Climat: les dirigeants du monde entrent sur scène à la COP27

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Les dirigeants politiques du monde entier défilent à partir de lundi à la COP27, sous pression pour renforcer leurs engagements climatiques face à un réchauffement qui s’emballe et apporter un soutien financier aux…

Les dirigeants politiques du monde entier défilent à partir de lundi à la COP27, sous pression pour renforcer leurs engagements climatiques face à un réchauffement qui s’emballe et apporter un soutien financier aux pays pauvres, qui en souffrent le plus.

Quelque 110 chefs d’Etat et de gouvernement doivent s’exprimer lundi et mardi devant les délégués réunis à Charm e-Cheikh pour la 27e conférence mondiale sur le climat de l’ONU.

Des interventions sur fond de crises multiples et liées qui secouent le monde, invasion de l’Ukraine, inflation galopante et menace de récession, crise énergétique, avec relance ou soutien aux énergies fossiles, ou alimentaire, alors que la population mondiale va franchir la barre des 8 milliards.

Une “polycrise” qui risque de faire passer au second plan celle liée au réchauffement climatique, dont les impacts dévastateurs se sont multipliés en 2022 – inondations dévastatrices, canicules, sécheresses mettant à mal les récoltes.

Reculade

“Toutes les crises sont importantes, mais aucune n’a autant d’impact” que le réchauffement climatique, dont les effets dévastateurs “ne vont qu’empirer”, a martelé dimanche, lors de l’ouverture formelle de la COP27, Simon Stiell, le patron de l’ONU-Climat.

Or, les pays sont loin de faire ce qui est nécessaire pour lutter contre le réchauffement.

Les émissions de gaz à effet de serre doivent en effet baisser de 45% d’ici 2030 pour avoir une chance de limiter le réchauffement à 1,5°C par rapport à l’ère pré-industrielle, objectif le plus ambitieux de l’accord de Paris, pierre angulaire de la lutte contre le réchauffement.

Mais les engagements actuels des Etats signataires, même s’ils étaient enfin respectés, entraîneraient une hausse de 5 à 10% des émissions, mettant le monde sur une trajectoire au mieux de 2,4°C d’ici la fin du siècle.

Et avec les politiques menées actuellement, c’est un catastrophique +2,8°C qui se profile, selon l’ONU.

Symbole de la “reculade” que beaucoup disent craindre, seuls 29 pays ont déposé depuis la COP de 2021 des plans de réductions rehaussés, alors même qu’ils avaient adopté un “pacte” les appelant à le faire.

Les éventuelles annonces de réductions supplémentaires à Charm el-Cheikh seront donc scrutées de près.

Tout comme celles sur l’aide aux pays pauvres et souvent les plus exposés aux effets du réchauffement, même s’ils n’y ont presque pas contribué, ayant des émissions de gaz à effet de serre minimales.

Dans un geste que beaucoup de militants espèrent plus que symbolique, les délégués à la COP27 ont en effet décidé dimanche de mettre pour la première fois à l’agenda officiel de la conférence la question épineuse du financement des dommages déjà causés par le réchauffement.

Ils se chiffrent déjà à des dizaines de milliards de dollars – plus de 30 par exemple pour les récentes inondations qui ont mis sous l’eau un tiers du Pakistan – et devraient croître fortement.

Les pays vulnérables réclament un mécanisme de financement spécifique, ce à quoi rechignent les plus riches, qui craignent de voir leur responsabilité mise en cause et arguent que le système de financement climat est déjà suffisamment complexe sans ajouter une couche supplémentaire.

La COP27 ne débouchera pas sur une décision, les discussions devant se poursuivre à horizon 2024.

Absents

Le sommet se déroulera avec deux grands absents. Le président chinois Xi Jinping ne viendra pas en Egypte, et son homologue américain Joe Biden, retenu par les élections de mi-mandat, passera rapidement à la COP le 11 novembre.

La coopération entre les deux principaux émetteurs mondiaux de gaz à effet de serre, dont les relations sont tendues, est pourtant cruciale. MM. Xi et Biden pourraient toutefois se rencontrer à Bali la semaine suivante en marge du G20.

Le prince héritier saoudien Mohammed ben Salmane, ardent soutien de la production pétrolière, sera par contre présent à Charm el-Cheikh. 

Ainsi que le nouveau Premier ministre britannique Rishi Sunak, qui a assuré qu’il évoquerait par ailleurs en Egypte le cas du détenu politique britannico-égyptien Alaa Abdel Fattah, en grève de la faim et qui a selon sa famille cessé de boire dimanche.

bur-so/jmi/uh/hj/roc 

Dans le centre de conférences de Charm el-Cheikh, en Egypte, où se tient la COP27, le 6 novembre 2022
• Mohammed ABED

Dans le centre de conférences de Charm el-Cheikh, en Egypte, qui héberge la COP27, le 6 novembre 2022
• MOHAMMED ABED

Les inégalités du réchauffement climatique
• Julia Han JANICKI

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Biden et Trump rallient leurs troupes à la veille d’élections cruciales

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A J-1 d’élections de mi-mandat tout aussi décisives pour la présidence de Joe Biden que pour l’avenir politique de Donald Trump, les deux présidents américains s’affronteront lundi par meetings interposés…

A J-1 d’élections de mi-mandat tout aussi décisives pour la présidence de Joe Biden que pour l’avenir politique de Donald Trump, les deux présidents américains s’affronteront lundi par meetings interposés, pour le sprint final de la campagne.

Les deux septuagénaires mettent tout leur poids dans la balance avant un scrutin qui posera les fondations de la présidentielle de 2024.

Les Américains sont appelés aux urnes mardi pour renouveler l’ensemble de la Chambre des représentants et un tiers du Sénat. Toute une série de postes d’élus locaux, qui décident des politiques de leur Etat en matière d’avortement ou de régulation environnementale, notamment, sont également en jeu.

Après une campagne acharnée centrée sur l’inflation, les républicains se montrent de plus en plus confiants dans leurs chances de priver Joe Biden de ses majorités au Congrès le 8 novembre.

“Si vous voulez mettre fin à la destruction de notre pays et sauver le rêve américain, alors, ce mardi, vous devez voter républicain pour une vague géante” rouge, la couleur des conservateurs, a plaidé l’ancien président Donald Trump ce week-end.

“Un choix”

Organisées deux ans après la présidentielle, ces élections se convertissent de fait en référendum sur l’occupant de la Maison Blanche. Le parti du président n’échappe que très rarement au vote sanction.

Joe Biden ne cesse de dire que cette élection est plutôt “un choix”: sur le droit à l’avortement et sur l’avenir de la démocratie en Amérique, à l’heure où certains candidats républicains menacent de ne pas reconnaître le résultat de leur élection.

En fin d’après-midi lundi, le dirigeant démocrate retrouvera les estrades de campagne pour un dernier meeting dans le Maryland, Etat frontalier de la capitale Washington.

Quelques heures seulement avant l’ouverture des bureaux de vote, son opposant Donald Trump sera quant à lui dans l’Etat très disputé de l’Ohio, où son poulain J.D Vance bénéficie d’une courte avance dans les sondages.

Le milliardaire républicain s’est jeté à corps perdu dans la campagne, bien conscient qu’une victoire de ses lieutenants au scrutin pourrait lui offrir le tremplin idéal pour une candidature à l’élection présidentielle de 2024.

L’occasion de rejouer le match de 2020?

Joe Biden dit jusqu’ici avoir l’intention de se représenter, mais la perspective n’enchante pas forcément tous les démocrates, en raison de son âge — bientôt 80 ans — et de son impopularité.

Le résultat des élections de mi-mandat sera donc aussi crucial pour l’avenir du président américain.

Etats décisifs

Concrètement, ce scrutin se joue dans une poignée d’Etats-clés — les mêmes qui étaient déjà en jeu lors de l’élection présidentielle de 2020.

Tous les projecteurs sont ainsi braqués sur la Pennsylvanie, ancien bastion de la sidérurgie, où le chirurgien multimillionnaire républicain Mehmet Oz, adoubé par Donald Trump, affronte le colosse chauve et ancien maire démocrate d’une petite ville, John Fetterman, pour le poste le plus disputé du Sénat.

Car de ce siège dépend très possiblement l’équilibre des pouvoirs de cette chambre haute, au pouvoir immense.

Comme en 2020, la Géorgie est elle aussi au coeur de toutes les convoitises. Le démocrate Raphael Warnock, premier sénateur noir jamais élu dans cet Etat au lourd passé ségrégationniste, tente de se faire réélire face à Herschel Walker, ancien sportif afro-américain, lui aussi soutenu par l’ancien président.

L’Arizona, le Nevada, le Wisconsin et la Caroline du Nord sont également le théâtre de luttes intenses, où les démocrates sont partout opposés aux candidats de Donald Trump, qui jurent une fidélité absolue à l’ancien locataire de la Maison Blanche.

Ces duels haletants sont tous alimentés à coup de centaines de millions de dollars.

Au total, près de 17 milliards de dollars auront été dépensés pour ce scrutin selon le site Opensecrets, un record.

cjc/vgr/juf

Le président américain Joe Biden, lors d’un meeting de campagne à Philadelphie, le 5 novembre 2022
• Ed JONES

L’ancien président Donald Trump à Latrobe, en Pennsylvanie, le 5 novembre 2022
• ANGELA WEISS

John Fetterman (à gauche) à Philadelphie le 28 octobre 2022 et Mehmet Oz le 13 octobre 2022 à Philadelphie
• MANDEL NGAN

Participation électorale, en % de la population en âge de voter, aux élections de mi-mandat et aux élections présidentielles américaines depuis 1789
• Jonathan WALTER

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Apple admet des perturbations pour sa fabrication d’iPhone en Chine

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Les livraisons de l’iPhone 14 Pro seront “plus faibles qu’anticipées” après le confinement d’une usine en Chine lié aux restrictions anti-Covid, a prévenu Apple, une mauvaise nouvelle à…

Les livraisons de l’iPhone 14 Pro seront “plus faibles qu’anticipées” après le confinement d’une usine en Chine lié aux restrictions anti-Covid, a prévenu Apple, une mauvaise nouvelle à l’approche de la saison des fêtes.

Apple a indiqué que son principal site de production, à Zhengzhou (centre), “fonctionne actuellement avec une capacité significativement réduite”, depuis la découverte d’un foyer de cas positifs au Covid-19.

“Les clients vont devoir attendre plus longtemps pour recevoir leurs nouveaux produits”, a fait savoir le groupe américain dans un communiqué dimanche soir.

“Comme nous l’avons fait depuis le début de la pandémie, nous faisons passer en priorité la santé et la sécurité des ouvriers de notre chaîne d’approvisionnement”, ajoute la marque à la pomme.

Le groupe taïwanais Foxconn, principal sous-traitant d’Apple, est confronté depuis octobre à une hausse de cas de Covid-19 sur son immense site de Zhengzhou, la plus grande usine d’iPhone au monde.

Foxconn a de son côté annoncé qu’il “révis(ait) à la baisse” ses prévisions financières pour la fin de l’année.

“La perspective du groupe pour le quatrième trimestre était au départ +prudemment optimiste+ mais en raison de la pandémie qui affecte certaines de nos activités à Zhengzhou, l’entreprise va réviser à la baisse” cette perspective, a indiqué Foxconn dans un communiqué.

“Foxconn travaille désormais avec les autorités dans un effort conjoint contre la pandémie, afin de reprendre la production à pleine capacité aussi vite que possible”, a-t-il ajouté.

L’entreprise n’a pas précisé l’ampleur de l’impact du confinement sur ses résultats financiers.

Bulle sanitaire

Foxconn a par ailleurs annoncé sur le réseau social Wechat de nouvelles mesures pour ses employés, notamment une “bulle sanitaire” entre les dortoirs et l’usine.

Les employés qui continuent à travailler seront regroupés dans trois dortoirs, a précisé le groupe.

D’abord confinés, des centaines d’employés exaspérés par leurs conditions de vie se sont enfuis en catastrophe de l’usine la semaine dernière. 

“En temps normal, pratiquement tous les iPhone sont produits à Zhengzhou”, expliquait il y a quelques jours à l’AFP Ivan Lam, analyste pour le cabinet spécialisé Counterpoint.

La marque à la pomme dépend beaucoup de la Chine, où elle fait fabriquer plus de 90% de ses produits. Le pays est également l’un de ses plus importants marchés.

Contrairement à ses voisins de la Silicon Valley, Apple a jusqu’à présent bien résisté à la crise économique, même si le dollar fort pèse sur ses revenus.

De juillet à septembre, le groupe américain a vu les ventes de l’iPhone, son produit phare, progresser de 9,7% sur un an, à 42,6 milliards de dollars.

Pour les fêtes, l’entreprise et les experts tablaient sur une forte demande pour les iPhone 14 et 14 Pro Max.

Foxconn est le plus grand employeur du secteur privé en Chine, avec plus d’un million de personnes travaillant dans ses quelque 30 usines et installations de recherche dans le pays.

Situé à environ 600km de Pékin, le site industriel de Zhengzhou emploie jusqu’à 300.000 personnes qui vivent sur place à l’année, à “iPhone City”, sorte de ville dans la ville.

bur-juj-ka/sbr/roc 

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Enough sugar being produced to satisfy Christmas demand, says AIJCFA Loop Jamaica

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With the demand for sugar expected to increase over the weeks to come leading into the yuletide season, the country is being assured that there is enough sugar in storage to satisfy the local demand.

The disclosure was made by Secretary/Manager of the All-Island Jamaica Cane Farmers’ Association (AIJCFA), Nigel Myrie.

Speaking with reporters last week, he said there is enough sugar being produced by the island’s two sugar factories at Worthy Park Estates in St Catherine and Frome Sugar Factory in Westmoreland.

Myrie underscored that, “Both of them have sufficient capacity to produce Jamaica’s demand for brown sugar, and currently we have produced enough sugar this crop to satisfy the demand through the Christmas season.

“So, there is no need for importation or worry about a shortage of sugar in the Christmas season. We have enough sugar in storage to satisfy any demand, based on my knowledge,” he stated.

While other sectors of agriculture suffered some impact from the COVID-19 pandemic, Myrie said the sugar production industry did not suffer any adverse effects.

He pointed out that the industry operates throughout the year, and protocols were followed to prevent infection of the respiratory illness among the workers.

“The factories operate within a specific window of time, so you have people working in the fields, people working in the factory, and transportation systems, so there is good separation…

“We had protocols in place to control movements among those different segments of the industry, and so we weren’t really hit hard with the… pandemic,” Myrie informed.

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WATCH: High school system not training employable graduates – PM Loop Jamaica

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Prime Minister Andrew Holness has lamented that many students are still exiting the secondary school system without the requisite skills to become employable.

In the face of some criticism of the Human Employment and Resource Training/National Service Training Agency (HEART/NSTA Trust) relative to its present relevance and effectiveness, Holness has declared that the institution has not failed, but is still relevant to addressing the training needs of today’s youth.

Holness made the declaration while delivering an address at the Edward Seaga Human Development Lecture on the 40th anniversary of the HEART/NSTA Trust at the University of Technology (UTECH) on Thursday.

Seaga served as Prime Minister of Jamaica from 1980 to 1989, and established HEART/NSTA Trust on July 23, 1982.

According to Holness, the training institution was dear to Seaga’s heart. He said the trust was conceptualised to support growth and “increase” the pathways available for young people to improve themselves.

“… The problem that sparked the creation of HEART still exists today,” Holness indicated.

“Our secondary school system is simply not turning out the students at the level of education that makes them trainable, to get them to the next step of being employable,” the prime minister declared further.

“It doesn’t mean that HEART has failed; what it means is that HEART is still relevant in today’s circumstances,” he added.

Holness reasoned that HEART/NSTA Trust is a testament of Seaga’s policies and practices that have benefited all Jamaicans and transitioning political administrations.

“HEART, however, when taken into the context of a total structural readjustment of Jamaica and the Jamaican economy, would be an example of one of his (Seaga’s) policies that did not get caught in the narrow politics of the time, because the truth be told, is that HEART was continued and supported through all administrations that have come,” he stated.

While admitting that there have been policy changes at the training institution by various Governments, he said it continues to be a very important institution in the “architecture of Jamaica”.

Meanwhile, Holness said the objective of his Administration is to “create policies that will last and rise above narrow political agendas”.

He said he takes his lead from former Jamaica Labour Party (JLP) leader and Prime Minister, Edward Seaga, relative to the development of such policies.

“If it is one thing you will say about this Administration, we get things done,” Holness concluded.

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Trainer Ryan Darby continues fine form at Caymanas Park Loop Jamaica

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Brompton Alex closed a two-timer for trainer Ryan Darby on Sunday’s nine-race card at Caymanas Park – his fifth winner in four days – two for owner Nadon, including COTTERWOOD KATHY, who won Saturday’s second race.

Both of Darby’s winners, BROMPTON ALEX and 4-1 SIR KEL at five furlongs straight in the fourth race for $750,000 claimers, were ridden by Oneil Mullings.

BROMPTON ALEX, who lost by a short head to upsetter MONSIEUR BLUE at five furlongs straight last Saturday, broke well to race fifth along the rail behind BESTDAUGHTERINLAW leading MAGGIE’S BOY in the five-furlong round event.

BESTDAUGHTERINLAW raced clear entering the straight, but 9-2 chance BROMPTON ALEX quickly went second a furlong and a half out.

BROMPTON ALEX caught BESTDAUGHTERINLAW a half-furlong out to win in 1:00.4.

Claiming jockey Shavon Townsend also rode two winners on the nine-race card, opening the programme with 4-1 shot SUPREME STAR at four and a half furlongs straight among $180,000 claimers, and aboard LITTLE GROVY THING at five and a half furlongs in the seventh for four-year-old maidens.

Racing continues next Saturday with the Jamaica Cup for grade-one runners at nine and a half furlongs, and the Fillies and Mares Distaff at a mile and the six-furlong Sprint.

The Thoroughbred Owners and Breeders Association of Jamaica’s Mixed Sale is set for Sunday.

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DOMINICA: Skerrit calls snap General Elections for December 6

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Skerrit

NATURE ISLE NEWS: Dominica’s Prime Minister Roosevelt Skerrit has called a snap general election in the country more than two years before its due date.

In an address to the national Skerrit announced that he had written to the President and advised him to “dissolve the House from November 7, 2022.”

“Nomination Day is November 18, 2022, and the people of Dominica will go to the polls on December 6, 2022.

PART OF THE ADDRESS BY PRIME MINISTER SKERRIT

We NEED A NATIONAL RESET if we are to fully recover from COVID and put this country back on a trajectory of real and sustainable development over the next 10 to 15 years. 10 Towards this end, we have done our own internal analysis. I started first with myself. I have been your chief servant for 22 years. I am eternally humbled and very grateful for the opportunity you have given me to serve. I hope that my efforts will be judged fairly and within context.

On this occasion of National Reset, I have listened to the views of all, and I have made a personal decision, which I have shared with some of my party elders. You have given me a mandate that constitutionally allows me to remain in office as your Prime Minister until April 2025. I do not intend to go beyond that date. I have run my race and I intend to finish the course, with Dominica safely back on a road of sustained progress and prosperity.

That is why I am calling for a National Reset! I would like, however, to preside over a peaceful and dignified transition of Prime Ministerial leadership to someone of my party and my colleagues’ choosing. We have as a party and a government to prepare for the next five years of covid rebuild and rebound. It will not be easy and will require commitment, dedication and perseverance.  There is a need for a blend of experience, energy, youth and a positive attitude. This is the desired formula for carrying Dominica over the proverbial line. It is my intention to stay on for another two and a half years if it is your will. But some of my colleagues who have been with me throughout this journey, and others whose stint in elective politics has been much shorter, have collectively agreed that the time for renewal of the team is NOW. We need a refreshed Dominica Labour Party team, for these very unpredictable, unprecedented and very challenging times. Following the changes we made in 2019, there shall next time around be other changes, to ensure the continued renewal of our Labour Party frontline, and maintain our continued relevance and the achievement of the visionary goals that we have set for ourselves and our country.

The Dominica Labour Party must continue to be the beacon of hope. It must be the option for those who wish to see our country progress. The challenges that we face are Now…they are already upon us. We cannot take chances with the future of this country.

We have set ourselves on a progressive path of development and growth, that will see prosperity for our people and our country. I shall be honored to use the benefits of my 22 years of experience in politics, to lead the Dominica Labour Party and this country, through this period of global social, political and economic uncertainty. We shall be the change that the country requires as we continually reshape, adjust, and correct course, as we move steadfastly towards that Dynamic Dominica, a resilient Dominica. With that in mind, I shall lead a new-look Dominica Labour Party into fresh general elections that will be held at the soonest possible time. I want the year 2023 to begin with a fresh mandate, given to a fresh Labour team, to commence the work of building post-COVID Dominica. With this in mind, today I met with His Excellency the President and advised that he dissolves the current Parliament of this country effective immediately.

I have asked that a fresh writ be issued on Monday 7th November 2022 for the holding of general elections in the Commonwealth of Dominica. The Dominica Labour Party will reveal its new-look slate of candidates in Mahaut on Tuesday, November 8th. Nomination Day in Dominica shall be Friday the 18th of November. General elections day in Dominica, the day on which the Dominica Labour Party will be seeking a fresh mandate, with a fresh team, is Tuesday 6th December 2022. May God Bless us all. May God continue to guide and bless the precious nature isle of Dominica.

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Government Announces New Fuel Price Adjustments – St. Lucia Times News

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The Public is hereby notified that in keeping with changes in international oil prices and Government’s application of the modified market pass-through petroleum pricing mechanism, the retail price of kerosene and LPG 100 lb cylinder has changed.

The retail price of Gasoline, Diesel, LPG 20 and 22lb cylinders remains unchanged. The price change takes effect from Monday, November 7, 2022.

GASOLINE remains unchanged at $3.89 per litre or $17.70 per gallon
Kerosene decreased from $3.91 to $3.14 per litre or $17.77 to $14.26 per gallon
Diesel remains unchanged at $3.89 per litre or $17.70 per gallon
20 Pound Cylinder (9.07 kg) remains unchanged at $45.27 per cylinder
22 Pound Cylinder (9.98 kg) remains unchanged at $49.79 per cylinder
100 Pound Cylinder (45.36kg) increased from $313.07 to $321.02 per cylinder

 The 20 lb Cylinder (9.07kg) is being subsidized at $18.94 per cylinder and the 22 lb Cylinder (9.98kg) is being subsidized at $20.83 per cylinder.

The Public is informed that the next adjustment of the retail price of fuel products will be on Monday, November 28, 2022.

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SOURCE: Ministry of Commerce, Manufacturing, Business Development, Cooperatives and Consumer Affairs

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Sören Opti nationaal badmintonkampioen

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Tekst en beeld Ricky Wirjosentono PARAMARIBO — Sören Opti schreef zondagavond het nationaal mannen badmintonkampioenschap voor de vijfde keer op

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La Corée du Nord promet une réponse “écrasante” aux exercices américano-sud-coréens

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La Corée du Nord a promis lundi une réponse “soutenue, ferme et écrasante” aux exercices militaires conjoints américano-sud-coréens, après une série record de tirs…

La Corée du Nord a promis lundi une réponse “soutenue, ferme et écrasante” aux exercices militaires conjoints américano-sud-coréens, après une série record de tirs de missiles ces derniers jours.

Ce nouvel avertissement de Pyongyang intervient en réponse à l’exercice “Vigilant Storm” (“Tempête Vigilante”), les  plus grandes manoeuvres aériennes conjointes jamais menées par Séoul et Washington.

Dans un communiqué, l’état-major général de l’Armée populaire coréenne a affirmé que cette dernière “continuera à répondre à tous les exercices de guerre anti-RPDC de l’ennemi par des mesures militaires pratiques soutenues, résolues et écrasantes”, en utilisant un acronyme pour le nom officiel de la Corée du Nord, a rapporté l’agence officielle KCNA.

Au cours de “Vigilant Storm”, la Corée du Nord a tiré plusieurs dizaines de missiles balistiques en mer, dont l’un est tombé près des eaux territoriales du Sud. Le président sud-coréen Yoon Suk-yeol a dénoncé une “invasion territoriale de fait”.

“Provocation”

Ces essais de missiles, qui se sont accompagnés de tirs de barrage d’artillerie et de sorties aériennes massives, étaient une “réponse claire” aux exercices conjoints américano-sud-coréens, ajoute le communiqué nord-coréen. L’état-major a qualifié “Vigilant Storm” de “provocation destinée à faire monter intentionnellement la tension dans la région”.

“Plus les provocations militaires de l’ennemi se poursuivront, plus l’Armée populaire de Corée les contrera de manière approfondie et impitoyable”, menace encore le communiqué.

Des centaines d’avions de guerre américains et sud-coréens – dont de puissants bombardiers lourds B-1B – ont participé aux exercices “Vigilant Storm” du 31 octobre au 5 novembre. C’était la première fois que des B-1B se rendaient dans la péninsule coréenne depuis décembre 2017.

Selon l’état-major sud-coréen, ces manoeuvres étaient destinées à démontrer la “capacité et la préparation à répondre fermement à toute provocation de la Corée du Nord”.

Les manoeuvres américano-sud-coréennes suscitent depuis longtemps de vives réactions de la part de la Corée du Nord, qui les considère comme des répétitions générales à une invasion de son territoire ou à une tentative de renversement de son régime.

Selon les analystes, les manoeuvres aériennes inquiètent particulièrement Pyongyang, car ses forces aériennes sont un des points les plus faibles de son armée, manquant à la fois d’avions technologiquement avancés et de pilotes expérimentés.

La Corée du Nord avait déjà, en septembre, révisé sa doctrine nucléaire pour s’autoriser à mener des frappes préventives en cas de menace existentielle contre le régime de Kim Jong Un.

Si le “système de commandement et de contrôle” nucléaire de la Corée du Nord est “mis en danger par une attaque de forces hostiles, une frappe nucléaire sera lancée automatiquement et immédiatement”, précise la nouvelle doctrine.

Séoul et Washington s’attendent à ce que Pyongyang effectue prochainement un essai nucléaire, qui serait le septième de son histoire et le premier depuis 2017.

caw/roc/

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