Heeft de regering geslapen in kwestie Iamgold?

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INGEZONDEN De president wist volgens de bronnen van de Palu waarschijnlijk langer dan twee jaar dat het bij Rosebel Gold

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21 ans, pas de permis, il acheminait en voiture le matériel pour les sites clandestins : un an de prison aménageable Guyaweb, site d’information et d’investigation en Guyane

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Benjo Asoeloe de Saint-Laurent du Maroni était poursuivi pour complicité d’exploitation d’une mine sans titre le mardi 18 octobre 2022. Il avait été placé en détention provisoire vendredi 21 octobre. « Le 18 octobre, une Citroën conduite par vous, il y a un contrôle, vous essayez de prendre la fuite. Ensuite vous vous sauvez à pied (…) On ne sait toujours pas à qui est ce véhicule, c’est un dénommé Jaja qui vous avez demandé de le conduire » raconte la présidente du tribunal. Le véhicule contient toute la liste des fournitures d’un site d’orpaillage clandestin : denrées, carburant, corps de pompes…

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Budget: un quatrième 49.3 attendu dans les prochains jours

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L’ombre du 49.3 n’a pas fini de planer sur l’Assemblée nationale: après l’avoir déjà dégainé trois fois en une semaine, le gouvernement pourrait à nouveau engager rapidement sa responsabilité pour clore…

L’ombre du 49.3 n’a pas fini de planer sur l’Assemblée nationale: après l’avoir déjà dégainé trois fois en une semaine, le gouvernement pourrait à nouveau engager rapidement sa responsabilité pour clore un premier chapitre mouvementé de débats budgétaires.

Plusieurs sources au sein du camp présidentiel ont indiqué à l’AFP que l’exécutif penchait désormais pour une nouvelle utilisation lundi de cet outil constitutionnel, qui permet de faire passer sans vote un texte de loi, sauf adoption d’une motion de censure. Mais le scénario a déjà bougé à plusieurs reprises, en fonction de l’évolution des débats dans l’hémicycle sur les dépenses du budget de l’Etat. 

Il s’agirait par ce nouveau 49.3 de valider en première lecture l’ensemble de ce projet de loi de finances (PLF) pour 2023.

Dans la nuit de vendredi à samedi, l’Assemblée nationale unanime a validé les sensibles crédits en faveur de l’outre-mer, mais profondément revus et corrigés par les députés ultramarins, souvent contre l’avis du gouvernement.

Ils sont en hausse de 300 millions d’euros par rapport à 2022 (+11%), atteignant les 2,4 milliards, mais étaient jugés très insuffisants par ces élus, pour la plupart d’opposition. Ils ont redéployé des enveloppes en faveur de l’accès à l’eau, au logement ou encore d’aides alimentaires, à coup de dizaines de millions d’euros.

Comme un leitmotiv, ces parlementaires ont pressé le ministre des Outre-mer Jean-François Carenco de dire si ces amendements allaient être retenus in fine. “Ces votes comptent pour du beurre? Ca va poser un sacré problème”, a relevé Eric Coquerel (LFI).

Auparavant, les députés avaient adopté sans encombre les crédits de la “mission culture”, “historiquement hauts”, selon la ministre Rima Abdul Malak, après avoir approuvé jeudi ceux alloués à la justice et la défense. Lundi matin, ce sera au tour de la “mission Ecologie”.

Les députés avancent au ralenti, comme résignés au fait qu’ils n’iront pas au bout des nombreuses “missions budgétaires” à passer au crible d’ici au 15 novembre.

Pour la gauche, le report à vendredi prochain de l’examen du chapitre hautement inflammable des “collectivités” est la preuve que l’exécutif veut mettre fin aux débats dans l’intervalle.

Motions de censure lundi

Elisabeth Borne a engagé mercredi la responsabilité de son gouvernement sur l’ensemble du budget de la Sécurité sociale (PLFSS), via cet outil constitutionnel décrié par les oppositions.

Elle l’avait déjà fait auparavant sur la première partie de ce même texte, ainsi que sur la première partie du PLF.

Une quatrième utilisation, sur l’ensemble du PLF, viendrait clore la séquence de la première lecture des budgets à l’Assemblée.

Mais avant que le Sénat dominé par la droite ne s’en saisisse, il faudra que les députés repoussent de nouvelles motions de censure.

Les deux premières de l’alliance de gauche Nupes (LFI, PS, PCF, EELV), sur les recettes du budget de l’Etat et de celui de la Sécu, ont été rejetées, tout comme une motion du RN.

Face au 49.3 dégainé mercredi, LFI fait cette fois cavalier seul avec sa propre motion, la Nupes assumant une divergence stratégique sur l’opportunité d’un dépôt systématique. Socialistes, communistes et écologistes craignent de “banaliser” cet outil.

Le groupe RN a lui aussi déposé une motion sur le PLFSS.

Ces deux motions seront débattues lundi à partir de 15H00. 

Le soutien des députés RN emmenés par Marine Le Pen à l’une des motions de la Nupes lundi dernier n’a pas suffi à faire chuter le gouvernement, mais cela a provoqué des débats enflammés.

Emmanuel Macron a accusé la gauche d’être “main dans la main” avec l’extrême droite, ce que récusent les parlementaires visés. 

Le projet de budget de l’Etat, que la droite trouve trop dispendieux et la gauche pas assez ambitieux, contient notamment un “bouclier tarifaire” de 45 milliards d’euros pour limiter à 15% les hausses des prix réglementés du gaz et de l’électricité. 

Il programme aussi une augmentation de rémunération pour les enseignants ou la création de plus de 10.000 postes de fonctionnaires.

Quant au budget de la Sécu, qui anticipe une forte baisse du déficit, il prévoit notamment d’améliorer la prévention et de réformer la formation des généralistes en ajoutant une quatrième année avec des stages “en priorité” dans les déserts médicaux.

cds-reb/chv

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Budget: un quatrième 49.3 attendu dans les prochains jours

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L’ombre du 49.3 n’a pas fini de planer sur l’Assemblée nationale: après l’avoir déjà dégainé trois fois en une semaine, le gouvernement pourrait à nouveau engager rapidement sa responsabilité pour clore…

L’ombre du 49.3 n’a pas fini de planer sur l’Assemblée nationale: après l’avoir déjà dégainé trois fois en une semaine, le gouvernement pourrait à nouveau engager rapidement sa responsabilité pour clore un premier chapitre mouvementé de débats budgétaires.

Plusieurs sources au sein du camp présidentiel ont indiqué à l’AFP que l’exécutif penchait désormais pour une nouvelle utilisation lundi de cet outil constitutionnel, qui permet de faire passer sans vote un texte de loi, sauf adoption d’une motion de censure. Mais le scénario a déjà bougé à plusieurs reprises, en fonction de l’évolution des débats dans l’hémicycle sur les dépenses du budget de l’Etat. 

Il s’agirait par ce nouveau 49.3 de valider en première lecture l’ensemble de ce projet de loi de finances (PLF) pour 2023.

Dans la nuit de vendredi à samedi, l’Assemblée nationale unanime a validé les sensibles crédits en faveur de l’outre-mer, mais profondément revus et corrigés par les députés ultramarins, souvent contre l’avis du gouvernement.

Ils sont en hausse de 300 millions d’euros par rapport à 2022 (+11%), atteignant les 2,4 milliards, mais étaient jugés très insuffisants par ces élus, pour la plupart d’opposition. Ils ont redéployé des enveloppes en faveur de l’accès à l’eau, au logement ou encore d’aides alimentaires, à coup de dizaines de millions d’euros.

Comme un leitmotiv, ces parlementaires ont pressé le ministre des Outre-mer Jean-François Carenco de dire si ces amendements allaient être retenus in fine. “Ces votes comptent pour du beurre? Ca va poser un sacré problème”, a relevé Eric Coquerel (LFI).

Auparavant, les députés avaient adopté sans encombre les crédits de la “mission culture”, “historiquement hauts”, selon la ministre Rima Abdul Malak, après avoir approuvé jeudi ceux alloués à la justice et la défense. Lundi matin, ce sera au tour de la “mission Ecologie”.

Les députés avancent au ralenti, comme résignés au fait qu’ils n’iront pas au bout des nombreuses “missions budgétaires” à passer au crible d’ici au 15 novembre.

Pour la gauche, le report à vendredi prochain de l’examen du chapitre hautement inflammable des “collectivités” est la preuve que l’exécutif veut mettre fin aux débats dans l’intervalle.

Motions de censure lundi

Elisabeth Borne a engagé mercredi la responsabilité de son gouvernement sur l’ensemble du budget de la Sécurité sociale (PLFSS), via cet outil constitutionnel décrié par les oppositions.

Elle l’avait déjà fait auparavant sur la première partie de ce même texte, ainsi que sur la première partie du PLF.

Une quatrième utilisation, sur l’ensemble du PLF, viendrait clore la séquence de la première lecture des budgets à l’Assemblée.

Mais avant que le Sénat dominé par la droite ne s’en saisisse, il faudra que les députés repoussent de nouvelles motions de censure.

Les deux premières de l’alliance de gauche Nupes (LFI, PS, PCF, EELV), sur les recettes du budget de l’Etat et de celui de la Sécu, ont été rejetées, tout comme une motion du RN.

Face au 49.3 dégainé mercredi, LFI fait cette fois cavalier seul avec sa propre motion, la Nupes assumant une divergence stratégique sur l’opportunité d’un dépôt systématique. Socialistes, communistes et écologistes craignent de “banaliser” cet outil.

Le groupe RN a lui aussi déposé une motion sur le PLFSS.

Ces deux motions seront débattues lundi à partir de 15H00. 

Le soutien des députés RN emmenés par Marine Le Pen à l’une des motions de la Nupes lundi dernier n’a pas suffi à faire chuter le gouvernement, mais cela a provoqué des débats enflammés.

Emmanuel Macron a accusé la gauche d’être “main dans la main” avec l’extrême droite, ce que récusent les parlementaires visés. 

Le projet de budget de l’Etat, que la droite trouve trop dispendieux et la gauche pas assez ambitieux, contient notamment un “bouclier tarifaire” de 45 milliards d’euros pour limiter à 15% les hausses des prix réglementés du gaz et de l’électricité. 

Il programme aussi une augmentation de rémunération pour les enseignants ou la création de plus de 10.000 postes de fonctionnaires.

Quant au budget de la Sécu, qui anticipe une forte baisse du déficit, il prévoit notamment d’améliorer la prévention et de réformer la formation des généralistes en ajoutant une quatrième année avec des stages “en priorité” dans les déserts médicaux.

cds-reb/chv

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Brésil: dernier face-à-face Lula-Bolsonaro tendu avant le 2e tour

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Le dernier débat télévisé entre Lula et Jair Bolsonaro a débuté vendredi avec de vifs échanges, les deux candidats à la présidentielle se traitant avec insistance de “menteur”…

Le dernier débat télévisé entre Lula et Jair Bolsonaro a débuté vendredi avec de vifs échanges, les deux candidats à la présidentielle se traitant avec insistance de “menteur”, à deux jours du second tour.

“Ce type est le plus grand menteur de l’histoire du Brésil”, a lancé l’ex-président de gauche Luiz Inacio Lula da Silva, 77 ans, dès les premières minutes du débat diffusé sur TV Globo, la chaîne la plus regardée du pays.

“Est-ce qu’il va falloir l’exorciser pour qu’il s’arrête de mentir?”, a rétorqué pour sa part le chef de l’Etat d’extrême droite.

“Il se prend pour le “petit père des pauvres”, a ajouté M. Bolsonaro, 67 ans, avant de traiter Lula de “bandit”.

“Je ne suis pas ici pour répondre (aux provocations) de mon adversaire, je suis venu pour parler au peuple brésilien”, a déclaré l’icône de la gauche, qualifiant le président d’extrême droite de “déséquilibré”.

Ce débat a lieu lors de la dernière ligne droite d’une campagne souvent ordurière, pleine de coups bas et de désinformation massive sur les réseaux sociaux.

Métaphore footballistique

Lula a légèrement augmenté son avance dans le dernier sondage de l’institut de référence Datafolha, publié jeudi, avec 53% des intentions de vote exprimées, contre 47% pour le président d’extrême droite.

Un écart de six points, qui n’était que de quatre points la semaine dernière.

Fort de cet avantage, et si les sondages disent vrai, “Lula peut se contenter de jouer pour le match nul, alors que Bolsonaro doit gagner par plusieurs buts d’écart” lors du débat de ce vendredi, a estimé le chroniqueur politique Josias de Souza sur le site d’informations UOL, avec une métaphore footballistique dont les Brésiliens raffolent.

“La seule chose qui peut renverser la vapeur est le débat télévisé, 55% des électeurs disent que c’est un moment important pour leur prise de décision. Le moindre dérapage peut être déterminant pour le résultat final”, dit à l’AFP Felipe Nunes, politologue et directeur de l’institut de sondage Quaest.

Lors du seul autre face-à-face entre Lula et Bolsonaro, le 16 octobre, sur la chaîne Bandeirantes, les échanges avaient été moins agressifs qu’auparavant. Lors des débats d’avant le premier tour, réunissant d’autres candidats, les propos haineux avaient fusé de part et d’autre.

Au premier tour, le 2 octobre, Lula est arrivé en tête avec 48% des voix, contre 43% pour Jair Bolsonaro.

Mais le score du président d’extrême droite s’est révélé bien plus élevé que ce que prédisaient les sondages, lui donnant un certain élan pour la campagne de l’entre deux tours.

Deux couacs

Cet élan a toutefois été freiné par deux couacs majeurs: des déclarations malvenues du ministre de l’Economie Paulo Guedes, indiquant que l’augmentation du salaire minimum pourrait ne plus être indexée sur l’inflation, et l’interpellation rocambolesque d’un ex-député bolsonariste ayant blessé des policiers à la grenade.

Se sentant acculé, le président Bolsonaro, qui avait mis en sourdine ses critiques sur le système d’urnes électroniques, a trouvé un nouveau cheval de bataille cette semaine: la dénonciation d’irrégularités présumées dans la diffusion de propagande électorale à la radio.

Le Tribunal supérieur électoral (TSE) a rejeté la requête de l’équipe de campagne du chef de l’Etat, arguant qu’aucune preuve n’avait été présentée, ce qui pourrait constituer un “délit électoral” et une tentative de “déstabilisation du second tour”.

Selon les experts, M. Bolsonaro prépare le terrain pour contester le résultat en cas de défaite, alimentant les craintes d’incidents violents, à l’image de l’invasion du Capitole à Washington après la défaite de Donald Trump à la présidentielle américaine, en janvier 2021.

lg/chv

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Police cracking down on gun crime Loop Barbados

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The Barbados Police Service indicates there has been major progress in solving this year’s murders.

Assistant Commissioner of Police David Griffith disclosed that 24 persons have been arrested in connection the 35 murders which occurred thus far for 2022.

“For this year we have recorded 35 murders, 26 of those 35 murders have been committed by the use of firearm but we have made some encodes. We have arrested 24 persons in connection with those 35 murders and that is through the diligent work of our committed officers,” Griffith said on Friday during a press conference held at the police’s Roebuck Street, Bridgetown headquarters.

He revealed that ten cases were solved, which resulted in 13 persons being charged – one individual was charged for two murders.

Griffith noted that this year156 persons have been charged and appeared before the court for firearm-related cases such as murder, possession of a firearm and ammunition, use of firearms, endangering life and aggravated burglary by the use of a firearm.

The assistant commissioner of police with the responsibility for crime lauded the “commitment and dedication” of the Service’s police officers.

“I don’t think we could have achieved this were is not for the commitment and dedication of those officers who are daily called upon to investigate these heinous crimes,” Griffith remarked.

“We are extremely committed to what we are doing and there is no let up on the part of our investigators,” he continued, while also encouraging the public “who see something to say something.

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Fysieke Nationale Kunstbeurs geopend in De Hal

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Tekst en beeld Audry Wajwakana PARAMARIBO — “Kunst in levenden lijve bezichtigen, dat voelt toch meer. Je ervaart het anders

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‘Hog Head’ charged with schoolhouse breaking after being mobbed Loop Jamaica

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‘Hog Head’ charged with schoolhouse breaking after being mobbed

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Tobago cops watching troublemakers for carnival

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Acting Snr Supt Earl Elie, head, guard and emergency branch, left, Tobago’s Snr Supt Junior Benjamin, centre, and Snr Supt Oswain Subero of the Inter agency Task Force, at the Shirvan Police Station on Friday. Photo by David Reid

Tobago police are keeping a close eye on repeat offenders during the island’s inaugural carnival celebrations, which officially started on Friday and ends on Sunday.

In a joint press conference hosted by Tobago’s Snr Supt Junior Benjamin, Snr Supt Oswain Subero of the Inter agency Task Force (IATF) and acting Snr Supt Earl Elie, head, guard and emergency branch, at Shirvan Police Station on Friday afternoon, the officers vowed to do all in their powers to keep the festivities incident free.

Over the past two weeks, a team of officers from the Mounted branch, IATF, guard and emergency branch and air support unit were stationed in Tobago to assist with increased patrols and other police operations.

Benjamin said, “We would be looking at our priority offenders. All those involved in firearms, robberies, drugs, larceny offences, we are targeting these persons and we are looking and ensuring that safety and security must be a priority in Tobago.

“We are having a J’Ouvert celebrations, people are going to see the police will be out doing exercises, searching vehicles and persons coming in, because we want you to know you can feel safe going and coming.”

He encouraged all visitors to reach out to any police officer or visit any police station for help.

“We are begging you to stay in groups and if you have any problem, contact any police stations – we are here to enhance public safety.”

Benjamin said there are areas for policing to improve, even though the island has a high detection rate and solve rate.

“We realise murders have escalated; where we have nine murders, five of which have been solved. Our detection rate is nearly 55 per cent, which means one out of every two murders is solved.

“This is one of the highest of all divisions.”

He said four of the nine murders happened as a result of altercations, two from domestic violence, one gang-related and two happened after robberies.

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TOMAC organiser: Burna Boy fed off crowd’s energy

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Tobago

Grammy-winning afrobeat star Burna Boy on stage at the TOMAC festival, early Friday morning, at the Plymouth Recreation Ground, Plymouth, Tobago. Photo by Leeandro Noray

TORRENTIAL RAIN, thunder and lightning marred the grand finale of the Tobago Music and Cultural (TOMAC) Festival, but Grammy-winning afrobeat star Burna Boy, inspired by his drenched but vibrant fans, lifted the dampened spirits at the Plymouth Recreational Grounds with an electrifying performance.

Thousands ignored the Met Office’s upgrade of the adverse weather alert, from yellow level to orange, hoping the bad weather would hold up enough to enjoy the show.

Two hours into the concert, it was clear this was not going to happen.

Rain fell throughout performances from soca stars Nailah Blackman, Ricardo Dru and Shurwayne Winchester.

The concert started around 8 pm and by then hundreds were at the venue guarding themselves under umbrellas and tents.

Donning their best attire for the highly anticipated show, some were seen wearing garbage bags, which they bought for $5 at the entrance gate, as vendors capitalised on the opportunities presented by the bad weather.

The garbage bags were sold after umbrellas and raincoats were sold out.

By 10 pm, the downpour became heavier, but the crowd grew larger.

An hour-long interval between the last performance and the headline act left the crowd agitated and eventually disgruntled.

Chants of “Burna, Burna,” were eventually replaced by “refund, refund,” as DJ music kept the show going without an announcement.

One patron was heard saying: “They could at least come out and say what’s happening, instead of leaving us wondering if the show will go on.”

Scores of disappointed patrons eventually left the venue, but many stayed to get their money’s worth.

Midnight had passed and the stage remained in darkness with its instruments covered with polythene plastic.

However, around 12.40am, Burna Boy took the stage, much to the delight of his fans.

The energy from his performance sent the crowd wild, forgetting their soaked clothes, hair and shoes.

Burna delivered hit after hit, including Toni Ann Singh (his collaboration with Popcaan), Jerusalema, Ye, For My Hand (a collaboration with Ed Sheeran) and Last Last.

Song after song, the crowd screamed in excitement, singing his lyrics word for word.

Burna told the crowd this was his first time in Tobago and he was excited to visit an island “only heard about in the movies.”

Even as the rain continued, Burna Boy connected with his fans, performing for an hour to thrill his patient and appreciative fans.

Burna Boy ended his performance just at 1.30 am with the same energy and hype he started with.

‘Burna fed off crowd’s energy’

TOMAC organiser Arlene Lyons acknowledged the challenges with the weather but felt satisfied with the overall outcome and impact of the festival.

In an interview with Newsday, she said, “For the first time attempting to do something of this magnitude and significance, we are happy to have given this gift of Burna Boy to the people of Tobago.

“To me, it has been a very challenging and inspiring experience and it’s almost a perfect manifestation of the resilience and struggle of the African spirit. I feel like we have had to draw on that to be able to come to this point and pull off this event.

“We have had a lot of (challenges), and some of them were natural, but some of them were ones that are put in front of us by people who may not have the best interest of what we were trying to do.”

She praised the crowd for the energy during Burna Boy’s performance, which she described as scintillating.

Patrons get low while dancing in the rain on the closing night of TOMAC festival at Plymouth Recreation Ground, Thursday night. Photo by David Reid

“The crowd loved it. According to his (Burna Boy’s) team, it was one of his best performances. He fed off of the crowd. His team said he has never seen anything like this where people in this kind of inclement weather give off so much energy – and they said it was one of the things that inspired Burna to do a great performance.

“They said any other place might have cancelled the event with weather like what we had.”

Asked if TOMAC considered cancelling the event as conditions worsened into the night, Lyons said it was never an option.

But there was a major concern. “There were concerns of whether or not Burna’s team would want him to perform in those conditions.”

She thanked the patrons for showing up despite the heavy rain.

“I must also thank Burna Boy and his team for pushing through despite the weather challenges.

She said the hosting of the event was not a perfect experience but a lot was learnt.

“It literally took a village to pull this off, so we want to thank everyone who supported what we wanted to do. It was well worth it and my soul and I bet everyone else’s soul was fed.”

She said there are plans to keep the momentum going with the rediscovery journey of what it means to be Tobagonian.

Speaking to Newsday about their experience, patrons had mixed feelings.

Adrian Howe of Chaguanas told Newsday, “I enjoyed the show. The weather was out of our control and if we put that aside, we would see how excellent this event would have been. Overall, I enjoyed it.”

Joshua Lashley told Newsday he felt disappointed with the time allotted to local performers. “The soca artists should have performed longer. The festival said it’s about culture, soca is part of culture. While I was here for Burna Boy, the circumstances needed soca to get people mind off the bad weather.”

Shaquille Sylvester praised TOMAC for the work put into bringing the festival together.

Soca artiste Nailah Blackman performs at the TOMAC Afrofusion Celebration Concert experience featuring Burna Boy at Plymouth Recreation Grounds, Plymouth Village, Tobago, Thursday. Photo by David Reid

“I got the same quality I hear on YouTube and on radio from Burna Boy. It was proper feedback and good endgame between crowd and artiste. His performance was just too short.”

Steven Purity of Washington DC said he only came to Tobago after reading a Newsday article on Burna Boy’s scheduled appearance. He was disappointed by the delay in Burna Boy hitting the stage.

“I paid for a concert that starts at 8 pm, ends at 11 pm – and it was after 12 am. That’s the next day, so I left.

“They just keep saying he’s coming for over an hour, and that wasn’t reassuring.”

One woman added: “People standing in the rain was one thing but having to wait for him was another thing. I left the venue at 12 when I was already on my way out. I hope they hold to their word when they promise the performer would be there.”

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