Au G20, les Occidentaux prudents sur la frappe en Pologne

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Les Occidentaux se montraient prudents mercredi quant aux circonstances de la chute du missile en Pologne, intervenue en plein sommet du G20 où ils s’employaient à convaincre les pays du Sud à condamner la…

Les Occidentaux se montraient prudents mercredi quant aux circonstances de la chute du missile en Pologne, intervenue en plein sommet du G20 où ils s’employaient à convaincre les pays du Sud à condamner la guerre menée par la Russie en Ukraine.

Ce tir d’un projectile “de fabrication russe” selon Varsovie, renforce les craintes d’une escalade du conflit contre lesquelles n’ont cessé de mettre en garde les dirigeants des 20 grandes économies mondiales réunis –sans Vladimir Poutine– depuis mardi à Bali.

Depuis l’île tropicale indonésienne, les responsables américains, français et britannique notamment ont dès le petit matin consulté leurs homologues polonais et ukrainien dans une série d’appels téléphoniques.

Après une réunion d’urgence de près d’une heure, les chefs d’Etat ou de gouvernement du G7 (Etats-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Canada, Japon) et de l’Otan ont apporté leur “plein soutien” à la Pologne dans un communiqué. Sans accuser de responsables dans l’immédiat, ils ont décidé de “rester en contact étroit pour déterminer des prochaines étapes en fonction de l’enquête”.

“Je vais m’assurer que nous puissions déterminer ce qu’il s’est passé exactement”, a déclaré Joe Biden. “Ensuite nous déterminerons collectivement des mesures à prendre.”.

Alors que la Pologne, membre de l’Otan, a évoqué un missile “de fabrication russe” et que Kiev a mis en cause Moscou, le président américain a indiqué qu’il était “improbable” que l’engin ait été tiré “depuis la Russie”.

Le missile est tombé sur le village de Przewodow, dans le sud-est de la Pologne, non loin de l’Ukraine qui a été visée mardi par d’intenses bombardements russes sur des infrastructures, mais aussi non loin du territoire bélarusse utilisé par l’armée russe depuis le début de l’invasion le 24 février.

Craintes de famine

Joe Biden a précisé qu’il avait discuté avec ses alliés des frappes russes en Ukraine de mardi, qu’il a qualifiées de “totalement inadmissibles”. “Au moment où le monde se réunit au G20 pour appeler à la désescalade, la Russie continue de choisir l’escalade”, a-t-il déploré.

La Russie se retrouve une fois de plus accusée d’aggraver un conflit meurtrier aux lourdes conséquences économiques, avec une flambée des prix de l’énergie et des produits alimentaires particulièrement difficiles à supporter pour les pays du Sud.

Nombre de ces derniers se refusent à condamner Moscou et préfèrent appeler les deux parties à négocier. Mais la pression s’est renforcée sur le pouvoir russe depuis le début du G20, où les Occidentaux veulent rallier les pays du Sud comme la Chine et l’Inde.

Malgré leurs divisions, les 20 membres de ce club créé à l’origine pour gérer les questions économiques s’étaient mis d’accord sur un projet de communiqué ménageant les différentes positions. Le texte consulté par l’AFP reconnait les répercussions négatives de la “guerre en Ukraine”, condamnée par “la plupart” d’entre eux.

Lavrov est parti

Le président russe, dont l’armée accumule les défaites et recule dans le Sud de l’Ukraine, est le grand absent de la réunion. Il s’était fait représenter par son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov mais ce dernier est reparti de Bali mardi soir, et n’était donc pas là pour répondre directement aux critiques mercredi.

En revanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit de nouveau s’exprimer mercredi devant le G20 après avoir déjà assuré face au “G19”, excluant la Russie dans ses propos, qu’il était “temps que la guerre destructrice de la Russie s’arrête”.

L’ambassadeur ukrainien en Indonésie Vassyl Garmianine a jugé “très symbolique et significatif qu’au premier jour du sommet on assiste à la pire vague de lancers de missiles (contre l’Ukraine), c’est un signal clair au G20 et à l’Indonésie de la façon dont la Russie traite les efforts de paix”.

“Ensuite deux missiles sont tombés en Pologne, cela montre les intentions de la Russie”, a-t-il indiqué à l’AFP.

Au centre de l’attention, le président chinois Xi Jinping, qui a toujours refusé de condamner l’invasion de l’Ukraine lancée par son allié russe, a déjà semblé lui adresser des critiques voilées lors du sommet en critiquant “instrumentalisation” de l’approvisionnement alimentaires et de l’énergie et en rejetant explicitement les menaces de recours à l’arme nucléaire.

Après avoir rencontré Joe Biden lundi puis Emmanuel Macron mardi, il devait s’entretenir mercredi avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak, une première en près de cinq ans pour les dirigeants des deux pays aux relations très tendues.

“La Chine est un pays aux valeurs fondamentalement différentes des nôtres, avec un pouvoir autoritaire qui veut remodeler l’ordre international”, a expliqué Downing Street. Mais les questions discutées au G20 “ne peuvent pas être traitées sans action coordonnée avec toutes les grandes économies mondiales et cela inclut la Chine”, a ajouté la même source.

sms-sct-gmo/lgo/roc 

Le chancelier allemand Olaf Scholz à une réunion d’urgence des dirigeants du G7 à Bali, en Indonésie, le 16 novembre 2022
• Ludovic MARIN

Le président américain Joe Biden parle aux journalistes après une réunion d’urgence avec les autres dirigeants du G7, le 16 novembre 2022 à Bali
• SAUL LOEB

Le président français Emmanuel Macron, ses conseillers et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna arrivent à une réunion d’urgence des dirigeants du G7 à Bali, en Indonésie, le 16 novembre 2022
• Ludovic MARIN

Réunion d’urgence des dirigeants du G7, de l’Espagne, des Pays-Bas et de l’Union européenne, le 16 novembre 2022 à Bali
• SAUL LOEB

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Trump se lance à nouveau dans la course à la Maison Blanche

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Donald Trump s’est lancé mardi dans la course pour la Maison Blanche, engageant une campagne vers 2024 qui promet d’être sans merci dans son camp républicain, meurtri et divisé…

Donald Trump s’est lancé mardi dans la course pour la Maison Blanche, engageant une campagne vers 2024 qui promet d’être sans merci dans son camp républicain, meurtri et divisé par la déception des récentes élections.

“J’annonce ma candidature à l’élection présidentielle”, a déclaré l’ancien président de 76 ans, sous un tonnerre d’applaudissements des militants réunis dans la grande salle de réception de sa luxueuse résidence de Mar-a-Lago, en Floride.

Promettant une Amérique “de retour”, Donald Trump a dressé un tableau idyllique de son premier mandat, évoquant un pays en paix, prospère et respecté sur la scène internationale.

A l’inverse, l’ancien chef de l’Etat, arborant sa traditionnelle cravate rouge, n’a pas eu de mots assez durs pour dénoncer le bilan de son successeur, le démocrate Joe Biden.

Un pays plongé dans la violence et la criminalité, où la flambée des prix étrangle les ménages américains, où des “millions” de clandestins traversent la frontière avec le Mexique, s’est-il indigné devant une rangée de drapeaux américains.

“Joe Biden incarne les échecs de la gauche et de la corruption de Washington”, a accusé l’ex-homme d’affaires dans son discours au ton pugnace, d’une durée d’un peu plus d’une heure.

Le président démocrate “nous conduit au bord de la guerre nucléaire”, a-t-il aussi affirmé, en référence au soutien américain à l’Ukraine.

“En deux ans, l’administration Biden a détruit l’économie américaine”, a aussi lancé le milliardaire républicain. “Avec une victoire, nous construirons à nouveau la meilleure économie qui soit”.

“Les rues pavées de sang de nos villes jadis grandioses sont des cloaques de crimes violents”, a-t-il déclaré, promettant de “restaurer et sécuriser les frontières de l’Amérique”.

Quelques instants plus tôt, Donald Trump avait déposé auprès des autorités électorales américaines sa candidature à l’élection présidentielle de 2024, une première étape officielle.

“Cela ne va pas être ma campagne, cela va être notre campagne”, a-t-il promis à ses partisans, installés sur des chaises dorées. Il leur a redit sa volonté de “curer le marigot” de Washington, selon sa formule consacrée pour désigner les élites honnies de la capitale fédérale.

– Pas de “vague géante” – 

Cette nouvelle candidature est la troisième du septuagénaire à la Maison Blanche.

Arrivé au pouvoir en novembre 2016 en créant la plus grande surprise politique moderne, Donald Trump avait bafoué tous les usages pendant sa présidence. Il avait quitté Washington dans le chaos après avoir échoué à se faire réélire face à Joe Biden — une défaite qu’il n’a jamais reconnue.

Elle préfigure aussi un possible remake de la présidentielle de 2020: le président Biden a récemment réaffirmé son “intention” de briguer un deuxième mandat.

La réaction du dirigeant démocrate à l’annonce de son rival ne s’est d’ailleurs pas fait attendre: “Trump a laissé tomber l’Amérique”, a tancé Joe Biden, en déplacement en Indonésie. 

Les rumeurs allaient bon train ces dernières semaines sur une annonce imminente de Donald Trump, l’ex-président étant alors déterminé à surfer sur le succès pressenti des républicains aux élections du 8 novembre pour reconquérir le pouvoir.

Mais la “vague géante” prédite avec beaucoup d’aplomb par les conservateurs ne s’est pas matérialisée, loin de là.

La performance plus que mitigée du camp républicain, notamment de la part de candidats adoubés par Donald Trump, a terni la réputation de faiseur de rois du tribun.

Plusieurs voix influentes dans le camp conservateur ont d’ailleurs appelé le magnat de l’immobilier à s’écarter du leadership républicain, jetant une ombre sur ses projets présidentiels.

Âpre bataille

Une partie de la nébuleuse conservatrice s’est déjà tournée vers un autre possible prétendant à la Maison Blanche et résident de Floride: son gouverneur, Ron DeSantis. Le quadragénaire, nouvelle star de la droite dure, qui sort lui renforcé des élections de mi-mandat, a assuré que son combat “ne faisait que commencer”.

L’ancien vice-président de Donald Trump, Mike Pence, son ex-chef de la diplomatie, Mike Pompeo, le gouverneur de Virginie, Glenn Youngkin… la bataille pour l’investiture républicaine promet d’être âpre.

Mais Donald Trump conserve pour le moment une popularité indéniable auprès de sa base. La majorité des sondages le donnent d’ailleurs toujours gagnant d’une primaire républicaine.

Un obstacle pourrait toutefois compliquer l’ascension de Donald Trump vers la Maison Blanche: ses nombreux ennuis judiciaires, qui pourraient finir par le disqualifier.

L’ancien président est visé par plusieurs enquêtes pour son rôle dans l’attaque contre le siège du Congrès le 6 janvier 2021 ou sa gestion des archives de la Maison Blanche.

“Je suis une victime”, a déploré Donald Trump devant ses partisans.

En s’appuyant sur un “instinct” toujours mis en avant, le tribun, dont la chute a été mille fois annoncée, a toutefois survécu jusqu’ici à tous les scandales. Comme si, à force d’accumulation, ils n’avaient plus d’effet sur lui.

cjc/led/ybl/jnd

Un partisan de Donald Trump à Mar-a-Lago, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY

Le président américain Joe Biden, à Washington, le 2 novembre 2022
• Jim WATSON

L’ancien président américain Donald Trump dans sa résidence de Palm Beach, en Floride, le 15 novembre 2022
• ALON SKUY

Des soutiens de l’ancien président américain Donald Trump près de sa résidence à Palm Beach, en Floride, le 15 novembre 2022
• Giorgio VIERA

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Route du Rhum: Charles Caudrelier file en tête vers Pointe-à-Pitre

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Rédaction web

Après 6 jours de traversée, Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild ), mène toujours la course et semble être en mesure de remporter cette douzième édition de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe

Après presque une semaine de traversée, trois bateaux Ultim 32/23 sont en route pour la Guadeloupe : Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild ), François Gabart (SVR-Lazartigue) et Thomas Coville (Sodebo Ultim 3).

A 0h36,  Charles Caudrelier (Maxi Edmond de Rothschild ), est toujours en tête de course et se trouve au niveau de la Côte Sous le Vent.

Suivre le live de la course

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MURDER IN PANYARD

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A police crime scene investigator gathers evidence after one man was killed and two others wounded during a gun attack at Pamberi’s panyard, Santa Cruz Old Road, San Juan on Monday. – ANGELO MARCELLE

A BARATARIA man was shot and killed, while two others suffered gunshot wounds in a shooting behind a preschool at Pamberi Panyard, Santa Cruz Old Road, San Juan, just after 4 pm on Tuesday.

Newsday understands the victim, Steffon “Turtle” Garrick, 40, was in the company of a friend and another man when a lone gunman entered the panyard and began shooting. Residents who overheard the gunshots said they believed over a dozen shots were fired from an automatic weapon.

In addition to the gunshot wounds, witnesses who saw the two men being taken away by ambulance said their legs also appeared to be broken, likely from their desperate attempts to escape.

Their full names, ages and addresses were not revealed by the police. When Newsday arrived, the body was obscured from view behind the preschool building, while residents and a growing number of members from the Pamberi Steel Orchestra were gathered at the entrance to the panyard.

A number of the onlookers spoke with Newsday on the condition of anonymity. Most were of the view that Garrick was not the intended target but instead one of the other men who was injured.

First division officers and forensic experts were processing the crime scene when Newsday arrived but were unwilling to share more information about the incident or details about the victims.

Police and onlookers at a murder scene where Steffon Garrick was killed and two others wounded during a gun attack at Pamberi Panyard, Santa Cruz Old Road, San Juan, on Monday. – ANGELO MARCELLE

Relatives of Garrick were notified and a cousin of his arrived at the panyard and appeared to be in a state of shock. Garrick’s sister, whom one resident said was the last surviving member of his immediate family, was reportedly too distraught to visit the scene.

One member of the Pamberi band told Newsday there have never been major incidents of crime, violent or otherwise, in the particular area. But in recent months, police have been called to deal with men, particularly outsiders, selling cannabis and likely other drugs.

Members of the Pamberi Steel Orchestra say they fear the growing instances of panyards being used as havens for small and large-scale drug trafficking and other illegal activities. The preliminary round of single pan judging is currently taking place at panyards throughout the country. Pamberi’s panyard is scheduled to host its prelimary round for judging on Saturday.

Tuesday’s shooting has taken this year’s murder toll to 534.

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Udecott chairman: Moonilal, Mark misleading public on $ for PM’s Tobago residence

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UDeCOTT Chairman Noel Garcia press conference at UDeCOTT headoffice on Sackville Street Port of Spain. – Photo by Sureash Cholai

CHAIRMAN of the Urban Development Corporation (Udecott) Noel Garcia says Opposition MP Roodal Moonilal and Opposition Senator Wade Mark are “intent on mischief,” and are spreading inaccurate financial information about the cost of the Prime Minister’s residence in Blenheim, Tobago.

He was speaking at a press conference in Port of Spain on Tuesday afternoon.

On November 6, Moonilal called for an independent investigation into the cost of construction of the residence.

He had said the cost, as stated in documents from Udecott, moved from a initial budget of $25 million to $63 million.

In addition, Mark said Dr Rowley was “dancing around” the topic of the residence’s refurbishment.

He said the budget for the residence moved from $17.5 million to $42 million.

Garcia said it is clear the men “are not getting their figures right,” adding that Moonilal made similar allegations in August 2019.

He said in 2019, Moonilal alleged the project’s budget jumped from $2 million to $20 million.

He said it does not seem as though Mark and Moonilal discussed this since they both gave differing costs.

“For some strange reason, they are intent on mischief…because I can only describe what is happening as mischief.

“Your numbers are not adding up.”

He said the project was never a refurbishment but was a construction project “from day one.

“…And this residence is not Keith Rowley’s residence – it is the residence of the Prime Minister of TT.

“The project budget was never $25 million, the project cost never moved from $25 million – $63million, (Udecott) never confirmed any cost overruns, (Udecott) never certified any payments of $48 million and there’s no $15.4 million left unpaid.”

He said it seems the source of the “mixup” is that in 2018, the estimated budget was $22,022,567 – a cost which included VAT.

The original contract’s budget, he said, was $20,305,020.18 and there was an additional cost of $8,150,131.86 to deal with “security issues.

There was also another fee of $8,679,290.53 to ensure the building was “fit for purpose.”

“As a result, the cost was revised to $37,134,000,” Garcia said.

He said it feels like deja-vu and that he’s not sure what Udecott has to do again to stop the Opposition members from spreading disinformation.

“They’re using different figurers and, as time rolls, the figures grow bigger and bigger and bigger.

“So I suspect in three years’ time, we may expect the project now to be a $250 million project with a cost overrun of $500 million.”

He said they’re trying to cause disquiet, mistrust and suspicion.

“We have nothing to hide…We keep our figures the same.

“My mother-in-law always said a liar needs to have good retention because if you don’t have good retention, you forget what you say.”

Asked if Udecott plans to take legal action, Garcia said that would be “a waste of taxpayers’ dollars.

“Let the public be the judge.

“We don’t need a court of law to judge him. He’ll be judged in the court of public opinion.”

He called on both men to apologise.

“Dig deep into your psyche and apologise to the people of TT for misleading them.

“Dig deep into your conscience, into your heart, and find the strength to apologise because we have demonstrated clearly that what you are saying is not true.”

In May 2020, former energy minister Franklin Khan, now deceased, revealed in Parliament that the total cost associated with the demolition and rebuilding of the residence was $17.5 million.

He was responding to a question from Mark.

He had said the building was in such a state of disrepair that it had to be demolished and rebuilt, and therefore the question of an “increase in cost of repairs” did not arise.

Speaking to Newsday on Wednesday afternoon, Moonilal said Garcia’s statements are in “utter contradiction to the information released to the Parliament by the Office of the Prime Minister.

“The Office of the Prime Minister confirms $48 million plus $15 million outstanding in response to questions during the standing finance committee of Parliament.

“(They) have made me out to be some mischief maker but I raise the issue of facts.”

In a press release issued hours later, Moonilal said Garcia’s press conference was an “unwarranted attack” on him.

He said Udecott is trying to “bamboozle taxpayers by fudging the facts and covering up the truth,” likening the company to a “runaway horse.

“…Spending recklessly on public projects without proper accountability and probity.

“I wish to advise (Garcia) that I earned the highest grades in mathematics studies.

“(He) must provide a full account to taxpayers and explain the difference in figures with that presented by Mr Khan.”

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Lula en sauveur de l’Amazonie à la conférence sur le climat

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La COP27 reçoit mercredi en véritable star le président élu du Brésil, Lula, attendu en sauveur de l’Amazonie après la déforestation massive sous le mandat Bolsonaro de ce…

La COP27 reçoit mercredi en véritable star le président élu du Brésil, Lula, attendu en sauveur de l’Amazonie après la déforestation massive sous le mandat Bolsonaro de ce poumon vert vital pour la planète.

“Le Brésil redeviendra une référence climatique mondiale”, a tweeté l’ancien et futur chef d’Etat mardi depuis Charm el-Cheikh, en Egypte, où se tient la conférence annuelle de l’ONU sur le climat.

Car sous le mandat de Jair Bolsonaro, le plus grand pays d’Amérique latine s’est isolé sur la scène internationale, notamment en raison des politiques favorisant déforestation et incendies en Amazonie.

Le président d’extrême droite favorisait en effet l’agro-industrie intensive et le secteur minier, coupant en revanche dans les budgets de protection de l’environnement.

Luiz Inacio Lula da Silva a au contraire promis de lutter pour une “déforestation zéro”. Il doit prononcer un discours très attendu à Charm el-Cheikh mercredi en fin d’après-midi et pourrait, selon le quotidien brésilien O Globo, annoncer que le Brésil est candidat pour accueillir la COP30 en 2025.

Le président élu n’a pas eu d’engagements publics mardi, mais avait un rendez-vous à huis clos le même jour avec l’émissaire spécial américain pour le climat John Kerry.

Selon O Globo, une dizaine de demandes de rencontres bilatérales en marge de la COP27 lors de son séjour officiel mercredi et jeudi n’ont pu être satisfaites. Un témoignage de l’aura dont bénéficie l’ancien syndicaliste, vu comme sauveur possible de l’Amazonie et plus attentif au sort des peuples indigènes qui l’habitent.

Reforestation

Il rencontrera d’ailleurs à la COP27 une délégation de leaders indigènes, ainsi que plusieurs gouverneurs d’Etats brésiliens présents eux aussi à la conférence.

La forêt tropicale amazonienne, dont le Brésil abrite 60% de la surface totale, est le plus grand puits de carbone au monde, primordial pour lutter contre le changement climatique.

Mais sous l’effet du réchauffement et de la déforestation, elle est désormais très fragilisée et, selon une étude publiée en mars, approche plus rapidement que prévu d’un “point de bascule” qui pourrait la transformer en savane.

La protection de l’Amazonie sera une “priorité stratégique” après l’entrée en fonctions de Lula le 1er janvier 2023, a assuré à Charm el-Cheikh l’ancienne ministre de l’Environnement Marina Silva, membre de l’équipe du président élu et pressentie pour reprendre ce ministère.

Et le Brésil s’y attellera “par ses propres moyens” avec un objectif de reforestation de 12 millions d’hectares, avait-elle dit samedi devant la presse, sans conditionner cette politique à une reprise de l’aide internationale, suspendue par de nombreux pays suite aux politiques du président sortant d’extrême droite.

Mme Silva s’était tout de même félicitée que la Norvège et l’Allemagne aient annoncé, à la suite de la victoire de Lula le 30 octobre, être prêtes à reprendre leur soutien financier au Fonds Amazonie, coupé en 2019, ajoutant que le Brésil rechercherait des partenaires supplémentaires. Elle a d’ailleurs invité les Etats-Unis a rejoindre également ce fonds.

“Avec le prestige et l’influence de Lula sur la scène internationale, et face aux inquiétudes du monde entier au sujet de l’Amazonie, il est fort possible que des accords bilatéraux soient noués”, analyse Daniela Costa, porte-parole de Greenpeace au Brésil pour les questions climatiques.

bur-avl-so/uh/vl/ybl

Vue aérienne d’une zone déboisée de la forêt amazonienne aux alentours de la ville de Humaita, dans l’Etat d’Amazonas, au Brésil, le 15 septembre 2022
• MICHAEL DANTAS

Un leader indigène du Brésil portant un costume traditionnel assiste à la conférence sur le climat COP27 à Charm el-Cheikh, en Egypte, le 14 novembre 2022
• AHMAD GHARABLI

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Interdire la corrida? Les députés planchent sur un sujet polémique

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Les députés examinent mercredi en commission la proposition inflammable d’interdiction de la corrida portée par l’insoumis Aymeric Caron qui a peu de chances d’aboutir, mais divise les camps politiques et…

Les députés examinent mercredi en commission la proposition inflammable d’interdiction de la corrida portée par l’insoumis Aymeric Caron qui a peu de chances d’aboutir, mais divise les camps politiques et suscite plusieurs manifestations le week-end prochain.

La corrida est une “exception qui n’a plus lieu d’être”, une “torture” des taureaux, juge l’ancien journaliste Aymeric Caron, élu député de Paris en juin. 

Si le temps le permet, mercredi matin en commission des Lois et le 24 novembre dans l’hémicycle, “c’est un test démocratique qui va se dérouler. On va voir si les députés sont vraiment libres ou s’ils vont céder aux pressions des lobbies”, attaque le militant de la cause animale.

Aymeric Caron veut modifier le Code pénal qui punit déjà la maltraitance animale, mais dont les sanctions prévues à l’article 521-1 “ne sont pas applicables aux courses de taureaux lorsqu’une tradition locale ininterrompue peut être invoquée”.

Et le député LFI espère ajouter par amendement l’interdiction des combats de coqs encore autorisés dans le Nord ou certains territoires d’Outre-mer.

“Foie gras et barbecue”

Sa proposition de loi suscite l’embarras dans les groupes politiques, où la liberté de vote est de mise.

Au nom de la défense d’une “tradition culturelle” dans le Sud-Ouest et le pourtour méditerranéen, le gouvernement compte s’y opposer. 

La secrétaire d’Etat en charge de la Ruralité Dominique Faure est annoncée au banc des ministres le 24 novembre, plutôt que le garde des Sceaux Eric Dupond-Moretti, passionné de corrida et donc plus clivant.

Mme Faure s’est rendue à la réunion du groupe Renaissance mardi matin pour appeler à ne pas “tomber dans le radicalisme du député” Caron, selon une source parlementaire. “Il ne faut pas opposer émotion et attachement au terroir”, a-t-elle plaidé.

Sensible, le sujet divise les macronistes. En juillet 2021, quand elle n’était pas encore présidente des députés Renaissance, Aurore Bergé avait signé une tribune pour interdire la corrida, jugée “barbare”.

A l’inverse, l’élu du Gers Jean-René Cazeneuve s’oppose frontalement à l’interdiction de cette pratique présente dans son territoire.

“Ca va disparaître tout seul, il y en a de moins en moins. Ça ne sert à rien de l’interdire et d’humilier des gens pour qui ce sont des traditions”, argumente-t-il auprès de l’AFP.

“Après la corrida, ce sera le foie gras, le barbecue, les escargots, les huîtres: où arrêtez-vous la maltraitance animale? On le connaît l’animal Caron. On sait que c’est un premier combat”, lâche-t-il.

Division à l’extrême droite également entre le député RN Julien Odoul, prêt à voter l’interdiction, et son collègue Emmanuel Taché de la Pagerie, défenseur de la corrida. Leur patronne Marine Le Pen, qui a fait de la lutte contre la maltraitance animale l’un de ses marqueurs, propose depuis plusieurs années d’interdire la corrida aux mineurs.

Manifestations

Du côté de LR, “on est assez nombreux dans le groupe” à “dire notre attachement à cette tradition taurine”, relève le chef des députés de droite Olivier Marleix.

Dans ces conditions, le texte a peu de chances d’aboutir, d’autant que son examen complet dans l’hémicycle est encore incertain le 24 novembre. 

Après des propositions comme le SMIC à 1.600 euros ou l’inscription de l’IVG dans la Constitution, il figure en effet en quatrième position dans la “niche” LFI, une journée réservée à un groupe minoritaire, avec une clôture des débats à minuit.

“Il faut quand même qu’il y ait du social d’abord dans notre niche !”, assume un élu LFI, sceptique sur l’interdiction de la corrida. 

“Il ne faut pas prendre à rebrousse-poil les gens qui tiennent à ça (…) là, ça va être un peu binaire”, redoute cet insoumis, même s’il votera le texte.

La proposition de loi va susciter des mobilisations ce week-end. Samedi, des élus de tous bords et aficionados vont défendre la corrida dans plusieurs villes taurines. 

Des associations de protection des animaux promettent à l’inverse des manifestations contre cette pratique samedi et dimanche, dont “une action à fort impact visuel” à Paris.

Coutumière des vidéos choc, l’association L214 a diffusé dans la nuit des images de “mises à mort laborieuses de taureaux” lors d’une corrida à Brocas (Landes) le 24 septembre dernier, pour soutenir l’interdiction.

adc-parl/reb/sde/lpa

Aymeric Caron, député La France insoumise(gauche radicale) et membre de la Nupes prend la parole à l’Assemblée nationale, à Paris, le 2 août 2022
• Alain JOCARD

Vue générale de l’Assemblée nationale à Paris, le 19 octobre 2022
• Emmanuel DUNAND

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Au G20, les Occidentaux prudents sur la frappe en Pologne

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Les Occidentaux se montraient prudents mercredi quant aux circonstances de la chute du missile en Pologne, intervenue en plein sommet du G20 où ils s’employaient à convaincre les pays du Sud à condamner la…

Les Occidentaux se montraient prudents mercredi quant aux circonstances de la chute du missile en Pologne, intervenue en plein sommet du G20 où ils s’employaient à convaincre les pays du Sud à condamner la guerre menée par la Russie en Ukraine.

Ce tir d’un projectile “de fabrication russe” selon Varsovie, renforce les craintes d’une escalade du conflit contre lesquelles n’ont cessé de mettre en garde les dirigeants des 20 grandes économies mondiales réunis –sans Vladimir Poutine– depuis mardi à Bali.

Depuis l’île tropicale indonésienne, les responsables américains, français et britannique notamment ont dès le petit matin consulté leurs homologues polonais et ukrainien dans une série d’appels téléphoniques.

Après une réunion d’urgence de près d’une heure, les chefs d’Etat ou de gouvernement du G7 (Etats-Unis, France, Allemagne, Royaume-Uni, Italie, Canada, Japon) et de l’Otan ont apporté leur “plein soutien” à la Pologne dans un communiqué. Sans accuser de responsables dans l’immédiat, ils ont décidé de “rester en contact étroit pour déterminer des prochaines étapes en fonction de l’enquête”.

“Je vais m’assurer que nous puissions déterminer ce qu’il s’est passé exactement”, a déclaré Joe Biden. “Ensuite nous déterminerons collectivement des mesures à prendre.”.

Alors que la Pologne, membre de l’Otan, a évoqué un missile “de fabrication russe” et que Kiev a mis en cause Moscou, le président américain a indiqué qu’il était “improbable” que l’engin ait été tiré “depuis la Russie”.

Le missile est tombé sur le village de Przewodow, dans le sud-est de la Pologne, non loin de l’Ukraine qui a été visée mardi par d’intenses bombardements russes sur des infrastructures, mais aussi non loin du territoire bélarusse utilisé par l’armée russe depuis le début de l’invasion le 24 février.

Craintes de famine

Joe Biden a précisé qu’il avait discuté avec ses alliés des frappes russes en Ukraine de mardi, qu’il a qualifiées de “totalement inadmissibles”. “Au moment où le monde se réunit au G20 pour appeler à la désescalade, la Russie continue de choisir l’escalade”, a-t-il déploré.

La Russie se retrouve une fois de plus accusée d’aggraver un conflit meurtrier aux lourdes conséquences économiques, avec une flambée des prix de l’énergie et des produits alimentaires particulièrement difficiles à supporter pour les pays du Sud.

Nombre de ces derniers se refusent à condamner Moscou et préfèrent appeler les deux parties à négocier. Mais la pression s’est renforcée sur le pouvoir russe depuis le début du G20, où les Occidentaux veulent rallier les pays du Sud comme la Chine et l’Inde.

Malgré leurs divisions, les 20 membres de ce club créé à l’origine pour gérer les questions économiques s’étaient mis d’accord sur un projet de communiqué ménageant les différentes positions. Le texte consulté par l’AFP reconnait les répercussions négatives de la “guerre en Ukraine”, condamnée par “la plupart” d’entre eux.

Lavrov est parti

Le président russe, dont l’armée accumule les défaites et recule dans le Sud de l’Ukraine, est le grand absent de la réunion. Il s’était fait représenter par son chef de la diplomatie Sergueï Lavrov mais ce dernier est reparti de Bali mardi soir, et n’était donc pas là pour répondre directement aux critiques mercredi.

En revanche, le président ukrainien Volodymyr Zelensky doit de nouveau s’exprimer mercredi devant le G20 après avoir déjà assuré face au “G19”, excluant la Russie dans ses propos, qu’il était “temps que la guerre destructrice de la Russie s’arrête”.

L’ambassadeur ukrainien en Indonésie Vassyl Garmianine a jugé “très symbolique et significatif qu’au premier jour du sommet on assiste à la pire vague de lancers de missiles (contre l’Ukraine), c’est un signal clair au G20 et à l’Indonésie de la façon dont la Russie traite les efforts de paix”.

“Ensuite deux missiles sont tombés en Pologne, cela montre les intentions de la Russie”, a-t-il indiqué à l’AFP.

Au centre de l’attention, le président chinois Xi Jinping, qui a toujours refusé de condamner l’invasion de l’Ukraine lancée par son allié russe, a déjà semblé lui adresser des critiques voilées lors du sommet en critiquant “instrumentalisation” de l’approvisionnement alimentaires et de l’énergie et en rejetant explicitement les menaces de recours à l’arme nucléaire.

Après avoir rencontré Joe Biden lundi puis Emmanuel Macron mardi, il devait s’entretenir mercredi avec le Premier ministre britannique Rishi Sunak, une première en près de cinq ans pour les dirigeants des deux pays aux relations très tendues.

“La Chine est un pays aux valeurs fondamentalement différentes des nôtres, avec un pouvoir autoritaire qui veut remodeler l’ordre international”, a expliqué Downing Street. Mais les questions discutées au G20 “ne peuvent pas être traitées sans action coordonnée avec toutes les grandes économies mondiales et cela inclut la Chine”, a ajouté la même source.

sms-sct-gmo/lgo/roc 

Le chancelier allemand Olaf Scholz à une réunion d’urgence des dirigeants du G7 à Bali, en Indonésie, le 16 novembre 2022
• Ludovic MARIN

Le président américain Joe Biden parle aux journalistes après une réunion d’urgence avec les autres dirigeants du G7, le 16 novembre 2022 à Bali
• SAUL LOEB

Le président français Emmanuel Macron, ses conseillers et la ministre des Affaires étrangères Catherine Colonna arrivent à une réunion d’urgence des dirigeants du G7 à Bali, en Indonésie, le 16 novembre 2022
• Ludovic MARIN

Réunion d’urgence des dirigeants du G7, de l’Espagne, des Pays-Bas et de l’Union européenne, le 16 novembre 2022 à Bali
• SAUL LOEB

NewsAmericasNow.com

ICT and Science graduates getting opportunities in Rwanda, Canada Loop Barbados

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Barbados News

Science and ICT [information and communications technology] university graduates of the University of West Indies Cave Hill campus will now have opportunities for employment and to further their studies in Rwanda.

With many of these scholars reporting difficulties finding employment in their fields locally, Barbados’ Prime Minister Mia Amor Mottley during a press conference held today at the Grantley Adams International Airport (GAIA) said, “Teaching is one of the most noble of professions but we don’t have enough teaching spaces to accommodate 6,000 science graduates, so unless we create the opportunities for them or unless they go into self-employment, it is not going to happen.”

a person having received that training can start up earning about CAD $60,000 a year and the training is less than a year

Therefore, speaking directly to this urgent need to expand the employability for UWI Cave Hill science graduates beyond the education sector, the Prime Minister said that Rwanda is opening crucial doors for Bajans.

“When I was last Minister of Economic Affairs and Development in 2007, I produced a draft plan then that spoke to the need to rest our industrial development on two things, on pharmaceuticals and ICT. I don’t need to tell you how important this is to give our graduates choices,” she insisted.

The Prime Minister stated that the Government sought to create “global citizens with Barbadian roots”. She revealed that through the Student Revolving Loan Fund, 1,500 Barbadians will be trained and employed in cybersecurity.

“The government has taken a decision through the student revolving loan fund to be able to train 1,500 Barbadians in cybersecurity with the opportunity of jobs being almost assured for them. And why are we doing it? Because at the end of the day, if a person having received that training can start up earning about CAD $60,000 a year and the training is less than a year training – it is months [of] training – then I don’t only want 1,500 trained, I would like 15,000 if we can get that trained,” Mottley said.

There is an interest in hosting young Barbadians, Barbadians who come into Rwanda, who are designing apps

With Barbados set to enter the pharmaceuticals industry following an agreement with the Governments of Rwanda, Ghana and Guyana, the Prime Minister also suggested that future university graduates explore studies in life sciences, pharmaceutical sciences, science and engineering as well as ICT-related areas and robotics.

Government will be partnering with Carnegie Mellon University, a private university based in the United States and Rwanda. Barbadian students will participate in training for artificial intelligence and robotics. The University also offers Master of Science programmes in coding, robotics and artificial intelligence.

The new Minister of Foreign Affairs and Foreign Trade, Kerrie Symmonds, fresh back from his first overseas trip under this portfolio since the Cabinet shuffle, added that the number of science graduates leaving UWI needs to translate into “concrete economic development activity”.

He divulged that young Barbadians with a background or interest in software development will also have the opportunity to partake in a two-year programme hosted by Invest Barbados, Export Barbados and the Rwanda Development Cooperation.

“There is an interest in hosting young Barbadians, Barbadians who come into Rwanda, who are designing apps, who are into software development and to put them into an entrepreneurial program in Rwanda.

“It is anticipated that it will probably last about two years but it will be an intense course where you are not just learning the technical skill sets in terms of improving your software development but you are also learning principles of business, entrepreneurial issues, financial literacy, management of business, marketing etc.”

“In that two-year period you have an intense course, you have certain set of targets that you have to meet in terms of performance and then you are back out on your own but equipped in a way that you would have never have been,” the Minister of Foreign Affairs explained.

NewsAmericasNow.com

$50,000 fine: Leave nesting sea turtles alone or else… Loop Barbados

Black Immigrant Daily News

The content originally appeared on: Barbados News

Barbadians, residents and visitors alike are being warned and reminded pointedly that it is against the law to disturb, harm or cause harm to befall a turtle or hatchling in Barbados’ waters or on the island’s shores.

The word of caution comes from the National Conservation Commission (NCC) in a press release issued today, November 15. The NCC did not indicate what triggered the warning at this time, but it comes on the tail-end of the nesting season for the popular Hawksbill and Green turtles.

According to the Barbados Sea Turtle Project, most hawksbill turtles in Barbados nest during the peak season between mid-May through mid to late October. This is thought to be the same for green turtles. However, nesting has been documented in every month of the year. Meanwhile the nesting season for leatherback turtles in Barbados is between February and July.

The NCC is reminding persons that under Section 46 of the Fisheries Act, no person shall fish for, or ensnare any turtle, and no person shall disturb or endanger any turtle nest or remove from a nest any turtle eggs.

Any person who contravenes these regulations is guilty of an offence, and is liable on summary conviction to a fine not exceeding $50,000 or to imprisonment for a term of two years or both.

NewsAmericasNow.com