Black Immigrant Daily News
door Arjen Stikvoort PARAMARIBO — De oude ID-kaarten blijven geldig tot en met 31 december 2023. Maar dan moet wel
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C’est la conclusion de trois semaines de débats acharnés et de compromis avec la droite: le Parlement a adopté définitivement jeudi le second volet du paquet de mesures en faveur du pouvoir d’achat, avant une pause estivale pour députés et sénateurs.
Pour le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, c’est “une victoire politique” et “la démonstration que nous avançons”… mais parfois dans la douleur.
Le pouvoir d’achat était un sujet clé de la campagne présidentielle et a constitué le premier gros morceau de la mandature, en forme de test pour la “nouvelle méthode” de l’exécutif, privé de majorité absolue au Palais Bourbon et qui s’est tourné vers la droite pour faire l’appoint des voix.
Après un premier volet validé mercredi comprenant 20 milliards d’euros de dépenses, c’était au tour du projet de budget rectifié pour 2022 et son nouveau lot de mesures face à l’inflation d’être soumis au vote ultime.
L’Assemblée nationale l’a approuvé par 292 voix pour, 120 contre et 98 abstentions.
Outre la majorité, la plupart des députés LR se sont prononcés pour, en se proclamant “la seule opposition utile aux Français”.
Les élus RN se sont abstenus, arguant ne pas vouloir “entraver” les quelques “avancées” portées.
La gauche, qui va déposer un recours au Conseil constitutionnel, a voté contre, après un baroud d’honneur des socialistes via une ultime motion de rejet contre les “miettes” proposées.
En référence à l’abolition des privilèges lors de la nuit du 4 août 1789, la patronne du groupe LFI Mathilde Panot a dénoncé en cette date anniversaire la “régénérescence d’une société de castes”.
Au cours de cette dernière séance à nouveau houleuse au Palais Bourbon, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal a lui critiqué une “dérive malheureuse d’une certaine gauche passée à l’extrême”, qui “a le bruit pour méthode et l’enfer fiscal pour projet”.
Ensuite au Sénat dominé par la droite, dans une atmosphère plus posée, le projet de budget rectifié a été voté par 233 voix contre 97. La gauche a fait bloc contre un texte issu d’”un accord” avec LR qui “sapera les intérêts des classes populaires”.
Le projet de loi ouvre 44 milliards d’euros de crédits, dont 9,7 pour financer la renationalisation à 100% d’EDF.
Sont programmées la revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, la suppression de la redevance audiovisuelle, la poursuite du bouclier tarifaire sur l’énergie et de la remise carburant à 30 centimes le litre en septembre-octobre puis 10 en novembre-décembre.
Quelque 500 millions d’euros de dépenses ont été ajoutés au cours des débats.
Entre la majorité présidentielle et la droite, un terrain d’entente avait été trouvé mercredi soir en commission mixte paritaire. La monétisation polémique des RTT sera finalement possible jusque fin 2025.
– “fin des 35 heures” –
Aux yeux de la députée LR Véronique Louwagie, “c’est le retour du travailler plus pour gagner plus”, un slogan de Nicolas Sarkozy.
Pour le sénateur LR Vincent Segouin, c’est “acter définitivement la fin des 35 heures” entre ce rachat des RTT aux salariés, et les heures sup défiscalisées qui seront pérennisées.
Concernant la prime de rentrée exceptionnelle, que le Sénat voulait réserver aux travailleurs modestes, là aussi un compromis a été acté. La prime sera versée aux bénéficiaires des minima sociaux, et ceux touchant la prime d’activité auront un versement complémentaire.
Le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau avait exigé le maintien d’un autre ajout du Sénat, sur la mise en place d’une carte Vitale biométrique. Cela a été le cas, pour lutter contre la fraude.
Mais il n’y aura pas de taxe sur les “superprofits” des grands groupes, comme réclamé à gauche, à l’extrême droite et par certains centristes. Bruno Le Maire a martelé son opposition au “réflexe pavlovien de la taxe”.
L’idée d’une supertaxe, déjà appliquée en Grande-Bretagne ou en Italie, et réclamée par le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, avait été relancée par le bénéfice net engrangé par TotalEnergies au deuxième trimestre, plus que doublé, à 5,7 milliards de dollars. Le débat devrait ressurgir à l’automne.
Le premier volet en faveur du pouvoir d’achat, qui avait obtenu le feu vert du Parlement mercredi, inclut lui le triplement du plafond de la prime Macron pouvant être versée par les employeurs, l’augmentation de 4% des retraites et de plusieurs allocations, ainsi que la “déconjugalisation” de l’allocation adultes handicapés – ajoutée dans un rare moment de consensus à l’Assemblée.
“C’est le quotidien de nombreux concitoyens qui va être amélioré”, a applaudi Emmanuel Macron. La Première ministre Elisabeth Borne, qui a tweeté avant même le vote définitif, s’est félicitée, dans une déclaration transmise à l’AFP d’avoir, “prouvé que le compromis, demandé par les Français, était possible et accessible”.
Ces derniers scrutins jeudi marquent la pause des travaux jusqu’à la rentrée. Il n’y aura pas de session extraordinaire en septembre pour la première fois depuis vingt ans, illustration de la volonté de mieux préparer les textes en amont.
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C’est la conclusion de trois semaines de débats acharnés et de compromis avec la droite: le Parlement a adopté définitivement jeudi le second volet du paquet de mesures en faveur du pouvoir d’achat, avant une pause estivale pour députés et sénateurs.
Pour le ministre de l’Economie Bruno Le Maire, c’est “une victoire politique” et “la démonstration que nous avançons”… mais parfois dans la douleur.
Le pouvoir d’achat était un sujet clé de la campagne présidentielle et a constitué le premier gros morceau de la mandature, en forme de test pour la “nouvelle méthode” de l’exécutif, privé de majorité absolue au Palais Bourbon et qui s’est tourné vers la droite pour faire l’appoint des voix.
Après un premier volet validé mercredi comprenant 20 milliards d’euros de dépenses, c’était au tour du projet de budget rectifié pour 2022 et son nouveau lot de mesures face à l’inflation d’être soumis au vote ultime.
L’Assemblée nationale l’a approuvé par 292 voix pour, 120 contre et 98 abstentions.
Outre la majorité, la plupart des députés LR se sont prononcés pour, en se proclamant “la seule opposition utile aux Français”.
Les élus RN se sont abstenus, arguant ne pas vouloir “entraver” les quelques “avancées” portées.
La gauche, qui va déposer un recours au Conseil constitutionnel, a voté contre, après un baroud d’honneur des socialistes via une ultime motion de rejet contre les “miettes” proposées.
En référence à l’abolition des privilèges lors de la nuit du 4 août 1789, la patronne du groupe LFI Mathilde Panot a dénoncé en cette date anniversaire la “régénérescence d’une société de castes”.
Au cours de cette dernière séance à nouveau houleuse au Palais Bourbon, le ministre des Comptes publics Gabriel Attal a lui critiqué une “dérive malheureuse d’une certaine gauche passée à l’extrême”, qui “a le bruit pour méthode et l’enfer fiscal pour projet”.
Ensuite au Sénat dominé par la droite, dans une atmosphère plus posée, le projet de budget rectifié a été voté par 233 voix contre 97. La gauche a fait bloc contre un texte issu d’”un accord” avec LR qui “sapera les intérêts des classes populaires”.
Le projet de loi ouvre 44 milliards d’euros de crédits, dont 9,7 pour financer la renationalisation à 100% d’EDF.
Sont programmées la revalorisation du point d’indice des fonctionnaires, la suppression de la redevance audiovisuelle, la poursuite du bouclier tarifaire sur l’énergie et de la remise carburant à 30 centimes le litre en septembre-octobre puis 10 en novembre-décembre.
Quelque 500 millions d’euros de dépenses ont été ajoutés au cours des débats.
Entre la majorité présidentielle et la droite, un terrain d’entente avait été trouvé mercredi soir en commission mixte paritaire. La monétisation polémique des RTT sera finalement possible jusque fin 2025.
– “fin des 35 heures” –
Aux yeux de la députée LR Véronique Louwagie, “c’est le retour du travailler plus pour gagner plus”, un slogan de Nicolas Sarkozy.
Pour le sénateur LR Vincent Segouin, c’est “acter définitivement la fin des 35 heures” entre ce rachat des RTT aux salariés, et les heures sup défiscalisées qui seront pérennisées.
Concernant la prime de rentrée exceptionnelle, que le Sénat voulait réserver aux travailleurs modestes, là aussi un compromis a été acté. La prime sera versée aux bénéficiaires des minima sociaux, et ceux touchant la prime d’activité auront un versement complémentaire.
Le patron des sénateurs LR Bruno Retailleau avait exigé le maintien d’un autre ajout du Sénat, sur la mise en place d’une carte Vitale biométrique. Cela a été le cas, pour lutter contre la fraude.
Mais il n’y aura pas de taxe sur les “superprofits” des grands groupes, comme réclamé à gauche, à l’extrême droite et par certains centristes. Bruno Le Maire a martelé son opposition au “réflexe pavlovien de la taxe”.
L’idée d’une supertaxe, déjà appliquée en Grande-Bretagne ou en Italie, et réclamée par le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres, avait été relancée par le bénéfice net engrangé par TotalEnergies au deuxième trimestre, plus que doublé, à 5,7 milliards de dollars. Le débat devrait ressurgir à l’automne.
Le premier volet en faveur du pouvoir d’achat, qui avait obtenu le feu vert du Parlement mercredi, inclut lui le triplement du plafond de la prime Macron pouvant être versée par les employeurs, l’augmentation de 4% des retraites et de plusieurs allocations, ainsi que la “déconjugalisation” de l’allocation adultes handicapés – ajoutée dans un rare moment de consensus à l’Assemblée.
“C’est le quotidien de nombreux concitoyens qui va être amélioré”, a applaudi Emmanuel Macron. La Première ministre Elisabeth Borne, qui a tweeté avant même le vote définitif, s’est félicitée, dans une déclaration transmise à l’AFP d’avoir, “prouvé que le compromis, demandé par les Français, était possible et accessible”.
Ces derniers scrutins jeudi marquent la pause des travaux jusqu’à la rentrée. Il n’y aura pas de session extraordinaire en septembre pour la première fois depuis vingt ans, illustration de la volonté de mieux préparer les textes en amont.
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Prime Minister Andrew Holness says young persons are increasingly frustrated by the lack of opportunities and proper housing in Jamaica and are eyeing migration to developed countries.
According to him, the issue of migration has affected Jamaica negatively, with numerous members of the middle class migrating.
Holness is contending that this situation is untenable, as it will lead to a depletion of the country’s pool of talents and skills, further derailing efforts to complete ‘Project Jamaica’.
“Who will lead the country when all the skills leave?” asked Holness during his address at the handing-over ceremony for phase one of the Ruthven Towers apartment complex.
“… And when I say leave the country…, I am talking about who will lead the NHT [National Housing Trust], who will take the leadership of the country to transform the country?” he further questioned.
Based on his interactions with some young persons, the prime minister said he has gained first-hand knowledge of the level of frustration that they are experiencing locally when they compare other developing countries to Jamaica.
“Somehow they [young persons] look at other countries, they see what is happening in other countries, and they say, ‘Why can’t it happen here? Why do we have all the problems that we have?
“It is infuriating to many of them, and when we talk to them, particularly the millennials, they just want to leave. They want to just go overseas and enjoy the benefits that are existing in other developed countries,” Holness informed.
He noted, as well, that Jamaica has suffered from migration since post-Independence, especially since the 1970s.
“Since the 1970s, there has been a migration of Jamaica’s middle class… No country can progress without building its middle class. The middle class isn’t a bourgeoisie concept. The middle class is the segment of your society, where skills and entrepreneurism and innovation exist,” he explained.
“So, the middle class is not this rich, well-to-do as people think. It is those that have benefited from the education of the country, that have the skills necessary to move the country along,” the prime minister continued.
“Unfortunately, we have been losing them, and one of the reasons we have been losing them is security…, job opportunities, maybe another, but we are slowly conquering that.”
Another issue driving middle-class persons away from the country is the quality of infrastructure, including housing, Holness claimed.
“In our 60th year, we have to confront this, and make a commitment to improve our infrastructure, so that people can feel that they are living in a modern society,” he stated.
“So we are appealing to the young people in our country to consider that ‘Project Jamaica’ is not complete, and you have a role, not just to be critical of the incompleteness and failures of ‘Project Jamaica’, but you have a role in making ‘Project Jamaica’ a success,” urged Holness.
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Sagicor Group Jamaica (SGJ) is in the final stages of construction on its New Brunswick Village commercial and residential complex on Brunswick Avenue in Spanish Town, St Catherine.
The financial conglomerate expects to begin handing over keys to the commercial units later this year, and residential units by April 2023.
The property will feature 89 residential units and several commercial blocks and is expected to breathe new life into the old capital and provide well-needed real estate solutions for businesses and middle-income families in the fast-growing parish.
“We’re very pleased to be able to bring this development to the market in a time when many persons are looking for residential options that are accessible and well-connected to the corporate area, but do not want to, or cannot afford to live inside the metropolis,” said Donnette Scarlett, Sagicor Group Jamaica’s Senior Vice President – Group Treasury & Asset Management.
She added: “This development will also provide great value to businesses who are looking to have a stronger presence in Spanish Town, as well as consumers who will benefit from access to their products and services.”
The commercial blocks boast a total of over 40 units and will allow for businesses to access single or multiple units as desired to build out their storefronts.
Scarlett noted that Sagicor already has three main anchor clients who will set up shop at New Brunswick Village, and are in negotiation with several others.
“We can confirm now that a Sagicor Bank branch will be one of our flagship businesses for the commercial complex, and we intend for other businesses within the Sagicor Group to have a presence here in the near future,” she said. “We will also have a pharmaceutical company RA Williams Distributors Limited along with Island Grill as anchor tenants at the location.”
The commercial area of the property will be directly accessible from the main thoroughfare of Brunswick Avenue, with secured entrance and exit, while the gated residential community will be nestled at the back of the property with its own entrance and security checkpoint.
“The 89 residential units will be a combination of two-bedroom townhouses, and a mixture of apartments that are studios and one and two bedrooms,” she added.
The multibillion-dollar project is being undertaken as a joint venture with Bailey Williams Limited and will be managed by Sagicor Property Services (SPS) – the real estate management arm of Sagicor Group Jamaica.
Scarlett said the location and modern design of the facilities have been major pull factors for both commercial and residential clients so far, and she expects to see a sharp uptick in prospective commercial tenants when the doors officially open.
“The businesses are attracted to the location because it’s very visible and easily accessible, without the heavy congestion and other concerns that would have come from being in the town centre. It also has a modern facility to which they can tie their brands, and the residential community directly behind it, adds a natural flow of prospective customers,” she said.
Scarlett also highlighted the ease of access to the Angels leg of the North-South highway providing easy access to Kingston and the north coast, plus the development’s proximity to conveniences and top-rated schools in the parish.
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Kerrica Hill confirmed she was the one to beat in the women’s 100m hurdles at the World Under-20 Championships in Cali, Colombia with an easy victory in the preliminary round on Thursday.
The 17-year-old was an ultra-impressive winner of the Jamaican U20 title in 12.98 (1.5m/s) last month and she progressed to the semifinals in 13.30 when winning the first of six heats.
Hill’s teammate Alexis James was the quickest in the heats, clocking a big personal best of 13.04 to win heat five in commanding fashion. James’ previous personal best was 13.13 she achieved last month to make the team for Cali.
The 12.30 by Hill represents the second quickest in the heats.
The US challenge will be led by Jalaysiya Smith who qualified with 13.42, the fourth quickest in the heats. She ran her personal best of 13.05 (0.5m/s) in the semifinals of the NCAA Championships and went on to win the US U20 title last month in 13.21.
Meanwhile, Jamaica’s J’Voughnn Blake secured a spot in the men’s 800m semifinals but his teammate Adrian Nethersole did not progress after finishing seventh in his preliminary round heat.
Blake advanced on time after failing to finish in the top three of his heat, which was won by Ethiopia’s Mersimoi Kasahun in one minute and 48.54 seconds, the second quickest in the heats.
The Jamaica College schoolboy finished fourth in 1:48.97 to secure one of the two non-automatic qualifying spots. His time, however, represents the eight quickest in the heats.
Gold medal favourite Ethiopia’s Ermias Girma was the quickest in the heats, winning his race in 1:48.39.
The semifinals are scheduled for Friday.
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One man was shot and injured and a firearm was recovered on Thursday as St Catherine South Police carried out another operation this time in Central Village.
Police sources report that the man, who was shot during a reported shootout, is being transported to the hospital. The state of his condition is not known.
The news comes hours after another man was fatally shot during another stand-off with lawmen, this time in Dyke Road area.
Five firearms were reportedly seized in the Dyke Road raid.
At the same time members of the joint police/military team are also in Gregory Park where criminals are engaged in an ongoing gang feud. The gunmen have firebombed several houses.
A source on the ground claims that more than six houses were destroyed by arsonists. Police have yet to confirm the number of houses damaged by fire.
Police have also listed the names of several individuals they deem to be Persons of Interest in relation to the recent flare-up of crime and violence in sections of the division.
They are; Richard Hemley, otherwise called ‘Devils’, Kirk Wint, otherwise called ‘Big Red’, Christopher Barrett, otherwise called ‘Chicken Back’, Elijah Carless, otherwise called ‘Papalou’, Ricardo Carson, otherwise called ‘Trooper’, Shane Williams, otherwise called ‘Tussain’, Imoro McKenzie, otherwise called ‘Munga’, Cedrick Barnett, Miguel Tracey, Sanjay Tracey, A man known only as ‘Techa’, A man known only as ‘Nigel’, A man known only as ‘Dog Shot’, A man known only as ‘Dappa’,
A man known only as ‘Cedrick’, a man known only as ‘Bailey Boy’, A man known only as ‘Tae Tae’, and a man known only as ‘Steve’.
The persons are urged to turn themselves in to the Greater Portmore police station by 6:00 pm, on Thursday, August 04.
Additionally, anyone with information about the whereabouts of these individuals is being asked to contact the Greater Portmore police at 876-949-8403 or Crime Stop at 311.
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Gucci Mane says he started the ‘dissing dead rappers’ trend and now wants it to stop.
Fans are not here for Gucci Mane’s latest song, “Dissin the dead,” where he calls on rappers to stop mentioning those who have passed away. Dissin’ the dead has become a sensitive issue in hip hop as it has not only led to many families hurting but to reprisals as well.
While Gucci Mane himself has been guilty of the crime of Dissin’ dead rappers, particularly the late Pookie Loc, the rapper appears to show maturity as he raps that other persons should also stop disrespecting those who have passed on.
The music video for “Dissin the Dead” was produced by ATL Jacob, TM88, TooDope, and Akachi, and in it Gucci Man fesses up.
“I know I should be more careful with the sh**t that I said,” Gucci raps. “I feel like I started a trend, they never gon’ stop/They gon’ keep dissin’ the dead.”
Meanwhile, fans roasted Gucci Mane for being a hypocrite as he has been unapologetic about rapping about Pookie Loc, an artist signed to Jeezy whom he had shot and killed 16 years ago. Gucci Mane claimed that he killed the artist in self-defense.
He even recently referenced Pookie Loc in his collaboration with Lil Durk on “Rumors.”
“D.A. dropped my murder, didn’t have evidence to prove it/I think my house is haunted, yeah, by who? The ghost of Pookie,” he had said in the track.
“Gucci Mane is STILL making songs about Pookie Loc but he won’t ever tell what he did to Jeezy to make him send those people after him…FYI: Nobody sends THAT kind of heat your way just because they don’t like you… Let it GOOOO before you open up another can of worms!!” one fan wrote on Twitter in response.
“Gucci mane using his veteran rap status to end the trend of rappers dissing the dead in their lyrics. Lmao didn’t he diss the late POOKIE LOC last year? Talmbout “put his ass in the dirt!!” another person wrote.
“How Gucci Mane calling for rappers to stop dissing the dead when jus a few months ago he was on Verzuz talkin about “we smokin on POOKIE Loc tonight,” another added.
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Sara / Autodistribution, UFR / Chanflor et Rosette / Orange Caraïbes se sont livrés un duel magnifique lors cette 4ème étape, avec une arrivée magnifique à Fort-de-France. UFR / Chanflor gagne en patron !
Après avoir pris le maillot rouge à Saint-Pierre hier (mercredi 3 août), à la faveur de sa deuxième place, la yole marinoise de Diany Rémy a longtemps fait la course en tête, lors de cette 4ème étape entre Saint-Pierre et Fort-de-France.
Sara Energies Nouvelles / Autodistribution, sa voile bien bordée, filant au vent durant toute cette étape le long de la côte nord Caraïbe, a longtemps semblé avoir la victoire acquise.
C’était sans compter sur le retour phénoménal d’UFR / Chanflor. En difficulté au départ de Saint-Pierre (9ème position), la yole robertine de l’expérimenté Félix Marine a d’abord rattrapé Rosette / Orange Caraïbe, avec qui elle a livré un beau duel entre Case-Pilote et Schoelcher.
En filant sur Fort-de-France, UFR / Chanflor a encore accéléré et l’écart conséquent imposé par Sara / Autodistribution a progressivement diminué.
Le sprint final lancé entre les trois yoles, c’est finalement UFR / Chanflor qui s’impose à l’expérience !
Sara / Autodistribution, finit 2ème ; Rosette / Orange Caraïbe est 3ème.
William Saurin / Miltis, longtemps en 2ème position lors de cette 4ème étape, a dessalé face à Case-Pilote. La yole emmenée par Loïc Mas a subi une rafale de vent qu’elle n’a su maîtriser.
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12 albums studio en 30 ans. T-Vice peut se targuer d’?tre parmi les groupes les plus prolifiques de la musique ha?tienne avec un ratio d’1 album tous les 2 ans et demi. De <> en 1996, au tout dernier n?, <> (2021), la bande aux fr?res Martino a un r?pertoire bien garni.
Mais ce n’est s?rement pas le seul point marquant de leur histoire. <>, affirme Roberto Martino au cours d’une entrevue accord?e ? Ticket. Le carnaval, boost? par la comp?tition avec Sweet Micky, dans un premier temps, puis avec Djakout Mizik et #1 dans un second temps, c’est un rchemin que conna?t tr?s bien l’auto proclam? <>. De l’ind?tr?nable <> ? la derni?re grande domination aux Cayes avec <> (2012), pa gen kanaval san Vice la.
Les fr?res Martino ?taient tr?s jeunes quand ils ont d?cid? de mettre sur pied T-Vice en ao?t 1992. Reynaldo avait 13 ans et Roberto, 3 ans de plus, soit 16 ans. M?me h?sitante, leur m?re Jessie devint leur manager. Pour assurer la p?rennit? de l’h?ritage construit par le p?re de famille, Robert Martino, avec Top Vice notamment, il fallait ?tre soud?s, m?re et fils. Pour toucher le coeur du public, ils ont d? ?tre patients. Le premier opus <> en 1994 n’a pas fait mouche. Mais les chefs de file ont su trouver la formule qui allait faire d’eux l’un des groupes les plus populaires d’Ha?ti de la deuxi?me moiti? des ann?es 90 et des ann?es 2000. <> en 1998, confirme la r?ussite connue 4 ans plus t?t avec <>.
Un bilan en 30 ans dont le lead vocal est fier. <>, lance Roberto Martino. <>, souligne-t-il.
Les meilleures ann?es du groupe sur la sc?ne musicale, Roberto Martino les situent entre 1996 et 2003. Mais entre la perc?e de Carimi, Nu-Look ou encore Djakout Mizik, T-Vice s’est un peu effac? de la sc?ne musucale. Entre 2006 et 2010, T-Vice a repris la main, affirme Roberto Martino. <>, poursuit il.
<>. <>. <>. Des meringues carnavalesques comme <>, <>, <>, entre autres. Ce sont les titres mis en avant par Roberto Martino pour parler de ses plus grands succ?s avec T-Vice. Cependant, le chanteur et guitariste nourrit quelques remords. Des succ?s attendus qui ne sont pas venus. <>, soutient Roberto Martino.
<>
Pour f?ter ses 30 ans, T-Vice sera en Ha?ti ce week-end. Avec Ka?, l’une des formations musicales les plus en vogue de nos jours, selon Roberto Martino, pour les accompagner sur sc?ne, les trentenaires offrent une soir?e d’anniversaire en blanc au NH El Rancho. <>, nous dit le lead vocal de T-Vice. <>, insiste Roberto Martino.
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