui aussi jugé “improbable” que le missile ait été tiré par la Russie.

Moscou a salué la “retenue” de Washington.

La Pologne avait réuni mardi en urgence son Conseil de sécurité nationale et convoqué l’ambassadeur de Russie pour “des explications détaillées immédiates”.

Le ministère russe des Affaires étrangères a indiqué mercredi soir avoir signifié à l’ambassadeur polonais à Moscou Krzysztof Krajewski, “le caractère inacceptable du renforcement en Pologne d’une hystérie anti-russe” après l’incident.

“Alors qu’il faisait nuit et qu’il n’y avait à ce moment-là aucune information fiable sur ce qui venait de se passer, Varsovie a jugé nécessaire de convoquer l’ambassadeur russe et de transformer cela en un show politique”, a dénoncé la diplomatie russe, tout en appelant la Pologne à ne pas prendre part à “de sales provocations”.

Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a appelé “toutes les parties concernées” à “rester calmes et à faire preuve de retenue afin d’éviter une escalade”.

– “Crime de guerre” – 

La Russie a envahi l’Ukraine le 24 février et en contrôle encore des portions de territoire, malgré une série de défaites sur le champ de bataille ces derniers mois.

La Pologne, qui a une frontière de 530 km avec l’Ukraine, est un leader régional en terme d’assistance militaire et humanitaire à son voisin oriental. Elle accueille sur son territoire quelque 10.000 militaires américains.

Le missile est tombé alors que la Russie menait mardi des frappes massives sur les infrastructures civiles ukrainiennes, qui ont laissé des millions de foyers sans électricité. Les missiles russes ont frappé des villes dans tout le pays, dont Lviv (ouest), près de la frontière polonaise.

Le chef d’état-major américain, le général Mark Milley, a jugé mercredi que ces frappes de missiles russes constituaient un “crime de guerre”.

Le plus haut gradé des Etats-Unis a estimé que la Russie avait échoué sur tous les fronts dans sa guerre contre l’Ukraine, et y menait par conséquent une “campagne de terreur”.

Ces frappes, qui ont fait au moins un mort à Kiev, ont entraîné des coupures de courant généralisées en Ukraine et jusqu’en Moldavie voisine.

Moscou a nié mercredi avoir visé la capitale, affirmant que “toutes les destructions dans les quartiers d’habitation de la capitale ukrainienne (…) sont le résultat direct de la chute et de l’autodestruction des missiles anti-aériens lancés par les forces ukrainiennes”.

Chambre de torture

La semaine à venir sera “difficile” pour les habitants de la région de Kiev, a prévenu le gouverneur régional Oleksiï Kouleba, car “les destructions sont importantes” et “on s’attend à ce que (…) les températures descendent jusqu’à -10°C”.

Ces attaques russes ont eu lieu quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après plus de huit mois d’occupation.

Le service de sécurité de l’Ukraine a annoncé mercredi soir la découverte d’une “autre chambre de torture des occupants russes” à Kherson.

“Les Russes y ont gardé des patriotes locaux qui refusaient de coopérer avec l’ennemi dans des conditions inhumaines. Les habitants de Kherson ont été interrogés et brutalement torturés”, a ajouté cette source.

Le ministre ukrainien des Affaires intérieures Denys Monastyrskyi a indiqué mercredi soir que 436 procédures avaient été ouvertes après la découverte dans cette région d’éléments pouvant être qualifiés de crimes de guerre, notamment onze sites d’emprisonnement dont “quatre” ayant des traces de salles de torture.

Jusqu’à présent, “63 corps” ont été retrouvés “mais les recherches ne font que commencer et beaucoup plus de sites de torture et de mises en terre seront découverts”, a-t-il relevé, selon le site du gouvernement ukrainien.

bur-aro/elm/ybl

Le président américain Joe Biden réagit au missile tombé en Pologne, à Nusa Dua (Indonésie), le 16 novembre 2022
• SAUL LOEB

Des experts fouillent le site sur lequel est tombé un missile dans le village polonais de Przewodow, à six kilomètres de la frontière avec l’Ukraine, le 16 novembre 2022
• HANDOUT

Carte des pays membres de l’Otan et des prétendants à l’intégration à l’organisation, dont la Finlande et la Suède dont le processus de ratification de l’adhésion a été formellement lancé le 5 juillet
• STAFF

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky s’exprime en visioconférence sur un écran du sommet du G20 à Nusa Dua, sur l’île indonésienne de Bali, le 16 novembre 2022
• WILLY KURNIAWAN

Pologne: des habitants près de la frontière ukrainienne abasourdis après l’explosion d’un missile
• Damien SIMONART

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Les républicains gagnent la majorité à la Chambre américaine des représentants

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Les républicains ont repris le contrôle de la Chambre des représentants, selon des médias américains mercredi, ce qui leur donne un pouvoir de blocage sur la politique de Joe Biden jusqu’en…

Les républicains ont repris le contrôle de la Chambre des représentants, selon des médias américains mercredi, ce qui leur donne un pouvoir de blocage sur la politique de Joe Biden jusqu’en 2024 et entraîne une division du Congrès.

Après avoir échoué à s’emparer du Sénat, le parti conservateur ne disposera toutefois que d’une très courte majorité à la chambre basse, bien loin de la “vague géante” promise par Donald Trump, qui a pourtant annoncé mardi soir une nouvelle candidature à la Maison Blanche. Les lieutenants de l’ancien président ont en effet recueilli des résultats très mitigés aux élections de mi-mandat.

“Les Américains sont prêts pour une nouvelle direction, et les républicains de la Chambre sont prêts à agir”, a salué le chef des républicains à la Chambre, Kevin McCarthy, désormais favori dans la course à la tête de cette assemblée, l’actuelle “speaker” Nancy Pelosi ayant perdue sa majorité démocrate.

Le président démocrate Joe Biden a tout de suite félicité M. McCarthy, soulignant dans un communiqué qu’il compte “travailler avec quiconque – républicains ou démocrates – prêt à oeuvrer avec moi pour agir”.

NBC, CNN, Fox News et CBS ont projeté mercredi que les républicains disposeraient d’au moins 218 sièges à la Chambre, c’est-à-dire la majorité des 435.

Si les projections des médias américains se confirment sur l’ensemble des sièges, la performance de Joe Biden constituerait néanmoins le meilleur score d’un président en plus de 20 ans aux élections de mi-mandat, ce scrutin étant traditionnellement difficile pour le pouvoir en place.

Détricoter

Cette très mince majorité républicaine à la chambre basse risque d’ailleurs de compliquer sa gouvernance. Avec une Chambre républicaine et un Sénat démocrate, le parti de Joe Biden ne pourra de son côté plus faire passer de grands projets dans ce Congrès désormais divisé. Mais l’autre camp non plus.

Les républicains avaient menacé de détricoter certaines mesures adoptées sous Joe Biden s’ils reprenaient le contrôle des deux chambres. Ils voulaient notamment revenir sur les fonds alloués aux services des impôts pour engager de nouveaux agents, ou sur certaines réformes dans le monde de l’éducation. 

Les républicains pourraient en outre se montrer plus sourcilleux quant à l’aide apportée par Washington à l’Ukraine.

Ils avaient aussi prévu de s’attaquer au droit à l’avortement ou de légiférer sur les armes à feu, ce qui aurait poussé Joe Biden à faire usage de son droit de veto.

– Mur rouge – 

Le président de 79 ans ne sera finalement pas contraint de camper sur cette posture défensive. Et devra au contraire user de ses talents de négociateur, hérités de sa longue carrière de sénateur, pour éviter une paralysie de l’administration fédérale (le fameux “shutdown”). 

Mais la main tendue du président risque de se heurter à un mur rouge, la couleur des conservateurs.

Même avec une mince majorité à la Chambre, les républicains disposeront d’un pouvoir conséquent en matière de supervision, qu’ils ont promis d’utiliser pour une kyrielle d’investigations sur la gestion par Joe Biden de la pandémie ou du retrait d’Afghanistan.

Ils pourraient aussi s’en prendre à son fils Hunter, accusé d’avoir utilisé son nom pour faire des affaires en Ukraine et en Chine.

Le parti conservateur compte bien exploiter toute potentielle faille démocrate, en gardant en ligne de mire la présidentielle de 2024. Avec sa déclaration de candidature mardi, Donald Trump a lancé une lutte sans merci pour l’investiture du parti républicain pour l’élection à la Maison Blanche.

cjc-ube/pn

Kevin McCarthy à Washington, le 15 novembre 2022.
• Mandel NGAN

Le président Joe Biden le 9 novembre 2022 à Washington
• Mandel NGAN

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Missile en Pologne: un “accident” pas une attaque, le risque d’escalade s’éloigne

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Le risque d’une implication directe de l’Otan face à Moscou et d’une escalade majeure dans la guerre en Ukraine s’est éloigné mercredi après que les responsables de l’Alliance ont contredit les accusations de Kiev d’un…

Le risque d’une implication directe de l’Otan face à Moscou et d’une escalade majeure dans la guerre en Ukraine s’est éloigné mercredi après que les responsables de l’Alliance ont contredit les accusations de Kiev d’un tir de missile russe contre la Pologne.

La Russie a nié avoir tiré un missile sur un village polonais près de la frontière avec l’Ukraine. Varsovie elle-même a jugé “hautement probable” qu’il s’agisse d’un projectile anti-aérien ukrainien, évoquant “un accident malheureux”.

Le missile a tué deux hommes à Przewodow en frappant un bâtiment agricole mardi, laissant la Pologne sous le choc, son armée en état d’alerte renforcée.

Le drame faisait craindre que l’Otan soit entraînée dans le conflit en Ukraine, la Pologne étant protégée par un engagement de défense collective de l’Alliance atlantique.

“L’incident a été probablement causé par un missile de système ukrainien de défense anti-aérienne tiré pour défendre le territoire ukrainien contre les missiles de croisière russes”, a déclaré le chef de l’Otan, Jens Stoltenberg, après une réunion de crise à Bruxelles.

– Pas d’attaque contre la Pologne

“Rien n’indique qu’il s’agissait d’une attaque intentionnelle contre la Pologne”, a également affirmé le président polonais Andrzej Duda.

L’Ukraine a réclamé “un accès immédiat” au point de chute du missile en Pologne. “Nous sommes prêts à remettre la preuve de la trace russe que nous avons”, a affirmé le secrétaire du Conseil national de sécurité et de défense ukrainien, Oleksii Danilov.

Mais, depuis Bali (Indonésie) où le G20 était réuni en sommet, le président américain Joe Biden a lui aussi jugé “improbable” que le missile ait été tiré par la Russie.

“Je vais m’assurer que nous puissions déterminer ce qu’il s’est passé exactement” avant de décider d’une réaction, avait-il déclaré à l’issue d’une réunion d’urgence mercredi des dirigeants des grandes puissances du G7 (Etats-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Canada, Japon), en Indonésie, en marge du G20.

Moscou a salué la “retenue” de Washington.

“Les frappes de haute précision n’ont été menées que sur le territoire de l’Ukraine à une distance supérieure à 35 kilomètres de la frontière ukraino-polonaise”, a affirmé le ministère russe de la Défense, selon qui “les débris retrouvés en Pologne “ont été identifiés de manière catégorique par des spécialistes russes (…) comme un élément d’un missile guidé antiaérien des systèmes de défense antiaérienne S-300 des forces armées ukrainiennes”.

L’impact s’est produit mardi vers 14H40 GMT à Przewodow et a tué deux travailleurs agricoles. La police a établi un cordon autour du site, inaccessible.

“J’ai peur. Je n’ai pas dormi de la nuit”, a confié à l’AFP Anna Magus, une enseignante de 60 ans de l’école élémentaire du village. “J’espère que c’était un missile égaré car sinon nous sommes perdus”.

La Pologne avait réuni mardi en urgence son Conseil de sécurité nationale et convoqué l’ambassadeur de Russie pour “des explications détaillées immédiates”.

“Nous avons affaire aux conséquences des actions de la Russie. Ces conséquences, pour la première fois depuis le début de la guerre (…) ont touché la Pologne, des citoyens polonais ont été tués”, a souligné mercredi Pawel Jablonski, vice-ministre polonais des Affaires étrangères, à l’agence PAP.

Mao Ning, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a appelé “toutes les parties concernées” à “rester calmes et faire preuve de retenue afin d’éviter une escalade”.

– “Eviter l’escalade”

Il est “absolument essentiel d’éviter l’escalade de la guerre en Ukraine”, a exhorté le secrétaire général des Nations unies Antonio Guterres, réclamant une “enquête approfondie”.

La frappe du missile en Pologne “n’est rien d’autre qu’un message de la Russie adressé au sommet du G20”, a pourtant affirmé le président ukrainien Volodymyr Zelensky par visioconférence devant les dirigeants réunis à Bali.

Son chef de la diplomatie a qualifié de “théories du complot” les allégations selon lesquelles il pourrait s’agir d’un missile ukrainien.

La Russie a envahi l’Ukraine le 24 février et en contrôle encore des portions de territoire, malgré une série de défaites sur le champ de bataille ces derniers mois.

La Pologne, qui a une frontière de 530 km avec l’Ukraine, est un leader régional en terme d’assistance militaire et humanitaire à son voisin oriental. Elle accueille sur son territoire quelque 10.000 militaires américains.

Le missile est tombé alors que la Russie menait mardi des frappes massives sur les infrastructures civiles ukrainiennes, qui ont laissé des millions de foyers sans électricité. Les missiles russes ont frappé des villes dans tout le pays, dont Lviv (ouest), près de la frontière polonaise.

Ces frappes, qui ont fait au moins un mort à Kiev, ont entraîné des coupures de courant généralisées en Ukraine et jusqu’en Moldavie voisine. Moscou a nié mercredi avoir visé la capitale, affirmant que “toutes les destructions dans les quartiers d’habitation de la capitale ukrainienne (…) sont le résultat direct de la chute et de l’autodestruction des missiles antiaériens lancés par les forces ukrainiennes”.

La semaine à venir sera “difficile” pour les habitants de la région de Kiev, a prévenu le gouverneur régional Oleksiï Kouleba, car “les destructions sont importantes” et “on s’attend à ce que (…) les températures descendent jusqu’à -10°C”.

Ces attaques russes ont eu lieu quatre jours après l’humiliant retrait des forces russes d’une partie de la région de Kherson, dont la ville du même nom, dans le sud, après plus de huit mois d’occupation.

bur-aro/jca/am

Missile en Pologne : les chefs d’État appellent au calme
• Damien SIMONART

Le président américain Joe Biden réagit au missile tombé en Pologne, à Nusa Dua (Indonésie), le 16 novembre 2022
• SAUL LOEB

Le porte-parole du gouvernement polonais Piotr Müller (droite) et le chef du Bureau de la Sécurité nationale Jacek Siewiera, à Varsovie le 15 novembre 2022
• JANEK SKARZYNSKI

Carte des pays membres de l’Otan et des prétendants à l’intégration à l’organisation, dont la Finlande et la Suède dont le processus de ratification de l’adhésion a été formellement lancé le 5 juillet
• STAFF

Les secours ukrainiens sur le site où des fragments de missiles sont tombés, dans le centre de Kiev, le 15 novembre 2022
• Sergei SUPINSKY

Carte de la situation en Ukraine au 16 novembre à 7h GMT
• Simon MALFATTO

Des experts fouillent le site sur lequel est tombé un missile dans le village polonais de Przewodow, à six kilomètres de la frontière avec l’Ukraine, le 16 novembre 2022
• HANDOUT

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5 young Jamaican men and a fugitive held on drug charges in Florida Loop Jamaica

Black Immigrant Daily News

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Five Jamaican men who allegedly fled with another man who is wanted in connection to a deadly shooting in Brooklyn, United States last month, were arrested by police and slapped with drug charges in Florida, USA.

Anelka Green was wanted for allegedly firing several shots inside a restaurant in October, resulting in the death of an innocent bystander.

According to a report from the WJHG newsroom on Tuesday, Green was tracked down to Panama City Beach in Florida, where he was arrested at his condominium with five Jamaican men who were described as his “associates”.

The Jamaicans – Jaheim Cox, 19; Shamar Wedderburn, 22; Renato Campbell, 22; Shamarie Livingston, 22; and Kevar Taylor, 19 – were all charged with possession of marijuana with intent to distribute, possession of MDMA, and possession of paraphernalia.

Reports on social media suggest that the Jamaican men are from an inner-city community in the Corporate Area.

Green is also charged with th offences that have been laid against the Jamaicans, but he was slapped with additional offences, including being a “fugitive from justice for the charges of robbery and homicide”, the media report stated.

Further, he is charged with giving false names to law enforcement officials (LEO).

It is alleged that Green was involved in an argument at a restaurant in Brooklyn in October. Shortly after leaving, he returned and fired several shots into the building.

When the shooting subsided, an innocent bystander was found with a bullet wound, and that unidentified person later succumbed to the injuries that were sustained.

The US Marshal Service contacted the Bay County Sheriff’s deputies in Florida on November 9, for assistance in locating Green, who the former suspected had fled to the Panama City Beach area.

Late last week, law enforcement officials confirmed that Green was staying at a condominium in Panama City Beach, and obtained a search warrant.

After the search of the building was concluded, Green and five others were detained when “several hundred grams of marijuana, MDMA pills and more than US$23,000” were seized, the report said.

It added: “Deputies say (the) men were from Jamaica and came to Panama City Beach with Green after he committed the shooting.”

Interestingly, Green was out on bond in New York relative to a firearm charge from September of this year, when he allegedly fired shots inside the restaurant in Brooklyn.

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Hindu leader remembered as Arima school opens

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Education Minister Dr Nyan Gadsby-Dolly, centre, greets general secretary of Sanatan Dharma Maha Saba of TT Vijay Maharaj, as Arima Mayor Cagney Casimire, Minister in the Ministry of Education Lisa Morris-Julian , Arima Hindu School principal Sohan Seetahal and MTS CEO Lennox Rattansingh look on at the opening of the school on Tumpuna Road, Arima, on Wednesday. – Photo by Roger Jacob

The commissioning of the Arima Hindu Primary School on the third anniversary of the death of Satnarayan Maharaj is not a coincidence but the hand of the Almighty, his son Vijay Maharaj said on Wednesday.

The primary school, which fled from its home at Temple Street in Arima in 2019 amidst increased gun violence, was commissioned on Wednesday at Tumpuna Road, Arima.

The new school currently holds 200 students and was built to house 250.

The school was built so that it could be extended to house an additional 150.

After moving from Temple Street, in 2019, the school was housed at Jadoo’s Plaza until 2021. Then it went to Phase One Malabar to where the Malabar Primary School was once housed.

Maharaj called on parents to “step up” saying children are empty sponges who come to school learning from their home environment.

After telling those gathered that the opening of the school on the third anniversary of his father’s death was a sign from the heavens, Maharaj said the hand of God must guide the teachers and students in what they do.

He thanked the Ministry of Education for its role in building the school, which cost approximately $8.5 million. The acre of land that the school was built on was purchased by the Sanatan Dharma Maha Sabha.

Education Minister Dr Nyan Gadsby-Dolly during her feature address praised the principal of the school Sohan Seetahal who, she said, was patient as the school was being built and housed at two separate locations since 2019.

She said she was grateful to the various school boards for meeting the ministry “sometimes more than halfway” in the drive to educate the country’s children as it ensures education continuity for them.

Education continuity, she said, is a serious matter and what covid19 did was allow children to become accustomed to a lifestyle that is not sustainable for their development and to the parents who have to return to work.

“We have a right mix of the online and the physical. The physical structures are indeed extremely important to maintain. It is not an easy exercise. Every single day there is a school on the threat of closing for one reason or another” she said as she encouraged officials to care for the school.

D’Abadie/O’Meara MP and former teacher Lisa Morris-Julian said partnership between the board and the ministry was a successful one. She said the construction of the school was a testimony of love since the school has been a solid foundation to the borough. She too asked that the new building be treated well so it will last the borough for years to come.

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6 more hotels to benefit from government tourism project

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Tourism Minister Randall Mitchell (centre) poses with the recipients of the Tourism Accommodation Upgrade Project grant at the Brix Hotel, Cascade on Wednesday.
Left of Mitchell are Pamela Gopee, managing director at Par May La’s Inn, Jasen Rodriguez, chief financial officer of Crews Inn Group and Jason Laing, director at Tradewinds Hotel.
To his right are Sherry Sookoo, representative from Royal Hotel and Hassel Thorn, general manager at Cara Hotels. – Photo by Narissa Fraser

TOURISM Trinidad Ltd (TTL) has chosen six more hotels which will benefit from the Trinidad and Tobago Accommodation Upgrade Project.

He was speaking at a ceremony for the signing of contracts at the Brix Hotel, Cascade on Wednesday.

The hotels are Care Hotels, Holiday Inn Express and Suites, Par May La’s Inn, Royal Hotel, Sundeck Suites and Tradewinds Hotel.

The project categorises properties into those offering one to five guest rooms and those offering six to 150.

Those in the former category can access reimbursements up to a maximum of 40 per cent while the latter category can access reimbursements of up to 50 per cent.

This allows owners and operators an opportunity to upgrade their facilities.

Tourism Minister Randall Mitchell said the government has paid a lot of attention to the tourism sector in its diversification efforts.

“Because we understand the value of tourism but, in part, the value of the accommodation segment of tourism to the economy of TT.”

He said different sectors benefit from this industry including agriculture and manufacturing.

It is because of this, he said, government understands the importance of incentives.

He said government is trying to bring the loan-guarantee programme – which is currently only available in Tobago – to Trinidad.

Owners and operators in the tourism sector will be guaranteed loans of up to $10 million.

He said TTL’s accommodation programme is very important and further ensures guests can have a “very high-quality stay.

“We need to get this economy going again,” he said.

“And we need you the accommodation providers to reinvest in the improvement of you hotel rooms because we are also concerned with the creation of jobs and stimulation of our economy.”

TTL interim CEO Carla Cupid said the company is “truly optimistic” about the tourism sector’s growth “from this year and onward.

“We are recalibrating our goals to rebuild the sector so it can be more resilient, more sustainable and more competitive.”

She said grants like these are important since they are “part of our support system to stakeholders to ensure that there is first class accommodation.

“…And this is accompanied by our training programmes, which ensure service excellence.”

She urged the recipients to “go beyond” the upgrades and work on having “as much preventative maintenance as you can to keep these spaces appealing to many incoming travellers.

“Also, remember that tourism is driven by word of mouth and our stories.

With social media and booking engines, people are able to judge your hotel and guest houses before they even buy a ticket. I encourage you to do what you can to get the word out that you are open for business and put your best face forward. Let us continue to build and satisfy those expectations.”

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UWI To Host Forum On Men Fostering Gender Justice – St. Lucia Times News

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International Men’s Day is recognised annually on November 19. It’s a little-known fact that the observance is a home grown occasion at The University of the West Indies (The UWI), founded in 1999 by Historian, Dr. Jerome Teelucksingh, and subsequently adopted globally.

Although International Men’s Day may be regarded as controversial due to some groups of men using it to assert male dominance, the University’s Institute of Gender and Development Studies (IGDS) is commemorating the day in service to gender justice.

With this in mind, the Institute will host a Vice-Chancellor’s Forum dedicated to International Men’s Day on Thursday, November 17, 2022.

Themed Men Fostering Gender Justice, this virtual forum features a panel of expert gender and human rights activists who will examine gender policies and equality, recognising men who work for gender justice, those who are working to uphold positive models of fatherhood, men who are challenging the harmful norms of rigid gender roles and ideologies and those working to end gender-based violence.

– Advertisement –

It will be broadcasted live via UWItv from 2:00 PM (Eastern Caribbean)/1:00 PM (Jamaica).

The expert discussants include Tyrone Buckmire, Co-Director, Legal Aid and Counselling Clinic and a Child Rights Activist who has been in the social work fraternity for the past 34 years; Stevan ‘Coach’ Lynn, Founder and CEO, Deeds Driven Dads Inc., The Caribbean Fatherhood Coalition and The Future Fathers Club, whose organisation supports a network of emerging fatherhood initiatives and NGOs through a host of services and training; Glenroy Murray, Executive Director J-FLAG, Law Tutor at The UWI Mona Campus and a well-known social justice and human rights advocate of LGBT rights, women’s rights and youth development in Jamaica and Harish Sadani, Gender Matters Consultant and Founder, Men Against Violence and Abuse (MAVA) and a leading gender rights activist who has pioneered efforts in India where he works with young men and boys to prevent violence on women.

The conversation will be moderated by Father Sean Major Campbell, from Christ Church, Vineyard Town, Jamaica, a Human Rights and LGBTI activist, and include remarks from Professor Aldrie Henry-Lee, The UWI’s Pro-Vice Chancellor, Graduate Studies and Research on behalf of Vice-Chancellor Professor Sir Hilary Beckles as well as Professor Diana J. Fox, newly appointed University Director of The UWI Institute for Gender and Development Studies.

Gender Justice is one of The UWI’s core values, articulated over the past five years in the regional University’s Triple A Strategy. Through the stewardship of the Vice-Chancellor, Beckles as The UWI’s Chief Gender Champion, The UWI and the IGDS are leading the way with The UWI Gender Policy.

The Policy states, “The UWI Gender Policy affirms for all the staff, students and other stakeholders of The UWI Community, the fundamental principles of gender equality, gender diversity and non-discrimination based on gender and sexuality in all of the policies, programmes, practices and structures within the University and in its external relationships in the Caribbean region and beyond.”

Commenting on the planned commemoration, Professor Fox stated, “International Men’s Day at The UWI and specifically within the IGDS is an opportunity to learn about men’s allyship with women and non-binary persons to achieve equitable and just societies in our region and for men working toward gender justice to support one another.

A gender-just society is one without gender-related asymmetries of access to or allocation of and control over status, power and material resources—this is what we strive for at the IGDS, and we welcome everyone to join us to learn about men who share our mission at the IGDS—and to get involved!”

Interested persons are invited to tune in and participate at www.uwitv.org  or via Facebook at www.facebook.com/uwitv.

SOURCE: University of the West Indies

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Fire Chief concerned about toxic fumes from Spring Garden fire Loop Barbados

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Residents in communities and neighbourhoods affected by the fire at Ionics Freshwater Limited, who have issues breathing, are advised to avoid the area over the course of tonight.

whether it is plastics or whatever, once they burn they will give toxic fumes

Chief Fire Officer Errol Maynard made an appeal for these persons to keep away and stay away for the time being.

“If they are being impacted or being affected, they should seek alternative accommodation until we can get the smoke dissipate and under control.”

He told Loop News that his concern is the toxicity of the fumes originating from the blaze. He did not speak to hazardous materials being on site, instead, he clarified:

“I am not privy to any information that there were hazardous chemicals, but what we know is that based on the material in there and in its quantity, whether it is plastics or whatever, once they burn they will give toxic fumes and…so the toxic fumes is what we are concerned about.”

Therefore, he urged, “What we always, not only in this, what we always ask is for people not to inhale these fumes or the smoke because it is plastics and those types of things, they usually cause health issues for people.”

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PSOJ backs return of SOEs, but as a short-term crime-fighting measure Loop Jamaica

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The Private Sector Organisation of Jamaica (PSOJ) has backed the Government’s re-imposition of states of public emergency (SOEs), but only as a temporary crime-fighting strategy.

In a release on Wednesday, a day after the Government announced the enhanced security measure for seven parishes nationally, the PSOJ gave its endorsement.

The PSOJ release read, in part, as follows:

“Jamaica currently ranks in the top five murder rates globally, and the violent deaths of over 1,000 Jamaicans annually have almost been normalised. With over 1,300 murders to date, the country is operating in crisis mode.

“On this premise, the Private Sector Organisation of Jamaica (PSOJ) has endorsed the announcement made by Prime Minister Andrew Holness on Tuesday, September 16, 2022, to implement states of public emergency (SOPEs) in select locations across the island on the recommendation of the Jamaica Constabulary Force (JCF) and the Jamaica Defence Force (JDF), as a means of cauterising the escalating crime rate.

“We note the strategy being employed by the JCF to target 300 suspected criminals for whom they’ve developed intelligence files. It is our hope that if the national security officials recommend an extension to the current two weeks of SOPEs, the Government and the Opposition can align on the proposed strategy in a meaningful way.

“The PSOJ maintains that an urgent response is needed from the Government of Jamaica (GoJ) on the medium to long-term measures that will be implemented further to the SOPEs, which is a short-term tool in the raft of available measures in the crime management arsenal.

“The only way to substantively reduce violent crimes is through a holistic plan of reformation of the JCF, legislative, justice and correctional services systems, and social and educational transformation.

“All these pillars are included in the National Consensus on Crime, to which both the Government and the Opposition are signatories, and should be actively pursued.

“Furthermore, reference was made in the National Consensus on Crime to the creation of the Enhanced Security Measures Act (ESMA) as a medium-term crime-fighting tool, and we are calling for urgent and collaborative discussions between the GoJ and Opposition for its establishment and implementation.

“The PSOJ believes that the same way Jamaica has approached the COVID-19 pandemic and the IMF agreements of 2013-2019 with a singular focus, the National Consensus on Crime pillars require the same high level of prioritisation and bi-partisan commitment. Until we can achieve significant progress in these areas, violent crimes will remain at emergency and crisis levels.

“The legislative framework must be comprehensively updated for the crime epidemic that Jamaica currently faces. While we note the progress being made on the Firearms Act, we are calling for an update on outstanding critical legislative reviews and drafting including:

“The Bail Act

“Unexplained Wealth

“Amendments to the Dangerous Drug Act

“Amendments to the Corrections Act

“The above pieces of legislation will ensure that consequences for lawlessness are in place and will present a significant deterrent to crime.

“We implore the GoJ and all stakeholders to prioritise the mentioned legislation and social transformation. It is strongly believed that a holistic approach to crime management will address the root of violent crime, and should lead to a sustainable reduction in shooting and homicide levels.

NewsAmericasNow.com