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Aux Philippines, le retour des combats de coqs

Black Immigrant Daily News

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Dans un gallodrome bruyant des Philippines, Dennis de la Cruz sourit jusqu’aux oreilles en regardant ses coqs taillader leurs adversaires dans une frénésie…

Dans un gallodrome bruyant des Philippines, Dennis de la Cruz sourit jusqu’aux oreilles en regardant ses coqs taillader leurs adversaires dans une frénésie de sang et de plumes.

Fermées pendant deux ans durant la pandémie de Covid-19, les arènes traditionnelles de combats de coqs retrouvent leur pleine capacité dans tout l’archipel.

Interdits dans de nombreux pays, les combats de coqs, ou “sabong”, sont extrêmement populaires aux Philippines où ils génèrent des millions d’euros en paris chaque semaine.

Des coqs portant des ergots artificiels en métal sur leurs pattes se battent jusqu’à la mort, sous les vivats des spectateurs – majoritairement des hommes.

“Dans notre village, plus de la moitié des habitants font des combats de coqs”, a déclaré à l’AFP M. de la Cruz, 64 ans, lors d’un récent derby à San Pedro, au sud de la capitale Manille, où il a failli remporter la cagnotte d’un million de pesos (17.400 euros). 

Fils d’un opérateur de gallodrome, M. de la Cruz n’a jamais eu d’emploi régulier, mais il vit des gains que lui rapportent les coqs élevés par son neveu.

Dans ce pays aux inégalités marquées, les combats de coqs constituent un rare “terrain neutre” où riches et pauvres se mêlent et jouent selon les mêmes règles, a déclaré l’anthropologue Chester Cabalza de l’Université des Philippines. 

Adhérant à un code d’honneur strict, les spectateurs ont pour habitude d’utiliser des signes de la main, comme les courtiers en Bourse, pour placer leurs paris pendant un match qui peut durer moins d’une minute.

Un seul combat génère fréquemment 300.000 à 400.000 pesos en paris, a expliqué un fan à l’AFP. 

Après chaque combat – il y en a 15 par heure – des billets de banque froissés sont lancés vers le parieur gagnant.

Les gallodromes doivent dorénavant être dotés de machines à parier où les gagnants peuvent récupérer leur argent sans multiplier les interactions avec la foule.

“Si votre coq gagne, vous sortez du ring comme un dur, vous dégagez une image de macho”, déclare Edwin Lumbres, éleveur de gibier à plumes, en bombant le torse. “Mais si vous perdez, vous baissez la tête et vous sortez en traînant les pieds”.

“Jusqu’à la mort”

Les passionnés défendent ce sport comme une partie intégrante de la culture nationale.

Katrina Del Espiritu Santo, de l’association People for the Ethical Treatment of Animals, mène campagne pour l’interdiction d’une pratique jugée cruelle, où les oiseaux sont “forcés de se battre jusqu’à la mort”. 

Mais aux Philippines, les efforts des militants ont peu d’effet. Les coqs de combat y restent très prisés, ils peuvent coûter entre 3.000 et 15.000 pesos selon le palmarès de leurs parents.  

Les volailles de combat sont élevées dans des cages grillagées à l’extérieur des maisons dans les zones urbaines ou dans des abris de forme triangulaire dans les fermes.

Lorsque les gallodromes ont fermé au début de la pandémie, de nombreux petits éleveurs qui n’avaient plus les moyens de nourrir leurs bêtes ont été contraints de les vendre à bas prix – ou de les manger.

D’autres ont admis avoir organisé des combats illégaux pour joindre les deux bouts.

Afin de relancer la tradition et de faire rentrer des recettes dans les caisses de l’Etat vidées par la pandémie, l’ancien président Rodrigo Duterte avait délivré des permis pour organiser des combats en ligne. 

Les combats de “e-sabong”, diffusés 24H/24, se déroulaient dans des arènes vides, et permettaient aux gens de parier sur leur téléphone portable. 

La popularité de ce sport a explosé, tout comme les gains.

Le gouvernement engrangeait 640 millions de pesos par mois en droits d’entrée, selon son président d’alors.

Charlie Ang, qui dirige Lucky 8 Star Quest, a déclaré à une commission d’enquête du Sénat que les Philippins pariaient chaque jour entre un et deux milliards de pesos sur sa plateforme, ce qui selon lui représente environ 95% des paris.

Mais 34 employés du secteur ont disparu cette année et les médias locaux ont rapporté des suicides de parieurs acculés par les dettes.

Sous pression, M. Duterte a fini par stopper les combats en ligne, peu avant la fin de son mandat en juin.

Avec l’assouplissement des restrictions, les gouvernements locaux ont petit à petit permis aux gallodromes traditionnels de reprendre les combats, un soulagement pour des millions de Philippins. 

“Les gens étaient en colère parce que leur passe-temps favori avait été supprimé”, a déclaré Dondon Clanor, un passionné de 45 ans. “Maintenant, tout le monde est heureux”.

cgm/amj/cwl/mlb/chv/ybl

Un combat de coqs au Colisée de San Pedro, dans la province de Laguna, le 26 août 2022 aux Philippines
• Jam STA ROSA

Un homme soigne un coq blessé après un combat au Colisée de San Pedro, dans la province de Laguna, le 26 août 2022 aux Philippines
• Jam STA ROSA

Un homme pèse son coq avant un combat au Colisée de San Pedro, dans la province de Laguna, le 26 août 2022 aux Philippines
• Jam STA ROSA

Un combat de coqs au Colisée de San Pedro, dans la province de Laguna, le 26 août 2022 aux Philippines
• Jam STA ROSA

Des coqs se battent lors d’un combat de coqs au Colisée de San Pedro, dans la province de Laguna, le 26 août 2022 aux Philippines
• Jam STA ROSA

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La drépanocytose, une maladie encore mal connue

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Sainte-Luce

Les lycéens ont pu échanger avec les membres de l’APIPD. • D.P.

90 lycéens de la cité adventiste Rama ont participé, dernièrement, à une matinée d’information sur la drépanocytose organisée par l’APIPD, en collaboration avec la municipalité lucéenne et l’Espoir de Sainte-Luce.

Cette opération visait à sensibiliser les jeunes à
cette maladie héréditaire encore méconnue, malgré des campagnes
régulières de médiatisation. Près de 100 lycéens de première et
terminale spécialité S.V.T et Sciences techniques sanitaires et
sociales ont participé à  cette matinée d’information ponctuée
de témoignages et marquée par une chasse au  trésor autour de
l’hémoglobine. Quels sont les symptômes de la drépanocytose ?
Peut-on la prévenir et comment en guérir ? Autant de questions
auxquelles les intervenants se sont attachés à répondre.

« à la Martinique, il y a 40000 porteurs
sains avérés et plus de 3000 malades, a expliqué Jenny Hippocrate
Fixy, présidente de l’APIPD (association pour la  prévention
et l’information de la drépanocytose). Un couple sur 60 risque de
donner naissance à un enfant malade ». Des chiffres qui
montrent à quel point il demeure important d’informer et de
sensibiliser sur notre territoire.

« Or, cette maladie du sang dem

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Human foetus found in box at San Fernando hospital

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The San Fernando General Hospital.

A human foetus was discovered in a box outside the San Fernando General Hospital on Saturday evening.

Reports indicate that around 4.30 pm, security officer Ancil Crosbie told San Fernando police he saw what appeared to be a foetus on the northern side of the pavement near the security booth.

PC’s Lange and Koon Koon, along with DMO Dr Ramrattan, visited the scene and saw a pink object measuring approximately three inches.

Upon confirmation by the DMO that it was human fetal remains, the crime scene investigators were contacted.

The remains were removed by Guides Funeral Home for storage and safekeeping, pending an autopsy at the Forensic Science Centre.

WPC Charles is continuing inquiries.

In August, a newborn baby girl was found in a cardboard box in the hallway on the ground floor of the hospital. A note left in the box, believed to be from the baby’s mother, explained she could not take care of the child.

Since then, several requests were made for adoption of the baby which was said to be healthy.

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Diamond Village man shot dead while bursting bamboo

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SHOT DEAD: Rodney Charles. –

INSTEAD of lighting deyas to shed light over the darkness that is overshadowing TT, a Princes Town mother was preparing a wake and funeral for her son Rodney Charles who was gunned down in Picton Extension, Diamond Village, San Fernando on Saturday night.

Marie Mohan said after the pandemic limited gatherings over the past two years, this year she and one of her sisters planned to celebrate the occasion with family. She said Charles, the last of her nine children, was expected to attend with his family to join in the festivities.

Instead of doing preparation for the holiday on Monday, she spent Sunday consoling her daughter-in-law and grandson, while coming to terms with the circumstances surrounding the murder of her 32-year-old child.

“I can’t do nothing now. My son dead. They murder my son.”

Mohan believes her son was “set up” by people he knew.

“He was set up to be killed,” Mohan cried as she spoke to the Newsday at the Papourie Road, Diamond Village home of her late son, which he shared with his wife Sascha and their nine-year-old son.

She said this is the second attempt on her son’s life, but could not give a reason why people wanted him dead.

“I don’t know why they wanted to kill him, but I know it had nothing to do with drugs or money.”

She said at one time in his life, Charles sold and smoked marijuana, but he since stopped that trade, and was instead doing odd jobs to care for his family

She said, around eight o’clock on Saturday three men Charles knew invited him to “burst bamboo” at one of their homes in Picton Settlement where the murder happened. She said they got into Charles’ car and he took them to the site.

She said while she celebrates Divali, her son did not really partake in bamboo bursting, one of the traditions associated with Divali. She said he did not even venture in that area where he was killed.

Eyewitnesses, she said, told the family when Charles got to the bamboo-bursting site, one of the men who travelled with him told him to get out of there.

“Five minutes before the gunmen arrived, one of the fellas told him to ‘go, go from here.’

“There was no argument, no altercation before they told him to go from there.”

She said Charles was taken aback by the strange request and did not move from the bonnet of his car on which he was seated.

She said a ten-year-old boy, who was bursting bamboo with them, was also told to get into his father’s car and hide.

Around 9.45 pm, two masked men, wearing hoodies, arrived on the scene, approached Charles and fired shots directly at him, hitting him on the face and head.

He died on the spot. An eye-witness said between ten and 15 shots were fired to his head.

A stray bullet, also pierced the right arm of a 30-year-old Picton Settlement man. He was treated at hospital and discharged.

Commenting on the spiraling, out-of-control crime pervading the country, Mohan blamed it on the lack of law enforcement

“The law is to be blamed,” she told Newsday.

She said while murders are occurring every day, they are not being solved as quickly. She said in the Picton community, where her son was murdered on Saturday night, six people were killed over a short period in separate incidents, but no one has been held in connection with any of these murders to date.

She called for the killings to stop saying the blood money gunmen are getting to kill would not last for long.

“It’s sad. They pick up my son and carry him to his death. I want to tell the gunmen who were paid to kill him, that money would be of no value to them.

“God will deal with them. My tears won’t fall far.”

Homicide Region 111 is continuing investigations.

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Bloodbath in Diego Martin as boy, 3, woman and two men murdered

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Three-year-old Nazim Owen. –

Acting Police Commissioner Mc Donald Jacob says while police do not condone gang activity in the country, gang members, long ago, honoured a code where women and children were not the harmed in disputes, but now that seemed not to be the case.

On Sunday, a three-year-old child and a 27-year woman were among four people killed in Diego Martin.

The country also recently saw the death of another child because of gun violence. On October 15, nine-year-old Jomol Modeste was killed in a drive-by shooting at the Africa Recreation Grounds, Enterprise, Chaguanas.

In Sunday’s incident, police from the Four Roads CID and Western Division Task Force responded to a report of a shooting at around 1.20 am near Winnie Mohammed Road, Diego Martin. Four people were killed and two were wounded.

The dead are three-year-old Nazim Owen of La Puerta, Diego Martin; Chelsea Julien, 27, of Bagatelle, Diego Martin; Akil Keron Gloster of La Puerta Diego Martin and Marcus “Markie” Noel also of La Puerta.

Khadija Vilbara, and Nicholas Owen, baby Nazim’s father, also of La Puerta, are being treated at hospital.

All six were in a Nissan B15 when they were ambushed by shooters in a white station wagon.

27-year-old Chelsea Julien. –

Shards of broken glass, blood stains and a smashed wall, where the B15 hit, were visible when Newsday visited the crime scene.

The murders prompted Jacob to issue a statement.

He said he not only wanted to offer condolences to the victims’ families and friends, but also timely justice.

“Yes, the crime scene investigators, forensics personnel, homicide detectives are all out there, working assiduously to find and bring in the perpetrators. If there is CCTV footage we will use it, witnesses will be interviewed.

Thorough investigations are underway and, once again, I am appealing to anyone who has information that can lead to the capture and arrest of these murderers, we need you to come forward.”

He also called on people to “put aside that erroneous rhetoric about not being able to trust police” and said there were ways of giving information anonymously.

“Don’t sit on information that can help not only a family, but all of us to heal from this attack that affects everyone.

“If we want light to prevail, then we must do what is right. When you see something, please say something to the police.”

Julien’s mother grieves

When Newsday visited Julien’s mother, she remembered her daughter as a jovial, fun-loving mother of three.

Eunice Julien said her daughter left to go to a wedding at Maracas Beach, enjoyed the celebration and, on her way home with her boyfriend, Gloster, was followed by gunmen and shot.

Eunice Julien, mother of Chelsea Julien, is emotional as she speaks with reporters at her home on Sunday. – ROGER JACOB

“She was not involved in any criminal gang. I am not saying people in the car were not involved, but she was not involved. She was just in the wrong place at the wrong time.

“She made jokes. She loved her children. She was a very pretty girl…but that is the state of the country now.”

The grieving woman said she never thought crime would have affected her home. She said she would always look at the news and see such reports and would say, “Oh God, they killed somebody.”

Eunice said the community was saddened by her daughter’s death and she will be missed.

She (Eunice) was expecting to travel to Florida, USA soon, but might have to cancel that flight now.

Julien, she said, had a six-year-old autistic daughter and a four-year-old son who were now staying with their father.

Her (Julien’s) sister is taking care of the three-month-old baby she had with Gloster.

Eunice added that Julien was on her way to Diego Martin to breastfeed her baby when she was murdered.

“Everybody have a high-power rifle, where it coming from? Only God alone knows. I ain’t blaming anybody. I ain’t blaming Government. People will do what they want to do.

“You can put what measures in place – if they want to do badness, they will do badness,” she said.

She recalled Julien last asked her how she looked before going to the wedding and that she had on a beautiful red dress.

She told Newsday she now has to take care of her health to look after Julien’s children and “move them forward.”

Without saying exactly what she meant, Eunice told the country’s children to be obedient to their parents.

“Listen when your parents talk to you, you will go well on the earth.”

Jacob: Gov’t/Opp should strengthen Bail Act

In a telephone interview, Jacob repeated his call for the Government and the Opposition to work together to revise the Bail Act. He has been calling for this saying it was a critical tool in crime reduction.

In July, independent senators along with opposition members voted against the passing of the Bail (Amendment) (Extension of Duration) Bill 2022.

The bill needed a three-fifths majority to be passed, and the Government was seeking to extend the law, passed in 2019, for one year as there was a sunset clause which expired on August 4.

The law allowed magistrates and judges to deny bail for 120 days to people charged with specific offences under the Firearms Act, the Anti-Gang Act, the Sexual Offences Acts, the Dangerous Drugs Act, the Anti-Terrorism Act and the Trafficking in Person Act.

Jacob said while he did not constantly want to refer to Jamaica, he had to do so as the country upgraded its laws in relation to the penalties pertaining to possession of firearms and ammunition.

The wall which the car, in which the victims were travelling, slammed into after the shooting on Sunday morning. – ROGER JACOB

“I would like the administrators, both Opposition and Government, to recall that (the bill) again so when someone is held with a firearm, they are treated in a particular way, where the bail is denied.”

He said the police was putting things in place to ensure that it will be ready to go on with its matters in a short space of time, so the question of people not getting bail and the police not being ready to prosecute will be a thing of the past.

He said the police was also pleading with the judiciary to look at the fines and penalties being given to people who are held for possession of firearms, trafficking of firearms, shootings and woundings.

“We need that aspect of it to be strengthened, to act as a significant deterrent to prevent people who choose to possess firearms and carry out (illegal) activities in the country.”

Jacob said even though gangs are illegal groups operating in a society, they were still bound by rules.

Those rules included not harming or hurting women and children.

He said gangs in TT have broken all these rules and are causing mayhem in society.

“We, the police, are not condoning any kind of gang and violent activities, but it is sad to see that the people who are involved in these actions have no regard for even women and children.”

He said the police service was continually training and upgrading its officers to be able to respond appropriately when these things happen.

Jacob said the other obvious problem was the continuous entry of illegal firearms, especially high-powered rifles and submachine guns.

“That is penetrating the communities and streets in TT.

“Long ago when you had an incident probably with a handgun, you might have just a person shot. But with these submachine guns you will see three, four or even five people shot.”

Jamaica was also grappling with the flow of such firearms into that country and amended its laws to address the problem, Jacob said.

The police, he said, is working with its international partners to get these high-powered firearms off the streets.

These partners are also helping the police to penetrate these organised, criminal gangs who are sending down firearms and ammunition to TT, which has also become big business.

Jacob said one of the areas he will also treat with is how the proliferation of even legal firearms has been affecting the country.

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Belmont man shot and killed

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Crime scene investigators process the area where Cornelius Francis of Upper Belle Eau Road in Belmont was shot dead by gunmen on Sunday. – ROGER JACOB

Cornelius Francis, 30, is one of five people murdered in the northern division on Sunday.

The Belmont man was shot and killed at around 12.30 pm.

Police said Francis, of Roget Street, was sitting at the side of Belle Eau Road when two men got out of a gold-coloured car and shot him. Francis fell into a drain and the men re-entered the car and escaped.

The area’s district medical officer (DMO) visited and declared Francis dead.

Police investigations are continuing.

On Sunday, four people in Diego Martin, including a three-year-old boy and a 27-year-old woman, were shot and killed in a drive-by shooting.

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Les Clubistes en tête d’un trio infernal

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FOOTBALL. RéGIONAL 1. GROUPE B. 5E JOURNéE

Le RC Saint-Joseph de Sébastien Crétinoir (à droite) a eu raison de la Samaritaine de Patrick Percin. • MM.

Avec un match de moins, tout comme l’Assaut, le Club Colonial est aux premières loges. Le Club Franciscain complète le trio. Derrière ces trois équipes, même s’il reste des matches à rattraper, les écarts commencent à s’accroître.

à Louis-Achille, vendredi soir, le New Club et le
Club Colonial ont emballé très vite le match. Vermignon repousse la
frappe d’Arnerin, Attelly à l’affût marque le premier but (0-1,
6e). Les Clubistes réagissent vite. De Percin trouve Ursulet qui
sert en retrait, à Goron, lequel égalise (1-1, 7e).

Les qualités de vitesse et de changement de
direction permettent à Bourguignon, sur une faute, d’obtenir un
pénalty. Marny l’exécute et marque (2-1, 64e). Le Club Colonial se
met à l’abri grâce à Loetitia, mis sur orbite par Mathurin, il
envoie le ballon dans les filets (3-1, 90e+4). Invaincu, le onze
doyen reste leader, à la meilleure différence de buts, et avec un
match de moins. 

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Chine: un troisième sacre historique pour Xi Jinping

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Le président chinois Xi Jinping a été reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, s’entourant de fidèles alliés pour devenir le dirigeant le plus…

Le président chinois Xi Jinping a été reconduit dimanche à la tête du Parti communiste, s’entourant de fidèles alliés pour devenir le dirigeant le plus puissant de la Chine moderne.

“La Chine ne peut pas se développer sans le monde et le monde a aussi besoin de la Chine”, a clamé devant la presse le dirigeant, également reconduit aux commandes de l’armée chinoise.

En une décennie à la tête du pays, Xi Jinping a renforcé la stature de la deuxième économie mondiale et modernisé considérablement l’armée pour rivaliser avec les Etats-Unis. 

“Nous avons créé deux miracles: un développement économique rapide et une stabilité sociale à long terme”, s’est-il félicité, après avoir obtenu un troisième mandat de cinq ans, par un Comité central largement remanié duParti communistechinois (PCC).

Les dirigeants russe et nord-coréen, Vladimir Poutine et Kim Jong Un, lui ont envoyé leurs “chaleureuses félicitations”. Le premier s’est dit “ravi” de poursuivre un “dialogue constructif et travail commun étroit”, le second souhaitant “un plus bel avenir” aux relations bilatérales entre Pékin et Pyongyang.

Le président cubain Miguel Díaz-Canel a lui exprimé son intention de renforcer les liens d’amitié avec la Chine “afin de contribuer (…) à l’irréversibilité et la vitalité du socialisme au niveau mondial”.

Au Palais du peuple à Pékin, le dirigeant de 69 ans au sourire impassible est arrivé à la tribune surmontée de la faucille et du marteau, suivi de six autres hommes nommés au sommet du pouvoir chinois, tous des proches et alliés.

Plusieurs médias étrangers, comme le Wall Street Journal ou la BBC, n’ont pas été conviés à cette présentation à la presse.

Remerciant “l’ensemble du Parti pour (sa) confiance”, Xi Jinping a promis de “travailler dur dans l’accomplissement” de ses “tâches”. 

Malgré une concentration presque totale des pouvoirs, le dirigeant fait face à des vents adverses: une économie en fort ralentissement en raison de sa politique “zéro Covid”, une rivalité exacerbée avec les Etats-Unis et des critiques internationales sur les droits humains.

Encore moins de femmes

Le 20e congrès du PCC s’est refermé samedi après une semaine de délibérations à huis clos, avec le renouvellement de 65% des membres du Comité central, sorte de parlement interne au parti.

Au cours de leur première réunion dimanche matin, les 205 membres de ce parlement – dont 11 femmes seulement – ont désigné les 24 représentants du Bureau politique, l’instance de décision du PCC.

Celui-ci, pour la première fois en 25 ans, ne compte aucune femme.

“Les femmes continuent d’être fortement sous-représentées au sommet de la politique chinoise”, note la lettre d’information spécialisée Neican China. Leur proportion a même reculé de 5,4 à 4,9% au sein du Comité central.

Ce dernier a aussi désigné dimanche le nouveau Comité permanent du parti, organe qui détient la réalité du pouvoir en Chine.

Dirigé par son secrétaire général, Xi Jinping, le Comité est désormais exclusivement composé de ses proches alliés.

A priori, Li Qiang, chef du parti à Shanghai, devrait être le prochain Premier ministre, en dépit d’une gestion chaotique du confinement au printemps. Il succèderait alors à Li Keqiang qui prendra sa retraite.

Les nouveaux membres du Comité permanent “sont tous des hommes de Xi, cela montre qu’il veut gouverner au-delà d’un troisième mandat”, donc après 2027, souligne Alfred Wu Muluan, expert en politique chinoise à l’Université nationale de Singapour.

“Catastrophique”

Une rupture par rapport au passé, quand les factions du PCC nouaient des compromis pour répartir les postes, ce dont Xi Jinping est un illustre exemple: il est arrivé comme candidat de consensus en 2012.

Mais M. Xi avait ensuite surpris tout le monde en éliminant ses rivaux pour concentrer peu à peu tous les pouvoirs à la tête du parti et de la Chine, tout en menant une répression sévère contre toute dissidence.

En décrochant à nouveau le poste de secrétaire général du parti, Xi Jinping s’assure un troisième mandat présidentiel en mars prochain.

Pour se maintenir au pouvoir, il a fait amender en 2018 la Constitution qui limitait ce poste à deux mandats et à une durée totale de 10 ans.

“La reconduction de Xi Jinping est le fruit d’une extrême concentration de son pouvoir personnel”, souligne à l’AFP un politologue chinois, sous couvert d’anonymat compte tenu de la sensibilité du sujet.

Et il ne fait “aucun doute” que M. Xi cherche désormais à se maintenir au pouvoir à vie.

Cette décision est “catastrophique pour la Chine” et nuit au Parti communiste, estime cet intellectuel, car elle annonce selon lui “le déclin et la stagnation” de la deuxième économie mondiale.

Henry Gao, professeur de droit à l’université de gestion de Singapour, prédit quant à lui que Xi sera “plus conservateur” en politique intérieure mais “plus radical” à l’international lors de son prochain mandat: il “tentera de se confronter à l’Occident”.

L’incident Hu Jintao

En clôture de son congrès, le PCC a réaffirmé samedi le “rôle central” de Xi Jinping.

Seul incident marquant durant une cérémonie très chorégraphiée, l’ancien président Hu Jintao a été escorté vers la sortie, ont constaté des journalistes de l’AFP.

Visiblement contre son gré, l’homme de 79 ans, qui a présidé la Chine de 2003 à 2013, a été incité par des employés à se lever de son siège, situé à côté de Xi Jinping.

Cette scène très inhabituelle n’a pas été expliquée par les autorités, qui n’ont donné aucune suite aux sollicitations de l’AFP. 

L’agence Chine nouvelle a affirmé en anglais que Hu Jintao “ne se sentait pas bien”. Il va “beaucoup mieux” désormais, a-t-elle écrit sur Twitter, bloqué en Chine. Aucun média dans le pays n’a cependant repris cette information.

sbr-lxc-ka/chv/pa/cls

L’ex-président chinois Hu Jintao (c), entre le chef de l’Etat actuel Xi Jinping (d) et le Premier ministre Li Keqiang (g), est emmené vers la sortie lors de la cérémonie de clôture du congrès du Parti communiste, à Pékin le 22 octobre 2022
• Noel CELIS

Les passants regardent une émission en direct du président chinois Xi Jinping, sur un écran dans un centre commercial de Qingzhou, dans la province orientale du Shandong, le 23 octobre 2022
• STR

Chronologie des dirigeants de la Chine depuis 1949
• John SAEKI

Organigramme du Parti communiste chinois après son 20e congrès en octobre 2022
• Gal ROMA

Chine: un troisième sacre historique pour Xi Jinping
• Leo RAMIREZ

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Après l’effroi, des centaines de personnes attendues aux funérailles de Lola

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Des centaines de personnes –proches, élus ou anonymes– sont attendues lundi après-midi à Lillers (Pas-de-Calais) pour les obsèques de Lola, 12 ans, dont le meurtre sauvage a bouleversé le pays, une cérémonie que ses…

Des centaines de personnes –proches, élus ou anonymes– sont attendues lundi après-midi à Lillers (Pas-de-Calais) pour les obsèques de Lola, 12 ans, dont le meurtre sauvage a bouleversé le pays, une cérémonie que ses parents veulent “digne”, loin des “agitations politiques”.

Pour “un dernier hommage” à la fillette, la famille a donné rendez-vous dès 13H45 à la collégiale Saint-Omer de Lillers, commune de 10.000 habitants dont est originaire sa mère.

Les parents souhaitent “pouvoir honorer la mémoire” de Lola “dans la sérénité” et “le respect et la dignité”, ont-ils réaffirmé dimanche soir, pour la troisième fois depuis jeudi.

La messe, célébrée à 14H30 par l’évêque d’Arras Mgr Olivier Leborgne, sera ouverte au public, mais l’inhumation au cimetière “se fera dans la plus stricte intimité”, ont-ils ajouté.

“Je veux que les parents de Lola retrouvent la possibilité de vivre”, a dit dimanche, sur France 3, Mgr Leborgne. “J’espère que les gens seront très sobres, très discrets, très respectueux.”

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin et plusieurs élus sont attendus, dont la députée RN du Pas-de-Calais Caroline Parmentier.

La capacité de l’église étant limitée à 500 personnes, une “sonorisation” sera installée à l’extérieur et la place entièrement vidée de ses voitures pour pouvoir accueillir “quelques milliers de personnes”, a indiqué à l’AFP une source proche des forces de sécurité.

“Merci à tous”

Les circonstances tragiques de la mort de l’enfant, violentée, asphyxiée et retrouvée le 14 octobre dans une malle dans la cour de son immeuble, ont suscité une vive émotion dans le pays. 

Des grilles de sa résidence aux boîtes mails des communes où vivaient ses proches, des milliers d’anonymes ont adressé leurs condoléances. “Merci à tous pour votre soutien”, a écrit la maman de Lola, dans un message Facebook partagé plus de 20.000 fois.

Munies de roses blanches et les yeux souvent humides, des dizaines de personnes ont défilé vendredi soir à Fouquereuil (Pas-de-Calais), ville d’origine du père, pour déposer des dessins, des poèmes ou quelques mots dans des registres disposés par la mairie.

Dimanche, des riverains allumaient des bougies et déposaient des fleurs devant l’immeuble de Lola à Paris, sur un muret déjà couvert de centaines de bouquets et messages. “Je ne peux pas aller aux funérailles” alors “je viens ici exprimer ma solidarité”, a confié à l’AFP Sandra, une riveraine.

“Qu’est-ce qui nous touche tous? C’est l’atrocité de ce crime”, s’est ému vendredi le président Emmanuel Macron, affirmant que la famille de la fillette avait “besoin du respect et de l’affection de la nation”.

“Très choqué”

Le profil de la suspecte, Dahbia B., Algérienne sous le coup d’une obligation de quitter le territoire français (OQTF), a suscité de vives critiques à droite et à l’extrême-droite, le gouvernement fustigeant “l’indécence” de cette “récupération politique”.

Chez les Républicains, Eric Ciotti a tancé un “laxisme migratoire criminel”, avant que son concurrent à la présidence du parti, Bruno Retailleau, annonce le dépôt prochain d’une proposition de loi pour engager “la responsabilité de l’Etat” lorsqu’il “manque à ses obligations”.

Eric Zemmour a brandi un concept de “francocide”, avant de participer jeudi à un rassemblement avec notamment Marion Maréchal.

Le RN a lui observé une minute de silence à l’Assemblée nationale. “Nous avons été très dignes”, a estimé dimanche soir TF1 la cheffe de file des députés RN, Marine Le Pen, ajoutant qu’elle était cependant en droit de demander “des réponses” au gouvernement.

Dans plusieurs villes, des groupuscules identitaires ont aussi organisé des rassemblements.

Le porte-parole du gouvernement Olivier Véran, sur CNEWS-Europe 1-Les Echos dimanche, s’est dit “très choqué” par ces manifestations, notamment celle où “les lieutenants” d’Eric Zemmour “se press(aient) au premier rang”.

La famille avait appelé dès jeudi à ce que les différentes cérémonies se déroulent “loin des agitations politiques et médiatiques”.

Ils avaient redemandé le lendemain que “cesse instamment” toute utilisation “du nom et de l’image de leur enfant à des fins politiques”.

eva-cs-sba/zap/mlb

Les supporters de Lille affichent une banderole “Justice pour Lola” pendant le match de football de L1 entre le LOSC de Lille et l’AS Monaco au Stade Pierre-Mauroy de Villeneuve-d’Ascq, dans le nord de la France, le 23 octobre 2022
• DENIS CHARLET

Marine Le Pen (C), et les députés du RN observent une minute de silence pour Lola, à Paris, le 20 octobre 2022
• Alain JOCARD

Des manifestants tiennent des portraits sur lesquels on peut lire “Lola aurait pu être notre petite sœur” lors d’un rassemblement organisé par l’organisation d’extrême droite “Institut pour la Justice” à Paris, le 20 octobre 2022
• Emmanuel DUNAND

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Echange de tirs de semonce entre les deux Corées sur la frontière maritime

Black Immigrant Daily News

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Les deux Corées ont échangé des coups de semonce lundi matin, s’accusant mutuellement d’avoir enfreint la frontière maritime contestée avec un de leurs navires, nouvel épisode dans…

Les deux Corées ont échangé des coups de semonce lundi matin, s’accusant mutuellement d’avoir enfreint la frontière maritime contestée avec un de leurs navires, nouvel épisode dans un contexte tendu depuis quelques semaines.

Dans un premier temps, un bateau marchand nord-coréen a enfreint ladite Ligne de limite du Nord, près de l’île de Baengnyeong, à 3h42 locales du matin, puis se serait replié vers le nord après les coups de semonce de la marine sud-coréenne, a déclaré l’état-major interarmées.

“Les provocations continues du Nord et ses revendications irréfléchies sapent la paix et la stabilité de la péninsule coréenne et de la communauté internationale”, a déclaré la même source dans un communiqué, en exhortant Pyongyang à les “cesser immédiatement”. 

De son côté, l’armée de Pyongyang a affirmé qu’un navire militaire sud-coréen a violé quelques minutes plus tard la frontière de facto de 2,5 à 5 kilomètres et l’armée nord-coréenne (APC) a répliqué en tirant dix coups de semonce à son attention depuis sa côte ouest. 

“Les unités de défense du littoral ouest de l’APC ont pris une première contre-mesure destinée à repousser de manière puissante le navire de guerre ennemi en tirant 10 obus de lance-roquettes multiples en direction des eaux territoriales, où un mouvement naval ennemi a été détecté, à 5h15”, a déclaré un porte-parole de l’état-major de l’APC dans un communiqué. 

“Nous avons une nouvelle fois adressé un sévère avertissement aux ennemis à l’origine de provocations maritimes qui viennent s’ajouter aux tirs d’artillerie et à la diffusion de messages transfrontaliers par haut-parleurs”, a déclaré un porte-parole de l’état-major de l’armée nord-coréenne.

Point chaud

La “zone tampon” maritime a été établie lors d’un accord de 2018 destiné à prévenir les tensions entre les deux Corées.

Mais elles se sont intensifiées ces dernières semaines, Pyongyang ayant procédé à plusieurs lancements de missiles et des tirs de barrage d’artillerie dans les eaux de ses côtes est et ouest, ciblant cette frontière, jugés provocants par la Corée du Sud et le Japon. 

La Corée du Nord également récemment multiplié les essais d’armes décrits comme des simulations de frappes “nucléaires tactiques” contre des cibles en Corée du Sud. 

Séoul et Washington s’attendent à ce que Pyongyang, qui s’estime menacé par les manoeuvres militaires américaines, sud-coréennes et japonaises dans la région, reprenne prochainement ses essais nucléaires ce qui serait le septième.

Les tensions ne cessent de d’intensifier dans la péninsule coréenne depuis le début de l’année. 

La Corée du Sud a récemment procédé à des exercices à tir réel et les Etats-Unis, leur principal allié, ont déployé un porte-avion nucléaire dans la région afin de procéder à des manoeuvres trilatérales à grande échelle impliquant également Tokyo. 

Le mois dernier, la Corée du Nord a par ailleurs déclaré que son statut de puissance nucléaire était “irréversible”, fermant définitivement la porte à toute négociation de désarmement, et a fait savoir qu’elle s’autorisait des frappes préventives en cas de menace.

“L’incursion du navire marchand et les tirs d’artillerie du Nord démontrent l’absence de consensus concernant la Ligne de limite du Nord”, a déclaré à l’AFP Cheong Seong-chang, chercheur à l’Institut Sejong.

“Le Nord pourrait plus tard tenter de la rendre caduque avec en toile la confiance qu’il aura, sur un plan militaire, en son arsenal nucléaire tactique”, selon lui.

L’échange de tirs de semonce de lundi intervient le jour où la secrétaire d’Etat américaine adjointe, Wendy Sherman, se rend au Japon pour des discussions tripartites avec Tokyo et Séoul, tous deux alliés de Washington, en signe d’unité après la série de tirs de la Corée du Nord.

Pyongyang affirme ainsi répondre à des “provocations” de Séoul et a décrit ces essais d’armes comme étant des simulations de “frappes nucléaires tactiques” contre des cibles en Corée du Sud.

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